Stretching fin de saison - Section Course à Pied de la Vaillante Vertou

Transcription

Stretching fin de saison - Section Course à Pied de la Vaillante Vertou
N°39
juin 2015
Edito
Pour cette dernière gazette, nous avons décidé de vous faire partager un extrait
d’une réunion de bureau du mois de novembre 2014.
20 h 02 : Tout se passe à peu près bien … Belle-Isle-en-terre ? C'est où ? Pour
quoi faire ? On mangera où ? On dormira où ? Attendez ! .mais attendez !!! C’est
comme aux passages piétons ! Vous ne m'écoutez pas !!!
Ainsi s’exprimait Jean-Marie. Merci à toi pour ta patience et pour cette belle sortie
annuelle en Bretagne.
Nous espérons que vous avez tous passé une agréable saison sportive. Nous
n’oublions pas ceux qui n’ont pas pu s'exprimer sportivement et nous leur
souhaitons de retrouver leurs sensations.
Bonne fin de saison et VIVE LES VACANCES !!!
Alain et le bureau
Stretching fin de saison
Les cours de Stretch se sont terminés
dans la bonne humeur et la convivialité
en partageant le pot de l'amitié avec
Sylvain qui a assuré avec beaucoup de
La gazette des coureurs de la Vaillante N°39
professionnalisme les cours de cette
saison. Vous pouvez retrouver conseils
et articles sur son site perso
: http://www.moncoachsport-sante.fr/
En attendant la reprise en septembre,
continuez à vous étirer selon ses
conseils.
1
A la Haye : soit fier !!!
Vous l’avez sûrement reconnu ce cosmonaute !
Il vient d’atterrir à la Haye-Fouassière, la fouace sous le bras, le petit LU et le muscadet
dans la besace. Bienvenue ! A la Haye, soit fier !!!
Oui, c’est bien lui, notre ami Abdel. Rassurez-vous, désormais, il a bien les pieds sur
terre. Il a reconnu le parcours une bonne dizaine de fois. Il peut même le refaire les yeux
fermés… avec son coach… borgne.
Pas facile de caler une sortie découverte en ce mois d’avril et de la partager avec le trail
nantais. Faites votre choix !
Il est là, à portée de main, à quelques enjambées devrais-je dire, ce château d’eau, tout
de bleu vêtu, nous saluant de son canotier. 2 kms de grimpette ; Il faut le mériter : vous
prendrez bien un verre d’eau !
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2
Nous voici dans les vignes de la Mercredière au Pallet,
domaine d’un certain Daniel Futeul, un vétéran de la course
à pied : plus de 65 marathons au compteur dont tous les
marathons de Nantes sauf
Pas de souci, j’assure !!! un. Nous longeons un étang
avec aire de pique-nique, traversons le village de la
Jeanière et débarquons à Port Domino. De son faste
d’antan, plus aucun vestige si ce n’est ce quai, aujourd’hui
désert, où accostaient yoles et gabarres, chargées de
denrées et matériaux divers : bois, chaux, vin, blé. Venant d’Amérique, c’est ici que le
magnolia a pris racine en France et en Europe.
Nous passons en contre bas du charmant petit village du
Pé de Sèvre dont les 17 escaliers de pierre auraient
sûrement aiguisé votre curiosité. Ce chemin bucolique
recèle une autre curiosité : un trou dans la roche.
Un enfant aux cheveux frisés ?
Passez-y la main…
Bon, allez ! Assez musardé… C’est une sente tout en
sous-bois avec tapis de feuilles mortes qui nous ramène
Quel athlète !!!
vers les vignes. Attention aux barbelés entre les rangs !
Notre ami Futeul, tout affûté qu’il est, n’est pas toujours
très
futé ;
mon
genou en a gardé des stigmates.
C’est par
un chemin
Tout en équilibre
ombragé
et fleuri que nous croisons le
Quel exploit !!!
moulin du Breil, toujours ailé, et
rejoignons le village de la Gosselière.
