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TYPOGRAPHIE & CINÉMA : L’ÉVOLUTION DU GÉNÉRIQUE Romain Steinmann 1 INTRODUCTION Les interactions entre l’image, le son et le texte sont aux fondements du cinéma. L’écrit est présent dans les génériques, dans les cartons, sous forme de sous titres et d’une myriade de mentions diégétiques. Le texte est présent dans les livres, la presse, les affiches et les supports publicitaires et aussi sur les écrans. À travers cet article, nous aborderons la typographie à travers le média, le cinéma tout en nous reportant sur le travail et la réflexion de Lionel Orient Dutrieux à travers son ouvrage Typographie & Cinéma. Typographie & cinéma : l’esthétique du texte à l’écran1 est un livre qui est sorti le 12 octobre 2015, se concentre sur l’interaction entre l’image, le son et le texte au cinéma. Ecrit par le graphiste et monteur Lionel Orient Dutrieux, son premier ouvrage est adapté de son mémoire de fin d’étude, nous offre son point de vue sur l’apport de la forme du texte au cinéma. Il s’intéresse aux rôles et caractéristiques du flux textuel, ainsi qu’aux conditions culturelles et techniques de l’usage du texte à l’écran. Dutrieux se concentre sur la typographie de la page à l’écran, sur le signal textuel, sur les caractéristiques et les rôles du flux textuel et il conclue sur le contexte externe. C’est dans ce dernier chapitre qu’il évoque l’art du générique et se sera mon point de départ concernant la rédaction de mon article. L’auteur évoque toute la nouvelle génération de designers qui sera alors reconnue comme Maurice Binder, Robert et Richard Greenberg, Wayne Fitzgeralg et Kyle Cooper. 2 Il évoque des anecdotes sur l’apparition de cette nouvelle forme du générique qu’à connu les années 50-60 car la télévision est entré dans les foyers américains et pendant 10 ans, le cinéma outre-Atlantique à perdu 75% de son public. Les producteurs ont alors réagi et certains se sont associés avec de grands graphistes comme le célèbre Saul Bass et Pablo Ferro. Notre problématique se focalisera sur l’évolution du générique dans les années 50-60 qui marque un réel changement dans le monde du cinéma et cette dévolution est encore présente aujourd’hui. Quels sont les moyens et les nouvelles techniques graphiques dans la conception de générique pour attirer le public ? LE GÉNÉRIQUE Après avoir longuement étudier la typographie de la page à l’écran, le signal textuel ainsi que les différentes caractéristiques et rôles du flux textuel dans son essai, Lionel Orient Dutrieux s’intéresse à la typographie sur grand écran. Ce chapitre est important et captivant dans notre étude sur les génériques. Le générique est inhérent dans la composition d’un film ou d’une vidéo. Ces séquences peuvent être simplement informatives avec un choix de typographie classique, généralement blanche sur un fond noir, mais certaines d’entre elles deviennent graphiques et plastiques ce qui rend le générique unique. Certaines compositions sont tellement créatives qu’elles restent gravées dans les esprits du public, on pense notamment à l’ouverture du film de Steven Spielberg Arrête moi si tu peux en 2002. Le couple de graphistes parisien, Kunztel & Deygas, ont été choisit par le réalisateur pour créer un visuel dynamique et le résultat est tout simplement brillant. Des silhouettes animées noires et stylisées, une typographie qui se transforme où les jambages deviennent des éléments de décor, une musique jazzy et des fonds colorés qui donnent à l’ensemble un esprit très 60’s. Le but était simplement d’immerger le spectateur directement dans l’ambiance « American Dream » en respectant 3 les codes très Pop, caractéristiques de ces années là, une gageure respectée. Il est vrai que certains génériques se veulent créatifs mais d’autres choisissent la simplicité, une simplicité assumée et élégante comme nous le mentionne Alexandre Tylski dans ses nombreuses études consacrée aux génériques, notamment sur sa chronique au sujet des ouvertures des films de Woody Allen. « 