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Quatrième Tome ARCHEOLOGIE N* 4
Durant ma carrière de jeune archéologue, mes premiers pas furent
la découverte d’oppidums ou d’anciens châteaux forts qui avaient
appartenus à de très anciennes familles connues dans ces époques
reculées puisqu’il en restait la trace sur de vieux manuscrits trouvés
la plupart de temps dans d’anciennes abbayes, nous mettant sur les
traces de ces bâtisses seigneuriales fortifiées et à présent nous
pourrions dire émiettées par les forces du temps et par les villageois
venus récupérer par-ci par-là quelques pierres et moellons pour
construire leur demeure. Il restait heureusement en cherchant bien,
les fondations de ce qui avait été ces grands châteaux qui
représentaient le pouvoir et l’orgueil des régions. Chaque
découverte de cet ordre pouvait apporter une connaissance
supplémentaire à ce pays, par ces lieux nouvellement mis à jour et
de ses anciens habitants. Cela était toujours une grande satisfaction
pour nous dans les débuts de ce métier, pour lequel nous avions la
foi. Par la suite et au fil du temps je trouvais la concrétisation de ce
que j’avais toujours ardemment désiré, la découverte majeure de ce
qui nous rendrait célèbres mes camarades et moi dans ce travail
souvent difficile et souvent dangereux. La chance nous arriva de la
direction régionale des affaires culturelles qui nous avait demandé
une prospection dans les volcans anciens du centre de notre pays.
Pour des faits inhabituels signalés par les habitants de ces
montagnes. Mis à pied d’œuvre nous avions frôlé là dans les
méandres de cette terre après y avoir pénétré tout ce qui peut être
irrationnel et inconcevable dans ce que j’explique dans mes
précédentes nouvelles, « Archéologie (1.2.et 3 ) Nos instances
supérieures, avaient par mes comptes rendus pris note de tous ces
évènements qui en somme relevaient plus de l’anticipation que de
la réalité. Cela avait été par chance gardé secret d’état, nous évitant
certainement les critiques acerbes qui n’auraient pas manqué
d’arriver. Les géants, les archanges, les anges, les tombeaux, les
lumières laiteuses, les disques d’or des Incas et autres fariboles
pour nous effrayer, avaient été pour un temps notre lot quotidien.
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C’est ainsi que pour moi et mes camarades, nous n’avions qu’une
seule ambition, celle qui était d’entrer dans la normalité et d’oublier
ces aventures qui paraissaient hors du temps et avaient fini par nous
déprimer, si bien qu’un long repos avait été nécessaire. Un peu plus
tard, un nouvel ordre de mission arriva, toujours signé par la
D.R.A.C.(direction régionale des affaires culturelles) qui nous
demandait d’aller visiter les monuments Mayas ? Dressés par ces
peuples dans notre pays et même Incas qui sont de même facture.
Pour cela disait cette missive, documentez-vous sur le livre de
Robert Charroux, « Le livre des mondes oubliés » de cet éminent
archéologue, dont je n’avais pas connaissance des travaux et me
dépêchait d’acheter le livre, je dois dire fort intéressant. Je le cite
pour ce qui m’intéresse, « La preuve magistrale en est fournie par
les importants monuments mayas que l’on peut voir en
France, poussez jusqu’au village de Plouézoch en Bretagne, vous
arriverez jusqu’à la mer et en passant devant quelques maisons de
pêcheurs et en haut de la colline vous verrez… »
Yvette Charroux, qui m’accompagnait en ce printemps de 1969,
eut un cri qui se confondit avec le mien :
--- « Une « pyramide » maya !
En effet, c’était, ligne pour ligne, masse pour masse, et dans la
même matière, un monument en forme de pyramide allongée,
exactement semblables à ceux que l’on trouve à Monte-Alban et
dans tout le Mexique ancien. C’est un monument colossal et
colossalement méconnu, pour ne pas dire inconnu.
Son architecture, comme on peut s’en rendre compte par
comparaison des photos en notre possession est la réplique des
constructions à étage des Mayas et des Incas.
