Ammonas successeur de saint Antoine.
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Ammonas successeur de saint Antoine.
R. GRAPPIN–F. P~q~sseta- '~p~ A 0'-u' a /uf 1 A cetAoA~~ Par& ;~t~rpt_ -EN d XI 4 1 ? I55 AMMONAS DE SAINT ANTOINE TEXTES ETSYRIAQUES ETTRADUITS PAR F.NAU A'o~se~r s rfHsn'/Hf m~o&Me T-.nT*'Tt~T f* Psf& AMMONAS SUCCESSEUR DE SAINT ANTOINE AMMONAS SUCCESSEUR DE SAINT ANTOINE TEXTES GRECS ET SYRIAQUES ÉDITÉS ET TRADUITS PAR F. NAU à l'Institutcatholiquede Paris Pro/asxcMr BR.EPOLS Tous droits réservés Réimpression Édition originale, Paris 1914 atiastatique par Brepols, 1994 INTRODUCTION L'édition de t. (P. 0., édités à la version fasc. X, nous Jérusalem; reste d'Antoine, archimandrite, Amenas, racine et l'un puis Dans se permutent; Ammonas, pas Paris Ammonios, d'Ammonas, sur d'ailleurs il nous des évêque les lettres attention avons d'Ammonas, L'uTEun. de même en de Nationale Bibliothèque qui nous A. des syriaque notre G), a attiré Piammon, bon et disciples du égyptien, latines donc souvent Animoï, M. grecs parallèles autres à textes trouvé a paru traductions on trouve les par quelques de réunir ici le Amon, mis l'un tous les Ammon, pour tout la ce successeur premier iv" siècle. et syriaques, Kmosko noms Amoun, l'autre. II n'est dans les textes qu'il y ait eu quelques permutations analogues les plus anciens manuscrits conservés sont du x** ou xi° siècle, ne pas tomber dans nous laisserons tous les textes, l'arbitraire, impossible dont originaux mais, pour conservés pour ne dans retenir le que texte ces original, qui ne portent pas le nom grec derniers'. Il est possible encore ici qu'il Ammonas, nous reste 1. En sus de la différence des noms, un peut voir d'ailleurs que ces moines se répartissent sur 1° Ammon, fondateur du monachisme à Nitrie, contemporain d'Antoine qui a plusieurs générations vu son âme monter au ciei. P. L., t. LXXIII, 1099-1100; Butler, II, 26-29 (voir Sigles, p. 402). –2° et 3° Ammonas, disciple d'Antoine, dont Rutin a vu le successeur Pityrion, et Amoun, le tueur de serpents, dont Rufin a vu aussi le successeur. Nous proposerons de rattacher à Ammonas la légende consignée sous le nom du dernier, infra. p. 426. 4°, 5° et 6° Amoun, supérieur d'un monastère pakhomren de 3.000 moines, vu parUutm, P. t. LXXIII, col. 1153 (où le latin le nomme Ammonas); Preuschen, p. 27 Ammonios de Nitrie le jeune, vu par Hufin, P. L., t. LXXIII, col. 1175, cf. 1143; (voir Sigles. p. 402). Preuschen. ~oe. cit., p. 84. Ammonios. disciple de Pambo (-f-371-374), nommé 6 KŒpMi: parce qu'il s'est coupe une oreille pour ne pas être fait évoque par Timothee (381-5), P..L., t. LXXIII, col. 1103; Hutier. <oc. ct< p. 32-34. 7°. 8°. 9" Trois Ammons, à peu près contemporains des trois précédents, mais venant de régions excentriques Ammon entré a Pcboou (Thébaide) en 352, qui va trois ans plus tard à Nitrie, puis à Alexandrie où il devient évêque peut-être d'Antinoé. C'est lui qui aurait écrit après 384, ou même après 3')9, ta lettre sur Théodore et Pacome bien connue, cf. Ladeuze, Le Cpy!o&t<t.s'm<' Ammon de Rhaythou, disciple de Sisocs cf. P. G., t. LXV, psAAnnt/fn, Paris, 1898, p. 108-109. ro). 397, 4"o; on peut l'identifier avec Ammonios qui a écrit l'histoire des moines tués en 377, a Rhaytbou e) au Hiuai. Pi.nnmon de Diotcos vu par Runn et a qui Cassien dédie son discours XXIV, rf. P. L., t. XLIX, col. 1089 et t. LXXIII, coi. 1176 (où il est aussi nommé Ammona) et Preuschen, loc. cil., A ces moines il faudrait ajouter le prêtre Ammonas et tes diacres, moines ou évéquf's Amp. 94. mon, Ammonianus et Ammonius mentionnés par saint Athanase, cf. table P. G., t. XXVI, col. 1464. Isidore de Pétuse écrit au--si a plusieurs Ammonius et Ammon. cf. table P. G., t. LXXVIII, col. 1701. Notre ~numération a d'aiiieur- chaure d'être iucompiéte. r.n', dans )e ms. Coisiin 127, foi. 8, )'abhé 394 INTRODUCTION. [92] des écrits ou des paroles de plusieurs Ammonas, mais nous rapporterons au même disciple d'Antoine tous les textes qui portent le nom d'Ammonas et qui n'impliquent pas de contradiction, car, s'il a pu exister plusieurs moines de ce nom à peu près contemporains, il n'est pas probable que plusieurs aient eu simultanément assez de célébrité pour voir leurs paroles consignées dans les recueils dès la fin du ive siècle. Ammonas mena d'abord la vie monacale à Scété; un frère des Cellules l'y visita (Apophtegme 4). Il y passa quatorze ans à prier Dieu de lui accorder de vaincre la colère (Ap. 3). Il alla trouver Antoine, dont la caverne lui fut miraculeusement indiquée (Ap. 7), et Antoine lui prophétisa qu'il ferait des progrès dans la crainte de Dieu (Ap. 8). Comme on place la mort d'Antoine vers 356, on doit placer la rencontre des deux saints avant 350. Ammonas semble s'être attaché dès lors à Antoine; il le suivait au désert (Ap. 12) et il dirigea après sa mort (356) le monastère de Pispir, sur la rive droite du fleuve en face de Bouche (cf. Rufin, in fra, p. 424). Il avait coutume, comme son maître, de s'isoler dans le désert d'où il écrivait aux frères; on racontait qu'il avait fait périr un basilic (A. 2) et l'auteur de l'.H~o)'Mt ?MOH&cAon~ a consigné, de ce prodige, une rédaction très amplifiée recueillie dans ces parages (Rufin, infra, p. 426). Le monastère de Pispir possédait sans doute alors comme aujourd'hui, sur la rive gauche du Nil, des dépendances qui nécessitaient parfois la présence de l'abbé Ammonas, et l'apopht. 6, dans sa double rédaction, nous a conservé un incident de l'une de ces traversées Saint Athanase, réfugié parmi.les moines jusqu'à la mort de George, évêque intrus d'Alexandrie, en 362, eut ainsi l'occasion de connaître Ammonas et d'admirer ses exhortations aux moines (infra, p. 455) et ses conseils aux novices (infra, p. 474); il lui donna la consécration épiscopale. Le nouvel évêque exerça la juridiction sur les laïques (Ap. 8) en même temps que la juridiction sur les moines (Ap. i0) avec une égale bonté; les persécutions de Lucius, qui poursuivait les moines jusque dans les déserts vers l'an 373, l'obligèrent à se cacher. C'est sans doute à cette période (vers 380) qu'il faut rapporter ses relations avec Poemen (Ap. 13 à 15), car Poemen semble Agathon,mentionnantles moinescélèbres,placeaprès saint Antoinexx! t6~Këgc~~~oSv r&~Ttj; n~uXo~ tbvTi]!<~MTtK, xaito~ctggoM to~ T~ ~pmëto~ x<xt ïov xaiTO~ otëgoM 'A[t~.ouv T~;At~unTou, fhjTpMt; le Ammoun e st notren° xai Tôv &ggo:v to~ &6ë&v 'A~hwo~ Xe~Euphw; premier 1; MtM; T!j;e?)6ct~o~ t. LXV, maisnousne savonsoù placerles deuxautres.Il faut noter aussique Ammoes,7*. est parfois,dans certainsmanuscrits,nomméAmmonas;cf. M/a, p. 409.V. aussiAmmocol.125-128, de Thûne,cf. W. H.Crun), P. nios, 0., III, 276et X, 203(au 20Baschnès).CederniereutAmmonius 102-164. Tf;r<s. O xford,1913, p. 7'Aeo~og-<cft! 1. I) s'exerce à la patience en attendant le bac. C'est ce qu'a fait encore le R. P. M. JuUien. au « Le batelier est sur l'autre rive sait-on quand il lui plaira de venir nous passer? même endroit Nos chameliers le hèlent de toutes leurs forces, jetant des poignées de sable dans Pair, comme ils font au dcsort. C'est on vain. Nous faisons parade d'indin'crcnce indigène el, pour tromper )'enm)i, nous préparons h-anquiDetnent le dmcr. » /?//j<e, Lii)< Uescléc, 1889, p. 102. [93J INTRODUCTION. 395 avoir vécu au commencement du v" siècle'; un récit, Il. t. LXV, col. 366, n. 183; P. t. LXXIII, col. 983, n. 16, le met même en relation (vers 452) avec un moine de Syrie (Palestine?) exile par l'empereur Marcien, comme nous avons vu, dans les Plérophories, P. 0., t. VIII, p. 102 à 103, Pior en relation, à la même époque, avec Pierre l'Ibère. D'ailleurs, Rufin a vu Poemen à Pispir, P. L., t. XXI, col. 517~. Quelques-unes des lettres d'Ammonas peuvent être rapportées à cette période les moines de Pispir eux-mêmes, fatigués par quelque vexation, voulaient quitter leur monastère (Ap. 5; Lettre grecque IV). Enfin, à l'époque de la rédaction de l'orM ?~M<rMm. c'est-à-dire avant 396 si elle a d'abord été rédigée en grec par Timothée, ou avant 403 si elle a d'abord été rédigée en latin par Rufm\ Ammonas était mort et Pityrion lui avait succédé (Rufin, t'M/ra, p. 424). I-Eglise grecque fait mémoire d'Ammonas le 26 janvier et le samedi veille de la Quinquagésime (samedi i"~ -ruptvy~)qui est consacré aux ascètes. Théodore Studite, dans l'office de ce jour, l'appelle 'A~M\~<; 6 et on trouve ensuite le distique suivant ~Eu~xTo<?dpo< Z(t)7)~'Aj/M~ ZM'~ M)EUp6~ a~CM V/j~Ct'77\7)pMCK~ O~rCOTE '!7~7]pOUU.S~\ B. LES TEXTES. Nous renverrons, à Jérusalem dont voici le titre complet par la lettre A, à l'édition donnée TOT OSIOT nATPOS HMQN ABBA AMM~NA EniSTOAAI IIENTE, Ano. SnASMATA TINA, KAI TA SQZOMENA Ano~OErMATA ER SINAITIRU~J RQAIRilN IA' KAI IZ' AmNOS, META T~N nAPAINETIR~N KE~AAAIi~ ES ÏEPOSOATjMITIKOY K~AIK.OS IA' AI~NOS. NTN TO nPDTON EK.AIAONTAI YnO ATrOTSTINOT MONAXOT IOPAAMITOV. EN IEPOEOATMO!S, TTnOIE nATPIAPXIKOT TTnorPA<&EIOT, h) H; in-8", ;{2 pages". l. On peut le faire vivre, par exemple, de :!G2 à 452. 2. /7i's/ II. 8 Vidinnis Poen~e)~ et Joseph in Pispiri qui appellabalur mons Antonii. ~1. Preusctien tient que l'llistoria 7;to/:e;c/!o/m a (l'abord été écrite en latin par Rufin, puis traduite en grec. Dom i!ut)er tient qu'c))e a d'abord été écrite en grec par Timothée, puis traduite en latin par Rufin, The lausiac /<ory, I, Cambridge, ~898. p. 268. En tout cas, les versions syriaques Si l'on admet que le voyage de Mutin n'est pas une fiction, Ammonas proviennent de textes grées. était mort lorsque eetui-ci a parcouru i'Ëgypte en 394. ou :!85, Butter, <or. c/< 1.1. p. 202. 