les textes des élèves - Ecole Frédéric Mistral

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les textes des élèves - Ecole Frédéric Mistral
La porte des ténèbres
Je ne savais pas si je devais y aller, peut- être que cette personne avait besoin d'aide car ce cri semblait être un cri de souffrance.
Finalement je me suis décidé à y aller, d'abord j'ai tâtonné afin de voir si ce n'était pas une illusion puis je me suis lancé. J'ai eu
très peur mais j'étais déterminé. Ce couloir semblait être des ténèbres sans fin, des milliers de portes croisaient mon chemin mais
je n'osais pas les ouvrir, je suivais juste ce gémissement mystérieux.
Soudain j'aperçus une porte ornée d'or, très jolie. Je l'ai ouverte et là je fus pris de joie. Derrière cette porte, il y avait des
papillons, des fleurs qui sentaient bon. Tout était parfait, une légère brise me chatouillait le visage, le soleil brillait et ses reflets
scintillaient sur une magnifique rivière.
Mais le bonheur ne dure pas longtemps, j'avais aperçu enfin ce personnage qui lançait ces cris de souffrance. C'était un petit
garçon, je couru vite à son secours. Il était en train de se noyer, je plongeai dans l'eau, je pataugeai, je nageai, je le sortis de l'eau.
J'avais réussi à le sauver. Soudain il bondit sur moi et me demanda :
-Es-tu Arthur Ivris ?
- Ma mère m'a dit que ce serait le prénom de mon frère.
- Oui ! Lui répondis-je tout étonné.
- Ouah! c'est super je suis ton grand frère, Samuel !
Tout à coup l'émotion me vint, je me mis à pleurer. Je ne comprenais pas ce qui ce passait, je fus pris de frissons. Je lui demandai
alors de tout m'expliquer :
- Il y a quelques années, ma mère, mon père et moi, nous sommes allés dans ce monde merveilleux. Après un long moment, nous
voulions regagner la maison mais la porte s'était refermée. Soudain un merveilleux labrador est arrivé. Je lui ai couru après mais le
chien est allé se baigner dans la rivière, je l'ai suivi et j'ai trébuché, je suis tombé dans l'eau et je me suis noyé. Mais puisque le
destin était ainsi, je suis resté bloqué dans une noyade interminable. Ma mère ne pouvait pas me secourir puisqu'elle était enceinte
de toi et mon père disait « Il vaudrait mieux qu'il meurt noyé plutôt qu'il meurt de faim! » puis il est partit nous ne l'avons plus
revu. Ma mère a réussi à s'enfuir tandis que moi, je suis resté là.
- Comment cela se fait que tu es resté jeune ?
- Parce qu'ici le temps s'est arrêté.
- Tu ne sais pas comment sortir d'ici ?
- Non
Alors tous deux, nous sommes partis à la recherche de cette sortie. Nous avons cherché partout mais lui et moi savions que ce
serait très difficile. Au fond je ne faisais que le rassurer car c'était impossible. Soudain Samuel m’appela. Il disait avoir trouvé un
mot qui avait l'air de dater de très longtemps et qui était signé « Maman ». Il l'avait trouvé sous une pierre, dans la forêt. Il était
écrit « Seul l'amour vous sortira de cette aventure ».
L'amour qu'est ce que cela voulait dire. Lui et moi nous ne le savions pas.
Tout à coup une grande porte apparut devant nous.
- Mais oui ! L'amour, l'amour familial ! Dis-je.
Nous avons commencé à pleurer. Puis nous sommes repartis dans le couloir. Après une grande recherche je n'ai finalement pas
retrouvé mon père mais Samuel, lui, avait retrouvé sa taille normale. Ma femme et moi, nous avons dépensé beaucoup d'argent
pour condamner ce couloir et reconstruire l'autre partie de la maison, mon frère et moi sommes uni comme les deux doigts de la
main. Nous sommes heureux en famille.
Voici la morale de mon dernier roman : Seul l'amour crée la force et l'union.
Sarah Belmeguenai
La porte des ténèbres
Je ne savais pas si hallucinais ou si je rêvais. J'étais mort de peur, je savais bien que ce n'était pas un rêve. J'hésitais encore à
avancer de peur de ne pas pouvoir revenir.
Je fis demi-tour et descendis dans la cuisine pour dîner avec ma mère qui m'attendait avec impatience. Je décidai de ne rien lui
dire pour ne pas l'effrayer. La nourriture avait l'air bizarre il y avait des épinards tout durs et ça ne sentait pas très bon. Le poisson
était au contraire tout mou comme si elle avait inverse les recettes mais bon, ça ne m'étonnait pas d'elle. Je finis par tous manger
en me forçant. Après le dîner je suis allé dans ma chambre pour me coucher mais je n'arrivais pas à m'endormir. Ce couloir
m'intriguait, c'était comme s'il m'appelait.
J'ai alors ouvert le placard mais j'étais toujours mort de peur. J'avais oublié un détail, dans le couloir il faisait tout noir. Je pris une
lampe torche avec moi. Il y avait des peluches volantes et plein de jouets pour enfants.
Soudain derrière moi la porte s'est refermée et je me suis retrouvé seul dans ce tunnel.
Je tremblais de peur et je bougeais dans tout les sens je me demandais si je retrouverais ma famille.
C'était étrange je n'entendais plus le gémissement m'appeler. C'était comme un trou noir, pas de bruit, personne, à part les
peluches volantes.
J'ai commencé à m'avancer et toujours rien.
Au loin, j'ai soudain vu une lumière scintiller et tout à coup j'ai senti que je volais, comme les jouets.
Cela m'a effrayé, j'ai crié mais aucun son n'est sorti comme si je criais dans le vide, c'était très étrange. Quand je me suis approché
de la lumière j'ai vu un enfant mais avec une longue barbe. Il était endormi.
Il avait l'air inconscient mais soudain il ouvrit les yeux et là, j'ai ressenti quelque chose que je n'avais jamais ressenti. J'etais en
train de rétrécir.
Je me disais que ce garçon était un magicien ou un sorcier! Je paniquais, je criais dans le vide. Le garçon me calma. Il a
commencé a m'expliquer comment était il arrivé ici. En fait, il n'était jamais arrivé ici, il est né ici.
Je lui ai posé plein de questions.Il m'a dit que ce tunnel était ensorcelé. « Il détruit toutes les personnes qui y entrent! »
Sans parler plus avec ce garçon, je me mis à courir vite vers l'armoire et je ressortis.
Je descendis voir ma mère et lui demandai pourquoi elle avait rétréci.
Elle m'a alors tous raconté :
Samuel n'était pas mort dans le lac mais dans ce tunnel il y a près de deux ans.
Ma mère avait essayé de le sauver mais elle était restée si longtemps dans ce placard qu'elle avait rétréci. Samuel l'avait alors
découverte. J'étais déçu! J'allais lui mentir sur tout ce qui s'était passé. Depuis j'ai arrêté mon métier, j'ai quitté ma femme et je
garde ce secret.
Amone Carme
La porte des ténèbres
Je passai ma tête dans le couloir, j'entendis plein de petits bruits, le couloir me paraissait infini.
Alors je suis allé chercher une lampe dans le grenier en essayant de ne pas croiser ma mère pour éviter qu'elle pose des questions.
Revenu dans ma chambre j'ai hésité longtemps avant de rentrer dans le couloir.
J'avais l'impression de marcher dans le vide. Le couloir, à mon grand étonnement, sentait très bon comme le parfum de plein de
fleurs mélangées entre-elle. Je marchai, marchai sans cesse, j'entendais plein de petits bruits, comme le clapotis d'une rivière, tout
en respirant cette odeur délicieuse. Quand tout à coup, j'aperçu une belle porte ornée d'or, le gémissement et les bruits venaient
d'ici. Je suis entré tout tremblant. Il y avait plein de fleurs, d'arbres, une rivière. Soudain j'e vis un enfant courir derrière un
labrador. J'ai tout de suite pensé que c'était mon frère. Je me suis élancé pour le sauver avant qu'il ne tombe dans la rivière. Je l'ai
attrapé.
Je l'ai emmené voir ma mère et mon père que j'avais aperçu. J'ai demandé à ma mère de m'expliquer pourquoi elle avait rapetissé.
Elle ma répondu que quand on entre dans le couloir on ne grandit plus et si on y reste trop longtemps on rapetisse. Puis elle m'a dit
que le couloir remontait le temps mais on ne rajeunit pas. « C'est pourquoi, quand Samuel sortira du couloir il redeviendra ce qu'il
aurait du être: ce couloir avait été créé afin que tu puisses sauver ton frère et le connaître. » J'avais encore plein de questions.
Pourquoi mon père n'était-il pas à la maison et qu'il était là à présent ? Pourquoi ne m'avait-elle pas parlé du couloir avant ?
Je me suis retenu de les lui poser. Je décidai de lui parler plus tard. Nous sommes tous sorti du couloir sauf mon père. Je ne sais
pourquoi. Je repensai à mon roman, je l'avais complètement oublié avec toute cette histoire. L'histoire que j'avais vécu m'inspira
beaucoup.
