Présentation Galerie Out of Africa FR

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Présentation Galerie Out of Africa FR
 Présentation de la galerie Sorella ACOSTA, organisatrice de foires d’art contemporain et d’antiquités à Bruxelles et son conjoint Jacques COLLAER, guide de haute montagne et collectionneur, voyagent depuis plus de vingt-­‐cinq ans en Afrique de l'Ouest. Passionnés par les cultures traditionnelles africaines mais également par la créativité et la force de l'art contemporain africain, ils ont ouvert en 2011 "OUT OF AFRICA", la première galerie d'art contemporain et tribal africain en Espagne, tout d’abord dans les Pyrénées espagnoles pour ensuite se rapprocher d’un grand centre dynamique pour l’art, la création et le design, BARCELONE. Actuellement, OUT OF AFRICA représente une 20aine d’artistes sélectionnés lors de DAK’ART, la Biennale de l’Art Contemporain Africain mais également lors de différentes initiatives artistiques en Afrique ou carrément dans les ateliers des artistes. OUT OF AFRICA organise 5 fois par an des expositions individuelles ou collectives, mettant en exergue de jeunes artistes contemporains africains émergents et/ou reconnus internationalement, remarqués pour leur liberté de ton et l’originalité de leur langage plastique. Résolument tournés vers le monde actuel, tout en restant très attachés aux valeurs africaines, ces artistes affirment que les différences socioculturelles sont source de richesse. Dès 2017, OUT OF AFRICA participera à des Foires internationales d’Art Contemporain africain, dont le Salon Zürcher Africa et AKAA Paris. OUT OF AFRICA GALLERY C./ Major 7 08870 SITGES (BARCELONE) www.galeria-­‐out-­‐of-­‐africa.com @OutofAfrica_Art @outofafricagallery Member of GGAC (Association des Galeries d’Art de Catalogne) Contact Sorella Acosta : sorella@galeria-­‐out-­‐of-­‐africa.com +34 618 356 351 ABOUDIA – BIOGRAPHIE Du « street art » au sens propre comme au figuré, enraciné dans le concret et renforcé par la formation en art mural qu’a reçu le jeune artiste au « Centre Technique des Arts Appliqués » de Bingerville, ABOUDIA peint la rue comme on la peint dans la rue. Cette vie de la rue avec ses hauts, ses bas, ses rires et ses pleurs, reste son principal moteur, nourri des réminiscences des dessins au charbon sur le mur d’une maison de son village qui l’ont tant marqué, enfant. Du souvenir des bonhommes-­‐allumette et des enseignes des coiffeurs, des graffitis, des tags et bien sûr des mots chantants et imagés du « nouchi », cet argot des jeunes de la rue. ABOUDIA se caractérise par des toiles énergisantes grand format, combinant l’innocence et la spontanéité. Rappelant la vitalité du style Basquiat, ABOUDIA présente son monde intérieur où il se bat pour atteindre ses rêves. Avec beaucoup d’énergie il mélange des éléments de son quartier à des fragments de bandes dessinées et de la publicité de magazines. ABOUDIA exprime ce qu’il a de plus profond en lui Né en 1983 et diplômé du CTTA (Centre Technique des Arts Appliqués) de Bingerville, ABOUDIA, de son vrai nom Abdoulaye Diarrassouba, a acquis son style à l’école de la rue. Il a choisi de devenir peintre, contre l’avis de ses parents et de ses enseignants qui lui prédisaient une carrière de « Taggeur ». Bien qu’il ait été révélé à la communauté internationale des critiques d’art et des journalistes par ses travaux relatant les affrontements lors de la guerre civile à Abidjan, ABOUDIA refuse d’être considéré comme un « Peintre de guerre ». Son vrai thème de prédilection, ce sont les enfants des rues. ABOUDIA, un artiste en mouvement Si les toiles de cet enfant prodige peuvent s’immobiliser le temps d’une exposition, leur auteur, lui, semble incapable de tenir en place. Enfant des rue d’Abidjan qu’il a longtemps côtoyées et de toutes celles qu’il arpente pour nourrir son regard de New York à Londres