Moulin du Breil
Le soleil daigne enfin faire un clin d’œil à notre vingtaine de coureurs et la dizaine de
marcheurs, tous enchantés par cette sortie inédite.
Heureux
comme un papy en fleurs
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Nous prenons le pot de l’amitié dans le jardin de
notre hôte. Notre jeune papy Alain, fait sauter
quelques
bouchons pour
fêter
l’événement.
Mireille n’est pas
en reste : elle
fête
son
Chaud, chaud, chaud,
anniversaire. A
ce pique-nique
3
l’heure du pique-nique le soleil est plus que généreux : lunettes noires et couvre-chefs en
tous genres sont de sortie.
Un grand merci à Abdel et Nadine pour leur accueil, la préparation et l’encadrement de
cette journée.
Patrick C
Quelle vie de chien !!! Ils s’en lèchent
les babines et moi je n’ai même pas
une rondelle de saucisson ! Goujats !!!
Raid aventure Vioreau 5 avril 2015
Le challenge était intéressant : course à pied, vélo, canoë. C'est quelques minutes
seulement après le départ que nous avons compris qu'il s'agissait d'une véritable course
d'orientation. Deux schtroumpfs et une schtroumpfette : Olivier, Ludo et Martine sont
embarqués dans une aventure autour du lac de Vioreau.
Dès 6 h, nos trois compères sont sur le pied de guerre ce dimanche matin. Le ferait-il
pour aller bosser ?
Course folle en forêt à la recherche de 12 balises en 45 mn. Chute de Martine qui prend
gout aux pissenlits. 30 mn de retard que nous espérons rattraper avec les 50 kms de vtt.
Aussitôt le vélo enfourché, nous oublions la première balise mais pas encore
d'inquiétude après 1/4 d'heure avec une carte vierge de toute indication.
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Nous nous retrouvons en pleine cambrousse, et malgré l'aide inespérée d'un
commissaire, le moral commence à baisser sérieusement.
Nous coupons à travers un champ de
maïs (idée lumineuse de Ludo)
traversons une haie de ronces pour
atterrir sur la voie ferrée tram-train
Nantes Châteaubriant. Rouler sur le
ballast nous ferait gagner du temps :
mais comme un train peut en cacher un
autre, une bonne
idée
peut
en
chasser
une
mauvaise… sur la
voie de la sagesse
Les 3 schtroumps
« j’entends siffler le
train… »
Nous
récupérons 2 coureurs chevronnés mais peu coopératifs (c'est pas du trail ... ) bilan :
une bonne quinzaine de balises zappées et le parcours en canoë fut plus que laborieux.
Après 7 h de course, nous sommes vidés. Nous terminons 1 ère équipe mixte (pas beau,
ça !!!) et 12ème sur 15 au classement général.
Excellent dimanche sous un soleil généreux.
A une prochaine aventure.
Les schtroumpfs : Martine, Ludo, Olivier.
Piqûre de rappel
Bobos en tous genres,
éraflures,
blessures mineures,
Pour éviter des complications comme l’infection : lavage de
la plaie ( eau + savon ) - rinçage - et
ANTISEPTIQUE …
Blandine
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VNE AVENTVRE D’
LE GAVLOIS
Le coup du menhir de
Martinebonemine
Dernier né des aventures d’Astérix, on
se l’arrache au kiosque de la Vaillante.
Il y a belle lurette que notre petite
gauloise n’anime plus sa collection des
« Martine ». Elle joue désormais dans
la cour des Grands et fait partie des
personnages mythiques d’Astérix, au
même titre que Cléopâtre, Obélix et
compagnie…
Avec ses amis : Béatrixia, Ludovix,
Gildasix, Patrix et les Freuchix :
Catarina et Mickaélix, ils s’étaient
donné rendez-vous dans un petit village
breton : Sanctus Aubinum Castellum,
perdu
dans
la
campagne
Castelbriantum.
Ce
jour-là,
Martinebonemine et les siens étaient
invités à une chasse au menhir, évadé
de Carnac.
