fichiers PAO mac_pc_2012:Mise en page 1

Transcription

fichiers PAO mac_pc_2012:Mise en page 1
Enregistrements de fichiers informatiques…
version 2012_2013
/// Exploitation sur différents postes PAO / versions de logiciels
/// Changement de plate-forme (MAC / PC)
Attention : lorsque vous récupérez des fichiers informatiques pour les utiliser sur un autre poste PAO, il est nécessaire de faire attention à
un ensemble de paramètres afin de pouvoir les rouvrir ultérieurement.
En effet, les différences de configurations (plate-forme et/ou versions de logiciels) entre l’entreprise, le lycée et chez vous… peuvent générer des problèmes de compatibilité. Il est par ailleurs plus que préférable de tester la procédure sur quelques fichiers rapidement, histoire
de ne pas se retrouver avec des fichiers inexploitables lorsqu’on n’a plus accès au poste PAO sur lequel les fichiers ont été conçus…
/// les versions des logiciels utilisés :
Pour rappel, au Lycée, nous avons :
- Quark XPress 7 > donc les documents conçus avec des versions antérieures seront lisibles (versions 3, 4, 5, 6 - le chiffre après le point n’a
pas d’importance, par exemple un document fait en 6.5 s’ouvre sur la version 6). Par contre, si vous avez une version plus ancienne chez vous,
vous ne pourrez pas ouvrir des documents conçus avec toutes les versions plus récentes. Inversement, si vous avez la version 9 chez vous,
vous ne pourrez pas ouvrir votre doc XPress avec la version 7 du lycée.
Procédure d’enregistrement en version 6 depuis la version 7 (idem de 8 à 7) : menu fichier > exporter > mise en page en tant que projet >
version : 6 (donner un nouveau nom). Mais attention, les spécificités de la version 7 (ombre portée, transparence…) seront supprimées à l’enregistrement en version 6 (même principe pour toutes les versions et tous les logiciels…). Il est impossible d’enregistrer pour 2 versions en
dessous du logiciel. Par exemple pour ouvrir un document réalisé sur XPress 8 sur la version 6, il faut répéter la procédure de 8 à 7 puis ouvrir le doc sur la version 7 et l’exporter pour la 6 (donc avoir gardé toutes les versions du logiciel)…
• Il existe un plug-in de chez Markzware permettant de transformer un document XPress en document InDesign : c’est Q2ID (pour l’inverse c’est ID2Q).
- Adobe InDesign CS4 > les fichiers InDesign ne s’ouvrent pas avec des versions antérieures.
Procédure d’enregistrement depuis la CS4 (c’est le même principe depuis la version CS3, avant, c’est à vérifier) : menu fichier > exporter >
enregistrer sous (donner un nouveau nom), format : InDesign CS3 Interchange INX (extension : .inx), pour la CS5 : InDesign Markup (.idml).
- Adobe Photoshop CS4 > a priori, pas de problème de compatibilité, à moins d’avoir utilisé des fonctions spécifiques à la CS ou à la CS2 (composition de calques par exemple…), ce qui est peu probable… Le fichier devrait tout de même s’ouvrir.
- Adobe Illustrator CS4 > les fichiers Illustrator ne pourront pas être ouverts avec des versions antérieures.
Procédure d’enregistrement depuis la CS : menu fichier > exporter > illustrator legacy (ai) ou illustrator legacy eps (eps), puis choix de la version. Procédure depuis CS2 à CS5 > choix de la version (on peut redescendre de plusieurs versions) à l’enregistrement (2e zone de dialogue).
En salle d’autonomie, c’est XPress 6.5, Illustrator 10 (pas de transparence) et Photoshop 7.
/// le dossier de flashage :
Par ailleurs, pensez à récupérer tous les liens images et toutes les polices utilisées dans les documents (XPress et InDesign).
> cf. cours sur le dossier de flashage et de sauvegarde…
En ce qui concerne les mise en pages sur Illustrator, il faut également sauvegarder les images si les liens ne sont pas incorporés et les polices
si elles ne sont pas vectorisées (fichier de sauvegarde .ai par exemple…).
Il est préférable de ne pas incorporer les images dans illustrator (contrôle et modification possible de l’image bitmap après importation, risque
