Stretching fin de saison - Section Course à Pied de la Vaillante Vertou
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Stretching fin de saison - Section Course à Pied de la Vaillante Vertou
N°39 juin 2015 Edito Pour cette dernière gazette, nous avons décidé de vous faire partager un extrait d’une réunion de bureau du mois de novembre 2014. 20 h 02 : Tout se passe à peu près bien … Belle-Isle-en-terre ? C'est où ? Pour quoi faire ? On mangera où ? On dormira où ? Attendez ! .mais attendez !!! C’est comme aux passages piétons ! Vous ne m'écoutez pas !!! Ainsi s’exprimait Jean-Marie. Merci à toi pour ta patience et pour cette belle sortie annuelle en Bretagne. Nous espérons que vous avez tous passé une agréable saison sportive. Nous n’oublions pas ceux qui n’ont pas pu s'exprimer sportivement et nous leur souhaitons de retrouver leurs sensations. Bonne fin de saison et VIVE LES VACANCES !!! Alain et le bureau Stretching fin de saison Les cours de Stretch se sont terminés dans la bonne humeur et la convivialité en partageant le pot de l'amitié avec Sylvain qui a assuré avec beaucoup de La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 professionnalisme les cours de cette saison. Vous pouvez retrouver conseils et articles sur son site perso : http://www.moncoachsport-sante.fr/ En attendant la reprise en septembre, continuez à vous étirer selon ses conseils. 1 A la Haye : soit fier !!! Vous l’avez sûrement reconnu ce cosmonaute ! Il vient d’atterrir à la Haye-Fouassière, la fouace sous le bras, le petit LU et le muscadet dans la besace. Bienvenue ! A la Haye, soit fier !!! Oui, c’est bien lui, notre ami Abdel. Rassurez-vous, désormais, il a bien les pieds sur terre. Il a reconnu le parcours une bonne dizaine de fois. Il peut même le refaire les yeux fermés… avec son coach… borgne. Pas facile de caler une sortie découverte en ce mois d’avril et de la partager avec le trail nantais. Faites votre choix ! Il est là, à portée de main, à quelques enjambées devrais-je dire, ce château d’eau, tout de bleu vêtu, nous saluant de son canotier. 2 kms de grimpette ; Il faut le mériter : vous prendrez bien un verre d’eau ! La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 2 Nous voici dans les vignes de la Mercredière au Pallet, domaine d’un certain Daniel Futeul, un vétéran de la course à pied : plus de 65 marathons au compteur dont tous les marathons de Nantes sauf Pas de souci, j’assure !!! un. Nous longeons un étang avec aire de pique-nique, traversons le village de la Jeanière et débarquons à Port Domino. De son faste d’antan, plus aucun vestige si ce n’est ce quai, aujourd’hui désert, où accostaient yoles et gabarres, chargées de denrées et matériaux divers : bois, chaux, vin, blé. Venant d’Amérique, c’est ici que le magnolia a pris racine en France et en Europe. Nous passons en contre bas du charmant petit village du Pé de Sèvre dont les 17 escaliers de pierre auraient sûrement aiguisé votre curiosité. Ce chemin bucolique recèle une autre curiosité : un trou dans la roche. Un enfant aux cheveux frisés ? Passez-y la main… Bon, allez ! Assez musardé… C’est une sente tout en sous-bois avec tapis de feuilles mortes qui nous ramène Quel athlète !!! vers les vignes. Attention aux barbelés entre les rangs ! Notre ami Futeul, tout affûté qu’il est, n’est pas toujours très futé ; mon genou en a gardé des stigmates. C’est par un chemin Tout en équilibre ombragé et fleuri que nous croisons le Quel exploit !!! moulin du Breil, toujours ailé, et rejoignons le village de la Gosselière. Moulin du Breil Le soleil daigne enfin faire un clin d’œil à notre vingtaine de coureurs et la dizaine de marcheurs, tous enchantés par cette sortie inédite. Heureux comme un papy en fleurs La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 Nous prenons le pot de l’amitié dans le jardin de notre hôte. Notre jeune papy Alain, fait sauter quelques bouchons pour fêter l’événement. Mireille n’est pas en reste : elle fête son Chaud, chaud, chaud, anniversaire. A ce pique-nique 3 l’heure du pique-nique le soleil est plus que généreux : lunettes noires et