Congo-Brazzaville : Sassou Nguesso organise son maintien au
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Congo-Brazzaville : Sassou Nguesso organise son maintien au
Congo-Brazzaville : Sassou Nguesso organise son maintien au pouvoir Écrit par Administrator Samedi, 18 Juillet 2015 14:16 - Mis à jour Samedi, 18 Juillet 2015 14:26 Denis Sassou Nguesso, depuis plus de trente ans à la tête du Congo, prépare le terrain à une modification de la constitution qui lui permettrait d'être à nouveau candidat à sa succession. C'est au tour du Congo-Brazza de céder à la manie de la réforme constitutionnelle pour permettre au sortant de ne plus sortir. Le "dialogue national" sur l'avenir des institutions en République du Congo a ouvert la voie, ce vendredi, à la tenue d'un référendum sur une nouvelle constitution qui permettrait à Denis Sassou Nguesso de se représenter en 2016. Âgé de 72 ans, Denis Sassou Nguesso cumule plus de trente ans à la tête du pays. Il a dirigé le Congo à l'époque du parti unique, de 1979 jusqu'aux élections pluralistes de 1992, qu'il a perdues. Revenu au pouvoir en 1997 à l'issue d'une violente guerre civile, il a été élu président en 2002 et réélu en 2009. Les quelques centaines de délégués ayant participé au "dialogue national" à Sibiti (250 km à l'ouest de Brazzaville) se sont prononcés pour une nouvelle constitution sans limite d'âge maximal pour les candidats à la présidentielle, ni restriction du nombre de mandats autorisés à un chef de l'État. " Une forte majorité s'est dégagée en faveur" d'un "changement de constitution" qui concilierait "les valeurs universelles de la démocratie et les réalités politiques, sociales et culturelles de notre pays" , selon le communiqué final. L'opposition dénonce un "coup d'État constitutionnel" A moins d'un an de la prochaine présidentielle, à laquelle le président sortant ne peut en l'état être candidat, un dirigeant de la plate-forme regroupant l'essentiel de l'opposition - qui avait boycotté ce forum - a qualifié ses conclusions de "coup d'État constitutionnel". 1/3 Congo-Brazzaville : Sassou Nguesso organise son maintien au pouvoir Écrit par Administrator Samedi, 18 Juillet 2015 14:16 - Mis à jour Samedi, 18 Juillet 2015 14:26 Après la chute du président burkinabè Blaise Compaoré chassé du pouvoir par le peuple à Ouagadougou en octobre pour avoir tenté une modification constitutionnelle qui lui aurait permis de briguer un nouveau mandat, la question de la révision des lois fondamentales est au coeur du débat politique dans plusieurs pays d'Afrique dont les dirigeants font face à plus ou moins brève échéance à l'obligation de céder la place. Scénarios similaires au Rwanda au Burundi et en RDC Outre au Congo, cette question se pose ou s'est posée en République démocratique du Congo voisine, au Rwanda, ou le Parlement vient de donner son feu vert à une révision constitutionnelle qui permettrait au président Paul Kagame de se représenter en 2017, et au Burundi, en proie à la violence depuis que le président sortant, Pierre Nkurunziza a décidé de concourir à la présidentielle, reportée au 21 juillet. Censé quitter le pouvoir fin 2016, le président de la RDC, Joseph Kabila, réfléchit lui aussi à l'opportunité qu'il y aurait à convoquer un "dialogue national" en vue d'"élections apaisées". Source L’EXPRESS.fr avec AFP *** Congo: le "dialogue national" ouvre la voie à une nouvelle candidature de Sassou Nguesso 2/3 Congo-Brazzaville : Sassou Nguesso organise son maintien au pouvoir Écrit par Administrator Samedi, 18 Juillet 2015 14:16 - Mis à jour Samedi, 18 Juillet 2015 14:26 Le "dialogue national" nouvelle président constitution Denis Sassou qui Nguesso sur permettrait l'avenir a ouvert au des chef institutions la de voie l'État vendredi en de République se représenter àréalités la tenue d'un Congo en 2016. référendum voulu par sur le une A candidat, ce moins forum d'un -Congo, un a qualifié dirigeant an de de prochaine conclusions la plate-forme présidentielle, de regroupant "coup d'État