Outils d`autoévaluation des connaissances financières de base
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Outils d`autoévaluation des connaissances financières de base
Outils d’autoévaluation des connaissances financières de base L’outil autoévaluation des connaissances financières de base produit par Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. (« Deloitte ») présente des questions sur des notions fondamentales de la comptabilité générale et de l’information financière (veuillez prendre note que certaines de ces questions concernent seulement les sociétés ouvertes). Les membres du comité de vérification ne doivent pas présumer qu’ils obtiennent la note de « passage » pour leurs connaissances financières de base simplement parce qu’ils ont répondu correctement à la plupart de ces questions. Ces questions à choix multiples ne visent pas à couvrir tous les sujets que les membres d’un comité de vérification peuvent être tenus de comprendre pour être considérés comme compétents sur le plan financier pour la société dont ils sont au service. Ce questionnaire a plutôt été conçu pour déterminer si certains des membres du comité de vérification peuvent nécessiter une formation financière plus ciblée. En plus des concepts fondamentaux présentés dans cet outil, les membres du comité de vérification devraient vérifier s’ils peuvent répondre à certaines questions concernant les principaux aspects de la comptabilité, de la comptabilité générale et de l’information financière, comme les suivantes : Est-ce que je comprends la convention de constatation des produits de la société ? Aspects à considérer : • Comment l’encaisse est-elle tirée de la vente des produits et services de la société ? • Des ventes importantes ont-elles été conclues avec des apparentés ? Dans l’affirmative, les informations présentées sont-elles appropriées ? • Une partie importante des produits de la société estelle constatée vers la fin de l’exercice ? Dans l’affirmative, les procédés de démarcation sont-ils appropriés ? • Comment les conventions de constatation des produits de la société diffèrent-ils de celles d’autres sociétés du secteur ? Quels sont les montants et les soldes des états financiers qui font le plus appel au jugement de la direction ? Aspects à considérer : • La société a-t-elle des obligations importantes en matière de charges sociales ? Dans l’affirmative, quelles sont les principales hypothèses utilisées pour calculer ces obligations ? • La société est telle autoassurée pour sa responsabilité générale, les accidents de travail et d’autres risques habituellement couverts par des assurances ? • Comment la société calcule-t-elle les provisions importantes, comme les garanties, les créances irrécouvrables et les provisions pour stocks ? Les informations présentées par la société sont-elles appropriées ? Aspects à considérer : • Quelles sont les principales conventions comptables ? • Qui sont les apparentés importants de la société ? • La société a-t-elle des solutions de financement uniques ? • La structure du capital de la société est-elle complexe ? Deloitte a aussi créé un autre outil d’évaluation des connaissances financières : l’outil d’autoévaluation avancée Les comités de vérification sont invités à évaluer et à adapter chacun de ces outils dans le cadre d’une évaluation globale des connaissances financières. Table des matières I. Connaissances fondamentales au sujet des états financiers et de la littérature comptable............................................... 2 II. Règles relatives à la communication de l’information ............... 3 III. Forme et contenu des dépôts publics .................................... 4 IV. Contrôles internes .............................................................. 4 V. Solutionnaire ..................................................................... 5 I. Connaissances fondamentales au sujet des états financiers et de la littérature comptable 1. Le bilan c. Les abrégés des délibérations du Comité sur les problèmes nouveaux (CPN). d. Les notes d’orientation concernant la comptabilité (NOC). e. Les avis du Conseil publié par le Conseil des normes comptables (CNC) f. Tous les éléments précités. a. Est un instantané financier pris à un certain moment et démontrant l’actif de la société et les créances qui le grèvent. b. Enregistre le flux des ressources financières dans le temps. c. Présente les résultats d’exploitation d’une société pour une période donnée. d. Est établi par les vérificateurs. e. Les réponses a et d sont exactes. 2. 