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le bavard
L A L E T T R E D ’ A C T U S du clu b
Édito
Numéro 69 - 06 avril 2008
La photo...
Le premier objectif du maintien
en fédérale 3 l’année du centenaire
a été atteint grâce notamment
à un bon parcours à domicile.
Toutefois, la saison n’est pas
terminée et nous nous devons
de saisir chaque opportunité.
Le calendrier offre ainsi une fin
de saison attractive avec trois
réceptions en autant de match.
L’occasion est unique de saisir
l’occasion d’accrocher une place
qualificative en championnat de
France et ainsi prolonger la saison.
Malheureusement, certains joueurs
ne semblent pas nécessairement
concernés et tout cela est bien
regrettable… La fédérale 3 a
des exigences et requiert des
contraintes. Il nous faut donc
nous ressaisir dès aujourd’hui. Le
public aura encore son rôle à jouer.
Bon match à tous.
les
du match
partenaires
L.Pairaud
Journée des supporters du 16 mars 2008
A. GUENARD
Brèves
de vestiaires
Une matinée à l’école de rugby
Des minots, des ballons pointus, un carré vert, un ciel bleu (.enfin pas
toujours..) de la lumière, et des adultes qui observent, qui conseillent, qui
éduquent.
Le décor de l’école de rugby est posé.
Depuis début septembre, c’est reparti pour nos jeunes de l’école de
rugby.
Mondial de rugby ou Chabalmania obligent, l’effet Coupe du Monde
a fait augmenter de façon importante les effectifs dans toutes les
catégories, surtout chez les plus jeunes. Cette saison le nombre total
d’inscrits approche la centaine (une cinquantaine l’année dernière). Nos
Mc Caw’s Boys sont répartis en 5 catégories : moins de 7 ans, moins de
9 ans, moins de 11 ans, moins de 13 ans, moins de 15 ans, et à chaque
tournoi le SAP présente deux équipes moins de 7, deux équipes moins
de 9, deux équipes moins de 11, deux équipes moins de 13, et une
équipe moins de 15.
Pour tous, les entraînements se déroulent les samedis de 10h30 à 12h00
avec un entraînement supplémentaire le mercredi de 17h30 à 19h00
pour les moins de 11, 13 et 15 ans.
L’école de rugby surfe sur la vague ovale, profitons de l’engouement et
de l’envie que suscite le rugby pour structurer les fondations du club
….bon vent les jeunes !
Coup d’œil sur le pré !!!!
Au fond du terrain, les moins de 15 ans. Sous la houlette de Réré «La
Plume» , ils répètent encore et encore la gamme des fondamentaux du
rugby, surveillés comme le lait sur le feu par leur coach qui de temps en
temps, n’est pas peu fier de leurs montrer que la chistera- Elissaldienne,
si, si ….il peut le faire.
Devant le bidonville (structure de fer, de planches, de tôles…nous
sommes en Fédérale 3 quand même…) appelé tribune du Brisset, les
moins de 13 ans font admirer leur dextérité sur une série d’ateliers.
Placages, cadrages débordements, deux contre un, trois contre deux...
Ces exercices rythment l’entraînement de ce samedi matin sous les
regards attentifs de Jean Luc, glorieux deuxième pompe de l’équipe
première du SAP de l’an XV avant Jésus Christ et du « Baron » Rodolphe,
Sapistad’Or pur et dur surnommé aussi Mr Propre.
Devant les niches ... houps !!! ... les abris de touche, une flopée de mômes
de moins de 11 ans galopent sous l’oeil expert (bof !!) de Gwen le
pizzaoïlo (voir certains de ses lancers en touche le dimanche). Premières
pompes, premiers abdos, il faut commencer à faire de sérieux efforts
pour pouvoir figurer un jour sur le calendrier «Des Joueurs du SAP qui
se Désap» à l’image de Gwen leur mentor, mi-homme, mi-bête que vous
trouverez page 3 au mois de mai 2008 dans ledit calendrier.
Dans les 22 mètres de la partie haute du terrain, une nuée de «miniChabal» jouent au jeu de l’épervier, à des jeux de lutte, des jeux
d’affrontement, et font des relais. Tous écoutent ( enfin ils essaient
!!) les consignes données par Daoud et Samuel leurs éducateurs,
peut être aussi les grands frères qu’on admirent. Toujours simples et
attentifs, ils refont même les lacets. Et puis Sam, il a l’accent chantant des
mecs du Sud ….ah le B.O, Toulouse, Bayonne !!!!
Dans l’en-but, des maillots de l’équipe de France, de l’équipe des Blacks,
de la Coupe du Monde…… les moins de 7 ans sont là. Pour l’instant il
s’agit de s’affronter au cours d’une terrible partie de gendarmes et de
voleurs de ballons. Et hop, le ballon disparaît happé, par une énorme
grappe de colosses en culotte courte, qui ressemble plus à un gros mille
pattes coloré qu’à un maul du XV de France. Ca crie, ça pousse, ça tombe,
ça tire …. on découvre la pratique du rugby.