4. D'âpre-. le prologue de rédition de Jérusalem. Le (le Constantinople, édite par le H. P. Deichave, BruxeHes, t9()2. porte au 26 janvier ia mention 'A~~mM; (et *Ap.M'<a<) e:p~T,, p. 426, i. 36 et :<8. 5. Cet auteur, encore peu connu, estuu actif éditeur, qui a déjà rendu ie service de puh)ier te. (cuvres de i'abhé Isaie (29 discours, fragments, récits. 68 préceptes), Jérusalem. 3 fr. Il vient d'éditer, dans la ;V<'f;Sion, t9H-)9t2, la vie de saint Huthyme, écrite par Cyrille de Hcythopoiis (tirage à part, 2 fr.).– 6. L'ouvrage ust dédié au monastère de saint Jean-liapti.ste du Jourdain et a son ancien archimandrite Grégoire. 39R INTRODUCTION. '94] Ce sont des anecdotes ou de bonnes paroles grecs. I..ipop/)~?K~ nombre a été en augmentant rédigées en grec dès le jv" siècle, dont le en latin et en syriaque dès le jusqu'au vm" siècle. Ils ont été traduits v° siècle et il nous en reste des manuscrits syriaques du vi" siècle. Le nombre et l'ordre de ces récits varie avec les recueils. On arrive bientôt à distinguer un recueil par lieux communs, où l'on groupe ensemble, recueil commenpar exemple, tous les apophtegmes relatifs à la charité. Ce étaient çait, dans chaque chapitre, par écrire les paroles dont les auteurs à peu près désignes, en commençant toujours par saint Antoine et en suivant des Vt~e du livre V latin ensuite l'ordre alphabétique. C'est la disposition P<Mm ou Ve?-~ ~m'on(m, Migne, P. L., t. LXXIII, col. 855 à 988, et celle d'un grand nombre de manuscrits grecs, par exemple des manuscrits de Paris Coislin 108 et 127. Certain auteur a ensuite partagé ce recueil en deux, en écrivant d'abord, par ordre alphabétique, toutes les paroles dont les auteurs sont nommés, et ensuite, dans une seconde partie, les paroles anonymes tel est le manuscrit de Paris Coislin 126 dont la première partie (auteurs connus et reproduite rangés par ordre alphabétique) a été éditée par Cotelier, éditons la seconde par Migne, P. G., t. LXV, col. 71 à 440, tandis que nous c/M'c~eH,1907, p. 43, 171, (paroles anonymes) dans la Revue de ~'0?'M?M~ etc. 393; 1908, p. 47, 266; 1909, p. 357; 1912, p. 204, 294; 1913, p. 137, manusNous reproduisons les Apophtegmes, édités par A d'après le crit 448 du Sinaï, du xi' siècle (à peu près identique au Coislin 126 du x" au xi" siècle édité par Cotelier). Nous avons tenu compte de l'édition Migne et de plusieurs manuscrits de Paris' Nous ajoutons cette version à cause II. Version .s'Mn'a~Me (/<~ Apop/~e~e~. de son ancienneté, d'après un manuscrit du British Muséum, add. 12173, du vi" au vu" siècle, qui mélange les apophtegmes aux récits de Pallade et de Rufin. Cette version syriaque des Apophtegmes a été compilée, vers 650, P~n<m syriaque édité par le moine nestorien Hananjésu, dans le Paradisus Nous utiliserons ces deux par P. Bedjan et par W. Budge (voir aux sigles). éditions. Les versions confondent les noms Ammonas, Ammonios et Ammon, nous éditons donc ici quelques récits supplémentaires dont l'attribution à Ammonas, disciple d'Antoine, n'est pas certaine, mais seulement possible; nous n'en avons pas fait état plus haut lorsque nous avons résumé sa vie~. (le RM/w. III. Deux sa~7'<n~ de version syriaque de F~M~M'M?noMac/K)n<m est le successeur Le premier (sur Pityrion) nous apprend qu'Ammonas intitulésGeronlicon on7~<<!7'td'Ammnnasdans lous les manuscrits. ). On trouvedes apophtegmes fol.21'-24. L ems. f ol. d ux[!" l esconlient t ous, 873, 185',portef'apopht. 1; le siècle, con le ms.1599, ms.Coislin257,fol.i09,porte les ap.7, 9, il. Voird'autresmanuscritsauxvariantes. 2. L'ap. 4est conservédansune traductioncopte,cf. p. 404,n. 3. [95] 397 INTRODUCTION. d'Antoine; nous reproduisons les éditions de MM. Bcdjan et Budgc. Le second concerne Ammoun et nous le rapportons encore à Ammonas parce qu'Ammoun vivait à la même époque' et dans la même région qu'Ammonas~; de plus, le texte original est sans doute le latin qui ne distingue pas toujours les diverses formes de ce nom; en6n, tout le récit semble être une rédaction légendaire qui doit être rattachée à l'apophtegme 2, lequel raconte comment Ammonas tua un basilic. Il semble donc permis d'identifier ces deux hommes de même époque, de même région, qui opèrent des prodiges analogues et qui portent en somme le même nom. Nous éditons ici la version syriaque inédite qui est contenue dans le seul manuscrit du British Museum, add. 14597, daté de l'an 569. IV. Les /eM?A, p. 7 à 17, édite cinq lettres, d'après le manuscrit n° 464 du Sinaï, fol. 242 à 246, du xvu" siècle. Nous avons trouvé les lettres 3 et 4 dans le manuscrit grec de Paris, suppl. 28, fol. 288. Deux nouvelles lettres (6 et 7) nous ont été fournies par le manuscrit Coislin 370, fol. 183 (lettre 6), et suppl. grec 28, fol. 288 (lettre 7). Un fragment de la lettre 7 se trouve dans A, page 28, d'après le même manuscrit du Sinaï, fol. 24F. V. Les t/Mc~?M ~/Mmo?MM. 1" Nous éditons d'après les manuscrits de Paris, grec 2500, fol. 200', et suppl. grec 1319, fol. 127, un extrait des instructions sur les quatre choses qui empêchent l'homme de se repentir 3. Dans le second de ces manuscrits, cette pièce est immédiatement suivie, sans aucune séparation ni aucun nouveau titre, de 19 e.rAor~a~o/Mque nous éditons en conséquence à la suite. 2° Exhortations été traduites Patris p. 383 en (chapitres parénétiques). latin par Vossius, d'après om/!ta. n;(Hcrece~ opem EpAme?K~ à 385. Vossius confond Ammonas Ces deux dix-neuf manuscrits de ~~n~a~~OMa~, avec Ammon exhortations Rome; Anvers, de Nitrie ont Sa/ic~ 1619, Le texte 1. Rufin. qui écrit, de 402 a 404. ce qu'il est censé avoir vu vers :!94, Preusehen, loc. cil., p. 2o'<, dit qu'it a vu d'une part le successeur d'Ammonas, infra, p. '[24, et, d'autre part, )e successeur d'Ammuun, infra, p. 428. Ammonns et Ammoun sont donc contemporains. 2. Ammonas et Ammoun vivaient tous deux en (Basse) Thébaïde. Il est difficile de pousser rapproximation plus loin. On place le mont de saint Antoine en face de Bouche. vers 2')° 8' de latitude, mais il n'est pas sur qu'Ammonas et Pityrion ne doivent pas être portés ptus au sud. a Gebel et-Ter par exemple, Butler, loc. cit., II. li)9. D'autre part, Ammoun semble devoir être placé plus au sud. mais Rnfin ne respecte pas toujours t'ordre géographique, cf. Preuschen, <oc. r;< p. 207-208. e) nous pouvons aussi rapprocher de Gebel et-Ter ou même (te Bouche le berceau de sa légendn. .S. Cette pièce est mentionnée par Fabricius, Bt'M. graeca, éd. liarles, t. IX, p. 2SO. Elle figure encore dans te ms. :}781de t'Athos, du xvn° siècte. C~ Lambros, Cambridge, t'joo; dans tes mss. 43 et 44 Reginae du Vatican, fol. 17:; et 14) dans le manuscrit 41S de Moscou du xv° siècte, fol. 44; cf. Vladimir, /~r/oK des /Hn/fr<~ f/f la /)t&/to<e de ~nxcoM, Moscou. s)/M//</Mf synode t894, p. 627, et dans le ms. 155. tôt. 19-22. de Vienne: cf. Lamhecius. ~h'o~ccn. éd. Kottar, Vienne, 1776. t. IV. p. ;!t8. 4. Fabricius en fait autant, lor. r;7., t. IX. p. 260; mais t. V, p. 724, il t'identifie avec Ammon. Ct 393 [96] INTRODUCTION. grec a été édité par A d'après le manuscrit do Jérusalem, de la collection de la Croix, n° 1!}, du X! siècle, fol. 198 à 203. Nous avons relevé les variantes des trois manuscrits Coislin 303, 370 et 283. Les deux premiers ne renferment que quatorze chapitres au lieu de dix-neuf et le troisième contient une rédaction qui diffère bientôt de la rédaction ordinaire au point qu'il nous a fallu aux variantes. Nous citons encore, aux souvent la citer intégralement variantes, une partie de la rédaction du ms. suppl. grec 1319, fol. 137'. 3° et 4° Ces deux pièces, qui renferment des conseils à ceux qui veulent vivre dans la solitude ou qui commencent à servir Dieu, sont contenues dans le seul manuscrit de Paris, Coislin 282, fol. 161 à 164~. VI. Nous terminons par deux fragments, le premier édité par A, p. 28 à 29, d'après le manuscrit 464 du Sinaï, du xvu" siècle, fol. 255 à 256; le second conservé dans les manuscrits de Paris, Coislin 108 et i27, à la suite de l'apophtegme 1. Ce sont des exhortations dans le genre des conseils à ceux qui commencent à servir Dieu. On remarque que le syriaque, lorsqu'il est conservé, est en général une traduction fidèle du grec. Il nous a servi, lorsque nous avions plusieurs manuscrits grecs, à établir le texte. Voir surtout la lettre grecque 4, pour laquelle un manuscrit grec présentait plusieurs lacunes. Les gène imitent diverses pièces grecques et les phrases hachées souvent le parallélisme commun points rcncc avec de contact de forme. des la forme et Nous la ne que nous sentencieuses lettres. différence connaissons des des livres Nous de éditons avons sujet pas n'ont pas conseils bibliques; pu relever sunire peut non plus les n'ont un aux homo- sujet moines, presque rien qui de cependant quelques à expliquer la dinede la tradition étapes Les exhortations figurent dans les père de 3.nno moines en Tbébaide, contemporain de Rufin. mss. 108: 3081, 5457 de l'Athos; dans plusieurs mss. de Jérusalem, dans les manuscrits 177, fol. 207, Elles ont été traduites en arabe, et 180. fol. 353-360. de Moscou, cf. Vladimir, loc. cit., p. 198. t. LI C18')7),p. 4M (ms. de Strasbourg, écrit en 901 de notre ère, fol. 151-R). cf. Z/A~ éd. Kollar, 1. Le ms. 156 de Vienne, fol. 36-41, en contient dix-sept. Cf. Lambecius, B~M~f'a. 1. IV, Vienne, 1776, p. 326. Sur ces différences cf. w/c, p. 471, n. 1. 2. Le ms. de Paris, suppl. grec, n" 652. fol. 28), porte « Méthode d'Ammonios l'astronome pour fabriquer un astrolabe ». L'incipit Tb p.