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Les bonnes
pratiques
d’arrosage
Chaque geste compte afin de préserver l’eau.
Pour limiter l’arrosage, la priorité doit être donnée au choix
des plantes peu gourmandes en eau, au paillage ainsi qu’à
un travail du sol adapté tel que le binage.
Quand l’arrosage est vraiment nécessaire, orientez-vous vers
des pratiques les plus respectueuses possibles.
Récupérez l’eau de pluie
Cette pratique est particulièrement
adaptée pour l’arrosage du jardin.
Le choix du stockage de votre
cuve aérienne est fonction de
votre surface d’arrosage.
Cette eau possède l’avantage
d’être généralement à température ambiante, cela évite un
choc thermique, préjudiciable
aux plantes.
C’est une eau très faiblement
minéralisée.
La micro-irrigation
Le goutte-à-goutte ou les tuyaux microporeux
apportent directement l’eau au pied des plantes
d’une manière douce et régulière.
La micro-aspersion permet un arrosage
circulaire en pluie fine à différentes
hauteurs.
Ces techniques limitent le
tassement des sols (battance),
phénomène lié à une aspersion
puissante.
Quelques chiffres
En moyenne, un tuyau
microporeux débite 9 litres
par mètre linéraire et par
heure.
Un goutte-à-goutte
représente environ 4 litres
par heure.
En utilisant un programmateur,
l’arrosage peut facilement se
pratiquer la nuit.
L’agencement des massifs doit
prendre en compte ce type
d’arrosage pour faciliter
notamment les branchements
et l’acheminement de l’eau.
Conseils
Il ne faut pas sur-arroser
Le stress hydrique permet chez la plupart des plantes une stimulation de la
floraison et un meilleur enracinement.
Synergie communication - TMC - Noveprint
Traquez les fuites
Surveillez régulièrement vos branchements et pensez à bien refermer vos
robinets.
Avec la participation de
www.vendee-eau.fr
Le service public
de l’eau potable
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