La pyramide de Plouézoch mesure 77 mètres de longueur et 17
mètres de largeur (actuellement) et une dizaine de mètres de
hauteur.
Elle est orientée Ouest, sud ─ est, est, Nord, c’est-à-dire que sa
forme allongée va d’Ouest en est, en remontant un peu à droite et en
baissant autant à gauche.
Dans ces conditions, le Nord se trouve exactement en direction de
Stonehenge et de l’Islande en qui on peut voir l’Île des « premiers
pères, perdue dans la mer tumultueuse ».
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La pyramide comporte quatre étages et recouvre quatre ou cinq
grandes salles dont l’entrée est partiellement obstruée. Jadis, elle
abritait une douzaine de chambres dolméniques dont deux,
décapitées par les pilleurs de pierres de construction, sont visibles
sur une de ses faces.
Ce monument imposant, grandiose, domine la mer du haut de la
colline et son importance exceptionnelle est sans doute unique dans
toute la Celtie.
Pour cette raison, nous pensons qu’il constituait véritablement la
Grande Pyramide des Celtes et servait de tombeau et peut-être de
chambre d’immortalité, soit aux rois de l’Armorique ( Qui n’était pas
encore la Bretagne(1), soit aux grands chefs des Tuatha Dé Danann)
(1)Les Bretons sont des peuples immigrés de Grande-Bretagne et non
antérieur au quatrième siècle après J.C. Les véritables autochtones de la
Bretagne actuelle sont les Armoricains. Le nom Armorique est celtique et
signifie : « au bord de la mer ». Dans l’ancienne Celtie, l’Armorique comme
au temps des Romains, désignait sans doute le territoire comprit entre le
Rhône et l’océan.
La pyramide était originellement plus haute et notablement plus
large aux endroits où apparaissent les dolmens. Au cours des
siècles, les habitants de la région ont prélevé des moellons pour la
construction de leur maison.
Une autre pyramide semblable se dresse à Carnac, où on l’appelle
tumulus Saint-Michel.
Des chrétiens sacrilèges ont voulu effacer ce monument de nos
aïeux ; ils l’ont recouvert partiellement de terre pour en faire une
butte et ont construit au sommet une petite église, fort laide au
demeurant, dédiée à ST Michel, chef de la milice céleste et
vainqueurs avec ST George du vilain et méchant dragon.
Bien entendu, le dragon, c’est le paganisme, le celtisme, le
druidisme, l’initiation, tout ce qui symbolisait la religion, la culture,
le génie de notre Occident.
Quand on écarte les ajoncs qui poussent sur les versants, on voit
distinctement les degrés en pierre de la pyramide originelle.
L’intérieur est en belle maçonnerie et comprend un grand couloir
circulaire longeant des cryptes dolméniques qui sont autant de
tombeaux.
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La France compte quatre pyramides : à Falicon, près de Nice, à
Couhard, près d’Autun, à Plouézoch et à Carnac, mais il en existe
certainement d’autres, rescapées de la grande destruction ordonnée
jadis par Charlemagne.
La situation est trop nouvelle sur le plan de l’archéologie pour que
nous puissions dire encore si les Mayas avaient importé de Celtie le
style pyramidal ou si, au contraire, ils l’apportèrent en Gaule et
peut-être en Egypte, avant de le transporter dans le monde entier.
Les pyramides de Bretagne paraissent nettement plus anciennes
que celles du Mexique et peut-être que celles d’Egypte.
Etait-ce une architecture typiquement Atlantidéenne ? Il est
curieux de constater que les essais de reconstitution graphiques des
monuments des Atlantes sont toujours fondés sur la pyramide
comme si nos chromosomes mémoires nous incitaient à imaginer ce
style par une obscure mais authentique souvenance du passé révolu
depuis le déluge.
Nos instances supérieures au plus haut niveau chapotées par le
ministre et qui donnaient des ordres, nous ne les avions jamais
vues, il était impossible de poser directement nos questions à ces
décideurs, il ne restait que le directeur de la (D.R.A.C) Le seul en
contact avec le ministre pour la résolution des affaires du plus haut
niveau comme par exemple celle des disques d’or dont nous
n’avions pas fini d’en entendre parler dans nos futures découvertes.
Selon les documents secrets de la bibliothèque des Rosicruciens
AMORC, Platon fut le dépositaire de la tradition atlantéenne et sa
relation est authentique.
On peut penser qu’une partie de l’enseignement d’AMORC, a été
révélée aux membres de l’association par le grand Maître R+C
Raymond Bernard (qu’il convient d’appeler maintenant le Maître
d’Omonville (1), dans un livre intitulé : l’Empire Invisible.
« L’Atlantide, écrit le Maître d’Omonville, continent hautement
civilisé et disposant de moyens de transmission et de transport
auprès desquels ce que nous connaissons actuellement n’est rien,
était à son époque le CŒUR DU MONDE.
Les peuples « colonisés » recevaient une connaissance à leur
mesure. En certains pays particulièrement « ouverts », une filiation
directe était établie par le Collège des sages, c’est-à-dire par les plus
hauts initiés de ce temps, gardiens de la sagesse secrète et cette
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filiation était marquée par un TEMPLE PYRAMIDAL, à l’image
de la pyramide suprême où se tenait en Atlantide, le Collège et où
la connaissance était préservée.
Une seule pyramide, toutefois, a reproduit la pyramide suprême,
et encore dans une « mesure » différente, c’est celle dite de Chéops.
Elle perpétue à la face du monde l’Intégralité de la sagesse atlante,
alors que les autres n’en révèle qu’une partie.
(1) Le siège des Rosicruciens AMORC, sera bientôt transféré de Villeneuve-StGeorges à Omonville, dans l’Eure. Le Maître d’Omonville prophétisait, un an et
demi-avant leur mise au jour, la découverte des ruines atlantidéennes de Bimini.
Dans un avenir assez proche, d’ailleurs, des « découvertes » faites
au bénéfice de l’humanité mettront un terme à bien des
polémiques(1).
Les Atlantes connaissaient la nature et la puissance de certaines
forces cosmiques, particulièrement celles des courants telluriques, et
l’appliquaient avec attention à l’agriculture et au maintient
harmonieux de l’ensemble de ces courants, pour éviter toute
catastrophe géologique qu’il était au pouvoir de l’homme de
conjurer.
Les pyramides remplissaient aussi ce but par l’endroit, dûment
étudié où elles étaient édifiées.
Ailleurs, des points de protection suffisaient et c’est le cas, par
exemple, des dolmens et des menhirs, qui marquaient en même
temps avec précision, les lieux de conjonction des forces, des
focalisation et de l’énergie universelle, où d’efficaces cérémonies
pouvaient se dérouler.
Il en était de même pour les mégalithes, que l’on voit encore
nombreux à travers le monde, dans des domaines, des champs, voire
des cités ; mais en ce qui les concerne, ils avaient pour rôle exclusif
d’amplifier l’énergie cosmique et de favoriser les récoltes.
On peut considérer, en outre, que tous ces éléments secondaires
étaient rattachés, du point de vue de l’énergie, à la pyramide
suprême. La terre entière constituait de la sorte un réceptacle
efficace pour l’ensemble des forces cosmiques…
La pyramide suprême ayant été altéré à la suite de menées
ignorantes et ambitieuses, la catastrophe planétaire qui engloutit
l’Atlantide transforma la surface de la terre et se grava dans
l’imagination populaire sous le nom inexact de déluge.
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A la base de l’enseignement des sociétés secrètes africaines
authentiques, c’est une parcelle de la sagesse atlante qui s’est
perpétrée.
Lors de la catastrophe, les sages suprêmes se réfugièrent en
Egypte. Ils avaient sauvegardé les connaissances scientifiques et
techniques qui faisaient de l’Atlantide un continent dont la
civilisation n’a pas été égalée même actuellement.( L’éminent
savant grec « Archimède » qui naquit à Syracuse vers 287 av J.-C.
profita de ces connaissances pour avoir été en contact avec les
prêtres égyptiens qui lui inculquèrent le savoir et la sagesse, ne diton pas qu’il a coulé les galères romaines en faisant converger les
rayons solaires sur les coques de ces navires (Lorsque l’on connaît
l’épaisseur du bordage de ces bateaux, et qui plus est en mouvement, ne serait ce pas plutôt
un rayon laser connu seulement à notre époque, ? ) Ce vieillard solitaire,
considéré à Syracuse comme un être bizarre, allait donner au
savoir humain un essor extraordinaire.
Il avait par la puissance de son esprit, poussé mathématiques et
géométrie à une perfection incroyable. Deux cent cinquante ans
avant Jésus-Christ, il réussissait sans aucune aide à établir certains
des principes fondamentaux des mathématiques supérieures, tel que
le calcul différentiel, c’est-à-dire l’étude de la vitesse,de
l’accélération des forces qui leur sont proportionnelles.
Au xvllème siècle, de grands mathématiciens Pascal, Fermat,
huygens, utilisèrent les recherches d’Archimède. D’éminents
savants et physiciens, Kepler, Galilée, Newton, Torricelli,
étudièrent ses œuvres, comprirent sa méthode et parvinrent à
l’appliquer pour affirmer des théories nouvelles (dixit : tout L’univers)
L’on dit que : les sages ont guidé notre évolution. Ils ont livré au
monde, au fur et à mesure que l’homme pouvait les comprendre, les
recevoir et les utiliser sans danger, les découvertes qui lui étaient
suggérées ; ils ont livré, au sens le plus strict du terme, les
connaissances scientifiques et techniques acquises par les Atlantes
et préservées par eux et par leurs successeurs.
Les résultats ne furent parfois que similaires et non identiques.
Par exemple, nos avions sont différents des machines volantes de
l’Atlantide.
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Les connaissances des Atlantes venaient d’une autre galaxie et
furent apportées par ceux qui devinrent les premiers chefs de
l’Atlantide.
Certains de ces Extraterrestres repartirent ; d’autres demeurèrent
sur terre, en mission.
De ces derniers provient toute la civilisation du monde.
Les îles Canaries ou Champs Elysées ou Jardin des Hespérides
ou isles Fortunées ou Atlantide, furent connus de toute
l’Antiquité et, après les Arabes, les Carthaginois et Juba11, roi des
deux Mauritanies, Pline en parla dans son Histoire Naturelle.
Leur conquête par les Espagnols en 1478, vit l’extermination de
tous ses habitants, les Guanches, qui se suicidèrent plutôt que de
subir la loi d’un vainqueur.
Isolés dans l’Atlantique, un peu au-dessus du tropique du Cancer,
les Canaries, dans la tradition, constituent, avec Madère et les
Açores, les vestiges encore existants de l’Atlantide.
« Les Guanches, disait dom Inigo, un naturel du pays, descendant
du roi Uranus, premier souverain des Atlantes. »
Le roi du Mexique Montézuma II aurait dit au conquistador
espagnol Fernand Cortez :
« Nos pères ne sont pas nés ici. Ils sont venus d’une terre
lointaine nommée Aztlan, où s’élevait une haute montagne avec un
jardin habité par les dieux. »
Cette haute montagne était peut-être le pic de Teyde à Ténérife
qui s’élève à 3 718 m d’altitude, ce qui laisse supposer qu’avant
l’effondrement de l’Atlantide compte tenu des fonds à cet endroit,
ce pic s’élevait à quelques 7000 mètres au-dessus de l’océan.
Avant leur disparition au xve siècle, les Guanches se référant à
leurs traditions, se croyaient le dernier peuple du monde, tous les
autres ayant péri par engloutissement.
En ce cas on pourrait penser que leur écriture dérive directement
de celle des Atlantes, mais par un phénomène inexplicable elle est à
peu près inconnue en Europe, et même dans les îles canariennes.
Il nous a fallu deux jours pleins de recherches, à Grand Canaria
d’abord, pour persuader nos guides qu’il existait une écriture
Guanche et en suite pour en trouver des vestiges.
Après avoir sillonné les monts et les barrancos de l’île sur plus
de cent kilomètres, c’est Yvette Charroux qui la première découvrit
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des rochers gravés, sur une sorte d’éruption basaltique isolé du
centre de Grand Canaria.
Nous avons reconnu et photographié des dessins analogues à
ceux des Celtes de Bretagne : spirales, cercles, serpents, des
personnages stylisés et un remarquable « sorcier », qui est la
réplique exacte de celui de la grotte de Villar en Dordogne.
Plus important encore, nous avons relevé une véritable écriture
que nous avons donnée à expertiser à l’abbé Robert Hirigoyen et à
la revue Découvertes. Il s’agit bien de lettres, dont certaines
ressemblent à des v, n, s, t, l,
A notre connaissance, cette écriture, connue de quelques
archéologues allemands, est ignorée des Français et des Espagnols,
et nous le faisons savoir pour la première fois en France.
Son intérêt est exceptionnel, car ces tracés, s’ils étaient
corroborés par d’autres identiques, trouvés sur les murs des
constructions immergées de Bimini, donneraient alors la certitude
qu’ils sont bien l’écriture des Atlantes.
Pour suivre les directives de la DRAC qui voulait un compte rendu
succinct concernant les quatre pyramides Maya se trouvant sur le sol
de notre pays, nous étions avec mes anciens compagnons quatre
archéologues, bien décidés à faire du bon travail. La tâche était dure
et ingrate, à cause des dangers latents qui pouvaient exister dans ces
constructions colossales réalisées dans les temps immémoriaux, non
pas à cause de dégradations dues à une architecture faible, de ce
coté là il n’y avait rien à craindre, mais surtout par d’obscurs
dessins des hommes d’une certaine époque voulant faire disparaître
les témoins d’un lointain passé. Malgré la volonté de quelques rois
ou monarques convertis au christianisme d’éradiquer la religion
druidique et tout ce qui pouvait s’y rattacher y compris les
réalisations trop anciennes qu’ils ne pouvaient comprendre, et
classées par eux comme étant l’œuvre du diable. Heureusement,
pour la postérité, tout n’était pas détruit, il restait encore de
l’ouvrage pour les chercheurs présents et à venir, notamment dans
certaines cryptes non encore découvertes dans la complexité de ces
pyramides dédiées à des croyances d’un autre temps. Le ST Siège
berceau de la religion catholique, qui se trouve dans la ville de
Rome, formant une enclave indépendant battent la monnaie, avait
pris après la chute de l’Empire romain un ascendant important sur
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tous les pays conquis à ses dogmes et à sa doctrine trop simpliste et
autoritaire qui n’était pas favorable aux progrès de la science, cela
avait déjà commencé au temps de Rome par l’incendie de la
bibliothèque d’Alexandrie en Egypte, ville fondée par Alexandre le
Grand ( 331 avJ.C.) Elle fut au temps des Ptolémées, le centre
artistique et littéraire de l’Orient et l’un des principaux foyers de la
civilisation hellénique, (Musée, Bibliothèque, riche de tout le savoir et de
la science du monde ancien.) Ce crime perpétré par les légions
romaines occasionna une perte immense pour le savoir de
l’humanité, si l’on se rend compte des connaissances acquises par
les savants grecs comme Archimède tué d’un coup de glaive dans
ses jardins par un légionnaire, qui fut immédiatement mis à mort par
son centurion pour le punir, l’on peut se rendre compte de
l’importance qu’avait cet homme pour le sénat de Rome et
l’Empereur, il avait été au contact des prêtres Egyptiens qui
possédaient un immense savoir dont nous n’avons pas encore idée
aujourd’hui, de tout cela nous en avons la preuve, donnée par des
Erudits grecs. Les Romains dont l’empire déjà très étendu, tenaient
particulièrement à Archimède, pour de nouvelles armes et de
nouvelles machines de guerre que lui seul était capable d’imaginer,
de là une immense déception pour les dirigeants de l’empire.
L’époque qui suivit fut une traversée sombre pour de nouvelles
découvertes de grands savants comme Galilée (dit Galileo Galiei) né à
Pise 1564-1642 il découvrit la loi de l’isochronisme des petites
oscillations du pendule, les lois de la chute des corps 1602, énonça le
principe d’inertie et la loi de la composition des vitesses. Il
construisit l’un des premiers microscopes et réalisa en (1609) la
lunette qui porte son nom, grâce à laquelle il découvrit les taches du
Soleil, le relief de la Lune, les satellites de Jupiter et les phases de
Vénus. Rallié au système du monde proposé par Copernic, mais que
la cour de Rome dénonçait comme hérétique, Galilée sommé de ne
plus professer s’inclina, mais, revenu à Florence il publia en (1632)
toutes les preuves de l’exactitude du système, mis en prison et
torturé, il du alors abjurer devant l’inquisition en 1633( «Dictait le
Larousse » ) Cette même inquisition qui instaurée par le Vatican de
Rome envoya le grand Inquisiteur intégrer l’armée de « Francisco
Pizarro » « 1475-1541 » « Conquistador espagnol qui avec l’aide de
ses frères conquit l’empire Inca. Ce fut encore un grand préjudice
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pour l’humanité, le grand Inquisiteur ne se contenta pas de vouloir
convertir les indigènes de ce pays au catholicisme, mais il commit
le crime abominable, lui qui avait le pouvoir divin soutenu par la
monarchie d’Espagne, accusa les prêtres incas d’être des suppos de
Satan du fait qu’ils se déplaçaient sur des disques d’or qui
semblaient à proprement parler ne pas avoir de moteur et dont il
n’en avait pas deviné le fonctionnement. Certain que cela allait être
un handicap pour l’armée du conquistador, et l’avidité excessive de
la cour d’Espagne pour l’or des Incas, il fit coup double, il fit brûler
les prêtres qui ne le gêneraient plus dans son sacerdoce et du même
coup donna l’ordre de faire fondre les disques d’or transformés en
lingots chargés sur les galions en partance pour la Cour d’Espagne.
Voici une technicité de haut niveau, complètement annihilée par ce
prêtre catholique qui n’aurait mérité que l’excommunication et qui
avait aussi comme le Vatican à cette époque la certitude que la terre
était plate. Il y a, cela m’a été confié par un archéologue espagnol
que dans une bibliothèque d’Espagne un écrit du grand inquisiteur
établit l’origine des lingots d’or issus des fameux disques fondus
pour la bonne cause. De plus, et cela a paru dans les librairies,
traduit de l’espagnol ancien, une princesse inca adoptée et élevée
par un Grand d’Espagne, à écrit son histoire dans laquelle elle dit
avoir vu dans sa prime jeunesse, les disques d’or des prêtres de son
pays natal. Du point de vue de l’anatomie humaine, là non plus
l’inquisition n’avait pas dit son dernier mot, deux abbés ayant
découvert que dans le corps de l’homme il y avait une grande et une
petite circulation et ayant refusé d’abjurer furent torturés et brûlés,
comme tant d’autres personnes, en particulier des jeunes filles
accusées de sorcellerie mises sur le bûcher. Les guerres de religion
ne furent pas meilleures, comment des gens adorant le même Dieu
et qui se considèrent comme les héritiers spirituels d’un même
prophète comme Abraham, peuvent-ils se livrer à tant
d’incompréhensions des uns aux autres, ce n’est pas comme cela
que nous arriverons à une civilisation parfaite, peut-être un jour
atteindrons-nous la sagesse et la perfection des Atlantes, dont la
légende nous dit qu’ils nous ont apporté toute la civilisation du
monde . FIN DU ROMAN ARCHEOLOGIE Ecrit par monsieur
DOSI Roger et terminé à ce jour le 25 mars 2009.
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