~ E;MSo~To~, S ~EptE~stT&TujMm~aest celui de l'ouvrage qu'on attribue d'ordinaire a Nicéphore Grégoras. cf. Ca~/og'm' co<M. f<s<o<og'07'Hm~'aeco/'um, III, eof/. ~e~to~ p. 7, 18. 20. On attribue encore à Ammonius et à Jean Phitoponus la description de l'astrolabe qui commence par E! po'j).EtY~N~xE~ TY)vïou &!7Tpo).aêou t~oBov, éditée par JIaso, A/tet';). ~set:n!, VII, 158. Cf. ibid., II, cod. t~ p. 1; IV, cod. /<n! p. 33; VI, cod. P't'~o6-, p. 3. C'est peut-être là TM KtrTpoXKët.) t'ceuYi'e d'Ammonius; celle de Jean PMopunus débute parT~ T))< E~a~fK; et a été éditée par Hase, /Mt' ~HseH/K, VII, 130-)56. Quel que soit cet « Ammonius l'astronome », dont l'existence est attestée par Ëtienne d'Alexandrie, <o~. cofM. <M<g7' II, cod. ~c/t., p. 182 et VII, co~. n. il n'a aucun avec nos moines. Le manuscrit ~'e/'m., p. 123, 1, rapport grec T. n, 6. de t'Escuriat. du xv" sicctc, contient un feuillet d'Ammonas (foi. 54), « sur l'amour du Seigueur )), cf. E. Miller. <<!<ff~g'<fc(les mss. grecs de !'7~CK7't(! Paris, )8'tS. p. HM. ~7! INTRODUCT)OX. 39n littéraire qui nous a transmis ces documents; on voit déjà par les lettres et qui sont compilées, ecourtees, allongées dans les manuscrits grecs surtout par les exhortations, dont nous avons relevé au moins trois rédactions différentes, que les écrits d'Ammonas, à cause même de leur succès, ont eu chance d'être fort maltraités. Le plus sûr est donc d'éditer tout ce qui nous est conservé sous son nom, après nous être assuré toutefois qu'on n'en trouve pas l'équivalent dans les ouvrages les plus répandus comme le 7. t. CIII; saint Jérôme, ~d., t. XXIII: Cassien, L'~v rc~/M/ ~W., t. L; saint Athanase, P. G., t. XXVIII; saint Basile, t. XXXI; saint Ëphrcm (trad. Vossius). C. IhsToiRE LiTTEHAiRE. Du iv'' au v'' siècle, Isaïe l'égyptien cite les Zosime y renvoie explicitement~. Du v'' au vt" siècle, exhortations la légende syriaque de Miles, évêque de Suse, mort vers 340, raconte qu'il a été passer deux ans en Égypte « à cause de la renommée du bienheureux Amounis, disciple d'Antoine centré en Perse, il vit un serpent nommé ~<~ (~x~~ == a:c~, cf. tM/ra, p. 426, I. 11); il commanda et aussitôt le serpent creva depuis la tête jusqu'à la queue )). Bedjan, Acta HMn'rMm, t. II, Paris, !891, p. 265-266. Cet anachronisme semble basé sur les récits, in fra, p. 426 à 432. Plus tard, Isaac le syrien cite explicitement l'apophtegme 7. Le grec d'Isaac, qui n'est qu'une traduction du syriaque, porte Ammoun au lieu d'Ammonas, parce que les Syriens, nous l'avons vu, confondent ces deux formes~. Vers cette même époque, les lettres étaient traduites en syriaque et il reste, de cette traduction, un manuscrit de l'an 534 Du vi° au vu'' siècle, Dorothée cite l'apophtegme 10~' et JcanCHmaque fait allusion àl'apopht. 1 Au !x*' siècle, Thomas de Marga cite dix lignes de la lettre 1 et une phrase de la lettre 5, cf. ;/i/m, p. 433, 4~9, d'après la version syriaque « il convient de citer ici la parole de saint Amounis, qu'il introduit ainsi ascète et évoque élu dans l'église de Dieu, (lui a écrit dans l'une de ses lettres à ses disciples )). Les lettres ont été mises sous le nom d'Antoine, comme M. Kmosko a eu le mérite de le découvrir. Ammonas a été popularisé surtout 1.A(voirles Sigles,p. '<.u2) faitdo fréquentsrenvoisà t'editionde Jérusalem,iull. Migne.P. G., t. XL,col. HO. en a éditeunetraduction!atinc.C'estFœuvred'Isaiemorten Palestinele ll août i. VI![.p. 1H4-)65. -2. Exhortationt2: cf. ~a. p. 466. 'i88: cf. '0 jjmxapto; Exe~o< 6 'Ajj~ou~ 6 xyto;. oTE a~Me npo; To~ cM~KTjio'< TOU xyLOU[tsy~ou 'Avtm~to~, xxi E~Œ<~9T, T~ 65o~, p).E~E T: s~s 'npo; Tov <-)Mvxxi ~œ< T! Ejt0['<]<7~K'jTt.') 6 Oeo;. Isaac de Ninive le Syrien, édité par Nicéphorc. Lfipzi:{. 1770, p. 233. Sur ).< date des ntanuscrits cf. cd. Kmosko, p. [.3] à [7]. 5. Cf. ;<7, syriaques, p. 408. 'E~ S~pXT?]TieSYlQs:~To6o~ XO~tX~O~TO~ SsOOtXE'6 SE E~ X~~Y)7ipE{ih)~pûêo'~ Kup~O~TSTOXE~0'~ OUTM~6 ~pOTSpO~ To S[xœcTTjpM' m; 6 Ssurepo; Ta To~ xp['cou xp[TT)pto~SsBotx~ « Ceiui qui est uns aux fers dans une prison craint ie jugf: ceini qui vil dans une cellule, au d(''sert, enfante ta crainte du Seigneur. Le premier du juge (suprême). autant que le second craint tcjugcn~ent t. I~XXXVIII. pas letrittuna) 7. /e/' .fttjDc/'M/'Hm. ëd. Bedjan, Paris, 1901, p. ~79. ne craint col. U13. 400 INTRODUCTION. [98] par les collections d'Apophtegmes et par leurs traductions. Paul Euergétinos, par exemple (~ 1054), a inséré dans sa compilation' tous les Apophtegmes d'Ammonas qu'il a trouvés dans une de ces collections. Un peu plus tard, Jean, patriarche d'Antioche sous Alexis 1 Comnène (1081-1118), résumait les exhortations d'Ammonas dans son recueil ascétique conservé dans le ms. 241 de Vienne, fol. 1-131~. D. OBJETDE LA.PRÉSENTEÉDITION. En sus de son Intérêt documentaire et de la comparaison qu'elle permet d'établir entre le texte original et son ancienne traduction syriaque, la présente publication montrera l'importance de l'hellénisme dès le début de l'ascétisme égyptien. C'est probablement en grec que le second successeur d'Antoine, Pityrion, a tenu « de nombreux discours D à Rufin (~n/?'a, p. 424), mais c'est certainement en grec que son premier successeur Ammonas parlait et écrivait. Moyse l'Éthiopien lui-même, contemporain d'Ammonas, écrivait en grec à Poemen et aux moines". C'est en grec qu'avait été composé le premier monument élevé au monachisme égyptien en écrivant la Vie de saint Antoine, saint Athanase avait remercié les moines de l'appui qu'ils lui avaient prêté et avait créé en Occident un courant de vive sympathie qui devait conduire aux récits de voyages en Égypte et aux anecdotes conservées, en latin et en grec, sous les noms de Rufin, de saint Jérôme, de Pallade. En Égypte même, il est probable que saint Athanase a trouvé des imitateurs et que ceux-ci ont écrit en grec et non en copte, car dans la presque totalité de l'Égypte, après plusieurs siècles d'occupation grecque, le copte avait moins d'importance que la langue bretonne n'en a aujourd'hui en France. Ce petit nègre, comme l'appelle M. Amélineau\ était 1. Xu~yMYï) TM~ Athènes,1901.Paul modifieun peu lestextes qu'ilcite. Beo'pMYYMv p~fMTMv. éd. Harles,t. V, 734; 2. Cf. Lambecius,T~Mto~ecn, Vienne,1778,V, 223;Fabricius,Bibl.~'7'oecs, t. IX, 260. 3. Ses écrits ont, avec ceux d'Ammonas, des points do contact qui s'expliquent peut-être par une 1° Coislin 283, fol. 219 Aoy*" «ë65 MtoOTEM; Tou Ev ~x~ïf) ~po; rov formation commune; citons fTOU E~ tM TOU 0[66oEnotjLMK~pOTpomE~TO; }tEV&(ntC.i;0)MH T~ (TMT~ptOM m(p' a'JTOU-yP"4~ Incipit tfpMTO~ Tht 0EM. 2° Ibid., fol. 226 nepi E~ToM)~.7/M:< 0Eou !p66tj)xai mape(xa).m~a TE~etO;Ee~ e!< to EuapESTsh~ KÛta pu<T9~SEtcnajto mœ~Tj~ 'E~tTa XE~cf).atK T$ a66a Ilottu~t, xa! 6 ~uM<r<rM~ Myo)~omECTEt~ 6 otëëa; MMÛ<n)!; xo).aTEM; 3" On trouve des chapitres analogues dans le ms. grec 873, fol. 348'; Moyse écrit à Pmmen CETGVGC ÈO''ttV-r4 '/tEpt'ltOt'tE'V Èv '/t6ÀEI1tOtiA <puÀciO'O'EW Ota '<EO'O'Œpl.o)"/ 'tOV;o~6Qt).(J.ovt;, '/tpOtY(J.Œ'tWV Ÿ~t~IUXŸJ (J.tOtÍVE'tOtt, Ev 4° ëcrit aussi Atmïo xctt xKt Tb tb E ~So~Mv. ~EpmctTeTv jtETay'txo; aït~a ~ETo: E<TT~ Moyse a écrit aussi pour pour les novices, TE<joapM'< v~MOM TtpcfYpLKTM~ E~EM <u~yj [tMMwntt, f).!ot~ Coislin 283, fol. 227 Aoyot rou aSëx MMÙdEM; ~Ep! x&Ta<!Ta<rEM~ &p~ap(M~jio~ct~m~./KCtp:< irpSTo~ jjLE~ Voir Migne, y. A., t. LXXIII, ~EyEM<!UY~MpT]<;o' T7)~'nm6MO?po<ju~, ETOt~oto~TE~M xot' XoYMô Kxoùojjte~ col. 1014, sept chapitres de Moyse à Poemen; leur traduction syriaque se trouve dans Bedjan, .Ps;'<M!. Patrum, Paris, 1897, p. 745-746 et dans W. Budge, The Book of Paradise, Londres, 1904, p. 647 (trad., p. 849). 4. <:Au fond, l'égyptien n'est que du petit nègre plus précis, mais procédant d'une manière analogue. Et le copte fait de même. » û6'Me/'es de Schenoudi, t. I, fase. 1, Paris, i!)07, p. xxx. Schenoudi n'a à son service qu'une langue vieillie à la vérité, mais qui ressemble, malgré tout, de très près à celles qu'emploient encore les nègres dans l'intérieur de l'Afrique, où un même suffixe dans la même phrase Ibid., p. vi. peut représenter jusqu'à trois sujets différents. [091 )NTRODUCT10X. 401 le patois des humides qui comptaient peu el n'écrivaient pas. « Pense aux illustres Pères (égyptiens~ combien ils étaient simples (~S~ ~M-~ u~p~o~), dit Silvain, et ils ne savaient que quelques psaumes », P. 0., t. VIII, p. i80'. C'est ainsi que la Bible entière n'a pas encore été traduite chez nous en breton. C'est après le triomphe définitif du concile de Chalcédoine seulement, c'est-àdire après le règne de Justin I' que les monophysitesjacobites, réfugiés dans les monastères comme autrefois Athanase, ont eu l'ingénieuse idée d'opposer la langue et le monde coptes à la langue et au monde grecs qui les opprimaient. C'est dans le courant du \'t'' siècle que l'église d'Alexandrie, grecque est devenue trouver dans le sentiment national un jusque-là, copte, pour appui contre les représentants de l'empereur et du concile de Chalcédoine °. Nous ajouterons une table des noms propres et des matières pour servir de concordance entre les diverses pièces de cette publication, une table des mots syriaques avec les mots grecs qu'ils traduisent et quelques remarques lexicographiques pour compléter les dictionnaires. -le remercie tout particulièrement M. l'Abbé Fr. Vanderstuyf qui a bien voulu corriger la dernière épreuve, français et grec, du présent travail. F. N.