Je demandai à ma mère pourquoi mon père n'était pas venu. Elle me répondit qu'il avait essayé d'aller dans la partie droite de la
maison et que tout c'était effondré et que maintenant plus personne n'y était retourné après le drame. Je dis « Et bien moi, j'irai
dans la partie droite de la maison ! » «Non, non» me dit ma mère affolée. Pourquoi n'irai-je pas ? dis-je étonné. Parce que je ne
veux pas qu'il t'arrive malheur, dit-elle frustrée.
« J'irais quand même, je serai prudent » dis-je, déterminé.
Je partis et laissai ma mère et Samuel seuls. J'allai à la porte qui donnait sur la partie droite de la maison.
J'ouvris la porte et je vis un grand laboratoire. Il y a avait plein de machines et de produits. Dans un coin de la pièce il y avait un
homme, il ressemblait étrangement à mon père. J'ai vu une fiole verte kaki. On aurait dit une grande invention. J'ai alors crié
« Pourquoi vous m'avez caché tout ça ?» « Non, n'ouvre pas cette porte!» «pourquoi ça» « parce que si tu l'ouvres le monde des
morts et le monde des vivants seront réunis !» « Mais tu es vivant, tu me parles » ; « Non je suis mort ! L'histoire que ta mère t'a
raconté est vraie, maintenant ferme cette porte s'il te plaît !» «D'accord » dis-je surpris.
Je fermai donc la porte avec regret. Je me retournai et descendis les escaliers pour voir ma mère et mon frère. Mais j'avais laissé la
porte un petit peu trop longtemps ouverte et certains hommes et femmes étaient revenus à la vie.
J'étais tellement fatigué que je suis allé m'affaler sur mon lit.
Le lendemain matin, mon téléphone sonna. C'était ma femme. Elle me demandait si tout allait bien. Elle me dit aussi qu'elle
rentrait bientôt. Comment lui expliquer que Samuel était toujours en vie? Les jours passèrent et ma femme rentra. Je lui expliquai
toute l'histoire et elle me dit alors : « c'est pour ça que mon amie qu'on croyait morte est vivante ?»
On rentra chez nous et je pus envoyer mon texte à mon éditeur. Voilà mon histoire est finie et je regrette de ne pas avoir laissé la
porte plus longtemps ouverte car mon père aurait pu revenir à la vie, peut-être aussi que d'autres amies de ma femme auraient pu
revenir à la vie, et ça aurait été beaucoup plus de pagaille à la maison. Depuis, ma mère vient me voir tout les dimanches avec
Samuel et nous parlons de ce couloir.
Lilou Ravis
La porte des ténèbres
Plus je me rapprochais, plus j'avais peur. Le couloir était si long que je courais pour aller au bout mais il ne finissait jamais.
Tout à coup la porte du placard se ferma, j'ai senti une main me toucher et une vieille voix grave et effrayante au fond du couloir
m'appeler.
Je me suis approché et une voiturette d'enfants s'est mise à rouler dans le couloir. J'ai commencé à la suivre lorsque j'entendis
encore cette voix mais plus douce, comme si elle était plus jeune.
Tout à coup quelqu'un me fit un croche-pied, j'avais la sensation de me faire taper et j'ai vu une ombre apparaître en train de
courir.
Je me suis relevé et la douleur fut si forte que je crus avoir la jambe cassée.
Il y avait plein d'araignées partout.
D'un coup la voiturette s'arrêta et me dit « Tu veux voir ton grand frère Samuel ?» Je lui répondis : « Je ne sais pas ».
La voiturette disparut.
C'était vraiment un endroit sombre et sinistre, il y avait des rats, des chauves souris, des araignées poilues et sales.
Tout à coup une lumière s'alluma, on aurait dit qu'elle m'appelait. J'avançai toujours, en boitant, et j'atterris dans une forêt sinistre,
je me crus dans un film d'horreur.
Il y avait des loups morts, des cimetières.
J'avançais toujours en boitant, j'ai soudain trouvé une Mustang déglinguée coupée en deux. Je suis alors entré dans la maison
lorsque j'ai vu Samuel quand il avait 4 ans et il courait après un chien. Il jouait avec sa voiturette. Et tout à coup tout s'enlève : la
maison, la Mustang et le couloir. Et là je réapparaît devant le placard ,je ne comprenais rien à ce qu'il m'arrivait. J'ai poussé le
fond du placard mais il n'y avait plus rien. Je décidais d'oublier tout ça et je descendais retrouver ma mère dans la cuisine.
Elle m'avait préparé une belle tarte à la pomme.
Je décidai de prendre l'air de m'assoir sur un banc et lorsque j'ai vu un homme suspendu. J'ai décidé de partir le voir. J'avais la
chair de poule, j'ai inspecté le corps et j'ai trouvé un mot collé qui disait que je allais mourir.
Je suis retourné dans ma chambre et j'ai vu une voiturette. Je me suis souvenu que quand j'étais dans le couloir j'ai décidé de faire
une sieste j'avais fait un terrible cauchemar. J'étais suspendu à un arbre et un petit garçon qui ressemblait à Samuel m'avait dit « je
veux être à ta place mais pour ça il faut te tuer! »
Je me suis réveillé soudainement. Je n'en revenais pas. Je retournais prendre l'air. L'homme suspendu n'était plus là. En retournant
à la maison, je me suis dit que tout ça ne serait pas arrivé si Samuel n'était pas né, voilà le déclenchement de cette histoire!
Mehdi Merimeche
La porte des ténèbres
Je partis chercher une lampe torche et je rentrai dans le couloir. C'était très humide. C'était long. Quand j'arrivai enfin au fond du
couloir, j'aperçus une tombe en pierre, j'eus très peur.
J'ai alors couru le plus vite que je pouvais. Je suis tombé. Je me suis relevé et j'ai réussi à sortir du couloir et j'ai fermé la porte. Je
m'allongeai pour reprendre mon souffle. Je m'allongeai dans mon lit puis je descendis parler du couloir à ma mère. Elle m'a alors
dit : « Mais qu'est-ce que tu racontes, mon fils ? »
Je suis alors reparti dormir.
Le lendemain matin, je redescendis dans le couloir. Je vis soudain la tombe ouverte et sur laquelle était écrit le nom de Samuel. Je
repartis en marchant mais le fantôme de Samuel hurla : « Où vas-tu ? »
Je ne répondis pas. Mes cordes vocales étaient toutes sèches.
« Où vas-tu, hurla à nouveau le fantôme ?
Je pris mes jambes à mon cou et courus le plus vite que je pouvais.
Arriva ma mère qui avait fabriqué le couloir et qui était devant l'armoire. Elle me dit « il faut refermer le couloir à tout prix ! ».
Nous prîmes une planche pour fermer l'armoire le temps d'acheter du béton.
Lorsque ce fut rebouché, je lui expliquai tout.
Après une semaine, ma femme revint d'Australie.
Le problème est que le fantôme hanta la maison pour toujours. Je venais rendre visite à ma mère pour voir si elle allait bien.
Je finis mon roman et racontai l'histoire que j'ai vécu.
Adam Mlaouhi
La porte des ténèbres
Soudain dans le long couloir apparut une ombre, c'était un vieil homme désespéré. Il parlait seul, je ne trouvais pas ça normal. Le
vieil homme passa à travers moi. Je pensai que c'était un esprit. A ce moment je vis beaucoup d’araignées, puis je couru vers la
sortie. Quand je suis sorti du long couloir je me suis évanoui dans mon lit.
Le lendemain matin, je suis revenu dans le couloir. J'ai commencé à voir l'esprit, il s'est rapproché et j'ai eu un mauvais
pressentiment. Tout à coup, il a commencé à m'appeler par mon prénom.
C'était Samuel. Il me dit que la maison avait des pouvoirs et qu'elle ne me laisserait jamais les gens qu'elle avait aimé. Soudain
Samuel entendit un bruit et s’en alla.
Très loin je vis un homme avec œil. C'était un cyclope, il voulait me tuer et j'ai esquivé une attaque. Et j'ai continué à avancer.
J'étais débarrassé.
J'ai continué d'avancer quand soudain ma mère m’appela pour le déjeuner. Je sortis vite du couloir parce que j'avais faim. Quand
le déjeuner fut fini, je suis vite retourné dans la chambre, le couloir n'y était plus. J'étais très déçu. J'aurais pu découvrir ce couloir.
Adame Benyoub
La porte des ténèbres
Je suis rentré dans ce sombre couloir et j'ai vu une personne courir. Je l'ai rattrapée, je lui ai demandé comment elle s'appelait. Elle
m'a répondu « je m'appelle Samuel !
- Samuel ! Mais non ! Tu es mort !
- NON ! C’est ce que croient mes parents mais j'ai découvert le courant d'air et je suis entré dans le couloir. Mais la porte s'est
fermée et je suis resté enfermé depuis trente ans dans le couloir sombre et c'est toi, Arthur, le deuxième à avoir trouvé le couloir.
Mes parents croient que je me suis noyé dans la rivière mais non, c'était le labrador qui avait jeté une grosse pierre. Je criais « Au
secours ! » Pendant des heures mais personne n'a répondu. Alors j’ai cherché partout où trouver de la nourriture et, tout à coup, j'ai
vu l'esprit de mon père, Gérard, j'ai discuté avec lui. Il m'a dit qu'il était mort car il voulait rendre visite à Arthur et qu'il avait eu
un accident de voiture. Ma mère ne voulait pas m’avouer qu'il était mort. Alors jusqu'à aujourd'hui personne ne le sait à part toi.
