S - Le Monde Informatique
Transcription
S - Le Monde Informatique
G U I D E D E S S O L U T I O N S S O A SUPPLÉMENT SPÉCIAL LES CONCEPTS ET LES OFFRES DE LA SOA E N D É TA I L ANALYSE SOA, le mythe décrypté... page II SOA, les services............. page VI SOA, les processus.......... page VII SOA et l’existant ............. page VIII SOA et la sécurité ........... page IX PANORAMA SOA, les solutions........... page X ANNUAIRE SOA, l’outillage .............. page XII www.lemondeinformatique.fr, le site d’informations high-tech des professionnels p02/11_GuideSOA 9/07/07 16:59 Page II S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A Le guide Le guide S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A > SOA, LE MYTHE DÉCRYPTÉ PAROLES D’EXPERTS POUR UNE INFORMATIQUE PLUS AU SERVICE DES HOMMES Les besoins métier avant tout LES DIFFÉRENTES BRIQUES D’UNE ARCHITECTURE SOA Sécurité et identité Interaction utilisateur Portail, serveur d'interaction Administration Gestion des processus BPM (Business Process Management), BPA (Business Process Automation), orchestration Gestion des transactions EAI/ESB (Enterprise Service Bus), AS + SCA (Application Server + Service Component Architecture), FT (File Transfer) Service d'accès aux données EII (Enterprise Information Integration), LINQ (Language Integrated Query) en .NET, SDO (Service Data Objects) en Java Source : Forrester Research le distinguo entre les technologies et les principes. En soi, SOA n’est qu’un principe d’architecture qui préconise la structuration d’applications par assemblage de composants et non plus, comme par le passé, sur la base d’écriture d’un programme en bloc, approche connue sous le nom d’application monolithique. Baptisés « services », les composants peuvent être de type technique (accès aux données, système de reprise sur erreur, etc.) Marc Guillaumot PIERRE PIEZZIARDI, DIRECTEUR TECHNIQUE D’OCTO TECHNOLOGY « Ne soyez pas victimes des modes » Le problème des entreprises est moins de savoir si elles sont compatibles SOA que de gagner en productivité sur leur système informatique, c’est-à-dire dans leurs missions de développement et d’exploitation. Or, ce problème relève avant tout de l’état de leur patrimoine : la qualité des logiciels. Cette qualité n’est pas aujourd’hui un indicateur de pilotage de la DSI, cette dernière ne gérant le plus souvent que des coûts. Il est donc légitime que les chefs de projet qui se succèdent sur les applications n’en tiennent pas compte, laissant aux générations futures des dettes techniques qui seront les surcoûts de demain. Il existe plusieurs leviers de changement qui permettent de travailler LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 Gestion de la performance Gestion des règles métier, CAF (Composite Application Framework) Métadonnées AVIS D’EXPERT II Composition d'applications à l’amélioration de la qualité, par exemple le développement incrémental et piloté par les tests. Mais sombrer dans l’idéologie de « la » solution qui va résoudre des problèmes dont on n’ose à peine parler sera toujours plus simple que de poser sur soi un vrai regard introspectif. En recréant un système de valeur fondé sur la qualité (mesure, communication, incitation), les entreprises ont beaucoup plus de chance de se construire un système d’information flexible, évolutif et surtout pérenne qu’en voulant faire de la SOA à n’importe quel prix. Les deux approches, pour peu que SOA veuille dire quelque chose, ne sont d’ailleurs pas incompatibles… ■ Une vue d'ensemble est nécessaire avant de se lancer. Mais l'implémentation peut s'effectuer par le bas et par briques successives. HENRY PEYRET, ANALYSTE SENIOR DE FORRESTER RESEARCH « VERS UN SI MIEUX ORGANISÉ » Les principes de SOA sont-ils adaptés à toutes les entreprises ? De manière générale, quels que soient le secteur ou la taille, toutes les entreprises peuvent tirer un profit de SOA. Aujourd’hui, les grands comptes dans le secteur des télécoms ou des finances, par exemple, sont tout particulièrement concernés car ils doivent intégrer des services tiers ou s’interfacer avec les systèmes d’information de partenaires. Leur stratégie multicanal est grandement facilitée par l’utilisation de SOA. Pour les PME, SOA s’appliquera plutôt par la mise en œuvre de progiciels ou en d’autres termes, par le déploiement d’offres du marché dont les fonctions ont été conçues pour être accessibles grâce au principe de service standardisé. Outre les gains économiques et en réactivité, quels avantages peut-on attendre de SOA ? SOA n’est pas une fin en soi, il s’agit seulement d’une démarche qui permet de progresser pour aller vers un système d’information mieux organisé, plus facile à faire évoluer. Dès lors, le système peut suivre le rythme de l’entreprise. Il ne constitue plus un frein puisque le service ou l’application demandés par les fonctionnels peuvent rapidement être mis en place. Côté coûts, en revanche, le concept de réutilisation des services, et par voie de conséquence d’économies en développement, est difficile à valoriser à moins d’avoir déjà un recensement exhaustif des services. Même bien pensé, le service nécessite souvent une plus ou moins grande adaptation pour les utilisations ultérieures. En outre, les projets ne veulent pas prendre en charge ce surcoût ni les délais inhérents. ■ PROPOS RECUEILLIS PAR MARIE-ANNE DELALANDE PASCAL GROJEAN, DIRECTEUR DU PÔLE CONSULTING DE SQLI ou métier (commande, facture, etc.). Autonome, chaque service peut être combiné à un autre au sein d’un processus pour constituer une application « composite ». Enfin, SOA préconise également une séparation des traitements en couche, la couche de présentation, par exemple, ne devant pas être mêlée à la logique métier. Cette approche présente deux avantages immédiats : des économies en développement et une plus grande réactivité. L’entreprise s’épargne en effet la réécriture systématique de fonctions communes à plusieurs applications, tel l’accès aux données, en concevant un service qui pourra être réutilisé par toutes les applications du système. En parallèle, évoluer ne signifie plus faire table rase de la totalité d’une application mais seulement d’un ou plusieurs composants, ■ ■ ■ GUIDE SOA Service Web Composant applicatif présentant une interface standardisée (au format WSDL), accessible au travers d’Internet grâce au protocole SOAP. SOA Service Oriented Architecture, architecture orientée service, préconisant un système d’information bâti à partir de processus aisément reconfigurables, reposant sur des services applicatifs autonomes. UDDI Universal Discovery, Description and Integration, standard pour un annuaire de services Web. WSOA Web Service Oriented Architecture, SOA mise en œuvre grâce à l’utilisation de services Web et de leur annuaire de référencement UDDI. POUR EN SAVOIR PLUS Une politique pour le système d’information, « IL FAUT AMÉNAGER LES MÉTHODOLOGIES » Quelle est la meilleure approche pour mettre en place une SOA ? Deux approches sont possibles : technique et métier. Dans le premier cas, on cherche à rénover son SI, dans le second on répond à un besoin d’utilisateurs en couvrant un périmètre en général orienté e-business. Quelle que soit la démarche, le moteur doit rester le métier car une architecture SOA doit toujours partir des besoins des fonctionnels, les seuls en mesure de décrire leurs processus. DR L Entre ceux qui ne voient en SOA qu’une mode, et ceux qui ne la voient que par le prisme des technologies, comment se faire une idée ? En se souvenant que la SOA est avant tout une démarche d’entreprise. Marc Guillaumot Jamais trois lettres n’ont fait coulé autant d’encre et pas toujours à bon escient. Limitée à tort aux technologies, SOA préconise avant tout une nouvelle façon de penser son système d’information pour réduire les coûts, réagir plus vite et mieux répondre aux besoins des utilisateurs. es éditeurs, les prestataires de services et même la presse ne se lassent pas de vanter les mérites de l’architecture orientée service ou SOA (Service Oriented Architecture). Véritable phénomène de mode, cet acronyme s’inscrit en lettres d’or sur toutes les offres, comme un Saint-Graal de l’informatique. Mais qu’en estil en réalité ? SOA n’est ni une révolution ni une solution exempte de problèmes. Convergence de tendances qui ne datent pas d’hier, SOA n’est pas une technologie mais un concept qui devrait permettre d’aboutir à des systèmes d’information plus flexibles, plus ouverts et moins coûteux à concevoir ou entretenir. Avec la promesse, en tâche de fond, d’une informatique moins technoïde, plus au service des hommes et de la stratégie de l’entreprise… Pour bien comprendre les implications de SOA sur le système d’information, il convient de faire GLOSSAIRE Existe-t-il une méthodologie spécifique ? Les méthodologies classiques restent valables, même s’il faut les aménager. La première étape relève avant tout de la communication : il faut réunir autour de la table les fonctionnels et les équipes informatiques pour cerner les objectifs, GUIDE SOA voir comment SOA peut y répondre et comment procèder. Dans un second temps, les fonctionnels formulent leurs procédures et les équipes informatiques prennent le relais pour les traduire en services et processus techniques. C’est là aussi que le référentiel des services doit être mis en place ainsi que des outils d’administration adaptés à la supervision des processus et des services aux niveaux technique et métier. Qui doit être le garant de la démarche SOA ? Pour mener à bien un tel projet, il faut impérativement nommer un responsable des services, qui sera capable d’avoir une vision globale du programme, qui saura très exactement quels services l’entreprise a en stock, qui pourra alerter les équipes sur les impacts d’une modification, etc. Toutefois, ce n’est pas un poste réellement nouveau mais plutôt l’évolution naturelle de la fonction de l’urbaniste. ■ par Laurent Brisse, Julien Cabot, Gilles Laborderie, Pierre Piezziardi et Christophe Thibaud, Éditions Octo Technology, 39 euros SOA, le guide de l’architecte, par Xavier Fournier-Morelf, Éditions Dunod, 27,55 euros Integration and SOA – Concepts, technologies and best practices, par Belth Gold Bernstein et Gary So, Édition WebMethods (anglais) III PROPOS RECUEILLIS PAR MARIE-ANNE DELALANDE LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 p02/11_GuideSOA 9/07/07 16:59 Page IV S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A Le guide Un rêve enfin accessible grâce aux standards IV Ce qui change avec SOA, c’est que les technologies ont fortement évolué, notamment en termes d’interopérabilité. Qu’elles s’appellent EAI (Enterprise Application Integration) ou ESB (Enterprise Service Bus), les solutions de middleware pour interfacer les services et orchestrer leur dialogue sont aujourd’hui plus matures. Leur rôle, en outre, est facilité par des standards dont ceux des services Web. Trop souvent assimilés, services Web et SOA ne sont pas mariés : on peut mettre en place une architecture orientée service sans jamais utiliser de services Web. Mais le fait est que ces composants applicatifs, parce qu’ils reposent sur des standards ouverts, facilitent la démarche SOA. Surtout quand les applications ne sont pas cantonnées aux seuls usages internes à l’entreprise, comme le souligne Didier Girard, directeur technologique de la SSII Improve : « Exposer des services Cobol en IMS n’est pas contraire à la démarche SOA. Nombre d’entreprises le font et capitalisent ainsi sur leur existant et LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 PAROLE D’EXPERT DIDIER GIRARD, DIRECTEUR TECHNOLOGIQUE