10 km ou 17 km, au choix. La
campagne fleure bon la fraîcheur
matinale et les sous-bois auraient
inspiré Obélix en quête de sanglier. Pas
de difficulté majeure : un parcours
plutôt roulant. Nous débusquons assez
rapidement notre menhir bien esseulé,
délaissé par Obélix. Puis c’est « la
grande traversée » dans la forêt. Sans
encombre, nous bouclons notre virée
au demeurant fort agréable.
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6
Les trophées : menhirs miniatures, sont
généreusement décernés à tous nos
gladiateurs vainqueurs de la course
nature. Martinebonemine n’est pas en
reste. Notre « jeune » V3, 1ère et unique
dans sa catégorie (« Astérix le Devin »
l’avait prédit) nous fait le « Coup du
menhir ». A un certain Corneille qui
avait osé : « A vaincre sans péril… »
« Astérix chez les Bretons » lui
rétorque : « ça n’vaut pas un coup de
Cid’ » Nous l’affublons d’un menhir
postiche qui supporte le poids avec
Obélix :
« Quoi ! petite
gringalette, guère
plus épaisse qu’un
cuisseau de sanglier,
tu oses me défier !!!
Tu veux semer la
zizanie ! Quelle
potion magique as-tu
donc ingurgitée ?
Serais-tu tombée
dans le chaudron ? »
Ses nattes se dressent tels des glaives,
«Le ciel lui tombe sur la tête ». Fiction,
Bien sûr ! Toujours est-il que notre
valeureuse guerrière reçoit un menhir
de poche pour sa victoire dans « le
combat des chefs. » Pour peu, nous la
portions triomphalement sur « le
Bouclier Arverne » et la couronnions
des « Lauriers de César »
VENI, VIDI, VICI.
A défaut de lait de chèvre, nous
étanchons notre soif de quelques
lampées de cervoise à la taverne de
Maître Freuchix et trinquons à la
victoire de notre « GUERRIERE ».
Patrick C.
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De la course à pied à la marche, il n’y a… qu’un pas.
Bom dia da Madeira
De Madère, nous n’en avions gouté
que la sauce. Nous y avons découvert
un cocktail de fleurs, de couleurs, de
saveurs, d’odeurs et de douceur ; à
siroter avec ou sans « madération. » La
marche, alternative à la course à pied,
nous laisse le temps d’apprivoiser et
d’embrasser pleinement l’environnement. C’est le meilleur moyen d’aller à
la rencontre de cette île volcanique
portugaise, perdue en plein Atlantique
au large du Maroc. Madère recèle une
multitude de trésors naturels.
Caressé, chouchouté par le Gulf
Stream, ce gros caillou de 57 km sur 22
km, culminant à 1861 m (aussi haut
que notre massif central) jouit d’un
climat tempéré subtropical : 15 ° en
hiver. Gâtée par la nature, l’île aux
fleurs est un jardin flottant qui se pare
de ses plus beaux atours dès que le
printemps revient : l’oiseau de paradis
s’offre à vous dans toute sa
flamboyance, l’orchidée se drape dans
sa robe nuptiale, la capucine danse au
bord du chemin, Le mimosas aux
teintes « citron » diffuse discrètement
ses arômes, l’agapanthe renaissante
La gazette des coureurs de la Vaillante N°39
esquisse un premier sourire, le
bougainvillier vous éblouit, le fuchsia
s’incline sur votre passage. Tout ici,
vous invite à la randonnée :
l’eucalyptus vous régénère, le bananier
vous met au régime et le palmier vous
prend sous sa protection
C’est dans ce décor paradisiaque que
nos 5 Vaillants marcheurs : Brigitte,
Jean, Patrick L. Marie-Yvonne et
Patrick C. suivent le cours de ces fils
argentés que sont les « levadas »
(canaux d’irrigation) serpentant à flanc
de montagne entre 800 et 1000 m,
irrigant cette multitude de parcelles
lilliputiennes de cultures étagées. Un
chemin de randonnée permet au
marcheur de s’immerger dans cette
nature sur des dizaines de kilomètres.
