dossier pedagogique siddhartha

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dossier pedagogique siddhartha
DOSSIER PÉDAGOGIQUE
Cie Atelier de l’Orage : Espace Culturel « La Villa » 91100 Villabé
Tel : 06 37 99 46 48 – [email protected] - www.atelierdelorage.com
La Compagnie Atelier de l’Orage est subventionnée par la DRAC Île-de-France,
le Conseil Général de l’Essonne et les Communes de Vert-le-Petit et Itteville
La Merveilleuse Histoire du Prince
Siddhârtha
Un Conte philosophique indien
très librement inspiré de « La Légende du Buddha »
Nous vous proposons ici trois pistes de travail à explorer
en amont ou en aval du spectacle suivies de quelques
fiches plus ludiques d’Ateliers créatifs.
Une manière de préparer et/ou de prolonger le voyage
au-delà du temps de la représentation.
Pistes Pédagogiques
Siddhârtha et l’Inde
Siddhârtha et la philosophie
Siddhârtha, Buddha et les autres religions
Piste d’Ateliers Créatifs
Atelier d’expression
Mandalas
Recettes de cuisine
Comment mettre un « Sarî »
Stage et Ateliers Théâtre
La Compagnie Atelier de l’Orage travaille depuis plus de 15 ans dans les
établissements scolaires et les Centres de Loisirs où elle anime des Ateliers ou
des Stages en direction des enfants et/ou des adultes qui les encadrent :
Enseignants – Animateurs …
Si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à nous contacter.
«
Il y a longtemps, très longtemps, dans un petit royaume du nord de
l’Inde, vivait la reine Maya, épouse du bon roi Suddhodana. »
Siddhartha et l’Inde
A l’époque de Siddhartha, l’Inde était le pays des Maharadjahs.
Maharadjah veut dire "grand roi" : c'est le titre porté par les princes en Inde.
Ces princes étaient à la tête de royaumes. Les plus puissants possédaient une
armée et surtout une immense fortune. Ils vivaient dans de très beaux palais
et s'entouraient des choses les plus belles et les plus précieuses.
Actuellement certains maharadjahs ont conservé leur titre mais n'ont plus de
pouvoir. Certains ont converti leurs somptueux palais en hôtel où les touristes
peuvent séjourner pendant leur voyage.
Repères historiques et économiques
Au XIXºS, l'Inde a été occupée par les Anglais. Ce n’est qu'au milieu du
XXºS qu’un indien très célèbre, Gandhi, obtint l'indépendance de son pays en
utilisant comme « armes » la non-violence et la désobéissance civile.
Aujourd’hui, avec plus d’1 milliard d’habitants (17 fois le nombre de
Français), l’Inde est par sa population, le 2ème pays du monde après la Chine.
C’est un pays pauvre qui progresse très vite : elle est en train de devenir l'une
des superpuissances économiques du monde. Ses ingénieurs informatiques,
par exemple, sont réputés dans le monde entier. Mais une grande partie de la
population est encore très pauvre.
La moitié des enfants de moins de 3 ans souffre de malnutrition. Un très
grand nombre d’enfants ne vont pas à l’école. Plus de la moitié des jeunes de
moins de 15 ans ne sait pas lire et plus de 10 millions d’enfants travaillent
dans des conditions souvent très dures.
Repères géographiques
Situé en Asie, c’est un pays immense, 6 fois plus grand que la France,
découpé en 28 États. Sa capitale est New Delhi.
L’Inde forme un gros triangle dont la pointe plonge dans l'océan Indien. Le
nord du pays est bordé par une chaîne de grandes montagnes, l'Himalaya. Au
nord coule un large fleuve, le Gange. (voir carte en annexe).
L'Inde connaît trois saisons : une saison chaude (de février à mai), une
saison humide (de juin à octobre) et une saison fraîche (de novembre à
janvier). La saison humide se caractérise par la mousson : vent fort
accompagné de fortes pluies et de courts et violents orages.