D’IMPROVE « C’EST LE CLIENT RICHE QUI VA ANCRER SOA DANS LES ENTREPRISES » Quels sont les facteurs de réussite d’une démarche SOA ? Toutes les entreprises sont de bonnes candidates pour une démarche SOA à condition de bien sensibiliser l’ensemble des personnes impliquées, à savoir les développeurs, les fonctionnels, les architectes, etc. C’est toute l’entreprise qui doit changer sa façon de penser le système d’information en termes de services et non plus d’applications. Comme pour les grands projets d’urbanisation qui se sont pour la plupart soldés par des échecs, il faut éviter les approches big bang et procéder par périmètre tout en ne perdant pas de vue l’objectif final à atteindre. Enfin, une démarche SOA ne peut réussir que si l’administration a été pensée en conséquence. Au moindre dysfonctionnement, on a tendance à accuser le middleware. Or dans une architecture SOA, de nombreuses composantes peuvent intervenir sur le fonctionnement d’un processus. Il faut être capable d’auditer l’ensemble pour localiser les sources du problème. Dans le même ordre d’idée, il faut gérer les versions des services, faute Marc Guillaumot ■ ■ ■ ce qui permet bien entendu d’aller plus vite. En poussant même le concept de SOA plus loin, l’entreprise peut constituer une nouvelle application en orchestrant simplement une nouvelle combinaison de services. Cette approche n’est pas foncièrement nouvelle, les architectures distribuées telles que Corba (dans le monde Unix) et DCOM (dans le monde Windows), ainsi que le développement orienté objet, préconisaient déjà le découpage des applications en services réutilisables à volonté. En remontant même plus loin, les architectures mainframes utilisaient déjà la notion de services consommés par des terminaux. Jugés trop complexes, Corba et DCOM n’ont pas connu le succès escompté tandis que l’essor d’Internet, notamment, jetait le discrédit sur les technologies propriétaires et coûteuses des acteurs du mainframe. En d’autres termes, les idées étaient bonnes mais les technologies inadaptées. leurs compétences humaines. Elles pourraient même partager ce service IMS avec un partenaire pour peu qu’il soit également capable d’interpréter IMS, et là encore, la démarche reste SOA. Le seul apport du service Web, certes considérable, est que tous les éditeurs et donc toutes les applications sont désormais capables d’interpréter cette technologie. L’entreprise n’est donc plus freinée par des barrières technologiques dans l’assemblage ou le partage de ses services. » Mais le rêve peut se transformer en cauchemar Il ne s’agit pas non plus d’une recette miracle. Une approche SOA comporte aussi ses risques. Découpé en services utilisés et réutilisés au sein de processus divers et variés, le système d’information se transforme en un de quoi la moindre modification peut s’avérer catastrophique. Quels sont les premiers avantages que l’entreprise peut retirer d’une telle approche ? SOA constitue une évolution naturelle vers le client riche. Longtemps négligée par SOA, cette partie cliente devrait vraiment ancrer le concept dans les entreprises. Aujourd’hui, la plupart des applications sont en effet limitées par les technologies du Web en termes d’interface. Avec le client riche, les entreprises vont gagner en convivialité et en ergonomie. On peut même envisager dans un proche avenir que la combinaison de SOA au client riche donne naissance à de nouvelles pratiques, l’utilisateur final assemblant sur son poste les services dont il a réellement besoin pour travailler. Cette tendance, déjà concrétisée par les offres de Microsoft ou encore de Google, constitue une avancée majeure pour la productivité des utilisateurs. Contrairement aux gains économiques inhérents à la réutilisation des services qui ne se concrétiseront que sur le long terme, les bénéfices apportés par le client riche seront mesurables très rapidement. ■ PROPOS RECUEILLIS PAR MARIE-ANNE DELALANDE amalgame de « liens » qu’il faut superviser à la fois aux niveaux technique et métier. Pire, la moindre modification d’un service peut avoir des répercutions sur tous les processus qui l’utilisent. En d’autres termes, l’informatique « spaghetti », si décriée par les acteurs du secteur, fait un retour en force avec SOA. Pour JeanChristophe Cimetière, chef de produit plate-forme .NET de Microsoft, « les spaghettis étaient nocifs tant qu’ils étaient de toutes les couleurs. Avec les services Web, les problèmes de technologies hétérogènes et d’interopérabilité disparaissent ». Un raccourci facile, sur fond d’amalgame entre services Web et SOA. De fait, cette gestion des services mais également de la bonne exécution des processus constitue aujourd’hui un enjeu majeur. Des solutions existent mais elles manquent de maturité. Cette administration des spaghettis, mais aussi des services, n’est d’ailleurs pas la seule difficulté à laquelle les entreprises sont confrontées. Définir la granularité des composants, mettre en place une politique de sécurité adaptée sont également des chantiers complexes pour lesquels l’entreprise devra avant tout faire preuve de rigueur, méthodologie et pragmatisme. Mais le jeu en vaut la chandelle car tendre vers SOA, c’est tendre vers une informatique moins coûteuse (grâce à la mutualisation et à la réutilisation), capable d’évoluer au rythme des besoins de l’entreprise (en recomposant plus rapidement de nouvelles applications à partir des services existants) et surtout plus au service de ses utilisateurs, car focalisée sur les besoins et les processus métiers. ■ MARIE-ANNE DELALANDE GUIDE SOA p02/11_GuideSOA 9/07/07 16:59 Page VI S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A Le guide Le guide S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A > SOA, LES SERVICES > SOA, LES PROCESSUS RÉUTILISATION, DE L’UTOPIE À LA RÉALITÉ DÉPLOYER, ORCHESTRER ET SUPERVISER Pour optimiser la réutilisation des développements, l’entreprise doit définir une « bonne » granularité de ses services et adopter un référencement rigoureux de ses développements. En l’absence d’outils, c’est souvent le bon sens qui prime. L’entreprise doit faire preuve d’une organisation rigoureuse dans la mise en œuvre de ses processus en s’appuyant sur des outils de modélisation, d’orchestration et d’administration capables de supervision technique et métier. ARCHITECTURE SIMPLIFIÉE D’UNE WSOA Annuaire UDDI Publication Recherche du service WSDL SOA VERSUS WSOA Un service SOA peut être conçu dans n’importe quel langage pour peu qu’il respecte le principe d’interface qui décorrèle le fournisseur du consommateur. Un amalgame entre SOA et service Web est souvent fait parce que le service Web a considérablement simplifié la démarche. Standard implémenté par la plupart des éditeurs, il constitue en effet une garantie d’interopérabilité (du moins en théorie). Il utilise également un protocole de communication, SOAP, qui, contrairement aux protocoles propriétaires, est capable de franchir les pare-feu de l’entreprise. On parle alors de WSOA, concept qui associe également l’annuaire de services au standard UDDI pour former un trio qui manque toutefois encore un peu de rodage. rès friand de statistiques, le Gartner Group a estimé qu’en 2008, 80 % des projets informatiques se construiraient sur la base de SOA, et que les entreprises devraient augmenter leur taux de réutilisation du code de plus de 100 %. Une perspective alléchante, car synonyme de réduction significative des coûts en développement et en délais de livraison des applications, mais qui laisse dubitatif. En effet, pour la plupart des experts, la réutilisation des services, surtout au niveau métier, reste difficile. Un service est un composant dont la première caractéristique est de décorréler le fournisseur du service de son consommateur. Pour permettre au consommateur d’utiliser le service, ce dernier expose ses traitements dans une interface. Elle peut être propriétaire ou standardisée (IDL – Interface Definition Language –, en Corba ou WSDL – Web Service Definition Language –, pour les services Web). Un service peut être utilisé par plusieurs consommateurs, pour un traitement batch massif, un traitement à la demande d’un utilisateur ou même un autre service. T Définir une bonne granularité n’est pas aisé Il existe deux principales catégories de services : métier et d’infrastructure. Les premiers couvrent une fonction métier (conversion de monnaie, gestion d’une commande), les seconds s’intéressent aux fonctions techniques transverses du système (création d’une session, accès aux bases de données, etc.). La granularité d’un VI LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 Client SOAP SOAP Consommateur Source : Le Monde Informatique service varie de « très fine » (fonction unitaire élémentaire) à « grosse » (bloc applicatif constitué de plusieurs services qui masque la logique interne en exposant l’ensemble sous la forme d’un seul service). La réutilisation d’un service dépend de sa granularité. Côté infrastructure, les services récurrents sont en général identifiés et souvent fournis par les éditeurs dans leur atelier de développement. Côté métier, pas de la recette miracle. Un service métier n’est réutilisable par plusieurs consommateurs que si tous les départements de l’entreprise partagent la même définition du client, du contrat, etc. C’est rarement le cas et le consensus n’est pas toujours facile à trouver. En outre, « sur le terrain, la plupart des entreprises élaborent leurs services au coup par coup, explique Jean-Christophe Cimetière, chef de produit plate-forme .NET de Microsoft. Résultat, le service conçu pour un projet n’est pas forcément adapté à un autre ». De plus, la moindre modification d’un service pour l’adapter aux besoins d’une nouvelle application peut provoquer des dégâts en chaîne. « Si vous apportez des modifications à un PGI, toute migration devient un cauchemar car il faut redévelopper toutes les fonctions personnalisées, explique Gérald Karsenti, directeur général adjoint de Sogeti France. Pour éviter d’en arriver là avec les services, il vaut Service Web Fournisseur Référencer les services dans un annuaire sert au développement, et s’avère indispensable pour l’administration. mieux éviter d’empiler les modifications, quitte à concevoir un nouveau service ou faire l’impasse sur des fonctions pour réutiliser l’existant tel quel. » Didier Girard, directeur technique d’Improve, se veut rassurant : « Il n’existe pas de méthode universelle pour découper et gérer ses services. Couvrir un périmètre restreint pour l’étendre à d’autres applications reste la meilleure approche, mais à condition de bien documenter ses services et surtout de gérer les versions. » UDDI, une grande idée pour des résultats encore médiocres Pour aider les entreprises, les éditeurs ont donné naissance à un standard, UDDI, ou l’annuaire universel capable de référencer les services pour les exposer au reste du monde. Le projet était si ambitieux qu’il oubliait de répondre aux besoins basiques. La version 3 d’UDDI devrait se recentrer sur le référencement et la gestion des services des entreprises. En attendant, ces dernières ont mis en place des solutions pragmatiques en s’appuyant sur de simples fichiers textes ou bases de données dont le contenu est publié dans un portail. Chaque fonctionnel et informaticien dispose ainsi d’une vue sur l’ensemble des services disponibles dans l’entreprise. Une solution somme toute efficace. ■ ne fois conçus et déployés, les services sont prêts à être assemblés pour créer de nouvelles applications. Dans les faits, cet assemblage doit être pensé dès la première phase du projet. C’est également