ce numéro contient deux places de cinéma a tarif - Ciné
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ce numéro contient deux places de cinéma a tarif - Ciné
CE NUMÉRO CONTIENT DEUX PLACES DE CINÉMA A TARIF RÉDUIT Le Numéro : 1 fr>. 3" Année — N» 34 (jncmagazine Organe des "Amis du Cinéma " Punr.ICATION HON..IUiK I) L'NK ABONNEMENTS France Un an . . mois . — Six — Trois mois. Chèque pstal N° 40 22 12 SUBVENTION DU MINISTÈRE DUS fr. fr. fr. Paraît tous ABONNEMEN 'S Etranger Un su. . 50 fr. Bureani: H, RueRossmi. FAKJS (9T TH.: GuimhrrgW-'të — Six mois . — Trois mois publicité est reçue aux Bureaux du Plus que 8 jours ! ETRANGERES Les abonnements partent le Ifr de chaque mois (La Journal) 28 15 — Pages VEDETTES DE L'ÉCRAN : LISTE LA <i LES Nathalie Kovanko, par André Tin.liant DES PREMIERS NUMÉROS GAGNANTS MUTUELLE DU LOTERIE FAVEUR DE par Robert Plorey ■ 261 par Albert Bonncau LËS FILMS COMIQUES, LE VERS jï LIBRES-PROPOS : E RUDOLPH VALE.NTI.NO A PARIS, GÉNÉRAL EN GOORAUD A 269 2~o SCÉNARIOS : Protées, par Lucien IVahl Les Rôdeurs de l'Air (7 épi.s.). L'Homme sans nom (4 chap.) E par Lucien Doublon LËS GRANDS FILMS : ECHOS, par Jean de Mirbel E La Dame au Ruban de Velours, par J. de M par Lynx = 2/i E 272 = 272 E E E E 273 268 et 274 DE LA SEMAINE : E E CINÉMAGAZINË A ALGER/ S LE E RÉSULTATS DE NOTRE CONCOURS « LA PETITE FILLE PHOTOGÉNIQUE » Lfis PRÉSENTATIONS : COURRIER DES Le Détour, par Albert Bonncau par P. S AMIS, par Iris — 276 E E 277 — 28o E 276 E^iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiifE COLLECTIONNEZ à choisir dans notre Catalogue ( Voir au verso) E 270 (Lhie He..re avant l'Aube ; Le Manoir de la Mélancolie), par Jean de Mirbel 275 LES FILMS 1 0 Photographies d'Étoiles 18x24 265 HOLLYWOOD L'AMÉRIQUE CË QUE L'ON DIT, I I f g s 1 26a JEUNES PREMIÈRES » DE L'ECRAN AMÉRICAIN, E s — LA 257 CINÉMA — E E E E DE fr. Nous rappelons qu'à toute personne qui l nous enverra avant fin Août, le montant % d'un abonnemenf d'un an, nous offrons SOMMA IRE LES si vous voulez profiter de la prime oirerte aux Abonnés anciens ou nouveaux. fr. Paument par martdat-rarte international ^IIIIIIIIIIHIIIIIIIIIIIIIHIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII: E E E E f les Vendredis AFFAIRES JEAN PASCAL, Directeur-Rédacteur en Chef 08 3O9 24 Août 1923 pendant qu'il en est temps encore les numéros de « Cinémagazine » qui forment une véritable encyclopédie du cinéma. Souvenez-vous qu'une collection incomplète perd la plus grande partie de sa valeur. Nous vous recommandons de vérifier si vous possédez bien les 136 numéros parus à ce jour. Les numéros anciens vous seront fournis au prix de UN FRANC chaque (envoi franco). N'oubliez pas, dans vos commandes, pour éviter toute erreur, d'indiquer première, deuxième ou troisième année. Les exemplaires des deux premières années sont reliés par trimestres et forment 8 jolis volumes du prix de 15 francs chacun. On peut les acquérir avec 10 mois de crédit. Paiement : 20 francs à la commande et 5 traites postales de 20 francs (une tous les 2 mois). Au comptant 10 0/0 d'escompte, soit 108 francs net et franco. :tX Les abonnés de 6 mois auront droit à % \ | 5 photographies et les abonnés de 3 mois là 2. | LES i J ABONNEMENTS tV I 3E sont reçus, sans frais, dans n'importe quel Bureau de Poste, à notre compte de chèques t postaux numéro 309.08 et à Cinémagazinë, | 3, rue Rossini, PARIS-ixe. ! X f $ » FRANCE : — — Un an . . 6 mois.. . 3 mois . . Plus que * \ PRIX DES ABONNEMENTS.- V T 40 fr. 22 fr. 12 fr. ETRANGER: — Un an.. 6 mois. 3 mois. ! 5o fr. 28 fr. 15 fr. 8 jours !!! 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June Caprice (en pied) Dolorès Cassinelli Jaque Catelain (1" pose) Jaque Catelain (2» pose) Chariot (au studio) Chariot (à la ville) Monique Chrysès Jackie Coogan (Le Gosse) Bebe Daniel Priscilla Dean Jeanne Desclos Gaby Deslys France Dhélia Doug et Mary (le couple Fairbanks-Pickford) Huguette Duflos (1" pose) Huguette Duflos (2« pose) Régine Dumien Douglas Fairbanks William Farnum Fatty (Roscoë Arbuckle) Geneviève Félix Margarita Fisher Pauline Frédérick Lilian Gish (1™ pose) Lilian Gish (2' pose) Suzanne Grandais Mildred Harris William Hart Sessue Hayakawa Nouveauté ! Fernand Hermann Nathalie Kovanko Henry Krauss Georges Lannes Denise Legeay Max Linder (1™ pose) Max T.inder (2e pose) Harold Lloyd (Lut) Lnimy Lynn Juliette Malherbe Mathot (en buste) Uathot, dans « L'Ami Fritz » Georges Mauloy Thomas Meighan Georges Melchior Mary Miles Sandra Milowanoff, dans « L'Orpheline » Tom Mix Blanche Montel Antonio Moreno Maë Murray Musidora Frajicine Mussey René Navarre Alla Nazimova (en buste) Alla Nazimova (en pied) André Nnx (1™ pose) Mary Pickford (1™ pose) Mary Pickford (2« perse) Charles Ray Wallace Reid Gina Relly flnhriellp Rnbinne Ruth Roland Yvjuiiam Kussel G. Signoret « Le Père Goriot » Gloria Swanson Constance Talmadge Norma Talmadge (en buste) Norma Talmadge (en pied) Olive Thomas Jean Toulout Rudolph Valcntino Van Daële Simone Vaudry Irène Veruon Castle Viola Dana Fanny Ward Pearl White (en buste) Pearl White (en pied) " Les Trois Mousquetaires ' Aimé Simon-Girard (d'Artagnan) (en buste) Aime Simon-Girard (à cheval) A. Bernard (Planehet) Germaine Larbaudière (Duchesse de Chevreuse) Jeanne Desclos (La Reine) De Guingand (Aramls) Pierrette Madd (Madame Bonacleux) Claude Mérelle (Mllady de Winter) Martinelll (Porthos) Henri Rollan (Athos) t y y ? Y y y y T ï Cefre photographie représente Dernières Nouveautés André Nox (2« pose) Séverin-Mars dans Roue » Gilbert Dalleu Gina Palerme Gabriel de Gravone Gaston Riefler CARTE-POSTALES BROMURE Les Artistes de " VINGT ANS APRÈS" VEDETTES DE L'ÉCRAN NATHALIE-KOVANKO —=000 Nouveauté ! Armand Bernard (ville) Denise Legeay Charles de Rochefort Arm. Bernard (Planehet) D. Legeay (20 Ans après) Henri Rollan (3 Mousquet.) Suzanne Bianchetti Harold Lloyd Henri Rollan (20 Ans après) Bretty (20 Ans Après) Pler. Madd (3 Mousquet.) Ruth Roland June Caprice P. Madd (20 Ans après) Charles Ray Jaque Catelain Martinelll Gaston Rleffler Charlie Chaplin (Bille) Léon Mathot A. Simon-Girard (3 Mous.) Jackie Coogan De Max (20 Ans après) Stacquet (20 Ans Après) Viola Dana Thomas Meighan Gloria Swanson J. Daragon (30 Ans Après) Georges Melchior Norma Talmadge DesJsrdîiM Claude Mérelle Constance Talmadge Gaby Deslys Mary Mlles Jean Toulout Rachel Devirys Blanche Montel Vallée (Vingt Ans après) Huguette Duflos M. Moréno, 1" pose (20 Ans Simone Vaudry (20 ans ap.) Douglas Fairbanks après) Elmlre Vautier Geneviève Félix M. Moréno, 2" poje (d*) Vernaud (20 Ans après) Pauline Frédérick Maë Murray Pearl White De Guingand (3 Mousquet.) Alla Nazimova Yonnel (20 Ans après) De Guingand (20 Ans Après) Jean Périer (20 Ans après) Séverin-Mars Suzanne (irandals André Nox G. de Gravone William Hart Mary Pickford Gilbert Dalleu Hayakawa Jane Pierly (20 Ans après) Valentino Fernand Hermann Pré fils (20 Ans après) Monique Chrysèt Nathalie KoTanko Wallace Reld J. David Evremond Georges Lannes Gina Relly (A suivre.) Mu Llntfar Gabrielle Robtnne PRIX DTB GARTE : LA O FR. 40 Les •« ndes ne sont acceptées que par 6 cartes au choix. Les 6 franco 2 fr. 50. Deux Pochettes de 10 carres. Chaque : 4 francs LES La sur la terrasse du Parthênon à Athènes NATHALIE KOVANKO y y y y y y y y y — Allo ! Allô ! ! Le studio Albatros ?... M. Tourjansky, je vous prie. — C'est lui-même. — M. Tourjansky ? Je vous craignais absent de Paris ! Puis-je voir ces jours-ci Mme Kovanko ? Nous devons céder aux désirs de nos lecteurs qui, depuis fort longtemps déjà, nous réclament un article sur votre charmante femme. — ...Vous êtes trop aimable. — Mais non, je ne suis pas aimable, croyez bien que malgré le très vif plaisir que j'aurais à écrire sur Mme Kovanko, je préférerais certainement par cette température, dormir à l'ombre dans quelque beau jardin, mais... les désirs de nos lecteurs ne me le permettent pas I... A demain sans faute, et surtout munissez-vous de nombreuses et belles photos ! Nous fûmes, le lendemain, Mme Kovanko, M. Tourjansky et moi, exacts au rendez-vous que le sympathique metteur en scène m'avait donné chez lui. Ravissante dans son très élégant teagown, la belle artiste russe me dit : : — Je suis en pleins préparatifs de départ. Je quitte, en effet, Paris après-demain pour Deauville ; je passerai également quelques semaines à Dinard, ayant besoin d'un peu de repos. J'ai beaucoup travaillé cette saison et je me réjouis à l'idée de pouvoir pratiquer pendant quelques semaines les sports, tous les sports que j'aime et dont je n'ai, durant toute l'année, ni le temps, ni l'occasion de profiter. — A quels genres de sport accordezvous vos préférences ? — Je n'ai pas de sport favori, et j'éprouve autant de plaisir à manier la raquette que l'aviron ou la canne de golf, et j'aime aussi bien une randonnée en auto qu'une longue promenade à cheval. Mon mari pratique également tous les sports sauf toutefois l'aviation. Son premier vol fut assez malheureux puisque l'appareil descendit... un peu rapidement, et capota! Il est vrai qu'il y a de cela très longtemps, et que l'aviation fit depuis bien des progrès... comme le cinéma 1 — ...Vous aimez le cinéma ? Cjncmagazînc— Si j'aime le cinéma ! Mais pourquoi en ferais-je si je ne l'aimais pas ! Concevez-vous qu'on puisse s'adonner à un 259 258 Et pourtant, je recommence parci que je veux, une fois au moins, faire quelque chose qui me satisfasse, parce que je veux film est déjà terminé depuis plusieurs semaines et sera, je pense, présenté bientôt. Vous verrez quels décors a réalisés Lochakoff et quels prodiges a fait mon mari pour tourner certaines scènes en studio. — Que pensez-vous de cette intéressante création ? — Ce que je pense de moi dans ce film ? Certes, je me suis déjà jugée, mais n'attendez pas de moi que je « m abîme » avant que le public n'ait vu la bande! Mon mari est très satisfait, mais quoique difficile, est-il très impartial ? J'adopterai * dorénavant l'opinion du grand public, n'e'stil pas après tout le meilleur juge et le seul auquel nous devrions nous fier ? — Il sera à la fois et bon juge et satisfait... Et cela... qu'est-ce ? — Cela ? Ce sont des essais de costumes pour le prochain film que mon maii doit entreprendre. Le titre ? Nous ne savons pas encore. Le scénariste ? Ils sont deux : mon mari et moi. Je lui ai fourni l'idée initiale, il est en train de la développer et de la mettre au point. Dès qu il aura terminé le montage de Ce cochon de Morin, je rentrerai à Paris et nous com- NATHALIE KOVANKO dans « Le Chant de l'Amour triomphant » 'il'O îv.Sr fi W 3 .5:fcCiï Tourjansku et l'accessoiriste du siudto qu'il a maquillé suivant le modèle d'un véritable Bouddha pour certaines scènes de - vision art s'il n'est pas, en quelque sorte, votre raison de vivre I Et pourtant quelles déceptions ne lui dois-je pas, et que de larmes il me fait verser I — Je ne vois pas comment le cméma psut vous causer des déceptions...? — A la présentation de chacun de mes films. — Pourquoi ? — Parce que, chaque fois, j'avais mis dans mon interprétation le meilleur de moimême, parce que chaque fois j'avais cru bien faire, mieux tout au moins que dans le film précédent et que toujours j'ai été déçue terriblement : je me suis trouvée banale, quelconque, parfois mauvaise ! Extérioriser exactement ce que l'on ressent est une chose bien difficile 1 — ...Vous êtes décidément trop modeste. — Mais non, je vous assure, ce n'est pas un excès de modestie, mon mari peut vous confirmer que chaque présentation est un véritable drame duquel je sors désolée... me retrouver une fois à l'écran telle que je me sentais être au moment où l'on tournait, parce que je veux, une fois, voir un personnage interprété par moi tel que je le conçois, tel que je le sens. « Et puis... vos lecteurs sont si aimables! Quantité d'eux m'écrivent, à chacune de mes créations. Et leurs lettres sont si enthousiastes et semblent si sincères que, par moments, je crois que peut-être je suis pour moi trop sévère et que l'interprétation idéale à laquelle j'aspire n'est sans doute qu'un idéal, donc