~u. ). Cf. L., t. LXXIII, col. 889 (ms. L, fol. 17'). Théodore de Phermé ayant dit à Macaire qu'il avait trois exreHents livre-- dont il s'édifiait ainsi que ses amis, le vieillard lui répondit que c'était bien, m.tis qu'il valait mieux ne rien posséder. Kt Théodore a vendu ses volumes pour en donner le prix aux indigents. Macaire disait encore qu'il n'est pas besoin de beaucoup parler quand on prie, il suffit d'étendre souvent les mains et de dire « Seigneur, aie pitié de moi comme tu le veux et comme tu le sais. x /W.. col. 942 et < t. LXV. col. 269. U n'était besoin pour cela d'aucune bibliothèque. 2. C'est alors qu'on a fait de nombreuses traductions et créé de nombreux apocryphes et pseudépigraphes. On ne doit jamais admettre, sans démonstration, qu'un texte ecclésiastique copte est antérieur au M" siècle. SIGLES I. DANS LE GREC A = édition de Jérusalem, 1911. B = Paris, Coislin 303; x" siècle. C = Paris, suppl. grec 28; xv° siècle. D == Paris, Coislin 370; x° siècle. E = Paris, F = Paris, G = Paris, Coislin 283; xi° siècle. Coislin 126; Xe-XIesiècle. Coislin 282; X!" siècle. H Paris, grec 2500; xv'* siècle. 1 = Coislin 108; xi" siècle. J == Coislin 127 XIe siècle. K = Paris; supplément grec 1319; xvi~-xvu° siècle. P = Ms. syr. 201 de Paris (pages 447 à 450) xm" siècle. M == Migne, Patrologie ~7'ec~He, t. LXV. P. 0. = Patrologia Orientalis. II. L == Manuscrit syriaque M = Migne, Patrologies. N == Manuscrit syriaque DANS LE SYRIAQUE (p. 410 à 432) de Londres add. 12173 vi°-vu° siècle. de Londres add. 14597, daté de 569. P == Preuschen, Palladius und Rufinus, Giessen, 1897. = Be Paris, 1897. Bedjan, Paradisus ~M/K, Bu = Budge, The Book o/'F~ra~M~ Londres, 1904. L'accord de Be et de Bu est désigné par B. Nous renverrons dans les notes à Dom Cuthbert BcTLER, The lausiac history of 1904 and Studies de J. A. RoBiNsoN, t. VI), et Palladius, Cambridge, I, 1898; II, (Texts à Erwin PREUSCHEN,Palladius und Rufinus, Giessen, 1897. f. Ano~OErMATA TOU K~ëiX n~pt <X'. yEpM~5 -<Ip(dT7)(TE-rov 'A<~(p6: "T~Kys, (pu~XXTi- T-6~ T70~COV XE~ TO~ EKU-OU T- n~6~ ~KtOUT! ~pOC~OXtX; ~U~ XX~ TtM? ~M XpKT-rOU, (70U~ X~ KUTTM E~E ~E~MV- ~t~" XCtt ET-~ 6 ~O~OY7iTXo6x~ j7.0~ ~MC 'E~ 0';TM; ~EYEt 6 7TOLOUCM 0~ 6'~TE~ M TrOTS -M~ 6 [JLO~~O~ 6<ps0~ oÙKt K<X~ jJLOt~ pYi~.x. MTTTEp 0~ XKXOUpyOt Kv9pMT70U?, 7700 OuTM' p. 24. 'AjJ!.U.M~K'. 'A~M~ ~OytC~ SXE~Ot y6tp SpMTMT~ XXL KTCO T7]~ K~K~ 'A ~tK~~TO; T~ ~E-rcCt, XKt TTpO~e~ ~M ~pKC-t TQU TM P-Of.TL tJt.6~TT,C-~ ~U~XCOU ~tX~~TO;, TM~VXt '0 P'. T-~ "E'\SYOV TOU <X~6<X -~pt ~T~CC< Sp-0\' ~0~0~, ~~M~ ~Mp ~0 RupH, OT~ XKL PxC~tCXO~ 'A~MVK ~MV ~X.XOU, ~M ~M TO~ ~6XT: ~EV ~C~KTX.0~, OUTO< Rx~ ~oQx~, 'A-n-E'\e~ yK? j~ EXUT-M' 6 ~0$ ~8~~ ~t~Ff.l7r'. M OU~K~EL TOU XpKTTOS ~~COxyT]. Titre -4. du ms. Coistin 126 = F; P.C., t. LXV, co). 120 = M. 2. om. IJ. 3. 5. ~o~s~ ~Tou ~x~ IJ. 6. MFIJ 7. aur~ (1. xœ: ~.) ~~M~. SUR i. et le Un frère vieillard sont qui s A. ouïM<; AMJ. le en à et être peux 10 2. allait en il doit mourir 1. Nous se au toujours « Dis-moi et s'appliquer, aux toujours ils pleurent me défendre? tu parole » scélérats hommes son devant présenter Si les Où médites âme le toujours est De d'appréhension. réprimander me une tiennent que demandent pourrai-je pourrai-je de l'abbé désert prosterna )), et aussitôt conservons disant p. 24 et dire tribunal du tu ainsi, )) racontait effet effet M. A raisonnement vlendra-t-11? Comment comment sauvé. On basilic, moi! doit le 8. AMMONAS Ammonas, tiens en quand moine Malheur et Ceux-ci et le Christ, « Va prison. gouverneur même l'abbé interrogea dit L'ABBÉ M. t'ordn' Ammonas pour la face à terre le basilic, des de puiser éditions. l'eau et dans dit vertu parla L'ordre avait qu'il « un un basilic. et qu'il Seigneur, l'un de du creva. chronologique 2"disc~ded'Antnine.7,S\sur.c~s~.urd'A)jtui<i,).:{.(;).ti:~t'.vé<[ue,o'Pro'dige i~i{ei~dair< tué étang Christ, serait l" à Scété, Comme voyait nous il un deux 4, 13, 14, 15; F f. i?r. AMMONAS. 404 [102] sv Sx'TH, ~EO~.MO!; TOU ~TT) STTO~CM y'. El~M 6 C~K~ 'A~M~K~, OTL'~SX&TSTCKpX ~C<M T-~ OpyV)~. OMU" VUXTO? X<M -~jJUpK; MO!.~.Ot~C(.pKr/)T<X~ OU' S'. At~Y'~KTOT~ T&~ ncM-EpM~, T~ yspM~'!nteu{Jt.'XTtXQ~" 6~ TK ReD.!<X,<p0-' Tr<XpE~eTMK~~ 'A~~VM. E~S ~6 XUTMô Y~pMf<j)OpOU~TiX OM~~KxQMV, XMt<XTTE'\6M~ KUTO~ ~yM~' TpEt<; S TO~~MV, xai ~EYEt'~KUTM'ToUTOOU~ CS MOe~. Kof.~'<)pMT7]CM 6~ ~)~ TO TTS~EoSoM~ S~ T!X~ 6p7)~0[Ç", ~<X<XW6'X9M 'XoyKTU.Ot OY~OUCt ~E'\ E~ XS~M~,xai [M)~ (X.r~M~" ~OU OÙ~ tJLEemYMtdaXEt'* M<X SYX'\sf<TM E[Jt.<X.UTO' TM~TpKO~ CU{A(p6pet <70tTTO~6 <X~6~ 'A~M~- OÙ~ ~& ~06c9~. AEVa <XU'C'~ XKl6(~6 X<X.6' XXt {JUXpW -~jJ'.ep~, ~6 ~<XTT6tV00(.t,K~K U.K\0~ X<x9ouS~ TOXE~tO~ COU, ~0 <Tm9Y!Xt. TOUTe~M~OU TOÇTGV~OYOV SV T~ XKp~~ COU,xai ~U~KCOU X6t~6~0~TE$XXTM).H7E~ XTCTi~E'. 'A~e~OO~CU~T) 6~HJ/~S~ TM Td~MXUTM~, K.UTO~, A p. 25. t~~ MUTOU<; T'/)V K.~ t~OU6 yepMf XKTST~ee,X<XL 9oVTTpÔ~ TOVKëê~ 'A~M~. 7!;<Xp<X 9. J om.Tou6eou. 10.A 0)M.wxTo;xon~ji. 11. ~ovtxo;MFJ. 12. '<x6o~MyEtJ. J. 17. M ~tTEtCM J. 16. ev sp-iijj-fp 6 YEptM–14. ~0[MF. 15. Tt~Ec6mMF. J. 20.cnt<r<Tt5 J. 21. ouS'~a ex To~TM~ 19.~uT<!v MF. J. 13. M add. 18. Y~tiMXEt 3. L'abbé Ammonas dit « J'ai passé quatorze années à Scété à prier Dieu, nuit et jour, de m'accorder de vaincre la colère. » 4. L'un le voyant vieillard cer dans de m'enfermer deux A p. 25. ils porter la toujours 5. Une voulaient le vieillard une « Trois Ammonas reste ton cœur dans arriva épreuve l'abandonner, naviguait en cellule mais lui natte, ou d'aller dans choses, y qu'il il alla rendre disant » L'abbé leurs. ces trois aie natte; l'interrogea, le désert; avait raconta une portant spirituel lard, Pères des et qu'en dit aux visite à l'abbé « Cela ne pensées t Cellules' te un Ammonas. sert me tourmentent de rien. vieillard Le vieil» Et le 5 ou de m'avan- ne me connaît; où personne pays étranger ne mangeant et de ne voir personne, que tous lui dit « Il ne te convient de faire aucune ou les de 10 un peu chaque dans ta cellule; jour; mange plutôt » du publicain~, et tu peux être sauvé". la parole comme dans l'endroit où ils habitaient aux frères ils et de l'abbé Ammonas près le long de la rive marcher voyant allèrent les voilà du que fleuve 1. On trouve fréquemment mention du désert de Seêté, du désert des Cellules et enfin du desfrt et de la montagne de Nitrie. Scété était à six milles des Cellules et à une journée de marche de Nitrie; six lacs Butler, !oc. cit., II, p. 188-189. Vers 30° 20 de latitude et 28° de longitude est, se trouvent les de sel marin et de Le natrou (mélange du Natron dans la vallée du même nom (ouadi Natroun). la du verre. Il est momification fabrication était utilisé la et, tard, pour carbonate de soude) pour plus naturel de placer le désert de Nitrie en cet endroit. On place le désert des Cellules vers le sud-ouest, au delà du fleuve sans eau, vallée large de trois lieues, parallèle à celle du Natron, où coulait peut-être vers le sud-est, de la jadis une branche du Nil. Enfin, on place en général Scété dans le prolongement, vallée du Natron, bien que cette localisation présente quelques dinicultés. Cf. Mémoires scen<<~M par le R. P. des savants composant l'Institut <jÉ~p<e, t. I, 8°, Paris, an VIII, p. 223-256; L'~g-~e. semble Scéte <oe. 187-190. Macaire cM., II, placer près du M. Jullien, Lille, 1889, p. 36-56; Butler, 982. -2. 5. 3. Ce récit semble exister t. col. « 7'. L., LXXIII, Luc, xvm, », marais, juxta paludem en Copte, W. E. Crum, Catalogue des mss. coptes du British Muséum, u" 2t('. ). ~103] OYf)' O~6~Y2- 2'> O~EUO-~TC~ (¡IJEUO'lTiXÇ T'j'J~ XO~~OOU~ TOC ;:OT7.IJ.au, TOÜ ~OTX~.OU, Et~E'~ XUTO~' KUTM~ TXÇ XXpO'LXi; ~7,[j~X~ ~UV7; APOPHTEGMES êt1t"ê TO~Ç VXUTX~' '%UT%'Ç' S~eTO~ 'EyM 405 BiX~ETE Ets 't"'I}' iX ,êTE 1J.ë ~.E E Et(;T7]~ TTpû~ 0~ 9e).ETE e).9e~. EtU.L 'Au.hJ~<X; ETTO~TE~ XUTO~ K~ÀX (JÀnL~ GRECS. 3-7. UTMCTpE~Xt 0'9:~ S~9o' Ou yKO K.Xt Kxi Y~. ^~ŸtV. K.0t~ S~6 XX~EfTK; xxaÉCxç TCKpKXX~SCCt~ TO ~OtXY~.tX *Ff.l7v V iXf6ptt)'!7~ 'H~6s TTO-re C !xë6K(;'A~pLMVX~ XodSUp6TO 'KOpQ~.E'L'O' '~EpKCX~TOV ~OTK[Jt.O~, XX. (XUTM~XCt~ t ~OU 0~\0 E: TO~TOITO~ <p~OXX~OJ~.EVO~ 'KXp6X<x6sc67; CXX~O~ '~Ms, X!XtSWMXO'e XK~ As'~OO X<Xt TOU<; O'U~O~TK. XUTM' CU,KêëK, TTEpiXTOV K\'9pM'770U;, ~EYOUC'~ OUXSMxëx~M.EtyS ~6 ~ECT~M~.'0 ~6 ~EyE~Et jjt.7)~S~ TO§'<0'7t.O~rop6[/.SMV~ T7~.SXMV~' Tà '!COp9~M~OUY~YO~S [/.7;~6xM~M~,XXtSX.K~TO ?S;pX~,xxi ~X~~ MM~XUT7)~ 10 ~.EM)~~°, XK~OUTM: E~X~O~ O'JV XUTM 0~ TtTOCïO 577MK<7e~. XOsXoo~ tjt.STX'~OtX' ~.EYO~TE(;' K.Xt 6 "IvC( ~X~TOTE ToO (T~OU~X~O~TO~ STFOt7',CX~; ')~YEttX'jTO~ yspM~' y. ~OYM~.OU TTMtWXTh).'AXXxXXtTOUTO SOTt~ t~K 6§0~TOC XXTK<TTX<TS(i)<; TTjV ~ETX U~O~E~K ~X~t~M~E~ (-)s~. ?'. 'A7:7;~6s ~OTe'~ 6 cc66~ 'A[/M~K$ 22. o~a~ MF. 23. x~ecra; aÙToùc A. AJ; ~[/oxa).t)~.Ew< MF: A). 7tE(p().oxe).'<w~. 3]. 'K/.sxo~ )' 32. [tsï. o! aS. 33. A~Me '~<XpCt6x'~S't\' TM K~ëx 2'<. 0~'}'~ ~f. 28. KUToJ. 'A~TM~tM xai 2.'). 'n'EpmsM M. 2G. ~ope~ov F. 2'). Sic J; AM :!0. ovra;. STT'\K~]8'<1 27. Sic s:jj.! A. ~oTe A. « Débarquez-moi à terre. » Puis, appelant les frères, il dit aux nautoniers il leur dit « Je suis l'abbé Ammonas, près de qui vous désirez aller. » Puis, il encouragea leurs cœurs et il les fit retourner à l'endroit dont ils étaient partis; car il ne s'agissait pas d'un préjudice pour l'âme, mais d'une tribu- *Ff.i7v lation humaine 6. L'abbé Ammonas vint un jour pour traverser le fleuve; il trouva que le bac était préparé 2 et s'assit près de lui. Voilà qu'une autre embarcation vint en « Viens, cet endroit et passa les hommes qui étaient là, et ils lui dirent toi aussi, abbé, passe avec nous. » Mais il dit « Je ne monterai que dans le 10 bac public. » Or il avait une botte de jeunes pousses (de roseaux) et il se mit à tresser le jonc et à défaire son ouvrage, jusqu'à ce que le bac arriva à partir et ainsi il passa. Les frères lui firent révérence et lui dirent « « Pourquoi as-tu fait cela? » Et le vieillard leur dit « Afin de ne pas toujours marcher avec l'esprit pressé~ » C'est encore un enseignement à suivre la voie de Dieu avec calme. 