1973, naissance du générique «à la Woody Allen» : la police de caractère Windsor, élégante comme un livre, le noir et blanc et le « racktime » comme dans les films d’antan, tout est fait pour vous installer confortablement. »2 Tous les génériques de ce réalisateur New Yorkais ne sont pas traités de la même manière mais il est intéressant de souligner que certaines ouvertures peuvent devenir une marque, une signature. Ce fut le cas pour les films d’Hitchcock avec Saul Bass et avec Maurice Binder pour la série des James Bond. Il n’est pas anodin de mentionner ces grands noms du graphisme qui ont joués un rôle essentiel dans l’évolution du générique. Un petit retour en arrière s’impose. Revenons à l’ouvrage Typographie et Cinéma de Dutrieux, ce dernier nous explique le contexte externe ainsi que l’art du générique. « La télévision força le cinéma à se réinventer. «Entre 1947 et 1957, le cinéma américain perd 75 % de son public au moment où les familles se retranchent dans leur salon de banlieue pour regarder la télévision et faire des enfants» explique Peter Hall. Le cinéma devient un passe-temps de moins en moins habituel surtout lorsque des chaînes comme Home Box Office (HBO qui servira de modèle à Canal+) diffusent des films en continu. Avant les années 1960, les gens allaient au cinéma, peu importe peu importe le film. En réaction, Hollywood améliora la qualité des productions, apportera la couleur, le CinémaScope et la 3D (relancée fin des années 2000), plus tard, la 4D, et, par ailleurs, promut efficacement les films en ciblant précisément son public. […] Mais dès les années 1930, les génériques sont déjà bien plus qu’une simple liste de noms, ils sont construits dans des studios spécialisés tel Pacific Title and Art Studio et par des artistes graphistes « qui ont pour tâche d’établir l’ambiance du film ou de le compléter par des informations complémentaires », constate Adam Lee Davis. […] Dans les années 1960, une nouvelle génération de designers sera reconnue pour son travail sur l’entame de film comme Friz Freleng, Maurice Binder, Robert et Richard Greenberg, Wayne Fitzgerald et Kyle Cooper. Se distinguent les génériques de deux graphistes ayant d’abord travaillé pour le petit écran : Saul Bass et Pablo Ferro. Tous deux vont travailler avec des réalisateurs comme Stanley Kubrick, Otto Preminger et Alfred Hitchcock. »3 4 Cet extrait de l’analyse de Dutrieux amène à notre deuxième partie où nous concentrons sur ces évolutions connu le cinéma avec des génériques créatifs et remarquables. nous nous qu’à plus LA TYPO À L’ÉCRAN Maurice Binder n’est pas seulement le réalisateur officiel des génériques de James Bond. D’abord designer dans la publicité, Binder est engagé par les Majors et réalise son premier générique en 1957 pour Robert Altman avec L’histoire de James Dean . Mais c’est son duo avec Stanley Donen qui le propulse comme concurrent direct avec Saul Bass. Il réalise pour Donen le générique fleuri d’ Indiscret , les spirales éblouissantes de Charade, les effets synétiques de Arabesque ou les signaux de Voyage à deux. Nous retrouvons les analyses d’Alexandre Tylski4 qui introduit notre étude sur l’évolution du générique ainsi que la place de la typographie sur le grand écran. Il poursuit avec Saul Bass : 5 Générique de Indiscreet (Stanley Donen, 1958) conçu par Maurice Binder «Pour beaucoup de cinéphiles, cinéastes ou de graphistes, toutes générations confondues, le plus grand réalisateur de génériques de films, c’est Saul Bass»5. Casino, The Age of Innocence, Cape Fear, Walk on the Wild Side, West Side Story, Spartacus, Ocean Eleven, Psycho, North By Northwest, Anatomy for Murder, Vertigo…. Cette liste non exhaustive nous montre le talent et le génie qu’est Saul Bass dans la conception et la création d’ouvertures de films. Né à New York en 1920, ce dernier débute dans la publicité. Il est vite repéré par Howard Hawks puis Otto Preminger, d’abord comme créateur d’affiches de films et de festival puis de générique de films et de séries télé ou