DECOUVRIR SANNOIS Sources : (Un village

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DECOUVRIR SANNOIS Sources : (Un village
DECOUVRIR SANNOIS
Sources : (Un village nommé Sannois /Edmond Barbier, Jacques Delaplace, Christiane Riboulleau,
Charles Sacchi, Guy Turgis. Ed. Valhermeil, 1992)
Planches iconographiques de Paul Sauce et Mme Sauce-Pingrenon, 1924. Archives Municipales
Abbé Massuchetti. Notes sur Sannois
Des vestiges préhistoriques recueillis non loin du célèbre moulin, à l’emplacement actuel d’un des
échangeurs de l’autoroute A15, attestent de la présence de l’homme il y a 500 000 ans.
Au lieu dit du Puits Gohier, le préhistorien Edouard Giraud en 1924, récolte au cours d’une
promenade, un éclat de grès lustré, visiblement travaillé, comparable à ce qu’il avait trouvé en forêt de
Montmorency. Le gisement n’est effectivement découvert qu’en 1949 par Giraud et Charles Sacchi.
Les vestiges de la campagne de fouilles menée l’année suivante se trouvent au musée des Antiquités
nationales de St Germain en Laye. Ce site du Puits Gohier avait le grand intérêt de présenter plusieurs
niveaux archéologiques attestant de la présence continue de l‘homme ; les rares traces de l’occupation
humaine de l’âge de bronze et de l’âge du fer se situent sur des sites archéologiques voisins (Pierre
Turquaise de la forêt de Carnelle, allée couverte de Conflans, sépulture Argenteuil, instruments de
travail, parures à Pierrelaye, Taverny, la Garenne Bezons). Entre -120 et -50, les Parisis (-120 à -50
avant JC) s’installent dans la région. D. Sacchi, en 1965, met à jour au sommet de la carrière Lambert,
au lieu dit La Croix Caillouette, des vestiges de fortifications et des tessons de céramique datant cette
période.
Du village gallo romain à la paroisse d’Ancien Régime
Après la défaite des Gaulois à Alésia (52 avant JC), la Gaule devenue romaine est divisée en
provinces. Le Parisis fait parti de la Celtique ou Lyonnaise. L’administration romaine, développe à
partir des sentiers existants, des routes nécessaires à l’armée et au commerce. La voie romaine de Paris
à Rouen emprunte la vallée de Montmorency et porte sur une partie de son trajet le nom de « chaussée
Jules César ». A Sannois, cette voie suit le tracé des rues des Cloviers, St Denis, Damiette et actuelle
Lieutenant Keiser (anciennement rue d’Ermont). L’abbé Massuchetti, curé de Sannois dans ses «
Notes sur Sannois » mentionne l’existence de cave gallo romain à proximité de l’église. En fait,
Sannois se trouve sur une voie secondaire de la chaussée Jules César reliant Paris à Ermont via
Argenteuil, entourée de postes stratégiques : «le camp de César à Taverny», une vigie sur la butte
d’Orgemont, l’oppidum gaulois de la Croix Caillouette à Cormeilles. C’est le long de cette voie de
communication que la population encore rare se regroupe.
Après la chute de l’Empire romain (476 après JC), son dernier représentant en Gaule Syagrius fait face
à la conquête des Francs mais est vaincu à la célèbre bataille de Soissons en 486.
Les rois francs aliènent alors leurs domaines pour récompenser les guerriers de leur bravoure, les
fonctionnaires de leur fidélité, et surtout le clergé de son soutien. C’est ainsi que abbayes et évêchés
sont dotés de biens fonciers très importants notamment dans le Nord ouest parisien. L’abbaye de St
Denis apparait dans les chartes de dotation dès 625. Sannois fait partie de sa mouvance. Face aux
invasions normandes du IXème siècle, le roi Charles le Chauve fait élever des châteaux forts, dont le
château du Mail au croisement des buttes de Cormeilles et de Sannois. Il dominait ce qui est
aujourd’hui la cité du Moulin Vert, L’Institution St Jean des Orphelins Apprentis d’Auteuil. Les
Normands cessent leurs invasions mais laissent une région dévastée et dépeuplée. Ermont chef lieu
paroissial des hameaux que sont Eaubonne, St Gratien, Sannois, Franconville perd sa fonction de
relais routier. La forêt regagne du terrain. Le domaine royal des Capétiens se réduit, en proportion,
les possessions des abbayes augmentent comme celles des seigneurs locaux, par le don de fiefs, puisés
sur les biens ecclésiastiques, comme Beaumont sur Oise à Ives et Montmorency à Bouchard.
L’abbaye St Denis règne sans partage de Gennevilliers à Rueil. Le puissant abbé de St Denis, Suger
(1081-1151), futur ministre des rois Louis VI le Gros et Louis VII, fait état dans son « De
administration suo » (1137) d’une terre assujettie à l’impôt « Cendonium». Ce serait une des
premières apparitions du nom de Sannois. Un autre texte de 1193 de Hugues, abbé de St Denis fait
état de l’achat de 5 arpents de vigne à Guibert « mere » (maire) de « Centum Nucibus », l’existence
d’un maire présuppose celle d’une paroisse.
La puissance de St Denis se heurte à celle des Montmorency, qui par ailleurs ont évincé les Beaumont.
Pour contrer cette expansion l’abbaye partage ses possessions en deux parts. Le domaine de
Cormeilles et de Sannois est sous sa gestion directe. A Argenteuil, où une branche des Montmorency
était solidement implantée, il s’attribue le monastère et ses biens par la ruse voire la fraude, (Notes
Edmond Barbier). Elle se heurte à son tour aux Templiers qui par dons ou achats à quatre grandes
familles dont les Montmorency, obtiennent des fiefs* à leur tour. A la dissolution de l‘Ordre du
Temple, les biens confisqués sont répartis entre le Roi, l’abbaye et les chevaliers de St Jean de
Jérusalem futur ordre de Malte. Pendant tout le XIIIème siècle, le partage des territoires se poursuit, la
propriété féodale devient très complexe. La guerre de 100 ans, la Peste Noire, les Jacqueries qui
jalonnent le XIVème siècle dévastent la région.
Dans une lettre le futur Charles V ordonne d’abattre le fort du prieuré d’Argenteuil, le chastel du
Mail, (château du Mail), la tour de l’église paroissiale de Cormeilles et le fort de Gennevilliers, afin
qu’il ne tombe pas aux mains des Anglais.
Le village se repeuple au XVème siècle par l’arrivée massive de population venue d’Artois, Picardie,
Flandres. Les institutions changent. Sannois appartient à la généralité de Paris avec à sa tête un
intendant assisté de subdélégués (subdélégation d’Enghien). Le bornage qui sépare les terres de la
baronnie de Montmorency, de celles de l’Abbaye est renouvelé en avril 1551. (la baronnie de
Montmorency est élevée en duché-pairie en juillet 1551 changeant de nom en duché d’Enghien en
1689) (notes de Christiane Ribouleau). Plusieurs bornes sont plantées à Sannois le long du chemin de
Pontoise à Paris. Le prieuré royal Notre Dame d’Argenteuil obtient la seigneurie de Sannois (1580) et
Michel Penelle, son bras séculier y exerce basse et moyenne justice. La pierre tombale qui figurait
dans l’église primitive de Sannois faisait état de sa qualité de seigneur des fiefs Hugo et Grand Hostel
(mort en 1636).
En 1664, le prieur d’Argenteuil vend la seigneurie au Prince de Condé qui la même année la vend à
François Béraud, mais se réservant le droit de haute justice. Au Sud de Sannois, s’arrête l’autorité de
la Capitainerie royale qui n’aura de cesse d’empiéter vers le grand chemin de Pontoise à Paris, limite
territoriale assez logique. En effet, un édit de 1679 fixe ces limites sur une ligne formée par les
sommets des clochers des églises et plus tard en 1787, le seigneur Duruey proteste contre cet
empiètement qui le prive de son droit de chasse.
Le plan de Sannois établi par l’Intendant de la généralité de Paris entre mars et juillet 1785, complété
du plan terrier établi par Duruey (1) donne un aperçu précis du territoire sannoisien.
Un dénombrement des terres avait été effectué en 1762 par le seigneur De Lisle mais inachevé faute
de moyens. Duruey y consacra temps et moyens. En recoupant diverses autres sources on peut établir
que Sannois avait une superficie peu éloignée des 473 ha actuels. La rue Damiette et la rue d’Ermont
à Sannois (rue du Lt Keiser) en constituent le centre, avec l’église, le cimetière, les hôtels
seigneuriaux, le tribunal. Le village s’accroit tout au long de la Route de Paris à Pontoise qui
emprunte un tracé sinueux entre vignes et jardins. L’habitat reflète l’activité économique (2/3 vignes,
1/3 de céréales et légumes). Les maisons ont des portes cochères, souvent arrondies (on en retrouve
rue Victor Basch) elles ressemblent aux habitations paysannes antérieures : un bâtiment sur la rue, une
cour, des communs derrière, un potager. Sur la grande route, on trouve des commerces orientés vers la
nourriture : boulangers, laitiers, charcutiers pâtissiers (fabricants de pâtés), 10 cabaretiers qui vendent
le vin au détail également vignerons. L’artisanat est lié à l’exploitation de la vigne (tonnelier) ou au
transport par charrettes (bourreliers, vanniers cordiers). On connait 3 auberges : La Belle Etoile,
ancien relais de poste, les «Trois lanternes» et la Croix d’Or.
Le village ne semble pas connaitre de difficultés particulières mais son organisation administrative
change avec l’application du règlement royal du 8 juillet 1787, issu des tentatives de réformes de
Louis XVI, voulues par Calonne et Loménie de Brienne.
Le 12 août 1787, les habitants de Sannois qui paient 10 livres d’imposition, se réunissent à l’église
pour élire une assemblée municipale de 9 membres présidée par un syndicat. Le premier est Nicolas
Mauchain âgé de 50 ans, qui meurt l’année suivante. Il est remplacé par Antoine Duvoir, qui en cette
qualité signe le cahier de Doléances prélude à la réunion des Etats Généraux.
De la Révolution française à la fin du XIXème siècle
Sources : Sannois sous la Révolution/Jacques Delaplace. Ed.valhermeil 1989
Sannois hier et aujourd’hui. XIXème siècle : Denise Paulard. . Ed valhermeil, 1993
Le 14 décembre 1789, de par la Loi, l’assemblée municipale se dénomme Conseil général. Le syndic
prend le nom de maire, Pierre Gillet est le premier maire d’une assemblée élue. Pendant la période
révolutionnaire, l’activité municipale se concentre autour des finances et des subsistances. S’y ajoutent
la surveillance des militaires en permission, la délivrance des certificats de civisme, et de résidence.
L’adoption du calendrier républicain vient modifier les habitudes. L’état civil a été laïcisé et Pierre
Gillet récupère les registres paroissiaux, toujours conservés actuellement en mairie. De 1790 à 1796,
Sannois appartient au district de la Montagne du Bel Air (St Germain en Laye). Le travail est intense
(9 réunions par mois), sans compter les déplacements auprès des districts de St Germain, Pontoise,
Gonesse et bien sûr Paris. Au moment des vendanges les commissaires des districts rappellent aux
élus, leur devoir de présence.
A partir de l’an III, (1795) les maires et conseillers municipaux sont nommés puis sous le Directoire,
l’administration devient cantonale. L’assemblée est de pure forme, Pierre Thomas Rozée est nommé
agent national aidé d’un adjoint Paul Duhomme. Sannois semble avoir moins souffert qu’Argenteuil,
de visites domiciliaires pour la surveillance du grain. Restent les réquisitions en chevaux, charrois, les
pommes de terre pour remplacer le pain (recette du pain de pomme de terre du curé Mercadier), les
difficultés liées à l’eau et au lavage du linge.