6. a. Un moyen qui permet à la direction de « lisser » les résultats en les réduisant pour des « bons » exercices et en les augmentant pour des « mauvais » exercices. b. Un passif ou un compte de provision qui est plus important que ce que la direction peut justifier. c. Une réserve qui est créée au moyen d’estimations trop prudentes. d. Tous les éléments précités. Les capitaux propres (avoir des actionnaires, valeur nette, fonds propres) a. Sont une source d’actifs de réserve se composant du bénéfice non distribué. b. Sont le montant d’apports en espèces des actionnaires. c. Comprennent l’apport des actionnaires et le bénéfice non distribué. d. Dépendent des fluctuations du cours des actions de la société. e. Les réponses c et d sont exactes. 3. 7. Le bénéfice de base par action (BPA) est calculé a. En divisant le bénéfice net par le nombre d’actions ordinaires en circulation à la fin de l’exercice. b. En divisant le bénéfice net par le nombre moyen pondéré d’actions privilégiées et ordinaires en circulation pendant l’exercice. c. En divisant le bénéfice avant impôts par le nombre d’actions ordinaires en circulation à la fin de l’exercice. d. En divisant le bénéfice net attribuable aux porteurs d’actions ordinaires par le nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation pendant l’exercice. e. Varie d’une société à l’autre. 4. Le(s)quel(s) des éléments suivants du bilan ne nécessitent habituellement pas la formulation de jugements importants ou d’estimations importantes de la part de la direction ? a. Les stocks inscrits au moindre du coût et de la valeur marchande b. Le montant net des débiteurs c. L’encaisse d. Les charges à payer e. Les réponses a et c sont exactes 8. Une société doit seulement consolider ses états financiers avec une autre société dans laquelle elle détient une participation dans les capitaux propres de 50 % ou plus a. Vrai b. Faux Les états financiers à déposer auprès de votre commission provinciale doivent être établis 9. a. Conformément à la législation fiscale. b. Selon ce que les ententes financières de la société dictent ou prescrivent. c. Conformément aux principes comptables généralement reconnus ou « PCGR ». d. En suivant les pratiques appliquées par d’autres sociétés du même secteur. e. Tous les éléments précités. 5. Le terme « coussin » (cookie jar reserve) est utilisé pour désigner Parmi les choix ci-dessous, lequel est INEXACT au sujet des opérations entre apparentés ? a. Seules les opérations qui nécessitent d’importants paiements en espèces entre des apparentés doivent être présentées. b. Une société ne peut pas indiquer dans ses états financiers que des opérations entre apparentés ont été effectuées à des conditions qui étaient similaires à celles qui auraient été possibles dans des opérations sans lien de dépendance, à moins que cette déclaration ne puisse être corroborée. c. La substance des opérations entre apparentés est plus importante que leur forme. d. Tous les énoncés précédents sont exacts au sujet des opérations entre apparentés. Le(s)quel(s) des éléments ci-dessous est(sont) une source faisant autorité dans le domaine de l’information financière ? a. Les normes comptables de L’Institut Canadien des Comptables Agréés (ICCA). b. Les règles et la réglementation de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario (CVMO) et d’autres commissions provinciales des valeurs mobilières applicables. 2 10. Une vente peut être comptabilisée lorsque la livraison N’A PAS eu lieu si plusieurs critères sont respectés, dont les suivants c. Il y a une date de livraison fixe. d. Tous les éléments précités sont nécessaires. e. Les éléments a et c sont nécessaires. a. Le risque de propriété a été transféré à l’acheteur. b. Il y a un engagement de vente. I. Connaissances fondamentales au sujet des états financiers et de la littérature comptable suite 11. a. b. 12. 13. La direction doit comptabiliser toutes les corrections que les vérificateurs proposent. Vrai. Faux. a. b. Un montant est toujours négligeable pour les états financiers s’il est inférieur à a. b. c. d. Les ratios financiers sont des outils qui vous permettent de comprendre l’activité économique d’une société sans devoir comprendre la comptabilité. 14. 10 % du bénéfice avant impôts. 10 % des capitaux propres. 2 % de l’actif net. Aucune de ces réponses. Vrai. Faux. Le ratio de liquidité générale, un outil servant à évaluer la liquidité, se calcule comme suit : (actif à court terme – stocks) passif à court terme a. Vrai. b. Faux. II. Règles relatives à la communication de l’information 1. Lequel des éléments suivants n’est pas considéré comme une information financière pour une société ouverte ? 4. a. b. c. d. Le rapport de gestion. L’annonce des bénéfices. Les états financiers de la société. Tous les énoncés précités font partie de l’information financière. e. Les réponses a et d sont des informations financières. 