inaccessible, et qu'il faut me résoudre, quoique cherchant toujours à faire mieux, à être une éternelle insatisfaite. « Voici quelques photos. Choisissez parmi elles celles qui vous intéressent. — Voilà un tableau qui ne m'est pas étranger. — Vous reconnaissez le décor? C'est, en effet, celui qui était planté lorsque vous vîntes au studio voir tourner quelques scènes du • Chant d'Amour Triomphant. Ce Un décor admirable dans « Le Chant de; l'Amour triomphant » mencerons la réalisation de cette nouvelle bande qui sera intéressante, je crois. L'action se passe de nos jours, mais avec de très fréquents rappels d'une action parallèle ayant eu lieu il y a quelque cent ans. — ...Un drame, sans doute ? — Oui, c'est naturellement assez dramatique — vous ne me concevez pas interprétant un rôle comique; mon visage s'y prêterait peu — mais avec, cependant, de nombreuses scènes de comédie. Une grande partie sera tournée aux studios de Montreuil ; seuls, les tableaux nécessitant une grande figuration et de spacieux décors seront réalisés aux studios Levinsky. ■— Voilà certes un programme chargé. Cela ne vous empêche pas d'avoir d'autres projets... — Des projets ? Mon mari en a, beaucoup même. Mais à quoi sert d'en parler si l'on n'est pas sûr de les réaliser. Et la réalisation de ce que l'on désire est une chose si rare !... Je vous ai déjà dit les mercié Cinémagazinë de sa grande amabilité pour mon mari et moi, est, croyez-moi, de boucler mes malles et de partir, enfin, de me reposer un peu. — Dans ces conditions, je ne vous rétarde plus... Au revoir, Madame. — Au revoir, Monsieur. Et n'oubliez pas de venir à Montreuil en septembre. Sans doute y verrez-vous • des choses intéressantes. ANDRE TINCHANT ; Liste des Premiers numéros gagnants de la Loterie en faveur de La Mutuelle du Cinéma N1* gagnants Numéros des lots et désignation 311927 — 44719 — 293368 — 311186 — 5178 — 569603 — 324924 — '664382 — 112054 — 158354 — 411287 — 199505 — 18117 — 483712 — 41655 — 34840 — 528903 — 528903 — 427222 — 221973 — 437302 — 266481 — 438555 — 423358 — 574485 — NATHALIE KOVANKO la ville miens : essayer toujours de mieux faire afin de me satisfaire moi-même et de continuer à mériter les éloges de tous vos lecteurs, si indulgents. Mais de tous mes désirs, le plus immédiat, lorsque j'aurai re- 257475 — 487501 — 628599 — 424176 — 1 Un portefeuille, contenant une surprise d'une val. de 25.000 fr, 2 Une torpédo pontée 10 HP, 4 places, valeur 24.900 fr. 3 Un tableau L'Alsace. 4 Un cyclecar Salmson, type Touriste, valeur 9.(500 fr. 5 Un portefeuille, contenant une surprise d'une val. de 0.500 fr. 6 Un tableau Le Vieux Chemineau. 7 Chambre' à coucher," 3 pièc.j style moderne en érable gris, 4.000 fr. 8 Une salle à manger Louis XVI, 9 pièces en acajou, val. 3.800 (r. 9 Un salon Aubusson, médaillon or, 5 pièces, valeur 2.700 fr. 10 Une robe de chez Madeleine et Madeleine, valeur 1.500 fr. 11 Un appar. project. Continsouza. 12 Un poste radioclair T. S. F., 5 lampes, complet, val. 1,350 fr. 13 Un appareil pathéphone, meubla de luxe, av. disq., val. 1.600 fr. 14 Une robe de chez Doucef. va. leur 1.500 fr. 15 Une machine à écrire Contin, valeur 1.200 fr. 16 Une robe de chez Jenriy, valeur 1.000 fr. 17 Un cabinet de travail. 3 pièces val. 1.000 fr. 18 Une robe de chez Redfern, valeur 1.000 fr. 19 Une machine à coudre, modelé luxe « Perfecta », val. 1.000 fr. 20 Une robe de chez Madeleine it Madeleine, val. 1.500 fr. 21 Un régulateur vedette, val. 950 fr. 22 Machine à écrire Corona por'àtive, val. 875 fr. 23 Une robe de chez Drecoll, vàleur 1.000 fr. 24 Une bicyclette « Hirondelle i, rétrodirecte, valeur 650 fr. 25 Une canne à lancer pour saumoin et brochet. Equip. comp., valeur 600 fr. 26 Un appareil T. S. F. radioclair, 3 lampes, comp., val. 875 fr. ! 27 Un voyage 2<- cl., S j., ts frais compt aux Lacs italiens, v. 650 ff. 28 Une montre « Unie » en or, 18 carats, valeur 450 fr. 29 Un tableau Coqs et Poules, âie de Defaux. Voir la suile page 261. Une jeune première « de composition » : COLLÉES MOUISE Les "Jeunes Premières" de l'Écran Américain Il me faut encore parler d'une douzaine d'autres jeunes étoiles qui étaient, pour la plupart, il y a deux ans à peine, encore inconnues du public. Elles ont établi depuis cette époque leur réputation et leurs noms glorieux ont déjà franchi l'Océani Cependant elles ne sont pas encore assez populaires pour que nous puissions leur consacrer des articles particuliers et individuels, mais en attendant le jour où elles seront suffisamment connues en France pour que nous puissions le faire, voie toujours quelques notes concernant la carrière de ces demoiselles dont les noms suivent: Lois Wilson, Lila Lee, Phillys Haver, Maë Busch, Irène Rich, Pauline Starke, Mary Prévost, Anne Forrest, Barbara Bedford, Mary Mac Laren, Barbara La Marr, Pauline Garon, Cléo Madison. - Lois Wilson et Lila Lee sont en ce moment les deux étoiles juvéniles de la Cie Paramount. Lois Wilson est née à Pittsburg, elle suivit les cours de l'Ecole Nor(1) Voir le début de cet article dans notre précédent numéro. ma!e d'Alama. Un jour, l'Universal Manufacturing organisa un concours de beauté et toutes les grandes écoles des EtatsUnis envoyèrent leurs représentantes à Universal-City. Lois Wilson fut sélectionnée comme étant la plus photogénique de toutes les jeunes filles qui se présentèrent. Elle tourna alors pour la Paralta dans A Mans Man, Turn of a Card, Mis Robe of Honnor, One Dollar Bid, End of the Game. Lasky l'engagea ensuite par contrat de longue durée et elle tourna vingt films dont les plus connus sontrCt'y of Silent Man (La Cité du Silence), Midsummer Madness (Folie d'Eté), A. Full Home, It Pays to Adoertise, Too Much Johson, Manslaughier (Le Réquisitoire) ; son plus récent succès est The Covered Wagon. Lila Lee perdit ses parents alors qu'elle était encore toute jeune ; à New-\ ork elle fut élevée par un tuteur et travailla dès sa plus tendre enfance dans les musichalls américains où elle resta dix ans. Sa carrière cinématographique s'est déroulée complètement entre les murs des studios Pa- (Tn emagazine ramount où elle tourna une trentaine de films tels que Ténor Island, HaWlorne of Ihc V. S. A., The Prince Chap, The Easy Road, H cari of Youth, Dollar A Year Man, The Soul of Youth, puis beaucoup d'autres films avec Thomas Meighan, Wallace Reid et Fatty Arbuckle Elle vient de revenir de l'Amérique du Sud où elle a joué dans un film intitulé The Never Î.01S Wli.SOX Do WcU, avec Gertrude Aster et Thomas Meighan. Phillys Haver est originaire du Kansas; elle naquit à Douglas le 6 janvier 1 899 et ses parents vinrent s'établir à Los Angeles alors qu'elle était âgée de cinq ans.- Elle commença par travailler chez M. Lasky, puis entra à la fameuse troupe Keystone, de joyeuse mémoire... Elle devint une des premières « bathing-girl » de la troupe de Mack Sennett et travailla chez celui-ci jusqu'en 1922. Elle joue maintenant des rôles dramatiques et on l'a beaucoup remarquée dans The Christian, de Maurice Tourneur. Les formes académiques de Phillys nous resteront toujours présentes à la mémoire ! C'est vraiment dommage que Phillys ait quitté la troupe de Mack Sennett... Il est vrai qu'elle commençait à prendre un certain embonpoint Qnemagazine 263 qui ne lui eut plus permis de jouer les baigneuses... Roi Arthur (Fox), Seeds of Vengeance (Select), Lost and Found (Goldwyn) . Maë Busch est australienne (née à Melbourne). Ses parents vinrent s'établir à New-York alors qu'elle avait huit ans et elle débuta au théâtre dans la troupe d'Eddy Foy. Lorsque Eddy Foy fut engagé par Mack Sennett pour tourner des films comiques pour la Keystonç, i! emmena Maë Busch avec lui et c'est ainsi qu'elle tourna son premier film. Eddy et Maë produisirent une demi-douzaine de bandes. Finalement engagée par Universal, Maë dut son avancement à Eric Von Stroheim qui lui confia un rôle dans The Deoii Pass Key. Elle s'imposa définitivement en créant Foolish Wioes et fut alors « signée » pour cinq ans par Goldwyn. On la remarqua dans The Christian, de Tourneur, dans Soûls for Sale, de Rupert Hughes, Elle travaille maintenant sous la direction de Victor Sjostrom dans Master's of Men. Irène Ricli débuta comme figurante dans la troupe de Mary Pickford, en 1917 dans Stella Marris. Puis pendant un an elle tourna des figurations intelligentes. En 1919 elle devint leading-woman chez Goldwyn où elle resta deux ans, tournant tous les films avec Will Roggers, le joyeux cow-boy. Elle travailla ensuite pour « First National » avec le chien Strongheart dans BraWn of the North ; chez Fox, dans A Fool There Was; elle collabora encore à la réalisation de One Clear Call, The Invisible Power. Elle signa enfin un contrat avec les Warner Brothers Studios et fut l'héroïne de Brass. Mary Pickford fit appel à son ancienne protégée pour interpréter le rôle de la Reine d'Espagne, dans La Chanteuse des Rues. Au début de juin, Irène Rich commença de nouveau, aux Warner Brothers Studios, Lucretia Lombard, d'après , le roman de Kathleen Norris. Mary Prévost est une des étoiles qui fut lancée par Mack Sennett. Comme Gloria Swanson, Phillys Haver et tant d'autres, elle fit partie de la pléiade de jolies filles de la compagnie du « papa Mack ». Mary Prévost naquit à Sarnia (Canada) en 1898. Elle tourna 60 films pour Mack Sennett puis entra chez Universal, fut la star d'un demi-douzaine de films et enfin fut engagée par les Warner Brothers. Actuellement elle travaille sous la direction de John Stahl et tourne dans The Wanters, avec Gertrude Astor. On dit qu'elle se mariera prochainement avec Kenneth Harlan, qui tourna avec elle The Beauliful and Damned, pour Warner Brothers. ^ Ann Forrest est Danoise et âgée de 26 ans. Elle fit ses débuts à Universal City dans The Birth of Palriotism, puis dans The Midnight Man. Elle fit un film pour la Triangle, The Tar Heel Warior, puis chez Lasky elle touina The Grim Game, The Prince Chap, A Splendid Hazard. Elle travailla encore pour Goldwyn, retourna chez Paramount, puis vint en France en 1921 avec John Robertson. Elle tourna un film pour la Paramount à Caudebec-en-Caux. Barbara Bedford est née dans le Wisconsin, sa ville natale porte le nom curieux de « Prairie du Chien ». Maurice MAE BUSH Tourneur donna à Barbara Bedford sa première chance en lui confiant un rôle important , dans Au fond de l'Océan; elle joua également dans Le dernier des Mohicans. Puis elle v'nt chez Fox tourner Big Punch; chez Irvin Willat, à Culver City, Face of the World et enfin à l'Universal où elle fit plusieurs films avec Herbert Rawlinson et Frank Mayo. Mary Mac Laren, qui fut l'Anne d'Autriche des Trois Mousquetaires, de Fairbanks, naquit à Pittsburgh et débuta au théâtre dans la revue Passing Show of 1914, avec Al. foison. Elle tourna pendant quatre ans à l'Universal, puis, pour l'International Company, tourna The V/ild Goose. Fairbanks la remarqua et lui confia le rôle d'Anne d'Autriche. Elle partit ensuite à New-York et elle fut de !a distribution de Ont of the Fog avec Lyonel Barrymore. Pauline Starke est âgée de 23 ans. Elle ne fit jamais de théâtre et son premier film fut The Shoes that Danced pour la Triangle. Pour la même compagnie, elle tourna encore Innocents progress, Judith, Alias Mary Brown, Irish Eyes, etc.. Tourneur l'engagea pour jouer The Life Line Depuis elle tourna dans trente films, on se souvient particulièrement d'elle dans Courage of Marge O'Doone .