Quatre murs et un toit _Intégral

Bénabar – “Quatre murs et un toit” de l’album Reprise des négociations (2005).
1. Remettez dans l’ordre les différentes strophes de cette chanson puis écoutez-la pour
vérifier.
1: _ _ __ 2: _ __ _ 3:____ 4: _ _ __ 5: _ __ _ 6: _ __ _
2. Mettez les mots du lexique de la maison à la bonne place :
ampoules – apparts – bureau – cabane – cave à vins – chambre – chambres d’amis – clôtures –
enduit – étage – frigo – garage – grenier – jardin – machine à laver – maison – murs – pavillon –
pièce – plafond – plâtre – salle de bains – salon – stores électriques – terrain vague – toit
A
Les enfants ont poussé, ils sont trois maintenant. On remplit sans se douter le –1– doucement.
Le grand habite le –2–pour être indépendant. La –3–, c'est dommage, est à l'abandon. Monsieur
rêverait de creuser une –4–, Madame préférerait une deuxième –5–. Ça sera une deuxième –5–.
B
Les petits-enfants espérés apparaissent. Dans le –6–, on remet des glaces. La –3– du –7–
trouve une deuxième jeunesse, c'est le consulat que rouvrent les gosses. Le –1– sans bataille livre
ses trésors, ses panoplies de cow-boys aux petits ambassadeurs qui colonisent pour la dernière fois
la modeste terre promise: Quatre –8– et un –9–.
"Cette –10– est en vente comme vous le savez. Je suis, je me présente, agent immobilier. Je dois
vous prévenir si vous voulez l'acheter, je préfère vous le dire cette –10– est hantée. Ne souriez pas
Monsieur, n'ayez crainte Madame, c'est hanté, c'est vrai mais de gentils fantômes, de monstres et de
dragons que les gamins savent voir, de pleurs et de bagarres et de copieux quatre-heures, "finis tes
devoirs", "il est trop lourd mon cartable", "laisse tranquille ton frère", "les enfants: À table!"
Ecoutez la musique. Est-ce que vous l'entendez? (x3)
C
Un –11–, de vagues –12–, un couple divague sur la –10– future. On s'endette pour trente ans.
Ce –13– sera le nôtre et celui de nos enfants, corrige la femme enceinte. Les travaux sont finis, du
moins le gros oeuvre. Ça sent le –14– et l’–15– et la poussière toute neuve. Le –14– et l'–15– et la
poussière toute neuve.
D
Ils habitent à Paris des –16– sans espace, alors qu'ici y a trop de place. On va poser, tu sais,
des –17–. C'est un peu laid, c'est vrai, mais c'est plus pratique. La –10– somnole comme un chat
fatigué, dans son ventre ronronne la –18–. Dans son ventre ronronne la –18–.
E
Des –19– à nu pendent des –8– du –20–. Le bébé est né, il joue dans le –21–. On ajoute à l'–
22– une –23– de plus, un petit frère est prévu pour l'automne. Dans le –7– les arbres aussi
grandissent, on pourra y faire un jour une –3–. On pourra y faire un jour une –3–.
F
Les enfants vont et viennent chargés de linge sale, ça devient un hôtel la –10– familiale. On a
fait un –24– dans la petite –25– d'en haut et des –26–. Les enfants sont partis, ils ont quitté le nid
sans le savoir vraiment, petit à petit, vêtement par vêtement. Petit à petit, vêtement par vêtement.
Bénabar – “Quatre murs et un toit” de l’album Reprise des négociations (2005).
1. Remettez dans l’ordre les différentes strophes de cette chanson puis écoutez-la pour vérifier.
1: _ _ __ 2: _ __ _ 3:____ 4: _ _ __ 5: _ __ _ 6: _ __ _
2. Mettez les mots du lexique de la maison à la bonne place :
ampoules – apparts – bureau – cabane – cave à vins – chambre – chambres d’amis – clôtures – enduit – étage – frigo –
garage – grenier – jardin – machine à laver – maison – murs – pavillon – pièce – plafond – plâtre – salle de bains –
salon – stores électriques – terrain vague – toit
Les enfants ont poussé, ils sont trois maintenant. On remplit sans se douter le –1– doucement. Le grand
A
habite le –2–pour être indépendant. La –3–, c'est dommage, est à l'abandon. Monsieur rêverait de creuser une –
4–, Madame préférerait une deuxième –5–. Ça sera une deuxième –5–.
Les petits-enfants espérés apparaissent. Dans le –6–, on remet des glaces. La –3– du –7– trouve une
deuxième jeunesse, c'est le consulat que rouvrent les gosses. Le –1– sans bataille livre ses trésors, ses panoplies
de cow-boys aux petits ambassadeurs qui colonisent pour la dernière fois la modeste terre promise:
Quatre –8– et un –9–.