2. a. b. c. d. e. 5. Le(s)quelle(s) des informations suivantes font l’objet du rapport des vérificateurs externes ? Le taux d’intérêt. Les clauses restrictives importantes. Le nom du créancier. Le tableau d’échéance. Tous les énoncés précités doivent être présentés. Si une société présente des mesures hors PCGR permises, ces montants a. Doivent être présentés et accompagnés d’un rapprochement détaillé avec les montants établis conformément aux PCGR, un montant étant indiqué pour chaque élément. b. Doivent être accompagnés d’une note qui explique en termes généraux comment le montant a été calculé – une formule suffit habituellement. c. Ont été interdits par les commissions des valeurs mobilières provinciales. d. Les réponses a et c sont exactes. a. L’annonce des bénéfices. b. Les communiqués concernant le bénéfice pro forma. c. Les notes afférentes aux états financiers. d. Le rapport de gestion. e. Tous les éléments précités. 3. Lequel des éléments suivants N’EST PAS une information à fournir pour une importante convention de prêt ? Lequel des éléments suivants N’EST PAS censé faire l’objet du rapport de gestion ? a. Les conventions comptables cruciales utilisées pour l’établissement des états financiers. b. La situation de trésorerie et les sources de financement. c. Un élément qui aide les investisseurs à évaluer la situation courante et les possibilités futures de la société. d. Tous les éléments précités sont censés faire l’objet du rapport de gestion. 3 6. Les charges hors caisse, comme les dépréciations d’actifs, c. Peuvent être situées « sous la ligne » à l’état des résultats pour indiquer aux investisseurs que cet élément doit être retiré avant l’analyse. d. Sont les résultats de situations qui peuvent avoir diminué la valeur économique de la société. e. Aucune de ces réponses. a. Doivent être omises de la plupart des analyses puisqu’elles n’ont pas d’incidence sur les flux de trésorerie de la société. b. Doivent être omises de la plupart des analyses seulement s’il s’agit de charges non récurrentes qui ne sont pas révélatrices des activités poursuivies de la société. III. Forme et contenu des dépôts publics 1. Les commissions provinciales des valeurs mobilières ont principalement pour raison d’être d’empêcher la vente de titres risqués ou spéculatifs ? 4. a. Contiennent les états financiers trimestriels de la société. b. Contiennent un rapport de vérification sur les états financiers déposés. c. Sont assujettis à l’examen des commissions des valeurs mobilières provinciales. d. Contiennent des notes afférentes aux états financiers. a. Vrai b. Faux 2. Lequel des dépôts suivants N’EST PAS un dépôt public obligatoire ? a. b. c. d. e. 3. Lequel des énoncés suivants N’EST PAS exact au sujet des dépôts publics trimestriels ? Le placement privé de titres de participation. Les rapports annuels et trimestriels. Les sollicitations de procuration annuelles. Les déclarations d’inscription. À la fois b et d. 5. Un avis de changement important doit être déposé a. Après une acquisition importante. b. Après un changement de vérificateurs. c. Une société n’est jamais tenue de produire un avis de changement important, mais les sociétés le font souvent à leur discrétion pour aviser les investisseurs d’événements importants. d. À la fois a et b. Lequel des énoncés suivants est juste au sujet du dépôt annuel d’une société ? a. Contient les états financiers annuels de la société. b. Contient un rapport de vérification sur les états financiers déposés. c. Est assujetti à l’examen des commissions des valeurs mobilières provinciales. d. Toutes ces réponses. IV. Contrôles internes 1. Les contrôles internes sont destinés à apporter un degré raisonnable d’assurance quant aux aspects suivants 3. a. L’efficacité et l’efficience des activités. b. La fiabilité de la communication de l’information financière et de l’information proprement dite. c. La conformité aux lois et aux règlements applicables. d. Tous les éléments précités. e. À la fois b et c. 2. À qui revient la responsabilité de la conception et de l’efficacité des contrôles internes de la société ? a. b. c. d. e. Un système de contrôle interne efficace permettra toujours de prévenir et de détecter la fraude. a. Vrai b. Faux 4 La direction. La vérification interne. Les vérificateurs externes. Le comité de vérification. Toutes ces personnes. 4. Conformément à la pleine attestation annuelle du chef de la direction et du chef des finances prévue par la norme multilatérale 52-109, la direction est tenue d’attester qu’elle a communiqué le(s)quel(s) des éléments suivants à son vérificateur et au comité de vérification ? c. La fraude à laquelle participent la direction ou d’autres employés qui assument un rôle important pour le contrôle interne de la société. d. Les réponses a et c sont exactes. 