(Vitagraph), Un Américain du Connecticut à la Cour du VIRGINIA VAIJ.I Dans un précédent article consacré aux « Vamp's » de l'écran américain nous avions déjà parlé de Barbara La Marr qui vient de partir à Rome avec Fitzmaurice pour tourner La Cité Eternelle. Depuis (Magazine mon dernier article Barbara La Marr s'est mariée et elle a adopté un jeune orphelin originaire du Kansas. Cléo Madison est originaire de Bloomington (Illinois) . Elle fit du théâtre pendant très longtemps avec James K. Hackett et Virginia Harned. Elle vint au cinéma à l'Universal en collaborant avec Rex Ingram qui à cette époque ne connaissait pas. encore une popularité aussi grande que celle dont il jouit aujourd'hui. Cléo Madison remporta un gros succès dans un film intitulé Trey of Heurts. Elle écrivit alors le scénario d'un film intitulé The Chalice of SorroW qu'elle mit elle-même en scène et dans lequel elle joua le principal rôle. Elle écrivit ensuite le scénario de Black Orchids en collaboration avec Rex Ingram et cèla donna, au metteur en scène une grande notoriété. Huit ans plus tard, Rex deva t tourner à nouveau ce scénario sous le titre de Tryflirtg Women. Cléo Madison fut, depuis, l'interprète de trente films ; actuellement elle travaille avec Guy Bâtes Post. Cléo est mariée à mon collègue Edward Manson, publicity-man pour « Doug and Mary ». En terminant cet article je citerai encore les noms de quelques autres « jeunes premières » beaucoup plus connues du public européen, Mmes May Allison, Enid Bennett, Alice Lake, Betty Blythe, Gladys Brockwell, Grâce Darmond, Mildred Harris, Bess e Love, Anna Q. Nillson Seena Owen, Blanche Sweet, Gertrude Astor, Estelle Taylor. Claire Windsor, Jacqueline Logan, Miriam Cooper, Virginia Valli, Lucille Ricksen, Julia Faye, Pauline Garon, dont nous avons déjà maintes fois parlé. Toutes ces étoiles travaillent sans interruption pour la plus grande gloire du cinéma américain. Leurs noms devaient prendre place dans ce chapitre. ROBERT FLOREY. Liste des premiers numéros gagnants de la loterie en faveur de La Mutuelle du Cinéma N«s gagnants des Lois et 474807 — 30 Un l'usil . robùsl ", cartouchière carnicr, fourreau, l'equip., du chasseur complet val. 825 fr. 61305 'SI Un bon d : 500 fr. marcnandiâes^ m-is-Stras193206 Un voyage lerien bourg, val. !25 fr. 5426Ï0 Chronomètre . I.ip plaaÀié >r. val. 170 fr. tll Voir les premiers prix page 200. 264 34 Un appareil « Pathé-Baby », av. films et écran, val. 300 fr. 35 Une bicyclette « Hirondelle » dame, val. 585 fr. 652754 36 Un chronomètre or « Ulmann frères », val. 600 fr. 37 Une machine à coudre « Vign»413831 , roii ». val. 820 fr. 99399 38 Un appareil de projection de salon « Perfecta ». 512387 — 30 Une robe de chez C'ourtisièn, valeur 750 fr. 627812 —• 40 Un tableau : La Baie rie Vouurneriez, paysage. 653127 — 41 Une bicyclette « Hirondelle », Paradox, val. 550 fr. 199579 — 12 Une machine à coudre « Perlée la », frai. 685 fr. 38099 — 13 Un régulateur « Vedette » valeur 560 fr. 391134 — 44 Un pathéphone av.diff. et disques. 668737 — 45 Un vélo de course « I.e Pilioil », valeur 575 fr. 287196 — 46 Un régulateur « Horéor ». 327457 17 Un « Pathé-Baby ». avec films et écran, valeur 300 fr. 131144 48 Un chapeau » Camille Roger », valeur 300 fr. 379000 49 Un voyage à Vais, val. 800 fr. 533414 50 Une bicyclette « Hirondelle », valeur 510 fr. 684719 51 Un costumé tailleur, val. 1.000 fr. 499515 52 Une blouse de dame, val. 400 fr. 363250 53 Une robe de chez Margaine-Uaci-oix, val. 1.000 fr. 150642 54 Un chronom. «Lip «, val. 150 Tr. 499343 55 Un régulateur « Vedette », val. 290 fr. 269797 — 56 Un appareil T. S. F. Radioclair 3 lampes, complet, val. 875 fr. 177052 57 Un chapeau, val. 300 fr. 194937 58 Un appareil Pathé-Babv avec filins et écran, val. 300 fr. 589310 60 Une montre Unie en argent, val. 120 fr. 61 Une bievelette « Hirondelle », 3K1520 val. 510 fr. 441175 02 Un régulateur « Vedette », va. leur 290 fr. 620052 63 Un appareil T.S.F. «Radioclair ■> 3 lampes, complet, val., 875 fr. 653515 64 Un appareil de salon Pàthé Kok. 195168 65 Une robe « Glad », val.. 1.000 fr. 322554 66 Un chapeau « Marcelle Dumay », val. 300 fr. 631235 — 07 Une montre « Unie « argent, valeur 120 fr. 193501 68 Un abonnement à La Liberté. 630707 69 Un abonnement à La Liberté. 70 Un abonnement à La Liberté. 548196 656162 71 Un abonnement à La Liberté. 641801 72 Un abonnement à La Liberté. 151339 — 73 Une caisse bonbons de Vais 237483 — 74 Une caisse bonbons de Vais. 51071 — 75 line caisse bonbons de Vais. 577391 — 76 Une caisse bonbons de Vais. Une caisse bonbons de Vais. 641348 241684 — 78 Une bicyclette « Hirondelle », de dame. val. 510 fr. 91001 79 Un colis chocol. surcli. « Klaus ». 37098 80 Un colis chocol. surcli. « Klaus ». 87316 81 Un colis chocol. sureh. <• Klaus > . 644169 — 82 Un colis' chocol; surcli. « Klaus ». 493798 :— 83 Un colis chocol. surcli. « Klaus ». 98267 — 81 Une montre « Unie » en argent, valeur 120 fr. 640594 — 85 Ron de 25 fr. de marchandises. 474085 — 80 Bon de 25 fr. de marchandises. 425361 54854 La liste complète donnant les numéros gagnants des 4.o5o lots, est envoyée sur demande accompagnée de 50 centimes, adressée au Trésorier de la Mutuelle du Cinéma, 109, rue Saint-Martin. Prise de vue d'un gros premier plan de UN GENRE LITTLE PRESQUE MoniTz au studio Pathé a Xice DISPARU LES FILMS COMIQUES A France est-elle toujours le pays du *-* Rire et de la bonne Gaîté française? On pourrait en douter si l'on fréquentait assidûment les cinémas à l'heure actuelle. Partout on donne des films comiques... On rit toujours entre deux grands drames, mais, hélas, ces productions ne sont pas de chez nous. Charlie Chaplin, Harold Lloyd, Larry Semon, Fatty Arbuckle, Clyde Cook, Buster Keaton, Al St-John et tant d'autres ont des admirateurs, contribuent à attirer le public dans les salles, mais tous ces artistes sont Américains, et le pays qui vit naître Rabelais^ Molière, Feydeau et Courteline, ne possède pas à l'heure actuelle un seul artiste vaiment comique (je ne parle pas de Max Linder, l'as de toujours, dont nous applaudissons les productions pleines d'humour et de verve, mais, elles aussi, tournées outre-Atlantique). Oublie-t*on que le cinéma français fut, dès ses débuts, en grande partie, composé de film comiques? Comiques plus ou moins intelligents, certes, mais qui faisaient rire tout de même et, sans parler de LVArroseur afrosé, petite scène comique, je pourrais ciT ter les innombrables « courses » : La Course au Mari, La Course aux Citrouilles, La Course à la Belle-Mère, La Course aux perruques, La Visite de la Douane, Ah, quel malheur d'avoir un gendre! Les Méfaits d'une Mouche, et le fameux Coup de. Vent, un des premiers films de Louis Feuillade, avec Roméo, qui fut tiré à quatre cent quatre-vingts copies! Puis les héros comiques firent leur apparition et devinrent rapidement populaires. Soit chez Pathé, soit chez Gaumont, soit à l'Eclair, ils tournaient en grand nombre et leur public pouvait les applaudir deux ou trois fois par mois! Ce fut la période où devinrent célèbres les noms de Little Moritz, Zigoto (Bataille), Calino (Migé), Fritzigli (Séchan) que nous reverrons sous peu dans Pour marier Gaétan, Gribouille-Boireau (André Deed), Onésime (Bourbon)... Tous ces personnages comiques évoluaient avec frénésie, renversant des maisons, faisant crouler les décors les plus divers et combien fallait-il d'efforts, de' plaies et de bosses pour faire rire le pu- 267 (pmagazîne blic? Les réalisations, il est vrai, ne se prolongeaient pas trop. Souvent un jour suffisait à l'achèvement du film... en « en mettait »... Cela n'empêchait pas le public, ! Une photographie inédite de MAR'CEL prise ou studio LEVESQUE grand enfant, d'applaudir et de ce déclarer satisfait. A côté de ces (( casse-cou », trois artistes se firent particulièrement remarquer dans un genre aussi comique mais plus spirituel, plus étudié, moins clownesque... Ce furent Max Linder, Prince-Rigadin, Nick Winter... Affublé de son éternel haut de forme, sanglé dans une impeccable jaquette, Max Linder fut bientôt le grand favori. Il sut, dès son apparition au studio, comprendre le cinéma, s'y adapter, créer un genre, et le succès ne fut pas long à venir. De Max prend un bain à L'Etroit Mousquetaire, les applaudissements ne se sont pas atténués et Charlie Chaplin lui-même se vante de s'être inspiré souvent de notre grand comique. Avec Prince-Rigadin, nous vîmes paraître à l'écran un genre Labiche aux héros un peu bébêtes et dont la naiserie et les avatars suffisaient à distraire le public. Ri- gadin se marie, Rigadin a tué son frèrer La belle-mère de Rigadin et tant d'autres. Les œuvres de Labiche et de Bisson adap-, tées à l'écran, toujours avec Prince : Le Contrôleur des Wagons-Lits, Les Trente Millions de Cladiaior, Trois Femmes pouf un Mari, etc.. eurent leur succès, mais l'engouement du public s'affaiblit pendant la guerre pour cette sorte de comique et, depuis quelques années, toujours infatiga-; ble pour partir en tournées théâtrales. Prince n'aborde plus l'objectif. Il demeure néanmoins une des silhouettes les plus typiques du cinéma français d'avant-guerre. (pmagazine est sans culotte, etc., il interpréta une multitude de ciné-vaudevilles de Louis Feuillade : L'Escapade de Filoche, Le Sosie, Les Fiançailles d'Agénor, Le Coup du Fakir, etc.. Dans Les Vampires, où il fut Mazamette, le croque-mort policier, et dans les deux séries de Judex où il créa Cocantin, le détective-amateur, il fut tout particulièrement applaudi, et, pendant la période 1915-1917, on peut, certes, affirmer qu'il fut un grand favori des foules avec Pearl White et Musidora. Depuis, il tourna la série Serpentin bien différente de ses créations précédentes. Nous le rever- après Parisette, après Le Fils du Flibustier, avant Vindicia, ses admirateurs sont toujours très nombreux, surtout dans les salles populaires. Amusante et pittoresque, Jane Rcllette créa dans la plupart des productions précédentes et dans la série « Belle Humeur », de Lou s Feuillade, des p;rsonn,=ig;s p'eins de verve et de gaîté. Ces temps derniers, productions et acteurs comiques se sont faits de plus en DIUS rares. Chalumeau (Bernier) a paru dans quelques films et il est fort probable que ncus ne le reverrons pas. Après avoir lu- rons sous peu dans : Un héritage de Cent Millions. Charles Lamy venu déjà à l'écran dans L'Illustre Mâchefer, de Louis Feuillade, et Son Excellence, de Léonce Perret, créa, par la suite, d'amusants personnages coniques dans Mlle de la Seiglière, L'Empereur des Pauvres, Les Mystères de Parts, Un bon petit diable, etc.. Plouf (Rivers) amusa également avec sa série drolatique, puis, peu après, Georges Biscot, déjà vu dans Tih Minh et Barrabas, conquit lçs faveurs du publ c avec Lis Deux gamines et L'Orpheline. Il eut son époque, lui aussi, et à l'heure actuelle, terprété Planehet dans Les Trois Mousquetaires, Armand Bernard incarna de cocasses personnages dans Les Deux Pigeons, avec Germaine Fontanes ; L'Homme inusable et Décadence et Grandeur, avec Paulette Berger, nouvelle et amusante ingénue. Tramel, l'amusant « Bouif », et Thérèse Kolb déridèrent pendant un an le public qui regrette l'arrêt d'une série aussi humoristique que spirituelle. \ Depuis, les films comiques peuvent facilement se compter. (Je ne parle pas des fantaisies de Saidreau, Pierre Colombier et Diamant-Berger qui sont, surtout, des comédies.) Les types populaires de jadis ont, Nick Winter connut, lui aussi, une célébrité méritée. Détective amateur, nanti d'une inséparable bouffarde, n'ayant pas son pareil pour se déguiser en femme, il multiplia les exploits les plus extraordinaires. Nick Winter et les faux mpnnayeurs, Nick . Winter a retrouvé la Joconde, Max Linder contre Nick Winter demeurent présents à toutes les mémoires et, si le sympathique détective-amateur semble avoir abandonné l'interprétation, il n'a pas pour cela déserte le cinéma et sa précieuse collaboration auprès de René Leprince et chez Pathé contribua à nous faire admirer maints films artistiques. Maurice Chevalier, Dranem, Galipaux (dans Le Médecin volant), Cazalis, Lucien Rozenberg, ' Girier abordèrent à leur tour l'écran et divertirent bien des salles. Chez Gaumont, Lorin campait avant la guerre un type de « vieux beau » fort com que : Oscar, tandis que Léonce Perret interprétait son amusante série des « Léonce » qui appartient plutôt au genre de la comédie cinématographique, si dédaignée, elle aussi, en France depuis la guerre. Les « jeunes » n'avaient pas hésité à suivre leurs aînés. Le petit Willy, à l'Eclair, rivalisait d'entrain et d'espièglerie tandis que chez Gaumont le petit Abélard, Bébé (actuellement soldat) se faisait applaudir par les petits et les grands, puis