encore comme consultant visuel sur Psychose, Spartacus, ou Grand Prix. Il est vrai que le cinéma des années 60 sont marquées par la créativité débordante et magique des graphistes qui proposent des ouvertures incroyables, des petit bijoux cinématographiques qui sont de véritables œuvres d’art. Comme nous l’avions mentionnez plus haut, le rôle premier du générique est avant tout informatif et la typographie joue, elle aussi, un rôle décisif. En premier lieu, prenons exemple avec le générique du film d’Hitchcock, Psychose (1960), conçu par Saul Bass, encore lui. Quelques génériques conçus par Saul & Elaine Bass 6 Générique de Psycho (Alfred Hitchcock, 1960) conçu par Saul Bass Le générique nous plonge dans une atmosphère où notre cœur bat au rythme de cette musique frénétique d’entrée de jeu. Ce générique d’ouverture appartient à la catégorie des génériques «non-figuratif» car il comprend uniquement un texte et un fond abstrait. Le générique tire sa force dans sa composition linéaire horizontale et verticale qui le rend dynamique. En effet, celles-ci vont et viennent, de droite ou de gauche, du bas ou du haut et même du milieu. Elles suivent le rythme de la musique de Bernard Herrmann et renforce l’idée de dualité du personnage de Norman Bates que l’on retrouve tout le long du film. De plus, ces mouvements de va et vient symbolisent également la fuite de l’héroïne. On peut voir le contraste très affirmé des lignes qui traverse l’écran. La typographie s’en retrouve même impactée par ces «hachures». En effet, certains noms se forment ou se déforment au travers de ces lignes. Ces dernières mettent en avant le noms des 7 acteurs et les font exister. C’est comme si ces lignes étaient indissociables à la formation du nom, car réunies entre elles, elles ne forment plus qu’un. Elles sont donc comme un indice de l’intrigue principale du film et révèlent donc subtilement et inconsciemment la schizophrénie du personnage auquel on aura à faire durant le film. De plus, ces caractères scindés en plusieurs morceaux peuvent faire penser à des coups de couteau, que les lettres ont eu le même sort que l’héroïne sous sa douche ! Saul Bass a choisi une typo franche et solide, une linéale qui amène une harmonie avec ces lignes grises en mouvement. Il s’agit de la fonte Venus, créée par Johann Christian Bauer en 19076. Elle correspond tout à fait aux moeurs de l’époque. En effet la typographie dans les années 60 prônent la simplicité, la sobriété et surtout la lisibilité dans les créations graphiques. Ces caractères suisses créés au début du XXème siècle y trouvent une certaine résonance car on retrouve la Futura (1927 créée par Paul Renner) dans l’innovante publicité de Volkswagen et pour la conquête spatiale américaine en 1969 où on retrouvera ces caractères élégants sur la navette qui s’est posée sur la Lune. Ces lettres qui reprennent les courbes et les angles des formes géométriques laissent aussi place à des caractères moins précis mais tout aussi agréables. Prenons comme exemple le générique du film de Stanley Kubrick, Docteur Folamour de 1964, conçu par Pablo Ferro. A 80 ans, Pablo Ferro est le doyen des réalisateurs de génériques de films. Stanley Kubrick le considérait comme un génie. En 1963, Ferro convainc Kubrick d’utiliser des images d’archives pour érotiser un bombardier nucléaire et exploser la taille habituelle des mentions à l’écran contre toutes les normes en vigueur. Une typographie manuaire, fine, fragile, enfantine, alors qu’à l’écran menace une guerre atomique. Cette typo élancée va devenir la signature de Pablo Ferro tout au long de sa carrière. On la retrouvera aux ouvertures de certains films tels que La Famille Adams, Men In Black…7 La typographie dans les génériques de Pablo Ferro est toujours mise en valeur grâce à des choix de couleurs audacieux et à des effets de lueurs étonnants. 