à ce stade que l’entreprise devra déterminer les niveaux de service, un processus pouvant appeler un emboîtement de services de granularité plus fine. Dans ce cadre, il existe des spécifications et des frameworks (cadres applicatifs structurants) pour aider l’entreprise dans sa démarche tels que SCA (Service Component Architecture) ou encore Spring. U Un standard pour la modélisation des processus Il existe deux façons d’assembler des services : avec du code pour un processus statique, ou graphiquement selon un scénario d’appel, opération réalisée avec les outils d’orchestration. Le processus statique est surtout adapté à des projets internes incluant peu de services. Sa mise en œuvre est aussi classique que celle des composants BONNES PRATIQUES De la modélisation à l’exécution L a modélisation de processus métier est un élément fondamental des architectures SOA. Avec les outils ESB (bus applicatifs) de dernière génération qui intègrent le BPM, il est possible de modéliser, simuler et superviser l’intégralité d’un processus d’un point de vue métier. Cela n’économise cependant pas une analyse en amont, avec des outils capables de décrire l’organisation d’une entreprise. C’est à partir de cette analyse que seront choisis les processus métiers à traduire en informatique. MARIE-ANNE DELALANDE GUIDE SOA des différents langages, tels qu’un EJB en Java, une classe PHP ou des « assemblies » de .NET. Plus complexe, le processus selon un scénario d’appel suppose des transactions longues pour lesquelles il faut notamment prévoir la gestion de l’asynchronisme, la reprise sur erreur, le mapping des interfaces ou encore la gestion des contrats entre services, etc. Aujourd’hui, des offres complètes connues sous le nom d’ESB (Enterprise Service Bus) couvrent l’ensemble de ces besoins : modélisation, orchestration, intégration (connecteurs, routage des messages, etc.) et même optimisation (BPM – Business Process Management). Les outils de modélisation proposent généralement une interface graphique pour concevoir le processus sous forme de schéma, ce dernier étant ensuite traduit dans un langage exécuté par le moteur ESB. Aujourd’hui, la plupart des éditeurs ont adopté le standard BPEL (Business Process Execution Language), un processus pouvant ainsi en théorie être exécuté par différents moteurs (dans la pratique, l’interopérabilité est plus aléatoire). GUIDE SOA La plupart des éditeurs ont adopté le langage BPEL pour écrire les processus. Mais le standard est encore jeune, et beaucoup le complètent avec leurs propres extensions. Toutefois, comme le rappelle Henry Peyret, analyste senior de Forrester Research, « SOA n’implique pas forcément un processus, le service pouvant, par exemple, être directement consommé par un portail ». Didier Girard, d’Improve, va même plus loin en rappelant que le concept de client riche pourrait changer la façon dont les entreprises vont consommer leurs services : « Les utilisateurs pourront assembler les services directement sur leur poste de travail pour se constituer des interfaces sur mesure, répondant réellement à leurs besoins. » L’administration reste le maillon faible Dans tous les cas de figure, l’administration du processus devra être prévue dès le départ. Elle suppose deux niveaux de supervision : technique et métier. En effet, comme dans toute architecture fortement distribuée, le processus fait intervenir différentes briques du système d’information : base de données, applications, moteur d’exécution, etc. Il est donc indispensable de connaître l’état de ces briques, mais également de superviser le déroulement de la globalité du processus du point de vue du service métier rendu. Les outils de BPM couvrent à la fois la modélisation des processus, les simulations et la supervision. Le BAM (Business Activity Monitoring), pour sa part, mesure les performances d’un processus. Mais pas plus l’un que l’autre ne couvre la supervision technique. En d’autres termes, ces outils sont conçus pour surveiller le processus d’un point de vue métier, pas les briques techniques sous-jacentes. Dès lors, si on sait où un processus bloque, on aura plus de mal à déterminer la cause technique. Des éditeurs tels qu’Amberpoint, Tibco ou encore WebMethods se sont rapidement rendu compte du besoin de corrélation entre supervision technique et métier en mettant en place des interfaces pour récupérer les informations en provenance d’outils d’administration classiques tels que HP OpenView, Unicenter de Computer Associates, Patrol de BMC ou encore l’offre Tivoli d’IBM. Toutefois, pour Pascal Grojean, directeur du pôle consulting de SQLI, « cette offre manque encore de maturité, beaucoup de fonctions telles que le filtrage, l’historisation ou encore la gestion de statistiques étant absentes des consoles BAM et de BPM. Dans la plupart des projets, nous sommes obligés de compléter par des développements spécifiques ». ■ MARIE-ANNE DELALANDE LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 VII p02/11_GuideSOA 9/07/07 16:59 Page VIII S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A Le guide Le guide S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A > SOA ET L’EXISTANT > SOA ET LA SÉCURITÉ UNE COMBINAISON GAGNANTE DES MÉTADONNÉES POUR GÉRER LES HABILITATIONS Entreprendre une démarche SOA ne signifie pas forcément faire table rase de son existant. Ce dernier peut être réexploité pour aller enrichir les nouvelles applications composites. L’opération de récupération est même relativement simple à condition que l’existant ait été correctement conçu. OA ne rime pas forcément avec big bang. Dans bien des cas d’ailleurs, les entreprises ont tout intérêt à capitaliser sur leur existant pour mettre en place de nouvelles applications composites. En effet, systèmes centraux et applications client-serveur, très fortement décriés d’un point de vue technologique, n’en sont pas moins de véritables mines d’or en termes de formalisation d’un savoir-faire métier. Nombre de fonctions rodées par le temps y existent et il serait dommage de redévelopper cet existant quand on sait que SOA s’en accommode très bien. EXPLOITATION DE L’EXISTANT EN CLIENT-SERVEUR S Encapsulation - Interface WSDL, composant EJB, COM+, .NET Epuration du code Modification/ajout de méthodes pour accès parallèles, distants, etc. Logique métier Gestion de l'interface Traitement Traitement poste client Serveur La plupart des offres de L4G peuvent identifier et isoler les traitements, puis les encapsuler en services. Dans un environnement COM, il suffit de déplacer le composant vers un serveur WS 2000 ou 2003 pour qu’il hérite automatiquement des fonctions de COM+ (transactions distribuées, invocation à distance, etc.). Dans les deux cas, des développements peuvent être nécessaires pour adapter les méthodes du composant à SOA. Rester pragmatique VIII Pour entreprendre une telle démarche, il faut tout de suite oublier les approches des extrémistes de la SOA. On ne va clairement pas saucissonner l’application sur système central en services et tout réorchestrer en processus. L’opération aurait d’ailleurs peu d’intérêt vu que cette application fonctionne en général très bien et continue à rendre le service pour lequel elle a été mise en place. La réutilisation de l’existant s’inscrit plutôt dans une démarche de création de nouvelle application ou d’ouverture à des tiers. Le principe est relativement simple : on isole une fonction de l’application monolithique et on la passe à la moulinette d’une interface (WSDL, IDL ou propriétaire) pour en faire un service réutilisable. Dans la pratique toutefois, l’opération est un peu plus complexe. Il n’est en effet pas rare que la logique métier soit mêlée à la gestion de la présentation dans les applications monolithiques, y compris sur mainframe, où métier et invocation d’un écran 3270 sont parfois mélangés. LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 UNE MULTITUDE DE SOLUTIONS POUR EXPLOITER L’EXISTANT SUR MAINFRAME Mainframe Ecran 3270, etc. Objet COM, EJB, service Web SOAP, JMS Transactions CICS Moteur SOAP, EJB dans CICS V3 IMS Moteur SOAP, EJB, framework .NET File d'attente Agent qui surveille les transactions Serveur d'applications Exposition des données, du résultat de la transaction sous forme de service SOAP, HTTP Application, utilisateur, service La plupart des solutions s’appuient sur le fichier texte de description d’une transaction avec les paramètres d’entrée et de sortie standardisé en environnement Cobol, le « Cobol Copy Book », pour récupérer les informations nécessaires à la publication d’un service. Même Microsoft dispose d’une solution avec Host Integration Server pour accéder aux transactions sur mainframe en service Web. Pour éviter une intrusion dans un code existant que l’on ne maîtrise plus toujours afin de réécrire proprement la fonction, les acteurs du Web-to-Host, notamment, proposent une solution beaucoup plus simple : l’encapsulation des écrans existants en composants COM, EJB ou encore en services Web. Moins « propre » d’un point de vue purement SOA, cette approche présente toutefois l’avantage de l’efficacité, le service ainsi créé étant dès lors invocable à distance. Cette démarche pourrait également s’appliquer aux applications de type client-serveur si ce modèle de développement ne prévoyait pas souvent une répartition des traitements entre le serveur et le client. La réunification pour concevoir un service digne de ce nom est souvent plus laborieuse que la réécriture pure et simple de la fonction. En outre, un objet COM, par exemple, prévu pour le poste client ne dispose pas forcément des méthodes adaptées pour devenir un composant serveur, capable de gérer des accès distants, parallèles, etc. Là encore, une épuration du code existant est souvent indispensable, opération qui comporte des risques et ne constitue pas forcément la meilleure approche. « Le redéveloppement de la fonction est parfois plus simple et économique, l’application existante continuant à vivre sa vie de son côté », estime-ton chez IBM et Microsoft. Cartographier et analyser avant d’attaquer son existant Dans tous les cas de figure, toute intrusion dans un existant pour récupérer des fonctions sous forme de services suppose un travail préalable d’inventaire et de cartographie du parc applicatif afin d’en comprendre le fonctionnement, la sémantique, les transactions, etc. Une transaction CICS, IMS ou un composant COM pouvant être présents sous différentes formes dans le système, il faut également dans un premier temps déterminer lequel va être utilisé, encapsulé et invoqué à distance. Ces décisions doivent être prises en fonction de critères de développement (facilité à récupérer la fonction sous forme de service), mais également en tenant compte des ressources matérielles : impact de la nouvelle application utilisant le service sur la machine qui héberge l’existant, bande passante disponible, etc. ■ MARIE-ANNE DELALANDE GUIDE SOA La notion de couplage lâche entre services autonomes préconisée par SOA complexifie la gestion de la sécurité dans un environnement fortement distribué. Pour faire simple, chaque service embarque sa propre politique de sécurité. ès lors qu’on travaille avec des environnements distribués, il faut gérer des problèmes de sécurité particuliers, estime le directeur technologie & sécurité chez Microsoft France. Avec la SOA, cette sécurisation des architectures est d’autant plus primordiale que chaque service est indépendant des autres. Il faut donc prévoir la sécurité dès la phase de modélisation pour spécifier quel service a le droit de dialoguer avec un autre sans oublier les interactions avec les