5. a. Les déficiences significatives de la conception ou du fonctionnement des contrôles internes, qui sont raisonnablement susceptibles d’avoir une incidence négative sur la capacité de l’entité publiante d’enregistrer, de traiter, de synthétiser et de présenter les données financières. b. La méthode utilisée pour concevoir le cadre de contrôle interne de la société. Lequel des organismes suivants a établi un cadre de contrôle interne le plus largement reconnu au Canada ? a. L’administration du programme de la comptabilité et des contrôles internes b. Le Committee of Sponsoring Organizations de la Treadway Commission c. Le Conseil canadien sur la reddition de comptes. d. Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières. 5 V Solutionnaire I. Connaissances fondamentales au sujet des états financiers et de la littérature comptable 1. La réponse a est exacte. Le bilan vise à présenter la situation financière d’une société à un certain moment. 2. La réponse c est exacte. Les capitaux propres peuvent aussi comprendre certains autres éléments, comme des actions rachetées et certains gains et pertes non matérialisés. 3. La réponse d est exacte. Des directives détaillées au sujet du bénéfice par action sont énoncées dans le chapitre 3500 du Manuel de l’ICCA intitulé Résultat par action. 4. La réponse c est exacte. Les états financiers déposés auprès des commissions des valeurs mobilières provinciales doivent être conformes aux PCGR. Même si les sociétés d’un même secteur doivent suivre des pratiques similaires, les PCGR sont l’autorité suprême. 5. La réponse f est exacte. 6. La réponse d est exacte. L’expression cookie jar reserve est un terme qu’utilisait l’ancien président du conseil de la SEC, Arthur Levitt, pour désigner l’inscription de charges ou d’estimations excédentaires dans le but de manipuler les bénéfices d’une société. La direction doit inscrire tous les passifs éventuels conformément au chapitre 3290 du Manuel de l’ICCA intitulé Éventualités. 7. La réponse c est exacte. La plupart des éléments du bilan nécessitent la formulation d’estimations importantes ou de jugements importants, y compris en ce qui concerne les stocks (p.ex., la provision pour désuétude), les débiteurs (p.ex., la provision pour créances douteuses) et les charges à payer (p.ex., la provision pour garanties). 8. La réponse b est exacte. En général, lorsqu’une société a la capacité de contrôler les politiques, la direction et les activités d’une autre société, ces deux sociétés doivent être présentées comme une seule et même société. Pour obtenir plus de directives, voir le chapitre 1581 du Manuel de l’ICCA intitulé Regroupements d’entreprises. De plus, la note d’orientation concernant la comptabilité 15 intitulée Consolidation des entités à détenteurs de droits variables (variable interest entities) a introduit le modèle de consolidation des droits variables, qui doit être appliqué aux entités à détenteurs de droits variables. La note d’orientation s’appuie sur une analyse de la variabilité éventuelle des pertes prévues et des rendements résiduels prévus d’une entité pour déterminer les parties qui doivent consolider une entité à détenteurs de droits variables. 9. La réponse a est exacte. L’importance relative des paiements en espèces entre les parties apparentées n’est pas pertinente pour déterminer si une opération doit être présentée ou non. Une opération hors caisse entre les apparentés doit aussi être présentée. 10. La réponse d est exacte. Pour obtenir de plus amples directives, veuillez vous reporter au chapitre 3400 du Manuel de l’ICCA intitulé Produits et à l’abrégé 141 du Comité sur les problèmes nouveaux intitulé Constatation des produits. 11. La réponse b est exacte. La direction n’est pas tenue de comptabiliser les corrections proposées découlant de la vérification; cependant, si les vérificateurs déterminent que les états financiers comportent une inexactitude importante, ils ajouteront une réserve appropriée à leur opinion. 12. La réponse d est exacte. Le calcul de la marge de tolérance (ou l’importance relative) est une question de jugement professionnel, et il n’y a pas de seuil unique s’appliquant à toutes les sociétés. 13. La réponse b est exacte. Si l’on ne comprend pas les conventions comptables utilisées par une société pour établir les états financiers, les ratios financiers sont de peu de valeur. 14. La réponse b est exacte. Il n’y a aucune norme faisant autorité au sujet des ratios financiers. II. Règles relatives à la communication de l'information 1. La réponse d est exacte. Tous ces éléments sont des informations financières. 2. La réponse c est exacte. Même si tous ces éléments se composent d’informations comptables, les éléments mentionnés en a, b, et d ne font pas l’objet du rapport des vérificateurs indépendants. 3. La réponse d est exacte. En général, tous ces éléments sont censés être analysés dans le rapport de gestion. 4. La réponse c est exacte. Les PCGR n’exigent pas la communication du nom du créancier; toutefois, tous les éléments restants doivent être communiqués pour chaque convention de prêt importante. 5. La réponse a est exacte. Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières ont publié l’Avis du personnel 52306, Mesures financières non conformes aux PCGR en 2003. Les émetteurs qui utilisent des mesures financières non conformes aux PCGR doivent fournir (i) des mesures financières directement comparables et conformes aux PCGR, (ii) un rapprochement entre les PCGR et les mesures non conformes aux PCGR et (iii) une déclaration indiquant les raisons pour lesquelles la direction estime que les mesures financières non conformes aux PCGR sont utiles. 6. La réponse d est exacte. Il est fréquent que les opérations autres qu’en espèces ne soient pas prises en compte parce qu’elles sont considérées comme des « pertes sur papier » qui ne résultent pas de sorties de fonds; toutefois, ces opérations, comme la réduction de valeur d’un placement important, ont manifestement des conséquences économiques négatives pour la société et, dans certains cas, elles doivent être communiquées de façon appropriée. III. Forme et contenu des dépôts publics 1. La réponse b est exacte. Les commissions des valeurs mobilières provinciales ont pour mission principale de protéger les investisseurs et de maintenir l’intégrité des marchés des valeurs mobilières. Elles visent à fournir des renseignements à jour et exacts aux investisseurs afin qu’ils puissent prendre des décisions de placement éclairées, et non à restreindre des émissions risquées ou spéculatives. 2. La réponse a est exacte. Tous les éléments restants sont des dépôts publics obligatoires. 3. La réponse d est exacte. 4. La réponse b est exacte. Les vérificateurs exécutent des procédés d’examen limités portant sur les états financiers compris dans les dépôts publics trimestriels et ils peuvent, dans certains cas, produire un rapport d’examen. Ces procédés d’examen ne sont pas suffisants pour permettre l’expression d’une opinion de vérificateur. 5. La réponse d est exacte. 6 IV. Contrôles internes 1. La réponse d est exacte. Un contrôle est une activité qui permet de prévenir ou de détecter les erreurs. Un contrôle interne est une activité ou un processus qui se produit grâce aux systèmes ou au personnel interne de la société. Par conséquent, même si les contrôles internes sont cruciaux pour l’information financière et les autres types d’information d’une société, son utilisation ne se limite pas à l’information financière. 2. La réponse b est exacte. 3. La réponse a est exacte. Conformément à la norme 52109, la direction doit aussi attester qu’elle est responsable de l’établissement et du maintien de contrôles internes appropriés à l’égard de l’information financière. 4. La réponse d est exacte. La direction doit rapporter la fraude, qu’elle soit ou non importante, ainsi que les lacunes significatives et les faiblesses importantes dans les contrôles internes de la société. 5. La réponse b est exacte. Le Committee of Sponsoring Organizations de la Treadway Commission (COSO) est un organisme qui a pour mandat d’améliorer la qualité de l’information financière au moyen de la déontologie, de la gouvernance d’entreprise et de contrôles internes efficaces. 7 Pour en apprendre davantage, veuillez communiquer avec votre associé de Deloitte ou nous envoyer un courriel à l’adresse suivante : [email protected]. Notre engagement en faveur d’une gouvernance d’entreprise efficace Deloitte a établi divers programmes et initiatives qui démontrent son engagement à aider les conseils et les comités de vérification à accroître leur efficacité et à améliorer leur gouvernance d’entreprise en général. • DeloitteLearning Nos programmes DeloitteLearning des États-Unis sur le Web se caractérisent par une facilité d’utilisation et des possibilités de personnalisation qui ne se retrouvent pas nécessairement dans les forums publics ou les autres programmes de formation à l’intention des membres du conseil. 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Pour en apprendre davantage, veuillez communiquer avec votre associé de Deloitte ou nous envoyer un courriel à l’adresse suivante : [email protected]. Programmes de formation personnalisés à l’intention du conseil et du comité de vérification • Webémissions Mise à jour de Deloitte Ces diffusions sur le Web à caractère informatif et interactif, réalisées par des spécialistes de la comptabilité de Deloitte, permettent aux dirigeants d’entreprise de se tenir au courant des nouveautés dans les domaines de l’information financière et de la réglementation. Nos diffusions sur le Web sont : • informatives, et présentent des sujets d’affaires pertinents et d’actualité destinés aux dirigeants d’entreprise; • interactives, et comportent une rétroaction immédiate et mesurable au moyen de questions et réponses et de sondages, y compris des analyses comparatives en temps réel avec vos pairs; • pratiques, puisqu’elles vous présentent des diffusions en direct de 60 à 120 minutes dans le confort