7. L'abbé Ammonas alla un jour à la rencontre de l'abbé Antoine; il se 1. Cf. Lettre Y, 2, :n/7Y/, p. 447. 2. <î't).oxah]~o~. Ce mot a conduit à deux traductions différentes en syriaque, cf. /n//Yf, p. 4t3: on )e trouve encore dans passage suivant Ammon de Rhaythou dit à StSOéS 1 OTC~o~!X*]~tU(TXfo i'pK~T)~, Qs~Et Ô /.OYtf7[i6~~JLOU fpt~OXK~<yatAOYOV,[VK~M E~ STTSpO)'C~[JL<X. Migne, t. LXV. anima col. 397 t'HM animus sc/KO/M'M, H~ /itt6eam ad interrogationem, apparare mea <M/'e f;< p~n~/s .s't'm s~ interrogata M/'mo~m, rMjOonf/e/'e, Z. ~aa ~0~. ti~M ~if~ <jU8H)n~. ~3 t~ )oot~ 3. V. iiedjan. p. 87j. p. 3'.t'), note l. ibid., col. 398. t. LXXIII, col. xu~H. Introd., 406 AMMONAS. [104]] RetLK~<X.CT<X~ SX" TOUU1MOU TY)~ 6~0~,X<Xt X(X.9M(X;EXOt[Jt.7]8')f) '<)U~C(TO~° [Jt.WpO~. TMOeM 6 TO <TQU~. Kai MmQ'/j KUTM <TOU, ~EYM\AeOM.tX.~ KuptS OsOÇ~.OU,[Jt.7) K.'KO~eCT)~TT~KOU.iX. EXTOU O'EtX~UOUCaf. OU M; YEtpK~QpMTTOU, TYjV <X.UTM 0~0~,~N~ 7)'\9e Xpe[/.6(.[J!.6\i'j OUpXWU, X~ ~CT'Ï)X<XT<X. TOUC'!T/)).<X.MU TOU~6~ 'A~TM~OU. 6 ac~6<$'AvTMVK)(; '/)'. ToUT(dTM<x66~'A~MVKH:poe<[)))TSUfTE~ ~syM~'Sït EvE~ TTOO-5 TOU(")MU. K.K.tS~y<XY6V <X.UTOV XsM~QU }{.<X~ ~60~''°, 6~ TOVfpoëov ~N TOU ~E~EV<XUTM xd~9f.t XtXt EmSV CtÙTM' TÔ~~?0~ TOUTOU X(X~ CtUTOV. '0 ~E Ron STCOtTjCS~ OUTM< "YëpMO'V TU~OV 0 x6&X$'Aw6~t0< M~ e~Ct~CEV 6 ~.t6o! '0 ~E eI'!rEf'OuyL K.<M~.6~6~ <XUT~ ~EYSL OuTMXCCt CUXOLTOC~KëeTv TOUU.ETOOU~ 0 XOH 'A~T<dWO(;' *Ff.l8r°.KÙT~ 6 <x6~K$ t/.E~E~TOUTOU syMeTO.IIpoexo~ yMp à x6ëc{$ 'A[j!M~K~ouï<d;, Me omô ~o~~$ <xy<x9dTy)TO; ~7)X6T[10 Ap. 26. E~S\'<M 'E~ (XUTOU T'/)VXtXXKX~. 0~ YEVOjJt-e~OU ET~tSKOTTOU, <XUTM T7p007)VeYXOV TTtXpQe~OV '~<x6ouSKV E~ YKCTpt,X<M~.6YOUC~ '0 ~<X MCOt'/jOev tXUTM' XUTO ~0!;KUTO!'? '0 ~E SXE~.6UCe C~KUT~~ T Y)~ ~o67)~<Xt~ KUTT) 'E~~UYK(; ST7tTt~Ot.V". C<pp<XYM<X!; XOL~.f<X~, xai M~KTTEp~STXt ?) XÙTT) TO TTK~O~O~, ~O~~MV~~.EYM\MY)'!COT6, Y~C<Xt, <x'n:o9~'jj] KUTMo! XKT' C<.UT~ TK TOUTO 00~ 15 EUp'/)X'/)~Eu67]~6(.[. AeYOUCM ~TU~OVTEÇ' eTCOt~CM~, '0 ~S OTt SCTt XKt (XUTO~ <XUTO?$' ~.EyEL B).SWeTE, (XOSX~Qt, 1 e~[Tt{Jt. EYYU~ TOU6<X\'<XTOU, 34.xaS~K;A. 35.on). A. 36.eu~ToMt'. 37. Cité par Isaac le syrien, cf. Introduction, 399. 38.om.F. 39.~!9m~ F. 40. TOUTO To[t~rpo~ MF. 41.~po~EyK~M. 42. M[ott)<TE To~ïo p. MF. 43. EmT(jj.[OK A. 44. Bo6e!~at A. 45. <y~BM~tM\t F. trompa de route, s'assit et dormit un peu. A son réveil, il implora Dieu, disant « Je t'en prie, Seigneur mon Dieu, ne perds pas ta créature. » Et il vit comme une main d'homme suspendue au ciel, qui lui montra le chemin jusqu'au moment où il vint et se tint près de la caverne de l'abbé 5 Antoine. 8. L'abbé Antoine prophétisa à cet abbé Ammonas qu'il ferait des progrès dans la crainte de Dieu. Il le conduisit au dehors de la cellule, et il lui montra une pierre et lui dit « Injurie cette pierre et frappe-la. » Quand il l'eut fait, l'abbé Antoine lui dit « La pierre n'a-t-elle pas parlé? na Il répondit « Non. » Et l'abbé Antoine lui dit « Toi aussi, tu en arriveras 10 à ce degré B ce qui eut lieu. Car l'abbé Ammonas progressa tellement dans *Ff.i8r' la perfection qu'il ne soupçonnait plus le mal, à cause de sa grande bonté. *Ap.26. Par exemple, lorsqu'il fut devenu évêque, on lui amena une vierge (religieuse ?) qui était enceinte et on lui dit « Un tel a fait cela; donne-leur une pénitence. » Mais, lui signant le sein, il commanda de lui donner six paires de 15 « De crainte, lorsqu'elle arrivera à enfanter, qu'elle ne meure draps, disant elle ou son enfant et qu'on ne trouve rien pour l'ensevelissement. » Ceux qui étaient intervenus contre elle lui dirent « Pourquoi as-tu fait cela? Donneleur une pénitence. » Mais il leur dit « Vous voyez, t'rèrcs, quelle est proche I. [105] ~M "E)~ ~o~ ~ou ~p~ ~jTo~ yu~ T~ 6 ou~~T- ~'7~ 10 6 ~6~ <yu~~ S<7TtV, 0~ 0 Kgg~ YU. Tu 'A~~M~ ~6~ TOU O~EUpO. Kxs yu~ 0~~ xai YE~~O~, ~s. OTt 0 ~gg~ TL 'Â~ F. rédactiun ~ar fol. différente, oj.p~. Hx.u.u. ~p6. a.~ m. "E~ï.p. K.t !6< ï~ A~. MF. M. EXN~]~ .1. A. Le TO ~i~ n6~u; Y- T.. ~M'~Ff.lSV A, ~Qou~ xxi ~p~.M- X~~OV. 1259 ~6~0. <XÙTO~. OU. SCTL TOCTO; ms. uëp~O- :~T~ TOÛ ~XE~<7E <pY)~ 6 du 0~ ~Y~p- x.v. siècle, porte S~6~ ,u~ xai 0 ~g., Y~M M. 49. sp-~o~ CU~e- 'A~ .gg. ~i Y~ r' ~T. 16-2 r~ TOC n~p~E.0~~ TO "Hxou- ~M~ ~~6~00 XKL cu~ s~po- s~. <7-~SpOV~; E~ TOC ~<IXO~ 060~ ~T-,8- yep~ <TG~ ST~p~)<7~, ~EY~. ~x SXe~U~ 6 §s X~ ~p~)T~ ~90. E~ ~RU~. ~~OU, EXE~O~ Y.d~ '0 ~o~~ X~O~ M. .~< xa: x.~u; ~.eY. 0~ x~~ .~ep~ p T~K. XXTKXp~XL X'JT-~ TO 6~ TO~O. XUT~, xo~ou~ Y6UC~<X. e~~esi:. TOV O~OU~T~ ~XpEX~EC~ T~ T~ ~~L yEpM~ ysp~ ~M~ ~J~ s~ Y~~ SX TOU ~n~OU. ~g~ ~<p6~ S~E~ o! CE -~e~" 6 Ou~ ndcou~ ~yer 6 x-jTM. Trxp' ~eye.- xxi -r~T- 407 ST0~7,'7E~ ~e-t ~T-~ <pM. T~ n6oVT~ 7)Mo. KÙTOO, ~6~. ~TO. ~S~~ ~~OV GRECS. 8-10. XMOUX K.JT- T~~ 'A~~M~g M~6d~EC ;~OU". o'T~ C~OT'/iTK nOTE xxi C~AUC~ yipwv XT-/i(7M;~L ~X. RKt ~o~CX~ ~M 9'. APOPHTEGMES ~a une .u~ x~ ~T.. ~v, sp, a. se. ~M, 5C. <7UYXMpï,<retM. de la mort; puis-je donc agir autrement? » Et le vieillard la renvoya sans oser condamner personne'. 9. On racontait de lui que certains vinrent lui demander de les juger; mais le vieillard simulait la folie. Et voilà qu'une femme vint près de lui et 5 dit « Ce vieillard est fou. )) Le vieillard l'entendit, l'appela et lui dit « Que de travaux j'ai dans les déserts pour acquérir cette folie! et accomplis voilà qu'à cause de toi devrais la je perdre aujourd'hui » 10. L'abbé Ammonas vint un jour en un endroit pour manger, et il y avait là certain (frère) qui avait mauvaise renommée il arriva que la femme vint 10 et entra dans la cellule du frère était mal vu. A cette nouvelle, ceux qui qui habitaient en cet endroit furent et se réunirent pour le chasser de indignés sa cellule. Lorsqu'ils surent que l'évêque Ammonas était en ce lieu, ils vinrent lui demander de les accompagner. Lorsque le frère s'aperçut de cela, rr.i~. il prit la femme et la cacha dans une grande jarre. L'abbé Ammonas, à son entrée avec la foule, vit ce était arrivé, mais, en vue de Dieu, il cacha la qui chose il alla s'asseoir sur la et ordonna de fouiller la cellule. jarre Quand ils eurent cherché et n'eurent pas trouvé la femme, l'abbé Ammonas dit « Qu'est-ce que cette affaire? Que Dieu vous pardonne! » Il pria et les <Ji'.t;i/a, p. 4;)6,3. t'A't'R. (!)(. T. XI. :J7 U~. [106] AMMONAS. 408 KdXt S'XjjLS~O! ETtO~CS K~-rK<; X6H XMT<tC~M~ T'~ -X~Mp-?.C~, ~E:9X TOU ~6'\<pOU K<XtTOUTO E~S~KUT(j)' SmN~,(X~Mp'/XTE~ M!XUTM, <X.X<?S. MpOce~E K.KL SCT~ M~7) CTE~ TE6'); KX'. 'HpMT7f67) 6 X~K~'A~.MVMÇ A p. 27. T~ ECT~Tô ~X~cSctt.TOU~ O~TT) ~yt<7~OXp~S~ 6~6~- 'H 0~0~7! CTEV7)X~ T~) -0 « ~ou ec-rt -~s~ r. xxi xo~-re~ oM ro~ 0EM -rcc'~[K e~otTOf.- xs(.tTOUTO ~ou~eo(.u-rou CO!. B. '!tWT<X XfXL 7)XO~Ou9'<f<?K~M K'D'~X.Kt/.eV xxi el-!r0~MUTM pT~.K' TOUAeUtTtTM Këëx 'A~TM~M, tP'°". Â.~<CO~-!7<XpS~OV ctÙTM~6 ~€~ 'A~M~ xoS. 'E~6e~ o'~ 6 yepM~s~ Titv ~p7)~, xc~ -~o~oue-/]<7ev 6 yeRM~CT6{<; E~ ~OC~ S~M$T7i~CU~es~ ~UTOU~.R~ jJt.C(.XpU~5TTO~U~ XpU<D~ TO p~~°' 10 '0 OM?, ~OOTe~O~T~ MMST~, XOtt~~K~~ ëyp~S ~N~ ;~Y~7i' E~ o5\' 6 <x6~? 'A~M~<X~, ~~OUC<X TOUTO. KKl -~6~ <XUTM~ ~6T' KUTOU. <pMf7J Tou~oyouaux ~ov. oTt' T~ ~MV-~-iixoucK' T-~ ~s ~u\~<x~~ LY' atou 'TEc~E 6 O~E~pOÇ n<X~ <xÙToO, 6 Ss KëëM; no~ TOU Këg& oux -oee'\E- xai n0t~0$ C~?~ KVof.cTK~ ~uye TOUXE~[MTK TMO~ 6~M -rov <xgg~ 'A~x~, Tt ~o~~ col. 1693 6 &Y~t 'At<iM~< o~ ~Mo~ o: P. G., t. LXXXVIII, 57. Cité par Dorothée, OTt E<rT~ <~ T& XEM.:0~ToMe TOO xai &g65, Y-~?) ME~O! ~Twt TKpK<T<TOt).~Ot, ~~OU<TMKUTM- Ae~pO P).~E, 58. T:< MF. 59. (rcs~t) sxe~T) ~6<n)~ &Y~ '~X~ eSE:~TO, KY<x~ ~x~ &BE~oC, ~<n]~ eucTt~Yx~ A 0))i. etoh); T-r~ o-J62. ofuTM A. 63. 61. p~TK A. 60. P. G., t. LXV, col. 84. ?6; J. 68. xai S:8K;~ t~ A. 67. ~1~0~~ M. 66. ~M~ 65. A om. <~ E!< ~po<r. !~o~ 64. ~o~~ K. 71. P. G., t. LXV, co). 317. ~K).ouTM {).ET' ctuto~. 70. M add. K. 69. om. K. TM p~~Tt 72. "E. mo~ if~<rto< M. A27 main du frère et lui dit « Fais attention, frère, » renvoya tous, puis il prit la et, disant cela, il s'en alla. Comme on demandait à l'abbé Ammonas quelle est la voie étroite et « La voie étroite et resserrée consiste à dompter re~en-ee', il répondit en cela 5 ses pensées et à supprimer, pour Dieu, ses propres volontés; c'est ~'at'o~~u~. » avons tout abandonné et quenous que consiste le Voilà que nous 12. Des frères vinrent trouver l'abbé Antoine et lui dirent une parole du et l'abbé Ammonas, connaissant Lévitique. Le vieillard alla donc au désert, son habitude, le suivit en cachette. Le vieillard, après s'être beaucoup à haute voix « 0 Dieu, envoie Moyse, et il 10 éloigné, se mit en prière et cria il lui vint une voix qui parlait avec lui. Or m'exposera cette parole. » Et l'abbé Ammonas dit qu'à la vérité il entendait la voix, mais qu'il ne saisissait pas la portée du discours. 13. Païsios, frère de l'abbé Poemen, était familier avec quelqu'un en dehors de sa cellule. L'abbé Poemen, qui ne le voulait pas, alla se réfugier ns dit « Mon frère Païsios est familier avec un près de l'abbé Ammonas et lui 2. Mat.t.h., xtX,27. 3. Ammonnsétait,doncplus ancien(lue Poemen.H 1.MntU).vu t~ demeuraa Sceieavantd'aUcrtrouversaiat Antoine. I. [107] APOPHTEGMES GRECS. 11-1. 