Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation

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Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation
(Déchets radioactifs)
GUINEVERE
Le Monde 14 janvier 2012
TEXTE et TESTS
Guinevere
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TEXTE à lire
Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation
Depuis octobre 2011, une maquette est en test
L’idée a été émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence
(Nobel 1939 pour l’invention du cyclotron) : transmuter des éléments radioactifs en les
bombardant avec des neutrons rapides. Elle a été remise au goût du jour par l’Italien Carlo
Rubbia (Nobel de Physique 1984) dans les années 1990. Son « rubbiatron » consistait à
coupler un accélérateur de particules à un réacteur nucléaire pour y « brûler » des déchets
radioactifs, tout en produisant de l’électricité. Et ce sans risque de réaction en chaîne
incontrôlable, parce que l’assemblage de combustible au sein dudit réacteur est « souscritique ». Et qu’il suffirait de couper l’alimentation électrique de l’accélérateur pour
stopper toute réaction.
Depuis le 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à un
réacteur expérimental au Centre d’étude de l’énergie nucléaire de Mol, en Belgique.
Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 pour un coût de près
de 1 milliard d’euros. Plus modeste, avec ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere
doit tester le mode de pilotage de ces réacteurs encore interdits : il s’agit de voir comment
gérer la montée en puissance de l’accélérateur de particules pour contrôler les réactions
neutroniques au cœur du réacteur. Et d’étudier la meilleure configuration des déchets à
transmuter placés en son sein.
Car là est l’objectif final, a rappelé Annick Billebaud, directrice de recherche au
CNRS et responsable du projet Guinevere : « Transmuter les actinides mineurs
composés très radiotoxiques] pour réduire par 5 les surfaces occupées par les déchets
de haute activité à vie longue, et par 100 leur radiotoxicité après un séjour de mille ans en
stockage géologique. » Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après retraitement, comme
en France, ne sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés
non retraités pourraient l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils
leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4 e génération (de
type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Hervé Morin
14 janvier 2012
Le Monde
Complétez :
Cet article date du ________________________ et il a été écrit ______ Hervé Morin.
Il est (verbe paraître) __________ dans Le Monde .
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Guinevere
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TESTS
Lecture d’observation :
Depuis octobre 2011, une maquette est en test
L’idée a été émise en 1936 …/
…par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence (Nobel 1939 pour
l’invention du cyclotron) :
Elle a été remise au goût du jour par l’Italien Carlo Rubbia (Nobel de Physique
1984) dans les années 1990.
Son « rubbiatron » consistait à coupler un accélérateur de particules à un réacteur
nucléaire pour y « brûler » des déchets radioactifs, tout en produisant de l’électricité.
Depuis le 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à un
réacteur expérimental
Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 pour un coût de
près de 1 milliard d’euros.
Plus modeste, avec ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere doit tester le
mode de pilotage de ces réacteurs encore interdits :
…l’objectif final…… : « Transmuter les actinides mineurs composés très
radiotoxiques] pour réduire par 5 les surfaces occupées par les déchets de haute activité
à vie longue, et par 100 leur radiotoxicité après un séjour de mille ans en stockage
géologique. »
Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après retraitement, comme en France, ne
sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés non retraités
pourraient l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils
leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4e génération (de
type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Hervé Morin
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Le Monde
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Guinevere
Maintenant :
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Complétez :
(expression de localisation dans le temps cohérente avec ce qui suit)
____________ octobre 2011,
une maquette est en test
L’idée a été émise _______1936 __________le physicien américain Ernest Orlando
Lawrence (Nobel 1939 ___________ l’invention du cyclotron) :
Elle a été remise au goût du jour ____________ l’Italien Carlo Rubbia (Nobel de
Physique 1984) _______ les années 1990.
Son « rubbiatron » consistait à coupler un accélérateur de particules à un réacteur
nucléaire _________ y « brûler » des déchets radioactifs, tout _____ produisant de
l’électricité.
Depuis _______ 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à
un réacteur expérimental
Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 _______ un coût de
près de 1 milliard d’euros.
Plus modeste, __________ ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere doit tester
le mode de pilotage de ces réacteurs __________ interdits :
…l’objectif final…… : « Transmuter les actinides mineurs composés ________
radiotoxiques] pour réduire _______ 5 les surfaces occupées par les déchets de haute
activité à vie longue, et _______ 100 leur radiotoxicité après un séjour ______ mille ans
en stockage géologique. »
Les déchets à vie longue déjà vitrifiés _________ retraitement, comme en France,
ne sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés non retraités
pourraient l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront____ leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4e génération
(de type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Hervé Morin
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Guinevere
Complétez les phrases suivantes en utilisant :
émis (m.) - par – que – qui – remis (m.) – remise (f.)
C’est le physicien américain Ernest Orlando Lawrence _______ a __________ l’idée de la
transmutation des éléments radioactifs par bombardement avec des neutrons rapides.
Puis, c’est ______ l’Italien Carlo Rubbia ______ elle a été ___________ au goût du jour.