Le terrain est quasiment plat. Nul
besoin de se soucier de l’orientation (ça
en arrangerait certains) De temps à
8
autre, le précipice
de droite vous
incite
à
la
prudence, et vous
jaugez la paroi de
gauche en toute
humilité.
Mais
rassurez-vous,
les
passages
délicats sont bien
sécurisés par des
mains-courantes.
Ici, le randonneur est roi. Vous
traversez la laurisilva (forêt de lauriers)
peuplée de plantes endémiques qu’on
ne trouve qu’à Madère, des paysages
sauvages, de petits vallons verdoyants
bucoliques. Ca et là, une fenêtre
s’ouvre sur la mer en contre bas. Le
long de ces « levadas » vous pouvez
enfiler les kms sans difficulté majeure.
Par intermittences, vous plongez dans
La gazette des coureurs de la Vaillante N°39
les ténèbres d’un
tunnel de quelques
dizaines à quelques
centaines de mètres
de longueur. La
« frontale »
est
nécessaire :
attention à la tête !
C’est ainsi que nous
avons parcouru la
« levada » des 25
fontaines et la cascade du Risco,
bardée de centaines de marches : la
« levada do calderào verde, » sa
cascade de 300 m et son lac vert, des
sites pittoresques comme le pico Ruivo
(point culminant) et la Verada da Ponta
de Sào Lourenço, à la pointe est de
l’île.
Adeus !!!
Patrick C.
9
En l’an de grâce 2015,
guerriers et guerrières :
Christophe et Alain,
citadelles ariégeoises.
à Delpech chez la sœur
lendemain, repos du
contrée ;
veillée
dans le camping-car à
sportif :
pâtes
au
perturbé par une pluie
(16 avril) 4 Vaillants
Chantal,
Martine,
montent à l’assaut des
Le bivouac est chaleureux
de
Christophe.
Le
guerrier et visite de la
d’armes à LAVELANET
proximité du départ ; repas
saumon, puis sommeil
incessante.
Dès potron-minet, nous
sommes sur le pied de
guerre pour monter à l’assaut des châteaux cathares par des chemins tortueux et
caillouteux. Briefing à 7h 45 pour un départ à 8 h. Dans l’imminence du départ, ces Dames
se font attendre, enrôlées dans une file d’attente en quête de soulagement d’un besoin
naturel.
La pluie nous accompagne sur un terrain relativement plat. Les 1ères rampes se profilent.
Chantal semble avoir des ailes, (Ô citad’ailes !!! Occita d’ailes !!!))
Montségur
Gorges de Péreille
Roquefixade
Montségur, forteresse cathare altière, nichée au sommet d’un éperon rocheux, se fait un
malin plaisir à se laisser conquérir, enveloppée d’un halo nuageux. Nous déjouons les
pièges d’une descente très technique, toujours sous la pluie et les pieds dans la boue. Une
soupe nous ravigote au 1er ravitaillement.
Sur les pas de Philippe Le Hardi, nous prenons d’assaut le château de Roquefixade. Le
combat est rude mais la bataille est gagnée. Sur le chemin du retour vers Lavelanet, dans
les cascades de Roquefort et les gorges de Péreille, nous restons sur nos gardes craignant
les embuscades de la fatigue, des crampes et de la baisse de moral.
Après une dernière descente boueuse, flanquée d’une corde, nous baissons la garde. Nous
regagnons nos pénates après 40 km de chevauchée et 2200 m d’ascension dans cette
nature austère mais ô combien grandiose et féerique.
Fourbus, fatigués, exténués, ce n’est pas sans fierté que nous aspirons au repos du guerrier.
Alain T.
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RANDO MUCO
BELLE-ISLE-EN-TERRE
26 avril 2015
sortie annuelle
Pour ceux, sur place en début d’aprèsmidi, escapade à Perros-Guirec et sa
côte de granit rose ; pour d’autres,
arrivés plus tardivement, collation à
Guingamp. Le soir, nous prenons le
repas
en
commun.