utilisateurs. » Ainsi, la multiplication des services imbriqués dans un processus accroît la complexité des procédures de sécurité à mettre en œuvre, mais sur le fond, les solutions reposent sur des recettes classiques : authentification, chiffrement et habilitations. «D Des standards ouverts pour WSOA Dès 2004, sur proposition d’IBM, Microsoft et Verisign, l’Oasis, consortium en charge de la standardisation des services Web, sortait les spécifications d’un nouveau langage pour sécuriser les architectures WSOA, WS-Security, qui regroupe plusieurs normes assurant le chiffrement des données et l’authentification. Le principe est assez simple : chaque message SOAP intègre une en-tête dans laquelle les règles de sécurité applicables au service Web sont spécifiées en XML sous forme de métadonnées. Cette politique de sécurité s’appuie sur l’échange préalable de jetons (certificats X-509, tickets Kerberos, etc.) entre services Web qui autorisent ou non le dialogue. Ce mécanisme prévoit aussi l’utilisation de normes du W3C telles que XML Signature GUIDE SOA LES DIFFÉRENTES BRIQUES DE WS-SECURITY WS-Secure Conversation (échange du contexte de sécurité) WS-Federation (gestion des relations de confiance) WS-Authorization (définition des stratégies d'accès au service Web) WS-Secure Policy (définition des prérequis pour l'accès à un service) WS-Trust (normalisation des échanges de jetons) WS-Privacy (modèle de confidentialité des échanges) WS-Security SOAP (pour authentifier un service ou un utilisateur) et XML Encryption (pour chiffrer les données). Par la suite, de nouvelles normes sont venues enrichir WS-Security, dont WS-Trust, qui décrit les conditions de transmission et d’exploitation des paramètres de sécurité par les organismes certificateurs et les tiers de confiance. Plus global, WS-SecurityPolicy permet de décrire les politiques de sécurité entre deux éléments constitutifs d’un processus. Ces échanges pris en charge par le protocole SOAP s’appuient sur une infrastructure globale de sécurité, le mécanisme prévoyant, par exemple, l’interrogation d’un annuaire pour vérifier que l’utilisateur mentionné dans l’en-tête est bien habilité à utiliser un service. Une profusion de métadonnées pour fiabiliser les échanges Pour Didier Girard, directeur technique d’Improve, cette approche de la gestion de la sécurité par des messages sous forme de métadonnées glissées dans le service s’applique à n’importe quelle autre technologie de services propriétaires ou non : « Je ne vois pas comment on pourrait faire autrement, dès lors qu’on travaille avec des services indépendants, susceptibles de dialoguer avec n’importe quel autre service, que d’intégrer le code de sécurité dans le service lui-même sous forme de métadonnées. A moins, bien entendu, d’établir des couplages de services statiques, ce qui ne va pas dans le sens de SOA, qui préfère les couplages lâches. Dans tous les cas, il faudra prévoir, comme avec WSSecurity et SOAP, un middleware pour gérer le contexte des échanges, lire les métadonnées, etc. » Cette profusion de métadonnées dans les architectures SOA n’est d’ailleurs pas limitée à la seule sécurité. En mettant en place des processus transverses, les entreprises sont en effet amenées à piocher dans des bases de données, applications existantes, etc. qui ont été structurées selon des be- Les standards doivent permettre aux services Web d’échanger les droits et habilitations. Dans le cas d’une SOA intégrant un outil de gestion des identités, un autre langage standard peut intervenir : SAML (Security Assertion Markup Language). soins spécifiques. La définition du client dans un PGI n’a par exemple rien à voir avec celle d’un progiciel de GRC ou même une application développée sur mesure. Toucher à la modélisation de la base existante est quasi impossible car cela reviendrait à redévelopper tout ou partie de l’application qui l’utilise. Dès lors, pour créer un processus de type SOA entre ces deux applications, il faudra passer par des métadonnées descriptives du contexte sémantique utilisé par chacune. En d’autres termes, les architectures distribuées, et SOA en particulier, provoquent un véritable retour sur la sémantique. Si l’homme peut associer un mot à un contexte pour lui donner un sens, ce malheureux ordinateur dénué d’intelligence reste en effet encore un supercalculateur cantonné à une compilation de 0 et de 1, capable d’associer des carottes et des choux sans pour autant faire une bonne soupe… ■ MARIE-ANNE DELALANDE “Avec la SOA, la sécurisation des architectures est d’autant plus primordiale que chaque service est indépendant des autres. Il faut donc prévoir la sécurité dès la phase de modélisation pour spécifier les interactions entres services et avec les utilisateurs.” LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 IX p02/11_GuideSOA 9/07/07 16:59 Page X S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A Le guide Le guide S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A > SOA, LES SOLUTIONS L’OFFRE PRODUIT CARTOGRAPHIÉE Un poster des solutions SOA nécessiterait une affiche de 4 x 3 mètres. Voici donc une approche volontairement réduite, à compléter par la lecture dans ce guide et en ligne de notre annuaire des éditeurs. MÉTHODOLOGIE UNE TENTATIVE DE CARTOGRAPHIE DE L’OFFRE PRODUITS EN MATIÈRE DE SOA EST FORCÉMENT RÉDUCTRICE. D’une part parce qu’il faut s’entendre sur la définition d’une architecture orientée service, chose que les meilleurs esprits ont du mal à faire. Ainsi, notre schéma pourrait laisser apparaître une ellipse contenant les noms d’éditeurs d’outils de gestion des contrats et des portefeuilles logiciels ou de refacturation des services, par exemple. Ou bien les noms d’éditeurs de workflows documentaires. Car cela amène à la deuxième difficulté : tant de fournisseurs de produits informatiques se réclament aujourd’hui des SOA qu’à les écouter, il faudrait non pas réaliser un guide d’une centaine de noms (comme vous le verrez sur notre site), mais un annuaire contenant la grande majorité des acteurs du marché. Même faire figurer tous les éditeurs retenus dans l’édition papier de l’annuaire (voir pages suivantes) était illusoire, cela n’aurait fait que rendre notre cartographie illisible. Or il s’agissait d’aider à trier parmi les principaux acteurs selon une approche fonctionnelle. Que les éditeurs écartés de cette cartographie veuillent bien nous excuser : leur nom figure dans l’annuaire. A noter d’ailleurs que la version en ligne, qui sera disponible fin novembre sur www.lemondeinformatique.fr, permettra cette classification fonctionnelle sur une échelle bien plus large, puisque plus de vingt critères seront pris en compte. Et cet annuaire sera bien entendu régulièrement enrichi. ■ OLIVIER RAFAL POSITIONNEMENT LA POSITION DANS LE GRAPHIQUE N’IMPLIQUE PAS DE JUGEMENT Il s’agit simplement d’un positionnement au regard des critères fonctionnels retenus pour les cinq ellipses (et comme dit ci-dessus, le choix des ellipses apparaîtra forcément comme arbitraire aux yeux de tel ou tel éditeur écarté). Gartner, Forrester, Orchestra Networks, Zapthink ou le BIT Group, par exemple, réalisent des études détaillant l’offre de chaque acteur. A contrario, notre volonté n’est absolument pas de juger de la valeur des acteurs, mais de les positionner par rapport à un besoin – rappelons au passage que l’évaluation fonctionnelle a été réalisée par la rédaction de www.lemondeinformatique.fr à partir des déclarations des éditeurs. Même le fait d’être au centre n’implique DE VALEUR. SOA : ILOG BRMS pour des services de décision transparents X I Une réutilisation accrue de vos services de décision métier I Une plus grande agilité I L’assurance d’une plus grande conformité I Une intégration garantie avec les plateformes SOA et BPM leaders du marché Pour plus d’informations : [email protected] ou http://soa.ilog.com LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 CHOIX pas de jugement de valeur : des acteurs comme IBM et Wraptor y cohabitent, par exemple, alors qu’ils s’adressent à des publics très différents. De même, le choix entre IBM, Microsoft et SAP, par exemple, s’effectuera la plupart du temps non pas sur les qualités intrinsèques du produit mais sur l’existant informatique et les compétences en interne. On peut encore citer le cas d’Oracle : s’il n’offre pas de solution d’encapsulation des applications mainframes, cela n’est pas forcément un handicap pour nombre d’entreprises ou de projets, pour lesquels ce critère n’aura aucune importance. Enfin, la plupart des entreprises ont déjà en place des solutions bien maîtrisées, et l’essentiel est alors de compléter leur outillage. ■ OLIVIER RAFAL GUIDE SOA Doit-on s’appuyer sur un éditeur de bout en bout ? Ou bien assembler les briques les plus performantes (approche best of breed) ? Le choix est cornélien, et ne date pas de l’avènement des SOA. Un cabinet de conseil et intégrateur spécialisé comme Dreamsoft, par exemple, préconise plutôt de s’appuyer sur un gros acteur, et de combler ses manques fonctionnels avec des produits d’éditeurs plus petits, spécialisés (pureplayers). On peut en effet attendre d’un gros acteur un support mondial important, des moyens conséquents pour compléter l’offre, et une pérennité appréciable dans la mesure où la promesse des SOA est justement d’offrir une architecture capable de vivre plusieurs années. Un pure-player offrira de son côté plus d’innovation, de GUIDE SOA performances, de réactivité. Mais on ne sait pas par qui il sera racheté, alors que les plus gros font preuve d’un insatiable appétit : BEA qui rachète Fuego et Flashline, IBM qui s’empare de FileNet, Webify ou DataPower, HP qui croque Mercury qui venait d’avaler Systinet… Même Progress (maison mère de Sonic Software), qui a gobé Apama et Actional, ou WebMethods, qui a racheté Infravio et Cerebra, ne sont pas eux-mêmes à l’abri d’une cession dans un marché en perpétuelle consolidation. La bonne nouvelle, c’est que les SOA se bâtissent sur des standards, et privilégient des approches techniques indépendantes des fournisseurs de technologies. Dans la pratique, ce ne peut évidemment être aussi simple, mais cela facilite tout de même le passage d’un éditeur à l’autre. ■ XI OLIVIER RAFAL LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XII S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire L’annuaire S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A > SOA, L’OUTILLAGE NOM Ecensity L’OFFRE DES FOURNISSEURS NOM Fiorano Nous inaugurons ici un annuaire des éditeurs de logiciels pouvant entrer dans la mise en œuvre des architectures orientées services. Evidemment, une telle liste ne peut être figée. Vous trouverez donc sur la nouvelle version du site www.lemondeinformatique.fr – qui sera lancée début novembre – l’intégralité de notre tableau, précisant notamment la couverture fonctionnelle. Les renseignements proviennent des éditeurs ayant rempli leur fiche à l’adresse www.idg.fr/200608efsoa, et concernent le marché français. OLIVIER RAFAL NOM 4Tier Software CA FRANCE EFFECTIF 1 M€ 8 SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.4tier.com Messagerie interapplicative asynchrone à architecture distribuée. 81 % et plus nc CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 3 NOM AmberPoint Safran/Snecma, Crédit Lyonnais, Armée de l’Air CA FRANCE EFFECTIF nc 11 PRINCIPAUX PRODUITS ACQUISITIONS EN SOA www.amberpoint.com Fondé par des anciens de Forté, en pointe sur le sujet de la gouvernance. 