Reynaldo Hahn - Philharmonie de Paris
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Reynaldo Hahn - Philharmonie de Paris
cité de la musique François Gautier, président Brigitte Marger, directeur général mercredi 19 novembre - 18h / amphithéâtre du musée Reynaldo Hahn Mozart (comédie musicale, livret de Sacha Guitry) création à Paris, Théâtre Edouard VII, le 2 décembre 1925 « Paris » Gersende Florens, soprano Brummell opérette, livret de Rip et Robert Dieudonné création à Paris, Théâtre des Folies-Wagram, le 17 janvier 1931 Couplets du knock-out Alain Herriau, baryton Air de Lady Eversharp Salomé Haller, soprano Chanson pastorale Denis Combe-Chastel, baryton Duo Brummell/Peggy Sophie Personnettaz, soprano Denis Combe-Chastel, baryton Ciboulette (opérette, livret de Robert de Flers et Francis de Croisset) création à Paris, Théâtre des Variétés, le 7 avril 1923 Couplets de Duparquet, « Ce n’était pas la même chose » Ronan Nédelec, baryton Entrée de Ciboulette Sophie Personnettaz, soprano Duo Ciboulette/Antonin Sophie Personnettaz, soprano Charles Alves Da Cruz, ténor Duo Ciboulette/Duparquet Gersende Florens, soprano Ronan Nédele, baryton Couplets, « C’est sa banlieue... » Gersende Florens, soprano Mélodrame et mélodie, « C’est tout ce qui me reste d’elle » Jean-Michel Ankaoua, baryton Monologue d’Antonin Loïc Félix, ténor Duo Antonin/Duparquet Loïc Félix, ténor Jean-Michel Ankaoua, baryton Ô mon bel inconnu (comédie musicale, livret de Sacha Guitry) création à Paris, Théâtre des Bouffes-Parisiens, le 12 octobre 1933 Air de Félicie Isabelle Renard, soprano Ensemble, « Notre repas est sur la table » Gersende Florens, Salomé Haller, Isabelle Renard, sopranos Jean-Sébastien Bou, baryton Couplets de Marie-Anne Gersende Florens, soprano Duo Antoinette/Jean-Paul Salomé Haller, soprano Charles Alves Da Cruz, ténor Couplets, « Je veux d’abord un chapeau beige » Charles Alves Da Cruz, ténor Trio, « Ô mon bel inconnu » Gersende Florens, Salomé Haller, Isabelle Renard, sopranos Air du coup de téléphone Jean-Sébastien Bou, baryton Finale, « Partons » tous Nicole Broissin, direction Nicole Lemaistre, piano concert sans entracte, durée : 1 heure coproduction cité de la musique, Conservatoire de Paris mercredi 19 novembre - 20h / amphithéâtre du musée Reynaldo Hahn Sonate en ut majeur sans lenteur/tendrement, veloce, modéré Saskia Lethiec, violon Delphine Bardin, piano Offrande, P.Verlaine Les Cygnes, A. Renaud Alain Herriau, baryton Trois jours de vendange, A. Daudet Paysage, A. Theuriet Quand je fus pris au pavillon, C. d’Orléans (extrait du cycle Rondels) Denis Combe-Chastel, baryton Si mes vers avaient des ailes, V. Hugo Chanson d’automne, P.Verlaine (extrait du cycle Chansons grises) Sophie Personnettaz, soprano Le Souvenir d’avoir chanté, C. Mendès (extrait du cycle Rondels) Infidélité, T. Gautier D'une prison, P.Verlaine Franck Lunion, baryton À Chloris, T. de Viau Fêtes galantes, P.Verlaine Karine Deshayes, soprano Quatuor en sol majeur allegretto moderato, allegro assai (sérénade), andante, allegro assai Elsa Cassac, piano Jean-Emmanuel Grebet, violon Antoine Tamestit, alto Godefroy Vujicic, violoncelle coproduction cité de la musique, Conservatoire de Paris Conser vatoire de Paris Reynaldo Hahn (1874-1947) Né à Caracas mais véritable parangon de l’esprit français, élève préféré de Massenet tout en n'ayant jamais officiellement fait partie de sa classe, joué sur la scène de l’Opéra-Comique à l’âge de vingt-trois ans (L’Île du rêve) alors qu’il n’est même pas prix de Rome ; ce ne sont là que quelques-uns des paradoxes qui se rattachent à Reynaldo Hahn. Mais celui que Marcel Proust qualifie de « poète chanteur et musicien » n’est-il pas d’ailleurs davantage connu de nos jours, et même reconnu, pour la courte liaison amoureuse qu’il entretint avec l’auteur de la Recherche, de 1894 à 1896, qu’en tant qu’auteur d’une œuvre musicale pourtant fort considérable et diverse ! S’il est vrai que la sacralisation qui entoure aujourd’hui tout ce qui touche à l’auteur des Jeunes filles en fleurs a permis de faire sortir de l’oubli le nom de Hahn, elle n’a pu faire en sorte que son catalogue - qui regroupe pourtant plusieurs dizaines d’œuvres lyriques, des musiques de scène, plus d’une centaine d’œuvres vocales, de la musique concertante, nombre de pièces pour piano et de musique de chambre - ne paraisse se limiter jusqu’à présent qu’à l’opérette Ciboulette et à quelques mélodies. L’histoire de la musique tend en effet à prendre peu au sérieux l’éclectique Reynaldo Hahn, considéré comme trop mondain, trop littéraire, trop édulcoré. Le cliché de l’homosexuel « fin de siècle », spirituel et raffiné, à l’esprit brillant, en décalage avec les ruptures esthétiques du XXe siècle, perdure et fait apparaître trop souvent comme un dilettante (mais il est vrai qu’il s'est commis dans l’opérette !) et un salonard (comme Poulenc, il est né dans « le monde »), un authentique compositeur voué à un travail exigeant, un ciseleur des sons qui avoue dans son journal : « Hélas ! je n’écris pas une note sans me dire que des gens qui ne sont pas encore nés l’entendront et la jugeront ; la pensée d’une négligence m’est insupportable. Aussi, la composition me devient de jour en jour plus pénible, écrire est un effort pour moi et je ne puis me laisser aller à une véritable joie quand je « trouve » quelque chose qui me plaît (...). » (Notes, journal d'un musicien, 1933). Des productions et enregistrements discographiques récents semblent, à l’occasion du cinquantenaire de sa mort, amorcer la redécouverte d’un compositeur qui fut considéré, en son temps, à la fois comme une autorité en matière d’art musical, mais aussi, à mesure que notes de programme |5 Conser vatoire de Paris le XXe siècle avançait, comme le survivant d’un monde et d’un goût surannés. La « table rase » des années cinquante, la primauté accordée à la recherche de nouveaux langages sonores se prêtaient peu à la survivance, encore moins à la réhabilitation d’un classique s’inscrivant dans le sillage de Massenet et Saint-Saëns, soucieux d’équilibre dans l’expression, de bienséance dans le style, mais aussi d’un esprit libre, capable d’apprécier la « vérité technique et esthétique du chant » d'une Yvette Guilbert, d'un Polin ou d'un Mayol, la beauté « simple et forte » du Joseph de Méhul ou l’« anarchie dissolvante » des Histoires naturelles de Ravel. opérettes À partir de 1923, avec Ciboulette, l’opérette devient pratiquement l’axe principal de la production lyrique de Hahn. Il ne faudrait cependant pas en conclure que cette orientation vers la musique dite « légère » est totalement nouvelle pour le compositeur.Vers 1893, il avait écrit pour un groupe d’amis (les Risler, les Lyon, Charles Levadé...) une pochade musicale en deux actes, un peu à la manière d'Hervé, intitulée Agénor, du nom d’un phoque finlandais placé au centre de l’action ! Il participe aussi, en 1914, avec, entre autres, Lecocq, Messager et SaintSaëns, à l’élaboration de Miousic, opérette créée à l’Olympia. Mais il est vrai cependant que, jusqu’à Ciboulette, toute sa production théâtrale relève principalement du genre de l’opéra (L’Île du rêve, La Carmélite, Nausicaa, La Colombe de Bouddha). Au-delà de raisons purement économiques (commandes nécessaires pour gagner sa vie) et peut-être psychologiques - l’opérette pourrait représenter une sorte