Dossier de présentation ( PDF - 1.8 Mo)
Transcription
Dossier de présentation ( PDF - 1.8 Mo)
RÉTROVISEUR coAx coopérative de musiciens Yann Joussein Fanny Lasfargues Yoann Durant Stéphan Caracci batterie, compositions contrebasse saxophones vibraphone Contact : [email protected] Delphine Joussein +33 (0) 613 010 270 www.collectifcoax.com/Retroviseur « Vive allure et dérapages contrôlés, échos noise et échappements noisy. Dégringolades cuivrées, démangeaisons des cordes, barrissements hystériques d'un saxophone qui s'étouffe, couine, grince et s'emballe à nouveau, duel tonal hyper rythmique entre la batterie et le vibraphone, groove magnétique, basses fréquences maléfiques portées par la contrebassiste. » Attachez vos ceintures et regardez bien dans le rétro pour voir que l’esprit du groupe est bel et bien viseur, toutefois, prenez garde à l’angle mort car ce quartet n’a pas fini de surprendre. CONCERTS PASSES IAJE, Toronto, Canada Jazz à la Villette, Cité de la Musique, Paris Festival JazzDor Berlin, Germany Arte Live Web RadioFrance (France Musique) Festival Banlieues Bleues, Dynamo, Pantin Roma Jazz Festival, Roma, Italy Europa Jazz, Le Mans Festival Jazzdor Strasbourg Festival Rencontres Internationales Jazz de Nevers Festival Jazzèbre, Perpignan Festival Jazz in Between Munster, Munster, Germany Un pavé dans le jazz, Toulouse Gaume Jazz Festival, Belgium Jazz à Liège, Belgium Institut Français, Festival Jazz Am Rhein, Köln, Germany Le Loft, Festival Vive Le Jazz, Köln, Germany Moments, Brême, Germany Bunker Ulmenwall, Bielefeld, Germany Jazzmeile Thuringen, Jena, Germany Muzzix, Lille L’arrosoir, Chalon-sur-Saône Jazzmeile Thuringen, Nordhausen, Germany Abbaye de Neumünster, Luxembourg Petit Faucheux, Tours Tribu Festival, Dijon Lubéron Jazz Festival, Apt La Fabrica' son Théâtre 71, Scène Nationale de Malakoff Festival Jazz Campus en Clunysois Jazz au Fil de l’Oise Collectif Jazz de Basse-Normandie, Caen Goethe Institut, Paris Nancy dans le cadre du Jazz Nancy Pulsations Festival Mens Alors !, création Sans Titre (Etranger Théâtre) Périscope, Lyon Caveau Jacques Higelin, Villefranche-surSaône Festival un Doua de Jazz, Villeurbanne Olympic, Paris Imprimerie 168, Paris Studio de l'ermitage, Paris Festival impro-focus, Mandala, Toulouse Ilmenau, Germany Beeflat, Bern Malmitalo, Helsinki Jazz Initiative, Dinslaken, All PROCHAINS CONCERTS mai 30 : Nattjazz festival, Bergen, Norvège mai 31 : Culture House, Växjö 8 octobre 2013 : Playdate, Norway 9 octobre : Fylkingen, Stockolm TBC Rétroviseur a été lauréat 2010 Jazz Migration, AFIJMA (Association des festivals innovants de jazz et musiques actuelles) et FSJ (fédération des scènes de jazz). Rétroviseur est premier prix de composition du concours national de jazz à La Défense 2011. Rétroviseur est soutenu par la SACEM et la SPEDIDAM. Arte Live Web with Rétroviseur, JazzDor Berlin DISCOGRAPHIE Live Jazz à la Villette Septembre 2008 123456- T’as cr… Boîte de conserve Phonic Vieille Tourne Phoque éventré Compositions : Yann Joussein : Arrangements : Rétroviseur Rückspiegel Janvier 2012 1- Intro 2- Rückspiegel 3- Discoax 4- Nu(es) dans les bois 5- Halluzinazion, 6- C(h)oeur d’enfer 7- Merci Jimmy 8- Eruptik 9- Les ptits pioupious 10- Yoyochie 11- Barnö 12- Grillage 13- Coccibelle écranouillée 14- Petit Galopin 15- The flight of Coccibelle Compositions : Yann Joussein : Arrangements : Rétroviseur LA PRESSE övergår gradvis i ren kakafoni och blir något Bob i Twin Känsla för dramaturgi Peaks kunnat gilla. Spraket