Mars en Folie 2014 Communiqué de presse

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Mars en Folie 2014 Communiqué de presse
Mars en Folie 2014 Communiqué de presse 7
ème
édition du Festival « Mars en Folie » : le meilleur de la scène francophone!
ème
A l’occasion de la 19
Fête de la Francophonie en Chine, le réseau des Alliances françaises, les
Ambassades du Canada, de Suisse, de Belgique / Délégation Wallonie-Bruxelles, ainsi que les
Bureaux du Québec en Chine présentent le Festival musical « Mars en Folie ».
Surfant sur le succès de l’édition précédente, l’esprit reste le même : du 5 au 22 mars, 40 concerts,
dans 14 villes à travers la Chine. De Pékin à Hong Kong, en passant par Tianjin, Jinan, Qingdao,
Wuhan, Chengdu, Chongqing, Shanghai, Canton, Nankin, Hangzhou, et Macao, les étoiles montantes
venues des 4 coins de la scène rock, rap et folk francophone se produisent en Chine.
ème
Une fois de plus, le programme promet d’être haut en couleur. Cette 7
édition du Festival Mars en
Folie propose une large palette sonore de la scène francophone émergente : des mélodies intimistes
et imagées de Chantal Archambault (Canada / Québec, folk rock) aux rythmes pop de Jali (Belgique /
Délégation Wallonie-Bruxelles, folk), en passant par le rap littéraire de Greis (Suisse, rap) ou encore
l’énergie décapante d’Epsylon (France, rock celtique).
Une tournée de concerts incontournables, gratuits et ouverts à tous, pour découvrir l’incroyable
diversité de la scène musicale francophone. A ne manquer sous aucun prétexte !
MARS EN FOLIE, en tournée en Chine:
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05/03 : Tianjin/ 天津
06/03 : Jinan /济南
07/03 : Qingdao/ 青岛
08/03 : Pékin/ 北京
10/03 : Xian/ 西安
12/03 : Chongqing/重庆
13/03 : Chengdu/ 成都
14/03 : Shanghai/ 上海
15/03 : Nankin/ 南京
16/03 : Hangzhou/ 杭州
18/03 : Wuhan/ 武汉
20/03 : Canton/ 广州
21/03 : Macao/ 澳门
22/03 : Hong-Kong/ 香港
Retrouvez toutes les informations sur : www.marsenfolie.afchine.org
www.faguowenhua.com/francophonie
Chantal Archambault (Québec- Canada / Folk)
Plus d’informations : http://chantalarchambault.com
Version Courte
Chantal Archambault présente son deuxième album : « Les Élans ». L’auteure-compositrice-interprète
y propose 12 pièces aux textes intimistes et imagés, savamment ficelés de passions enflammées,
d’espaces éthérés et de désirs charnels.
Avec « Les Élans », elle offre un juste équilibre entre la ballade et les arrangements entraînants, entre
les sourires et les frissons, entre les bois et le bord de mer. Sa plume délicate et sensible, campée sur
une musique folk, nous emporte dans un univers à part où l’on apprécie se retrouver.
« Si j’avais à miser sur le Lisa Leblanc de cette année, je pense que ça serait elle. Un côté un peu
country, folk, un timbre dans la voix absolument charmant. »
- Nicolas Titley, Musimax
« L’effort littéraire est tangible chez cette parolière en développement, et l’on doit y voir un standard à
respecter pour tous ses collègues de l’alt country francophone. »
- Alain Brunet, La Presse
Version Longue
Chantal Archambault est une auteure, compositrice et interprète de l’Abitibi-Témiscamingue qui
présente un assortiment de pièces aux textes imagés sur un fond de musique country-folk. C’est en
2008 qu’elle se fait connaître en lançant une démo autoproduite, « Le collage », qui, par sa grande
authenticité, charme son premier public. Elle remportera alors le prix des meilleurs textes et le prix du
public dans le cadre du FRIMAT (Festival de la relève indépendante en Abitibi-Témiscamingue). On la
remarque ensuite l’année suivante, pour la première fois en dehors de sa région, alors qu’elle prend
part aux Francouvertes.