8 Générique de Dr Strangelove (Stanley Kubrick, 1964) conçu par Pablo Ferro Il y a même un lien entre Ferro et Bass. En effet, en 1998, le réalisateur Gus Van Sant, avec lequel il a déjà collaboré, lui demande de concevoir le générique du remake de Psychose. Ce remake reprend les mêmes cadrages, plan par plan, les mêmes dialogues, les mêmes mouvements de caméra… donc Pablo Ferro reprend exactement la même animation créée par Saul Bass 40 ans auparavant. On retrouve donc ces lignes qui scindent la typo et qui glissent au rythme de la musique de Bernard Herrmann. Générique du remake de Psycho (Gus Van Sant, 1998) conçu par Pablo Ferro Tout exactement pareil ? Pas vraiment. Hitchcock avait choisi de tourner son film en noir & blanc pour rendre le film moins violent aux yeux des spectateurs (et aussi pour satisfaire les exigences de la censure de l’époque), mais dans les années 90, les moeurs et les envies du public ont biens changés. Van Sant choisi la couleur (des couleurs souvent criardes qui enlève cette atmosphère pesante et glauque qu’ont retrouvait dans la mise en scène d’Hitchcock). Ferro abandonne le gris terne de Bass pour le remplacer avec un vert intense et fluo, une couleur qu’on retrouve dans certains de ses génériques, comme celui de To Live and Let Die in L.A. en 1985. 9 La typographie sur grand écran, comme nous l’explique Lionel Orient Dutrieux, connait des choix et des contraintes. « L’art de choisir la bonne typographie dépend de nombreux paramètres qui sont parfois subjectifs […] Des collections de milliers de familles de caractères sont disponibles, en plus des caractères dessinés chaque jour pour des projets spécifiques ». Le calligraphe belge Georges Antoine a travaillé depuis la fin des années 1920 jusqu’en 1986, date de sa mort, sur des intertitres de films muets puis des génériques pour le cinéma et la télévision. Il dessinait des lettres à la plume, sur carton, mais aussi, de plus en plus sur cellophane, ce qui permettait de varier les arrière-plans. Le travail était rapide car la création du générique est généralement la dernière étape, précipité, de la chaîne de fabrication d’un film. Les erreurs étaient courantes, tels les noms manquants ou mal orthographié. Pour le cinéma, le choix typographique s’effectuait avec le réalisateur. Pour la télévision, Georges Antoine choisissait lui-même les caractères sur la base du contenu et du ton du film.8 10 Viennent ensuite des questions d’assemblage et de lisibilité voire de visibilité dans le cas d’une affiche, c’est-à-dire de tout ce qui révèle du contexte interne à la composition. C’est pourquoi les graphistes se limitent habituellement à une famille de caractères par projet. Enfin, connaître le contexte externe de la composition permet de réduire et cibler la polysémie. Les nécessités publicitaires, comme le ciblage d’un public, sont souvent prioritaires esthétique. Pour le générique de Tetro (Francis Ford Coppola, 2009) le choix du caractère est le fruit de plusieurs discussions avec le réalisateur. Roman Coppola a filmé des plans de lampes à incandescence et Stephen Faustina s’est chargé d’agencer le texte et images. Finalement, Stephen a choisi le Sabon, un caractère classique et élégant créé par Jan Tschichold. 9 Ce genre de choix pousse les graphistes et les réalisateurs à être le plus inventif possible pour séduire et proposer au public, une vision du titrage originale et inédit. Recherches par Stephen Faustina d’un caractère pour le générique de Tetro (Francis Ford Coppola, 2009) et rendu final avec le caracrtère Sabon. 11 ÉVOLUTIONS Grâce au numérique et aux nombreuses évolutions techniques, le multimédia devient un médium inhérent dans la création de génériques. Avec le numérique, une nouvelle manière d’animation est apparue, le Motion Design. Aola Boileau, directrice artistique, et Kook Ewo, créateur de génériques de films, réalisateur et enseignant de la section Motion design aux Gobelins, expliquent que la notion de Motion Design est souvent mal employée. 