409 xai ~sy~ <XUTM' ncf~OC'' 6 XO'E'\<p6~ JJLOU S~S~Ttp6<; TtVX C~EC~, X.K~OUX(X~<XT7(XUO!Kt. 6 AEYE~ K'JTM x66<X(; 'A~.M~K~' n0tj7.7, KX[J!.Y)~ ~7)t;. "YTriXYE,X.xQouS[~ TO ~E~LO~ COU X.X~6E.; E~ TY~ X!Xp~~ COU' L~°' 5 ë'\0~ TC\' 'n;X'~L~ 6 «UTOU XP~~ K66<X!; px~TX~M~ Ïy.'KE!.CO<; TO'~ ~0'~TStV, ~0!; eIv6f~ T7-~ tE' TTOt!? 77X' EXCtTO~ E'TT) 78. xxi 6'Tt. nOtpL'/i~, 6 XK.t OUy X~~ï~, M.T70 et7T!~ 6~ <x66~ 6Upt<7X.et XXTK<DEp6L OTr 'A'HVX;, X.'XTE\'6YXEl'~ TO Se'<d00~. HotS? <X~6oM~& TO ~6~~00~' "E~SYE ~S E'O'Tt ~S T'/j~ A p. 28 <X~V~ ~LXXptG't'i'. E~E 73. o~h A. Et~S ~Tt -~7) SY6H;E~LKUTO~ TM U.V/fu.<XTt. A. G., 74 (o TM XE'Kd, riŒ~c'to< t. LXV, riot~i~ col. M. 345. OTt XiXtOU 6 6'XEyE~ pX~Qx~Et 75. 9E; T~ xapo:a 79. xaa~en A. <x€~K~ Â~M~K~, TTM(; ~Er (rou A. 6~ TM 76. P. G., OT!' X.E'D~M t. LXV, "E(TT~ 0; K~QpMTtO. X.KQKTXL' col. 333. 77. o).~ et je ne vis plus tranquille. )) L'abbé Ammonas lui dit « Poemen, tu vis encore Va t'asseoir dans ta ceilute et mets dans ton cœur que tu es un an dans le )) tombeau. déjà depuis tel, !.4. L'abbé Poemen rapportait encore la parole suivante de l'abbé 5 Ammonas « Un homme porte une hache durant toute sa vie et ne trouve pas à abattre l'arbre mais il en est un autre sachant couper qui l'abat en quelques coups. )) Il disait que la hache était le jugement. 15. (Poemen) rapportait encore que l'abbé Ammonas disait « Tel homme passe cent années dans une cellule sans avoir appris comment il faut demeurer dans une cellule'. » 1. Le manuscrit Coislin 127 attribue trois autres apophtegmes à Ammonas 1° P. <i' t. LXV, col. 113, n" 16 "E).EYo'; ~Epî ofurou ('AycMM~) xai Tou mëga AjijjLM~oE (le texte imprimé' porte 'Ajio~). Lorsque les deux vieillards vendaient quelque chose, ils faisaient le prix, puis ils prenaient ce qu'on leur donnait; lorsqu'ils achetaient, ils payaient ie prix demandé sans mot dire 2" /~W., col. 125, n° 5 "E).EY~6 aggo~ 'Ap.tiMw:; (le texte imprimé porte 'A~M~;). Il va avec Betimès (Vitimis) voir i'abbf Achille. Celui-ci leur demande d'où ils sont. Ils n'osent dire a des Cellules n et répondent '< de Nitrie a. Ils voient que le vieillard travaillait sans en avoir besoin pour que Dieu ne puisse !ui 3° f&;f/ col. 128, n° 5 "E~Yo~ Sta To\' mggeM'A~.jj.M\~ (le texte imprimé reprocher de rester oisif. porte 'Ap.)Mu'<).Il vécut deux mois avec une mesure d'orge. li alla trouver Poemen, etc. Cf. pour la fin Ap. syr. t/v<. n" 17. p. 'H'). Le dernier seu!, qui ne peut être rapporlé au premier Ammomi de \itrie, u quoique rhancc d'appartenir Ammonas. A p. 28 AMMONAS. 410 II. i~r~ VERSION [108] DES SYRIA.QUE ~T~ <~ ~TT~ T~~a ~3~~ J~ .cn.l 't~37~~ ~Y. ~k~rsf~ .v~T–t-conf APOPHTEGMES. 'J~x. 'T~nf aop .en.3 TSfuTS~~ rd~T~~LS T~~La j7~ ~vsf ~Icn ~~aco(hed ~Jt~~c~ ~~Joal ~J?~x~3-~ /L~3~a ~aca T~tvs~ j~?3T~la .r~~eo~ r~-t~a~jao ~oa ï~o~a~co ~TSf T~03 ~vdLjJ VSfacO~ J3-tJJ ~~THJJ~ .~1~ T~~LhiTiTt .nTSfa co~Sj o&sJ?aa ~t .~1 ~a vsfi~ .~3~1s~ GO-1 vd-i-a~ T~L~&~R~a ~T~LjJLAX~'n ~0~3 jt .l&~T~J~ T~ \~3\ ~JL.~ Tsi-t–L-L-s ~L.acn VSfl~CQ~ s ~y~P ~OGJ3! .TdJ>3L~a ~~T~~<h~ ~rsf M :.C~~T~ T~?~ ~T~ T~aa-lni-l rd~r~ ta~L~ \M~f=i dJ J~U~ :7~3~L.~3Q ~TSf~O-d T~ 1. L fol. 8r; Be p. 489; Bu p. 466 (B = Be -)- Bu) M, Patr. Lat., t. LXXIII, col. 860. Bu. 7. om. 5. ~njo~B. 6. ~oot'.e~i L om. o~ ~ojo.–4. c~ L. 2. Be add. ~3. B. 8. <jo B. 9. M, t. LXXIII, col. 807, porte l'ap. 2 que nous n'avons pas retrouvé en syriaque Abbas Ammon veniens in deserto ad quemdam locum haurire aquam vidit basiliscum; et jactans se in faciem suam dixit Domine, aut ego moriturus sum, aut ista bestia. Mox basiliscus per virtutem Dei dissipatus est. –10. Be p. 798 et 944; Bu p. 685 M, t. LXXIII, col. 893. La seconde partie ne figure que dans Be reproduit par Bu. 1. Un frère interrogea l'abbé Ammoun' et lui dit « Dis-moi une parole les malfaiteurs qui me fasse vivre », et il lui dit « Va (et) raisonne comme d'eux et ils disent qui sont en prison ils interrogent ceux qui viennent près Où est le gouverneur 2 et quand vient-il ici? et ils tremblent à cause de la crainte de l'attente. C'est ainsi que le solitaire doit toujours considérer, se réprimander et dire Malheur à moi! Comment pourrai-je me présenter devant le tribunal du Christ, et quelle réponse pourrai-je~ lui faire? Si tu médites toujours ainsi, tu peux être sauvé. » 2. ~OM'(tM~c'ue~'MM~,note 9. 3. L'abbé Ammoun dit « J'ai passé quatorze années à Scété à prier 10 Dieu jour et nuit de m'accorder de vaincre la colère. » 1. Ammonem M. 2. Judex M. 3. Ammonas M. 4. Sic M. II. [109] APOPHTEGMES SYRiAQUES. 1-4. 411 rd-i. rd-nn~ r~ i ~T~ JLL~ :~i.~nf r~Mr~ T~LjiJ jco~~ n~~o~~s~n~l :r~ja~~ CL-~ nfl T~f~~n~ rdI~L r~h Cl -L~n~ .SL~~a~ ~3 rxiJI~a ~tOA~ ~caol~. co~ J~u~ T~f~ST~tQ r~ïri T~cn~t~ r~aca s <aao ni-m co-3 r~aco .1 ~iLinn~ r~hjEa T~L~~ jco r~~ca rd-h~' .co-L-~ja~ r~o~n ~3~ ~n~ :r~-L.~k. aetOQ ~-Tja~a T~~Ljja rsf-L3~ ~Q~.T\<~rsf~ :t~m ~o- r~d~ ~.CB-ua~ -u~ T~l~co .t~~rs~La r~~u cnL>3~. ,oo~ujoj~n ~rs~ ool~ :T~fa~o~ct :r~~cMt~ ~ur~~Ljj M t ~at<' \vd-ua~ (hT-jn <~i~a ~jo.M~~k-1~ ~T~Tja ~acn~i~. r~aca <M~n~73 ï~fï~co \r~~<maa~jj~3~ n~jaa J~la vs~aoo Tt~a J\ï~~ ~ja~on~ n~~<hcC~37sfl .o'Hn<~ arsf .~1 ~x. ~uv~ r~~oMt~~n nfl~. r~T~sgjBo ~aa–jj 1 ~ur~~ cnl ~aca r~hr~ ~tcd r~~co ~cn~ ~.xiT.ajj rsfaoo ~k.~a J~r~a "T<<hj~n 'kJ~jM 7~1 rsfaoo .rsf~iLOo OfLf. û Y"a. i~r~*r~Leo T~<kl~ 11. L fol. 6' Be p. 617: Bu p. 559: M, t. LXXHI, col. 915. ~"0~. Be. .T~pn~a ca~'vdj-.a 12. jc~~B. 13. j~).: /A' /m-<s' f/N'c/~ « Pourquoi l'ahbé Ammoun a-t-il été jusqu'à quatorze années sans vaincre la passion de la colère; puisqu'il nous a dit qu'il ne cessait pas jour et nuit de prier Dieu dans la douleur et dans les larmes pour qu'il lui accordât de vaincre cette passion ? » Le {.'t'e~/ardf/~ « C'est parce que cette passion excessive l'entraînait déjà à cause de sa constitution; mais il est certain que les passions et les démons le combattaient comme un géant et un héros. C'est ainsi que les démons combattent contre les Pères, avec force et ardeur, chacun selon sa mesure; et autant (les Pères) brillent par la patience, c'est-à-dire par l'endurance, autant la lutte se prolonge avec eux. » 4. L'un des Pères racontait qu'il y avait aux Cellules un vieillard et il avait un grand ascétisme et il était vêtu d'une natte. II alla près de l'abbé Ammoun, et celui-ci voyant qu'il était vêtu d'une natte bil dit « Cela ne te sert de rien. » Et (l'autre) l'interrogea et dit « Trois pensées me tourmenl. Cum perrcxissct ad abbatem Ammonam, vidit eum abbas Ammonas utentem matta M. f nfi [il0] AMMONAS. 412 -c~ ~c~=m~~ r~~ ~ïj~ajj \~i~=s ~vsf J~'T~ ~uacoa .~v~ v~la .~e~T~ ~rsf cnl ~~o-MJLa ~r~ Q~f ~<h ~aca<a ~cnd~ ~J~ ~c~a'~ c~ \~i3TC~ d=U3~ ~l<a /JLj~=i ~T~a ~<kl ~JJ~T~ ~-1?~ .~oa /v~&~o .f~c~ ~JLIc ocb~ ~J~~ eo~Jhn ~co <k.acoa ~a 5 .Jj~ J-~ ~~=d~ ~UJ.&~T' ~.csa .T~~jil ~~a~ ~Mrsfl ~~la~ aaca ~t~ ~3~ ~~aco aQOQ V~~f ~cd a~T~O .CMQJ9.~T~ ~=SQ ~<~ :Q~3~ Jh. ~J~r~~ ~cur~ r~ma /n~aln~3 ~«aco vsf~ aeo fsfeoa 10 ca~ajao :cM~ .1 ~caa~ ~~a ~dur~ ~Jo&l .j~v~T~Q ~aca~v~c~'i~~a ~Q~cM~ ~cjnf <ML~rsfa.co<hed ~oLhvsf~ ~a~ur~ ~~ud ~j~u~ùT~u~ ~etcnd i~T~a ~cu~ T!~a :~Qco~<a'~l r~-LOocw r~~a.3~3 o~ TL~ Tsfooo n t~j3jj~~T~:r~aj~ ~TSftr~ VSfGOO 17. om. B. 18. '~) L. B. 16. om. Be. 15. )~; 14.~o~ B. 22. Bu. 20. ~j) B. 21. Be p. 838; Bu p. 713. 19. B add. -< 24. ~i Bu. 23. ~o)~.cL=~Bu. tent oa d'aller au désert, ou de partir en pays étranger, ou de m'enfermer dans une cellule, de ne voir personne et de manger une fois tous les deux rien de tout cela; mais jours. » L'abbé Ammoun lui dit « Tu ne dois faire aie va, demeure seulement dans ta cellule, mange un peu chaque jour, et aie pitié ~e moi qui suis 5 toujours dans ton cœur la parole du publicain Dieu, !(?tpecAe:(r~, et ainsi tu peux vivre. » 5. Une épreuve arriva aux frères dans l'endroit où ils habitaient; et ils voulaient l'abandonner. Et ils allèrent près de l'abbé Ammoun, et voilà que lui-même naviguait dans un navire, et il les vit aller sur la rive du fleuve et il dit au nautonier de le débarquer à terre. Et il appela ces frères et il leur 10 dit « Je suis Ammoun, près de qui vous désirez aller. » Et il leur persuada de retourner en leur place, et il les consola et il leur dit de prendre cour age car il n'y avait pas dans cette anaire de préjudice pour l'âme, mais c'était une tribulation humaine. l.AmmonasM.–a.Luc,xvf!i,5. [111j [I. APOPHTEGMES SYRIAQUES. 5-7. 413 <~ t<~t .rsf~caj 'L=L~T\~a.~nrsf rs~3rsf ~T~~r~ .ca~l ~\3~ua !?~T~i~ T~'iL=L2J>37t i~~k~~L~d cnLl ~~uo<h~ ~.v~u ~aca ~-L=tA~~ ~~<hn~ r~ujn~ ~~Lt-SLao T~cna .T~. n~. ~n~sr~ ~ur~ ~lr~ r~~ .a~l.~T~~n~a jcoan~Tjaa ~<k-L-t-SLasL3 <hi~i..J<~ r~irs~~ .~aca.l 'T~rs~a r~.a -ua- T~ ~cL~ao. r~~cL~ jcacd~ v~aca ~r~.r~r~ ~uj3~t~r~T\ v~TT~i. \T~tCo ~T~a T~acn ~Ua .v~Tl~~ i. i .joa ~r~u~a-oa v~Jjr~ ca-1 Q-A-~iT~G ~caa rS~3~ .i~nn~ ~s~ .~ac~l i~~r~ '~t~~cn 7~?~<~CL3-.<h 'o ,T.T.n ~.soo~Ba~a rdi~ JL~.r~im .-<~J~on~ T~~CL-J~JL>137t \ca-.<~T!~ T~~CUJ~ -n~ r~~CO ..t1T <MJ ~r~cn~r~~ oajji~Q'rsfh v~u .<~L~cLL~r~rsf=tr~ <~cd ~cC:?TT~TS~t~ ~3~3 f~aca ~J\r~ .L~D ~~ua .~T~jj~aT~h v~La \ca~ujL. ~3 *?~~ .<a 25. L fol. 172'; Be p. 842; Bu p. 716. 26. ~.t~;o )~.)~M; L. ); a pu conduire, faute de à 27. om. Bu. 28. L. Ce mot a conduit à lecture, )-*j; )par 29. Bu. 30. Be. 31. Be add. o~ 32. i~ ~o, Bu. 33. Bu add. 34. L fol. 15': Be 619; Bu 560. La seconde partie figure dans Migne, P. L., t. LXXIV, col. 380. 