couvre-chefs en tous genres sont de sortie. Un grand merci à Abdel et Nadine pour leur accueil, la préparation et l’encadrement de cette journée. Patrick C Quelle vie de chien !!! Ils s’en lèchent les babines et moi je n’ai même pas une rondelle de saucisson ! Goujats !!! Raid aventure Vioreau 5 avril 2015 Le challenge était intéressant : course à pied, vélo, canoë. C'est quelques minutes seulement après le départ que nous avons compris qu'il s'agissait d'une véritable course d'orientation. Deux schtroumpfs et une schtroumpfette : Olivier, Ludo et Martine sont embarqués dans une aventure autour du lac de Vioreau. Dès 6 h, nos trois compères sont sur le pied de guerre ce dimanche matin. Le ferait-il pour aller bosser ? Course folle en forêt à la recherche de 12 balises en 45 mn. Chute de Martine qui prend gout aux pissenlits. 30 mn de retard que nous espérons rattraper avec les 50 kms de vtt. Aussitôt le vélo enfourché, nous oublions la première balise mais pas encore d'inquiétude après 1/4 d'heure avec une carte vierge de toute indication. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 4 Nous nous retrouvons en pleine cambrousse, et malgré l'aide inespérée d'un commissaire, le moral commence à baisser sérieusement. Nous coupons à travers un champ de maïs (idée lumineuse de Ludo) traversons une haie de ronces pour atterrir sur la voie ferrée tram-train Nantes Châteaubriant. Rouler sur le ballast nous ferait gagner du temps : mais comme un train peut en cacher un autre, une bonne idée peut en chasser une mauvaise… sur la voie de la sagesse Les 3 schtroumps « j’entends siffler le train… » Nous récupérons 2 coureurs chevronnés mais peu coopératifs (c'est pas du trail ... ) bilan : une bonne quinzaine de balises zappées et le parcours en canoë fut plus que laborieux. Après 7 h de course, nous sommes vidés. Nous terminons 1 ère équipe mixte (pas beau, ça !!!) et 12ème sur 15 au classement général. Excellent dimanche sous un soleil généreux. A une prochaine aventure. Les schtroumpfs : Martine, Ludo, Olivier. Piqûre de rappel Bobos en tous genres, éraflures, blessures mineures, Pour éviter des complications comme l’infection : lavage de la plaie ( eau + savon ) - rinçage - et ANTISEPTIQUE … Blandine La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 5 VNE AVENTVRE D’ LE GAVLOIS Le coup du menhir de Martinebonemine Dernier né des aventures d’Astérix, on se l’arrache au kiosque de la Vaillante. Il y a belle lurette que notre petite gauloise n’anime plus sa collection des « Martine ». Elle joue désormais dans la cour des Grands et fait partie des personnages mythiques d’Astérix, au même titre que Cléopâtre, Obélix et compagnie… Avec ses amis : Béatrixia, Ludovix, Gildasix, Patrix et les Freuchix : Catarina et Mickaélix, ils s’étaient donné rendez-vous dans un petit village breton : Sanctus Aubinum Castellum, perdu dans la campagne Castelbriantum. Ce jour-là, Martinebonemine et les siens étaient invités à une chasse au menhir, évadé de Carnac. 10 km ou 17 km, au choix. La campagne fleure bon la fraîcheur matinale et les sous-bois auraient inspiré Obélix en quête de sanglier. Pas de difficulté majeure : un parcours plutôt roulant. Nous débusquons assez rapidement notre menhir bien esseulé, délaissé par Obélix. Puis c’est « la grande traversée » dans la forêt. Sans encombre, nous bouclons notre virée au demeurant fort agréable. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 6 Les trophées : menhirs miniatures, sont généreusement décernés à tous nos gladiateurs vainqueurs de la course nature. Martinebonemine n’est pas en reste. Notre « jeune » V3, 1ère et unique dans sa catégorie (« Astérix le Devin » l’avait prédit) nous fait le « Coup du menhir ». A un certain Corneille qui avait osé : « A vaincre sans péril… » « Astérix chez les Bretons » lui rétorque : « ça n’vaut pas un coup de Cid’ » Nous l’affublons d’un menhir postiche qui supporte le poids avec Obélix : « Quoi ! petite gringalette, guère plus épaisse qu’un cuisseau de sanglier, tu oses me défier !!! Tu veux semer la zizanie ! Quelle potion magique as-tu donc ingurgitée ? Serais-tu tombée dans le chaudron ? » Ses nattes se dressent tels des glaives, «Le ciel lui tombe sur la tête ». Fiction, Bien sûr ! Toujours est-il que notre valeureuse guerrière reçoit un menhir de poche pour sa victoire dans « le combat des chefs. » Pour peu, nous la portions triomphalement sur « le Bouclier Arverne » et la couronnions des « Lauriers de César » VENI, VIDI, VICI. A défaut de lait de chèvre, nous étanchons notre soif de quelques lampées de cervoise à la taverne de Maître Freuchix et trinquons à la victoire de notre « GUERRIERE ». Patrick C. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 7 De la course à pied à la marche, il n’y a… qu’un pas. Bom dia da Madeira De Madère, nous n’en avions gouté que la sauce. Nous y avons découvert un cocktail de fleurs, de couleurs, de saveurs, d’odeurs et de douceur ; à siroter avec ou sans « madération. » La marche, alternative à la course à pied, nous laisse le temps d’apprivoiser et d’embrasser pleinement l’environnement. C’est le meilleur moyen d’aller à la rencontre de cette île volcanique portugaise, perdue en plein Atlantique au large du Maroc. Madère recèle une multitude de trésors naturels. Caressé, chouchouté par le Gulf Stream, ce gros caillou de 57 km sur 22 km, culminant à 1861 m (aussi haut que notre massif central) jouit d’un climat tempéré subtropical : 15 ° en hiver. Gâtée par la nature, l’île aux fleurs est un jardin flottant qui se pare de ses plus beaux atours dès que le printemps revient : l’oiseau de paradis s’offre à vous dans toute sa flamboyance, l’orchidée se drape dans sa robe nuptiale, la capucine danse au bord du chemin, Le mimosas aux teintes « citron » diffuse discrètement ses arômes, l’agapanthe renaissante La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 esquisse un premier sourire, le bougainvillier vous éblouit, le fuchsia s’incline sur votre passage. Tout ici, vous invite à la randonnée : l’eucalyptus vous régénère, le bananier vous met au régime et le palmier vous prend sous sa protection C’est dans ce décor paradisiaque que nos 5 Vaillants marcheurs : Brigitte, Jean, Patrick L. Marie-Yvonne et Patrick C. suivent le cours de ces fils argentés que sont les « levadas » (canaux d’irrigation) serpentant à flanc de montagne entre 800 et 1000 m, irrigant cette multitude de parcelles lilliputiennes de cultures étagées. Un chemin de randonnée permet au marcheur de s’immerger dans cette nature sur des dizaines de kilomètres. Le terrain est quasiment plat. Nul besoin de se soucier de l’orientation (ça en arrangerait certains) De temps à 8 autre, le précipice de droite vous incite à la prudence, et vous jaugez la paroi de gauche en toute humilité. Mais rassurez-vous, les passages délicats sont bien sécurisés par des mains-courantes. Ici, le randonneur est roi. Vous traversez la laurisilva (forêt de lauriers) peuplée de plantes endémiques qu’on ne trouve qu’à Madère, des paysages sauvages, de petits vallons verdoyants bucoliques. Ca et là, une fenêtre s’ouvre sur la mer en contre bas. Le long de ces « levadas » vous pouvez enfiler les kms sans difficulté majeure. Par intermittences, vous plongez dans La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 les ténèbres d’un tunnel de quelques dizaines à quelques centaines de mètres de longueur. La « frontale » est nécessaire : attention à la tête ! C’est ainsi que nous avons parcouru la « levada » des 25 fontaines et la cascade du Risco, bardée de centaines de marches : la « levada do calderào verde, » sa cascade de 300 m et son lac vert, des sites pittoresques comme le pico Ruivo (point culminant) et la Verada da Ponta de Sào Lourenço, à la pointe est de l’île. Adeus !!! Patrick C. 9 En l’an de grâce 2015, guerriers et guerrières : Christophe et Alain, citadelles ariégeoises. à Delpech chez la sœur lendemain, repos du contrée ; veillée dans le camping-car à sportif : pâtes au perturbé par une pluie (16 avril) 4 Vaillants Chantal, Martine, montent à l’assaut des Le bivouac est chaleureux de Christophe. Le guerrier et visite de la d’armes à LAVELANET proximité du départ ; repas saumon, puis