Viens, on n'y va. »
Nous traversâmes alors le mur et couloir disparaît subitement. « Arthur c'est pour toi. Dit ma mère en me tendant le téléphone.
Oui, bonjour qui êtes-vous ? Votre femme est morte....
Voici à cause de moi ma femme est morte. Si je n'étais pas parti vivre chez ma mère à Lapérouse, je serais resté avec elle, elle
n'aurait jamais disparu.
Adonis Zaguia
La porte des ténèbres
Par curiosité je voulais aller dans le couloir donc je suis rentré, il faisait noir, ça me faisait peur. Je marchais puis j'ai
vu une porte. C'était le bout du couloir, c'était sombre, j'étais terrorisé. Il faisait vraiment noir. Je tremblais, j'ai ouvert
la porte, j'avais tellement peur que je voulais retourner en arrière mais la porte était bloquée. J'ai observé autour de
moi et j'ai vu qu'il n’y avait pratiquement rien, à part une plante et une lettre que j'ai prise. C'était un très vieux papier.
La lettre était enroulée. Elle disait que si je voulais revoir ma mère il fallait que je passe sept étapes.
Sur une porte était écrit première étape : j'ai ouvert la porte et je suis entré. Il y avait une poutre. De chaque côté de la
poutre il y avait de la lave. Il fallait que je marche dessus sans tomber et j'ai réussi la première étape. J'ai réussi grâce
à mon équilibre même si je tremblais un peu. Mais je me disais que les autres étapes seraient plus difficiles.
Pour la deuxième étape il fallait que je trouve le code de la porte pour accéder à l'étape suivante. Après avoir essayé
ma date de naissance puis celle de mon frère et de ma mère, le quatrième essai fut le bon. C'était la date de
naissance de mon père.
Pour la troisième étape une voix me disait que je devais rester sur un pied pendant dix minutes en équilibre. Après
avoir échoué six fois j'ai compris que si je voulais réussir l'étape il fallait que je fixe un point et que je le regarde
pendant 10 minutes, du coup j'ai réussi. Je n'avais pas envie de passer à la l'étape suivante, j'étais tellement fatigué !
J'avais envie de dormir.
Pour la quatrième étape, deux hommes m'ont donné une pomme et une bouteille d'eau puis ils m'ont remis une lettre
sur laquelle était indiqué que je devais écrire un livre. C'était difficile ! Je n'avais pas beaucoup d'inspiration et en plus
dans un lieu comme celui-là j'en avais encore moins. Au bout de quelques jours j'ai réussi. Je suis allé à l'étape
suivante et là je me suis rendu compte que j'avais oublié mon livre. J'ai donc voulu aller le chercher mais la porte était
encore bloquée. J'étais énervé parce que je devais réécrire mon livre.
A la cinquième étape je devais trouver un code dans une maison hantée. Cette maison était remplie de toiles
d'araignées et il y avait des bruits étranges. Des chauves-souris traversaient parfois les pièces. J'avais très peur, je
tremblais, je ne voulais pas entrer mais je me suis dit que si je ne rentrais pas je resterai ici et je ne verrai plus jamais
ma mère et ma femme alors j'ai pris mon courage à deux mains et je suis entré dans la maison hantée pour trouver le
code. Il y avait des squelettes qui bougeaient et un serpent. J'avais la phobie des serpents, je ne pouvais pas
regarder dessous tellement j'avais peur mais je me suis dit que le code était peut-être sous les serpents. J'ai d'abord
regardé partout ailleurs mais il n'y était pas. C'était la confirmation que le code était bien sous un serpent. Je ne
pouvais pas vaincre ma phobie des serpents, je ne savais pas quoi faire, j'étais en train de fatiguer alors j'ai décidé de
soulever un des serpents. Je tremblais mais je l'ai pris et là, j'ai vu le code, j'étais non seulement contente parce que
je pouvais passer à la prochaine étape mais aussi parce que j'avais vaincu ma peur.
Pour la sixième étape je devais combattre quelqu'un de très musclé. Je pensais que je n'allais jamais y arriver sauf si
j'avais un coup de chance. Mais bon j'étais presque sûr que ce coup de chance n’allait pas arriver. Donc j'avais perdu
espoir. Mais le miracle est arrivé et j'ai gagné le combat. J’ai sauté de joie. Je pouvais passer à la prochaine étape.
Mais avant je voulais un peu me reposer ; je me suis assis et je me suis endormi. Au bout d'une heure je me suis
réveillé et je suis passé à l'étape suivante.
Lors de la septième étape, je devais escalader un mur d’escalade de cent mètres de haut, c'était très haut mais c'était
assez facile parce qu'il y avait beaucoup de prises. J'avais le vertige même si je montais encordé. J'ai essayé de sortir
sans franchir cette étape mais tout était verrouillé, impossible de sortir sans passer l'étape et avoir la clef. Donc j'ai
mis mon baudrier et j'ai commencé à escalader. Je tremblais. Une fois à dix mètres, j'ai eu très envie de descendre, je
pleurais, mais je suis monté tout en haut. Une fois en haut j'ai entendu la porte s'ouvrir, j'ai sauté et j'ai enlevé mon
baudrier et je suis sorti. Je voyais enfin le jour. Je ne comprenais pas pourquoi il y avait un couloir, il fallait que je
questionne l'architecte. J'ai cherché dans la maison entière et au bout d'un moment j'ai trouvé un bout de papier avec
l'adresse de l'architecte. Je suis allé chez elle et j'ai sonné. Elle m'a fait entrer et je lui ai posé des questions. Elle m'a
dit qu'elle avait réussi à construire un couloir invisible de l’extérieur. Puis je me suis dit que pour mon livre, je pourrais
écrire ce qui m'était arrivé. J'ai commencé à écrire et le téléphone a sonné. C'était ma femme, elle m'a dit que elle
avait trouvé un travail au Canada et qu'elle arriverait vers seize heure trente, je lui ai répondu que je venais la
chercher à l'aéroport et j'ai raccroché. J'ai terminé mon livre. J'ai vendu de nombreux exemplaires de mon livre et tout
le monde a adoré.
Camille Verdier
La porte des ténèbres
J'entendis des cris et des bruits étranges et je décidai d'entrer dans le couloir sombre et profond de l'armoire. Et quand je rentrai
dans le couloir j'apparus dans un monde étrange, noir et sombre. Je vis des ombres et j'entendis des cris. Les ombres venaient vers
moi. Ces ombres étaient des fantômes. J'eus peur d'elle mais après je compris que ces fantômes étaient gentils et qu'ils voulaient
m'aider. Ils me disaient : « viens, viens on va t'aider, n'aie pas peur de nous, on ne va pas te faire peur. Viens on veut te dire
quelque chose d'important. Ton frère est ici, dans ce monde noir, obscure et lugubre. Ton frère Samuel est notre roi. C'est le roi
des ombres depuis qu'il est mort il y a 20 ans maintenant.
Non ce ne peut pas être vrai ! Mon frère est mort dans la rivière ?
« Ton frère est devenu un fantôme et les fantômes viennent dans ce monde obscure car ce monde est le royaume des fantômes.
- Quoi ? ça n'existe pas les fantômes !
- Comme tu peux le voir, si tu veux on peut appeler ton frère.
- D'accord je vous croie maintenant. Vous pouvez appeler mon frère.
- Grand frère c'est toi ?
- Oui c'est moi. Je parie que tu est mon petit frère.
- Oui c'est exacte, mais grand frère que fais tu là ? J'ai cru que tu étais mort...
- Et bien petit frère les gens deviennent des ombres et viennent vivre ici dans ce monde de fantômes.
- Pourquoi, tu ne viendrais pas avec moi chez nous ? Parce-que je suis un fantôme et un fantôme ça vit dans l'ombre.
- Mais grand frère j'ai cru que tu pourrais venir dans le monde des humains.
- Non parce que si j’aimais je allais à la lumière, je mourrais et je me désintègrerais, et je ne viendrais plus jamais et cette fois je
serai vraiment mort.
- Arthur, on va manger, sort de ta chambre et descend manger !
- Oh non maman m'appelle, grand frère, il faut que je reparte. Ne t'inquiète pas je vais fermer l'armoire et faire une copie de toi
avec mes pouvoirs.
- Non je reviens, grand frère, je vais demander quelque chose à ma mère et je reviens promis d'accord.
- Bon d'accord mais tu reviens promis.
- Maman est ce que les humains et les fantômes peuvent être amis ?
Ça va pas la tête, jamais de la vie !
Oh maman, ma femme est arrivée.
- Maman je reviens et les fantômes je vais essayer de vous faire être ami avec les humains oui !
- C'est une très bonne idée. Mais les humains ne voudraient et il y a de la lumière. Je vais vous faire de l’ombre beaucoup merci !
Allez avancez et suivez moi ouah maman il y a des fantômes peuvent être amis avec les humains non ! Les fantômes ah il faut que
j'appelle la police mais non ne vous inquiétez pas ils sont gentils.
1 ans après j'ai eu un enfant qui s'appelait Léo. Mais quand il est née il était trop malade du coup il a été mort et ma mère aussi et
j'étais très triste. Je suis allé à l'enterrement de mon fils et de ma mère.
Erwan Balkiz
La porte des ténèbres
J'ai ouvert la porte. Je suis entré dans le couloir et j'ai vu un jardin. J'ai avancé, avancé, mais je ne savais pas d'où venait le bruit.