81 % et plus 0 NOM Attachmate NOM Axway NOM BEA Systems CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc 130 SMS (SOA Management System), SVS (SOA Validation System) 20 NOM CA NOM Cape Clear NOM Casewise NOM C-Log NOM Composite Software NOM Cordys NOM XII De Gamma nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 nc STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA A développé une offre d’intégration de grands systèmes mais a été ralenti par son acquisition et sa fusion avec WRQ. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.axway.fr Cette filiale de Sopra hérite d’un middleware de messagerie robuste, mais souffre de son manque de présence aux Etats-Unis. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.bea.com BEA a pris le tournant SOA relativement tard et se constitue actuellement une offre distincte de son serveur d’applications Java. 21 à 50 % Plumtree, Fuego, Flashline PRINCIPAUX PRODUITS Handysoft NOM HP LICENCES REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA Le volet présentation d’une architecture orientée services, par des anciens des filiales françaises de Sybase, Oracle, Silverstream… nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.fiorano.com/france Plate-forme basée sur un bus de messages Java, cœur historique de l’offre. nc nc ACQUISITIONS EN SOA CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA www.forumsys.com Spécialiste de la sécurité des services Web. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.gxs.com/fr Spécialiste de la synchronisation des données, partenaire de JDA et Microsoft. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.handysoft.com BPM orienté interactions humaines, avec un volet intégration technique. nc nc REMARQUES % CA EN SOA CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc SITE WEB nc nc Hyperion www.hp.com/fr STANDARDS SUPPORTÉS nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc ACQUISITIONS EN SOA HP se spécialise dans la supervision des 20 % ou moins services et la gouvernance de systèmes SOA. Talking Blocks, Mercury (en cours) PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS OpenView SOA Manager, OpenView SelectFederation, OpenView Business Process Insight Commerciale WDSM 1, WSRF 1.2, WS-Management 1, SAML 2, ID-WSF 1.1… OpenAdaptor : JMS, MQSeries, LDAP, mail, SGBD… SITE WEB REMARQUES % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.hyperion.fr Sait gérer les métadonnées, synchroniser et nettoyer les données. nc nc NOM CA FRANCE EFFECTIF SITE WEB REMARQUES % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA IBM 3,71 Md€ 11 094 www.ibm.fr Toutes les gammes logicielles sont concernées par la SOA, à commencer par WebSphere (intégration) et Tivoli (supervision). nc Filenet, Webify, CIMS Lab, DataPower, Gluecode, Rational Software, Aptrix Commerciale WS Securiy 1.1, UDDI 3, MS MOM, BMC Patrol, SAML 1.1, SOAP 1.2… HP OpenView, Tivoli… www.attachmate.fr CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM NOM % CA EN SOA Citigroup, Motorola, SFR British Telecom, Orange GXS SITE WEB www.ecensity.com nc MQSeries, Oracle Java Service… REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE LICENCES NOM CONNECTEURS SITE WEB PRINCIPAUX PRODUITS Forum Systems nc CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES STANDARDS SUPPORTÉS OpenMOM Message Broker, Commerciale, Java 2, VB7, Delphi 6, OpenMOM Database Messaging, Open Source OpenRoad 4… OpenMOM Gateways, OpenMOM APIs CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 2 LICENCES NOM CA FRANCE EFFECTIF CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 350 nc PRINCIPAUX PRODUITS WebSphere ESB, WebSphere Service Registry & Repository, WebSphere BPM Suite, WebSphere Portal v6, IBM Information Server LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS Commerciale, BPMN, BPEL, J2EE, Open Source SOAP, UML 2.0, WSRP, SR 168, WSIL, UDDI, SCA, SDO… CONNECTEURS WebSphere Adapters Family, WBI Adapters Family… CONNECTEURS Aqualogic ESB, Aqualogic Data Services Commerciale SOAP 1.1, SAAJ, SSL, Oracle, SAP, PeopleSoft, Plate-forme, Aqualogic Registry, Xquery, UDDI 3.0, TLS, Iway Adapters 5.5, Aqualogic BPM, Weblogic Integration WSDL 1.1, BPEL, WSRP… Siebel, etc. SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.ca.com/fr CA est plus particulièrement présent dans les domaines de la supervision des services et de la surveillance en production. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.capeclear.com Offre une solution simple pour mettre en place un bus d’entreprise. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.casewise.com/fr Peut intervenir en amont dans la réflexion sur les processus métier. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.c-log.com Solution de “BPM documentaire”, gestion de processus orientée documents. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.compositesoftware.com Spécialiste de l’intégration par les données, partenaire de Cognos et Informatica. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.cordys.com Fondé par le créateur du progiciel Baan, avec l’ambition de fournir une couche middleware complète. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.2gamma.com Cette société française a réussi à émerger en proposant une solution d’intégration pour les environnements Windows .NET. nc nc XIII GUIDE SOA GUIDE SOA LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XIV S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire NOM Icom Informatique NOM IDS Scheer CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF 16 M€ SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.icominfo.fr Cet éditeur français propose de créer des composants Java ou ActiveX pour exposer les écrans mainframes. nc nc REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA SITE WEB 110 www.ids-scheer.fr CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 10 NOM Ilog 6 000 clients dont Air France, Total, Safran, BNP Paribas, Dalkia… CA FRANCE EFFECTIF nc NOM PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Commerciale BPEL, UML… nc Informatica NOM Information Builders (iWay) nc nc 30 NOM Infravio NOM Inria ObjectWeb Consortium nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA na nc 8 NOM Iona Technologies nc 7 XIV NOM Ipedo nc nc Plus de 300 connecteurs ACQUISITIONS EN SOA nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.objectweb.org Consortium fondé par France Télécom, Bull et l’Inria. Manque de visibilité en dehors de l’Europe et de la Chine. 21 à 50 % na PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS Bonita, Enhydra Shark, Orchestra, Celtix Open Source BPEL, J2EE, JBI, ESB, Joram, Lewys, Petals Services WS-*, XForms, XPDL… Platform, XQuare, XService Suite, eXo Platform, Fractal, GOtM, Jonas, Oscar OSGi, ProActive, Spago, Speedo, Spago BI, StarWebService, Lomboz, PresentationServer, Xcalia Navilis CONNECTEURS % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA Un des pionniers du BPM, converti à l’Open Source en 2005. 51 à 80 % FiveSight STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS BPMN 1.1, BPEL 2, WS-I Basic Profile, BPEL4People… SAP, JDBC, Java, EJB… Intalio|Designer Community Commerciale, Edition, Intalio|Server Community Open Source Edition, Intalio|Workflow Community Edition, Intalio|Server Entreprise Edition, Intalio|Workflow Entreprise Edition La SOA pérennise le système d’information et apporte une réponse aux enjeux d’agilité, par la mise à disposition croissante de services métiers réutilisables dans l’entreprise, vers les clients, les partenaires et les fournisseurs. Notre proposition de valeur SOA n’est pas uniquement un changement technologique, mais avant tout, un défi sur la gouvernance. Il s’agit d’évoluer d’une informatique structurellement cloisonnée vers le partage maitrisé des services et des ressources de l’entreprise dans le respect des enjeux métiers et de ROI. Les offres de services Atos Origin Mds € Effectif France : 15 000 Effectif Monde : 47 000 CA Monde : 5,5 TYPE D’ENTREPRISE MISSION Traduire la vision stratégique de ses clients en résultats par une meilleure utilisation de solutions de conseil, intégration de systèmes et infogérance. ENVIRONNEMENTS SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.intersystems.fr Fort d’une technologie objet originale (la base Caché), l’éditeur a bâti une offre d’intégration tout-en-un. 21 à 50 % 0 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS InterSystems Ensemble Commerciale HL7, Swift… 20 connecteurs fournis + kit de dév. + partenariat iWay… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.iona.com Cet ancien spécialiste de Corba reste réputé pour la robustesse de son offre d’intégration. L’éditeur irlandais participe au projet d’ESB Open Source Celtix. 21 à 50 % 0 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Artix, Celtix Commerciale, Open Source WS-*… ESB… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.ipedo.com Offre d’intégration orientée données souvent choisie en OEM par les grands acteurs. nc nc Stratégie métier Exploration de l’existant Urbanisation et architecture de référence Méthodes et outils GUIDE SOA PROFIL CLIENTS Plan de Organisation communication et gouvernance et acquisition Grands comptes PARTENAIRES BEA, IBM, Microsoft, Oracle, WebMethods, Sun, Tibco, SAP, Software AG… Partenaire Informatique Mondial des Jeux Olympiques Conseil Identifier comment une approche SOA peut vous aider à atteindre vos objectifs • Business Case • Démonstrateurs • Architecture cible • Trajectoire de mise en œuvre • Choix et accompagnement des projets pionniers Projet Créer et déployer une architecture SOA et les services métiers associés • Identification et conception des services • Assemblage des services pour supporter les processus métier • Mise en place de l’infrastructure www.atosorigin.fr LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 Tour Les Miroirs 18, avenue d’Alsace 92926 Paris - La Défense Cedex Tél. 01 55 91 20 00 Fax 01 55 91 20 20 SSII internationale Notre approche SOA repose sur une méthodologie pragmatique et des compétences reconnues, issues des nombreux retours d’expérience de nos clients. Axes SOA REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE LICENCES C’est non seulement le point de vue des analystes et de nos partenaires mais c’est déjà une réalité pour nos clients. Windows, Unix, Linux… SITE WEB PRINCIPAUX PRODUITS La SOA est en marche na www.intalio.com En France : Reuters CA FRANCE EFFECTIF CONNECTEURS SOAP 1.1, WSDL, BPEL 1.1, JCA 1.5… nc CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 2 STANDARDS SUPPORTÉS % CA EN SOA Santé, banque, Telco CA FRANCE EFFECTIF LICENCES Commerciale REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 2 PRINCIPAUX PRODUITS iWay Service Manager, iWay Adapters Référentiel pour la gestion des services, en cours d’acquisition par Webmethods. GD, TeliaSonera, Broadlane, Avaya, LexisNexis CA FRANCE EFFECTIF 0 SITE WEB nc 0 Est parti d’une offre de connecteurs 20 % ou moins abondamment reprise par des partenaires pour se constituer une plate-forme d’intégration. www.infravio.com nc 0 Intersystems IBM, Oracle, Software AG, SAP… Outils pour gérer les métadonnées, synchroniser et nettoyer les données. CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM CONNECTEURS SCA, JMX, WSDL, JSCA… www.informatica.com/fr Alcan, Banque africaine de développement, Coty, KLM, ProRail, SNCF CA FRANCE EFFECTIF nc STANDARDS SUPPORTÉS Commerciale www.iwaysoftware.com na Intalio LICENCES Ilog JRules ACQUISITIONS EN SOA CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM PRINCIPAUX PRODUITS % CA EN SOA CA FRANCE EFFECTIF na 0 REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE CA FRANCE EFFECTIF nc ACQUISITIONS EN SOA SITE WEB CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 5 % CA EN SOA Le moteur de règles métiers d’Ilog est 20 % ou moins régulièrement embarqué dans des solutions de BPM pour automatiser les processus. SMABTP, OCP, JB Hunt Logistics, RL Polk, Cnam CA FRANCE EFFECTIF 7 M$ REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE www.ilog.fr CA FRANCE EFFECTIF 0 Aris Platform, Aris SOA Designer CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES nc L’offre de modélisation intervient en amont 20 % ou moins pour la représentation des processus métiers. Liens particuliers avec SAP. SITE WEB 350 Atos Origin TMA Rationaliser et augmenter les capacités et la durée de vie des logiciels maintenus IMPLANTATION 47 000 collaborateurs dans 40 pays 15 000 collaborateurs en France répartis sur 15 sites principaux FINANCE Atos Origin est côté sur le marché sous les noms d’Atos Origin, Atos Euronext Market Solutions, Atos Worldline et Atos Consulting Contact : Pierre Vaidie Directeur du développement et du Conseil Business Intégration, Atos Origin [email protected] p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XVI S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire NOM Layton Developments NOM LogicBlaze NOM Lombardi Software NOM Magic Software NOM Mega International NOM Mercury NOM Metastorm NOM Mia Software NOM Micro Focus CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc F5 NETWORKS SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.crysalid-server.com Solution d’exposition des fonctions mainframes en tant que services réutilisables. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.logicblaze.com Offre d’intégration proposée par Simula Labs, basée sur des produits Open Source Apache. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.lombardisoftware.com Un des spécialistes du BPM orienté interactions humaines, distingué comme un leader par Gartner et Forrester. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.magicsoftware.com/france Suite d’intégration orientée PME-PMI, avec une offre spécialement destinée aux environnements iSeries. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.mega.fr Offre intervenant en amont pour la modélisation et l’analyse des processus métiers. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.mercury.com/fr Offre de gouvernance basée sur des outils de supervision/optimisation et de référencement de services (grâce au rachat de Systinet). En cours d’acquisition par HP. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.metastorm.com Offre de BPM orientée interactions humaines, complétée par des outils d’intégration issus du rachat de CommerceQuest. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.mia-software.com Solution de développement basée sur les modèles, particulièrement utilisée pour la rénovation de systèmes. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.microfocus.com Diverses solutions de modernisation des applications mainframes. nc nc Leader mondial de la gestion de trafic applicatif Leader mondial de l’Application Delivery Networking, F5 offre des solutions de sécurisation, d’optimisation et de disponibilité des applications, pour maximiser les investissements IT des entreprises. F5 apporte au réseau davantage d’intelligence et de facilité d’administration, les applications sont ainsi optimisées et gagnent en rapidité tout en consommant moins de ressources. Pourquoi plus de 10 000 entreprises et prestataires de services font confiance à F5 pour gérer leurs applications ? • • • • Leader du marché sur la gestion de trafic applicatif (#1 Gartner). Partenariats technologiques avec Oracle, Microsoft, BEA, Siebel… Architecture évolutive (API ouverte) sur une même plateforme. TMOS, unique OS pour une solution complète de disponibilité, d’optimisation et de sécurité des applications. Le Sésame 8, rue Germain Soufflot 78180 Montigny-le-Bretonneux Tél. +33 (0) 1 39 30 38 90 Fax +33 (0) 1 39 30 38 91 Le succès des architectures SOA dépend aussi d’une architecture Réseau Orienté Services (SON ou Service-Oriented Network) La condition nécessaire d’une architecture SOA optimale est un équipement réseau SON ou “ServiceOriented Network”, extrêmement intelligent, capable de comprendre les flux de services SOA et de parler le même langage que les applications. Par la compréhension en natif de la nature du trafic, l’équipement réseau intelligent doit pouvoir moduler le flux et optimiser l’acheminement des requêtes et des réponses en fonction des priorités métiers. L’évolution constante des besoins de configuration (développements plus rapides et réutilisation des services existants) implique qu’il doit aussi offrir les API propices aux services Web et permettre de manière transparente des changements dynamiques et automatisés de configuration. Bénéfices d’une solution “Réseau Orienté Services” F5 Networks dans une architecture SOA Continuité et qualité du service • Module le flux et optimise l’acheminement des requêtes et des réponses en fonction des priorités métiers. • Haute disponibilité (locale ou pour plusieurs datacenters) et persistance des sessions utilisateurs. Renforcement de la sécurité applicative • Filtrage applicatif des attaques visant les failles de conception. • Principe de sécurité positive flexible (apprend la structure du site et spécifie les comportements autorisés). Réduction du coût d’acquisition (nombre et durée de vie des serveurs, bande passante) • Déleste les applications de fonctions évoluées telles que la persistance applicative, l’accélération SSL, la compression et la mise en cache. Réduction du coût d’exploitation • Automatisation des configurations critiques et exécution des changements dynamiques de configuration. Une communauté de plus de 11 000 développeurs membres : DevCentral (www.devcentral.f5.com) • Mise en ligne de code (iRules) et documentations (guides de déploiement…) permettant d’adapter rapidement l’équipement réseau à l’environnement applicatif; • Forum de discussion et d’échange autour des solutions F5 (blogs et vidéo en ligne). XVI Lizzie Cohen-Laloum Responsable des ventes Europe du Sud CA Monde 2005 : 281 M$ Effectif France : 15 Effectif Monde : >1 000 TYPE D’ENTREPRISE Editeur / Constructeur MÉTIERS Vente de solutions de haute-disponibilité, d’optimisation et de sécurité (hardware et software) ENVIRONNEMENTS Windows Linux Mac PROFIL CLIENTS Grands comptes IMPLANTATIONS Siège (Etats-Unis) : Seattle (WA) Bureaux dans le monde entier Agence française (depuis octobre 2000) : Montigny-le-Bretonneux Pour plus d’informations : [email protected] www.f5.com LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 GUIDE SOA p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XVIII S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire NOM Microsoft CA FRANCE EFFECTIF nc SITE WEB 1 300 REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE www.microsoft.fr NOM Omondo PRINCIPAUX PRODUITS 3 NOM Oracle nc nc NOM Orchestra Networks NOM Parasoft nc www.omondo.com Solution de modélisation UML en environnement Java. 20 % ou moins 0 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS EclipseUML Studio for SOA Commerciale OMG UML 2.1, EclipseUML 3.2… nc REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.oracle.fr Le middleware intégré Fusion est en cours d’élaboration, mais de nombreux outils existent déjà pour mettre en place toutes les briques d’une SOA. 20 % ou moins Collaxa PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS SOA Suite, Business Process Analysis Suite, Web Services Manager, Service Level Management Pack, Event Driven Architecture Suite Commerciale SCA 0.9, SDO 2.01, BPEL 2, SOAP 1.2, WSIF 2, SAML 2… JCA, JMS, ebXML, EDI, RosettaNet, TP-Monitor, Oracle Applications, PeopleSoft, JD Edwards, Siebel, SAP… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA Cet éditeur français propose un produit pour gérer les données de référence. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.parasoft.com Cet éditeur d’outils de test a créé un produit pour tester les services Web de bout en bout. 21 à 50 % 0 nc NOM Pegasystems NOM Polarlake NOM Quest Software CA FRANCE EFFECTIF nc nc nc NOM Red Hat nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.polarlake.com Offre d’ESB indépendante. Existe une version spécifique pour le monde financier. nc nc REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA SITE WEB www.quest.com/fr CA FRANCE EFFECTIF SAP 269,5 M€ 550 SAS Institute nc nc 0 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Perfomasure, Foglight Commerciale nc nc REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE www.reactivity.com Accélération et filtrage des contenus XML. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.redhat.fr Le rachat de JBoss a propulsé Red Hat, partenaire d’ObjectWeb, à la tête d’une offre middleware complète mais encore jeune. 21 à 50% JBoss… PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS J2EE, JBI, SCA… J2EE… JBoss Application Server, Hibernate, Open Source JBoss Portal, JBoss jBPM, JBoss Cache SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sap.com/fr SAP bâtit désormais son offre progicielle sur le socle Netweaver, qui peut servir de base à une SOA en dehors du progiciel. 20 % ou moins 0 Pirelli, Manchette Publicité, Telecom Italia, Diageo, etc. CA FRANCE EFFECTIF Supervision des performances applicatives. 20 % ou moins SITE WEB Direction générale des impôts NOM NOM na ACQUISITIONS EN SOA CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES XVIII WSDL, WS-I Basic Profile 1.1, UDDI… nc CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 15 Commerciale % CA EN SOA nc CA FRANCE EFFECTIF nc SOAtest Offre double, un outil de gestion de processus orienté interactions humaines et un moteur de gestion de règles métiers. 60 2 Reactivity CONNECTEURS REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM STANDARDS SUPPORTÉS SITE WEB CA FRANCE EFFECTIF nc LICENCES www.pegasystems.com CA FRANCE EFFECTIF nc PRINCIPAUX PRODUITS AOL, Yahoo, IBM, Sabre Holdings, HP, Cisco American Express, Fidelity Investments Métier : édition de progiciels et de composants pour l’Assurance ITN, Industriel des progiciels et composants pour l’Assurance, conçoit et développe des solutions de gestion à forte valeur ajoutée permettant de gérer et d’industrialiser l’intégralité des processus métiers assurance et les différentes gammes de produits (IARD, Prévoyance, Santé, Vie, Epargne et Retraite). PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS SAP NetWeaver Commerciale SOAP, BPEL, WS-Security… Connecteurs techniques, métiers (Rosettanet…), et connecteurs applicatifs (Oracle, PeopleSoft)… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sas.com/France Ce spécialiste du décisionnel propose une offre d’intégration, de nettoyage et de synchronisation des données. nc nc ITN accompagne les assureurs dans leur stratégie d’industrialisation de leur système d’information. Pour imaginer, concevoir et déployer une réponse aux spécificités de chaque acteur de l’Assurance, ITN propose deux offres reposant sur le même socle industriel et répondant à l’ensemble des segments de ce marché : • LISOA : (Leading Insurance Service-Oriented Architecture) offre SOA de type composants dédiée aux Grands Comptes de l’assurance ; • V9 Assurances : offre packagée intégrant en standard tous les processus métier de l’assurance pour les acteurs du Middle Market qui souhaitent une solution progicielle prête à l’emploi. Cette gamme d’offres est complétée par : • V9 Courtage, qui est une offre éprouvée de type progiciel pour les courtiers de niche et les courtiers spécialistes. Expertise SOA ITN développe depuis