sommeil incessante. Dès potron-minet, nous sommes sur le pied de guerre pour monter à l’assaut des châteaux cathares par des chemins tortueux et caillouteux. Briefing à 7h 45 pour un départ à 8 h. Dans l’imminence du départ, ces Dames se font attendre, enrôlées dans une file d’attente en quête de soulagement d’un besoin naturel. La pluie nous accompagne sur un terrain relativement plat. Les 1ères rampes se profilent. Chantal semble avoir des ailes, (Ô citad’ailes !!! Occita d’ailes !!!)) Montségur Gorges de Péreille Roquefixade Montségur, forteresse cathare altière, nichée au sommet d’un éperon rocheux, se fait un malin plaisir à se laisser conquérir, enveloppée d’un halo nuageux. Nous déjouons les pièges d’une descente très technique, toujours sous la pluie et les pieds dans la boue. Une soupe nous ravigote au 1er ravitaillement. Sur les pas de Philippe Le Hardi, nous prenons d’assaut le château de Roquefixade. Le combat est rude mais la bataille est gagnée. Sur le chemin du retour vers Lavelanet, dans les cascades de Roquefort et les gorges de Péreille, nous restons sur nos gardes craignant les embuscades de la fatigue, des crampes et de la baisse de moral. Après une dernière descente boueuse, flanquée d’une corde, nous baissons la garde. Nous regagnons nos pénates après 40 km de chevauchée et 2200 m d’ascension dans cette nature austère mais ô combien grandiose et féerique. Fourbus, fatigués, exténués, ce n’est pas sans fierté que nous aspirons au repos du guerrier. Alain T. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 10 RANDO MUCO BELLE-ISLE-EN-TERRE 26 avril 2015 sortie annuelle Pour ceux, sur place en début d’aprèsmidi, escapade à Perros-Guirec et sa côte de granit rose ; pour d’autres, arrivés plus tardivement, collation à Guingamp. Le soir, nous prenons le repas en commun. Nos deux « toques » Jean-Jacques et François sont aux fourneaux. Merci à eux pour les pâtes ! Cette année encore Jean-Marie nous a concocté une sortie annuelle aux petits oignons : direction la Bretagne, plus précisément Belle-Isle-en-Terre, dans le beau département des Côtes d’Armor, cher au cœur du chef de la rédaction de la gazette. Les arrivées s’échelonnent sur le lieu d’hébergement : camping dans un super cadre de verdure avec logement de plain-pied. (merci encore Jean-Marie pour l’attention…). L’animation est assurée par le docteur Jean-Luc et toute son équipe qui nous rappelle à juste titre quelques règles fondamentales d’hygiène sportive en prenant le cas de 2 expériences vécues par des membres du club. Le public attentif a bien retenu la leçon du professeur bien illustrée en cela par les membres éminents de son équipe. Ensuite soirée musicale animée par Jean-Jacques et les Vaillante’s girls. Certains ne pourront pas y goûter La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 11 longtemps, compte tenu d’un réveil matinal ; dommage ! Après le petit déjeuner, nous voilà partis pour la rando Muco : parcours de 14 kms ou 37 kms à travers forêts et lande sous une météo pluvieuse ; mais comme on dit en Bretagne : il ne pleut que 2 fois par semaine : 1 fois 3 jours, 1 fois 4 jours. N’estce pas ! C’est un beau parcours accidenté, avec pas mal de difficultés. Nous n’étions pas aidés non plus par la boue, très présente. Les cadors du club, Wilfried, Jean-Paul, Louis et quelques autres, partent à toute allure sur les foulées des « locaux. » Mais comme dit Wilfrid : « pas facile de rivaliser, ici c’est leur terrain de jeu ! ». Les autres coureurs du club optent pour une course groupée. A l’arrivée, après la douche, l’organisation de la rando Muco nous sert un repas. Félicitations à tous et à toutes, et encore à Jean-Marie. Juste un petit bémol : la météo, encore capricieuse cette année, ne nous a pas permis d’apprécier pleinement ce cadre bucolique. Yves Les p’tites filles et les p’tits gars du 36 13 au départ : 3 gentilles filles et 10 bons gars, aucune superstition, pas de mauvais présage, que de la bonne humeur... La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 12 Premiers couchés le samedi et premiers levés le dimanche matin car il