Elle enchaîne ensuite les premières parties de Tricot Machine, Richard Desjardins, Mara Tremblay,
mais aussi de Dany Placard, avec qui elle réalisera son premier album lancé lors du Festival de
Musique Émergente 2010, « La romance des couteaux ». Une œuvre antagonique où les contrastes
d’images et de sons s’entrechoquent pour nous conter des histoires humaines et sincères.
C’est avec ce deuxième album chaleureusement accueilli par la critique que la carrière de Chantal
Archambault prend son envol. En 2011, « La romance des couteaux » est nominé à plusieurs
concours nationaux et l’artiste récolte plusieurs prix dont celui d’ambassadrice de sa région, remis lors
des Grand Prix du tourisme de l’Abitibi-Témiscamingue. S’engendrera une tournée estivale à travers
le Québec en première partie de Vincent Vallières, qui lui permettra de faire entendre ses chansons à
une audience toujours plus nombreuse. Ainsi, au courant de l’année 2011, avec plus de 20 premières
parties de Vincent Vallières, quelques autres de Bernard Adamus et sa présence à plusieurs
événements tels que Les Francofolies de Montréal, Le Festival de la chanson de Tadoussac et Le
Festival Edmondton Chante, Chantal Archambault fait parcourir des milliers de kilomètres à « La
romance des couteaux ».
L’année 2012 débute avec l’apparition du morceau « La Barque » sur le dernier album de Renée
Martel d’une part, ainsi que d’autres spectacles à travers le Québec. Chantal revient s’établir à
Montréal en 2012, puis y enregistre un second album, « Les Élans » paru en février 2013. Depuis elle
a donné plus d’une trentaine de concerts à travers la province et a continué à écrire des chansons
qu’elle produira elle-même en 2014. 2013 marquera aussi le premier passage de Chantal outre-mer :
en tournée en Chine dans le cadre de Mars en Folie.
Epsylon (France / Rock celtique)
Plus d’informations : http://www.epsylonlegroupe.com
Version Courte
Entre rock et musique traditionnelle, Epsylon est avant tout un groupe de scène. Remarqués dès leurs
premières prestations scéniques pour leur énergie et leur bonne humeur contagieuse, ils ont su dès
leurs débuts conquérir un public fidèle.
Le phénomène « Epsylon », de concerts en festivals, depuis bientôt 8 ans ne fait que
s’amplifier ! Après des débuts sur les scènes locales, ils enregistrent leur premier single et côtoient
er
quelques têtes d’affiche. Puis, vient le temps de leur 1 album studio « Rien ne sert de courir » (10
titres originaux) suivi d’une centaine de concerts dans le grand ouest au cours desquels ils flirtent
ème
avec la scène nationale. Avec leur 2
album « 40emes rugissants », ils confirment leur position dans
le paysage de la nouvelle génération. Et assurent les premières parties de Katerine, Cali, Soldat Louis,
La rue Ketanou.... jusqu’à s’attaquer à la scène nationale et internationale avec une tournée en Chine
et Belgique.
Tournée organisée par le réseau des Alliances françaises de Chine grâce au soutien de la Région des
Pays de la Loire (www.paysdelaloire.fr).
Version Longue
Entre rock et musique traditionnelle, EPSYLON est avant tout un groupe de scène. Remarqués dès
leurs premières prestations scéniques pour leur énergie et leur bonne humeur contagieuse, ils ont su
dès leur début conquérir un public fidèle.