Les biens du clergé sont mis à la disposition de la Nation. C’est ainsi que les cultures bois et vigne du
château du Mail, du presbytère et de la pâture de la Montagne doivent être distribués; en fait ils seront
partiellement vendus. Le seigneur Duruey de par ses fonctions financières est déclaré « suspect » et
guillotiné le 18 mars 1793. Ses héritiers récupèrent des biens tellement hypothéqués, que le 5 mai
1798, une partie de l’ancienne seigneurie est vendue à Jean Passard et Geneviève Belhomme
cultivateurs. La comtesse Madame d’Houdetot très liée aux Philosophes notamment Rousseau et grâce
à son comportement n’est pas inquiétée. Sa propriété est acquise en 1798 par Jean Guillaume Locré
de Boissy qui le vend en 1816 à des spéculateurs dit « la Bande Noire », qui achètent les grands
domaines pour les lotir. Le parc Locré entre autres est à l’origine de l’avenue Rozée. Si Sannois a
connu une garde nationale, montée par le seigneur Duruey, le village ne montre grand enthousiasme
pour donner des volontaires en 1791 ni même pendant toutes les guerres de la période, notamment
sous l’Empire.
Les fêtes républicaines, n’attirent pas les foules, malgré l’existence d’une pyramide à Marat, qui sera
démontée. L’arbre de la liberté est arraché dès 1815.
A la chute de l’Empire jusqu’à la Loi municipale du 5 avril 1884, les municipalités se succèdent avec
des maires nommés par le Préfet, sauf pendant la Révolution de 1848. La physionomie du village
change et l’économie se diversifie.
Si l’activité de la meunerie cesse après la guerre de 1870, la culture maraichère s’intensifie par suite
du développement de l’agglomération parisienne. Le Syndicat agricole se fait très actif. Un jardinécole est établi en 1893, les enfants des écoles suivent en 1903, les cours de Mr Vigneaux,
arboriculteur à Montmorency. Après une tentative infructueuse en 1877, une concession de marché de
denrées alimentaires est établie en 1883.
De rurale et bourgeoise, Sannois, avec l’arrivée du chemin de fer en 1863, développe ses activités
artisanales et industrielles. Des carrières de plâtres sont exploitées au lieu dit «les Cloviers», ce qui
pose des problèmes de circulation et des réclamations. Cette activité se ralenti en 1865 mais il reste
néanmoins 3 exploitants en 1875. Une usine à chaux et ciments emploie encore 80 ouvriers au début
du XXème siècle. Sur les actuels Bd Gabriel Péril et Bd Gambetta, une tradition de fabricant de tuiles et
briques se perpétue tout au long du XIXème siècle (Valmorency); parmi les autres activités, Sannois
compte une fabrique de jouets et d’allumettes sur l’emplacement de l’ancien château rue Clémenceau.
Le fabricant Philippe Auguste Cochet vend également des masques et colifichets pour les modistes et
coiffeurs. Tranche, lui succède rue du Puits Mi ville.
Ce siècle d’expansion relative ne va pas sans heurts sociaux. La ville atteint 4400 habitants en 1896.
Les lois sociales de la IIIème République accélèrent un processus déjà entamé par les secours dispensés
auparavant. Aide publique et privée se complètent. Dons et legs alimentent la caisse du Bureau de
bienfaisance (actuel Centre d’Action sociale). Cela ne va pas sans un renforcement de la sécurité avec
la création d’un commissariat en 1882. Le nettoyage des rues et l’alimentation en eau et
l’assainissement sont des préoccupations constantes. Le pavage des rues commencé en 1832 se
poursuit et des taxes sont dédiées à l’agrandissement du réseau routier. Les associations, sont
florissantes et organisent des fêtes.
