Des étudiants au 4L Trophy

Transcription

Des étudiants au 4L Trophy
L’ E S T R É P U B L I C A I N | S A M E D I 2 5 J U I N 2 0 1 6
COURONNE BELFORTAINE
UTBM
bloc
Des étudiants au 4L Trophy
notes
Bavilliers
Mise à jour du plan
cadastral
Jusqu’au lundi 31 octobre, le géomètre du cadastre effectue la mise à jour périodique du plan cadastral et notamment le lever des constructions neuves et des additions de construction de juin à octobre 2016. Tous les jours de 8 h à 18 h, sauf les samedis, dimanches, lundi 15 août et jeudi 14 juillet. Tél. 03 84 57 38 88.
Châtenois­les­Forges
Carte blanche
Audition de fin d’année des élèves du conservatoire Henri Dutilleux, lundi 27 juin à 18 h au entre socio­
Un équipage de l’université de Sevenans est déjà constitué et équipé pour participer au rallye en février
éducatif (Château Vermot). Tél. 03 84 54 27 27.
Valdoie
Vide­greniers
Organisé par l’association Ring olympique valdoyen (ROV), dimanche 3 juillet de 7 h à 18 h. Parking du gymnase du Monceau. Fiche d’inscription à retirer à la mairie. 30 € les 5 m (commerçants) et 10 € les 5 m (particuliers). Tél. 06 49 25 73 60. Date limite de réservation : 1er juillet.
L’équipe « 4Lectrochoc »
est gonflée à bloc, comme
les roues de sa Renault 4L.
En février 2017, Florian
Brunstein, pilote et Valen­
tin Burger, copilote, s’ali­
gneront au départ de la
prochaine édition du 4L
Trophy. Les deux étudiants
ingénieurs, l’un en infor­
matique et l’autre en éner­
gie, ont créé leur associa­
tion pour pouvoir acquérir
leur véhicule et se prépa­
rer sereinement au rallye­
raid.
10 000 km
A u p r o g r a m m e,
10 000 km, aller­retour, car
bien sûr, ils ont envie de
ramener la voiture à Seve­
nans. Deux autres équipa­
ges de l’u niver sit é, de
technologies en cours de
c o n s t i t u t i o n , d ev r a i e n t
aussi participer à l’aventu­
re. Mais déjà, les yeux de
Florian et Valentin pé­
tillent en se projetant sur
les pistes sud marocaines,
Le 4L Trophy, c’est quoi ?
E Le 4L Trophy, qui fêtera ses 20 ans en 2017, est un rallye­
de
garde
Secteur de Delle
Médecins de garde : 3966.
Samu : tél. 15.
Pharmacie : tél. 15.
Pompiers : tél. 18.
Gendarmerie : tél.
03.84.36.00.37.
Cabinets d’infirmiers :
Mmes Natale, Dard,
Lallemand et Martinez et M.
Moirod, 9 rue Saint­Nicolas ;
tél. 03.84.36.08.44.
Mmes Beley et Guigon, 38A
fbg de Belfort ; tél.
03.84.55.03.85.
Mme El Abbassi, 6 rue de la
Paix ; tél. 03.39.02.23.63.
Secteur de Beaucourt
Médecins de garde : 3966 ou
le 15.
Pharmacie : tél. 3237.
Pompiers­gendarmerie : tél.
18 ou 03.84.56.90.09.
Secteur de Giromagny
Médecins de garde : 3966.
Samu : tél. 15.
Centre de soins : Grande­Rue ;
tél. 03.84.29.36.98.
Pharmacie : tél. 3237.
Secteur de Rougemont­
le­Château, Roppe
Fontaine, Étueffont
Chèvremont
Montreux­Château et
Bessoncourt
Médecin de garde : tél. 3966.
En cas d’urgence ou problème
médical grave : tél. 15.
Pharmacie : tél. 3237.
Cabinet de soins : 6, rue des
Magnolias à Bessoncourt ; tél.
03.84.29.85.15.
Centre de soins : Denis et
Béatrice Duhaut, 3 rue du Dr­
Schweitzer à Montreux­
Château ; tél. 03.84.23.31.55.