On y parle 23 langues officielles différentes et de nombreux dialectes. L’hindi
est la langue principale pour 30% de la population mais l’anglais est utilisé
partout.
Une civilisation millénaire
La civilisation indienne est l’une des plus vieilles au monde, puisqu’elle
remonte à 5000 ans environ. Sa philosophie et son héritage culturel
influencent aussi bien les artistes, les penseurs que la vie quotidienne.
La cuisine indienne est très connue : elle contient beaucoup d'épices dont la
plus répandue est le curry. Le thé indien ou « tchaî » est aussi parfumé
d’épices (voir recette en annexe).
Les tissus indiens sont très appréciés en Europe. Les femmes portent de très
beaux habits très colorés appelés « sarî » (sorte de robe formée d'une seule
pièce de tissu) et les hommes portent parfois des turbans sur la tête.
L’art traditionnel indien – mandalas, chants, danses – toujours très pratiqué
dans les villages, inspire de nombreux artistes.
« Père, depuis ma plus tendre enfance j’ai vécu protégé et heureux dans
vos palais. Mais dernièrement, mon esprit a été bouleversé et j’ai perdu
le goût pour les plaisirs fugitifs de ce monde. A présent, je souhaite
découvrir une paix et un bonheur plus durables. »
Siddhartha et la philosophie
Le texte du spectacle offre de très nombreuses entrées pour aborder avec les
enfants des sujets ou questions d’ordre philosophique.
Le Thème central du spectacle est celui du Bonheur.
Question centrale et brûlante à notre époque, dans un monde régi par le seul
pouvoir de l’argent où la course au profit et au bien-être matériel a été érigée
en valeur morale. Siddhartha oppose deux types de Bonheur.
Celui fugitif et relatif que nous rencontrons dans la quête ou la satisfaction de
biens et plaisirs matériels.
«Aveugles à cette vérité que tout change constamment, Siddhartha
comprit comment les êtres créent leur propre malheur. Car quand
nous ne trouvons pas ce que nous cherchons, nous sommes
malheureux, mais quand nous le trouvons, ce plaisir tant convoité
s'évanouit et nous en recherchons un autre. »
Et celui plus profond et plus durable lié à un bien-être intérieur dont nous
avons tous pu, à un moment ou à un autre de notre existence, faire
l’expérience dans ces petits instants « magiques » de notre vie quotidienne.
« … son esprit devenait de plus en plus calme et détendu. Il ressentait
maintenant une quiétude comme il n’en avait jamais éprouvé
auparavant. »
Au travers des dialogues entre Siddhartha et son fidèle cocher Channa, figure
du bon sens populaire, le spectacle aborde également, de manière simple et
profonde, d’autres sujets souvent tabous auprès des enfants comme : La
Vieillesse – La Maladie et la Mort.
« - Channa, mais ce pauvre homme est-il le seul à souffrir des misères
de l’âge ?
- Assurément non, prince. Tout le monde doit tôt ou tard en passer
par là ! Vous, moi, votre femme, Rahula et tous les gens de ce palais.
A chaque instant nous vieillissons et un jour, nous ressemblerons
tous à peu près à cet homme ! »
« - Channa, Channa qui est cette femme là-bas au teint pâle ?
- Ben, c’est une personne malade ! (…) On peut être en bonne santé
un jour et malade le lendemain. Personne n’est à l’abri de la
maladie ! »
« - Channa. Pourquoi cet homme est-il allongé ainsi dans cette boîte ?
- Ben. Parce qu’il est mort !
- Est-ce inhabituel pour quelqu’un de mourir ainsi ? »
- Ben non Seigneur! Tout le monde sur cette terre doit mourir un
jour ! »
On pourra enfin reprendre et commenter le dialogue ente Siddhartha et le
jeune homme venu à sa rencontre pour l’insulter, relatif à la violence verbale
dont sont souvent acteurs et victimes les enfants :
« - Dis-moi. Si tu achètes un cadeau à quelqu’un et que celui-ci n’en
veuille pas, à qui appartient ce cadeau ? »
- Bennnn ! Il est à moi puisque c’est moi qui l’ai acheté ! »
- C’est juste. Eh bien tu vois, c’est exactement la même chose avec
ta colère. Si tu m’envoies de la colère et que je n’en veuille pas, alors
elle t’appartient ! Tu es le seul à en souffrir, pas moi !
« S’il décide de rester auprès de vous et de devenir roi, alors il sera le
plus grand de toute l’histoire, il gouvernera un vaste empire et
apportera à son peuple paix et bonheur. Mais, s’il décidait de ne pas
régner, plus haut encore serait son destin. Il deviendra un sage
incomparable et apprendra aux gens à vivre en paix, avec leur cœur ! »
Siddhartha, Buddha et les autres religions
L’histoire du spectacle est très librement inspirée de la légende indienne
de Siddhartha Gautama, devenu le Buddha, qui vécut au 6ème siècle avant
Jésus-Christ dans le Nord de l’Inde. C’est lui le fondateur du Bouddhisme,
une religion qui cherche à apprendre aux hommes à se délivrer de la
souffrance. Le Dalaï-lama est le chef spirituel des Bouddhistes.
Il y a beaucoup d’autres religions dans le monde, car depuis toujours, les
hommes se sont interrogés sur leur origine, sur le sens de la vie et de la mort.
En Inde notamment, la religion est partout présente et fait partie de la vie
quotidienne. La plus importante est l’hindouisme qui rassemble les croyances
et les pratiques des différents peuples de l’Inde depuis 3000 ans. Siddhartha
était imprégné de cette culture. Les hindous croient qu’une force divine unique
qu’ils appellent Brahma, est le créateur de l’univers. Mais ils honorent de
nombreux dieux et héros comme Shiva ou Ganesha dont les aventures sont
racontées dans un livre très ancien, le Mahabaratha. Les hindous croient à la
réincarnation, selon laquelle l’âme individuelle s’incarne plusieurs fois, dans
des vies successives, chaque fois dans une « enveloppe » différente, le corps.
Autrefois les Égyptiens de l’Antiquité vénéraient de nombreux dieux, qui
régnaient sur différents domaines terrestres et célestes. Râ, le dieu solaire
suprême, source de toute vie, était adoré.
Pour les anciens grecs, la nature était sacrée car elle détenait les secrets de
la vie. Tous les aspects de la vie quotidienne avaient leur protecteur et, selon
la circonstance, on s’adressait à un dieu ou à un autre. Zeus, dieu du ciel,
ordonnateur du monde, était le plus grand des dieux, protecteur et souverain
de la race humaine. Les romains l’appelèrent Jupiter.
De nombreuses populations en Afrique, en Océanie ou chez les Indiens
d’Amérique, suivant des traditions très anciennes, croient que tous les
éléments de la nature sont habités par des forces et que tous les êtres, animés
ou non, ont une âme : on appelle ces religions l’animisme. Ils s’en remettent
au monde des esprits pour obtenir aide et protection.
Aujourd’hui, les principales religions sont monothéistes, c’est-à-dire
qu’elles croient en un seul Dieu, créateur et ordonnateur de l’univers. Les plus
importantes dans le monde, avec l’hindouisme et le bouddhisme, sont la foi
chrétienne, l’islam qui est la religion des musulmans et le judaïsme qui est la
religion juive. Il y a beaucoup d’autres religions, surtout en Asie.
Au XVIIIºS, des écrivains et des philosophes en Europe ont répandu des idées
nouvelles : les Lumières. Ils placent l’homme au centre du monde et pour
assurer le progrès de l’humanité et le bonheur, ils font confiance à la science
et à la connaissance plutôt qu’à l’existence de Dieu. Suivant ces idées, au
XIXºS s’est développée la libre pensée qui considère les religions comme un
obstacle à l’évolution des hommes.
De nos jours, beaucoup de personnes n’ont aucune religion ou se réclament
de l’athéisme, c’est à dire que pour eux l’univers existe sans Dieu ni créateur.
Atelier d’expression
En partant de l’histoire de Siddhârtha, les enfants sont invités à
s’exprimer sur leur propre vécu et expérience.
A partir des réponses, s’inspirant de leur réalité, les enfants pourront
imaginer des situations, créer des personnages ou interpréter de petites
scènes.
Les thèmes proposés doivent permettre de les aider à réfléchir sur notre besoin
de satisfaire toujours de nouvelles envies et sur la nature des moments de
bonheur que nous avons tous vécus.
Voici quelques propositions de consignes qui peuvent servir à animer cet
atelier d’expression.
Les richesses de Siddhartha
Le prince Siddhartha possédait tout ce dont un prince peut rêver.
Donnez des exemples de ce qu’il possédait.
Faites le « Hit parade » des richesses auxquelles Siddhartha renonce.
Dans la liste ci-dessous, cochez les 3 qui vous paraissent les plus
précieuses :
- la beauté
- un palais splendide
- des bijoux
- la force
- l’adresse
- des musiciens à sa disposition
- des chevaux
- la femme la plus belle
- un royaume somptueux
- des nourritures exquises
- des serviteurs
Cherchez des exemples dans votre vie d’aujourd’hui
Que possédez-vous auquel vous tenez beaucoup ou que vous aimeriez
posséder ?
Faites le « Hit parade » de vos richesses.
Si vous deviez partir sur une autre planète en emportant seulement 1
de ces biens, lequel choisiriez-vous ?
Lesquels seriez-vous prêt à abandonner ?
Heureux /malheureux
Siddhârtha comprit comment les êtres créent leur propre malheur :
« quand nous ne trouvons pas ce que nous cherchons, nous sommes
malheureux, mais quand nous le trouvons, ce plaisir tant convoité
s'évanouit et nous en recherchons un autre ».
Donnez des exemples dans votre vie d’aujourd’hui, qui illustrent ces idées.
(ex : mon équipe de foot a perdu alors que je voulais qu’elle gagne. ex : un
jouet convoité qui ne sert qu’une fois,)
Siddhârtha a perdu le goût pour les plaisirs fugitifs de ce monde. « Il
souhaite découvrir une paix et un bonheur plus durable ».
Donnez des exemples dans la vie d’aujourd’hui, de petits ou de grands
moments de bonheur (ex : un câlin le matin dans le lit de ses parents,
écouter une histoire pour s’endormir, la naissance d’un petit frère…)
Faites le « Hit-Parade » de vos moments de bonheur
Ces plaisirs durent-ils ?
Classer les réponses du moins durable au plus durable, en faisant voter.
Mandalas
Les mandalas sont des représentations graphiques circulaires, centrées,
symétriques et colorées. Ils sont très anciens dans l’histoire de l’humanité, on
en trouve même dans certaines peintures rupestres. On le retrouve dans la
nature (fleur ou flocon de neige par exemple) et dans toutes les cultures (la
rosace chez les chrétiens par exemple).
Les plus connus sont les mandalas tibétains et hindous qui depuis 3000 ans,
représentent l’univers tout entier, le perpétuel mouvement, et le
recommencement de chaque chose au sein de l’univers. Mandala est un mot
sanskrit qui signifie « cercle ». Le centre du mandala représente le centre du
monde et le centre de l'être. Il invite à la concentration.
Pour les bouddhistes, la confection de ces Mandalas tend à favoriser « l’éveil »
et symbolise « l’impermanence ». Le rituel le plus abouti veut qu’il soit réalisé
en poudres colorées : une fois achevé, il est dispersé et les poudres mêlées à la
terre.
Aujourd'hui dans nos pays, le Mandala est utilisé comme activité pour les
enfants mais aussi en psychologie. Il permet de comprendre le fonctionnement
individuel et amène à une meilleure organisation intérieure.
Cette activité, qui est censée apporter un calme et redonner confiance en soi,
fascine aussi bien les enfants que les adultes. Elle peut prendre diverses
formes.
Colorier des mandalas
Ce coloriage peut aider l’enfant à se concentrer. Il existe de nombreux sites
internet qui proposent des mandalas à colorier.
Par exemple www.teteamodeler.com
www.hugolescargot.com
www.mandalaz.free.fr
Dessiner des mandalas – feutres, peinture, collages…
Dès 8 ans, les enfants peuvent commencer à dessiner leur propre mandala.
C’est aussi un exercice de relaxation. de concentration, de maîtrise du geste et
de géométrie. Selon les spécialiste, ce travail de création permet de mettre au
repos le cerveau gauche (rationnel) et d'activer le cerveau droit (cerveau de
l'imagination, de la création, du rêve).
Créer un mandala individuel éphémère (craie, sable, cailloux, fleurs,
objets…)
Cette activité est enrichie par la recherche ou la préparation des matériaux.
Créer un mandala éphémère collectif
Cette activité est particulièrement riche dans la nature. On trouve également
sur internet des exemples d’animations. Par exemple sur www.ecole-etnature.org
Wheel of Life par Aya – création contemporaine
Dessin d’enfant
Recettes de cuisine
Le Lassi
Les lassis sont des boissons indiennes. Ils sont parfaits pour accompagner les
plats épicés. Un lassi peut être nature, salé (menthe, citron) ou sucré (rose,
mangue, banane, etc.).
La base est du lait fermenté qui se trouve dans la plupart des grandes
surfaces.
Si on n’en trouve pas, on peut remplacer le lait fermenté par une émulsion de
yaourt et d'eau.
Lassi à la fraise
1 litre de lait fermenté
8 fraises
4 glaçons
Passez au mixer jusqu’à obtenir un mélange mousseux.
Lassi à la banane
2 bananes
250 g de yaourt (2 pots)
25 cl d'eau de source (1 tasse)
Mixez tous les ingrédients et servez frais.
Le Tchaï
Le tchaï est un thé indien aux épices.
Ingrédients
1 litre d’eau
5 grains de poivre noir (ou 5 clous de girofle)
1 cuill.à soupe de cannelle
1 cuill.à soupe de cardamome
1 morceau de gingembre frais râpé ( de la grosseur d’un pouce )
1⁄4 de litre de lait
3 cuill.à soupe de sucre ou de miel
3 cuill.à soupe de thé noir
Faire bouillir ensemble pendant 1⁄4 d’heure l’eau et les clous de girofle, la
cannelle, la cardamome et le gingembre puis ajouter le lait et le sucre . Quand
ça remonte, ajouter le thé.
Laisser infuser 45 secondes et filtrer. Boire Chaud !
Comment mettre un « Sarî »
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(images www.shijucreation.com)
Le « Sarî » est le vêtement que portent les femmes indiennes.
Le tissu doit mesurer au moins 5,50 mètres de long sur 1,10 mètres de large
pour une femme adulte. Il est d’autant moins grand pour un enfant.
Indispensable pour le porter :
- un jupon
- un corsage court et ajusté.
Le jupon et le corsage doivent être d'une couleur assortie à celle du sari.
Enfilez le jupon et le corsage.
1- Prenez le sari. Commencez par votre droite, rentrez le sari dans la taille de
votre jupon et faites-lui faire le tour de la taille en passant devant puis
derrière.
2- Ensuite ramassez le reste du sari en plis égaux (5-7 approximativement) et
rentrez-les dans la combinaison, légèrement à gauche sur le devant. Chaque
pli a environ 6cm de large. Les plis sont empilés l’un au dessus de l’autre.
Fixez-les au jupon avec une épingle de sureté.
3- Faites tourner de nouveau le reste du sari autour de vous.
4- Puis placez le « pallav » ( le bord) par dessus l’épaule gauche.
Fixez le « pallav » à votre corsage avec une épingle de sûreté.
Pour compléter ce dossier et le travail mené en classe,
nous vous invitons à vous rendre sur le site du
Musée Guimet
(Musée national des Arts asiatiques)
qui propose également des visites guidées pour les écoles
http://www.guimet.fr/Scolaires-et-etudiants