35. )-.o; Be. 6. L'abbé Ammoun vint un jour pour traverser le fleuve, et il trouva qu'on préparait la barque qui passe les bagages (sic L; B porte qui passe les hommes), et il s'y assit. Et voilà qu'il vint une autre barque qui passait certaines personnes (sic L; B porte qui passait des femmes), et ils l'appelèrent et lui dirent « Viens, toi aussi, abbé, passe avec nous. » Et il répondit et leur dit « Si ce n'est pour passer dans la barque publique, je ne passe pas. » Or il avait avec lui une botte de feuilles (de palmier), et il se tint à tresser le jonc jusqu'à ce que la barque fut prête, et alors il passa. Et les frères lui firent révérence en disant « Pourquoi as-tu fait cela? » Le vieillard leur dit « Afin que je ne marche pas toujours avec l'esprit pressé et troublé. » C'est donc un enseignement, à suivre la voie de Dieu avec calme. 7. L'abbé Ammoun alla un jour près de l'abbé Antoine' et il se trompa de route, et il s'assit un peu et dormit. Et il se leva de son sommeil et il pria ). L cent Ant/'nis;B porb' AnLuni~ 414 AMMONAS. [112] \~fcn~v~ rsl.1~3 ~n v~rsf ~n .T~nt~a v~"cnJr~l ~l~a ~o~3~3 \TSfma ~cncti t~. y~~a ~aa~ ~1 .~<A~L~~ r~t'~LX~n cnuL~ JL~-1 ~a<aa ~d~l<h t~fs~v~ 13~ t~~ur~ d~l ~')oj3a ï~a' \7S~M~aî~ ca~ ~aeo T~ojj~na t nf~vsf~ t .o&jjal~rsf'r~37sf~ cn~'T~ya ~3 s ca~ia-L~n~ vs~rsf ca~ u~u<hn~ ~~co~ma cQ<hoLlJ-L. T~a T.=d cajaB~a .ï~cn~TS~~lu'~3 <~1 ~L.t~~ .T.a v~~ca nfaTSf~ T~ .~T~tt~a vsfa!~ cn~ema \L~?3 ~3 'Lfie ?si-3t~ ca-1 t–~rsfa ~au~eo i aca .ca-~M~oa ~'n r°a. V~<hn~ ~L~t~ ~t<" ~h~f ~CL-~OO .Q~lJ-J~f M '1 ~ijacb ~L<ha \~f~ea T~~kMcu~~d .T~rcLjLj~-=co t~iL-a .~j~co ~acact T~~aT~~Bo ~73Q ~0~3~ rst~Tsf ~?~G v~l ~ea~a'~tL~ ~3 !cn~a~~Lt~3~ cnsa .?sf~x~3 ~t~ ~–iJLs~ Tsf'u vsf<kla~.3 oa~ a.s'Tja T'~Sjaj~STsf T<"acQ~ 15 ~0~*1 PI .VSfjtOQTSij'OUQO 7U3-L ~~1-3 \C!3-1 ~t~a~a OQL-1~cd~L-!7t 'nj3-3a .oa~oT~J en.~a~m oco .psf~a~i.~3 36. ). Be. 37. B. 38. Be add. c~ 41. o,t.o- B. Bu. 43. B. 42. 39. B om. fu; 40. om. B. Dieu et dit « Je t'en prie, Seigneur Dieu, ne perds pas ta créature. » Et il leva ses yeux et il vit, comme une main d'homme qui était suspendue audessus de lui dans le ciel et lui montrait le chemin, jusqu'à ce qu'il arriva et se tint au-dessus de la caverne de l'abbé Antoine. 8. Quand il fut entré et l'eut vu, l'abbé Antoine lui prophétisa et dit « Tu grandiras dans la crainte de Dieu. » Et il le fit sortir en dehors de la caverne, L f. te et il lui montra une pierre et il dit « Injurie cette pierre et frappe-la. » Et il i~na. le fit. Et l'abbé Antoine lui dit « Toi aussi, tu arriveras à ce degré; et tu supporteras une charge et un opprobre considérable. » Et il en fut ainsi. Et l'abbé Ammoun progressa et, à cause de sa bonté, il ne connaissait pas le mal. Dans son état de perfection, lorsqu'il fut évoque, on lui amena une vierge qui était enceinte et on lui dit « C'est un tel qui a fait cela; qu'ils reçoivent une pénitence. » Mais lui, il lui signa le sein, et il commanda de lui donner six 1. Abbati Ammona prophetavit abbas Ant.onius M. [113] I). APnPHTRGMES 8-9. SYRIAQUES. 415 ar<~ \'nJir~~ rsf~J~~ i~onfa .rs~oTUEo~r~~Jo~ n~~u~.T~3T~ .~t~~o~ua~ ~c~xd r~aooj .~c~hc~~u v~LlL ar~ ~oo ~OLjoa\=L~ r~oa cu~3 .cn~cd aaoo <r~~ ~j:ucn~oo~ r'o.3-.Tj37t .mjjnf am .~oril 1~3~ .r~~a~i~o .~acn~L~ vdia .Q3'U-.a \L~n~~ uJ <L. ~~73 .~f~K~~O ~<hcJ~ jOO r~~cuJ~MJTj~ï -L~ r~aco rdi~o .mr~l ~c~u~ rdhjBo «ji~on~ ~~v~r~ ~=1 ~c~l& ~cd \vs~n) r~~ ~T~~ait~.a vsf~~ ct~rsf~ .M ~0-~3!~ T~r~ aaca ~~i-~v~ t~COa.J<L t~fl ~P~ T~CtCaT~3C0~3G \~00<~3TU3~CUOTUT\ r~ i m ~T~L~ao~ ~ca~TL~L~d ~v~or~~ ~f~M r~~<~jn~ .cn~i n.j!~ ~T~t~ rsfs~a cn~J~uLa .aco vs~~C~ \T~=17L-~13 ~Ujl3 .-JbT~. ~V~TL~3'n .0~1 T~~r~Q <XTUOa < ~v~ ~ncL. ~tli~ca ~A~IL~ .r~~ct~3 ~r~~ca t~ua'rs~ ~cnL<7L=iar~~ u~ 4~. )).!nin\ B. 4.'). ooo)B. 47. j).a-o B. 46. Lo~~o t-D; Be. 48. Dans nos trois textes syriaques l'apopht. 8 ne fait qu'un avec le n° 7. On trouve ensuite aussitôt dans L l'apopht. 23. o);L ~oLo.Ce nous est une raison de plus pour rapporter oo )o~ les trois au même personnage. 49. L fol. 107 Be p. 809 Bu p. 693 M, P. L., t. LXXIH, col. 956 B. 50. Be. 51. ~jo,Be. 52. L~; Be. 53. t-~o. Be. 54. f~~Bi. j.o~. B. paires de draps, et il dit « De crainte, lorsqu'elle enfantera, qu'elle ou l'enfant ne meure; cela leur servira pour la sépulture. » Ceux qui étaient près de lui' lui dirent « Que fais-tu là? impose-leur une pénitence. » Il leur dit~ « Vous voyez, mes frères, que c'est un danger de mort; que puis-je donc 5 faire » et il la renvoya. Et le vieillard ne présuma pas de juger quelqu'un, car il était plein d'une miséricorde et d'une bonté sans limite envers tous les hommes. 9. On racontait de l'abbé Ammônis~ que certains vinrent plaider devant lui, et il ne prètait pas attention, comme s'il n'entendait pas. Et voilà qu'une in femme dit à sa voisine ° « Ce vieillard est fou. » Et le vieillard l'entendit lorsqu'elle parlait à sa voisine, et il l'appela et lui dit « Que de travaux j'ai accomplis dans le désert pour acquérir cette folie; devrais-je donc aujourd'hui la perdre à cause de toi.' » 3. M ajoute sufRcit do!or quem 1. Accusatores M. 2. Respondit episcopus M. confusio. 4. De abbate Ammone M. –o. Ad mulierem juxta se stantem M. habet et 416 AMMONAS. 114].1 Jcu&r~j~ r~Tuj r~~u~c~d ~0~7~ T~vsf ~3~3 ~f~~nf V~QCO~L.V~~ ~~M T~~t~ ~3<h T~QOO~UfSfa .~V~MV~ ~u~ ~~t~a -u~ ~eocd~. ~3 ~1~.0 ~0~1~ ~~UT~ QJ~~V~ 'Q .~T~M~sf003~ 03~ i1. 5 jCOj~a~~Lt~ <MUA~7SfQ.QJJ.l~~VSf~03 VSf~~Q'~3 ~T. a~c~~n~ ni~Bcd-~ ~c~LL~~ T~a .ca~ulja ~a ach TsfHvs~l ~o~~a~. J~t~~ joncu~AS~ a~?~ \Qaa ~a~ ~~ajaj~S~ en tT'La ~~ob n~kjinU enIpT. \~v~H?~ aco ~L ~a ~OL-!L!-A<hvsf~ \'< ~30 JR~n~~t ~0~3 ~~n~nnf ach '~3.~ ~o~~o ~a'na ~a~ar'~ ~~hr~ JL~<~uco7sfaM ~OQ.IvSf t!L~3 CRM~S <1~1 ~JB~L. d~.0t .~vdy~LC~&l eOA.E<9~ ajj.BjLt~ T~la cuL~a .a3<h~l~~i ~a~uh~ TLjo-aa .r~h~AU~ T~l~a.T~a T~r~ rs~Q.~?~ ~ca~aco ~c~ < ~3<h ~c~ia~ -t-a .ud~a /~cu~ T~aysfa ~vsfHV~ aas~ eo~3 e ~cmxi T~ealRf TUJTSfT~~ij~a \a~~h7~MC~ .T~il ~aa~lA 15 56. Be add. )~ 57. p~ 55. L fol. 18; Be p. 594; Bu p. 542. 59. 60. Be add. ooo,. 61. <i~ Bu. 62. ~nm~ 58. B om. )~ oo).. Be. B. 64. om. B. 65. c~.). B. Be. 67. om. B. 63. oc;, t-; 66. o~n. 69. )&t~~~o Be. 70. ~t~-o Be. 71. tu.~ B. 72. oo )~ o0) B. ot- 10. L'abbé et il y avait L f. i6 r, b. Ammoun là un frère B. B. 68. Bu. vint un jour en un endroit pour manger avec les frères sur lequel il y avait un mauvais or il arriva renom; qu'une femme vint et entra dans la cellule de ce frère et, lorsque tous les hommes qui habitaient en cet endroit s'en aperçurent, ils furent indignés et se réunirent pour chasser ce frère de sa cellule. Et, lorsqu'ils apprirent que le bienheureux évêque Ammoun était là, ils vinrent lui demander d'aller avec eux. Quand le frère s'en aperçut, il prit la femme et la cacha dans une jarre. Après qu'une grande foule se fut rassemblée et que l'abbé Ammoun eut compris ce que ce frère avait fait, il cacha la chose, en vue de Dieu il alla s'asseoir sur la jarre et il ordonna de fouiller la cellule. Ils cherchèrent et ne 10 trouvèrent personne là, et l'abbé Ainmoun prit la parole et dit « Qu'avezvous fait là? Que Dieu vous pardonne! B Puis il pria et il leur dit de sortir dehors; enfin il prit la main de ce frère et il lui (lit « Prends garde à toi, H. [115] ni-la APOPHTEGMES 10-12. SYRtAQUKS. 417 ..< ~T. T~on~ rsf'noo ~a .~ur~ ~\T~i~ ~cn~~ .end ~jOOCUJ~'LSj~ ~?~ 1 T~Lu~ar~ jco r~i~ ~~i IL B~ :r~ino ~Jt~~u-.v~ 7~<kjLjL~!3 v~unaf~~ :T~~n~Q ~r~ifn vs~a \r~~J?~a 5 ~oafn~ha jcaarL~c~j ju~f rsf~j~~ ~cn r~~ao vsf<h~r~a T~ooTt ~T~T~r~~ ~jcb jca r~noo .r~cRdr~' JLL~ jcaajjhS~ ~v\3 jœa-IrsI-~Q .cn-t~a ~.<hr<~a10TC?o JA .jr<-iT, ,jji v~r~ L ~~cd vs~jjT~ ~a<hrs~ ~F~T-a~J~L~ r~i ~JLja .Hl~a~~ Tïf=i<kfi ~n T'd~a~~ 10T~aoo jc~l~ ~~CL~T~ v~jarsf J\ in~a ~k~vd-~xJL~o co~3 :i~nrsfa rdbo~ rdIjsLS vsf~t !vdb-6o7L~3~ ~ns -~a .ea' .T~LiCO T~->3~~L-a tt–<hjL.rsf .ca~T~. ~v~aca dl~i~~ :r~LCC~J .tl~~Q T~aca r~pT\ ~alLrsfl JLJbT~~ :T~or~a j<hcd TsfLo ~n~uLT~ ~e~ovsf ~~a~~ ca-LjJ TT~ka~ ~TUL. 73. Be p. 776; Bu p. 670; M, P. L., t. LXXIII, col. 74. om. Bu. 75. Chrétien, 1909, p. 365. );o,o Bu. Bu p. 627. 77. Be add. t.t~o. 78. )- B. 79. om. L. V~CO.l~' ~f~Mû~a ~~ao !ca~3~. 927. Revue de l'Orient 76. L. fol. 78; Be p. 718; frère s et, après avoir dit cela, il s'en alla et il ne voulut pas le faire connaître. Li. On demanda à un vieillard' « ();;e//c est la voieétroite et resserrée2 ? » Le « vieillard prit la parole et dit La voie étroite et resserrée consiste à dompses et à 5 ter pensées supprimer, pour Dieu, ses propres volontés; c'est là ce avons tout r<~an~oH?!cet </M<? nous ~'ofo?~ SMt~ » qui a été dit ~(M'M~uf M~;<.< 12. Des frères vinrent près de l'abbé Antoine et l'interrogèrent sur le livre du Lévitique. Le vieillard sortit au désert, et l'abbé Ammoun, qui connaissait son habitude, 1<;suivit en cachette. Le vieillard, après s'être beaucoup 10 éloigné, cria à haute voix et dit cf 0 Dieu, envoie Moyse près de moi et il m'exposera cette parole. » Et aussitôt se fit entendre une voix qui parlait avec lui. Notre père Ammoun raconta cela et dit « J'ai entendu la voix qui parlait avec lui, mal; je n'ai pas saisi la portée du discours, n 1. Int.e)Tu~atu~ est senex M. Matth.. vu. 1~. MaLUt., X[x. 27. 418 AMMONAS. [116] Tïfst~~ !~MV~ ~JtJ~T~~ TSf=a<MJ ~T~OCQ ~~37~a .vsfaoo M~a~ vd~ ~~79t~c~ rsf~~a .<xru~ ~n -ml ~~uv~ ~L~ rdjjT~~ .ca~ T~nv~a ~cC?3T~ Tsfsysf ~cd \oi~.Q < 'Tojsa < < rdia ~T~junf ~o~. oa~ v~aea r~BQj~ v~L~aem-.~ocnjBovsfa s J-t-& ~~3~CLa ~~O~nf TT~3V~cnl '~3!~ .T!fl!<"<H~3 ~(h J~ .<~U~ ~M 7~00~ \<A~L~.n~U3 ~XJJ<h?~"Q.jjjin ~L.rSf n~~Hr~~UJ~ ~13J~3<1 T~3~ S3~~ ~3T~ ~aco -L~ .~0~~ .S~~C~ 'Mrsf jcoo-t-jj~ vdjL3~ cal& 7L3~.n r~u~ T~a ~uv~~ .ca~eL&~i~l ~M~x~a TS~a \~1~ ~n~l eo~Tïfs v~~u i" i~Tr. ~v~ .~M~ T~m~ ~~Tj v~a r~aeo T~~Rf ~7~LTdl c&l ~T~n-l~a ~caua TdJ~lL~ ~t~~<M-aT.3 jcoa~L~ ~-J?~ ~i- :~ja~anf T~L~nf JLt-~co 80. L fol. 109; Be p. 524; Bu p. 493; M, P. L., t. LXXIII, col. 971 et t. LXXIV, 83. L fol. 154; Be p. 750; Bu col. 385 (paraphrase). 