Cabinet de soins : 1A, avenue
du Commandant­Arnaud à
Roppe ; tél. 06.19.95.92.50.
Infirmières : Aloïse Pierre et
Marie­Pierre Guermonprez,
maison de santé des Errues, 2
bis rue du Tramway à
Menoncourt les Errues ; tél.
07.82.72.23.25
Secteur de Châtenois­
les­Forges
Médecin de garde : tél. 3966.
Samu : tél. 15.
Cabinet d’infirmières de
Châtenois­les­Forges :
Catherine Barbaud ; Sylvie
Josse, Patricia Cordier,
Nathalie Guyod tél.
03.84.29.42.55.
Cabinet d’infirmières de
Bermont : Mme Martin et
Mme Ehret à Bermont, tél.
03.84.56.13.06.
Pharmacie : tél. 3237.
Cravanche
Drôles d’oiseaux au village
raid humanitaire réservé aux étudiants de 18 à 28 ans. Il part
de France (Biarritz en 2017), traverse l’Espagne, fait étape au
Maroc pour commencer une course d’orientation en plein
désert.
Le côté humain de cette aventure réside dans l’aide humani­
taire que gère Desertours, en partenariat avec l’association
« Enfants du désert », qui permet de donner les moyens d’étu­
dier dans de bonnes conditions aux enfants marocains. Pour
ce faire, chaque équipage ramène diverses fournitures scolai­
res et sportives dans son véhicule. Les enseignants et les
étudiants de l’UTBM qui le souhaitent peuvent déposer des
fournitures à l’accueil.
K Florian et Valentin ont déjà passé de nombreuses heures à préparer leur Renault.
autour des dunes de Me­
rzouga et dans l’Atlas. Le
Maroc sauvage, qui sait,
imprégnera des souvenirs
impérissables.
Avec un budget estimé à
8 800 €, ils jouent serrés et
en appellent aux partena­
riats et aux dons.
W Pour les contacter
:
[email protected] ou
06 87 66 86 74
Valdoie
Un hectare pour la permaculture
Mi­juin, un groupe d’une
trentaine de stagiaires ori­
ginaires de diverses régions
françaises sont venus en
formation au sein de l’asso­
ciation « Permacultivons la
vie », sur le site créé par
Josiane Goepfert : le « Jar­
din d’une curieuse » à Froi­
devaux (25).
Le formateur, Bernard
Alonso, Québecois formé à
l’Institut de permaculture
de Kootenayx (Colombie­
Britannique) se consacre à
l’approche permaculturelle
d e p u i s 1 9 9 3 . L’ o b j e c t i f
poursuivi : se nourrir, se lo­
ger, partager les ressour­
ces… et une boîte à outils
pour y arriver. « C’est la
création d’écosystèmes ré­
silients, d’après une obser­
La permaculture?
E La permaculture est un
regroupement de techniques
destinées à créer une produc­
tion agricole économe en
énergie et respectueuse de la
biodiversité.
vation fine de ce que fait la
nature », résume l’adepte.
Au cours de ce stage de
deux semaines, les partici­
pants avaient à définir le
projet d’une ferme en pre­
nant comme support l’ate­
lier maraîcher du lycée
agricole de Valdoie. Là­bas,
ils ont été accueillis par le
directeur de l’exploitation,
Pierre­Yves Perroud et plu­
sieurs enseignants : Anita
Brigand (labellisation Eco­
jardin), Corinne Mamou
(expertise en écologie),
Bernard Boutantin (chargé
de mission Interbio), Ca­
therine Daucourt et Domi­
nique Hélin. En charge du
suivi du projet « orientation
permaculture », ce dernier
précise : « Nous devons
prendre en compte l’en­
semble d’une ferme avec
une gestion la plus proche
possible d’un éco­système.
Cela suppose de cultiver bio
en limitant les intrans chi­
miques (engrais fossiles) et
de conserver un espace ar­
boré. »
K L’outillage pour construire les planches.
Sur place, cela se traduit
par la réalisation de plan­
ches étroites permanentes
et surélevées, séparées par
une rigole destinée à re­
cueillir l’excès d’eau.
La plantation de salades
et de courgettes a déjà été
lancée.
K Une quinzaine d’élus et de bénévoles ont décoré la commune pour
l’été.