de refuge pour un compositeur en réaction face aux bouleversements esthétiques de l’entre-deux-guerre -, il est possible de considérer, dans cet intérêt pour ce genre enjoué, l’attrait d’un homme de théâtre pour toutes les formes de spectacle musical, considérant que chacune d’elle possède une valeur intrinsèque et mérite le même soin. Ainsi, Hahn va-t-il mettre toute sa science, toute sa culture, toute sa sûreté de goût, dans la composition de ce que l’on pourrait dénommer des « comédies avec musique ». Certaines, comme Ciboulette (1923) ou Brummell (1931) - avec chœurs, ensembles, finales imposants - sont 6 |cité de la musique Conser vatoire de Paris dénommées « opérettes » ; d’autres, plus proches du théâtre de boulevard et ne réunissant que quelques personnages - comme Mozart (1925) ou Ô mon bel inconnu (1933) - ressortissent davantage de ce que l’on pourrait qualifier de « comédie musicale à la française ». Digne successeur d’André Messager dans la recherche de couleurs harmoniques et orchestrales, Reynaldo Hahn se démarque de la primauté de la phrase musicale mise en avant par ce dernier, ainsi que du goût pour le jeu phonique verbal, fort prisé par l'école française à la suite d’Offenbach. Il développe tout particulièrement un style vocal qui colle au débit de la parole, une sorte de « parler-chanter », de conversation en musique. La scène du petit déjeuner de Ô mon bel inconnu (« Notre repas est sur la table ») en offre un parfait exemple. Si Ciboulette est un hommage à Lecocq, savamment transcendé, et sera l’une des rares opérettes à entrer au répertoire de l’Opéra-Comique (1953), Mozart permet au compositeur d’écrire un véritable patchwork musical, mêlant son style propre à des citations d’œuvres du célèbre Wolfgang Amadeus. La Carmélite (1902) lui avait déjà donné l’occasion, dans son évocation sonore du monde de Louise de La Vallière, de mettre en avant sa capacité à ressusciter le passé (le style de Lully en l’occurrence) en régénérant le présent. Sa démarche sera identique avec les rythmes syncopés venus du jazz, auxquels il sera tout d'abord violemment réfractaire, mais qu’il intégrera néanmoins dans Le Temps d’aimer (1926), témoignant comme Stravinsky d'un véritable génie de l’assimilation. La synthèse entre les genres multiples que peut épouser le théâtre musical se fera, selon nous, dans l’opéra Le Marchand de Venise (1935) où, fidèle en cela à l’art multiforme de Shakespeare, Hahn fera alterner tragédie, bouffonnerie et comédie galante. À l’écoute des splendeurs et des misères humaines, de l’amour et de la haine, des mérites et des ridicules, il nous offre là l’œuvre qui marque son total accomplissement dramatique. mélodies Le corpus formé par plus d’une centaine de mélodies doit le jour au goût dominant de Hahn pour la langue et la poésie. Il écrit au pianiste Édouard Risler, en 1894 : « Une seule chose m’intéresse, m’enthou- notes de programme |7 Conser vatoire de Paris siasme et m’obsède : la réunion de la littérature et de la musique ! » Cette ambition sous-tend les pièces de l’ensemble de ses recueils qui évoluent du style de la romance (Si mes vers avaient des ailes) vers celui de l’épure parnassienne (Etudes latines) ou d’un néo-classicisme très « Grand Siècle » (À Chloris). Le cycle Chansons grises, composé par un Reynaldo Hahn adolescent et édité chez Heugel dès 1893, s’inscrit par son titre même dans la lignée de L’Art poétique de Verlaine. À travers sept de ses poèmes, il s’agit pour le musicien de faire entendre « la chanson grise / Où l’indécis au précis se joint », comme dans l’extatique Heure exquise. Ce cycle laisse transparaître l’influence de Schumann sur le style du jeune compositeur qui écrit, vers 1893, son admiration à Risler : « Aucun sentiment humain ne lui est inconnu, tous les phénomènes de la nature lui sont familiers (...). » Les Mélodies que Heugel rassemble en 1895 comprennent les pages les plus accessibles à une interprétation de salon et sont demeurées les plus connues. Voix et piano s’y fondent dans un thème extrêmement posé (Paysage), dans un balancement (Offrande) ou une harmonie vaporeuse en suspension (D’une prison). Les « plus imperceptibles intonations de la parole » (lettre à Jules Massenet, 1897 ?) sont portées par un chant fondé sur le recto tono et l’envolée dans l’aigu, tour à tour proche d’une simple récitation (Cimetière de campagne) ou d’un lyrisme de chanson populaire (L’Incrédule). Cette esthétique de la simplicité recherchée se poursuit dans Rondels (1899) où, successivement, chœur et voix soliste se prêtent à la forme fixe du rondeau. Le style archaïsant dévolu aux vers de Charles d’Orléans (Quand je fus pris au pavillon) y côtoie, sur des textes de Banville, des élans vocaux très opératiques (Le Printemps) ou de nobles et apaisants accords (Le Souvenir d’avoir chanté). musique de chambre Parmi la quinzaine d’œuvres de musique de chambre composées par Hahn, la Sonate pour violon et piano en ut majeur, écrite en 1927 et créée par Gabriel Bouillon et Magda Tagliaferro, occupe une place de premier plan. D’un esprit tout mozartien dans son mouvement initial, présenté de nouveau, comme en raccourci, à la fin de l’œuvre, 8 |cité de la musique Conser vatoire de Paris cette Sonate enchâsse ainsi dans une musique toute de clarté, à l’écriture limpide, un scherzo de rythme binaire (Veloce), fulgurant et chromatique, et un mouvement lent successivement méditatif, mélancolique, lyrique. Au sein de cette construction fermée sur ellemême, les thèmes musicaux - cycliques - sont moins développés, transformés, que présentés successivement sous différents éclairages, un peu à la manière des Cathédrales de Rouen de Claude Monet. Le matériau n’est pas pétri, ne se défait pas, mais se dévide sans cesse, comme un fil que l’on déroule. Edité chez Heugel en 1946, le Quatuor pour violon, alto, violoncelle et piano en sol majeur réunit lui aussi toute cette passion maîtrisée qui est l’une des caractéristiques du style de Reynaldo Hahn. A l’aspect posé et régulier du premier thème de l’Allegro moderato répond l’emportement tout en fluidité de l’Allegro assai. L’Andante est une sorte d’étrange barcarolle où l’écriture très homorythmique des cordes se fond avec un piano utilisé avant tout comme générateur de timbres. Le dernier mouvement, d’un classicisme de facture, mêle à ses deux thèmes principaux le motif originel de l’œuvre, ce procédé de récurrence étant particulièrement cher à l’école française de la fin du XIXe siècle. Certes, dans une optique progressiste de l’art, ce Quatuor pourrait être considéré comme anachronique. Son auteur, en homme indépendant, ne s’est jamais soucié d’être ou non à la mode. Tout en s’intéressant à l’évolution artistique de son temps - n’oublions pas qu’il fut critique musical dans de nombreux journaux, dont Le Figaro -, il ne s’est pas laissé forcer le goût par l’air du temps. Son but, comme il le dit indirectement à propos de la recherche de l’originalité, ne fut pas d’innover, mais d’avancer dans sa « particularité cachée » : « Aux belles époques de l’art (...), personne ne songeait à être « original » ; chacun l’était selon ses petites variantes personnelles d’invention ou de « faire », ou bien, on ne l’était pas, tout simplement. On cherchait à faire beau, pathétique ou gracieux, voilà tout. Mais le public, alors, était « connaisseur » et se récréait à distinguer les particularités cachées de chaque artiste ; les particularités frappantes n’étaient point nécessaires à sa délectation. » (Notes, journal d’un musicien). Philippe Blay notes de programme |9 Conser vatoire de Paris biographies Nicole Broissin Après des études supérieures de piano (classe de Lucette Descaves), de solfège, d’histoire de la musique et d’harmonie, Nicole Broissin prépare le professorat dans les écoles de la Ville de Paris avec Jean Planel. Elle entre ensuite au Conservatoire de Paris, où elle obtient les premiers prix de chant (Jean Giraudeau), d’opéracomique (Roger Bourdin), d’opérette (Victor Pujol) et de solfège (Madeleine Vuillermoz). Sa carrière artistique s’est poursuivie sans interruption depuis sa sortie du Conservatoire, avec à la clé plusieurs créations (Rose de Noël, La Polka des lampions...). Elle se produit en France et à travers le monde. Elle participe à de nombreuses émissions et tourne pour la télévision : Passionnément, Les Cloches de 10 |cité de la musique Corneville, Les Mousquetaires au couvent, La ChauveSouris... Elle est professeur titulaire au Conservatoire de Paris pour les classes d’opérette et de comédie musicale depuis 1976. En 1989, le Conservatoire du XIe arrondissement de Paris lui demande de créer une classe d’opérette. Elle est professeur de chant à la Schola Cantorum de Paris. Enfin, elle réalise des mises en scène en France et à l’étranger : La Chauve-Souris, Ciboulette, Valse de Vienne, Phi-Phi... Nicole Lemaistre, pianiste, fait ses études au Conservatoire de Paris, où elle obtient les premiers prix de piano et de musique de chambre dans les classes de Jean Doyen et de Pierre Pasquier. Elle poursuit ses études de musique de chambre auprès de Conser vatoire de Paris Joseph Calvet, d’harmonie auprès d’Henri Challan et d’accompagnement auprès d’Henriette PuigRoget. Elle devient alors assistanteaccompagnatrice de la classe de Régine Crespin au Conservatoire de Paris, poste qu’elle occupe pendant 17 ans. Elle accompagne ensuite les classes d’ensembles vocaux d’Andrea Giorgi puis d’Olivier Reboul, ainsi que la classe de Nicole Broissin pour l’opérette. Marie-Jeanne Séréro, dès l’âge de douze ans, suit des études musicales au Conservatoire de Paris. Elle obtient une première médaille de solfège spécialisé, puis trois premiers prix d’harmonie, de contrepoint et d’orchestration. Parallèlement, elle étudie l’accompagnement au piano dans la classe de Jean Koerner et la direction de chant dans celle de Serge Zapolsky. Elle se voit confier en 1990 le poste d’assistante de la classe de chant de Christiane Eda-Pierre, toujours au Conservatoire de Paris, puis à partir de 1993 enseigne l’orchestration dans le cadre de la Formation Supérieure aux Métiers du Son. En 1997, elle est nommée assistante de la classe de chant de Christiane Patard et de la classe de direction de chant de Serge Zapolsky. Elle se consacre par ailleurs à la composition pour des spectacles lyriques et chorégraphiques. Saskia Lethiec (violon) et Delphine Bardin (piano) viennent d’être admises en cycle de perfectionnement de musique de chambre au Conservatoire de Paris, en formation sonate, après avoir effectué le cycle de perfectionnement chacune dans son instrument. Le quatuor avec piano (Elsa Cassac, JeanEmmanuel Grebet, Antoine Tamestit, Godefroy Vujicic) est constitué d’étudiants du Conservatoire de Paris, et leur travail a été réalisé sous la direction de MarieFrançoise Bucquet. étudiants du Conservatoire de Paris Les chanteurs sont tous étudiants du département des disciplines vocales du Conservatoire de Paris. technique Noël Le Riche régie générale Guillaume Ravet régie lumières notes de programme |11