vint Bout de Zan (René Poyen) qui va reparaître ces temps-ci à l'écran, et dont la popularité s'affirma pendant plusieurs années consécutives. N'ayant que peu tourné avant la guerre, Marcel Levesque devint, aux heures sombres du conflit mondial, un des artistes préférés du public. Sa silhouette irrésistiblement comique, ses gestes abracadabrants le nvrent de suite en vedette. Après L'Hôtel de la Gare, Somnambules','Le Gendarme (jnemagazine——— pour la p'upart, cessé d'exister, et les artistes américains régnent en maîtres sur nos écrans et font la joie des spectateurs. Certes,. il serait périlleux de chercher à égaler Chaplin, Harold Lloyd ou Larry Semon, mais ne pourrait-on pas trouver en France des scénarios et des acteurs amusants et - intéressants capables de distraire le public?. Il me semble qu'un pays Quand on songe que nous avons vu paraître quelques comiques allemands pius que ridicules, que nous subissons parfois des séries de films comiques abracadabrants d'outre-Atlantique où les « Ford » régnent en maîtresses sans apporter beaucoup d'amusant et de spirituel, ne serait-il pas préférable de les voir remplacer par quelques films originaux réalisés en France? Certes, il y a place sur nos écrans pour tout le monde, mais une vingtaine de bonnes productions comiques et spirituelles de chez nous seraient, j'en suis certain, fort goûtées, chaque année, des amateurs de cinéma. Sans faire de tort à Chaplin et aux comiques américains, elles prouveraient que nos réalisateurs, souvent heureux dans les productions dramatiques, sont également capables de nous montrer d'excellents films comiques où se distingue l'esprit français. ALBERT BONNEAU. Le Général Gouraud à Hollywood Petites nouvelles ■— Les: « United Artists » viennent de présenter à la Salle Marivaux Charles Bay dans Premier Amour. C'est peut-être le meilleur film que nous ayons vu en France de cet excellent artiste. Nous en reparlerons plus longuement. — On dit que le (Uni lire il" La Garçonne rencontre des difficultés pour obtenir ie visa de la censure. Les exclusivités La Salle Marivaux annonce qu'elle passera cil exclusivité la saison prochaine : I.e Favori da liai, Tess an pays des Haines. Cyrano de Bergerac et Kcenigsmark. Photo Dbr.ys Dernière photographie de MAX LINUKIÏ, prise le jour de son murituje. vu compagnie de sa cliarman'e jeun'.' femme. qui compte dans son passé cinématographique un si grand nombre de succès comiques ne devrait pas abandonner ce genre peu coûteux et très populaire. Rire n'est-il pas « le propre de l'homme » et nos auteurs ne font-ils pas assaut de verve et d'humour pour amuser Français et étrangers. L'esprit français se serait-il réfugié sur les planches et dans les livres et aurait-il abandonné l'écran? J'ai peine à le croire! On tourne,., on va tourner — M. Ilugon vient d'engager Mlle Ginette Màddie qui a déjà tourné avec lui Diamant Noir, [jour réaliser une série (le films dont le premier sera La Gilanilla (la petite Gitane*, d'après Michel Cervantes-. Ce li i m sera édile par Pathé Consortium Cinéma. -— M. Pierre Morodori, qui réalisa Buridan, va s'at'aquer maintenant à Salammbô, d'après l'oeuvre de Gustave Flaubert. Nos artistes en vacances Léon Mathot Vient de séjourner à Royaii, Paillette Berger villégiature à Trouville et Mme Bérengère à Houlgatc. Prince et Cinéma Le prince de Galles vient d'accepter d'inaugurer en personne la Semaine britannique du film. - .■" ■■• ■ L-; 7/ y a quelques semaines, durant son voyage à travers les Etats-Unis, le général GOURAUD « voulu visiter, à Hollywood, les studios de Mary Pickford et de Douglas Fairbanks OÙ celui-ci tournait son nouveau film, « Le Voleur de Bjtyj'dad ». On peut voir, dires la photographie ci-dessus, l'illustre général français auprès des deux fameuses étoiles de l'écran. (lémagazineVers 270 l'Amérique L E secrétaire général de Cinémagazinë, André Tinchant, toujours sur la brèche depuis la parution de notre premier numéro, va partir pour l'Amérique le 1 septembre à bord du Paris. Notre correspondant de Californie, liens qui nous unissent à la grande presse cinématographique américaine et .-/informera des moyens de propagande utilisés par nos confrères d'outre-Atlantique. Il tachera aussi de mener à bien quelques négociât ons dont certains éditeurs français ont bien" vou'u le charger. Notre secrétaire général assurera également les services de Cinémagazinë en Californie et tiendra nos lecteurs au courant de ses impressions personnelles. Les Amis du Cinéma de New-York qui' désireraient se mettre en relation avec notre collaborateur, lequel est aussi le trésorier de l'Association, pourront lui écrire à l'Hôtel Algonquin, 59 vVest Forty fourth Street, où il séjournera quelques joins avant son départ pour la Californie. A VAlgonquin, si excellemment dirigé par M. Frank Case, qui jouit d'une si véritable popularité dans les milieux cinégraphiques américains, André Tinchant recevra volontiers nos confrères de la Presse newyorkaise qui voudraient se documenter sur nos fi'ms et nos artistes. LA DIRECTION. LIBRES-PROPOS Photo .los. Rosinand *" ANDRK TTNCHANT; Sécré'àire général de Cinémagazinë, Trésorier de l'Association des Amis da Cinéma. Robert Florey, occupant à l'heure actuelle une situation des plus importances comme « général-manager » de Rudolph Va'entino, après avoir été « publicity man » de Douglas Fairbanks et de Mary Pickford, ne peut plus nous donner, comme par le passé, une collaboration aussi assidue. Aussi avons-nous dû songer à réorganiser nos services à Los Angeles et Hollywood d'une manière nouvelle. Etant donnée l'importance considérab'e qu'occupe la production américaine dans les programmes, Cinémagazinë se doit d'être constamment au courant de sa marche. C'est pourquoi il envoie tour à tour ses principaux collaborateurs aux Etats-Unis y étudier le mouvement cinématographique. André Tinchant pourra, pendant son séjour de plusieurs mois aux Etats-L'nis, approfondir les principaux services du moving-piclures. Il travaillera à resserrer les PRÛTEES 13 ËAUCOUP d'acteurs se plaisent à jouer deux rôles d'espèces différentes dans un même filin* Quand il s'agit de jumeaux ou simplement de frères ou de père et fils, ils n'ont pas besoin de se livrer à des maquillages très difficiles ni d'étudier bien longuement des physionomies. Hayakawa et William Hart ont bien souvent interprété,, avec talent, de ces personnages doubles. Tout le monde ne peut pas, comme Lon Chancy, figurer à la. fois un estropié simiesque et un savant mégalomane. Il y a les rôles à multiples transformations, où excelle M. Mosjoukinc. Quelques artistes se contentent de camouflages relatifs, aidés s'iirtout par le perruquier et le tailleur. Donc des comédiens peuvent incarner des individus aux têtes variées, mais il en est qui donnent mal l'illusion, ils ne savent pas suffisamment se métamorphoser. Si l'on veut quand même les utiliser dans des films du genre dont il est ici question, on devrait partager le rôle à transformations entre plusieurs acteurs. Nous préférerions celte interprétation arbitraire à celle d'un seul acteur que, malgré les postiches, on reconnaît tout de suite... Mais il serait peutêtre encore plus simple de bie,i choisir ses artiste^, n'est-ce pas ? LUCIEN WAHL. M. et Mme RUDOLPH VALÉNTINO photographiés pendant leur séjour à Paris RUDOLPH VclLENTINO "D Valéntino et sa femme, Natacha Rambova, sont actuellement à Paris. Ils ont « atterri », le 15 août, au Bourget, venant de Londres. Après Douglas Fairbanks, Mary Pickford, Charlie Chaplin et, plus récemment, Sessue Hayakawa, ils viennent se reposer de leurs fatigues dans notre belle capitale. Valéntino ne cache pas son plaisir de se retrouver en France, en pays latin. L'existence qu'il a menée outre-Atlantique lui fut tout d'abord très cruelle et le créateur d'arènes sanglantes ne fut pas toujours heureux, loin de là. Un de nos confrères rappelait récemment, qu'en décembre 1913, Valéntino se trouvait à New-York dans le plus complet dénuement. Dix ans ont passé. Après avoir exercé les métiers les plus divers, après avoir cbtenu de grands succès comme danseur, Valéntino a abordé le cinématographe. Peu remarqué au début, il trouva, grâce à Rex Ingram et June Mathis, sa voie définitive. Le rôle de Julio des Quatre Cavaliers de UDOLPH fl PAPNIS l'Apocalypse le consacra grand artiste... Puis ce furent La Dame aux Camélias, Le Cheik, Morane le Marin, Le Droit d'Aimer, Le jeune Radjah. C'est surtout dans Arènes sanglantes, que le public français pourra applaudir prochainement, que Valéntino put donner la pleine mesure de son talent si souple et si fin à la fois. Sa femme, Natacha Rambova, est une artiste dans toute l'acception du terme. C'est à elle que Nazimova s'adressa pour réaliser les curieuses décorations de La Dame aux Camélias. Cinémagazinë, ses lecteurs et les Amis du Cinéma souhaitent de tout cœur la bienvenue à ces deux sympathiques artistes. Puisse Valéntino, sous le beau c:el de France et d'Italie (il se rend à Naples en quittant Paris), trouver le repos bienfaisant qui lui permette d'aborder à nouveau l'appareil de prise de vues, dès que son procès avec Paramount lui en donnera licence JEAN DE MIRBEL. (pmagazine SCÉNARIOS LES RODEURS DE L'AIR 7° Epis. : L'Ascenseur truqué réussi à échapper à Santro et à Murdock, George Rockwell et sa fiancée, la fille du professeur Elliott, se sont glissés, par une corniche jusqu'à un toit qui leur a permis de gagner la région supérieure de l'immeuble. Mais Santro et Murdock, ayant défoncé la porte, les suivent de près. Les deux jeunes gens cherchent le salut en se laissant glisser dans le puits de l'énorme monte-charge qui est à ce moment à bout de course, au sommet du puits, Rockwell, toujours porteur de la serviette renfermant les plans du professeur Elliott. Mais l'infernal Santro, aidé de Murdock, péuètre dans la cage du monte-charge et actionne l'appareil. Entre temps, la police a été prévenue. Les policiers arrivent à temps pour empêcher les deux jeunes gens de périr, écrasés par le monte-charge. Santro, Murdock et Tharon sont remontés dans leur avion ; ils emportent avec eux la fameuse serviette. Nous les retrouvons atterrissant à quelque distance du laboratoire du professeur Elliott. Murdock s'introduit dans l'habitation et s'armant d'un marteau il met en pièces la lunette et ses accessoires. Le chef des gardiens arrive et téléphone immédiatement à la police, où se trouve George Rockwell. Celui-ci rencontre un brigadier de police de ses amis. George et le brigadier Tinguett reçoivent la mission de rechercher le hangar qui sert de garage à l'avion géant. Ils réussissent à le repérer. \ VA NT L'HOMME SANS NOM 4° Chapitre : Le Flot d'Or A Copenhague, on croit Pierre mort. Il a été retrouvé dans le désert, par un naturaliste danois et ramené à Ceuta. Sans un sou, Pierre a dû s'engager comme chauffeur sur un steamer en partance pour la Nouvelle Côte d'Or. Marguerite Nissen sait, par le naturaliste, que Pierre est sauvé. Dodd pense retrouver à la Nouvelle Côte d'Or celui qu'il poursuit. Nissen va examiner l'état de l'exploitation et Marguerite s'embarque dans l'espoir de retrouver Pierre. A la Nouvelle Côte d'Or, l'exploitaatiôn n'irait guère si l'ingénieur en chef, Palmas, une canaille, pour ne pas abandonner une 272 entreprise qui lui permet de voler Nissen, ne faisait mettre de l'or dans les tuyaux d'alimentation. Il a pour complices le cabaretier Jack et Pol, un ouvrier. A là Nouvelle Côte d'Or, Pierre a trouvé un logement chez une pauvre fille sauvée des brutalités de Jack, la Conchita. Il rend à Palmas l'or en paillettes qu'un plongeur lui avait volé. Palmas demande à Pierre de travailler pour lui et de lui servir de plongeur, quand on apprend l'arrivée de Nissen. Chargé de remettre de l'or dans les tuyaux, Pierre découvre les malhonnêtetés dé Palmas. Il a des démêlés de toutes sortes avec Bobby Dodd qui veut l'arrêter et le poursuit jusque sur le sommet d'une tour. Au cours d'une émeute, les ouvriers tentent de démolir les établissements de la Nouvelle Côte d'Or. Pierre sauve Marguerite d'un incendie, l'arrachant d'une maison où Jack l'avait séquestrée. Nissen avait apporté de nouveaux millions pour subventionner les escrocs. Une partie de cet argent lui est volée par l'ouvrier Pol. A cette nouvelle, Dodd se désespère quand Pierre lui propose de l'aider à retrouver le second voleur avec l'aide du premier. Dodd accepte. CE QUE L'ON DIT — Pearl White va tourner incessamment un grand film dont elle interprétera le principal rôle, naturellement. Ses partenaires seront exclusivement des artistes français. — Harold Lloyd vient d'entrer dans1 la combinaison des United Artiste à des conditions merveilleuses. — Gilbert Dalleu termine en Ce moment un film avec, comme metteur en scène, Marcel Manchez. —- Grand rassemblement, place Clichy, bagarre sur la plateforme d'un autobus entre deux jeunes gens, à l'allure « quartier latin ». Les agents' interviennent, discussions, puis éclats de rire! C'était encore le cinéma; on tournait l'i dernière scène de Là Voyante et les deux jeunes gens n'étaient autres que Mlle Damita et le sympathique Georges Melchior. — Raymond Sprecher qui fut à la Paramount, passe chez Erka où il devient directeur commercial. — Les Etablissements Giraud seront les concessionnaires exclusifs des productions de la Fordys Corporation. — C'est Philibert Robin qui sera le directeur de la location des films produits par J. Feyder, Max Linder et Henry Roussell. — On espère avoir pour la grande fête du cinéma, en octobre, chez Gaumont, les grandes vedettes américaines séjournant en France : Se s sue Hayakawa et Tsùru Aoki, Rudolph Valéntino et Miss Pearl White; On connaît leur grand cœur, ils ne refuseront certainement pas- leur concours à une œuvre purement philanthropique. :— Ou présentera, dans les premiers jours du mois prochain, à l'Artistic, La Guitare et te Jazz-Rand que vient de terminer Gaston Roudès pour le compte des G. P. C. LUCIEN DOUBLON. ABLETTE MARCHAL et CHAHI.ES DE ROCIIEEOHT LES dans « La Dame an Ruban de Velours » GRANDS FILMS LA PAME AU RUBAN PE VELOURS V un film qui, malgré sa note sentimentale, abonde en péripéties dramatiques. L'action ne faiblit pas un seul instant et le spectateur angoissé pourra applaudir, jusqu'à la fin, un drame qui, fertile en émotions, apparenté quelque peu aux films policiers, est bâti sur un scénario solide et intéressant. Jacques Vogan, caissier principal de la maison Régn er, secourt une jeune femme, Adrienne, et la défend contre des malfaiteurs. Sa protégée ne tarde pas à devenir sa maîtresse et à lui vouer un amour sans bornes. Tout irait pour le mieux si Jacques Vogan cédant aux supplications d'un ami d'enfance, Henry Greysac, joueur incorrigible, ne consentait à lui prêter quinze mille francs prélevés sur les fonds de la maison Régnier et dont il est responsable. La fortune ayant été contraire à Greysac, Jacques constate, le jour de l'échéance, le départ de son indélicat obligé. Comdamné sans p tié à trois ans de prison, le malheureux attend avec impatience sa libération tandis qu'Adrienne vit misérablement. Enfin rendu à la liberté, Jacques se retrouve face à face avec Greysac. Le misérable n'hésite pas à supprimer son gênant créancier, mais Adrienne, témoin da OILA crime, jure de venger son amant assassine. Se créant de puissantes protections, sous ie nom de " la Dame au Ruban de Velours », elle poursuivra sans relâche le criminel. Se faire aimer de Greysac sera pour elle un jeu d'enfant et, sans se douter de rien, le meurtrier de Jacques épousera Adrienne. Peu à peu, le châtiment approchera, et, constamment obsédé par les souvenirs évoqués par celle qui n'est sa femme que de nom, Henry Greysac se suicidera. La Dame au Ruban de Velours aura tenu son serment et vengé celui qu'elle aimait. L'histoire est, on le voit, des plus captivantes. Ses épisodes, tournés dans les plus beaux sites de la Côte d'Azur, à Rome et à Paris, constitueront également un plaisir pour les yeux, car rarement photographie ne fut plus nette, m se en scène plus réussie. Ariette Marchal a fait, dans le personnage d'Adrienne, une admirable création qui la place au tout premier rang de nos interprètes. Henri Richard et Charles de Rochefort campent avec talent leurs rôles respectifs. Amateurs d'émotion et de bon cinéma se complairont à assister aux aventuras de La Dam: au Ruban de Velours. J. de M. Qntfmagazlne- Inémagazine 275 274 LES FILMS DE LA SEMAINE L? Cinéma scolaire ÉCHO Les Films nouveaux Sous ce titre, il a paru, dans Cinémagazinë du lo août, tin communique de publicité qui était rédige par les intéressés eux-mêmes. .Sous tenons à dégager la responsabilité le notre journal au sujet de cette annonce. On se marie— Lila Lee, la charmante étoile américaine que nous vîmes dans L'Admirable Crichton, L'Ecole du Charme, Le Vieux Comédien, etc., va épouser .hunes Kirkwood, le protagoniste applaudi de lrims multiples dont les puis récents sont Le Traîne et vox Femlmv. De son côté, Constance Binney, qui l'ut la partenaire de Carpentier dans L Homme merveilleux, épouse sous peu un .millionnaire le Pittsimrg et abandonne le cinéma. Fanny Ward retourne à l'écran Fanny Ward, l'inoubliable créatrice de Forfaiture qui avait déserté le studio depuis quelques années et séjournait a i'aris, reviendrait, paraît-il, devant l'objectif et interpréterait te principal rôle de Black Oxen, d'après le roman de Irertrùde Alberton. Malgré ses cinquante ans, Fanny Ward parait toujours aussi jeune. Nous applaudissons au retour d'une vedette qui comptait parmi les favoris du public. Le Partenaire de Norma Talmadge Ce n'est plus ni Eugène O'Brien, ni Jack M'ilhall, niais Joseph SchihLkraut dont on se rappelle l'importante création du chevalier de Vaudrey dans Les Deux Orphelines, de 1). W. Griffith. Un contrat original C'est celui d'Harold Lloyd, l'amusant e Lui », Lu se mariant avec Mndrcd Davis il a fait stipuler sur le contrat qu'il se réservait deux soirées par semaine pour jouer au bowling, tandis que sa femme passerait ce mènie temps au théâtre. « Un Héritage de cent millions » Voici, définitive, la distribution complète du nouveau film d'Armand du Plessy, dont nous avons déjà parlé : MM. Marcel Lévesque (M, Joly) ; Pierre Al mette (Sylvain Hardy) ; René Worins (Georges Hardy, dit Géo) ; José Davert (M. Ledru; ; Fred Recio (Fred Paris'el) ; Pierre Rame-lot (Le clerc de notaire;; Mlles Suzanne Balco (Ginette Hardy); Maryse Uorval (Pépita;; Lucy Melrose (Franchie) ; Léo Pauiy (Léontine; ; Lucienne Bel langer (Norniouche;. Comme toujours Mme du Plessy assistera son niari pour qui elle est une précieuse collaboratrice. Le chef-opérateur sera Lniilc Repelin et i'éditcurdistributeur Georges Petit. (.'Art Muet en Russie 90 salles'fonctionnent à Moscou dont !."> exploitées en régir par le gouvernement des Soviets, les autres par des particuliers dûment pourvus d'une licence obligatoire délivrée pâlies autorités. Les programmes comportent tout un lot d'anciennes bandes américaines el françaises alors que l'apport allemand est extrêmement récent. C'est ainsi que les Russes ont déjà l'ait un gros succès à Caligari ci au Docteur Mubuse. Le Conseil municipal de Paris et neut-ètre bien le Conseil général de la Seine, viennent de voter une subvention « scolaire » pour les « laïques » de Paris!... On donnera le cinéma documentaire aux enfants dans les locaux qui possèdent l'électricité. Mais dans les autres? Et puis, dix mille francs à raison de vingt arrondissements cela parait peu, alors que Toki'î a voté un million... et Londres la valeur de deux millions de francs! On ne peut pas tout faire, disent les conseillers. Ah, s'il s'agissait du cinéma électoral de quartier)... < Debureau > à l'écran C'est Unis! Luhitsch qui vient le diriger Mary pickford dans La Chanteuse des Rues, qui va entreprendre- la réalisation de Débrireaii, d'après la pièce de Sacha Guitry,, pour! les Warner Brothers. Nos concours UNE HEURE LE U MANOIR DE AVANT L'AUBE LA MÉLANCOLIE fois de plus nous assistons, avec Une heure avant l'aube, à un film genre GrandGuignol, mais là, point d'excès de tableaux horrifiques. de scènes destinées à faire dresser les cheveux sur la tête. Drame d'amour et de mystère, cette production atteint son but qui est : captiver le spectateur. Malgré sa réalisation assez ancienne, malgré son origine américaine, Une heure avant l'aube possède un scénario bien construit. On arrive NE (Pathé-Conjortiuin) (Etal'lLuiemeiib' Aiéerl) finance certaine pour celte sorte de « distraction ». Mais l'hypnotiseur ayant été maltraité par Kirke suggérait en Secret à Clayton d'assassiner son ennemi une heure avant l'aube... Lé lendemain, on découvre en effet le cadavre de Kirke. Toutes les preuves accusent Clayton qui, lui-même, se croit coupable. Seule, sa fiancée Ellen est certaine de son innocence. Qui a tué Kirke ? L'hypnotisé a-t-il obéi à la suggestion criminelle? C'est ce que les ama- Xous donnerons, prochainement,' le résultat du concours de Soava Gallonc qui nous a valu de multiples réponses et nous pouvons, dès à présent, annoncer à tous un prochain grand, concours qui intéressera au plus haut point nos lecteurs. On décore Nous apprenons avec plaisir que M. Cosfil; directeur des Etablissements Gaumont, vient de recevoir la croix de chevalier de la Légion d'honneur dans la promotion de l'Exposition coloniale de Marseille, ainsi que M. Barlatier, M. Bburràgeas, .directeur du Petit Marseil-. lais, membre du Conseil d'administration de Phocéa et Pallié Consortium Cinéma a reçu la Croix d'officier. Vers les Indes \ / Un groupe d'artistes français va bientôt partir à Londres, puis aux Indes pour tourner un grand 11 lin : Destinée. Mme Lucienne Gnert sera l'étoile qui fera rayonner la cinégraphie française au pays des Radjahs. Elle assurera elle-même la direction artistique en collaboration avec le peintre .laquelux. Le cinétélégramme On sait qu'il esl possible, grâce au procédé du Céliitogramnie de transmettre télégraphiquement les imagés photographiques. Un savait! de Washington, M. Jenkins vient d'inventer un appareil qui permettra "de télégraphier les images mouvantes du cinéma. On ne nous a pas dit s'il sera possible, de les télégraphier ■ ait ralenti » ! Mais celte découverte est certainement appelée à rendre, plus rapide encore l'évolution de la technique de l'écran. t'ne .scène rfu Un « rebaptisé » C'est Buster Kenton qui. de Malec, va devenir Frigo. dans ses prochains films édités par les. Etablissements Gaumont. C'est un nom bien réfrigérant, mais cela n'empêchera jias Buster de .Se distinguer, et de dérider les spectateurs. Fatty à Berlin Fatty Arbuckle esl i u ce où il doit tourner uni' série Consortium américain. moment à Berlin de films pour un Changement d'adresse Gaumont Ciné Location a changé d'adresse. II faut s'adresser maintenant pour les programmes, 33-, rue du Plateau. Tél. Nord 51-13. . LYNX. « Manoir de au dénouement par un coup de théâtre et c'est une heureuse initiative de la part de son auteur que d'avoir su graduer, avec autant d'adresse et de bonheur, tous les degrés d'émotion possibles à l'écran. Chez le banquier Henry Copeland, au cours d'une soirée mondaine. Normand Osgood, homme bizarre, possédant une grande réputation d'hypnotiseur, veut convaincre deux incrédules : Kirke. une sorte d'aventurier et Clayton, un ami distingué et spirituel. Osgood réussit ses expériences sur ses deux sujets, malgré leur incrédulité et leur répu- la Mélancolie » teurs de cinéma apprendront cette semaine et nous pouvons leur affirmer que le dénouement ne les décevra pas. Le film bien photographié et mis en scène est. d'ailleurs interprété par une pléiade de bons artistes en tête desquels figurent Anna Q. Nillson, Baxter, Frank Leigh et Thomas Guise. rVrx tout autre genre est le Manoir de la *-* Mélancolie. Mis sur pieu par Auguste Genina, le spécialiste de la comédie cinématogra- (pmagazing phique italienne, le réalisateur de Mademoiselle Cyclone et de Cyrano de Bcryerac, il fious fait assister à'un'touchant drame de famille que n'eussent pas désavoué Meilhac et Halévy. Le mari toujours soumis à une mère .'autoritaire ; la jeune femme, très récemment mariée, s'ennuyant à mourir dans la demeure des ancêtrès et le brave curé qui sert de trait d'union' aux antagonistes du drame ; tout contribue à rendre ce film intéressant et amusant. 