plus de 20 ans, des solutions innovantes et architecturées autour de composants éprouvés et ouverts. Fort d’une politique de Recherche et Développement soutenue, l’éditeur ITN accompagne maintenant les assureurs dans leur migration vers les architectures SOA. Afin d’accompagner les professionnels du secteur dans leur passage vers ce type d’architectures, ITN propose une nouvelle plate-forme de gestion industrielle baptisée LISOA (Leading Insurance ServiceOriented Architecture) leur permettant de moderniser activement leurs infrastructures informatiques. Cette nouvelle offre s’inscrit dans le prolongement des précédents développements réalisés par ITN et garantie une continuité avec les investissements préalablement entrepris, tout en permettant une meilleur optimisation des budgets au profit d’investissements en innovation et prospective. L’offre SOA d’ITN permet aussi aux assureurs d’améliorer sensiblement leur productivité, leur réactivité et leur qualité de services notamment au travers du lancement de nouveaux produits. Cette plate-forme s’inscrit dans leur démarche de modernisation active de leurs infrastructures informatiques et de réalisation de leurs objectifs stratégiques grâce à l’alignement de leur système d’information sur les processus métier de leur entreprise. Réseau Acteur de référence en France dans l’édition de progiciels et composants, la stratégie d’ITN est de devenir n°1 européen dans les trois ans sur l’édition de progiciels et composants pour l’assurance. Tout en se concentrant sur son métier éditorial et d’expertise métiers assurance, ITN s’appuie sur les meilleurs intégrateurs, ce qui lui permet de renforcer sa capacité d’accompagnement et d’innovation métier. La maîtrise technique et fonctionnelle est garantie par l’éditeur par un programme d’appui, gage de qualité et de réussite d’un projet d’intégration. Références Depuis plus de 20 ans, de nombreuses sociétés d’assurance (Grandes compagnies d’assurance, middle market et sociétés de courtage de niche et spécialistes) font confiance à ITN : Caisses d’Epargne, Muracef, MAE, Solly Azar (Groupe Verspieren), Zéphir, GNEPF, CMCM, Médicis, SMACL, ASH (Groupe Rotschild), April, etc. www.itnsa.com LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 82, rue Saint-Lazare 75009 Paris Tél. +33 (0)1 44 91 81 00 Fax +33 (0)1 45 26 60 21 Offre SITE WEB CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES nc SAP, PeopleSoft, JDE, Siebel, Mainframe, ODBC, WebSphere MQ, MSMQ/MSMQT, Windows SharePoint… www.orchestranetworks.com/fr CA FRANCE EFFECTIF nc CONNECTEURS BPEL 1.1, WSI Basic Profile 1.0, WS-* avec WSE 2.0… ACQUISITIONS EN SOA Deutsche Post, EDS, Nasa, ESA, Inra, AMF, Thyssenkrupp, Marsans, Belgacom, Qualcomm… CA FRANCE EFFECTIF nc STANDARDS SUPPORTÉS % CA EN SOA CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES >100 0 REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE UPS, Fidelity Investment, Siemens CA FRANCE EFFECTIF ACQUISITIONS EN SOA SITE WEB CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 0 LICENCES Ricard, LVMH, L’Oréal, Framework .NET 2.0 et 3.0 (Windows Commerciale ADP, SEB, Valeo, La Poste Communication Foundation, Windows (projets Grand Large-SOA) Workflow…), Visual Studio 2005, Biztalk Server CA FRANCE EFFECTIF 100 K€ % CA EN SOA Dispose de toutes les briques nécessaires 20 % ou moins en environnement Microsoft, plus des connecteurs pour des systèmes spécifiques. CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES nc ITN GUIDE SOA François Petit PrésidentDirecteur général CA 2005 : 8 M€ Effectif 2005 : 77 Effectif 2006 : 90 TYPE D’ENTREPRISE Editeur de logiciel MÉTIERS Edition de progiciels et composants métiers pour le marché de l’assurance ENVIRONNEMENTS Windows Unix Linux PROFILS CLIENTS Grands comptes Moyennes entreprises PME TPE AGENCES Paris Lyon Contact : Stéphane Monteiro [email protected] +33 (0)1 44 91 81 00 p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XX S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire NOM Scort CA FRANCE EFFECTIF 5 M€ 32 SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.scort.com Cet éditeur français dispose d’une solution pour intégrer les applications mainframes aux nouvelles technologies. 21 à 50 % nc CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 5 NOM Seagull Software AGF, AP-HM, Axa, EDF GDF, Enel, Finaref, Groupama, Macif… CA FRANCE EFFECTIF nc 5 LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Mainframe Integrator, ES Data Mapper, ES Screen Editor, ES Call-Out Commerciale JCA 1.0 et 1.5, J2EE 1.4, SOAP 1.2, SDO… CICS, IMS… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.seagullsoftware.com Propose un ensemble d’outils pour exposer les applications mainframes en services Web et les orchestrer. 21 à 50 % Oak Grove NOM Seeburger NOM Serena Software CA FRANCE EFFECTIF nc nc nc Sodius 3 Software AG 16 REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.serenainternational.com/fr Propose une offre de gestion des processus opérationnels. 20 % ou moins nc NOM Sonic Software 115 NOM Sterling Commerce NOM Sun Microsystems nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc NOM Sunopsis 1 000 NOM Sybase NOM SymphonySoft XX NOM SysperTec Communication nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CONNECTEURS nc ACQUISITIONS EN SOA www.sodius.fr Cet éditeur nantais propose des solutions de modélisation de processus et de développement basées sur les modèles. 51 à 80 % 0 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS MDWorkbench Pro, MDWorkbench OEM Commerciale MDA, MOF 2.x, UML 2.x… CONNECTEURS na REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.softwareag.fr L’éditeur allemand a bâti une offre complète à partir de ses outils historiques. Partenaire de Fujitsu pour le BPM et le référentiel. 21 à 50 % 0 PRINCIPAUX PRODUITS Crossvision Suite LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS Commerciale WS-I Basic Profile 1.1, BPEL 1, BPMN 1, SOAP 1.2, UDDI 3… CONNECTEURS Connecteurs Software AG et iWay Software… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sonicsoftware.com Filiale de Progress, pionnier de l’ESB. Vient de racheter Apama, éditeur d’un outil de gestion au fil de l’eau des événements complexes. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sterlingcommerce.fr Suite d’intégration et de gestion de processus pour le B2B, par un pionnier du domaine. nc nc REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA SITE WEB www.sun.fr Le système d’information est à la croisée d’enjeux stratégiques dont le périmètre s’étend de la maîtrise d’ouvrage à la maîtrise d’œuvre, en passant par toutes les phases de test. Cette approche globale nous permet de : • renforcer la cohérence de votre système d’information ; • assurer la fluidité des liens entre vos structures techniques et vos process métier ; • accroître la productivité de votre parc applicatif ; • recentrer l’entreprise sur son cœur d’activité. Outils essentiellement issus du rachat de 20 % ou moins Seebeyond. Très forte adhérence au monde Java. Offre de tarification originale, par employé et par an. Seebeyond PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Sun Java Composite Application Platform Suite (JCAPS) Commerciale BPEL 1.1, J2EE 1.4, UDDI 2, WS-*… SAP, Siebel, Oracle Applications, Lotus Domino, CICS, VSAM Cobol Copy Book, IMS… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sunopsis.fr Plate-forme d’intégration orientée données pour cet acteur français qui proposait à l’origine un produit de chargement et de transformation de données (ETL). nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.sybase.fr Solution d’intégration orientée données, avec une offre spécifique pour les plates-formes mobiles. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.symphonysoft.com Les créateurs du bus applicatif (ESB) en Open Source Mule. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.syspertec.com Exposition d’applications mainframes sous forme de services Web par un éditeur français original (détenu par ses salariés). nc nc Nos expertises sectorielles renforcent la valeur ajoutée et la réactivité de nos solutions. Acquises et entretenues grâce à la mutualisation des expériences de notre réseau d’agences, elles sont à votre service pour : • affiner les diagnostics sur vos systèmes en place ; • accompagner, voire devancer, vos besoins métier ; • anticiper les évolutions des standards applicatifs. Vous délivrer des solutions applicatives souples et efficaces Pour vous inscrire dans une démarche d’amélioration continue de votre système d’information, nous vous proposons trois offres majeures : • Testing ; • Assistance à la maîtrise d’ouvrage (MOA) ; • Conseil en Architecture Orientée Services (SOA). sation et l’industrialisation des processus de tests à travers des services à la carte : conseil et organisation, mise en œuvre et centre de service L’Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage (AMOA) : La simplicité d’un projet informatique et l’efficacité de son déploiement dépendent du Maître d’ouvrage. Une organisation complexe, des différences d’interprétation dans l’adaptation du système d’information aux stratégies métier peuvent fragiliser l’amélioration de vos performances. Etablir un dialogue constructif entre vos directions fonctionnelles et techniques est un enjeu fondamental de la Maîtrise d’ouvrage. Le conseil en Architecture Orientée Services (SOA) : L’évolution des métiers est de plus en plus rapide et sophistiquée, les systèmes d’information de plus en plus complexes. Leur organisation traditionnelle en silos constitue désormais un frein à la performance et à la productivité de votre entreprise. La démarche SOA d’urbanisation et d’architecture repose sur 4 étapes : 1. Audit de maturité Centré sur votre stratégie business, cet audit interroge trois axes : vos méthodes et processus sont-ils adaptés au SOA ? Votre système d’information est-il orienté SOA et répond-il à vos enjeux business ? Votre mode de gouvernance est-il optimisé pour SOA ? La réponse à ces questions permet de définir les actions d’amélioration qui élèveront le niveau de maturité de votre architecture. 2. Définition de l’architecture Elle est réalisée en conformité avec votre stratégie d’entreprise, et dans le respect des exigences fonctionnelles, de sécurité et de qualité de service de votre SI. 3. Mise en œuvre de l’architecture Selon les objectifs, deux modalités d’actions sont possibles : “top/down” pour refondre ou intégrer une application, ou encore lancer un nouveau projet métier ; “bottom/up” pour intégrer des applications existantes dans l’architecture SOA ou identifier de nouveaux services métiers. 