(idée)
(ou : L’Italien Carlo Rubbia a __________ cette idée au gout du jour dans les années
1990.)
Complétez les questions :
Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation
Depuis octobre 2011, une maquette est en test
L’idée a été émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence
(Nobel 1939 pour l’invention du cyclotron) :
Qui ___________________________________ de transmuter des éléments radioactifs
en les bombardant avec des neutrons rapides?
Par qui cette _______________________________________________________ au
goût du jour ?
Quand ______________________________________________________________ au
goût du jour ?
En quoi ____________________________________ son « rubbiatron » ?
Pourquoi n’y a-t-___ _________________________________ de réaction en chaîne
incontrôlable, dans le projet de Carlo Rubbia ?
réponse :
parce que l’assemblage de combustible au sein dudit réacteur est « sous-critique ». Et
qu’il suffirait de couper l’alimentation électrique de l’accélérateur pour stopper toute
réaction.
Depuis ______________ un petit accélérateur de particules _____ - _____ ___________
à un réacteur expérimental au Centre d’étude de l’énergie nucléaire de Mol, en Belgique ?
réponse :
Depuis le 12 octobre 2011.
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Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 pour un coût de près
de 1 milliard d’euros.
Combien ________________ l’installation Myrrha approximativement ? (verbe couter , futur
simple)
Plus modeste, avec ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere doit tester le
mode de pilotage de ces réacteurs encore interdits : il s’agit de voir comment gérer la
montée en puissance de l’accélérateur de particules pour contrôler les réactions
neutroniques au cœur du réacteur. Et d’étudier la meilleure configuration des déchets à
transmuter placés en son sein.
Car là est l’objectif final, a rappelé Annick Billebaud, directrice de recherche au
CNRS et responsable du projet Guinevere : « Transmuter les actinides mineurs
composés très radiotoxiques] pour réduire par 5 les surfaces occupées par les déchets
de haute activité à vie longue, et par 100 leur radiotoxicité après un séjour de mille ans en
stockage géologique. » Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après retraitement, comme
en France, ne sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés
non retraités pourraient l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils
leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4 e génération (de
type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Est-ce que ______________________________________________________ leur place
dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4 e génération (de type
Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Hervé Morin
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TEST d’imprégnation verbale :
observez bien les mots mis en évidence et passez à la page suivante
pour compléter le texte :
Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation
Depuis octobre 2011, une maquette est en test
L’idée a été émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence
(Nobel 1939 pour l’invention du cyclotron) : transmuter des éléments radioactifs en les
bombardant avec des neutrons rapides. Elle a été remise au goût du jour par l’Italien
Carlo Rubbia (Nobel de Physique 1984) dans les années 1990. Son « rubbiatron »
consistait à coupler un accélérateur de particules à un réacteur nucléaire pour y
« brûler » des déchets radioactifs, tout en produisant de l’électricité. Et ce sans risque de
réaction en chaîne incontrôlable, parce que l’assemblage de combustible au sein dudit
réacteur est « sous-critique ». Et qu’il suffirait de couper l’alimentation électrique de
l’accélérateur pour stopper toute réaction.
Depuis le 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à un
réacteur expérimental au Centre d’étude de l’énergie nucléaire de Mol, en Belgique.
Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 pour un coût de près
de 1 milliard d’euros. Plus modeste, avec ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere
doit tester le mode de pilotage de ces réacteurs encore interdits : il s’agit de voir
comment gérer la montée en puissance de l’accélérateur de particules pour contrôler les
réactions neutroniques au cœur du réacteur. Et d’étudier la meilleure configuration des
déchets à transmuter placés en son sein.
Car là est l’objectif final, a rappelé Annick Billebaud, directrice de recherche au
CNRS et responsable du projet Guinevere : « Transmuter les actinides mineurs
composés très radiotoxiques] pour réduire par 5 les surfaces occupées par les déchets
de haute activité à vie longue, et par 100 leur radiotoxicité après un séjour de mille ans en
stockage géologique. » Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après retraitement, comme
en France, ne sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés
non retraités pourraient l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils
leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4e génération (de
type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs déchets ?
Hervé Morin
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Compléter avec un verbe ou autre mot (pronom) suivant : a - a été bombardant - consistait - doit - est
transmuter -
- pourraient - produisant – réduire - suffirait –
Déchets : la Belgique sur la piste de la transmutation
Depuis octobre 2011, une maquette ______ en test
L’idée ________ émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando
Lawrence (Nobel 1939 pour l’invention du cyclotron) : transmuter des éléments radioactifs
en les _______________ avec des neutrons rapides. Elle ________ remise au goût du
jour par l’Italien Carlo Rubbia (Nobel de Physique 1984) dans les années 1990. Son
« rubbiatron » _______________ à coupler un accélérateur de particules à un réacteur
nucléaire pour y « brûler » des déchets radioactifs, tout en ______________ de
l’électricité. Et ce sans risque de réaction en chaîne incontrôlable, parce que l’assemblage
de combustible au sein dudit réacteur est « sous-critique ». Et qu’il ___________ de
couper l’alimentation électrique de l’accélérateur pour stopper toute réaction.