Tout à coup, j'ai vu une lumière blanche. J'étais effrayée. Je me suis dit : « D'abord les gémissement, puis la lumière.. » Je n'osai
pas aller plus loin, j'avais peur. J'ai donc fait demi- tour et je suis retourné dans la chambre. J'ai attendu que ma mère parte chez
une amie pour agir discrètement. « Au revoir Arthur » me dit ma mère. Je suis alors allé dans la cuisine, j'ai fouillé les tiroirs, j'ai
trouvé un grand couteau, je l'ai pris avec moi. Ensuite j'ai regardé par la fenêtre de la cuisine, j'ai tiré les rideaux pour voir si ma
mère était bien partie. Lorsque j'ai vu la voiture partir j'ai vite enfilé le couteau dans ma poche et j'ai descendu les escaliers pour
atteindre la porte de sortie. J'ai ouvert la porte et je suis allé au garage prendre une hache. Je l'ai prise et je suis rentré dans la
maison. Je suis allé vers l'armoire, qui se trouvait dans la chambre du petit Samuel, je suis rentré j'ai refermé la porte derrière moi.
Je tremblais de peur. J'ai traversé un long jardin. Il y avait plein de fleurs, des roses, des oeillets... Je me suis approché vers la
lumière. C'était un esprit. Je me suis couché sur l'herbe pour éviter qu'il ne me voie. Il était petit, il avait les yeux rouges, une
demi-tête et une grosse bouche. C'est de là d'ou venait les cris, enfin les gémissement. J'ai dit involontairement à haute voie :
« On dirait que je suis dans un cauchemar ! »
D'un coup, l'esprit se tourna vers moi. J'ai tout de suite su qu'il allait me tuer. Je le regardais avec de gros yeux, j'avais la tête vide,
je tremblais de peur. L'esprit s'est alors assis à côté de moi, il criait, je ne savais pas pourquoi.
Tout à coup, j'entendis une petite voie innocente qui disait : Ne t'inquiète pas, je ne te ferai pas de mal.
Je lui ai alors répondu : C'est bizarre...mais qui es-tu ? et pourquoi es-tu là ?
- Je suis là car je suis mort dans une rivière...et maintenant c'est à ton tour de mourir !!
- Mais...tu m'as dit que tu ne me ferais rien !!
- ça c'était tout à l'heure... je vais entrer dans ton corps et te hanter !
Il entra dans mon corps... - je vais y rester... - Maintenant je vais sortir de cette armoire pour voir ce qui ce cache derrière.L'esprit était dans mon corps, je marchais, marchais jusqu'à trouver l'armoire.
Je traversai la porte et subitement l'esprit partit de mon corps.
Je crois qu'il ne pouvait pas entrer dans la maison, il y avait une chose qui le bloquait.
Une idée me vint à l'esprit, j'ai tout de suite monté les escaliers pour atteindre ma chambre, je pris plusieurs feuilles et j'écrivis
mon incroyable histoire.
J'ai fait de nombreuses recherches pour savoir pourquoi cet esprit avait quitté mon corps.
Mais je n'ai jamais rien trouvé.
Ilhame El-Atri
La porte des ténèbres
Soudain ma mère m'appelle pour me dire qu'elle sortait faire des courses. Je vis quelque chose de blanc. Je commençais à
paniquer. J'entendis un bruit. J'ai alors couru de partout.
J'ai eu très peur. J'ai vite couru vers la sortie.
Mais le placard était fermé.
J'ai aperçu que s'était un fantôme.
J'ai commencé à reculer mais le fantôme m'a dit : « ne t'inquiète pas, je suis gentil, je ne te ferai pas de mal Arthur.
- comment tu t'appelles, fantôme ? Dis-je.
- Je m'appelle Samuel.
- C'est toi Samuel ?
- Oui c'est moi. »
Et ma mère revint, elle dit « C'est pas vrai Arthur ? »
- Si viens voir et tu verras Samuel.
- Mon Samuel ! Viens manger avec nous. »
Et ils vécurent heureux.
Chaia Islem
La porte des ténèbres
J'ai eu très peur. J'ai pensé que j'avais une lampe, je suis parti la prendre dans mon sac. J'ai crié à l'entrée du couloir «Il y a
quelqu'un!», pas de réponse, j'ai fait un pas, j'entendis de nouveau le gémissement. J'avais peur. Je suis rentré dans le couloir et j'ai
fait aussitôt demi-tour, j'ai refermé la porte et remis l'armoire.
Le lendemain matin, j'ai pensé avoir fait un cauchemar. Je suis alors retourné vers la porte. Il y avait toujours l'obscurité bien
qu'on soit au milieu de la journée. J'ai cherché mon sac sous le lit. Je l'ai pris et j'y suis entré.
La porte était magique, tout à coup, j'ai vu le passé! Je voyais ma mère jeune et mes grands-parents. Je voyais le petit Samuel
courir après le chien. Je voyais ma mère pleurer quand elle avait déménagé. La porte était sale avec beaucoup d'objets et de bêtes.
Je suis sorti de la porte, j'ai tout refermé, et je suis allé dans la cuisine pour manger. Mon téléphone a sonné je suis parti le
chercher dans le salon, ça a coupé puis ça a sonné. Je l'ai pris et cette fois-ci c'est le courant qui a coupé. Je suis sorti voir dans le
jardin, il y avait des oiseaux. J'ai écouté la rivière et je suis rentré, tout était normal. Mon téléphone a encore sonné, j'ai répondu,
c'était ma femme qui voulait avoir des nouvelles.
«Allô Arthur» m'a t- elle dit, «ça va?» Je lui ai posé des questions sur son travail. Elle m'a dit que tout allait bien. Tout à coup elle
m'a dit « au revoir chéri, il y a mon patron. » Je suis alors parti voir ma maman qui était seule sur son fauteuil. Elle m'a demandé :
« Qui était à l'appareil? », « c'est ma femme maman ». J'ai demandé à ma mère si elle savait ce qu'il y avait derrière l'armoire de
Samuel. Elle m'a répondu : « Oui ! Cette pièce m'énerve je cherche à déménager mais je n'ai pas assez d'argent. Viens chez moi
ai-je dis, non m'a-t-elle répondu tu es en couple.
- Ok je t’achèterai une autre maison.
- Merci fils.
La nuit tomba, je me demandai ce qu'était ce gémissement que j'avais entendu, je retournai voir cette porte. La porte était encore
plus sale que d'habitude, il y avait des bêtes sur les murs. Je savais qu'il y avait quelqu'un. Mais qui? Alors je pris le courage
d'avancer, un pas et l'autre, soudain je vis un corps humain! Il était vivant. Donc c'était lui qui avait sali la porte.
- Bonjour, me dit-il.
- Qui es tu? Répondis-je.
- Je suis Jean-Jacques.
- Qui êtes- vous?
- Je suis l'ami de ton père.
- Qu'est ce que vous faites là?
- Si tu es proche de quelqu'un de cette famille tu seras prisonnier. Ton père est mort et j'étais proche de lui. A sa mort je me suis
retrouvé enfermé ici. Samuel est mort ici, tu seras aussi prisonnier.
- Quoi c'est pas possible.
- Oh si!
Je décidai de refermer cette porte et l'armoire. Je descendis voir ma mère. Maman, maman, viens, il y a un Jean-Jacques derrière
cette armoire ! Mais quand nous sommes allés voir, tout avait disparu. J'ai proposé de déménager et elle a accepté. Je lui ai trouvé
une maison. On n'entendit plus parler de cette porte.
Jasmine
La porte des ténèbres
Je suis rentré dans le couloir en suivant le gémissement. J'avais peur, j'ai vu une ombre blanche, je pense que c’était un fantôme. Il
ressemblait à la photo de Samuel dans le salon, il me suivait. C'était Samuel, je le reconnaissais. Il y avait des photos de son
enfance sur les murs et soudain, il parla. Je ne comprenais pas, des lumières blanches apparurent et je suis revenu sur mes pas
pour entrer à la maison.
Le lendemain, j'essayai de le dire à ma mère. Elle ne me crut pas, cela lui rappelait des mauvais souvenirs ! Subitement elle tomba
dans les pommes.
Tous ces événements lui remontèrent à l'esprit. Je me dis que peut-être, c'était un rêve. Je me suis dit que je n'en parlerai à
personne.
Je rentrai dans la chambre.
Je dit à Samuel : « Rentre dans la chambre ». Il me suivit et me dit : « Je veux rester ici. »
Je lui dit : « Quand nous déménagerons, quelqu'un te retrouvera, il faut que tu retournes dans ta tombe » et il me
répondit : « D'accord. » et il partit.
Alors j'ai pleuré, pleuré, je n'aurais pas du lui dire de partir. Cela m'a donné une idée pour mon livre « Le mort hors de sa tombe ».
Ma femme est revenue de son poste à Sydney.
Je regrette d'avoir dit à Samuel qu'il devait partir dans sa tombe. Je lui ai ramené des roses, ses fleurs préférées. C'était pour ça que
ma mère avait mis des roses dans ma chambre. Malheureusement je ne le verrai plus jamais. Je suis rentré chez moi avec ma
femme et j'ai pris une photo de Samuel pour me rappeler de lui.
Voilà mon histoire vraie racontez-la à vos proches.