en passant par Johannesburg, Abidjan et Barcelone, ABOUDIA, qui s’est fait connaître pour son poignant témoignage pictural de la bataille d’Abidjan, aime à se définir comme un artiste cosmopolite, se déplaçant sans cesse entre les mondes et les cultures. ABOUDIA, déjà dans les grandes collections En 2011, ABOUDIA est repéré pour ses toiles documentant la bataille d’Abidjan. En juin 2011, il expose à la galerie Jack Bell de Londres et à la Goethe-­‐Institute de Johannesburg. Depuis 2013, il est également représenté par Ethan Cohen à New York, la galerie Saatchi à Londres et la galerie Cécile Fakhoury à Abidjan. « Aboudia is the most globally recognized of the young African new wave artists. I have shown Aboudia’s paintings all over the world – New York, Basel, Miami, Hong Kong, Singapore, San Francisco, Lima. Everywhere I go, people find the vivid color, dynamism and raw honesty of his work highly compelling” – Ethan Cohen Ses toiles à l’acrylique, l’huile et collage figurent parmi les grandes collections internationales, notamment la Contemporary African Art Collection (CAAC), la collection de Jean Pigozzi à Genève et la Frank Cohen Collection de Londres ainsi que dans la collection permanente de la galerie Saatchi. EXHIBITIONS 2015 Group show at Art Stage Singapore, Ethan Cohen New York Group exhibition “PANGAEA II”, Saatchi Gallery, London Solo Show at VOLTA New York, Ethan Cohen New York Solo Exhibition “Nouchi Dream”; Ethan Cohen New York 2014 Solo Exhibition “African Dawn”; Ethan Cohen New York Group Show at Art Stage Singapore, Ethan Cohen New York Group show at Scope New York, Ethan Cohen New York Group show at Art Lima, Ethan Cohen New York Solo show at VOLTA Basel, Ethan Cohen New York Group exhibition “PANGAEA”, Saatchi Gallery, London Group Show at Art Silicon Valley, Ethan Cohen New York Group Exhibition “BATIK d’AFRIQUE”, Ethan Cohen New York Group show at Art Miami, Ethan Cohen New York 2013 Exhibition at the Nevada Museum, Nevada, USA Exhibitions at Galerie Cécile Fakhoury, Abidjan, Côte d’Ivoire Solo exhibition “Quitte le Pouvoir”, Jack Bell Gallery Group show at Scope Miami beach, Ethan Cohen New York 2011 Solo exhibition and group exhibition “Les Fantômes”, Jack Bell Gallery, London, UK Solo exhibition at Goethe-­‐Institute, Johannesburg Group exhibition “Revue de l’Art Moderne et Contemporain en Côte d’Ivoire”, Rotonde des Arts, Abidjan, Côte d’Ivoire Solo exhibition “New works” Lab 2.0, Abidjan, Côte d’Ivoire Group exhibition “Salon International des Arts Plastiques d’Abidjan” 2010 Group exhibition at the Centre Culturel Français, Abidjan, “Arkadi”, 13rd edition Group exhibition at the BICICI bank headquarters, friends of art, 6th edition, Abidjan, Côte d’Ivoire Group exhibition as part of the Ivorian 50th Independence celebrations 2009 Solo exhibition at Centre Culturel Franco-­‐Guinéen, Guinea MUSEUMS/PRIVATE COLLECTIONS
Saatchi gallery collection, UK Jean Pigozzi collection François Pinault collection Olympic Games 2012 Palais de la Culture, Abidjan Centre Culturel Franco-­‐Guinéen, Guinea Embassy of Ivory Coast, Guinea Governor of Abidjan City Hall of Bingerville, Abidjan The BICICI bank Contemporary K., Korea Siaka Soppo TRAORE -­‐ Biographie Originaire du Burkina Faso, Sika Soppo TRAORE est né à Doula en 1986 et il évolue sur la scène photographique sénégalaise depuis peu. Il grandit au Togo où il développe des qualités graphiques à travers le dessin et la peinture. Ses études le mènent au Sénégal où il découvre et pratique la danse hip-­‐