Depuis le 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à un
réacteur expérimental au Centre d’étude de l’énergie nucléaire de Mol, en Belgique.
Ce prototype - baptisé Guinevere - _________ paver la voie à une installation
expérimentale plus ambitieuse, Myrrha, opérationnelle à Mol en 2023 pour un coût de près
de 1 milliard d’euros. Plus modeste, avec ses 10 millions d’euros de budget, Guinevere
doit tester le mode de pilotage de ces réacteurs encore interdits : ______ s’agit de voir
comment gérer la montée en puissance de l’accélérateur de particules pour contrôler les
réactions neutroniques au cœur du réacteur. Et d’étudier la meilleure configuration des
déchets à transmuter placés en son sein.
Car là est l’objectif final, _______ rappelé Annick Billebaud, directrice de recherche
au CNRS et responsable du projet Guinevere : « Transmuter les actinides mineurs
composés très radiotoxiques] pour __________ par 5 les surfaces occupées par les
déchets de haute activité à vie longue, et par 100 leur radiotoxicité après un séjour de
mille ans en stockage géologique. » Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après
retraitement, comme en France, ne sont pas concernés. Ceux à venir ou présents dans
les combustibles usés non retraités _____________ l’être.
Reste la question industrielle : ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils
leur place dans la filière nucléaire du futur, aux côtés de réacteurs de 4 e génération (de
type Superphénix), capables de _____________ eux-mêmes une partie de leurs
déchets ?
Hervé Morin
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Gérondif / participe présent :
L’idée a été émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence (Nobel
1939 pour l’invention du cyclotron) : transmuter des éléments radioactifs en les
bombardant avec des neutrons rapides.
coupler un accélérateur de particules à un réacteur nucléaire pour y « brûler » des déchets
radioactifs, tout en produisant de l’électricité
pronoms personnels compléments :
transmuter des éléments radioactifs en les bombardant avec des neutrons rapides.
Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés non retraités pourraient l’être.
Autres pronoms personnels :
Elle a été remise au goût du jour par l’Italien Carlo Rubbia …….dans les années 1990.
il suffirait de couper l’alimentation électrique de l’accélérateur pour stopper toute réaction.
il s’agit de voir comment gérer la montée en puissance de l’accélérateur de particules pour
contrôler les réactions neutroniques au cœur du réacteur.
ces réacteurs …….trouveront-ils leur place ……. aux côtés de réacteurs de 4e
génération (de type Superphénix), capables de transmuter eux-mêmes une partie de leurs
déchets ?
Transformer la phrase en complétant avec un pronom personnel :
- Elle a été remise au goût du jour par l’Italien Carlo Rubbia …….dans les années 1990.
- Carlo Rubbia _____ a remise au goût du jour dans les années 1990.
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Guinevere
Désinences en -é(e)(s) (verbales) et (-é)(e)(s) (substantifs) : [e]
1. L’idée a été émise en 1936 par le physicien américain Ernest Orlando Lawrence
2. Elle a été remise au goût du jour par l’Italien Carlo Rubbia… dans les années 1990.
3. y « brûler » des déchets radioactifs, tout en produisant de l’électricité.
4. Depuis le 12 octobre 2011, un petit accélérateur de particules est couplé à un réacteur
expérimental
5. Ce prototype - baptisé Guinevere - doit paver la voie à une installation expérimentale
plus ambitieuse, Myrrha,
6. il s’agit de voir comment gérer la montée en puissance de l’accélérateur de particules
pour contrôler les réactions neutroniques au cœur du réacteur. Et d’étudier la meilleure
configuration des déchets à transmuter placés en son sein.
7. Car là est l’objectif final, a rappelé Annick Billebaud,
8. « Transmuter les actinides mineurs composés très radiotoxiques] pour réduire par 5
les surfaces occupées par les déchets de haute activité à vie longue, et par 100 leur
radiotoxicité après un séjour de mille ans en stockage géologique. »
9. Les déchets à vie longue déjà vitrifiés après retraitement, comme en France, ne sont
pas concernés. Ceux à venir ou présents dans les combustibles usés non retraités
pourraient l’être.
10.ces réacteurs pilotés par accélérateur trouveront-ils leur place dans la filière nucléaire
du futur, aux côtés de réacteurs de 4e génération …..?
A. Reportez chaque mot en [e] mis en caractères gras dans la colonne qui convient :
substantifs ou participes passés :
substantifs
nominale
ou
locution participes
passés
participes
passés
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
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sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
inv
inv
inv
inv
inv
inv
inv
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
m..
f.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
sg
pl.
inv
inv
inv
inv
inv
inv
inv
Guinevere
π
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B. Vous avez, dans les phrases 1. à 10. , une autre graphie du son [e] en finale de mot. Il
s’agit de la forme de l’infinitif du premier groupe. Citez ces mots ci-dessous :
__________________
____________________
___________________
__________________
____________________
___________________
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