"Cette –10– est en vente comme vous le savez. Je suis, je me présente, agent immobilier. Je dois vous prévenir si
vous voulez l'acheter, je préfère vous le dire cette –10– est hantée. Ne souriez pas Monsieur, n'ayez crainte
Madame, c'est hanté, c'est vrai mais de gentils fantômes, de monstres et de dragons que les gamins savent voir, de
pleurs et de bagarres et de copieux quatre-heures, "finis tes devoirs", "il est trop lourd mon cartable", "laisse
tranquille ton frère", "les enfants: À table!" Ecoutez la musique. Est-ce que vous l'entendez? (x3)
B
Un –11–, de vagues –12–, un couple divague sur la –10– future. On s'endette pour trente ans. Ce –13–
sera le nôtre et celui de nos enfants, corrige la femme enceinte. Les travaux sont finis, du moins le gros oeuvre. Ça
sent le –14– et l’–15– et la poussière toute neuve. Le –14– et l'–15– et la poussière toute neuve.
D
Ils habitent à Paris des –16– sans espace, alors qu'ici y a trop de place. On va poser, tu sais, des –17–. C'est
un peu laid, c'est vrai, mais c'est plus pratique. La –10– somnole comme un chat fatigué, dans son ventre
ronronne la –18–. Dans son ventre ronronne la –18–.
C
Des –19– à nu pendent des –8– du –20–. Le bébé est né, il joue dans le –21–. On ajoute à l'–22– une –
23– de plus, un petit frère est prévu pour l'automne. Dans le –7– les arbres aussi grandissent, on pourra y faire un
jour une –3–. On pourra y faire un jour une –3–.
E
Les enfants vont et viennent chargés de linge sale, ça devient un hôtel la –10– familiale. On a fait un –24–
dans la petite –25– d'en haut et des –26–. Les enfants sont partis, ils ont quitté le nid sans le savoir vraiment,
petit à petit, vêtement par vêtement. Petit à petit, vêtement par vêtement.
F
Corrigé 1 : 1C– 2E– 3 A– 4F– 5D– 6 B
Corrigé 2:
1. grenier. 2. garage. 3. cabane. 4. cave à vins. 5. salle de bains. 6. frigo. 7. jardin. 8. murs. 9. toit. 10. maison.
11.terrain vague. 12. clôtures. 13. pavillon. 14. plâtre. 15. enduit. 16. apparts. 17. store électrique. 18. machine à
laver. 19. ampoules. 20. plafond. 21. salon. 22. étage. 23. chambre. 24. bureau. 25. pièce 26. chambre d’amis.
Bénabar – “Quatre murs et un toit” de l’album Reprise des négociations (2005).
Un terrain vague, de vagues clôtures, un couple divague sur la maison future. On s'endette pour trente ans. Ce
pavillon sera le nôtre et celui de nos enfants, corrige la femme enceinte. Les travaux sont finis, du moins le gros
oeuvre. Ça sent le plâtre et l'enduit et la poussière toute neuve. Le plâtre et l'enduit et la poussière toute neuve.
Des ampoules à nu pendent des murs du plafond. Le bébé est né, il joue dans le salon. On ajoute à l'étage une
chambre de plus, un petit frère est prévu pour l'automne. Dans le jardin les arbres aussi grandissent, on pourra y
faire un jour une cabane. On pourra y faire un jour une cabane.
Les enfants ont poussé, ils sont trois maintenant. On remplit sans se douter le grenier doucement. Le grand habite
le garage pour être indépendant. La cabane, c'est dommage, est à l'abandon. Monsieur rêverait de creuser une cave
à vins, Madame préférerait une deuxième salle de bains. Ça sera une deuxième salle de bains.
Les enfants vont et viennent chargés de linge sale, ça devient un hôtel la maison familiale. On a fait un bureau
dans la petite pièce d'en haut et des chambres d'amis. Les enfants sont partis, ils ont quitté le nid sans le savoir
vraiment, petit à petit, vêtement par vêtement. Petit à petit, vêtement par vêtement.
Ils habitent à Paris des apparts sans espace, alors qu'ici y a trop de place. On va poser, tu sais, des stores
électriques. C'est un peu laid, c'est vrai, mais c'est plus pratique. La maison somnole comme un chat fatigué, dans
son ventre ronronne la machine à laver. Dans son ventre ronronne la machine à laver.
Les petits-enfants espérés apparaissent. Dans le frigo, on remet des glaces. La cabane du jardin trouve une
deuxième jeunesse, c'est le consulat que rouvrent les gosses. Le grenier sans bataille livre ses trésors, ses
panoplies de cow-boys aux petits ambassadeurs qui colonisent pour la dernière fois la modeste terre promise:
Quatre murs et un toit.
"Cette maison est en vente comme vous le savez. Je suis, je me présente, agent immobilier. Je dois vous prévenir
si vous voulez l'acheter, je préfère vous le dire cette maison est hantée. Ne souriez pas Monsieur, n'ayez crainte
Madame, c'est hanté, c'est vrai mais de gentils fantômes, de monstres et de dragons que les gamins savent voir, de
pleurs et de bagarres et de copieux quatre-heures, "finis tes devoirs", "il est trop lourd mon cartable", "laisse
tranquille ton frère", "les enfants: À table!" Ecoutez la musique. Est-ce que vous l'entendez? (x3)