4. Accompagnement global Démarche d’urbanisation transverse, cet accompagnement garantit l’évolution de votre architecture sur les 3 axes clés du modèle SOA : process métier, système d’information et gouvernance. Nos compétences sur le conseil en Architecture Orientée Services (SOA) Derrière notre leader SOA, Philippe Ravix, une équipe de 30 consultants experts du sujet est là pour répondre aux attentes de nos clients. La taille de cette équipe augmente chaque jour pour répondre à la demande du marché. Notre centre de formation Sogeti offre un cursus complet pour les consultants débutant sur le sujet et des modules spécifiques pour les consultants confirmés. Parallèlement, une communauté SOA regroupe chez Sogeti plus de 100 collaborateurs intéressés. www.sogeti.com LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 GUIDE SOA 6/8, rue Duret 75116 Paris Tél. +33 (0)1 58 44 55 66 Fax +33 (0)1 58 44 55 70 Vous garantir le bénéfice des bonnes pratiques de votre secteur Le Testing : Leader européen, Sogeti propose une offre fondée sur l’analyse des risques, la professionnali- SITE WEB OCP groupe Celesio, Kiabi, CHU de Fortde-France CA FRANCE EFFECTIF nc nc % CA EN SOA CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 30 STANDARDS SUPPORTÉS Commerciale Club Med, Trapil, ministère de la Défense, Nissan, Daimler Chrysler CA FRANCE EFFECTIF nc LICENCES TeamTrack REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 12 PRINCIPAUX PRODUITS SITE WEB Telelogic, PSA, DGA CA FRANCE EFFECTIF 21 M€ nc Plate-forme complète pour l'intégration B2B (gestion de processus, synchronisation de données…). CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM CONNECTEURS XML, J2EE, .Net… nc CA FRANCE EFFECTIF 350 K€ STANDARDS SUPPORTÉS Commerciale SITE WEB CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES NOM LICENCES LegaSuite www.seeburger.fr nc CA FRANCE EFFECTIF nc PRINCIPAUX PRODUITS AMF, P&T Luxembourg, La Suisse Assurances… Sogeti Application Services a pour mission de concevoir, développer, tester et maintenir votre patrimoine applicatif, quels que soient vos environnements applicatifs et technologiques. Son objectif est d’optimiser les performances opérationnelles et économiques de votre système d’information tout au long de sa durée de vie. Vous conseiller dans l’optimisation de votre parc applicatif PRINCIPAUX PRODUITS CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 2 SOGETI APPLICATIONS SERVICES Philippe Tavernier Directeur général CA France 2005 : 615 M€ CA Monde 2005 : 1,2 Mds € Effectif France : 9 000 Effectif Monde : 15 000 TYPE D’ENTREPRISE SSII MÉTIERS High Tech : R&D - Systèmes embarqués - Calculs scientifiques Infrastructures Services : Gestion des infrastructures - Infogérance Conseil & Expertise Application Services : Conseil AMOA / AMOE - SOA - Testing - Projets PRESTATIONS Conseil métier - Conseil SI Expertise technologique - AMOA Projets - Intégration de systèmes Support - Help Desk - Infrastructure et Application Management PROFIL CLIENTS L’ensemble des grands comptes répartis en trois secteurs d’activités : Finance / Assurance Telecom Industrie / Energie / Retail / Utilities IMPLANTATION MONDIALE France : 9 000 collaborateurs 30 implantations en France Pays-Bas : 2 500 collaborateurs Espagne : 1 100 collaborateurs USA : 1 000 collaborateurs Belux : 800 collaborateurs Suède : 650 collaborateurs Allemagne / Suisse : 100 collaborateurs Contact : Philippe Ravix [email protected] 01 41 12 51 85 p12/22_GuideSOA 9/07/07 16:38 Page XXII S|O|L|U|T|I|ON|S| ■ |S|O|A L’annuaire NOM Systar NOM Telelogic NOM Tibco Software CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc 30 SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.systar.fr Editeur français pionnier de la supervision des performances applicatives et des processus métiers (BAM). nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.telelogic.fr Offre de modélisation des processus d’entreprise, à utiliser en amont. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.tibco.com Pionnier des bus interapplicatifs asynchrones, propose aujourd’hui une offre d’intégration complète – dont un outil de gestion au fil de l’eau des événements complexes. 51 à 80 % Talarian, Extensibility CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 15 NOM Twinsoft BP, Delta Airlines, Fedex, KPN, Procter & Gamble, Société générale, Telecom Italia… CA FRANCE EFFECTIF 0,8 M€ 12 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Tibco BusinessWorks, Tibco BusinessEvents, Tibco BusinessFactor, Tibco General Interface, Tibco XML Canon Commerciale SOAP 1.2, JMS, WS Security, WSDM, BPEL… Cobol, e-mails, EJB, fichiers, FTP, Java, JDBC, JMS, RMI, TCP, JDEdwards, Oracle, SAP, Siebel, AS400, COM, Corba, RFID… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.twinsoft.fr Editeur français d’outils d’accès aux applications mainframes, propose une offre spécifique pour l’intégration dans les SOA. 51 à 80 % 0 CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 3 NOM Valdys NOM WebMethods BNP Paribas, Canon France, M6 Boutique, Dresdner Bank CA FRANCE EFFECTIF nc nc CA FRANCE EFFECTIF nc 25 PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Convertigo Connector Edition Commerciale WSDL 1.1, SOAP 1.1… CICS, 3270, 5250, Bull DKU, Unix/DEC VTxxx, Minitel Luxembourg… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.valdys.fr Offre de modélisation des processus d’entreprise. Outil créé par un cabinet de conseil français pour ses propres besoins. nc nc SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA 51 à 80 % Active Software en 2000, The Mind Electric en 2004, Cerebra et Infravio en 2006 www.webmethods.com/france Un des derniers “pure-players” des progiciels d’intégration (EAI). Mise désormais sur une offre conforme aux standards des services Web. CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 14 NOM Wraptor PRINCIPAUX PRODUITS NOM Xcalia 15 CONNECTEURS SOAP, UDDI, BPEL, WS-*… WebLogic, Swift, Informix, Informatica, Oracle, JMS, EDI, SAP, PeopleSoft, JD Edwards, Lotus, Siebel, Vantive… REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.wraptor.fr Editeur français d’un outil d’intégration d’applications (EAI). Existe des déclinaisons spécifiques pour les entreprises du transport et de la santé. 21 à 50 % 0 Chambre d’agriculture 59-62, IAE, Clinique La Casamance CA FRANCE EFFECTIF nc STANDARDS SUPPORTÉS SITE WEB CONSULTANTS PRINCIPALES RÉFÉRENCES 4 LICENCES Amec Spie, Alcatel, WebMethods Fabric, WebMethods SOA Commerciale Arcelor, Bouygues Telecom, EDF-GDF, France Télécom, Société générale, Total… CA FRANCE EFFECTIF 600 K€ XCALIA nc PRINCIPAUX PRODUITS LICENCES STANDARDS SUPPORTÉS CONNECTEURS Jeebop, Jeebop Santé, Jeebop Transport Commerciale SOAP, JMS, Corba… Fichier, BDD, mainframe, ERP, Edifact… SITE WEB REMARQUES DU MONDE INFORMATIQUE % CA EN SOA ACQUISITIONS EN SOA www.xcalia.com Editeur français (ex-Libelis) d’un outil d’intégration orienté données, dérivé de l’offre de correspondance relationnel-objet Lido. nc nc Xcalia est un fournisseur de logiciel d’intégration dynamique pour les entreprises agiles pour créer facilement des applications composites transactionnelles. Son approche unique d’Intermédiation permet l’accès unifié et en temps réel aux données et aux services hétérogènes. L’Intermédiation est adaptive et configurable. Les modifications des applications peuvent être faites rapidement et efficacement sans impact sur les systèmes ou les infrastructures environnants. Xcalia Intermediation Core (XIC) de Xcalia™ permet de combiner le “legacy”, les “mainframes”, les applicatifs, les sources de données (CICS, IMS, MQ-Series, RDBMS) et les Web-services pour créer des applications composites, transactionnelles et dynamiques. Xcalia assure le “mapping” des services avec les sources de données de l’entreprise sans besoin de se préoccuper du contenu, de l’emplacement, de la plate-forme ou du langage de programmation associés. XIC sollicite les sources de données au travers des APIs natifs, sans traduction XML, conservant ainsi le contexte d’exécution et de transaction. XIC facilite l’interaction avec les Web-services et autres technologies d’infrastructure de service, incluant les moniteurs transactionnels, le middleware orienté message, les ESBs, les outils de BPM et les progiciels applicatifs. XIC se place entre les couches métier et de données pour fournir un accès cohérent aux données et aux services en utilisant un référentiel basé sur des métadonnées. Une fois définis dans le modèle métier, les données et les services appropriés sont composés dynamiquement et les transactions métier exécutées en temps réel. La plate-forme d’Xcalia peut accéder à l’information où qu’elle se trouve, sans interruption et de manière transactionnelle. XIC est idéal dans les environnements métier à haute performance où les capacités transactionnelles doivent être préservées tout en utilisant les sources d’information au travers de services. Xcalia Intermediation permet aux sociétés de remplacer de manière incrémentale l’accès direct aux données par des services, autorisant une migration facile et à faible risque vers SOA. De grandes références Xcalia compte parmi ses clients plus de 20 grandes entreprises générant des millions de transactions par jour qui apprécient en Xcalia l’innovation technologique, la qualité de produit, et l’engagement de service dont BNP Assurance, BNP Securities, Conforama, Unedic, Thales, Logement Français, France Secours… en France et Generali, BPER (Rothschild), Conselleria de Valencia, ING Diba, Fiducia, Warwick University… à l’étranger. A propos de Sun Microsystems et la SOA XXII La seule acquisition de poids menée par Sun Microsystems Inc (NASDAQ : SUNW) dans le domaine des Architectures Orientées Services (SOA) est SeeBeyond en 2005. La solution Sun Java™ Composite Application Platform Suite (CAPS), complètement intégrée à l’offre Sun Java™ Enterprise System, s’articule autour d’une plateforme complète, homogène et intégrée, couvrant tous le spectre des besoins en SOA comme l’intégration technique, le BPM, l’ETL, les échanges B2B, l’ESB (Bus d’entreprise), l’intégration des données (MDM), la qualité des données (consolidation, dédoublonnage…), le BAM (Business Activity Monitoring), portail. Toutes les composantes de la suite sont développées en interne par la R&D dans le respect des standards, ce qui réduit le temps de mise en œuvre de la solution. Sun Microsystems compte plus de 2 000 clients (intégration) à travers le monde, notamment BHP Billiton, Blue Cross Blue Shield of Massachusetts, Clearstream, NHS (Système de Santé Britannique), The Dial Corporation, DuPont, Florida Power & Light, Fluor Daniel, Fujitsu, General Motors, Harrod’s, Halliburton, Hertz Corporation, Lockheed Martin, Pfizer, Samsung, Sprint et Sutter Health. En France, les clients sont notamment OCP Celesio, Air Liquide, Carrefour, Fnac, Groupe Cora, Supermarchés Match, Kiabi, Leroy Merlin, Axa, Société Générale AM, BAREP AM, BNP Paribas, Crédit Foncier de France, SNCF, Schlumberger, CHU de Fort de France. Un leader Pour plus d’informations sur Sun Microsystems ou sur son offre SOA, consultez notre site Web www.sun.com ou envoyez un e-mail à : [email protected] Elu “Cool Vendor 2006” par le Gartner Group dans le domaine de l’intégration et de l’accès aux données. Membre fondateur du standard SDO. Membre des comités de standardisation JDO, EJB, POJO. Gazelle de l’Etat 2005. GUIDE SOA Pierre Violo PrésidentDirecteur Général Effectif : 32 TYPE D’ENTREPRISE Editeur de logiciels MÉTIERS Développement et vente de logiciels Conseil, formation et support technique ENVIRONNEMENTS Java Windows Unix Linux Mainframe RDBMS PROFILS CLIENTS Grands comptes Moyennes entreprises Editeurs de logiciels BUREAUX Siège : Paris Allemagne : Munich Etats-Unis : Palo-Alto www.xcalia.com LE MONDE INFORMATIQUE > 6 OCTOBRE 2006 71, rue Desnouettes 75015 Paris Tél. +33 (0)1 56 56 12 50 p12/22_GuideSOA 9/07/07 17:08 Page XXIV Oracle Fusion Middleware Les entreprises performantes Font confiance à Oracle Fusion Middleware Oracle Fusion Middleware— Hot-Pluggable. Comprehensive.* J2EE – Portails d’entreprise – Gestion des Identités – Intégration – Référentiels de données – Business Intelligence oracle.com/fr ou téléphonez au 0800 905 805 * S’intègre tout naturellement dans votre Système d’Information existant hétérogène Copyright © 2005, Oracle. Tous droits réservés. Oracle, JD Edwards et PeopleSoft sont des marques déposées de Oracle Corporation et/ou de ses filiales. Les autres noms peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs.