Compte rendu de la réunion du Bureau exécutif élargi du 22

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Compte rendu de la réunion du Bureau exécutif élargi du 22
OBJET
Compte rendu de la réunion du Bureau exécutif élargi
Le Bureau exécutif de l’Arepta, élargi aux correspondants de pays, s’est réuni le mercredi 22
septembre après midi à Paris sous la Présidence d’Yves Clavier.
Etaient présents :
-pour le bureau de l’Arepta : Yves Clavier président, Luc Dedessus-le-Moustier secrétaire,
Gabriel Cohn Bendit secrétaire adjoint, Anne Riolon trésorière adjointe
-pays représentés : Burkina Faso (Marguerite Jacques et Gaby ) Cameroun (Anne Riolon)
Madagascar (Roland Daval) Mali ( Rita Hubac et Henri Vilette) Maroc (Yves Clavier) et
Niger (Ghislaine et Luc Dedessus-le-Moustier)
-pour le Repta : Henri Vilette secrétaire administratif
Etaient excusés :
Aicha Bah Diallo (présidente du Repta ) Sylviane Olivier (trésorière de l’Arepta) Guy
Menant chargé du dossier TICE , Gérard et Suzanne Droz (correspondants Bénin) Maryse
Diallo (correspondante Sénégal) et Annie Caillebotte (correspondante Togo)
Il s’agissait, dans le prolongement de l’Assemblée générale du 10 juin, d’opérationnaliser les
orientations retenues ce jour là et d’organiser l’association et ses activités en conséquence
pour le trimestre à venir..
RELEVE DE CONCLUSIONS
Elaboré par Roland Daval et Luc Dedessus-le-Moustier.
Un premier constat s’impose s’agissant des REPTA dans les pays africains
partenaires : ceux-ci, au-delà de leur déclaration de principe, ne sont pas parvenus
à se donner l’existence réelle espérée lors des rencontres de Ouagadougou . La
notion de collectif n’y existe pas, de collaboratif non plus, chaque organisation
préférant travailler pour elle-même et les REPTA font en conséquence preuve
d’inefficacité.
Une réflexion et un travail seront à reprendre à ce sujet. Dans l’attente, il va nous
falloir travailler de manière plus bilatérale sans négliger pour autant les initiatives
porteuses.
Une nouvelle rencontre, de même nature que celle d’Ouagadougou, serait à
envisager pour permettre aux REPTA de retrouver une légitimité nouvelle et une
meilleure lisibilité.
1 – LES PRINCIPAUX CHANTIERS A SUIVRE :
11 – Le programme TICE / TNI :
Guy Menant ne pouvant être présent, le bilan des formations TNI et leur
prolongement a été reporté à une date ultérieure, la réflexion se poursuivant par des
échanges en interne au sein du groupe constitué lors des deux sessions.
En Afrique, le programme expérimental en cours sur une vingtaine de sites nécessite
un accompagnement renforcé .Une première évaluation, conduite par le REPTA,
s’impose pour en tirer les premiers enseignements.
En matière d’accompagnement de longue durée, des missions confiées à des
retraités sont à envisager. Il serait également possible de faire appel à des
volontaires (solidarité internationale et service civique) des contacts étant à prendre
avec l’Agence pour le Service Civique et France Volontaires 1
S’agissant du partenariat avec la DIENA celui-ci peut être conçu sous deux formes :
- Le REPTA est l’opérateur de la DIENA pour le non-formel.
- Le REPTA peut conduire des missions en tant que prestataire dans le
domaine de l’éducation formelle à la demande de la DIENA.
Des prestations de formation peuvent également être réalisées par le REPTA : à titre
d’exemple la demande en cours formulée par la société SMART.
12 – Le colloque « Petite enfance et développement communautaire » au
BENIN en 2011 :
Lors de la réunion spécifique tenue le 2 septembre dernier, il a été décidé la mise en
place de deux groupes de travail :
- Un comité de pilotage.
- Un comité scientifique.
S’agissant du Comité scientifique, Yves Clavier a demandé à Aïcha BAH d’en
assurer la présidence. Une relance sera faite pour sa mise en place.
Un texte de référence a été préparé avec Mamadou N’DOYE et transmis à l’ADEA et
au BREDA (UNESC O).
Afin de mener à bien ce projet selon les orientations d’ores et déjà arrêtées, y
compris en matière de recherche de financements, il est demandé à Henri VILETTE secrétaire exécutif du REPTA d’assurer dès à présent la coordination générale de ce
projet et d’en faire une mission prioritaire. Suzanne et Gérard DROZ restent les
interlocuteurs directs des partenaires béninois.
13 – Classes de la seconde chance au NIGER :
1
Lors de la réunion qui s’est tenue à la DIENA le 23/09/2010, le principe d’une réunion de travail pour
envisager un programme de volontariat pour la solidarité numérique a été acté.
Afin de traiter des suites à donner aux divers projets menés au NIGER depuis cinq
ans, en particulier en matière de formation professionnelle, d’alphabétisation des
femmes et des filles et d’insertion, il est décidé de la tenue d’une réunion spécifique
sur ce dossier. Cette réunion (à programmer début décembre) sera animée par
Ghislaine et Luc DEDE S S U S LE MOUSTIER à partir de l’évaluation réalisée début
2010 et de l’élaboration d’un bilan conclusif.
14 – Projet « enfants des rues » à Bobo Dioulasso :
Une évaluation de ce projet est à réaliser pour nourrir la réflexion du REPTA sur
cette thématique.
15 – Mobilisation du réseau, lobbying, recherche de financements :
Une stratégie de communication en direction des collectivités territoriales est à
construire : envisager, entre autres, la publication d’articles dans les revues des
regroupements de collectivités territoriales.
Des réunions décentralisées avec les collectivités territoriales sont à envisager (à
examiner en lien avec la mise en place des délégations AREPTA en région).
Un travail d’identification des fondations susceptibles de soutenir des projets pour
l’accès des exclus à l’éducation et/ou pour l’éducation numérique est à conduire.
Roland DAVAL prendra contact avec Henri DE REBOUL – délégué général de
l’Institut du Mécénat de Solidarité.
2 – L’OBSERVATOIRE DES PRATIQUES INNOVANTES (ODPI) :
Initié lors des rencontres de Ougadougou, l’ODPI semble s’essouffler .Une
« réactivation » est à conduire tant dans les finalités que dans les missions. Il peut
faire état de pratiques innovantes ici et là-bas. Actuellement absent, le travail engagé
sur l’éducation numérique en Afrique doit nourrir l’observatoire.
Il est proposé à chacun de se livrer à une analyse critique de l’ODPI et de faire part
de ses remarques et suggestions à Luc DEDE S S U S LE MOUSTIER d’ici à fin
octobre 2010.
3 – LES DELEGATIONS AREPTA EN REGION :
Suite à l’assemblée générale, les modifications statutaires adoptées ont été
déposées en préfecture du Morbihan courant juillet.
Des délégations AREPTA en région sont, à ce jour, envisageables sur 5 territoires :
Sont désignés pour organiser les réunions constitutives d’ici la fin de l’année :
- Bretagne : Luc DEDE S S U S LE MOUSTIER
- Pays de la Loire : en cours de désignation
- Ile de France -Paris : Liliane Guérin
- Picardie : Jean DEMOTIER.
- Région Rhone Alpes et Grand Lyon : Guy Menant
Luc Dedessus-le Moustier adressera à chaque organisateur la liste des adhérents
relevant de chacun de ces territoires.
Pour le Bureau des Amis du Repta
Luc Dedessus-le-Moustier
Secrétaire
Yves Clavier
Président

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