hop et la capoeira. Ces disciplines artistiques affinent son sens de l’observation. Après l’obtention de son diplôme d’ingénieur en génie civil, il se met à partir de 2011 à la photographie en véritable autodidacte. Fasciné par la danse, son travail photographique se tourne naturellement vers la scène et les langages corporels mais son centre d’intérêt ne cesse de s’élargir vers de nouveaux territoires. Il est d’ailleurs sollicité par de nombreux stylistes dakarois pour la photographie de mode. En 2014 lors du OFF de Dak’art, la biennale de l’Art Contemporain Africain, son exposition intitulée « SUNU Street » -­‐ Notre rue – a été organisée par la Galerie Atiss. « SUNU Street » -­‐ Notre rue – celle connue de tous, façonnée par ceux qui la traversent, ceux qui l’occupent, la dédaignent, la chérissent, l’ignorent, ceux qui l’habitent… La rue est à notre merci. Pourtant des milliards à l’emprunter, nous oublions parfois de nous arrêter. De la regarder. En ébullition permanente, la rue est un vivier de trésors cachés. A travers l’œil de son objectif, Siaka Soppo Traore s’est emparé de ces trésors pour nous livrer l’énergie la plus juste des danseurs urbains sénégalais. Comme un appel visuel et sonore, les œuvres de Siaka Soppo Traore sont le fruit d’une interaction humaine et d’expressions plastiques alliant regard, lumière et art cinétique. Pourtant statique ces clichés nous invitent aux fluctuations corporelles et repoussent les limites de la photographie aux frontières du mouvant. En constante dynamique, la rue est un lieu de valeurs positives, d’efforts et de passion pour les jeunes danseurs urbains pas toujours bien compris et surtout pas reconnus. Le travail de Siaka désert cette activité afin que nous puissions nous en approcher au plus près. Comme des super héros dans des postures très impressionnantes, Siaka Soppo Traoré attire notre attention souhaitant ainsi faire évoluer les mentalités. Lui-­‐même danseur, il prend le temps de rencontrer ses modèles, d’observer leur façon de se mouvoir, de comprendre leur style. Il procède avec eux aux repérages, afin de trouver le cadre satisfaisant à la fois pour la performance et pour la photo. La plupart du temps, il photographie les danseurs en action. Par sa connaissance de la pratique, il sait instinctivement quand appuyer sur le déclencheur. Siaka Soppo Traore dit de son approche qu’elle est « esthétique autant que sociologique ». Au-­‐delà de son effet visuel, je m’intéresse à l’impact social de cette forme d’expression artistique. En montrant les aptitudes de ces performers, en les faisant connaître, il propose un moyen d’appréhender « Sunu Street » sous la forme la plus dynamique. Siaka Soppo Traore a été publié dans le magazine « L’insensé Afrique » de 2014. Puis en 2015, il a exposé, lors de la 5ème Biennale de la Photographie au Musée du Quai Branly à Paris, ainsi qu’avec la Galerie MAM à la foire d’art contemporain africain 1 :54 à Londres. Expositions -­‐ 3 mai au 2 juin 2016 – Galerie MAM & Fondation Donwahi – OFF de la Biennale de l’Art Contemporain Africain – Dakar, Sénégal -­‐ 3 mai au 2 juin 2016 – Galerie ATISS – OFF de la Biennale de l’Art Contemporain Africain – Dakar, Sénégal -­‐ 3 mai au 2 juin 2016 – Agence Caractère -­‐ OFF de la Biennale de l’Art Contemporain Africain – Dakar, Sénégal -­‐ 15 avril au 26 mai 2016 – Galerie MAM – Douala, Cameroun -­‐ 18 décembre 2015 au 13 février 2016 – Exposition collective « Abidjan Art Actuel » -­‐ Fondation Donwahi – Abidjan, Côte d’Ivoire -­‐ 22 décembre 2015 – Exposition rétrospective de l’association SUNUSTREET -­‐ Centre Culturel Blaise Senghor – Dakar, Sénégal -­‐ 15 au 18 octobre 2015 – Exposition collective à la Foire 1 :54 – Galerie MAM – Londres, UK -­‐ 22 septembre au 22 novembre 2015 – Exposition collective – Festival Photoquai 2015 – Musée Quai Branly – Paris, France -­‐ 9 mai au 8 juin 2014 – OFF de la Biennale de l’Art Contemporain Africain – Galerie ATISS – Dakar, Sénégal Publications -­‐ Omenelick2ato 2015, magazine brésilien -­‐ We are Family, Photoquai 2015 – 5ème Biennale des Images du Monde -­‐ L’insensé Afrique 2015 -­‐ Magazine Wings (Journal ARIK), juillet/août 2015 -­‐ Anous Paris, Quotidien français