Lina Chelbi
La porte des ténèbres
Je suis entré dans le couloir. Il y avait des toiles d’araignée sur les murs et au sol, il y en avait même autour de la
porte. Il y avait aussi des traces sur les murs. Le couloir n’était pas très bien éclairé, le papier peint se décollait, la
peinture était toute défraîchie. Les murs semblaient vieux et il y avait une odeur désagréable. Il y avait toujours ces
traces, il y en avait des grandes et des petites, je me suis alors approché, j’ai regardé de plus près, ça sentait
mauvais. Tout à coup, j’entendis la porte se refermer, et mon regard fut pris par une lumière blanche.
Je pris mon courage à deux mains et je m’en approchai mais au moment de la toucher, la lumière bougea. Ce n’était
pas une lumière blanche, c’était quelque chose de grand, blanc, avec des petits yeux et des petits pieds. Cette chose
se tourna vers moi, je pris froid dans le dos alors je couru vers la porte et je trouvai juste à côté de la porte, une clef, je
la mis dans le serrure et par chance la porte s’ouvrit. Je sortis vite du couloir et je refermai aussitôt la porte. Je voulus
tout raconter à ma mère, mais je devais garder ça pour moi. Alors je décidais de ne pas lui dire pour ne pas l’inquiéter
et décidai de continuer à dormir, à nouveau, dans cette chambre. Je devais savoir ce qu’était vraiment cette lumière.
Je me couchais pour la deuxième fois dans la chambre de Samuel. Au milieu de la nuit, j’entendis des petits bruits
venant de l’armoire. Je me levai aussitôt pour aller voir et là en ouvrant la porte du couloir, j’aperçus à nouveau la
fameuse lumière blanche qui sanglotait je décidai de m’approcher d’elle. Je me rendis compte en la regardant, qu’elle
avait un regard d’être humain et, en plus, un air de famille. Je lui demandai comment il s’appelait. Il me répondit :
- Je m’appelle Samuel.
- Samuel, as-tu vécu dans cette maison?
- Oui bien sur!! Répondit la voix.
A ce moment là, je croyais que c’était un rêve, mais j’avais bien en face de moi, mon frère. Je décidai de tout
expliquer à maman, mais quand je lui dis, elle se leva aussitôt et pris la direction du couloir. Au moment de rentrer, la
porte se ferma devant nous, impossible pour nous de l’ouvrir. Elle était comme fermée à clef. Le lendemain je
demandai à maman le nom et le prénom de l’architecte qui avait construit la maison. C’était une fameuse femme au
nom de Amone RAVIS. Elle devait peut être savoir quelque chose sur ce couloir, donc, je décidai de rechercher son
nom sur internet et par chance, elle habitait à coté de chez nous. Je pris rendez vous avec elle, à la maison. A son
arrivée, je lui montrai le couloir et lui demandai si elle savait quelque chose.
Sur son visage, j’avais bien vu qu’elle était mal à l’aise.
« non, euh enfin je ne peux rien vous dire » dit-elle alors.
Je lui répondis : Bonne journée à vous Madame.
Les jours suivants, j’essayai de penser à autre chose, mais rien à faire, il fallait que je découvre le secret de cette
maison. Je continuais toujours à écrire mon roman. Un jour où je commençai à écrire lorsque j’entendis le bruit d’une
perceuse. En me penchant à la fenêtre, je vis l’architecte en pleine construction d’une maison identique à la notre. Je
voyais bien qu’elle n’était pas tranquille, à surveiller tout autour d’elle, elle avait sûrement un secret à cacher. Je
décidai de la suivre à l’intérieur de la maison, une fois dedans, je vis qu’elle construisait un couloir comme le notre
mais je n’arrivais pas à voir comment elle construisait ce couloir. Quand elle eu fini de le construire, elle se tourna
vers moi et je me mis à courir pour rentrer chez moi par peur qu’elle ne me voit puis, à son tour, elle quitta la maison.
Une question me traînait dans la tête, pourquoi avait-elle quelque chose à cacher!!
Je retournai dans ma chambre pour faire une sieste j’étais très fatigué. Lorsque quelqu’un frappa à la porte, j’ouvris la
porte et avec grande surprise, c’était ma femme. Je la pris dans mes bras je la serrai le plus fort possible car elle
m’avait manqué. Je décidai de la présenter à ma mère. Au moment des présentations, ma femme eut un grand
sourire et me dit :
« Mais je la connais, tu me l’a déjà présentée.
- A oui c’est vrai pardon, allons dans ma chambre, lui répondis-je.
Une fois dans la chambre je demandai à ma femme ce qu’elle avait fait ces derniers jours?
- Je suis allée au théâtre et j’ai beaucoup travaillé.
- Suis-moi je vais te montrer quelques chose nous allons passer par le placard.
- Tout ça me semble bizarre, me dit-elle.
- Oh non, ne me dit pas que quand tu es arrivé ta mère t’avait fait un gâteau.
- Si pourquoi ? Et bien je sais que ta mère prend des médicaments. Elle a sûrement dû en faire tomber dans la pâte à
gâteau.
- Mais non je t’assure, c’était bien mon frère Samuel que j’ai vu dans la lumière blanche.
- Non désolée chéri ce sont, des hallucinations.
- Je vais tout de suite dire à ma mère de stopper immédiatement ce traitement, il finira par la tuer.
- Maman, quand tu as fait le gâteau pour moi as-tu pris des médicaments en même temps oui ou non ?
- Oui.
- Et bien je crois que tu en as fais tomber un dans la pâte sans le vouloir.
- Et bien oui j’en ai pris un ou deux mais crois moi ce n’était pas voulu.
Ok ce n’est pas grave maman mais comme tu le sais, je suis venu ici parce que ma femme était en voyage à Sidney,
maintenant qu’elle est revenue je vais retourner avec elle à la maison et nous avons décidé que tu viendrais une
semaine chez nous pour te reposer.
-Très bien je vais faire mes valises.
Et c’est ainsi que tous ensemble, nous sommes rentrés. Tout est bien qui finit bien.
Lydia Missaoui
La porte des ténèbres
Quand j'ai vu ce couloir j'ai eu très peur. J'ai regardé par la fenêtre il n'y avait rien. J'ai décidé de prendre la lampe dans le salon
puis je suis rentré dans le long couloir.
Il y avait une odeur de rats puis après quelques minutes j'entendis des voix graves. Il y en avait plusieurs qui me disaient de
revenir sur mes pas. A partir de ce moment j'ai eu très pour. Soudain je sentais que quelque chose était derrière moi, je me suis
alors retourné, il y avait un esprit ! Je pensais que c'était un mauvais rêve et que j'allais me réveiller.
Quand j'ai vu cet esprit je me suis enfui vers le fond du couloir mais à la fin du couloir il y avait un mur. Je me suis cogné contre
celui-ci et je me suis évanoui.
Quand je me suis réveillé j'étais dans un endroit tout noir avec beaucoup de portes. Sur ces portes il y avait des prénoms. Samuel,
Arthur. J'avais très peur quand j'ai ouvert la porte de Samuel j'ai vu un petit enfant qui pleurait avec des larmes en sang ! Je n'y
croyait pas mes yeux ! Quand il m'a vu il m'a crié dessus et m'a attrapé la main ! J'ai crié, il portait un pull déchiré et un pantalon
noir. Il m'a mordu très fort jusqu'au sang alors je lui ai mis un coup de pied et je suis sorti.
Quand je suis sorti le long couloir était toujours là ! J'ai avancé et j'ai vu la sortie alors j'ai couru. L'esprit était à nouveau derrière
moi, alors j'ai couru le plus vite possible. Je suis sorti et ma mère était la ! Elle m'a expliqué que cet endroit était interdit et que ça
lui faisait penser à de mauvais souvenirs car cet endroit était hantée. « Pourquoi cet endroit est hanté ? » Elle m'a répondu que
Samuel était coincé dedans et qu'il y était mort. Elle m'a dit qu'elle connaissait la mère de ma femme. Avant elles étaient amies. Sa
fille adorait jouer avec Samuel dans cette pièce invisible. Mais un jour ils se sont disputés et ma femme a enfermé Samuel !
« Voilà pourquoi je ne l'ai jamais aimer ! » -D'accord je comprends mieux.
Alors j'ai tout raconté à ma femme. Elle avait tué mon grand frère et elle ne m'avait jamais rien dit. Alors j'ai divorcé et ne l'ai plus
jamais vu. Maintenant je vous raconte mon histoire.
Marwan
La porte des ténèbres
Je me rendis dans le couloir j'ouvris, la porte, lorsque j'entendis un bruit très étrange. C'était comme un
grognement de lion. J’ai alors avancé pour voir d'où cela venait et j'ai remarqué que le couloir ne semblait
jamais se finir. Tout à coup j'entendis à nouveau le grognement. Je devais à tout prix découvrir d'où il venait.
Je m'en étais fait la promesse.
Soudain une lueur me parvint, c'était le soleil qui se levait. Je me rendis compte que j'avais passé toute la
nuit dans le couloir à écouter ces grognements. Il fallait que je rentre à la maison je ne le dirais pas à ma mère elle
me prendrait pour un fou et si je ne rentrai pas tout de suite elle s'inquièterait alors je couru jusqu'à la maison pour arriver à
l'heure. J'étais très fatigué, je n'avais pas dormi de toute la nuit. Arrivé à la maison je me rendis dans la cuisine pour prendre mon
café.