från basförstärkaren visar Musik 2013-06-01 | Uppdaterad i går 16:09 sig vara avsiktligt. De fortsätter med en blandning av Curtis Mayfield och Benny Hill-signaturen. Någonstans FAKTA på vägen smyger de in några toner från Edith Piafs La RÉTROVISEUR vie en rose. Plats: Ibland är det rofyllt som en vindstilla sommarnatt, ibland Palladium. tutas det rejält. Känslan för dramaturgi imponerar och Tid: intensiteten höjs och sänks utan att hamna i ett intet- Fredagen sägande mellanlunk. Om saxofonisten försvinner mitt i den 31 maj. en låt är det för att spela lite från kulissen. Publik: Ett fyrtiotal. De är inte rädda för att improvisera och förstår att det Längd: 70 gärna ska vara kul både att spela och lyssna, det är inte minuter. klia-sig-i-skägget jazz. De spelar dessutom verkligen Bäst: Kreativiteten i framförandet. Den smittar av sig. tillsammans i en genre som ofta präglas av solon. Nog Saknade mest: 70 minuter till. för att det förekommer solon, ibland fler samtidigt, men de känns som en naturlig del av låten de befinner sig i. I mitten av 1900-talet blev Paris en fristad för jazz – Mot slutet tackar Joussein skrattandes oss för att vi bland andra Charlie Parker och Miles Davis sökte sig sitter kvar. dit. Paris upplevdes vara mindre rasistiskt och fördomsfullt än USA och musikerna ansåg sig mötas Kan musik låta så här? Ja. Också. Finns det inga med en annan respekt och värdighet än i sitt hemland. gränser för vad man kan göra med fyra instrument? Nej. Varför tänjer inte fler musiker på gränserna? Vet inte. 2013 kommer det istället jazzmusiker från Paris till Ler och skrattar publiken på vägen ut? Ja. Och något Växjö. Kvartetten Rétroviseur bildades för fyra år sedan legendariskt namn som gjorde samma sak fast lite bättre och består av saxofonisten Yann Joussein, Stéphan för längesedan blir svårt att hitta. Caracci på vibrafon (stilpoäng!), basisten Fanny Lasfargues och trummisen Yann Joussein. Närmast kommer de från en jazzfestival i norska Bergen, men annars turnerar de oftast på kontinenten. Bandnamnet betyder backspegel. I jazzvärlden överskuggar förret ofta nuet och det finns oftast något legendariskt namn som gjorde samma sak fast lite bättre för längesedan. Med en backspegel kan man ha koll på saker som ligger bakom en även om man är på väg framåt. Rétroviseur inleder med ett tio minuter långt stycke som hade platsat i Rosemary´s baby om den utspelats på månens baksida. Andra låten börjar rytmiskt, men Pascal Rozat, Mars 2012 RETROVISEUR Records "RUCKSPIEGEL" Coax Après un disque qui était l'enregistrement de leur première grande sortie publique et qui reste une belle "Révélation", revoici Rétroviseur, cette fois-ci en studio. Energie punk martelée par Fanny Lasfargues et Yann Joussein (vraie paire solidaire dans les vagues rubato de discoax comme dans le riff dévastateur de Ruckspiegel), ciselée au scalpel et incendiée au lance-flamme de Yoann Durant, attisée par les harcèlements de franc-tireur de Séphan Caracci. Ailleurs, c'est une mélodie minimaliste obsédante du saxophone qui enfle comme une bulle de verre soufflée par les trémolos s'élevant du vibraphone sur le battage de ce qui s'apparente à une machine agricoles aux courroies détendues. Ici, c'est une complainte du saxophone à la sonorité primale livrant d'hallucinants glissandos, là ce sont vibraphone les qui propos lui consolateurs répond dans du un dénouement démenti par une soudaine tempête free qu'emmène la rythmique. soit quinze drames concis qui tiennent en haleine tout au long