Au milieu du terrain avec son crâne rasé et sa gueule de légionnaire
c’est Choper, nouveau venu dans le staff, qui veille et canalise toute
cette débauche de farouche énergie. Dans un des coins du terrain Seb
« Delirium Tremens » les cheveux maintenus par une magnifique
couette prépare un nouveau jeu : l’éléphant Rose. Une
savante phase de jeu made in Café des Arts que lui seul peut
expliquer et qu’il a dû « pomper » dans le livre d’Or d’un pub
Irlandais.
Voilà en résumé, comment se déroule un samedi matin à
l’école de rugby.
Avant de conclure, citons encore Fabrice «maçon man»,
parent-éducateur au corps et au cœur devenus grands qui
vient nous aider pour encadrer tous ces jeunes sur le terrain.
Profitons également du Bavard pour remercier Grégory,
Denis, Xavier et Thierry, des papas devenus cette année
secrétaire ou intendant de l’école de rugby.
Bon vent à vous Messieurs, qui avez accepté d’être sur
le terrain ou derrière un bureau, pour nous aidez à faire
découvrir et partager aux enfants, l’esprit et les valeurs du
rugby.
Un grand merci, ainsi qu’à l’ensemble des éducateurs.
Bonne fin de saison à tous !!!!
PPH
Il était
une fois...
SAP-Lorient. Le SA Parthenay bat péniblement Lorient 14-11.
Le SAP se contenterait de ce même score et de cette même
« pénibilité » invoquée par le « Courrier de l’Ouest » le 28
septembre 1970, pour le deuxième match de la saison. En
vérité, les Lorientais furent coriaces et
menaient à la mi-temps par 6 à 5.
« La première mi-temps avait été
désastreuse pour les Gâtinais qui
semblaient anéantis par la chaleur.
» Leurs adversaires semblaient plus
vaillants (peut-être jouaient-ils à
l’ombre), et inscrivaient deux drops
avant la pause, « en dominant à
outrance », contre un essai transformé
de Patanchon. Patanchon marquait un
autre essai dès la reprise sur coup de pied à suivre Secrestat
y allait de ses deux coups francs, ce qui donnait à respirer
aux locaux. Heureusement car le trois-quart breton Arzel
marquait un essai de 60 mètres (transformé) pour revenir à
14-11. (Rappelons que l’essai valait trois
points).
Le SAP déjà vainqueur au premier
match, partait bien. Il finira septième
de cette poule de 3ème division.
JM Chargé
En 1970, Pierre Dautais était
président, Jean-Claude Secrestat et
Alain Gommès les entraîneurs.
Nous n’avons pas la composition exacte
pour cette rencontre. Quinze jours plus
tard, voici les joueurs qui étaient convoqués.
Equipe 1 : Décou, Princeau, Patanchon,
Cerdan, Spégonia, JP Diéval, Secrestat,
Charles, Gilot, Larroze-Lauga, Gommès P. Diéval,
Grangetas, Ropiquet, Cossoul.
Equipe 2 : Boirret, Granger, Pradeilles, Derit,
Grassignoux, C. et M. Peignon,Taveneau, Bertrand,
Bouillon, Bonnici, Chauveau, Auguchon, Palissier, Ayrault,
Hérault, Chapuis, Bossard, Gommit, Courribet.
Rencontre avec...
Le centenaire du club approchant, cette
rubrique est consacrée aux joueurs, dirigeants,
supporters, bénévoles qui ont marqué
l’histoire du SAP.
Paul Luneau
Le Bavard : Quand avez vous joué au SAP ?
PL : J’ai joué au SAP de 1971 à 1980. Je jouais 2ème ligne et j’étais
également entraîneur. Je venais d’Angoulême où j’avais joué 2
saisons. Le club m’a recruté en me trouvant du travail chez Monsieur
Dautais.
Quel est votre meilleur et votre pire souvenir sportif au SAP ?
PL : J’ai beaucoup de bons souvenirs. Parthenay m’a beaucoup
apporté, avec ma femme on connaissait beaucoup de monde avec
le club. Parthenay représente pour moi un club de copains comme
Métais, Découx, la famille Peignon ... Je me souviens aussi de Gilbert
Favreau, un fameux 2ème ligne ... Je suis assez ému quand j’en parle
car je garde de Parthenay une image symbolique, non seulement
de ma vie de sportif mais aussi de ma vie d’homme. J’ai également
gardé de très bons souvenirs de petits jeunes qui nous avaient
rejoints : Philippe Peignon, Didier Callard ... Lors d’un match à St
Jean d’Angély où c’était eux ou nous qui descendions nous avions
gagné et Philippe Peignon m’a fait marqué et nous avons sauvé la
saison sur ce match. Mon pire souvenir c’est à cette période où on
a failli monter en 2ème division pour finalement se retrouver sur la
corde raide et dsecndre en Honneur. Ce n’était pas évident.