Le phénomène « Epsylon », de concerts en festivals, depuis bientôt 8 ans ne fait que
s’amplifier ! Après des débuts sur les scènes locales, ils enregistrent leur premier single et côtoient
er
quelques têtes d’affiche. Puis, vient le temps de leur 1 album studio « Rien ne sert de courir », 10
titres originaux, suivi d’une centaine de concerts dans le grand ouest au cours desquels ils flirtent
ème
avec la scène nationale. Avec leur 2
album « 40emes rugissants », ils confirment leur position dans
le paysage de la nouvelle génération musicale française.
S’en suivront de nombreuses prestations dont le festival de Poupet, Zenith de Nantes, Dranouter
festival (Belgique), Nanjing international festival (Chine), et bien d’autres…Depuis, ils partagent
l’affiche avec Absynthe Minded, Sergent Garcia, Goran Bregovic, la Ruda… Et assurent les premières
parties de Katerine, Cali, Soldat Louis, La rue Ketanou.... jusqu’à s’attaquer à la scène nationale et
ème
internationale avec une tournée en Chine et Belgique. Epsylon n’est plus la 5
lettre de l’alphabet
grec, mais un nom qui s’affirme de scène en scène dans l’alphabet de la scène Rock celtique !! Ils
er
l’ont compris dès leur 1 album : rien ne sert de courir… il faut partir à point !
Nicolas MICHON : chant, guitare acoustique et électrique
Aurélien DUPONT : chant, guitare électrique, clavier
Christophe POUVREAU : accordéon, violon, veuze
Denis GROLLIER : saxophone soprano, bombarde
Antonin MARTINEAU : basse, oud
Benjamin SANCHEZ : batterie
Tournée organisée par le réseau des Alliances françaises de Chine grâce au soutien de la Région des
Pays de la Loire (www.paysdelaloire.fr).
Greis (Suisse / Rap)
Plus d’informations : http://www.greis.ch/blog/francais/
Version Courte
Cela fait plus de dix ans que Greis s’impose comme une référence du hip-hop suisse. Pour un label
100% helvétique et afin de prouver que les langues ne sont pas un barrage au partage de la musique,
Greis rappe et slamme tant en français, sa langue maternelle, qu’en suisse allemand. Scandant aussi
bien en solo qu’aux côtés de grands noms de la scène rap internationale, Greis a le verbe affuté et
engagé. Sa poésie urbaine aborde avec subtilité les thèmes les plus divers, dénonçant les inégalités
sociales et appelant à la solidarité. Depuis le début de sa carrière, il n’a cessé de déboussoler son
public, changeant de direction à chaque album et mélangeant avec brio les styles et les mots au
rythme de la poésie urbaine.
Version Longue
Cela fait plus de dix ans que Greis s’impose comme une référence du hip-hop suisse. Pour un label
100% helvétique et afin de prouver que les langues ne sont pas un barrage au partage de la musique
Greis rappe et slamme tant en français, sa langue maternelle, qu’en suisse allemand, gravant ses
paroles version moitié-moitié pour le plus grand plaisir d’un public venu des quatre coins du pays. De
la chanson à texte au rap avant-gardiste en passant par l’Opéra rock accompagné d’un orchestre
classique, cet ancien graffitiste mélange les styles et les mots au rythme de la poésie urbaine.
Jonglant entre le français et le suisse-allemand, ses prouesses verbales lui ont valu une large
reconnaissance sur la scène musicale européenne. Nommé 3 années de suite (2007-2009) puis à
nouveau en 2012 meilleur artiste solo au Swiss Hip Hop Award, Greis est également nominé en 2009
pour le titre de meilleur artiste européen aux MTV European Music Awards et remporte ce même
concours en 2010 en tant qu’artiste suisse le plus talentueux.
De son vrai nom Grégoire Vuilleumier, Greis se produit aux côtés des grands noms du rap
international tels que Chien de Paille, Akhenaton, Stress ou encore Soprano. Bourré d’énergie et
s’amusant à planquer son trac en chambrant, goguenard, ceux qui sont venus le voir, Greis soigne
depuis toujours ses prestations scéniques et défend une vision sociale et engagée. Dans ses
chansons, le rappeur aborde les thèmes les plus divers ; il dénonce les inégalités et appelle à la
solidarité envers les personnes défavorisées, condamne le racisme et s’engage en faveur d’un monde
plus harmonieux.
A côté de sa carrière en solo, Greis est membre des groupes PVP, Chlyklass et Rogue State Alliance,
un groupe de Cape Town en Afrique du Sud dont les recettes des ventes d’albums sont reversées
pour l’achat d’uniformes scolaires pour les jeunes des Townships de la ville. Sa rencontre avec
l’Afrique l’a également conduit a enregistrer un album en Tanzanie et à collaborer avec l’ONG Viva
con Agua, organisation œuvrant à offrir un accès le plus large possible à l’eau potable dans les pays
en voie de développement. Diplômé en sciences des médias, science politique et histoire économique
et sociale de l’Université de Zurich, cet artiste aux multiples facettes connaît déjà la Chine dont il a
commencé à apprendre la langue.
Un artiste complet qui tient sur la longueur dans un milieu où la gloire est trop souvent éphémère. Son
ème
récent et dernier opus, Greis Anatomy, sorti gratuitement à l’occasion du 10
anniversaire de sa
carrière solo, prouve que Greis continue d’imposer un flow sensible, des beats synthétiques et des
compositions richement instrumentées.
Jali (Belgique / Délégation Wallonie-Bruxelles / Folk)
Plus d’informations : http://aremusic.net/?artist=jali
Version Courte
Jali est un chanteur belge, auteur et interprète de musique folk et chanson française.
Il sort son premier disque (single), l’ Española en juin 2011, suivi en octobre 2011 d’un album sous le
label de Barclay-Universal intitulé Des jours et des lunes.
Il est rwandais, élevé en Belgique et soucieux de l’état du monde. Il braque les yeux sur le temps
présent et sait ensorceler les mots et les faire décoller du quotidien.
« Je raisonne par histoires. Je raisonne par images », dit Jali. Peut-être ne faut-il pas chercher plus
loin d’où vient son singulier talent, d’où vient son étonnante manière d’écrire les chansons. Qu’il
raconte l’histoire de l’immigré clandestin ou celle du bonhomme vert enfermé dans un feu de
signalisation, qu’il suive un couple de malfrats ou s’interroge sur le poids d’une âme, ses chansons
sont tout en images et en événements enchainés – des histoires limpides, des images qui
transportent.
Il éclot en auteur-compositeur-interprète dont on
que l’empreinte de Georges Brassens, le souci
chose sur laquelle j’ai dû faire un effort, c’est
compliquées, faire qu’on puisse comprendre les
mots. »
peut entendre autant l’admiration pour Lokua Kanza
de musicalité et l’obsession du sens… « La seule
sur les mélodies – ne pas faire de mélodies trop
chansons sans faire d’efforts. Simplifier le trajet des
Dans sa voix et dans ses compositions, on entend les allers-retours entre deux continents, les racines
plantées au loin, le respect et la tendresse pour la différence et la vérité de chacun.
En février 2012, Jali obtient le prix Artiste de l’année aux Octaves de la musique. Son album « Des
jours et des lunes » est certifié disque d’or en Belgique en septembre 2012.
Version Longue
« Je raisonne par histoires. Je raisonne par images », dit Jali. Peut-être ne faut-il pas chercher plus
loin d’où vient son singulier talent, d’où vient son étonnante manière d’écrire les chansons. Qu’il
raconte l’histoire de l’immigré clandestin ou celle du bonhomme vert enfermé dans un feu de
signalisation, qu’il suive un couple de malfrats ou s’interroge sur le poids d’une âme, ses chansons
sont tout en images et en événements enchainés – des histoires limpides, des images qui
transportent.