Je dis bonjour à ma mère et puis je me mis dehors au soleil pour écrire mon roman. J'écrivis trois pages que je trouvais assez
convaincante.
Je décidai de me rendre tout de suite dans la chambre du petit Samuel. J'avançais lorsque je ré-entendis les grognements étranges.
Je fus pris de frissons lorsque je vis le petit Samuel.
Je m'en fuis en criant comme je ne l'avais jamais fait. Je pense qu'il était là essayant de retrouver ses parents.
Soudain, les murs commencèrent à se fissurer jusqu'à ce qu'ils s'écroulent et tout le monde courut dehors mais on oublia ma mère.
Je sortis mon téléphone puis j'appelai les pompiers. Subitement j'eus peur qu'ils n'arrivent pas à temps et qu'ils n'arrivent pas à
secourir ma mère. Les pompiers arrivèrent. Ils sortirent ma mère mais c'était trop tard.
J'ai appelé ma femme pour qu'elle me console et que nous fassions l'enterrement. Nous avons pris la décision déménager à Paris
avec Samuel et ma femme.
Ce que je veux vous expliquer c'est la vie nous cache parfois des choses. J'espère que mon histoire vous aura plus.
Mohamed
La porte des ténèbres Je suis allé dans le long et sombre couloir. J'ai eu tellement peur parce que il était très sombre et que normalement il n'y avait rien après le mur, juste le jardin. J'ai soudain vu une ombre noire très petite. J'ai eu tellement peur que j'ai fait demi-­‐tour et je suis parti me coucher, j'ai attendu le lendemain matin, au petit déjeuner, j'ai demandé à ma mère : "Maman pourquoi il y a un long et sombre couloir dans l’armoire de ma chambre ? Ah bon, je ne savais pas. "Et elle est sortie rapidement dans le jardin. Je lui ai dit : " maman tu ne me crois pas, alors viens avec moi, je te montrerai. » Le soir je lui ai montré mais il n' y avait plus rien, elle m'a pris pour un fou! Le soir suivant j'y suis retourné et l'ombre est apparu à nouveau. Je me suis demandé pourquoi ça n'était pas apparu quand il y avait ma mère. Et pourquoi ma mère m'avait placé dans la chambre de Samuel? J'ai décidé d'attendre. Une semaine plus tard. Ma mère m’a expliqué pourquoi elle m' avait placé dans la chambre de Samuel et pourquoi il y avait cette étrange armoire. Elle voulait que je résolve cette mystérieuse histoire. J'ai appelé ma femme et je lui ai demandé de l'aide. Je lui ai dit que c'était urgent et que je devais lui raconter les raisons plus tard. Le lendemain matin, elle m'a rappelé et m'a dit qu’elle ne pouvait pas prendre de billet avant un mois. Je lui ai rappelé l'urgence des évènements. Finalement elle réussi à venir au bout d'une semaine. Une fois à la maison je lui ai expliqué tous ces phénomènes étranges. Elle m'a aidé à savoir ce qu'était cette ombre. Deux semaines plus tard. Nous avons su que c'était l'ombre de Samuel , il était venu avec mon père car le jour de la noyade de Samuel mon père était là et l'avait sauvé. Ils sont alors sorti de l'armoire, par la porte secrète c'était la porte de l'armoire. Mon père la connaissait il s'y était déjà caché. J'ai écrit tout ça dans mon roman. Nadine La porte des ténèbres
Ce bruit de gémissement me faisait encore plus peur. Alors je m'étais dit que je découvrirais un trésor, alors je me suis enfoncé de
plus en plus dans le long couloir obscur. Au bout d'une heure de marche je découvris des escaliers et je ressentis le même courant
d'air. Soudain un bruit derrière moi retentit, je me retournai rapidement : c'était mon roman qui était tombé de ma poche.
J'entendis alors un autre bruit derrière moi, affolé je sortis ma lampe de poche et je vis un fantôme. Je reculai tout doucement, tout
à coup il me dit :
« N'ai pas peur d'accord?
- D'accord, ai-je répondu mais comment es-tu devenu fantôme?
- J'ai couru après le labrador de la famille et j'ai chuté dans la rivière.
- Je suis ton petit frère !
- Viens on va discuter.
Samuel et moi avons donc parlé longuement.
«On se revoit demain ? dis-je.
- Peut-être, répondis Samuel.
Je partis mais intrigué.
Le lendemain matin, je voulus revoir Samuel mais la porte avait disparu. Je l'ai cherché partout mais je ne l'ai pas retrouvée et je
me suis dis que j'avais rêvé, donc je me mis à écrire mon roman.
Rayan Slimani
La porte des ténèbres
Puis ma mère m'a appelé au moment où j'allai entrer dans le couloir. Mais je n'y suis pas entré parce que j'avais peur. Bon je suis
descendu, mais je me suis demandé pourquoi elle m'appelait. Elle me dit : « viens vite Arthur je veux te parler ! Regarde comme
ton papa était beau » en me montrant une photo.
J'ai dit « oui il était beau. » Puis elle m'a dit « habille-toi ». Je lui répondis « Pourquoi ? ». Elle me dit « Nous allons voir Samuel
au cimetière ».
45 minutes plus tard, nous étions arrivés au cimetière.
« Viens, la tombe est ici » Arrivé devant la tombe de Samuel, je vis ma mère pleurer. Ça me fit de la peine, je lui fis un câlin. Puis
nous sommes retournés à la maison.
Je dis à ma mère : « Nous allons faire un temps calme. »
Un peu après, je suis monté dans ma chambre. Je vis alors une ombre blanche sortir du couloir. « Je … Je suis Samuel, ton grand
frère, je ne suis pas mort dans la rivière ! Un jour, quand j'avais 4 ans, une ombre noire est apparue, je me suis équiper d'un
couteau en plastique mais l'ombre noire me l'a arrachée et m'a tué, faisant croire que j'avais couru après le chien, mais non. »
J'entendis soudain un bruit, je regardai dans la maison, personne, je sortis dehors. Je vis quelque chose de noir avec du sang puis
je me rapprochai, je pris une lampe torche que j'allumai et là je vis que c’était ma mère.
Le lendemain matin, je fis l'enterrement seul dans le cimetière. Je n'avais invité personne parce que je savais que j'allais
m'écrouler voilà pourquoi, depuis ce jour, je regrette d’être venu.
Séphana Belabdli
La porte des ténèbres
Je pris ma lampe-torche et je allai tout au fond, il n'y avait rien. Je fis le retour puis je vis alors des choses bizarres, je courus le
plus vite possible. Je voulus sortir mais la porte était bloquée. Je frappai la porte le plus fort possible, après, je réussis à l'ouvrir.
J'allai alors voir ma mère pour lui demander de venir mais elle ne voulut pas. Elle resta sur le canapé.
J'y retournai seul. Je pouvais entrer à nouveau. J'avais l'impression qu'il n'y avait que moi qui pouvait enter. Je ne savais pas
pourquoi. Je me suis alors posé des tas de questions. Je allai à nouveau tout au fond de l'armoire. Il y avait des monstres :
fantômes, poupées maléfiques. Je me suis enfuit le plus vite possible. Je sortis de l'armoire sain et sauf.
Je suis alors allé dans le salon et j'ai parlé à ma mère. Elle me posa des tas de questions. Etais-je bien ici ?..
Le lendemain matin, je pris mon petit-déjeuner puis je allai à nouveau dans l'armoire. Tout au fond il n'y avait rien. Cette fois
seulement les murs étaient à moitié cassés, le sol aussi.
Je finis mon roman puis je rentrai chez moi. A peine arrivé, je m'endormis puis quelqu'un frappa à la porte. J'ai demandé qui
c'était ? Et c'était ma femme qui était revenue de Sidney.
Shahine Fareh
La porte des ténèbres
Je ne voulais pas entrer mais je voulais prendre un peu de temps puisque j'avais décidé de rester dans cette chambre pour en savoir
plus.
Je suis alors redescendu voir ma mère, à ce moment là ma femme m'a appelé. Quand la conversation fut terminée, j'avais appris
qu'elle était renvoyée et qu'elle voulait que je vienne. Je ne savais pas quoi dire donc je lui ai dit que j'avais trop de chose à faire.
Aussi je ne voulais pas être tout seul à savoir ça. Je décidai me confier à l'architecte, celle qui avait fabriqué la maison. J'avais
bien réfléchi et finalement je décidai de ne rien lui dire, je me rendis compte que c'était insensé. Je devais juste lui poser quelques
questions. Donc je suis descendu dans le salon et j'ai trouvé un numéro je l'ai glissé dans ma poche et je suis monté dans la
chambre du petit Samuel. Puis j'ai ouvert la porte de l'armoire et j'ai poussé la paroi de l'armoire afin de pénétrer dans le long
couloir sombre qui était derrière.
