LES BATEAUX DE LES BATEAUX DE LA GRÈCE ANTIQUE. DE LA
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LES BATEAUX DE LES BATEAUX DE LA GRÈCE ANTIQUE. DE LA
LES BATEAUX DE LA GRÈCE ANTIQUE. NAVIRES MARCHANDS EN GRÈCE ANTIQUE : Les navires marchands jouaient en Grèce antique un rôle essentiel dans les échanges, dans la mesure où la fragmentation forte du relief de Grèce encourageaient les commerçants à se déplacer plutôt par voie maritime que terrestre, notamment à moyenne et longue distance. Les représentations de ces bateaux sont rares, mais en les combinant avec les épaves retrouvées retrouvées par les archéologues, les historiens ont aujourd’hui une idée assez précise des caractéristiques de ces vaisseaux. Ils sont le plus souvent désignés comme des navires « ronds » par opposition aux navires de guerres, « longs ». Compte tenu de la documentation ntation disponible, il est cependant difficile aux historiens de dégager une typologie satisfaisante des bateaux de commerce en Grèce antique. La diversité semble la règle, aussi bien en terme de taille, que de tonnage, voire de mode de propulsion. Cependant, Cependant, les évolutions techniques ne semblent pas particulièrement marquées. LES GALÈRES : Birème romaine du Ier siècle av. J.C. Si, du XVIe au XVIIIe siècle, le terme de galère a désigné un type très précis de navire de guerre à rames, il a pris aujourd'hui un sens beaucoup plus général, puisqu'on désigne sous ce nom l'ensemble des navires à rames de combat de l'Antiquité, du Moyen Age et de la période classique jusqu'au début du XIXe siècle, qui vit leur disparition. La galère est d'abord devenue synonyme de « vaisseau long », vieille expression qui désignait un bâtiment léger et effilé de manière à disposer, sur chaque bord, du plus grand nombre de rames possible, par opposition au navire à voiles, ou « vaisseau rond », obligatoirement large et profond afin afi que l'effort du vent sur les voiles ne le couchât pas sur l'eau. Puis cette opposition est devenue de moins en moins nette avec l'apparition de voiliers de plus en plus fins ; elle a disparu complètement avec le vapeur, de même que l'expression, qui étaitt restée vivante de l'Antiquité à 1800. même date du XVIe siècle. Il a remplacé Le mot galère lui-même alors celui de galée (galea en italien), qui, pour certains, viendrait du mot grec signifiant espadon ; mais il est presque sûr qu'il reproduit le mot byzantin byzantin galaia (type de navire), luilui même emprunté au Xe siècle à l'arabe xalija. LA TRIÈRE : Trière grecque. Sur l'antique trirème, ou trière, considérée en son temps comme le plus efficace et le mieux construit des navires, nous ne possédons que des renseignements renseignements pauvres et controversés. Il n'est pas établi qu'elle dérive de la rapide et manœuvrante birème dont aurait été accrue la puissance de choc pour l'éperonnement, la plus redoutable technique de destruction navale jusqu'à l'apparition du canon. L'invention ention de l'éperon date approximativement de 550 av. J.C. et nous retrouverons ce type de « navire long » associé à plusieurs civilisations maritimes, l'athénienne, la phénicienne, la corinthienne, l'égyptienne et la romaine. La trière grecque, devait mesurer mesurer environ 40 mètres de long, cinq et demi de large. 170 bons rameurs, divisés en trois catégories hiérarchisées, la montaient : 62 thranites aux bancs de nage supérieurs, 44 zygites aux bancs intermédiaires, 44 thalamites aux bancs inférieurs. Comme la birème ou le navire mycénien, la trière ne possédait qu'un seul mât et une seule voile, carrée ou rectangulaire. On trouvait donc à bord, en sus des rameurs recrutés dans les classes les plus pauvres, des gabiers pour manœuvrer la toile et des soldats pour mener le combat. Les rames étaient relativement courtes pour la longueur du navire : 4,25 m à l'étage supérieur, 3,15 m au niveau intermédiaire, 2,25 m à l'inférieur. Certains érudits prétendent qu'elles n'étaient pas de même longueur pour un même étage, mais disposées en dégradé, tels les doigts d'une main. LES GALÈRES ( SUITE ) : Les premières galères à un niveau de rames (monères monorèmes pour les Romains), les plus anciennes, étaient globalement des barques non pontées mais disposant d'un petit gaillard d'avant et d'arrière, éventuellement une faible cale. Elle était construite "à coque première", une technique plus élaborée que celle des navires premiers navires égyptiens et apparue aux alentours du XIIIe siècle avant notre ère. Elle consistait à placer sur une structure de base avec quille et couples, un bordé fait de plaques de bois ( les vaigres ), assemblé et maintenu en place par des mortaises enfoncées dans des encoches verticales et solidarisées par des tenons enfoncés au maillet. Pour imperméabiliser imperméabiliser le tout, on faisait appel au calfatage, consistant à appliquer sur la coque de la toile de lin fin, enduite de poix chauffée, puis de bitume. Plus tard, vers le Xe siècle av. J.C., on utilisera de petites plaques de cuivre pour achever cette imperméabilisation, notamment du fait de la décomposition relativement rapide du bitume dans l'eau de mer. LES BIRÈMES : Une birème est une galère de l'Antiquité, comportant deux files de rameurs de chaque bord. Une réplique de birème antique, baptisée Kybele a rejoint le port de Marseille pour retracer le parcours des colons grecs. Elle était partie de Foça (ancienne Phocée) en Turquie. LES QUINQUÉRÈMES : La quinquérème est un type de galère antique qui se caractérise par la présence de cinq rameurs par section verticale, contrairement à la trière dont elle descend, ils ne manœuvrent pas chacun leur aviron, mais sont plusieurs à pousser sur un seul. est un type de galère antique qui se caractérise par la présence de cinq rameurs par section verticale, contrairement à la trière dont elle descend, ils ne manœuvrent pas chacun leur aviron, mais sont plusieurs à pousser sur un seul. FIN.