276 La photographie est très bonne, l'interprétation supérieure à ce que nous donnent d'ordinaire les Italiens. Alex. Bernard, en particulier, qui fut remarquable tout récemment dans Aven'tardif et Le Château du Docteur Mystère, a campé une pittoresque silhouette d'ecclésiastique pleine d'onction, d'humour et de simplicité. JEAN IH-, MIRBEL. LES PRÉSENTATIONS E DETOUR (Salurday Xiyht). — Cette production de Cecil d Mil e a son scenario (comme la plupart des scénarios américains, du reste) écrit, par une femme. Le film s'en ressent et les épisodes invraiscm blahles ne sont pas rares. Richard Prentiss, jeune excentrique, et Iris van Suydâm, sont fiancés. | Cinémagazinë à Alger j — La dernière revue locale du ciné plein air. comportait une amusante parodie d'une scène du film l'Atlantide. — A signaler parmi les programmes de divers cinés, d'intéressantes reprises, telles que: Le Sens de la Mort, Chagrin de gosse, Les Hases noires Héliotrope. — Voici' les films intéressants projetés récemment : Le Cœur nous trompe, Aveu tardif, finie Butterfly, Révoltée, L'Ampoule brisée'. — Le film La Marine française a été projeté Par suite d'événements abracadabrants, Iris épouse son chauffeur qui l'aime en secreti et Richard, pour se venger, se marie avec une jeune blanchisseuse... D'où conflits perpétuels, ménages mal assortis, vexations quotidiennes. Tout finira par deux divorces et par le remariage des deux ex-fiancés, du chauffeur et de la blanchisseuse. Rien de banal et de déjà: vu trop souvent. La réalisation de Cecil B. de Mille, qui fut très critiquée en Amérique, n'aura certainement pas un meilleur accueil auprès de mes confrères. Le metteur en scène a été bien défendu pourtant par Léatrice Joy, que je considère comme une des meilleures jeunes premières de l'écran américain, Edith Roberts, Sylvia Ashton, julia Paye, Edith C h a p m a n, Conrad Nagel, Jack Mower et Théodore Roberts. Ils interprètent avec brio Le Détour, qui, malgré son scénario enfantin et. par trop invraisemblable, possède le mérite d'une assez bonne photographie et d'une interprétation de choix. Ses multiples tableaux, malgré leur fantaisie, ne manqueront pas de plaire. ALBERT BONNEAU. gratuitement devant les élèves des Lycée* d'AÎger. -— Les cinéphiles d'Alger attendent avec impatience la projection de Sarati le terrible. Comme l'on sait ce film a été entièrement tourné ici, intérieurs et extérieurs; grâce au groupe électrogène Mercanton, qui éveilla la curiosité des Algériens, durant le séjour de la Iroupe. — Prochainement un ciné donnera des représentations cinématographiques parlantes et chantantes grâce au ciné-parlant de M. i',aumont. L'appareil étant mis au point, le public pou: ra applaudir cette innovation dans quelques jours. p. s. 277 "^uw^.-.-^--»---.-.-.---.-.-.' LE COURRIER DES "AMIS99 Exclusivement réservé à nos abonnés et aux Membres de l'Association des « Amis du Cinéma » Chaque correspondant ne peut poser plus de 3 questions par semaine. Nous avons bien reçu les abonnements de Georgia Woodthorpe Isa femme); Katleeri Key Mmes Jeannine Le Brun (Le Veurdre), Dré(Georgette), Wallace Beery (von Richtoffen).!. ville (Le Gâteau), Edrnée Lippert (Alger), M. Ouf!!!! 3" Rudolph Valéntino n'est pas remGuillemet (Marseille), Solange Salzat (Paris) placé par Ramon Navarro à la Paramount, ne Flandrin (Valence), Anaclet (Paris), Bouveret dernier artiste tournant avec Rex Ingram pour (Evreux), Dufour (Lourdes) Yvonne Le Bris la Métro. C'est Antonio Moreno que l'on essaie (Keryado), de MM. René va'n der Zee (Paris), de lui substituer, mais cet excellent jeune preJean N. Schilizzi (Kafr. Zayat-Egypte), René mier déclare lui-même que Valéntino n'est pas Barthet (Oran). H. Gontier (Préfaille's), Edouard remplaçable. Mathé (Marseille), Athanassiadis (Candie), PoMiss Hérisson. — Curieuse miss Hérisson, si povitch (Belgrade), Dupont (St-Quentin), Boususceptible, si spirituelle, vous- avez cherché en logne (Foug). Merci. vain Iris et n'avez vu/qu'un de ses aimables Corbeau Marcel. — Enchanté de recevoir de collègues! Je partage votre opinion sur Sessue vos bonnes nouvelles, je vous félicite d'être à et sa femme qui est, certes, pins jolie au natuTours, c'est une très bonne garnison. Vous rel qu'à l'écran. Soyez plus patiente pour notre envoyons une autre carte pour remplacer celle concours, nous avons fait parvenir votre feuille que vous avez perdue. Vos cotisations sont resà qui de droit. Cordiales amitiés et ne me tées en souffrance depuis le 28 février 1923. piquez plusl Compliments aux nouveaux lecteurs que vous Bizuth Géant. — Vous nie demandez là une avez procurés au petit rouge. question à laquelle Mme de Thèbes n'aurait Bilboquet. — Vous me posez là une question pu même répondre! Je sais que René d'esté inbien générale. Ce que je pense de Léon Poirier? terprétait le principal rôle de Par l'Amour, Mais lisez dans mes courriers précédents ce tourné en 1912 par Léonce Perret chez ('ouique je pense de ses films, et vous saurez mon mont. Ce fut la première création cinégraphisentiment sur leur réalisateur. que de cet intéressant interprète. Yves José. — Demandez à Mlle Myrga elleEl Artagnan de Espana. — Merci pour voire même sa photo. Vous pouvez lui écrire chez jolie carte. Je vous accorde sans hésiter le bien Gaumont qui fera suivre votre lettre. Tout pour votre liste et vous annonce que Mary à l'ait de votre avis pour Jocelyn que je suis Pickford n'a pas encore trente ans. Je partage retourné voir il y a quelques semaines' et qui votre admiration pour L'Etroit Mousquetaire, m'a plu et ému autant que la première fois. mais ne sais rien encore des projets d'Aimé Little Flower. — 1° Je ne sais pas du tout Simon-Girard après La Belle Henriette, dont le ce qu'est devenue Forzane qui déserta le stu_ montage n'est pas encore terminé. Patientez dio il y a déjà longtemps. La même chose pour pour « Athos » et recevez en attendant mes la jeune artiste dont vous me parlez et qui meilleures amitiés. ne tourna plus, je crois, après Impérta. 2° Tous Suz. — Merci pour c° que vous annoncez, mes compliments pour votre ferveur d'ardente voyez d'ailleurs ce que . i noire collaborateur cinéphile. Vous devriez l'utiliser aussi à nous Lynx. Attendez encore pour le concours. Patrouver dans votre ville où l'on lit peu, des tience et longueur de temps... lecteurs et des « Amis ». Je transmettrai vos Petite fonctionnaire. — Andrée Pascal ne compliments à Robert Florey. tourne pas pour le moment. Je l'ai applaudie ton Fantasti. — Je vois avec plaisir que récemment au théâtre Sarah Bernhardt dans vous êtes à la fois amie du Cinéma et amie L'Aiglon, où elle interprétait renuirquablem?nt des Muses, Votre gentil rondel m'a enchanté. le rôle du duc de Reiehtadt. Je souhaite, comJe suis de votre avis pour Les Deux soldats. me vous, son prochain* retour au studio. Quant Interprètes et réalisateurs méritent tous nos enà Léon Mathot, i! se repose actuellement à couragements et, s'il y a quelques menus déRoyan, en attendant d'entreprendre son noufauts dans ce film, on y remarque d'indéniables veau film. qualités qui le placent parmi les bonnes proMonsieur Double Mètre. — 1° Vous avez dû ductions françaises. recevoir le numéro demandé. Il vous avait Maë. — Nous aviserons pour votre cinéma : bien été envoyé la première fois. 2° Tout à 1° la biographie dont vous nous parlez sera pufait de votre avis pour la nouvelle version de bliée fort probablement aux prochaines créations de cet intéressant artiste. 2° le journal américain qui, à mon avis, vous intéressera le iLiimmimmiii s« MILLE IIIIIIIIIIIIIIIUI-J plus est le Motion Picture Magazine. Vous pouvez vous abonner par l'intermédiare de Brentanos, 37, avenue de l'Opéra, Paris, qui vous communiquera ses conditions qui varient évidemment avec le change. Josée Geohamy. — 1° Il n'y a qu'un seul mime Séverin qu'il ne faut pas confondre avec ~ le curieux livre Séverin-Mars. 2° 64_ rue des Martyrs. 3° Oui. de Robert FLOREY = Lulu Printemps. — 1° Pierre Caron a beaucoup de projets, mais n'a encore rien décidé officiellement. Peut-être tournera.t-il à l'étran= Consacré à Los Angeles et Hollywood = ger, en tous cas, il ne chôme pas pour le moet illustré de ment. 2° Les quatre Cavaliers de l'Apocalypse : Rudolph Valéntino (Julio Desnoyers), Joseph tio photographies hors-texte S Swickard (Madariaga), Brinsley Shaw (Calendoni), Alan Haie (Cari von Hartrott), Bridgetta Clark (dona Luisa), Mabel van Buren (Helena), Nigel de Brulier (Tchernoff), Broodwich Turner (Argensola), John Sampolis (Laurier), Mark Feutou (Lacour), Virginia Warwich (Chichi), Derek Ghent (René Lacour), Stuart Holmes (Von Hartrott), Henri Klauss (Prof, von Hartrott), Edward Connelly (le portier), -fllllllllllllllllllllllllllllllHilllllllllllHIIIMIIh~ ÎFHLMLANOjE S E E E Prix : 10 francs | En vente à Cinémagazinë 5 Qnémagazine Forfaiture; ,Tc ferai part de voire cas qui de droit. Zizi. — 1° II s'agissnit fort probablement là de la prise de vues d'un documentaire.. 2U Nous ne connaissons pas l'adresse de ce photographe. Vous" pouvez toujours vous adresser chîïz Gaumont, mais je ne sais si vous aurez satisfaction. Régine Du mien. — 1" l-« petite interprète ne meurt pas dans Le Chemin de Roselande, on rie la voit d'ailleurs que fort peu dans ce film. 2" Oui, Lucien Doublon est bien le directeur de PArtistlc Cinéma Pathé, rue de Douai, mais j'ignore dans quelle arme il a servi pendant la guerre. :!" Le Penseur, André Nox (Pierre Dartiguei, Madys (Madeleine Dartigue), Jeanne Rvcri (Mme Dartigue), Tallier (Jean Karder), Final y (George Bertanj, la petite Francia (petit Julien). Merci pour votre carte. Ami Jiicard. —<- Certes, ami Bicard, de bonnes rééditions sont mille fois préférables aux mauvaises éditions. Celle de Monte-Cristo sera suivie par celle de Judex et Les Deux Gamines, mais combien existe-t-ii encore d'autres filitis que l'on aimerait revoir? Moi aussi, j'ai bien aimé Le Traquenard. Nelly Muriel abordait dans Mariage de Minuit sa première création cinématographique. ïvannine. — 1° Oui, mais' mentionnez. 2° Je no pense pas qu'il y ait de visites aux studios avant octobre. 3° De votre avis pour Hurle à la Morl, Le Brasier ardent. Marin malgré lui. Quant au quatrième film que vous me nommez, je lie comprends pas son édition! Quelle interprétation et quel scénario détestables! Heureusement qu'ils ne sont pas tous comme cela! André llunnequin. — Tous mes remerciements pour votre photographie et vos aimables cartes. 1" Pour une Nuit d'Amour : Christianc Delyal (Thérèse entant), Blanche Roso (Thérèse jeune fille), Hiéronimus (Colombet), Van Dûële (Julien Miehon). 29 Blanche Monte! tourne actuellement La fie!le Sivei naise, sou." la dïi rection de Jean Kpstein, avec David Evremond. Claudine. — Vos bonnes nouvelles ont été Ici; bienvenues. Heureuse que vous' êtes de respirer Pair de la mer quand je m'étiole audessus de mes paperasses! Je voudrais bien être « hàlé » par le bon soleil de Berghe! Meilleurs souvenirs. Merci pour vos belles cartes. Mlle MargùUlê. — Nous avons" à peu près les mêmes goûts. Consolez-vous, vous verrez de beaux films cet automne tant américains que français et vous passerez encore au cinéma des heures intéressantes'. iris des Mphiagnes. — Un blâme pour les cousines qui m'empêchent de vous lire plus longtemps! 