10 « Le « Motion Design » (abréviation de « Motion Graphics Design ») est l’art de donner vie au graphisme par l’animation. Ainsi des caractères typographiques statiques entrent dans le monde du Motion Design dés lors qu’ils s’animent, de la même façon, on peut animer des formes graphiques simples ou aider une photographie à reprendre vie. On peut également créer un monde à partir d’il- 12 lustrations, utiliser une vidéo comme support graphique et même créer un univers 3D. Mais alors où se trouve la limite entre le film d’animation et Motion Design ? Bien que cette limite reste encore floue, on la situe dans le fait que le film d’animation traditionnel met en scène une histoire dont les personnages s’expriment. Le Motion Design peut lui aussi symboliser des personnages mais ceux-ci ne s’exprimeront pas directement. » A travers cette citation, on peut illustrer ces propos avec des génériques récents comme le frénétique Crazy Enough pour le Vancouver Film School crée par l’étudiant Jorge R. Canedo Estrada à travers son programme de Digital Design. Des carrés dansent et se bousculent sur le rythme enjouée d’une guitare. La typo, linéale, qui mentionne tous les acteurs du projet, accompagne cette admirable agitation. L’arrivée du numérique à littéralement explosé cet art qui existe maintenant depuis plus d’un siècle car il est apparu en même de temps que le cinéma avec ces cartons qui se sont animés dans les années 40 pour se transformer en logo qu’on retrouve dans les nombreux habillages à la télévision. bial et qui ont connu une évolution avec la 3D et le Flat Design, des motions réalisés par Morgan Villette ou encore par le studio Naked pour certaines émissions de la chaine cryptée, les génériques de série comme Mad Men, qui rend hommage au travail des grands noms des graphistes des années 50/60… Ces 15 dernières années, le motion connait une évolution sans précédent : le générique de Seven, conçu par Kyle Cooper, Arrête moi si tu peux, déjà mentionné plus haut dans cet article, les habillages de Canal+ qui ont été réalisés au départ par Etienne Ro- Grâce à Internet et aux logiciels d’animation, le motion devient populaire et surfe sur les tendances du graphisme et les font connaitre au grand public par le bais de la télévision, du cinéma… Habillage pour l’émission Le Petit Journal (Canal+, 2013-2014) conçu par Morgan Villette 13 CONCLUSION Le générique est toujours aussi populaire et innovant. Depuis les débuts du cinéma, la télévision et aujourd’hui, Internet, ces animations graphiques n’ont pas l’air de s’achever. L’utilisation massive du numérique pour la création de vidéos ne cesse de grandir et certains réalisateurs réutilisent d’anciennes méthodes d’animation pour retrouver la véritable essence de l’animation pour leurs créations. Quant à la typographie, les caractères eux aussi évoluent et accompagneront toujours la video dans le génériques et dans d’autres médias. Aujourd’hui, l’image est solidement ancrée dans notre culture et le motion/générique accompagnera, pour longtemps, nos futurs « loisirs visuels ». Romain Steinmann - décembre 2015 14 RÉFÉRENCES 1: Typographie et Cinéma : Esthétique du texte à l’écran de Lionel Orient Dutrieux Atelier Perrousseaux Editeur - 2015 2: Chronique d’Alexandre Tylski sur les génériques des films de Woody Allen (Arte) 3: Typographie et Cinéma : Esthétique du texte à l’écran de Lionel Orient Dutrieux Chapitre : Le Contexte externe - L’art du générique p 98 4: Chronique d’Alexandre Tylski sur les génériques de Maurice Binder (Arte) 5: Chronique d’Alexandre Tylski sur les génériques de Saul Bass (Arte) 6: Typographie et Cinéma : Esthétique du texte à l’écran de Lionel Orient Dutrieux Chapitre : Liste de titres de films & leurs typographies p 119 7: Chronique d’Alexandre Tylski sur les génériques de Pablo Ferro (Arte) 8: Typographie et Cinéma : Esthétique du texte à l’écran de Lionel Orient Dutrieux Chapitre : La typographie sur grand écran - Le choix et les contraintes p 76 9: Typographie et Cinéma : Esthétique du texte à l’écran de Lionel Orient Dutrieux Chapitre : La typographie sur grand écran - Le choix et les contraintes p 80 10: Article «Le Motion Design, c’est quoi ?» du site tbwa-corporate.com 15