Avant que le soleil ne pointe
le bout de son nez, l’équipe
de l’atelier « Décor et fleu­
rissement » de Cravanche, a
bravé les averses pour ins­
taller les décors qui contri­
buent à l’embellissement de
la commune.
« Après la réalisation de
nichoirs et de papillons en
bois peint l’an dernier, nous
avons choisi cette fois de fa­
briquer des oiseaux. Depuis
le mois d’avril, nous nous
attelons à la tâche aux ate­
liers municipaux », précise
l’adjointe Claudine Magni.
Le travail de fixation sur le
mobilier urbain n’a pas été
simple. Mais, la mairie, l’en­
trée principale par la rue des
Commandos d’Afrique et la
place Berly ont désormais
un air d’été.
Bavilliers
Essert
Le comité des fêtes, toujours motivé
après trois décennies
La musique à la fête
K Après trois décennies, le comité des fêtes garde la forme et l’envie
pour l’amour de la commune.
C’était la trente­deuxième
assemblée générale pour
Bernard Vogt, le président
du comité des fêtes, qui
tient le choc avec son équi­
pe, composée d‘une ving­
taine de bénévoles, tou­
jours aussi dynamiques.
« On arrive encore à tout
faire, certes, en prenant
plus de temps. L’esprit
d’équipe et la camaraderie
sont notre force, toujours
dans la bonne humeur. On
aime notre commune », a
déclaré le président en pro­
logue de l’assemblée géné­
rale.
Des comptes
dans le vert
Depuis trois décennies, la
vie des Bavillierois est ryth­
mée par les manifestations
du comité : la fondue géan­
te au printemps pour pren­
dre des forces, la marche
pour tous en septembre, qui
a attiré 148 randonneurs,
les jouets et la Saint­Nico­
las pour les enfants. Et bien
sûr la Saint­Sylvestre :
quatre ballons éclatent,
2 400 pétales s’envolent,
264 convives qui s’embras­
sent sous le gui aux douze
coups de minuit 2016. « Un
beau succès pour débuter
l’année, l’estomac, plein et
les pétales sur la tête, sous
le signe de l’humour », a
conclu Bernard Vogt dans
son rapport moral.
Le bilan financier, pré­
senté par le trésorier Jackie
Vieste, est positif. Le prési­
dent a remercié la commu­
ne et le conseil départe­
mental pour l’attribution de
subventions. Le maire Eric
Koeberlé ne pouvait que fé­
liciter tous les bénévoles du
comité pour sa longévité et
son dynamisme. Pour le
plus grand plaisir des Ba­
villierois, le comité ses fêtes
poursuit son action en in­
vestissant dans du matériel.
Le président entend égale­
ment développer la syner­
gie avec les autres associa­
tions.
Le bureau reste inchan­
gé : Bernard Vogt, prési­
dent ; Claude Moraschetti,
vice­présidente ; Marie­
Arielle Moraschetti, secré­
taire ; Danièle Vogt, secré­
t a i r e a d j o i n t e ; Ja c k i e
Vieste, trésorier ; Liliane
Tomezzoli, trésorière ad­
jointe.
K Les Dom’s ont envoyé le public dans les années 70.
La fête de la musique à Es­
sert est un temps fort de la
vie de la commune. Cette
édition a confirmé le dyna­
misme des bénévoles du co­
mité des fêtes, du foyer so­
cial et culturel et de
l’association sportive Essert.
Et par chance, si le temps
était frais, la pluie a accordé
une petite trêve.
L’ambiance a été assurée
avec brio par « Les Dom’s » :
Claudie au chant, Domini­
que au clavier, Bill et Ber­
nard au chant et à la guitare.
Le programme, les sixties
et les seventies, est détaillé
par Claudie : Les Chausset­
tes Noires, Sheila, Eddy Mit­
chell, C. Jérôme, Michel Del­
pech, Johnny Hallyday,
Claude François, Sylvie Var­
tan, et plein d’autres.
Sans oublier de la musique
country pour faire danser le
public. Plus tard, les « pros »
de la spécialité ont fait une
démonstration, sous la di­
rection de Gaby Girard. Bot­
tes et chapeau noir étaient
de rigueur.
BEL05 ­ V1