à laquelle l'essentiel constitutionnel". M. Sassou de l'opposition ne peut -Sibiti en qui l'état avait être boycotté Les l'ouest maximal un chef quelques de de pour Brazzaville) l'État. centaines les candidats se de sont délégués àburkinabè la prononcés présidentielle, ayant pour participé une ni restriction nouvelle au "dialogue du constitution nombre national" de sans mandats à limite (250 autorisés d'âge km à Après Ouagadougou permis coeur plus ou du la de moins chute débat briguer brève en du politique octobre un président échéance nouveau dans pour plusieurs mandat, àavoir l'obligation tenté Blaise pays question une d'Afrique Compaoré modification céder de la lacentrale place. révision chassé constitutionnelle dont du des pouvoir les lois dirigeants fondamentales par qui lelui peuple font aurait face est àau àau Outre voisine, constitutionnelle Burundi, concourir au au en à Rwanda, la proie présidentielle, qui cette à lases permettrait ou violence question le Parlement reportée depuis au se président pose vient au que ou 21 le de s'est juillet. Paul président donner posée Kagame son sortant, en feu République de vert se Pierre représenter àadu une Nkurunziza démocratique révision en 2017, a décidé du et Congo de Censé à l'opportunité quitter le qu'il pouvoir youvert aurait fin à2016, convoquer le président un "dialogue de la RDC, national" Joseph en Kabila, vue d'"élections réfléchit actuellement A concilierait culturelles national" suite Sibiti, qu'il "une qui entend de "les s'était forte notre valeurs donner majorité universelles à lundi. selon ces s'est recommandations. Ildégagée le appartient communiqué de la démocratie en désormais faveur" final d'un lu et publiquement au les "changement président politiques, Sassou à de l'issue constitution" de sociales du décider "dialogue qui de Adoptée suprême président s'il du 2002, a pays. plus la de Constitution 70 ans et limite congolaise à deux stipule le nombre que de nul mandats ne peut être que candidat peut assurer àapaisées". laêtre fonction le -rencontre "Egos dominés" -pays", Âgé l'époque de 72 du ans, parti M. unique, Sassou de cumule 1979 jusqu'aux plus de trente élections ans à pluralistes la tête du de pays. 1992, Il a qu'il dirigé a perdues. le Congo ààla Revenu et réélu en au 2009. pouvoir en 1997 à l'issue d'une violente guerre civile, il été élu président en 2002 La ou adoptée Constitution au Parlement, par référendum. stipule mais que que l'initiative dans le cas de où sa le révision président appartient en est à concurremment l'origine, celle-ci au doit chef de l'État "Ce par le qui président vient de Sassou se passer, Nguesso", c'est la concrétisation du coup d'État constitutionnel décidé démocrate congolais (PSDC), au nom a du déclaré Frocad. Clément Miérassa, président du Parti social Accusant le président de vouloir plonger le pays dans le "chaos", M. Miérassa a estimé de la " responsabilité" de l'opposition "d'œuvrer par des voies pacifiques et démocratiques pour arrêter ce coup d'État". "Au de mentalités", dessiner cours de une nos autre débats, architecture nous sommes politique parvenus qui tienne à dominer compte nos de égos l'évolution dans le de seul nos but de Sibiti. a estimé à l'inverse André Obami Itou, président du Sénat et des travaux de la Représentant d'une "opposition républicaine" Anguios sa part qu'il Nganguia ne s'était Engambé, malheureux ayant lafait présidentielle le choix de de participer 2009 aaucun au déclaré pour consensus" "dégagé .dialogue, rapport sur la réforme descandidat institutions. Je pas seul le faire" "J'ai rejeté ,le a-t-il ajouté. La fortement consolidation d'une France, rencontre implanté, ancienne des avec institutions" avait M. affirmé en coloniale le àAfrique, l'Élysée. 7 juillet du par "son Congo, la n'étais attachement voix du le président groupe à la àpréservation François pétrolier français Hollande, et à la Total à l'issue est Sibiti (Congo) (AFP) -puissance ParSassou Laudes Martial MBON - ©àoù 2015 AFP {jcomments on} 3/3