1" Les serpents, la fourmi et le géant, film italien qui n'a rien de bien sensyalionnel. Nos amis de la Péninsule fabriquent à la grosse les films de ce genre. '2° Vous pouvez écrire à Charles de liochefort aux studios Paramount 6281 Sel ma Avenue, Hollywood Ca_ lif. :Ï". - Jean Dcheliy a tourné récemment Le Traquenard. avec CoUen, Francine Mussey et Suzanne Talba. -le vous souhaite plus' de calme pour rêver au Petit Rouge. JanniU. — .le ne pense pas qu'il y ait de visite aux studios avant le mois d'octobre. Nous éd itérons fort probablement ces portraits. L'idée du hors texte n'est pas pratique pour notre journal, des photos; et des cartes de luxe étant éditées à part. Nous sommes heureux de l'intérêt que vous portez à Cinémagazinc et vous en remercions. - ' ■■ llussen. — Oui, Armand Tallier est toujours ■en Amérique. II n'a pas encore obtenu un engagement. Sa Sainteté. — René Navarre et Elmire Vaiitier sont mariés et n'abandonneront pas, :e crois, le cinéma. Vous tes verrez dans Fernn/us qu'ils tournent avec Stewart Home, l'art isle anglais partenaire habituel de Violet Hops6t£ Vous me permettrez de ne pas partager votre opinion sur Pina Menichelli dont le talent _-sl loin d'être considérable. Je m'étonne que vous goûtiez ses poses « plastiques » ou prétendues 278 (jémagazk 279 telles. Elle est loin d'égaler Soava Gallonc qui, à mon humble avis, est bien la protagoniste la plus complète que possède la Péninsule. Mon meilleur souvenir à Sa Sainteté. Isiida la folle. — Les artistes dont vous nous parlez ne devraient pas s'exhiber ainsi, encore vous n'en citez que deux! Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages! Laissezmoi vous désillusionner s'ur votre scénario qui, tout en étant assez .original, ne possède pas les qualités essentielles pour intéresser les foules. Madame Joliris. — Tous mes souhaits de bonne réussite vous accompagnent. A. G. C, 8 av. de Glichy, Paramount, 58, av. des Champs-Elysées; Fox Film, '21, rue Fontaine; Eclipse, 50, rue de Bondy; Harry, 158 ter, rue du Temple. Alexandrinette. — Merci pour votre carte. Mercanton, 23, rue de la Michodière. Miss Pompadour. — J'ai de mon côté fort aimé La Dette de sang. Les partenaires d'Anita Stewart dans Deux Amours, un bon film, sont Herbert Bawlinson et Walter Grail qui joua en effet aux côtés' de Pearl Whïte dans Par la force et par la ruse. Le correspondant dont vous nous parlez est un de nos abonnés. Un peu plus de courage et a bientôt, miss Pompadour. Une lectrice d'Alger. — 1° Ces titres tables sont parus et vous pouvez vous les procurer à nos bureaux. 2° L'Ampoule brisée est ( un film assez récent. 3° Le Fantôme de Lord liarrington était interprété par William Faversham, un excellent artiste américain, qui fait surtout du théâtre et que vous avez pu voir également dans Sa faute, un film admirable. La Sejznick est une compagnie américaine. Marguerite à Menton. — 1° Oui, Henri Rolland est marié à Marthe Vinot et cela n'est pas récent. 2° Vous le verrez prochainement non en mousquetaire, mais en aviateur dans Le Roi de la Vitesse. 2° Vermoyal fera, en effet, un excellent Louis XI dans La Chevauchée des Loups, le prochain film historique de Raymond Bernard. La prochaine fois, écrivez moi en espagnol... Lakmé. — Vous voilà enthousiasmé pour Sublime offrande et je vous comprends. Quant à L'Enfant du Hoang Hô c'est, à coup sûr, un des plus beaux films- de Sessue. Il s'y montre admirable tragédien. Vous me parlez aussi de Distraction de millionnaire qui est, à mon avis, un petit chef-d'œuvre de comédie cinégraphique, et quel parfait interprète que George Arliss!.. Oui, je suis de votre avis pour Jean d'Agrève, et je préfère le livre au film dont les personnages étaient factices. Je constate avec plaisir votre continuelle admiration pour Joubé que vous verrez prochainement dans Mandrin, douze épisodes!! Voilà de bons moments pour vous en perspective! Merci de votre carte d'Orange. Grand'Maman. — M. Kean n'hésite pas à vous dire combien votre lettre l'a intéressé et combien il a trouvé justes vos critiques et opinions concernant le scénario et l'interprétation de Sublime Offrande. Nous sommes d'ao cord sur tous les points et grand'Maman parle du cinéma comme un véritable critique cinégraphique. Toutes mes félicitations. Ennoby. — Non, seuls y ont droit les abonnements partant du Ie' juillet ou du 1er août. IRIS, FUMEURS !!! Demandez les cigarettes LYRA au tabac d'Orient, les meilleures aux meilleurs prix Recherche Commanditaire 100 à 200.000 fr. pour exploiter cinéma. Intérêts et part dans les bénéfices. DUBERNAIS, 9, avenue Balzac, Le Raincy (S.-et-O.). XKKKK«X~X~XK~X~X~XK~X~X~X~X~> ON DEMANDE Bonnes ouvrières colleuses et monteuses négatifs et positifs. G.M.Film, 7, quai d9 Billancourt Boulogne-sur-S« ïne UMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIIHIIIIIIIIIII^ 1 Bibliothèque = KYR-ZADE — 20 cigarettes.... LY-SA — 20 cigarettes.... 4 francs 3 fr. 60 EN VJE1M.T-EÎ PARTOUT de Photo-Pratique = 3, Rue Rossini • Paris (9e) 3 PHOTO-PRATIQUE. Revue bi-mensuelle. Di— recteur Jean Pascal. Abonnement: 10 fr. S par an. Etranger. 12 francs. 3 LA PREMIÈRE ANNEE DE PHOTOGRAPHIE, par ~ le prof. J. Carteron. Prix : 3 francs. 5 OUVRAGES I)(J Dr R. BOMET jj; Le Petit Dictionnaire de l'amateur. — Prix : 3 francs. H Le Formulaire (2 volumes). — Le volume. 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Raymond Copine,' 4, rue de Panama, Paris (18-). _ Amï Bicard voudrait correspondre avec amis ou amies de 18 à 20 ans-, habitant le 18« MIEUX INFORMÉE PUBLICATIONS ITALIENNES Abonnements Etranger : 1 an : 60 francs - 6 mois : 35 francs Directeur-Editeur : A. de MARCO Administration : Via Cspedale 4"', TURIN . Italie) En vente à CINÉMA G A Z1NE. Prix : 2 fr. 50 t&A «*♦«♦»♦•♦«•.♦•.«•♦♦•♦.•♦.•♦. Y La Petite Fille Photogénique RÉSULTATS DU CONCOURS Parmi tant de charmantes enfants qui prirent part à notre concours, il était difficile, certes, de faire un choix. Toutes n'étaient-elles pas jolies., aimables ? Cette difficulté dut séduire nos lecteurs, puisque plus de 15.000 d'entre eux nous firent parvenir wi bulletin de vote. Nous tenons à mentionner tout particulièrement le nom de la petite SIMONE SIMIAN, de qui h photographie nous est arrivée trop tard pour qu'il nous soit possible de la publier. M. Abel Cance. à qui nous l'avons soumise, est convaincu qu'elle pouvait obtenir l'une des toutes premières récompenses. Voici le classement des 10 premières lauréates. PREMIER PRIX DE 1.000 2 prix c!a 400 francs MONNËSSY — N° 33, Série 5 6e prix de 50 francs -0 SCHULTESS. — A? i4, Série 3 1° prix de 50 francs Jacqueline 3e prix de 200 francs Jeanne ROUSSËAU. — N° 17, Série 4e prix de 100 francs Simone ATAIN. — AT" 6, Série 2 5° prix de 75 francs LILY. — N" 2, Série 1 3 Irène FORTUNE. — N° 30, BEUM — N" 32, Série 5 La photographie de cette concurrente ne portait ni nom ni adresse. Prière a ses parents de se faire connaître et de nous envoyer une autre photographie. (1) A nos lecteurs dont le bulletin de vote se rapproche le plus de la liste type fournie par le dépouillement du concours, if sera distribué les prix suivants : PREMIER PR ix DE 500 FRANCS Mme Kaysée, Paris 2" prix de 200 francs Mlle RËUTËR, 3e prix de 100 francs M. Pedro BERNAEÈS, Saint-Sébastien 4° prix de 50 francs BINDNER Georgette, Paris 5e prix de 50 francs LËHRAND Philippe, Neuilly-sur-Seine 6° prix de 50 francs JARRIX Du I Ie au 20e prix : Neuf chat el. Alphonse, Thiers V prix de 50 francs Marguerite, Paris CLERC 8" prix : Abonnement d'un an à « Cinémagazine » BRUNËT Frédéric, Avignon 9° prix : Abonnement d'un an à « Cinémagazinc » EMI Odette, Paris 10e prix : Abonnement d'un an à « Cinémagazine » GAUDRI Germaine, Parts y 5* y ? X X y y y l Un ab de six mois à « Cinémagazine » Suzy CAMUS, Bnghien; Thérèse MAEParis; Huguette SCHWCËRËR, Paris; Carmen LION, Rouen ; Roger MONATT, Bagneux; Louise AUBRY, N eiiilly-surSeine; Hélène LACOSTE, Paris; Alice HOUCHOT, Paris ;Marius-Jules VASSËUR, Paris; Jane BRUNSCHWIO, Strasbourg. LËT, Du 21' au 30° prix : Un abl de trois mois à « Cinémagazine » Marie-Thérèse FERRËT, Paris; Germaine ARNAE DË CUREL, Biarritz; Paul HAAS, Blbeuf; Jeanne LANGE, Enghienles-Bains; René LAGASSË, Paris; Jacqueline ZIPPËR, Paris ; Paul GOUTIN, Nancy ; Berthe GUIEEAUMË, Troyes; Emma RËËS, Strasbourg; Madeleine VITRY, Paris. * Y X t ? DEUX PLACES à Tarif réduit Valables du 24 au 3o Août 1923 CE BILLET NE PEUT ÊTRE VENDU y V PARIS Etablissements Aubert Série 5 8° prix de 50 francs Jaq. RAMSKEËRS. — Ar° 35, Série S 9° prix de 50 francs Marie B... (1). — N" 40, Série 6 10 prix de 25 francs Jacqueline Les Billets de " Cipéipa^azipe " T En aucun cas il ne pourra être perçu avec ce billet une somme supérieure à 1 fr. 75 par place pour tous droits. Détacher ce coupon et le présenter dans l'un des établissements ci-dessous reçu aux jours spécialement indiqués pour chacun d'eux. FRANCS M"° Jacqueline Gumais (N° 24, série 4) Ro"ande .............. ........... 4 AUBERT-PALACE, 28, boulevard des Italiens. — Anbert-Journal. Quennie Policeman. Indus'.rie du Pétrole au Mexique documentaire. Le Lien du Souvenir, avec Ethel Clayton. ELECTRIC PALACE, 5. boul. des Italiens. — PALAIS-ROCHECHOUART, 56, boul. Rochechouart. — Aubert-Journal. L'Etiu des Géants, dessins animés. Le Manoir de la Mée lancolie. L'Homme sans nom (4 chap.). Qacenie Policeman. CRENELLE AUBERT-PALACE. 141 av. EmileZola. — Madrid, plein air. Le Manoir de la Mélancolie. Aubert-Journal. L'Homme sans nom (3e chap.). Malec, Joue au golf. REGINA AUBERT-PALACE, 155, me de Rennes. — Aubert-Journal. L'Homme sans nom (3 e chap.). Nazimova dans L'Orgueilleuse. La Guigne de Malec. VOLTAIRE AUBERT-PALACE, 95, rue de la Roquette. — La Guigne de Malec. Franchie Mussey et Henri Collen dans Le Traquenard. Aubert-Journal. L'Homme sans nom (4e chap.). GAMBETTA PALACE, fi, rue Belgrand. — La Guigne de Malec. Aubert-Journal, Le Traquenard. L'Homme sans nom (4e chap.). PARADIS AUBERT-PALACE. 42, rue de Belleville. — Aubert-Journal. Pauline Starke dans La Fleur du Nord. L'Homme sans nom (3« chap.). Etablissements Lutetla LUTETIA, 31, av. Wagram. — Pathé-Revue. Fatfy groom. Les Indes Orientales, grand film documentaire sensationnel. Ethel Clayton dans Le Lien du Souvenir. Gaumonl-Actualilés. ROYAL-WAGRAM, 37, av. de Wagram. — Pansages suédois, plein air. William Faversham dans Le Fantôme de Lord Barrington. Queenie Policeman. L'Homme sans nom (4* chap.). Pathé-Journal. LE SELECT, 8, av. de Clichy. — Pathé-Revue. Queenie Paliceman. Thomas Meighan et Miidred Harris dans 7/ était un Prince. Paysages suédois, plein air. Pathé-Journal. L'Homme sans nom (4* chap.). où il y Y y t Y ? y Y ? ? ? y y y y y v sera LE METROPOLE, 86, av. de Saint Ouen. — Paysages suédois. Dédé Prospecteur. Douglas Mac Lean dans Voleur malgré lui. Queenie Policeman. L'Homme sans nom (4e chap.). Pathé-Journal. LE CAPITOLE, place de la Chapelle. — Paqsages suédois. Pathé-Journal. Il était un Prince. Queenie Policeman. Dédé Prospecteur. L'Homme sans nom (4e chapitre). LOUXOR, 170, boul. Magenta. — Un Centre de Pisciculture, documentaire. Dédé Prospecteur. Voleur malgré lui. Ethel Clayton dirns Le Lien du Souvenir. Pathé-Journal. LYON-PALACE, 12, rue de Lyon. — CaumontActualités. Nazimova dans L'Orgueilleuse. La Guigne de Malec. Dédé Prospecteur. L'Homme sans nom (4e chap.). SAINT-MARCEL, 67, boul. Saint-Marcel. — Malec joue au golf. Olive Thomas dans La Dive'.te des Folies-Bergère. Gaumont-Actualités. Maurice Chevalier dans Jim Bougne boxeur. L'Homme sans nom (3" chap). LECOURBE-CINEMA, 115, rue Lecourbe. •Pathé-Revue. Malec joue au golf. L'Orgueilleuse. L'Homme sans nom (3« chap.). Gau. mont-Actualités. BELLEVILLE-PALACE, 23, rue de Bellevllle. — Gaumonl-Actualités. Une Surprise peu banale. L'Orgueilleuse. L'Ile sans nom. FEERIQUE-CINEMA, 140, rue de Belleville. — Pathé-Journal. Une Surprise peu banale. L'Homme sans nom (3e chap.). OLYMPIA, 17, rue de l'Union, à CLICHY. — La dernière expédition polaire de Rasmussen Suzanne Taiba dans Le Traquenard. Gaumonl-Actualités. L'Homme sans nom (2e ch.). KURSAAL, 131 bis. av. de la Reine, a BOULOGNE. — Course de taureaux au Portugal. Le Traquenard. Mariage difficile. L'Homme sans nom (3e chap.). Gaumont-Actualitès. Pour ces établissements, nos billets sont valables du lundi au jeudi en matinée et soirée. (Jours et veilles de fêtes exceptés), sauf pour Lutétia et Royal où les billets ne sont pas admis le jeudi en matinée et l'Olympia où ils ne sont valables que le lundi en soirée (jours et veilles de fêtes exceptés). ALEXANDRA, 12, rue Chernoviz. — Mat. et soirée, sauf samedis, dimanches et fêtes. ARTISTIC-CINEMA-PATHE, 61, rue de Douai. Du lundi au jeudi. CINEMA DAUMESNIL, 216, avenue Daumesnil. Lundi au jeudi en soirée, et Jeudi matinée. CINEMA DU CHATEAU-D'EAU, 61, rue du Château-d'Eau. — Du lundi au jeudi inclus, sauf jours fériés. 