Que représente pour vous le centenaire et le retour du club en
fédérale 3 pour cette année 2008 ?
PL : J’ai appris la montée par la presse et j’ai été très heureux pour
ceux qui s’en occupe aujourd’hui. Cette remontée a été attendue
très longtemps et j’espère pouvoir être présent pour le centenaire.
J’ai encore bien d’autres souvenirs avec Parthenay. J’organisais le
1er de l’an où près de 1000 personnes participaient, c’était vraiment
un grand repas et grâce aux bénéficies nous avions pu emmener les
juniors et les seniors voir un France-Ecosse au Parc des Princes.
!
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Le Bava
«Colombinou»
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Indi
C’est ainsi qu’ « il » se fait appeler sur le tchat… La
terreur des rencontres, c’est « lui » ! Il paraîtrait qu’une
certaine A.Vinci aurait déjà succombé à ses charmes…
De là à dire que le possible descendant de Colomb ait
Saviez vous qu’après avoir décidé
copulé avec la descendance de Léonard… Quand inde stopper sa carrière de joueur de
ternet est capable de jouer les machines à remonter le
rugby, Yann, coach émérite de l’équipe
temps, c’est toute la Renaissance qui débarque au SAP!
1 du SAP, cherchait sa voix. Notre
Proverbe africian
journaliste toujours aussi bien informé
Citation du sage professeur émérite Nanard : « cul
a retrouvé une photo d’un casting, ou
tendu mérite son dû ». Avis aux amateurs… Pour les
notre entraineur-comédien s’essayait à
ventres bien tendus et dodus, s’adresser à Monsieur
la publicité en formant un Duo vantant
Nanard, bénévole émérite au club depuis 15 ans.
les mérites d’un célèbre opérateur
téléphonique. La prestation n’ayant
apparemment pas convaincu le jury,
Yann revint vers le rugby où avec Pascal,
il forme aujourd’hui un autre duo pour
le plus grand bonheur du SAP.
Mister quizz
«
Il l’a dit !
Il faut le remonter comme une
bourriche !
Philippe Brottier, grossiste en marrons,
40 ans, 15.10.2007
«
.
.
.
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Pèleri
Le livre du mois
Le Classement
Equipe
1 Nantes UC
2 Rennes EC
3 Trignac
4 Basse-Goulaine
5 Lorient 6 PARTHENAY
7 Quimper
8 Chauray
9 Plouzané
10 Angers
11 Grandchamp
12 Vitré
Pts
55
48
47
42
42
40
38
34
33
29
27
21
J
19
19
19
19
19
19
19
19
19
19
19
19
G
18
14
13
11
11
10
9
7
7
4
4
1
N
0
1
2
1
1
1
1
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0
2
0
0
P
1
4
4
7
7
8
9
11
12
13
15
18
p
516
435
397
352
354
294
277
274
249
205
190
179
c
144
193
165
266
215
309
293
327
390
450
391
585
Classement sous réser ve des suspensions
Ecrit par Jean-Michel Chargé, correspondant
sportif et déjà auteur de l’exposition des 90 ans
du SAP.
256 pages réparties en 9 chapitres selon les
époques, avec des photos, des compositions
d’équipes, des portraits, des témoignages, les
rencontres phares, des anecdotes.
En annexe, la liste des présidents, entraîneurs,
secrétaireset trésoriers depuis 1908...
Prix : 20€
Sortie prévue mi-avril : disponible à l’Espace
culturel Leclerc, au magasin HYPER U, à la librairie de Gâtine ou bien auprès des dirigeants.
6 Avril 2008
> PARTENAY / LANESTER
Au match aller :
Lanester-SAP : 14-8
Programme de la 20ème journée :
SAP / LANESTER
RENNES / CHAURAY
PLOUZANE / BASSE GOULAINE
ANGERS / QUIMPER
NANTES / VITRE
TRIGNAC / GRANDCHAMP
Calendriers
les 2 prochains matches
SAP-Quimper le 13/04
SAP-Chauray le 27/04
CE BAVARD A ÉTÉ IMPRIMÉ GRACIEUSEMENT PAR
La cuvée du SAP
Dans le cadre des festivités du centenaire, le
SAP met en vente une cuvée spéciale : Château
LE TREBUCHET 2005, situé au cœur de l’EntreDeux-Mers (33190), référencé par le grand jury
du GAULT & MILLAU. Elevé pendant onze mois
en fût de chêne, ce vin rouge est issu de 60 %
Cabernet Sauvignon, 30 % de Merlot et 10 % en
Cabernet franc.
Conditionnement
par caisse de 6 :
36€.
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EN VENTE A
COMPTER DE CE
JOUR