d'un disque saisissant. Thierry Lepin, Mars 2012 LE DISQUE, Dominique Queillé, Octobre 2010 CRISS CROSS JAZZ, Mathieu Durand LA CENTRIFUGEUSE, canal sud 92.2 fm, 17 novembre 2010 « Le groupe s’appelle Rétroviseur, mais ça n’a rien à voir avec les voitures », nous précise-t-on dès les premières secondes du CD. N’empêche que le mot – « voiture » - est lâché, et que le non-time-drumming qui suit immédiatement, dans l’écume duquel remontent peu à peu les instruments, a des allures de carambolage en série et de grand départ. C’est là que le chroniqueur consulte la pochette : « All compositions by Yann Joussein ». Et plus bas, en tête de la liste des musiciens : « Yann Joussein – drums ». OK. C’est ça, cette impression de Sunny Murray qui aurait pris le pouvoir chez Albert Ayler. Le reste du disque est moins free mais garde cette qualité mécanique des frôlements-feulements de la contrebasse et des fûts, des chocs heurtés-glissés du vibraphone contre l’haleine chaude et métallique et rugueuse des anches. Les sorties de route sont orchestrées avec une froide maestria. Elles ne sont pas de celles qui finissent contre un platane, plutôt le genre à s’envoler pour n’en retomber qu’avec plus d’aplomb. Les montées de Phonic et Phoque éventré sont enthousiasmantes, et le tout est saisissant de présence, de sûreté du trait, des timbres, des ambiances et de l’art de faire de la musique ensemble. Comme son nom ne l’indique pas, Rétroviseur s’est formé sous l’impulsion d’un batteur. Prix d’instrumentiste au concours national de La Défense en 2007, pièce maîtresse de DDJ, entendu aux côtés d’Aka Moon, Marc Ducret ou Barry Guy, Yann Joussein est le compositeur en chef de ce quartette formé d’élèves du CNSM. Mais s’il a préféré choisir un patronyme collectif pour baptiser son projet, il faut y lire un dessein collectif. Et il suffit d’avoir vécu un concert de Rétroviseur pour s’en rendre compte : ensemble, ils créent comme une masse sonore enivrante et bruitiste, héritées tout à la fois des recherches sonores du free, d’un certain lyrisme rock, d’un langage autant marqué par les musiques improvisées européennes que par la figure multiforme d’un John Zorn. Et c’est bien le mélange singulier des sonorités de leurs instruments qui détonne : la batterie frénétique de Yann Joussein, la contrebasse précise de Fanny Lasfargues, le vibraphone de Stephan Caracci (entendu chez Raphael Imbert) et le saxophone virevelotant de Yoann Durant (ex-membre du JPOA de Christophe Monniot). Créé sur le vif sur une invitation au festival de Toronto de Riccardo Del Fra en décembre 2008, Rétroviseur s’est mué au fil des mois en une véritable machine de scène partie pour durer. Après avoir écumé les festivals (Jazz à La Villette, Nancy Jazz Pulsations, Jazz au Fil de l’Oise), les voici qui viennent d’être sélectionnés par le programme Jazz Migration. CULTURE JAZZ, Yves Dorison Ce n’est pas si souvent que l’on prend un rétroviseur en pleine figure. Celui dont on parle possède un son massif, a les arêtes saillantes et une couleur butyreuse. Il n’en est pas moins fuselé, tel un stylet agité par une main aléatoire, et surprend l’oreille par ses rebonds véloces et ses imprévisibles envolées. Il est jeune, il cogne, s’alanguit rarement et, soyons franc, ne laisse que peu de répit aux auditeurs. Le matériau sonore est pris à bras le corps. S’en échappent les instrumentistes du quartet quand ils le souhaitent pour surprendre encore. Non dénué de lyrisme, Rétroviseur capte l’attention, ou plutôt attrape voracement au vol son auditoire pour ne plus le lâcher. Non seulement, ils nous ragaillardissent mais, en sus, nous interpellent. L’avenir a du souci à se faire. Le Blog de JAZZ MAGAZINE, Franck Bergerot Franck Bergerot, Octobre 2010 Jazz à la Villette, Paris, le 7 septembre 2008 Yoann Durant […] prodigieuse palette de sons soufflés, de slaps, de phrasés conventionnels aussi. C’est un son collectif, avec un batteur (Yann Joussein, qu’il faut aller réentendre avec le DDJ Trio) qui sait pétrir les tempos et les timbres comme on travaille une pâte en cuisine, juste ce travail avant que ça soit moulé et tout cuit; avec une contrebassiste (Fanny Lasfargues, qu’on aimerait bien réentendre, peut-être au sein du Nu-tone avec lequel elle s’affiche sur le net) qui utilise les effets électroniques hors de tout cliché, selon une palette splendide ; avec un vibraphoniste (Stéphane Caracci déjà entendu avec Raphaël Imbert Newtopia Project, qu’il faut aller réentendre avec Inama ou le quartette In & Out) aiguillonne cette musique avec une précision d’acupuncteur (un autre jour, un peu moins tard, j’essaierai de trouver une meilleur métaphore). Et tout ça, porté par un lyrisme splendide, sur des trames modales assez simples semble-t-il, mais précisément agencées : point d’orgue sur une modulation en suspens, rendez-vous inattendu à l’unisson, break thématique incluse dans une séquence free, accelerando, nuances […]. LE JOURNAL SAONE-ET-LOIRE, Marc Bonnetain Ça a jazzé au théâtre. Soirée intense vendredi au théâtre, avec deux concerts qui ont laissé les spectateurs pantois. « Rétroviseur » tout d'abord avec Stéphane Caracci, Yoann Durant (saxophone), Fanny Lasfargues, (contrebasse) et Yann Joussein. Ce quartet joue son jazz dans l'urgence et avec une audace qui réjouit et entraîne sur des chemins différents. Le haut niveau est là et leur permet d'explorer des sons nouveaux, d'aller voir ailleurs si on ne peut pas jouer autrement. C'est frais, c'est novateur, c'est bon. DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE, Vincent Lavigne, 13 novembre 2010 En deuxième partie de soirée, c'est le quartet Rétroviseur qui déménage, ou plutôt qui explose au Théâtre Jeune Public de Strasbourg. Ces francs-tireurs au visage d'ange ne s'encombrent d'aucune manière, malmenant leurs instruments avec une frénésie quasi diabolique. Dégringolades cuivrées, démangeaisons des cordes, barrissements hystériques d'un saxophone qui s'étouffe, couine, grince et s'emballe à nouveau, duel tonal hyper rythmique entre la batterie et le vibraphone, groove magnétique, basses fréquences maléfiques portées par une contrebassiste aussi ravissante qu'imaginative : le jazz est ici le terrain de jeu privilégié d'expérimentations radicales et véloces. Yann Joussein (batterie) et Fanny Lasfargues (contrebasse) forment la clé de voûte de ces emballements noise frénétiques, probablement inspirés par Sonic Youth, Neurosis ou Noël Achkoté. Arrivé au terme de leurs violentes impulsions, jusqu'à faire rendre l'âme à l'ampli de la contrebassiste, le quartet peut se réjouir d'avoir sonné l'auditoire d'une aussi belle manière. BLOG JAZZ MAGAZINE, Franck Bergerot, 8 novembre 2010 Débarqué d’un train en provenance de Paris, le temps d’avaler un morceau avec la presse, j’arrive légèrement en retard dans une salle comble, petite salle du “Café Charbon” dédiée aux musiques actuelles et qui a voulu se rapprocher des Rencontres D’jazz. Jauge 200 personnes debout. Ce qui correspond à l’audience de Marc Ducret, dit-on. Je