Nos
deux
« toques » Jean-Jacques et François
sont aux fourneaux. Merci à eux pour
les pâtes !
Cette année encore Jean-Marie nous a
concocté une sortie annuelle aux petits
oignons : direction la Bretagne, plus
précisément Belle-Isle-en-Terre, dans
le beau département des Côtes
d’Armor, cher au cœur du chef de la
rédaction de la gazette. Les arrivées
s’échelonnent
sur
le
lieu
d’hébergement : camping dans un
super cadre de verdure avec logement
de plain-pied. (merci encore Jean-Marie
pour l’attention…).
L’animation est assurée par le docteur
Jean-Luc et toute son équipe qui nous
rappelle à juste titre quelques règles
fondamentales d’hygiène sportive en
prenant le cas de 2 expériences vécues
par des membres du club. Le public
attentif a bien retenu la leçon du
professeur bien illustrée en cela par les
membres éminents de son équipe.
Ensuite soirée musicale animée par
Jean-Jacques et les Vaillante’s girls.
Certains ne pourront pas y goûter
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longtemps, compte tenu d’un réveil
matinal ; dommage !
Après
le petit
déjeuner, nous
voilà partis pour
la rando Muco :
parcours de 14
kms ou 37 kms à
travers forêts et lande sous une météo
pluvieuse ; mais comme on dit en
Bretagne : il ne pleut que 2 fois par
semaine : 1
fois 3 jours,
1
fois
4
jours. N’estce pas !
C’est un beau
parcours
accidenté, avec
pas mal de
difficultés. Nous
n’étions
pas
aidés non plus par la boue, très
présente. Les cadors du club, Wilfried,
Jean-Paul, Louis et quelques autres,
partent à toute allure sur les foulées
des « locaux. » Mais comme
dit
Wilfrid : « pas facile de rivaliser, ici c’est
leur terrain de jeu ! ». Les autres
coureurs du club optent pour une
course groupée.
A
l’arrivée,
après
la
douche,
l’organisation de la rando Muco nous
sert un repas. Félicitations à tous et à
toutes, et encore à Jean-Marie. Juste
un petit bémol : la météo, encore
capricieuse cette année, ne nous a pas
permis d’apprécier
pleinement ce
cadre bucolique.
Yves
Les p’tites filles et les
p’tits gars du 36
13 au départ : 3 gentilles filles et 10 bons gars, aucune
superstition, pas de mauvais présage, que de la bonne humeur...
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Premiers couchés le samedi et
premiers levés le dimanche matin car il
faut les faire les 36 ! Non mais quand
même !!!
Le petit déjeuner est sérieux, avec
comme toujours, les bons conseils de
Blandine en matière diététique (c’est la
référence de la CAP et cela se voit...)
Nous sommes tous partis de bonne
humeur et super motivés. Zut ! Crotte !
Rappel de jean Marie : on a oublié
Marc sur le parking ! Les Dupont et
Didier font demi-tour.
Olivier, Yves Didier, Dominique,
Josépha, Catherine, Blandine et « ma
pomme » à portée de fusil comme on
dit, avec un regroupement aux ravitos,
ou l’on papote, se ravitaille, commente
le parcours super agréable mais dur.
Dominique enlisé est sauvé par Olivier
et Yves. Josépha que l’on a un peu
perdu “et si elle était tombée dans un
trou appelant “à l’aide” avec ses
petites mains et tout son cœur ?
Inquiétude au ravito...
Premières photos avant le départ sans
les 4 retardés, enfin arrivés juste pour
le départ. Nous nous positionnons en
fin de peloton sous un beau soleil.
Nous sommes environ 200 au départ.
Le parcours est très sympa, varié, avec
au tout début : chemins, sous bois, puis
ensuite la forêt plus humide avec de
belles
montées
et
de
bonnes
descentes, parfois un peu “grasses” à
mon goût.
Wilfrid, Jean-Paul, Louis, Michel et
Marc, nos gros rouleurs sont devant.