C'était noir, sombre. Il se pouvait que l'architecte arrive et que je ne sois pas là pour l'accueillir et que ma mère se pose des
questions. En avançant j'avais de plus en plus peur. Soudain un mur me barra le passage, j'étais perdu. Je me suis assis sur une
pierre rouge et bizarre. Le mur avait disparu. Je me rendis compte que cette pierre était magique, elle réalisait mes voeux. Je me
suis levé, j'ai vu quelque chose d'étrange, c'était un triangle rouge avec un œil et une bouche et qui volait. Il avait aussi de petits
pieds noirs. Ce triangle parlait, il semblait très méchant. Puis il me dit « bonjour jeune garçon. » Je criai, apeuré. « Mon vieil ami
tu ne sortiras pas d'ici. » Et il disparut. Je me sentais seul, j'avais faim alors je me suis mis à pleurer. J'ai pensé à mon frère
Samuel. Je pensais ne plus jamais sortir d'ici.
Des arbres apparurent avec deux yeux et une bouche et me dirent : « Que fais-tu ici, tu es perdu ? Mange une de mes pommes et
fais un vœu. » La sortie apparut des feuilles de l'arbre. J'ai alors ouvert la porte et j'ai dit au revoir à mes amis.
Puis je voulus m'occuper de l'architecte pour en savoir plus. Soudain j'aperçus une clé-USB. Je la saisis et je l'insérai dans mon
ordinateur. Une vidéo apparut. « DANGER au couloir ». Je commençais à paniquer, je tremblais, j'avais peur. Derrière le papier il
avait une adresse : 8 rue de la ferme. Je suis descendu à toute vitesse. Puis je suis rentré dans ma vieille Mustang déglinguée.
Arrivé à l'adresse, j'ai toqué. Une vielle dame toute cernée m'a ouvert : « je peux faire quelque chose pour toi ?
- Je suis là pour vous poser des questions. J'habite la maison au couloir magique..
- Sortez de chez moi.
- Non ! Je veux vous poser des questions, je ne veux pas vous faire de mal.
- Alors sortez.
- Non ! Comment ce couloir a-t-il apparu?
- Je l'ai construit. Avec mon mari. Il est mort quand je construisais la maison et quand ça s'est passé j'ai abandonné cette maison à
moitié construite. Je me suis arrêtée de travailler dans une chambre et une larme est tombée, c'est elle qui a commis ça.
Je suis alors vite sorti de la maison et j'ai pris ma vieille Mustang déglinguée et je suis parti. Arrivé chez moi je suis monté tout
excité dans la chambre du petit Samuel et j'ai pris mon ordinateur. J'ai fais une recherche : la larme de la tristesse. Je suis tombé, à
nouveau, sur la vidéo. Je décidai de ne pas la revoir. Je continuai de chercher. J'ai alors vu une photo très ressemblante au couloir.
Un nom était inscrit sous la photo. Il était inscrit : la porte des ténèbres. Puis je fis une nouvelle recherche : la porte des ténèbres.
C'était épouvantable, des images apparurent, j'avais peur. Donc je pris mes affaires, je les mis dans ma valise. A toute vitesse je
descendis les escaliers et je dis à ma mère que je devais partir. Elle vit dans mes yeux que c'était important donc elle me laissa
partir. Puis je pris m'a voiture et je partis.
Arrivé chez moi, je déballai mes affaires et je montai dans ma chambre. Et là un couloir apparut. Effrayé je partis chez l'architecte.
Je toquai à la porte. Puis l'architecte ouvrit. Je lui expliquai cette apparition. Elle me répondit que j'étais le roi des ténèbres et que
je devais le dire si je ne voulais pas l’être. Je ne savais pas quoi leur dire donc alors je suis sorti de chez-elle. Puis j'ai repris ma
vieille Mustang déglinguée et je suis parti. Sur la route, je pensais qu'il ne pourrait rien m'arriver. Puis quand je suis arrivé chez
moi j'ai dit bonjour à ma mère. Elle était très contente. Une force me parvint, je montai à toute vitesse les escaliers et je rentrai
dans le couloir. J'avançai avec courage et puis je dis à voix haute : JE NE SUIS PAS ROI! Ensuite plein de résonnements, des
hurlements, des bruitages retentirent. Je sortis en courant. Quand je revins, je voulus rentrer à nouveau dans le couloir mais il
n'était plus là. Je rentrai chez moi, avec ma femme. Je pus enfin terminer mon livre. Je l'ai fait éditer. Il a fait un carton. Rentré
chez moi, je me suis retrouvé dans mon lit réveillé rien de tout cela n'avait exister, ce n'était qu'un rêve.
Sherazade Sebti
La porte des ténèbres
Donc je décidai de me rendre dans ce couloir. J'ai avancé pour voir ce qu'il y avait. C'était une chambre et la fenêtre était ouverte.
J'allais retourner dans ma chambre parce que j'avais peur mais d'un coup la porte s'est fermée je voulais appeler ma mère mais je
ne pouvais pas. Il n'y avait pas de réseau. Je suis allé vers la fenêtre et le réseau fonctionnait : j'ai appelé les pompiers et la police
pour qu'ils me sortent de là. Mais ils ont mis beaucoup de temps.
Pendant ce temps j'ai avancé dans le couloir et j'ai trouvé une autre chambre. Il y avait quelque chose et j'ai senti une odeur
horrible, j'ai vu une lumière et je l'ai suivi mais j'étais très déçu c'était une lampe torche. Les murs étaient tout abîmés, il y avait
des toiles d'araignées et des souris, les meubles était également très abîmés.
Puis les pompiers et la police sont arrivés et ils m'ont sorti de là en cassant l'armoire. Je les ai remercié et j'ai tout dit à ma mère
qui est allé voir. Elle a dit que c'était étrange : « je ne le savais pas alors que ça fait des années que j'habite ici ». Il faut déménager.
Et nous déménageons.
Silia
La porte des ténèbres
J'allai dans le couloir et tout à coup j'entendis des cris démoniaques et plus je marchais, je sentais des gouttes de sang tomber du
plafond. Ça sentait le meurtre !
Mes jambes tremblaient, je me suis calmé, je suis sorti du long couloir sombre et j'ai descendu l'escalier qui sentait la rose et je
suis allé parler à ma mère. Et je lui ai dit : « Qu'est ce que c'est ce long couloir dans la chambre du petit Samuel ? »
« C'est une porte qui mène aux ténèbres ?
- Ha bon ? Je croyais que les ténèbres n'existaient pas.
- Ah si dans ma maison ça existe. »
Elle a vraiment plus toute sa tête ma maman. Donc j'ai supposé qu'il fallait que je découvre la vérité tout seul. J'ai remonté
l'escalier qui sentait la rose. Je suis allé dans la chambre du petit Samuel et j'ai ouvert à nouveau le placard. Et le placard avait
disparu. Je me suis évanoui car je n'y comprenais plus rien. Je me suis réveillé à l'hôpital, aux urgences plus précisément.
J'ai demandé si je pouvais retourner chez moi. On m'a répondu que ce n'était pas possible avant dans deux jours. Je me suis dit que
ce n'était pas possible pour trois raisons. Je devais découvrir ce que cachait la fameuse armoire. Je devais aider ma mère à faire la
cuisine et à se coucher et je devais finir mon roman. Le médecin est revenu et m'a dit que mon état de santé n'était pas bon, ils ne
pouvaient pas me laisser sortir.
Une fée est apparue.
Elle avait les cheveux longs et lisses, elle avait de toutes petites ailes. Elle claqua des doigts et je me retrouvai chez moi avec elle.
Je l'ai remercié et lui ai demandé de me laisser seul pour parler à ma mère. Elle claqua de nouveau des doigts et disparut.
J’expliquai à ma mère toutes mes aventures et lui demandai si elle savait quelque chose à propos de ce couloir. Nous décidions
donc d'aller voir dans la chambre. Nous avons alors poussé l'armoire. Plus rien! Ma mère ne me croyant pas je décidai de tout
écrire dans un roman.
Thomas Martin
La porte des ténèbres
Je suis rentré dans ce couloir sombre. J'avais de ce couloir il y avait une lumière étrange.
Cela venait de ce couloir, j'ai couru si vite que je rencontre un jeune homme blond de moyenne taille environ 32 ou36 ans il dit
« qui est là? » « Je m'appelle Arthur » « Et toi comment t'appelles tu ? »
«Je m'appelle Samuel, aide moi.
- j'arrive pour te sauver, dit-je.
Je suis ressorti de l'armoire pour appeler ma mère »
Pendant se temps, Samuel est resté dans le couloir. J'ai décidé d'appeler ma mère.
« J'arrive » dit ma mère.
Elle a alors dit : « Que se passe t il ? »
« Je voulais te dire, que j'avais finis mon livre c'est l'histoire d'un garçon qui recherche ses frères qui le retrouve frigorifier sur le
sommet d'un montagne enneigée malheureusement toute cette neige lui a été fatale car il est mort et mon livre et dans l'armoire. »
Elle est alors rentrée dans l'armoire est tombée dans l'armoire dans un trou profond.
Mes membres étaient comme figés.
J'ai dit à Samuel : « La voix est libre ».
Samuel marcha avec hésitation et tomba lui aussi dans le trou comme ma mère.
J'ai dit : « Abra cadabra »
et des anges sont apparu et ils m'ont dit : « Nous te hanterons toute ta vie »
Et depuis ce jour-là, la maison est hantée.
Et je vis maintenant à Sydney avec ma femme et mes enfants qui font tout mon bonheur.
Et il m'arrive de repenser à tout cette histoire qui m'est arrivée et qui fait partie de ma vie mais aujourd'hui je suis heureux et je
pense à l'avenir.