Depuis le grand appel du large d’Espanola, son premier single, au printemps dernier, on a compris
que ses yeux sont largement ouverts sur le monde, mais aussi son cœur. Toujours des histoires,
toujours des images…
Évidemment, Jali avait beaucoup écouté de chansons avant d’en écrire. Siffler sur la colline sur les
cassettes de papa en voiture, Fast Car de Tracy Chapman à l’adolescence, et puis une période rap,
une période rock, une période musique africaine. Il ne songeait pas pour autant à chanter. « C’est
venu lentement. Je suis né au Rwanda en 1988 mais j’ai grandi en Belgique depuis l’âge de deux
mois. Je n’y suis retourné qu’en 2005 et je suis revenu deux ans plus tard pour faire mes études à
Bruxelles. Jusque là, je pensais qu’il fallait savoir jouer d’un instrument pour chanter. »
Étudiant, il rencontre une bande de copains qui font de la musique. Il se procure une six-cordes
d’occasion, tape « apprendre la guitare » sur internet et découvre ses premiers accords sur des
transcriptions de Bob Marley et Tracy Chapman. « Quand j’ai réussi à faire mes propres suites
d’accords, les textes sont venus tous seuls. Je suis bavard, j’ai de l’imagination, j’ai toujours plein de
choses à raconter. »
En même temps, puisqu’il sait jouer un peu de guitare et chanter, il se trouve embarqué dans un
groupe de reggae en lingala, français, swahili et anglais. « J’avais envie de raconter mes propres
histoires. Alors, en parallèle, j’ai commencé à chanter en solo. »
À ses premières scènes, avec ses premières chansons, il décide de devenir Jali : « C’est le nom de la
plus haute colline de Kigali, la capitale Rwandaise d’où vient ma famille. Mon prénom commence par
J, Jali est une sorte d’anagramme de mon nom de famille… »
Et il éclot en auteur-compositeur-interprète dont on peut entendre autant l’admiration pour Lokua
Kanza que l’empreinte de Georges Brassens, le souci de musicalité et l’obsession du sens… « La
seule chose sur laquelle j’ai dû faire un effort, c’est sur les mélodies – ne pas faire de mélodies trop
compliquées, faire qu’on puisse comprendre les chansons sans faire d’efforts. Simplifier le trajet des
mots. »
Car ses chansons viennent le plus souvent des mots : une histoire qui surgit soudainement, une
conversation, un copain qui raconte un film ou un roman, et Jali écrit. Certaines chansons naissent
même sur son iPhone pendant ses trajets en métro. L’album a été coréalisé, d’une part, par Jali, Imani
et Mike Toch sous la signature collective d’A.R.E Music, et, d’autre part, par Jean-Louis Piérot,
membre des exValentins et réalisateur pour Alain Bashung, Miossec ou Renan Luce.
En même temps que Jali terminait son album, il est parti sur les routes en ouverture de la tournée des
Zénith de Bernard Lavilliers. Chaque soir, la même aventure s’est reproduite : « Les gens sont
sceptiques au début, très emballés à la fin. C’est un peu comme quand on drague : quand on sort de
scène, on a le sentiment d’avoir séduit. » Voilà pourquoi il tient à donner des concerts au moment
même de la sortie de son album : ses chansons sont faites pour être partagées, sont faites pour être
montrées, contées, offertes. De telles chansons ne peuvent que continuer à se raconter.
Organisateurs et contacts presse
Organisateurs:
Réseau des Alliances françaises en Chine
Ambassade du Canada en Chine
Ambassade de Suisse en Chine
Ambassade de Belgique en Chine / Délégation Wallonie-Bruxelles
Bureaux du Québec en Chine
Ambassade de France en Chine
Partenaires:
Région Pays de la Loire
Institut Français
Wallonie-Bruxelles International
Yugong Yishan
Club France
Contact:
Julia Proust, Affaires culturelles, Délégation Générale de la Fondation Alliance française en Chine
[email protected] Tél. : (010) 6553 2678 ext. 209 (en/fr)
Nous nous tenons à votre entière disposition, merci de votre participation !

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