Mais elle arrive toute souriante comme
d’habitude et on repart motivés, avec
un but : terminer avec le sourire et les
jambes ... Dernier ravito tous ensemble
(sauf les 5 grosses cylindrées, bien
sûr), plus que 6 à 7km ; « et si l’on
finissait ensemble ? » Lance Didier... Je
me détourne : Blandine et Catherine
sont déjà parties (je croyais que nous
n’avions que 2 malentendants au
club...), Les Dupont leur emboîtent le
pas, suivis de nous quatre : Josépha,
Dominique, Didier et moi.
La gazette des coureurs de la Vaillante N°39
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Nous terminerons en binômes : Les
Dupont qui ont doublé Blandine et
Catherine avant l’arrivée (ils ont oublié
les bonnes manières...), Didier et moi :
doucement dans les côtes pour ne pas
cramper dans les mollets, et pas trop
vite dans les descentes pour ne pas
cramper au niveau des cuisses.
Notre couple favori: Josépha et
Dominique terminent à l’unisson “sniff,
nom d’un chien que c’est beau !”
Voilà une belle et très sympathique
course qui se termine en plus de 4h 30
pour Olivier, Yves, Catherine, Blandine,
Didier, Dominique, Josépha et moi. A
renouveler !!!
Jack
« Super course à Belle-Isle-en-terre.
Nous sommes bien fatigués. Les
montées étaient dures. Dominique est
resté coincé dans la boue pendant 10
mn. Heureusement que d'autres
coureurs l'ont aidé à sortir.
Béatrice et son mari Philippe nous ont
conseillés d'aller chez l'ostéopathe.
Nous allons mieux. Merci du conseil.
Super ambiance et heureux que tout le
monde soit bien arrivé. »
Dominique et Josépha
Dans la foulée de nos
accompagnateurs (trices)
A Belle-Isleen-terre, on
vous emmène
en tracteur
« L’amour est dans le pré »
A Belle-Ile-enmer, on vous
emmènera…..
« en bateau »
Ils courent, ils courent,
nos prétendants
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Mare trail La Turballe
7 juin 2015
Trail 34 km
Ce dimanche 7 juin, 15 coureurs et
coureuses de la Vaillante s'alignent au
départ du MARE TRAIL de la
TURBALLE : 14 ou 34 Kms .
Sous un magnifique ciel bleu et un vent
de nord très frais, je prends le départ
du 34 Kms avec Christophe, notre
champion des longues distances. Dès
le départ on voit ce qui nous attend : 4
kms de sable pour rejoindre le centre
de PEN BRON face au Croisic. Je suis
parti un peu vite et Christophe me
rejoint au 1er ravito au 13ème km. Je le
laisse partir essayant de garder un
rythme régulier sur des terrains
différents et variés dans les marais de
GUERANDE.
Après une alternance de chemins, bois,
champs et même une piste de
motocross, j'atteins le joli port de
PIRIAC. Les jambes sont lourdes et les
derniers kms sont éprouvants. Que
c'est dur ! Je n'ai pas l'impression
d'avancer dans ce sable qui se dérobe.
Je me fais violence pour terminer sous
les 3h30 : 3h29mn19s au chrono.
Je retrouve mes supporters vertaviens
et Christophe arrivé depuis environ 15
mn. Le club était à l'honneur
aujourd'hui puisqu'Abdel termine 1er en
V2 aux 14 Kms et je fais mon 1er
podium de 1er V3 sur le 34 Kms.
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Bravo à tous nos vaillants coureurs et
coureuses. Comme il se doit dans
l'esprit du club, nous nous sommes
tous retrouvés pour partager ensemble
un pique-nique fort bien mérité. Merci à
Ludo pour le choix de ce trail .
Louis
Trail 15 km
Et un, et deux, et trois trophées !!!