L’entre deux Guerres
Sources : Sannois hier et aujourd’hui. XXème siècle. Dr André Cancelier, maire honoraire .Ed
Valhermeil, 1993
220 soldats morts mais combien de civils et d’invalides ! écrivait le Dr Cancelier
La commune est confrontée aux difficultés de la modernisation et d’une urbanisation sauvage faute de
réglementation. Gaston Joly (conseiller municipal radical en 1908), s’inquiète auprès du maire de la
dégradation des deux moulins de la butte. Le Touring club rappelle sa proposition de demande de
classement de la butte. Le 2ème moulin dit du Docteur Roux, est finalement démoli mais le site est
protégé en 1931. L’église dont la réparation faisait l’objet de désaccords suite à la loi de séparation de
l’Eglise et de l’Etat est finalement reconstruite, et la nouvelle église St Pierre St Paul est inaugurée le
13 janvier 1935. On assiste à la construction des premières maisons du Foyer Sannoisien, qui permet
l’accession à la propriété de maisons à bon marché. L’éclairage électrique remplace peu à peu les becs
de gaz et le réseau d’égouts commencé en 1927 ne sera vraiment terminé qu’en 1987 !
Pendant la Seconde guerre mondiale, le maire est nommé par le gouvernement de Vichy.
Le 17 septembre 1944 le comité local de Libération présidé par Jean Labeur, est chargé
provisoirement de la gestion de la commune en attendant que les institutions nées de la Résistance se
remettent en place . Le 18 mai 1945 le nouveau Conseil municipal élit pour maire Mr Groulard,
communiste. En 1947 la majorité socialiste-communiste laisse la place à une majorité de centre droit
avec des socialistes. La population est à bout, les enfants sous alimentés, la tuberculose progresse;
Signe des temps, les assistantes sociales qui sillonnent la ville perçoivent une indemnité
de ...chaussures . Ecoles , logements d’urgence sont à construire.
La seconde moitié du XXème siècle
On assiste entre 1954 et 1965 à une grave crise du logement. Lorsqu’il entame son premier mandat de
maire en 1959, le Dr Cancelier poursuit l’œuvre de son prédécesseur Lespès; «Beaucoup était en
germe dit-il dans l’état où se trouvait Sannois, qui imposait le mouvement. La vétusté anormale du
centre ville, l’insuffisance des équipements publics, voilà les tares accusées par la guerre auxquelles
il fallait porter remède ». A Sannois la personnalité de Marcel Barbu attachante et controversée
domine le paysage. Il crée des petites sociétés immobilières de 12 à 80 adhérents qui prospectent des
terrains agricoles et y établissent des maisons à bon marché. Tandis que les «pavillons Barbu»
progressent, la commune entame la première Rénovation Urbaine confiée à la Semeaso, le 6 janvier
1962, conduite par l’architecte urbaniste Monsieur Jankovic. Une deuxième opération qui s’étend de
1971 à 1975 voit les grands projets routiers (autoroute A15, Nationale 14, projet Ariso devenu le BIP)
et le relogement de la population expropriée, ainsi que la ZUP (Zone à urbaniser en priorité), et enfin
la poursuite de la rénovation du Centre ville avec la ZAC. La Semeaso qui connait des difficultés entre
1977 et 1979 est finalement liquidée par jugement le 21 juillet 1981, ce qui provoque un contentieux
qui ne connait son dénouement qu’en 2005.
Avec les lois de décentralisation de 1982-84, le contrôle de l’Etat sur les actes des collectivités se fait
non plus sur l’opportunité mais sur la légalité La ville, devenue autonome, détermine au sein du
conseil municipal ses actions, en cohérence avec les objectifs nationaux, régionaux et départementaux.
Les dernières constructions du centre ville achèvent le programme de la ZAC créée le 5 mars 1973.
Pour en savoir plus : registres des délibérations du conseil municipal. Bulletins d’information
municipale. Bilans de mandats municipaux depuis 1959. Dossiers de services municipaux.
Archives municipales de Sannois