songe, comme on avale une arrête, au création à trois balles qui remplissent d’anciennes halles, à Charlie Haden caracolant en tête des ventes avec ses nymphettes et quelques tics protestataires qui monopolisent les rubriques jazz de la grande presse. “Café-Charbons” donc. Beaucoup sont debout. On a gardé quelques places assises pour la presse. La presse, c’est aussi moi, tiens ! À travers la foule compacte, on me dirige vers elles en me recommandant de les garder des spectateurs envieux qui piétinent alentour pour mes confrères de la presse. J’écrase quelques pieds, interrompant un fil musical déroulé entre le public et les musiciens qui sur scène laissent émerger d’un violent chaos sonore (Phonique?), une ample ritournelle bombardée de lames de cristal par Stéphan Caracci (rien ne paraît de la gastro qui le terrasse en coulisse). Ce thème circulaire, je le connais bien, comme si nos quatre musiciens n’avaient jamais joué que lui. Comme si Rétroviseur, c’était lui. « Bonsoir, annonce Yann Joussein semblant tiré d’une nuit trop courte. On vient de jouer trois morceaux de Rétroviseur. On va vous en jouer un autre… » Puis, après avoir farfouillé longuement au sol pour ramasser une déchirure de papier qu’il déchiffre péniblement : « On va vous jouer… Merci Jimmy. » Jimmy ? Jimi ? Jimmie ? Peu importe. Peut-être que, de Phonique à Phoque éventré, ils ne jouent que le même unique thème, tout au long de ce set intense, haletant… La même mélodie sur deux accords, dont la langueur pourrait accompagner les images de L’Hirondelle et la mésange, le film d’André Antoine tourné sur voies d’eau d’Anvers à la France, le même thème se vrillant au fil de modulations inexorables, déclinée de titre en titre, axe autour duquel le groupe se repositionne en une rotation rapide aux résultats kaléidoscopique jouant sur les volumes, les intensités, les densités, les débits, les pulsations martelées ou caressées, les nœuds dramatiques et les dénouements, les couleurs tirées d’instruments dont ils semblent multiplier le nombre par diverses préparations, détournements, traitements auxquels s’ajoute la mobilité du saxophoniste. PRESENTATION DES MUSICIENS YannJOUSSEIN Il se produit avec le trio DDJ, le quartet Rétroviseur, Pipeline, le duo Ta maman, Heretic chaos ou en solo sur les scènes et festivals européens. En 2008, il fonde et conduit le groupe Rétroviseur et obtient une tournée sur les réseaux de l'afijma grace à "jazz migration 2010". Il co-fonde le collectif coax et le label coax records. On peut aussi l’entendre dans le Quartet de Jacques Coursil ou de Marjolaine Reymond. Adepte du free, du rock, du jazz et du non conventionnel, il obtient un prix d’instrumentiste au concours national de la Défense, son prix de jazz au cnsm de Paris en 2007 ainsi qu'un 1er prix de composition à la Défense 2011. Il collabore depuis 2006 avec le label suédois umlaut records notamment au sein du groupe « jolly boat pirates » avec Joel Grip. Discographie : « DDJ » chez Umlaut records, "Rétroviseur live at jazz à la villette", Yann Joussein solo "Phoque éventré",« DDJ everybody happy ? », 2nd disque de Rétroviseur "Rückspiegel" et "Coax chante Noël" chez coax records. Marjolaine Reymond 4tet chez christal records. StéphanCARACCI se destine au vibraphone après avoir obtenu un 1er prix de percussion au conservatoire de Marseille. Il rencontre alors deux artistes parmi les plus importants de la scène marseillaise, Cyril Benhamou et Raphaël Imbert, dont les groupes IN & OUT et Newtopia sont distingués