283 CINEMA SAINT-MICHEL, 7, place St-Mlchel. Matinées et soirées. Du lundi au jeudi. DANTON-PALACE, 99, boul. Saint-Germain. FLANDRE-PALACE, 29, rue de Flandre. — Du lundi au jeudi. FOLL'S BUTTES CINEMA, 46, avenue Mathurin-Moreau. — Samedi et jeudi en soirée. LE GRAND CINEMA 55, av. Bosquet. — PathéJournal. T'en fais pas vieux frère, avec Wal. lace Reid. L'Homme sans nom (3e chap.). La Vérité, grand drame. Tous les jours à 8 h. 1/2, sauf samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. Il est perçu 1 fr. 50 aux réservées au lieu de 4 fr. GRAND-ROYAL, 83, avenue de la Gde-Armée. IMPERIA, 71, rue de Passy. — Tous les jours mat. et soirée, sauf samedis et dimanches. MAILLOT-PALACE, 74, av. de la Gde-Armée. Tous les jours, matinée et soirée, sauf sam., dimanches, fêtes et veilles de fêtes. MESANGE, 3, rue d'Arras. — Tous les jours-, sauf sam., dim. et fêtes. MONGE-PALACE, 34, rue Monge. PALAIS DES FETES, 8, rue aux Ours. — Grande salle du rez-de-chaussée. Grande salte du premier étage. — Matinées et soirées. PYRENEES-PALACE, 289, rue de Ménilmonlant. — Tous les jours en soirée, sauf samedis, dimanches, veilles et Jours de fêtes. VICTORIA, 33, rue de Passy. — Tous les jours mat. et soir., sauf sam., dimanches et fêtes. BANLIEUE ASNIERES. — EDEN-THEATRE, 12, GrandeRue. Vendredi. AUBERViLLIERS. — FAMILY-PALACE, place de la Mairie. Vendredi au lundi en soirée. BOULOGNE-SUR-SEINE. — CASINO, 4 bis, boul. Jean-Jaurès. Du vendredi au dimanche. KURSAAL (Voir Etablissements Lutétia). CHATILLON-SOUS-BAGNEUX. — CINE-MONDIAL (Salle des Fêtes), rue Sadi-Carnot, dimanche, matinée et soirée. CHOISY-LE-ROI. — CINEMA PATHE, 13, av. de l'Hôtel-de-Ville. Dimanche soir. CLICHY. — OLYMPIA (Voir Etablissements Lutétia.) COLOMBES. — COLOMBES-PALACE, 11, rue Saint-Denis. Vendredi. CORBEIL. — CASINO-THEATRE, vendredi en soirée et matinées du dimanche (sauf fêtes). DEUIL. — ARTISTIC-CINEMA. Dim. en mat. ENGHIEN. — CINEMA GAUMONT. CINEMA PATHE. — 24, 25 et 26 août. — Les Plantes carnivores, instructif. Les Mystères de Paris (9« chap.). Le Cœur sur la main, comédie sentimentale. Une Histoire de sacs et de cordes, comique. FONTENAY-SOUS-BOIS. — PALAIS DES FETES, rue Dalayrac. Vendredi et lundi soir. GAGNY. — CINEMA CACHAN, 2, place Gambetta. Vendredi soir., dim., mat. et soirée. IVRY. — GRAND CINEMA NATIONAL, 116, boul. National. Vendredi et lundi en soirée. LEVALLOIS. — TRIOMPHE-CINE, 148, r. JeanJaurès. Tous les jours, sauf dim. et fêtes. CINEMA PATHE, 82, rue Frazillau. — Toutes les séances sauf sam. et dim MALAKOFF — FAMILY-CINEMA, place des Ecoles. Samedi et lundi en soirée. POISSY. — CINEMA PALACE, 6, boul. des Caillois. — Dimanche. SAINT-DENIS. — CINEMA-THEATRE, 25, rue Catulienne et 2, rue Ernest-Renan. Jeudi en matinée et soirée et vendredi en soirée, sauf veilles et jours de fêtes. BIJOU-CINEMA, rue Fouquet-Baquet. — (Vendredi et dimanche en soirée.) SAINT-QRATIEN. — SELECT-CINEMA. Dim. en soirée. SAINT-MANDE. — TOURELLE-CINEMA, 19, rue d'Alsace-Lorraine. — Dimanche soir. SANNOIS. — THEATRE MUNICIPAL. — Samedi soir, dimanche matinée à 3 h. et soirée. TAVERNY. — FAMILIA-CINEMA. Dim. en soir. VINCENNES. — EDEN, en face le fort. Vendredi et lundi en soirée. DEPARTEMENTS ANGERS. — SELECT-CINEMA, 38, rue SatntLaud. Mercredi au vendredi et dimanche première matinée. ANZIN. — C ASINO-CINE-PATHE-G AUMONT. Lundi et jeudi. ARCACHON. — FANTASIO-VARIETES-CINEMA (Dir. G. Sorius). Jeudi et vendredi, sauf veilles et jours de fêtes. AUTUN. — EDEN-CINEMA, 4, pl. des Marbres. Samedis, dimanches et fêtes en soirée. BAILLARGUES (Hérault). — GRAND CAFE DE FRANCE. — Le vendredi à 8 h. 1/2. BELFORT. — ELDORADO-CINEMA. — Toutes séances, sauf représentations extraordinaires. BELLEGARDE. — MODERN-CINEMA. — Dimanche matinée et soirée, sauf galas. BERCK-PLAQE. — IMPERATRICE-CINEMA, rue de l'Impératrice. BEZIERS. — EXCELSIOR-PALACE, avenue Saint-Saëns. Du lundi au mercredi, jours et veilles de fêtes exceptés. BIARRITZ. — ROYAL-CmEMA, 6, av. du Maréchal-Joffre. — Toutes représentations cinématographiques, sauf galas à toutes séances, vendredis et dimanches exceptés. BORDEAUX. — CINEMA PATHE, 3, cours de l'Intendance. — Ts les jours, mat. et soir., sauf samedis, dim., jours et veilles de fêtes. SAINT-PROJET-CINEMA, .81,- rue Sainte-Cfetherïne. Du lundi au jeudi. BREST. — CINEMA SAINT-MARTIN, passage St-Martln. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. THEATRE OMNIA, 11, rue de Siam. — Ts les jours excepté sam., dim., veilles et fêtes. CAEN. — CIRQUE OMNIA, avenue Albert-Sorel. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. SELECT-CINEMA, rue de- l'Engannerie. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. CAHORS. — PALAIS DES FETES. — Samedi. CALVISSON (Gard). — GRAND AI.CAZAR DU MIDI. — Le samedi à 8 h. 1/2. CHERBOURG. — THEATRE OMNIA, 12, rue de la Paix. Tous les jours, exceptés samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. ELDORADO, 14, rue de la Paix. Tous lés jours, sauf sam., dim., veilles et jours de fêtes. CLERMONT-FERRAND. — CINEMA PATHE, 99, boul. Gergovie. T. 1. J, sauf sam. et dim. DENAIN. — CINEMA VILLARD, 142, rue de Vlllard. Lundi. DIJON. — VARIETES, 49, rue Guillaume-TeU. Jeudi, matinée et soirée, dimanche en soirée. DIEPPE. — KURSAAL, 8, rue Duquesne. — Vendredi et samedi. DOUAI. — CINEMA PATHE, 10, rue SaintJacques. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. DUNKERQUE. — SALLE SALNTE-CBCILE, place du Palais-de-Justice. Tous- les jours, excepté sam., dim., veilles et jours de fêtes. PALAIS JEAN-BART, place de la République, du lundi au vendredi. ELBEUF. — THEATRE-CIRQUE OMNIA, nie Solférino. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. GRENOBLE. — ROYAL-CINEMA, r. de France. En semaine seulement. HAUTMONT. — KUBSAAL-PALACE, lé mercredi, sauf les veilles de fête*. LE HAVRE. — SELECT-PALACE, 123, boul. de Strasbourg. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles ,êl jours de fêtes. ALHAMBRA-CINEMA, 75, rue du Prés.-Wilson. LE MANS. — PALACE-CINEMA, 104, av. Thiers. Tous les jours, sauf samedis et dimanches. LILLE. — CINEMA PATHE, 9, rue Esquermoise, msirtii et vendredi en soirée. PRINTANIA. — Toutes séances, sauf dim. et fêtes, à (tes places réservées et loges excep. WAZEMMES CINEMA-PATHIÎ. — Ts les jours, .excepté sam., dim., veilles et jours de fêtes. LIMOGES. — CINE-MOKA. Du lundi au jeudi. LORIENT. — SELECT-PALACE, place Bisson. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. CINEMA OMNIA, cours Chazelles. Tous les jours, saut samedis, dimanches et l'êtes. ELEI.THIC-CINEMA, 4, rue St-Pierre. Tous les jours, sauf samedis, dimanches et t'êtes. LYON. — CINEMA AUBERT-PALACE, 20, p v:t> Belli-coiir. r.INi MA ODF.ON. fi, rue Lal'ont. HEI.I.ECOUR-CINBMA, place Lévisle. IDF.Al.-CINEMA. 83, rue de la République. MAJESTIC-CINEMA, 77, rue de la République. Pour Imites ces salies nos billets sont valables tous les jours, s'auf samedis, dimanches et t'êtes, exception faite toutefois pour l'AubertPalace qui les accepte tous les jours en matinée et soirée, saut samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes et représentations de gala. MAÇON. — SALLÉ MARIVAUX, rue de Lyon. Tous les jours, sauf sam., dim., veilles el jours de l'êtes. MARMANDE. — THEATRE FRANÇAIS. Dimanche en matinée. MARSEILLE. — TRIANON-CINEMA, 29, rue de la Darse. Tous les soirs, sauf samedis. MAUGUIO. — GRAND CAFE NATIONAL. — Le jeudi a S h. 30. MELUN. — EDEN. — Ts les jours non fériés MENTON. — MAJËSTIC-CINEMA, avenue de la Gare. Tous les jours, sauf samedis, dimanches et jours fériés. MILLAU. — GRAND CINEMA PAILHOUS. Toutes séances. MOIMTLUÇON. — VARIETES-CINEMA, 40, rue de la République. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. SPLF.NDID-CINEMA, rue Barathon. — Tous les jours, excepté samedis-, dimanches, veilles et jours de l'êtes. MONTPELLIER. — TRIANON-CINEMA, 11, rue de Verdun Tous les jours, sauf samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. MOULINS-SUR-ALLIER. — PALACE-CINEMA. 12, rue Nationale. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. MULHOUSE. — ROYAL-CINEMA. Du jeudi au samedi, sauf veilles et jours de fêtes. NANTES. — CINEMA JEANNE-D'ARC, rue Pitre-Chevalier (anciennement rue SaintRngatien). Billets valables tous ies jours en matinée et soirée. NICE. — APOLLO-CINEMA. — Tous les jours sauf dimanches et t'êtes. l'I.OREAL-CINEMA, avenue Malausséna. IDÈAL-CTNEMA. rue du Maréchal-Foch. Sauf lundis el jours fériés. RIVIERA-PALACE, 68, av. de la Victoire. — Sauf les dimanches et jours fériés. NIMES. — MAJESTIC-CINEMA, 14, rue EmileJamais- Lundi, mardi, merc.. en soir., jeudi mal. et soir., sauf v. et j. de f. galas exclus. OULLINS (Rhône). — SALLE MARIVAUX, rue de la Gare. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. OYONNAX. — CASINO-THEATRE, Grande Rue. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. PALAVAS-LES-FLOTS. — GRAND CAFE DES BAINS. — Le dimanche soirée à 8 h 1/2 POITIERS. — CINEMA CAST.LLE, 20, place d'Armes. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de l'êtes. PORTETS (Gironde). — RADIUS CINEMA. — Dimanche soir. RAISMES (Nord). — CINEMA CENTRAL. — Dimanche en matinée. RENNES. — THEATRE OMNIA, place du Calvaire. Tous les jours excepté samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. ROANNE. — SALLE MARIVAUX (Dir. Paul Fessy), r. Nicolas. Jeudi, vendredi et samedi. ROUEN. — OLYMPIA, 20, rue St-Sever. Tous les jours, exC. sam., dim. et jours fériés. THEATRE OMNIA, 4, place de la République. Tous les jours, sauf samedis, dimanches, veilles et jours de fêtes. ROYAL-PALACE, J. Bramy (fa«e Théâtre des Ar!s). Du lundi au merc. et jeudi mat. et soir TIVOLI-CINEMA DE MONT-SAINT-AIGNÀN. — Dimanche matinée et soirée. ROYAN. — ROY AN-CI NE-THEATRE. — Dimanche en matinée. SAIIUT-CHAMOIMD. — SALLE MARIVAUX, 5, rue Sadi-Carnol. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de l'êtes. SAINT-ETIENNE. — F AMILY-TriEATRE, 8, r. Marenyo. — Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles- et jours de fêtes. SAINT-MALO. — THEATRE MUNICIPAL. — Samedi en soirée. SAINT-GEORGES de DIDONNE. — CINEMA THEATRE VERVAL. Période d'hiver : Toutes séances sauf dimanches en soirée. Période d'été : Toutes séances sauf jeudi et dimanche en soirée. SAINT-QUENTIN. — KURSAAL OMNIA, 123, rue d'isle. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de lêtes. SAUMUR. — CINEMA DES FAMILLES, rue Nationale. Jeudi, sam., dim. mat. el soirée. SOISSONS. — OMNIA PATHE, 9, rue de l'Arquebuse. Tous les jours, excepté samedis, dimanches, veilles et jours de l'êtes. SOUILLAC — CINEMA DES FAMILLES, rue Nationale. Jeudi, sam., dim. mat. et soirée. STRASBOURG. — BROG LIE-PALACE, place Broglie. Le plus beau cinéma de Strasbourg. Matinée tous les jours à 2 heures. Sam., dim. et fêtes exceptés. U. T. La Bonbonnière de Strasbourg, rue des Francs-Bourgeois. Matinée et soirée, tous les jours. Sam., dim et fêtes- exceptés. TARBES. — CASINO-ELDORADO, boul. Bertrand-Barrère. Jeudi et vendredi. TOULOUSE. — LE ROYAL. 19-51, rue d'AIsaceLorraine. — Tous les jours, matinée il 3 h. et soirée à 9 h., excepté dimanches et l'êtes. L'OLYMPIA, 13, rue .Saint-Bernard. — Tous les jours en soirée et matinée du jeudi TOURCOING. — SPLENDID-CINEMA, 17, rue des Anges. Toutes séances, sauf dimanches et jours- fériés. HIPPODROME. — Lundi en soirée. TOURS. — ETOILE-CINEMA, 83, boul. Thiers. Samedi et dimanche en soirée. VALLAURIS (Alpes-Maritimes). — CINEMA, place de riT^'el-de-Ville. Tontes les séances. VILLENAVE-D'ORNON (Gironde). — Samedi. ETRANGER Afl VERS. — THEATRE PATHE, 30, avenue de Keiser. Du lundi au jeudi. MONS. — EDEN-BOURSE. Du lundi au samedi (dimanches et l'êtes exceptés). LE CAIRE. — CINEMA METROPOLE. — Tous les jours, sauf le dimanche. Pour ces deux derniers établissements ,les billets donnent droit au tarif militaire. Imprimerie de Cinémagazine, 58, rue J.-J.-Rousseau. Le Direcleur-Gérant : Jean PASCAL,