Après Martine et son menhir en granit,
voici la cavalerie légère qui se réveille
avec Abdel, 1er V2, et Louis, un
« grognard » de la 1ère heure, 1er V3,
bon pied bon œil, méthodique,
métronome, constant, qui a toujours
les jambes pour se hisser sur la plus
haute marche du podium et porter à
bout de bras les couleurs de la
Vaillante. Oui, elle vieillit bien, la vieille
garde ! Elle glanera encore quelques
trophées. « Waterloo morne plaine ! »
C’est pas pour demain ! Il y aura
encore des « Arcole, Rivoli, Iéna et
Austerlitz ». « Merde, Alors ! » Au pays
de Cambronne, « L’enfant terrible de la
gloire » a fait des émules.
de m’accompagner et me suivre
comme mon ombre. Elle eut quelques
frayeurs lorsque les sabots de ma
monture effleurèrent racines, souches
et roches.
Nous voici à Piriac, sur la plage, notre
champ de bataille. Devant nous, trois
lignes ennemies : la mer, le sable et
les rochers. Il va falloir les affronter.
Notre petite troupe d’une douzaine de
cavaliers s’élance en ordre dispersé.
Abdel, la fleur au fusil, contourne les
lignes ennemies sans trop combattre.
Jean-Marie le suit, à portée de fusil.
Derrière on ne musarde pas : c’est pas
le moment de la baignade et des
châteaux de sable.
Quant à nous, fantassins, sans grade,
éclopés, l’œil poché, mal rasés,
essayons d’arriver au bivouac avant la
soupe du soir. Pour autant, il faut
batailler ferme. 15 km, pas de quoi
cravacher son cheval ! Mais quand
même ! D’abord 7 km de chevauchée
sans trop d’embûche, quoi que !
Martine, ce jour-là, avait décidé
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La mer est là, ennemie suprême. Elle
se retire, refusant le combat. (Le petit
caporal n’a jamais osé l’affronter.)
Quant au sable, il nous livre bataille :
sournois, piégeux,
déstabilisant, il
ralentit nos montures et nous fait
souffrir. Les rochers, techniques,
interdisent tous faux pas..
Avec Mireille Marie-Paule et Martine
nous nous encourageons et achevons
tous 4 notre chevauchée, naseaux
fumants et souffle haletant.
Patrick C.
En suivant la Divatte
Sortie Barbechat
21/06/2015
A
quelques
encablures
des
turbulences du Hellfest, le Perthuis
Churin à Barbechat, nous accueille en
toute quiétude, ce dimanche matin.
Entre 2 soirées musicales, qu’il fait bon
se dégourdir les jambes sur les bords
de la Divatte ! (rivière de séparation
entre Bretagne et Anjou.)
Préparé par Chantal, Christophe et
Alain T. ce circuit de 13 km nous fait
découvrir ce petit coin champêtre niché
aux confins de la Loire-Atlantique et du
Maine et Loire. Se sont d’abord les
vestiges de l’église Ste Magdeleine,
XIIIème siècle, puis un chemin creux,
escarpé et humide qui nous demande
un peu de vigilance. Pas de Chute, pas
de bobo ; une pensée pour Ludo.
Nous descendons jusqu’au pont
Trubert, ou pont de la trahison, (1420,
à propos d’une querelle entre
Marguerite de Clisson et Jean V de
Montfort) au sujet des duchés de
Bretagne et d’Anjou. Nous faisons
demi-tour et restons en Bretagne.
Autre curiosité : le pont du Thurinet, dit
pont gallo-romain. C’est une réplique
de l’ancien datant de plus 20 siècles.
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Nous immortalisons notre passage par
la photo de famille. Nous longeons la
Divatte puis prenons de la hauteur. Un
escalier bien raide nous coupe les
jambes. Il est temps d’achever notre
périple par le verre de l’amitié à
l’ombre auprès du parking.
Merci aux organisateurs pour cette
sortie estivale fort sympathique. A
refaire !
Patrick C
Une anomalie s’est glissée dans ce compterendu. Cherchez-la !
Je prends mon pied !
A qui sont ces chaussures qui
cherchent leur chemin ???
La gazette des coureurs de la Vaillante N°39
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