de problème au flashage réduit…), mais dangereux, car il faut penser à garder les fichiers importés (images bitmap). L’option d’incorporation
des liens est accessible à l’enregistrement du fichier (cocher ou non “inclure les fichiers liés”, mais, contrairement à l’incorporation de liens dans
InDesign, il est impossible de les désincorporer après coup).
/// le pdf :
En plus, ou à la place du dossier de flashage (si vous ne souhaitez pas modifier le fichier), vous pouvez générer des pdf (qualité impression) de vos
travaux de mise en page. Ces derniers pourront être importés dans Indesign ou dans XPress (à partir de la 6) et vous n’aurez pas de problème de liens
images ou de polices absentes (si les polices sont incorporées au moment de la conception du pdf). Pensez toutefois à ouvrir le pdf pour vérifier s’il
n’y a pas eu de problème PostScript (police, lien absent…). Rappel : un bon pdf se fait à partir d’un fichier .ps avec le logiciel Acrobat Distiller…
/// le passage entre Mac et PC :
Vous êtes nombreux à avoir des PC… Les passages entre les deux plates-formes (Mac et PC) sont tout à fait possibles si on prend des précautions…
// les extensions :
Sur un PC, contrairement au Mac, il faut impérativement que le fichier ait une extension pour que le système identifie quelle application utiliser pour ouvrir le
fichier. Depuis le système OSX, les extensions sont systématiquement ajoutées à certains fichiers (applications Adobe et bien d’autres), mais pas pour les documents XPress par exemple, il faut donc l’ajouter à la main. l'extension d’un document XPress c’est “.qxd” ou “.qxp”. Les fichiers enregistrés sur un PC ont
tous une extension, donc pas de problème pour les ouvrir sur un Mac (à part un problème de version de logiciel bien sûr…).
// les polices :
Le problème le plus important entre les deux plate-formes, c’est les polices… Les polices TrueTypeFont (.ttf) et OpenType (.otf) sont lisibles sur PC et Mac (OSX
uniquement), donc pas de problème. Par contre, les polices PostScript (T1) (celles utilisées au Lycée par exemple) sont propres à chaque plate-forme, donc incompatibles entre Mac et PC… Il existe certes des applications capables de transformer ces polices (entre Mac et PC, de t1 Mac à t1 PC, de t1 Mac à ttf PC…),
mais ça ne marche pas à tous les coups. Par exemple, sur Mac, le logiciel TransType Pro permet ce genre de conversion de polices.
// les noms de fichiers :
Les systèmes d’exploitation récents autorisent environ 30 caractères pour un nom de fichier (les espaces et la ponctuation comptent, l’extension aussi). Tout
d’abord, il faut savoir que les problèmes de reconnaissance des noms sont fréquents lorsqu’on utilise des caractères spéciaux ou accentués… D’autre part, il est
possible que lorsqu’on passe du Mac au PC (l’inverse n’est pas vrai), le système d’exploitation (surtout les vieux) coupe le nom au bout de 11 caractères et place
un point à cet endroit, les 3 caractères suivants seront donc considérés comme l’extension, ce qui va poser problème, car ces lettres ne correspondront à aucune
extension valide… Par exemple : “nom_de_fichier_a_rallonge.txt” se transformera en “nom_de_fich.ier”, et comme l'extension “.ier” n’est pas correcte, le fichier
ne pourra pas être ouvert sur un PC. Il existe une parade, il suffit de supprimer le “.ier” et de la remplacer par “.txt” (mais encore faut-il savoir quelle était l’extension d’origine…) et forcer le logiciel approprié à ouvrir le fichier (menu fichier > ouvrir > pointer le fichier). Il y a toutefois parfois des bugs entre le .eps de
Photoshop et celui d’Illustrator. Lorsqu’on transmet un fichier en ftp (une archive compressée par exemple), le système ajoute parfois une deuxième extension à
la suite de la première (par ex. : archive.sitx.txt). Pour rendre ce fichier exploitable (décompression possible), il suffit de supprimer la deuxième extension.

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