de votre bureau; • Comité de vérification en ligne Site Web conçu pour aider les membres du comité de vérification et de la direction à s’acquitter de leurs responsabilités en fournissant de l’information sur les nouveautés dans les domaines de la réglementation et de la législation, de la comptabilité et de l’information financière, des rôles et des responsabilités du comité de vérification, des outils et des meilleures pratiques. Visitez notre site au www.comitedeverification.ca souples, puisqu’elles vous donnent accès à des diffusions archivées sur le Web, de partout et en tout temps, dans les 90 jours suivant la présentation en direct; • éducatives, puisqu’elles peuvent compter comme des heures de perfectionnement professionnel ou de formation professionnelle continue, heures obligatoires dans le cadre du Analyses comparatives portant sur les comités de vérification et la gouvernance cheminement de carrière pour la plupart des Analyses comparatives périodiques concernant les pratiques de gouvernance. Vous trouverez ces études au site www.deloitte.com. CA au Canada. 8 Déni de responsabilité Les outils d’autoévaluation présentés ici sont de nature limitée et ne peuvent tenir compte de tous les aspects liés à l’efficacité du comité de vérification qui pourraient être pertinents pour l’autoévaluation d’un membre d’un comité de vérification. Bien que cette autoévaluation vise à fournir de l’information utile, aucune déclaration n’est formulée, aucun engagement n’est pris ni aucune garantie n’est donnée quant à l’exactitude, à l’exhaustivité, à la pertinence ou à la conformité aux directives faisant autorité, y compris, sans s’y restreindre, les principes comptables généralement reconnus et les normes de vérification généralement reconnues. Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. n’assume aucune responsabilité à l’égard des erreurs éventuelles de la présente publication, qu’elles soient causées par négligence ou autrement, ni à l’égard des pertes de quelque cause que ce soit qui seraient subies par quiconque s’étant appuyé sur cette publication. L’information présentée peut changer et changera; nous n’avons aucunement l’obligation de mettre cette information à jour. Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. ne fait aucune déclaration au sujet du caractère suffisant de ces outils pour l’usage que vous voulez en faire. Le simple fait de fournir ces outils ne peut aucunement être assimilé à des conseils ou des services dans les domaines de la comptabilité, des affaires, du placement, du droit, de la fiscalité ou d’autres conseils et services professionnels. Ces outils ne sauraient remplacer de tels conseils et services professionnels ni jouer un rôle déterminant dans la prise de décisions importantes pour votre entreprise. Avant de prendre de telles décisions ou mesures, vous devriez consulter un conseiller professionnel compétent. Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. n’assume aucune obligation du simple fait que vous avez accédé à ces outils d’autoévaluation ou les avez utilisés. © Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. et ses sociétés affiliées. Deloitte, connu sous l’appellation Samson Bélair/Deloitte & Touche au Québec, est le plus important cabinet de services professionnels au Québec et au Canada à offrir des services dans les domaines de la certification, de la fiscalité, de la consultation et des conseils financiers. Au Québec, quelque 1 650 personnes mettent régulièrement à contribution leur expertise pour des clients venant de tous les secteurs de l’économie. Dans l’ensemble du pays, il compte sur un effectif de plus de 6 100 personnes réparties dans plus de 47 bureaux. Déterminé à aider ses clients et ses gens à exceller, Deloitte est le seul cabinet de services professionnels à avoir eu deux années de suite, soit 2001 et 2002, son nom au classement des meilleurs employeurs au Canada que publie annuellement la revue Report on Business du Globe and Mail. La revue Affaires+ a reconnu en 2002, 2003 et 2004 le cabinet comme l’un des meilleurs employeurs au Québec. La marque Deloitte représente Samson Bélair/Deloitte & Touche s.e.n.c.r.l. et ses sociétés affiliées. Deloitte est le cabinet membre canadien de Deloitte Touche Tohmatsu. Deloitte Touche Tohmatsu est une Verein (association) suisse, et à ce titre, ni Deloitte Touche Tohmatsu ni aucun de ses cabinets membres ne peut être tenu responsable des actes ou des omissions de l’un ou de l’autre. Chaque cabinet membre constitue une entité juridique distincte et indépendante exerçant ses activités sous les noms de Deloitte, Samson Bélair/Deloitte & Touche, Deloitte & Touche, Deloitte Touche Tohmatsu ou d’autres raisons sociales similaires. Les services décrits dans les présentes sont fournis par le cabinet membre canadien de la Verein, non par Deloitte Touche Tohmatsu. 9