au concours national de la Défense. En 2004, il entre au conservatoire supérieur de Paris dans la classe de jazz dirigée par Riccardo Del Fra. C’est là qu’il intègre le tentet d’Hervé Sellin dont le disque « Marciac/New-York Express » est salué par la critique (disque Fip, choc Jazzman et ffff Télérama). Diplômé depuis 2008, il s’engage dans différentes aventures musicales en intégrant des groupes de chanson française où on l’on retrouve à la batterie, tout en continuant ses recherches au sein de groupes plus radicaux comme Rétroviseur et Big Four, ce dernier ayant reçu un choc Jazz Magazine en février. YoannDURANT Il revendique sa multiplicité et son amour du jeu et de la création, ce qui l’a conduit à poursuivre différentes directions et différents positionnements musicaux : le jazz contemporain (Rétroviseur, Irène, Trio DuLaBo), l’improvisation libre (RYR, YQS(eeks.. !!), la scène rock alternative (Kandinsky / Gaffer Records). Il travaille actuellement au sein de la classe de jazz et musiques improvisées du CNSMD de Paris et est titulaire du DE de jazz et des DEM de saxophone classique-contemporain et jazz. Il joue avec des musiciens de la scène française et européenne comme Louis Sclavis, Jacques Di Donato, Denis Badault, Bernard Lubat et la Cie Lubat, Steve Argüelles, Quentin Sirjacq, Christophe Monniot, Riccardo Del Fra, Tony Malaby, Stéphane Payen, Tim Berne, Eve Risser. Son travail avec l'étranger (théâtre), en collaboration avec Pierre Tallaron, qui mêle danseurs, acteurs, musiciens, créateurs son et lumière, concrétise ses inspirations et aspirations artistiques dans un théâtre d'ensemble. Il a joué sur des scènes et festivals de France, d’Europe et d’Amérique du Nord et Centrale. FannyLASFARGUES Elle débute à l’âge de 6 ans par la musique classique, au piano puis la contrebasse. En 2002 elle rentre au département jazz de l’Ecole Nationale de Musique de Yerres, découvre l’improvisation libre et en commence la pratique collective dans l’atelier de Patricio Villarroel. Cette expérience constitue le début d’un travail de recherche personnelle sur le son et le temps, travail qu’elle poursuit ensuite dans les cours d’Alain Savouret en classe d’improvisation générative. Elle obtient son Diplôme d’Etudes Musicales deux ans plus tard puis rentre en 2005 au département jazz et musiques improvisées du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris d’où elle sort diplômée en juin 2009. Riche de diverses influences, elle multiplie les rencontres musicales, cheminant de l’improvisation minimaliste jusqu’aux sons puissants du rock et du noise, et joue entre autres avec Yann Joussein, Julien Desprez, Sylvain Darrifourq, Sophie Agnel, Yoann Durant, Eve Risser, elle se produit également avec le duo PouLs, les quartets Pipeline et Rétroviseur, le trio Q. FICHE TECHNIQUE - une batterie « jazz » : 1 grosse caisse 18’, 3 toms (10’, 12’ et 14’), 1 caisse claire, 1 pied de charley. 4 pieds de cymbales, des peaux blanches. - un vibra Musser M55 ou Yamaha, 2 micros. Si la scène est grande des électrostatiques (overheads) sinon des bon vieux dynamiques (SM57). 2 pieds perches de cymbales + 3 tablettes. - INDISPENSABLE un couple de micros statiques pour la sonorisation des saxophones alto et soprano. - un ampli basse, type tête d’ampli galien kruger + gamelle 4 haut-parleurs. Disposition à respecter absolument car la contrebassiste n’entend que d’une Oreille. Contact : [email protected] Delphine Joussein +33 (0) 613 010 270 http://collectifcoax.com/Retroviseur