Ylian
La porte des ténèbres
Je longeai le couloir sombre et noir, j'entendis encore des gémissements tandis que la porte se refermait.
Je pris mes jambes à mon coup et je réussis à sortir. Je descendis chez ma mère pour lui raconter
Ceci lorsque la maison se mit à trembler, je tombai des escaliers et je me fis très mal à la tête.
Je me relevai et je partis le dire à ma mère, elle me répondit «mon enfant tu t'es pris un sacré coup sur la tête tu me raconte
n'importe quoi, va te reposer. »
Le lendemain je retournai dans le couloir et j'aperçus des ombres sur le mur. Je m'approchai et elles commencèrent à s'échapper.
Je leur courus après et elles réussirent à me semer.
Je continuai ma visite dans le couloir et je tombai sur une tombe où il y avait écrit Samuel.
Je retournai vite chez ma mère pour l'informer du couloir dont elle ne savait pas l'existence.
Samuel apparu et dit à ma mère : je suis là pour finir ma mission : chasser les démons maléfiques.
Un démon arriva et captura ma mère. Nous les poursuivîmes. Samuel leur jeta un sort et les démons partîrent dans leur monde. Ma
mère, elle, était là mais elle s'était fracturé le dos elle devait rester avec une prothèse pendant trois ans.
Deux ans après, ma femme revînt et nous lui expliquâmes cette histoire à son tour. Et c'est pour ça que si je n'avais pas ouvert
cette porte cette histoire ne serait jamais arrivée.
Youssef Rhazal
La porte des ténèbres Quand je suis entré dans la pièce il y avait des bruits, c’était vraiment étrange, il avait beaucoup de poussière. Il y avait un livre par terre, je l ‘ai pris, c’était écrit : Samuel. Je l’ai pris puis j’ai continué à observer la pièce. Il y avait des photos de ma famille. Samuel, je ne l’ai jamais vraiment connu c’est dommage. Il y avait aussi des fleurs il avait des bruits de craquement, il avait aussi des bruits de battement d’ailes de chauve-­‐souris. Il était vraiment hanté ce couloir ! Je suis sorti. Je l’ai refermé. Je ne voulais rien dire à ma mère puis je suis parti cacher le livre. C ‘était l’heure du dîner, ensuite je suis remonté dans la chambre puis j’ai continué à lire le livre, ma mère alors est entrée, j ‘ai vite cachée, j’ai tout de suite caché le livre en dessous du coussin, puis elle ma dit : qu’est tu faisais ? J’ai dit que j’écrivais une lettre à ma femme, puis elle m’a dit prépare toi on va aller au cimetière. Il y avait plein de tombes, il y avait aussi des fleurs on n’était venu déposer les fleurs sur la tombe de mon père et mon frère. Quand on est monté dans la voiture, j’ai vu dans le rétroviseur une personne qui n’avait pas de mains qui dégoulinait de sang. On est vite monté dans la voiture et on est parti. Il y avait encore les bruits de chauffe-­‐souris, de fantôme. Cet homme j’étais seul à le voir ma mère me disais qu’il n’y avait rien. Arrivés dans la maison j’ai ouvert l’armoire et l’homme sans mains avec du sang qui dégoulinait est apparu. J’ai tout de suite refermé l’armoire et je me suis couché car il était tard. Je n’arrivais pas à dormir, j’entendais les bruits de l’homme. Je me suis levé de mon lit puis j’ai allumé la lumière mais il n’avait rien, je suis descendu de la chambre puis je suis allé dans la cuisine c’est alors qu’un tiroir c’est ouvert et un couteau s’est levé et c’est dirigé vers moi. Je l’ai pris et je l’ai déposé à sa place. Je suis monté. J’ai eu vraiment peur, j’ai éteint la lumière de la chambre et je me suis remis au lit. Il avait toujours ces bruits, la fenêtre s’est fermée pourtant elle était ouverte. Je me suis enfin endormi, le lendemain matin je suis descendu. J’ai trouvé ma mère réveillée. J’ai pris mon petit-­‐déjeuner. Ma mère m’a demandé : tu as passé une bonne nuit ? Je lui ai dit que oui mais j’ai menti je ne voulais rien lui dire. Elle est alors partie. Je suis resté seul, j’ai fermé toutes les portes de la maison et je suis monté dans ma chambre et j’ai ouvert à nouveau l’armoire. L’homme d’hier n’était pas là, il n’y avait aucun bruit. J’ai refermé l’armoire. C’était bizarre puisque hier il était là l’homme. Je crois bien qu’il est magique. Je me suis retourné et il était là, derrière moi. Je lui ai donné un gros coup de poing et il est tombé. J’ai pris un couteau et des sacs en plastique et je l’ai coupé en trois morceaux puis je les ai mis dans les trois sacs en plastique. J’ai porté les sacs et je les ai jetés loin de la maison. En rentrant j’ai refermé la maison puis j’ai essuyé le sang dans la chambre et j’ai attendu ma mère. Elle est venue, on n’a préparé des pizzas pour le déjeuner, après avoir mangé j’ai voulu appeler Amélie, ma femme. Elle arrivait au Canada pour me faire une surprise pour mon anniversaire. Après j’ai ouvert mes cadeaux, il y’a avait un porte clé en kangourou qui venait d’Australie et un gel de douche et un parfum. Un an après ma mère est morte de vieillesse. J’étais vraiment triste ça avait été mon frère puis mon père et maintenant ma mère. J’ai fermé la porte de la maison et je suis parti m’installer en Australie. On n’a eu un enfant, Denista, c’était une fille. Je pus enfin finir mon roman : c’était l’histoire d’une maison hantée par un mort-­‐vivant. Asma La porte des ténèbres Je me suis réveillé et je me suis mal senti donc je suis allé voir le fond de l'armoire donc j'ai vu qu'il y avait un long couloir dans la chambre du petit Samuel. Donc je suis rentré dans ce long couloir et je ne sais pas où il m'a emmené donc j'ai continué. Et j'ai vu quelque chose de bizarre. J'avais une lampe torche dans ma poche et ensuite, je l'ai allumée et j'ai continué et ensuite j'ai vu qu'il y avait une fin et après ma mère m'a appelé. Ensuite j'ai mal entendu. Je me suis dépêché de revenir dans la chambre du petit Samuel. J'ai remis l'armoire à sa place et je suis vite descendu, avant j'ai fait le lit et je l'ai questionnée. D’abord je lui ai dit qu'il y avait quelque chose d'étrange dans la chambre. Elle a fait une tête bizarre et les gros yeux. J'ai donc appelé ma femme, j'ai dit qu'elle devait rentrer maintenant. Ensuite elle était d’accord pour rentrer. J’ai alors dit à ma mère que je devais rentrer mais avant je devais continuer mon roman. Je devais rentrer mais pas maintenant. J'ai attendu que ma femme revienne d'Australie. A la place de parler je devais continuer à écrire mon roman. Avant je devais questionner ma mère. « Viens voir avec moi dans la chambre du petit Samuel, parce que derrière l'armoire il y a un courant d'air et un long couloir, je ne sais pas où il m'a emmené et je me suis mal senti. » « Merci fiston de me l'avoir dit, au revoir! » Je suis alors monté dans sa Mustang déglinguée et je suis allé à l’aéroport et pour trouver ma femme et rentrer à la maison. Ibrahim Tebib La porte des ténèbres
...Il y avait un long couloir qui s'étendait devant moi.
C'était étrange parce que j’entendais des pas... on aurait dit des pas de dinosaure, c'était très effrayant parce
que le couloir était sombre. Si sombre que je ne pouvais voir mes mains correctement.
D'un coup, une petite lumière se projeta sur moi, comme par magie.
Ça me fit peur.
Soudainement, maman m’appela pour manger, j'ai sursauté.
Je suis donc allé manger et elle m'a demandé ce que je faisais dans la chambre de petit frère ? J'ai répondu
que j'écrivais des papiers. Elle m'a cru.
Plus tard dans la soirée nous sommes allés nous promener dans le cimetière sur la tombe de Samuel.
Après un moment de tristesse maman m'a tiré par le bras. Nous avons traversé un chemin de boue,
écoeurant. J’apercevais une silhouette au loin qui gigotait, j'étais raidi par la peur. Ce monstre, parce que oui
je pouvais en déduire que c'était un monstre, je le voyais de plus en plus clairement. Vert était la couleur qui
recouvrait son pelage qui me semblait sale et gluant. Des tas de boutons recouvraient ses longues jambes.
Le monstre bafouilla quelques mots incompréhensibles.
Maman m'emmena jusque devant la bête et d'un coup de baguette elle dit :
« Abracadabra humano tu deviendras ! »
Devinez quoi ? Il s'est transformé en humain.
Ça m'a fait très peur je croyais que j'allais mourir.
Le géant s'était donc transformer en humain et il nous a dit à maman et moi : « c'est moi qui ai fabriqué
votre maison, c'est pour ça que toi, Arthur, tu as découvert une porte des ténèbres dans la chambre du petit
Samuel. » Il continua sur une formule magique : « Abracadabra dans le passé tu te retrouveras ! »
La magie opéra ! Nous nous étions retrouvés à la maison, comme par enchantement. Maman était à mes
côtés, du bruit se faisait entendre dans la cuisine, c'était Aurélia, ma compagne. Quand tout à coup, je vis
descendre des escaliers, Samuel mon petit frère.
Sinem Lecante

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