faut les faire les 36 ! Non mais quand même !!! Le petit déjeuner est sérieux, avec comme toujours, les bons conseils de Blandine en matière diététique (c’est la référence de la CAP et cela se voit...) Nous sommes tous partis de bonne humeur et super motivés. Zut ! Crotte ! Rappel de jean Marie : on a oublié Marc sur le parking ! Les Dupont et Didier font demi-tour. Olivier, Yves Didier, Dominique, Josépha, Catherine, Blandine et « ma pomme » à portée de fusil comme on dit, avec un regroupement aux ravitos, ou l’on papote, se ravitaille, commente le parcours super agréable mais dur. Dominique enlisé est sauvé par Olivier et Yves. Josépha que l’on a un peu perdu “et si elle était tombée dans un trou appelant “à l’aide” avec ses petites mains et tout son cœur ? Inquiétude au ravito... Premières photos avant le départ sans les 4 retardés, enfin arrivés juste pour le départ. Nous nous positionnons en fin de peloton sous un beau soleil. Nous sommes environ 200 au départ. Le parcours est très sympa, varié, avec au tout début : chemins, sous bois, puis ensuite la forêt plus humide avec de belles montées et de bonnes descentes, parfois un peu “grasses” à mon goût. Wilfrid, Jean-Paul, Louis, Michel et Marc, nos gros rouleurs sont devant. Mais elle arrive toute souriante comme d’habitude et on repart motivés, avec un but : terminer avec le sourire et les jambes ... Dernier ravito tous ensemble (sauf les 5 grosses cylindrées, bien sûr), plus que 6 à 7km ; « et si l’on finissait ensemble ? » Lance Didier... Je me détourne : Blandine et Catherine sont déjà parties (je croyais que nous n’avions que 2 malentendants au club...), Les Dupont leur emboîtent le pas, suivis de nous quatre : Josépha, Dominique, Didier et moi. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 13 Nous terminerons en binômes : Les Dupont qui ont doublé Blandine et Catherine avant l’arrivée (ils ont oublié les bonnes manières...), Didier et moi : doucement dans les côtes pour ne pas cramper dans les mollets, et pas trop vite dans les descentes pour ne pas cramper au niveau des cuisses. Notre couple favori: Josépha et Dominique terminent à l’unisson “sniff, nom d’un chien que c’est beau !” Voilà une belle et très sympathique course qui se termine en plus de 4h 30 pour Olivier, Yves, Catherine, Blandine, Didier, Dominique, Josépha et moi. A renouveler !!! Jack « Super course à Belle-Isle-en-terre. Nous sommes bien fatigués. Les montées étaient dures. Dominique est resté coincé dans la boue pendant 10 mn. Heureusement que d'autres coureurs l'ont aidé à sortir. Béatrice et son mari Philippe nous ont conseillés d'aller chez l'ostéopathe. Nous allons mieux. Merci du conseil. Super ambiance et heureux que tout le monde soit bien arrivé. » Dominique et Josépha Dans la foulée de nos accompagnateurs (trices) A Belle-Isleen-terre, on vous emmène en tracteur « L’amour est dans le pré » A Belle-Ile-enmer, on vous emmènera….. « en bateau » Ils courent, ils courent, nos prétendants La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 14 Mare trail La Turballe 7 juin 2015 Trail 34 km Ce dimanche 7 juin, 15 coureurs et coureuses de la Vaillante s'alignent au départ du MARE TRAIL de la TURBALLE : 14 ou 34 Kms . Sous un magnifique ciel bleu et un vent de nord très frais, je prends le départ du 34 Kms avec Christophe, notre champion des longues distances. Dès le départ on voit ce qui nous attend : 4 kms de sable pour rejoindre le centre de PEN BRON face au Croisic. Je suis parti un peu vite et Christophe me rejoint au 1er ravito au 13ème km. Je le laisse partir essayant de garder un rythme régulier sur des terrains différents et variés dans les marais de GUERANDE. Après une alternance de chemins, bois, champs et même une piste de motocross, j'atteins le joli port de PIRIAC. Les jambes sont lourdes et les derniers kms sont éprouvants. Que c'est dur ! Je n'ai pas l'impression d'avancer dans ce sable qui se dérobe. Je me fais violence pour terminer sous les 3h30 : 3h29mn19s au chrono. Je retrouve mes supporters vertaviens et Christophe arrivé depuis environ 15 mn. Le club était à l'honneur aujourd'hui puisqu'Abdel termine 1er en V2 aux 14 Kms et je fais mon 1er podium de 1er V3 sur le 34 Kms. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 15 Bravo à tous nos vaillants coureurs et coureuses. Comme il se doit dans l'esprit du club, nous nous sommes tous retrouvés pour partager ensemble un pique-nique fort bien mérité. Merci à Ludo pour le choix de ce trail . Louis Trail 15 km Et un, et deux, et trois trophées !!! Après Martine et son menhir en granit, voici la cavalerie légère qui se réveille avec Abdel, 1er V2, et Louis, un « grognard » de la 1ère heure, 1er V3, bon pied bon œil, méthodique, métronome, constant, qui a toujours les jambes pour se hisser sur la plus haute marche du podium et porter à bout de bras les couleurs de la Vaillante. Oui, elle vieillit bien, la vieille garde ! Elle glanera encore quelques trophées. « Waterloo morne plaine ! » C’est pas pour demain ! Il y aura encore des « Arcole, Rivoli, Iéna et Austerlitz ». « Merde, Alors ! » Au pays de Cambronne, « L’enfant terrible de la gloire » a fait des émules. de m’accompagner et me suivre comme mon ombre. Elle eut quelques frayeurs lorsque les sabots de ma monture effleurèrent racines, souches et roches. Nous voici à Piriac, sur la plage, notre champ de bataille. Devant nous, trois lignes ennemies : la mer, le sable et les rochers. Il va falloir les affronter. Notre petite troupe d’une douzaine de cavaliers s’élance en ordre dispersé. Abdel, la fleur au fusil, contourne les lignes ennemies sans trop combattre. Jean-Marie le suit, à portée de fusil. Derrière on ne musarde pas : c’est pas le moment de la baignade et des châteaux de sable. Quant à nous, fantassins, sans grade, éclopés, l’œil poché, mal rasés, essayons d’arriver au bivouac avant la soupe du soir. Pour autant, il faut batailler ferme. 15 km, pas de quoi cravacher son cheval ! Mais quand même ! D’abord 7 km de chevauchée sans trop d’embûche, quoi que ! Martine, ce jour-là, avait décidé La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 16 La mer est là, ennemie suprême. Elle se retire, refusant le combat. (Le petit caporal n’a jamais osé l’affronter.) Quant au sable, il nous livre bataille : sournois, piégeux, déstabilisant, il ralentit nos montures et nous fait souffrir. Les rochers, techniques, interdisent tous faux pas.. Avec Mireille Marie-Paule et Martine nous nous encourageons et achevons tous 4 notre chevauchée, naseaux fumants et souffle haletant. Patrick C. En suivant la Divatte Sortie Barbechat 21/06/2015 A quelques encablures des turbulences du Hellfest, le Perthuis Churin à Barbechat, nous accueille en toute quiétude, ce dimanche matin. Entre 2 soirées musicales, qu’il fait bon se dégourdir les jambes sur les bords de la Divatte ! (rivière de séparation entre Bretagne et Anjou.) Préparé par Chantal, Christophe et Alain T. ce circuit de 13 km nous fait découvrir ce petit coin champêtre niché aux confins de la Loire-Atlantique et du Maine et Loire. Se sont d’abord les vestiges de l’église Ste Magdeleine, XIIIème siècle, puis un chemin creux, escarpé et humide qui nous demande un peu de vigilance. Pas de Chute, pas de bobo ; une pensée pour Ludo. Nous descendons jusqu’au pont Trubert, ou pont de la trahison, (1420, à propos d’une querelle entre Marguerite de Clisson et Jean V de Montfort) au sujet des duchés de Bretagne et d’Anjou. Nous faisons demi-tour et restons en Bretagne. Autre curiosité : le pont du Thurinet, dit pont gallo-romain. C’est une réplique de l’ancien datant de plus 20 siècles. La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 17 Nous immortalisons notre passage par la photo de famille. Nous longeons la Divatte puis prenons de la hauteur. Un escalier bien raide nous coupe les jambes. Il est temps d’achever notre périple par le verre de l’amitié à l’ombre auprès du parking. Merci aux organisateurs pour cette sortie estivale fort sympathique. A refaire ! Patrick C Une anomalie s’est glissée dans ce compterendu. Cherchez-la ! Je prends mon pied ! A qui sont ces chaussures qui cherchent leur chemin ??? La gazette des coureurs de la Vaillante N°39 18