81. ~o~ B. 82. ~j) B. P. t. Be. 85. L. fol. 154; Be p. 637; Bu L., LXXIII, col. 922. 84. ~.o p. 651; M, p. 573. 13. Païsis', frère de l'abhé Poemen, avah lié amitié avec quelqu'un en dehors de son monastère, et l'abbé Poemen ne le voulait pas; il se leva, recourut à l'abbé Ammoun et lui dit « Mon frère Païsis' a des signes d'amitié avec certain, et je ne suis pas tranquille. » L'abbé Ammoun lui dit Poemen, tu vis encore Va t'asseoir dans ta cellule et mets dans ton esprit que tu es déjà, depuis un an, dans le tombeau. » i4. L'abbé Poemen rapportait encore la parole suivante de l'abbé Ammoun4 « Certain homme passe tout le temps de sa vie en tenant en main une hache pour couper un arbre, et il ne peut pas l'abattre; tandis qu'il en est un autre, sachant bien couper, qui coupe et abat l'arbre en trois coups. » II 1 disait que la hache était le jugement 15. L'abbé Ammoun disait donc 1. Paysius M; syr. Pâsis. 2. Ad abbatem 5. Ou « le discernement »; discretionem M. « Tel Ammonam homme M. passe cent 3. Ammonas M. années <t. dans Ammon M. H. [117-! APOPHTEGMES on–1 ~j3'Tur~ 1 TL-M T~i~T. ~~Jj ~rsfJLu ~ar~ v~la .~L ~rsf~a 419 n~n±~ r~~l~s .'ca~~p'-t -L~i~~l rdL~~u~l v~~cn .v~3c~ r~ûa~Lq T~n cuca~ ~T~acn T-~r~ ~~u~t~r~ cnï~~i J~n.~y3 r~acaj~ T~L-L~ T~i:Lc~ JL~ ~rdi ~~rsfoLa .T~<kjL'Tjao ~7~~ SYRIAQUES. 13-17. JL~.0 r~-u ~u~3 ~r~r~ ~c~r~ 7~1~ .~ATt ~~1~ ~J~ r~xruB ~da~T~ T~t~ .~3~'c~ ea~ ~co ~-t.~r~a aaa ~~tl~a rsf'~r~ ~aon~ J~~t ~1 ~,TC>3~ur~ \ca~ -r' <h-~0~ :~ja~3~f ~T~L~T~ ~J-~ ~~CLS ?~3~ ~n /cd ?~~ 7~ aao ar~ ~iiT.~ r~~ljvl v~iï~ J\T~~ aca T~L~Ll~n .~Llj~u~ ~.n~ ~L.Tuj~ ~aca~ n~r~ T~rt~c~n~ TLÂ~. ~T<~iL .vdhj~ m end 1 i~t~' -)~r~ .~T~T..&.cu ~OJ rdll~?o n..J.J.~ ~p~u ~U 86. B. 87. L om. Be. 89. L fol. 31; Be p. 536; Bu 88. 501. P. M, p. L., t. LXXIII, col. 970; P. ~r., t. LXV, col. 326 sous le nom d'Anub. 90. om. B. 91. B. –92. 93. L fol. 98; Analogue à l'Apopht. X!V. Be. Bc p. 880; Bu p. 960 de la traduction est faite sur P. qui Be; M, L., t. LXXHI, col. 93C, et P. C;r., t. LXV, col. 128 (Ammon de Nitrie). 94. ~~E~ Be. 95. Be add. ~j~-<. une cellule, et n'apprend pas comment il faut que le solitaire demeure dans sa cellule, ni comment il y reposera, ne serait-ce qu'un jour. )) Il disait que la manière de vivre et la helle conduite du moine était de se réprimander constamment. 16. L'abbé Ammoun' interrogea l'abbé Poemen sur les pensées impures que l'homme engendre et sur les vains désirs. Et l'abbé Poemen lui dit « Est-ce ~fc hache se ~/or~e sans celui qui coupe par .~o/tmoyen2? Toi donc, ne leur tends pas la main et ils s'évanouiront. )) 173. cellule nous L'abbé de mon craignons Ammoun voisin tous dit' ou deux s'il de « J'ai vient parler, dit près de à l'abbé de moi crainte Poemen pour qu'une une Si cause parole je vais à la quelconque, étrangère ne l. Ammon M. 2. Is., x, 19. 3. Le présent chapitre a été mis à la suite d'un menu fait concernant Ammon de Nitrie, Il. t. LXV. col. 128. mais c'est à tort, car Ammon de Nitrie était contemporain d'Antoine et non de l'oemen. Le manuscrit Coislin 127 attribue d'ailleurs le présent li. Venit abbas Ammon ad abbatem Pastorem et dicit ei M. chapitre ù 'A~M~S;, cf. x~p/'a, p. 409. AMMONAS. 420 [118] .T~L.ccna ~T~-iLi ~aca~ T~~a~lL T-~ jca t~~no .~unf fdjLj?3 ~MQ .COLlVSfinf ~3?~ ~J Tj~TSf .aacO ..t~ ~~a~aJi in~ n~Ql~~u~ cLL~aa \Qj3Bjt~~ ~T~~nrtQ T~nnf .v~3CL3j3 ~cdl~u cnd~ rdLlL~cu '~nC~ ~000-3 <~uvsf co~ v~~ ~T~Laco a~~ 5 ~v~jB~-ua JJbarsf~ t~uT~ .T~aj~~ t~fU~n ~n ctrsf r~3~~& ~o J~hnr~~ ~u~ n~3~ ~U~ T~l~ QCa 1~~ VSf~ \~Q~UL~ TSf~n ~oocM~Tujs.~n~s~u~~ vdl<a n~ajoa~ ~IJb~ ~a Jl~<h~ jco ~JJL>3j ~uvs~T~Tt~jcna~ur~' 1~ ~~V~L~~n Y~L~Ll- n~uj~ ~ja-~3?sf rsi~Mf vsfaco ~T~nn~ 10 ~vsfl ~.Tt ~jn~a .n~HT~ <~j~~jh v~l :ca~ ~i~~a ~jajj~ ~x3b ~3 Tsfcnl~ ~klu~ vdLjJ~l~ :oo-l -L~n~a ~ja~n~ ~T~ ~Jn~~ ~T~n~ JvsfLa ~ar~ d~ ~o'~a ~aas 03~ ~sea~~a Tsfia /c~~ 98. ~oo;:ootjto Be. 1. )j:ti~ L. 96. );j Be. 97. )~nm;Be. 99. o~. L. 2. ~cn~jjnoBe. 3. o)-t~)Be. 4. L fol. 89~; Be p. 491; Bu p. 468. 5. )oo)~;o B. B. 6. )~; 7. L fol. 87~ (à la suite du chap. précédent); Be p. 731; Bu p. 8. Be add. 9. om. Be. 637. s'introduise. )) Le vieillard lui dit « Tu agis bien; car la jeunesse a besoin d'être réservée et attentive. Je lui dis Comment agissaient les vieillards? Il me dit Les vieillards progressèrent et arrivèrent à la capacité de parler; car il n'y avait plus en eux rien d'étranger qui pût sortir de leur bouche. Je lui dis S'il m'était nécessaire de parler avec le prochain, veux-tu que je parle d'après les Livres (saints) ou d'après les paroles des vieillards? Il me dit Si tu ne peux pas garder le silence, il vaut mieux que tu parles d'après les paroles des vieillards, et non d'après les Livres; car il est dangereux qu'un homme parle sur les Livres (saints)' c 18. L'abbé Ammoun racontait qu'il vit un enfant qui riait et il lui dit « Ne ris pas, frère, sinon tu chasses la crainte de Dieu de ton âme. » 19. Un frère interrogea l'abbé Ammoun et lui dit « Pourquoi un homme travaille-t-il et demande-t-il une chose, sans que la chose qu'il demande lui 1. Cf. /n/ p. Armnonus défend :utssi de senior les Ecritures. Il. APOPHTEGMES SYRIAQUES. 18-21. 421 ~nH rd~ ~M-. '"rsfl :rsf=~ end -borsf .Jr~~ v~-1~ jco rsUn~ ~~L-oa-i n~ r~ "joba '< < es<aji~ joa JLp~L r~~rL~LLa J~i~aa<h '~rsHa ~a .vsf~3 ica~L.Q vsfiAca .~ojj~ ~OT~ t~aca~ ~~T- .3~ jcoa~ & ~< rdia ~Q<ha .~r~\ -i~ ~0-~3 aco rsi~a~-3 ~dï~~L~ n~~c~n~~ dcada ~~aMLa ca~ a~m~a :M!~ .T~a- ~aJ '1~ ~acQ~ ~3' r~~oo~ ï~~ <~cuaa T~-la .aco t<La-t-~ rsLtl~ rdH j~na~=i~ < ~v~~cu~L~L~a~ ~=1~ ~~jj~i ~n~ T~L~L-jBa vsf~-u ~a~' ~r~ :a-s~ ~i–~r~a cajj~a~B J~ ~m -U~T~~ .~aca~ ~t~aa~rsf~ ~~3 t~~ 'c~ T~acn ~n~~ 'r" :TJ~ ~3~ -L>i~ ..<r~ 10. om. B. 11. ~0,0 B. 12. ~)-j° Be. 13. B. 14. ~=0~.0 j;o~ Be. 15. Be 868 (cf. p. 563); Bu p. 521. 16. om. Bu. Bu. 17. 18. om. Bu. 19. Bu. 20.i Bu. 21. Be Bu )~; p. 815; p. 697; M. P. G., t. LXV, col. 176. 22. )~ Bu. soit donnée? » Le vieillard lui dit « N'as-tu pas lu combien Jacob a pris de peine pour recevoir (Rachel); et il n'a pas reçu celle qu'il demandait, mais celle qu'il ne demandait pas. H a continué à travailler et à peiner et il a reçu enfin celle qu'il aimait'. Il en est de même du moine qui a jeûné et veillé et qui n'a pas reçu ce qu'il demandait; il travaille ensuite dans le jeûne et les veilles et il reçoit la grâce qu'il demande. r. 20. L'abbé Ammoun vint un jour près des frères, et les frères lui demandèrent la faveur de leur dire une parole utile. Le vieillard répondit et leur dit « !1 nous convient à tous de marcher avec régularité dans la voie de Dieu. » 2t. Scété~ L'abbé « t. Cf. Lettre Ammoun Lorsque racontait je descendis au là sujet j'étais de l'abbé jeune, le simple Paphnoutis et il ne me laissa de pas y en exemple; syriaque xi, H-6. où Jacob est aussi propose 441. 44!). M/a. l'. ~< t. fjXV, Col. 17C. Eht~ 6 K6&Ï; MMKjJLMVKEptTO~ 0(gg'Ï hot~OUTtOU TO~ rt&tp')< T~<~X-f,TSMt, mais ce! .thbc Kudaimun ne se rencontre pas aiHcurs. 422 AMMONAS. ~JV~L-l ~J~ T~mo ~i3j~ ~oja'a nf~~f~ v~St~n ~Q~v~ .T~JT~ ~(k&lc~ '~3T~Q T~f-aJsa )) ~Lâ?sf ~~0–t-J-L.~ ~? ~T~nd~a~ ~T~f~ua [120] e!a~Tj3 eoTU~-1~ ~dL~a ~faco t~~T~s tt-1 P~H~ .~L~T~s ~v~x~a ~iM~~LT~av~LILs TL~ ~-L~3 ~Tsi-joa fsf-jjvsf~ ~ct37t T~T~ J-TSi=!-CO eaja-ï-.Q-M a CL~?~ ~?sf~UJ'T~Q *Lf 16 ~La T~a~~S 'L~on~G t in~ ~j-x-~a T~3t~~ :~a.~3~ ~~3~3~ ~-H~ 30~ T.~a~L.~a ~T~t~ ~j~a ~nn~a .Tsf3j?3L=aa=l T-~ ~.ltT~T'73 T~aco ~G~~T~ ~u~M-~ v'~jajBovs~A vs~-lc eoTU-~3-1~ ~~T'~T ~3 '~ov~ja QfSf v~it~n~ <a-L.OL-U M vsf~a ~:f~ ~o~j:~ ~T~ ~< ~a~a.nf~o~nt~~a .i*nHï ~f~ ~T~c~a ~na~ J~ ~L~L~o~ ~faca .oitT.cm ~~COQ~ 24. ~xna<~Bu. 25. )26. Be p. 829: 23. ju~j)Bu. Bu; To~e~po~iM. L Be Bu 499. 28. ~o<.o Bu p. 706. 27. foL 16; ~o o,Loo, )=o,~tuL~o p. 533; p. ïj. 30. iMo)ïj. L (L rattache le présent chapitre à l'ap. 8 sMjor~). 29. L. 32. L. 31. demeurer, disant Durant ma vie je ne permets pas qu'une figure jeune qui » ressemble à celle d'une femme demeure à Scété 22. Le disciple de l'abbé Ammoun racdhtait que « Le vieillard sortit de nuit et il me trouva endormi à l'entrée de la cellule, et le vieillard se tint debout s près de moi en se lamentant sur moi et en pleurant, et il dit Où est donc la pensée de ce frère qui peut ainsi dormir sans souci ? a 23. Le disciple de l'abbé Ammoun racontait « Certain jour, tandis que nous L f. iG faisions l'omce,*mon esprit fut troublé et j'oubliai une parole dans le psaume. ~° Lorsque Lorsque nous eûmes terminé, le vieillard prit la parole et me dit me tiens sur le feu et que je brûle, et ma 10 je me tiens à l'omce, je pense que je pensée ne peut s'écarter ni à droite ni à gauche et toi, où était ta pensée lorsque nous faisions l'omce, et que tu as omis une parole (un verset) du t. LXV,coL27: et Mncaircdisaitaussi « lorsque 1. PaphnuceÉtaitdisciplede Macairc, vousverrezdesenfantsa Hcctë,prenezvushabitset fuyez /&M.,col.aM. ![. f~f APOPHTEGMES 5 rs~t~ :-i-~t~a <~c~e~3!~ T~Uilt~a~ T~-UU~ r~~ T~T~ t~~c~ ~00-1?~ ~3 ~~n~ a~ ~ce rsfmjQ ~cL-T~ jo .T~fjLj-L~~ caJ~ :~r~ caj~ ~~3~ rsi&T~ at~ .j :t~ ~00 T~~t~L ~0-L3 .~1\3 jco ca-1~~ a~cn.3~~ 15ni>3~~ ~ch~ Ct~ r~Q ar~ vsfetca-t~ ~o :aca~ :Mf~a~ ~-uj~: ~~oTuacd~ .i~~ ~3 rdh~ a!~ :3-~ ca~ v~i~ T~n ach~ :~ca T~ca~t~ ~~3-~Ja .~a-~ ~-U~ :r~a~~r~ rsi.~ua :T~Tt=i~s r~-tju ~caa T~~ca~ :-)~t~ ~a~ ~n~a .o~i~ tT~H-L~ r~~a~L ~3 'Tov~ja ~M ~ï~M~ ar~ \r~~T~L~ :acLi~.i2 Jrsfx. :=1~ ca~T~ajE~ < -~r~ 00. :rsf3j~ ca~ T~~l~. 423 :<k-.acn ~n~T~l \r~a~~3~?~3~~a \~aca J1~3~3 r~co~t~a :~act3 r~caJf~~o-m~ nij- SYRtAQUES. 22-25. nH~u ~=1~ .3~ ~ca~T~~ ~aea .~ca~t~ '<~1 ~caLlrsf.a~ 33. Be p. 828: Bu p. 706. 34. Bu om. 35. om. Be. 36. Bu. 37. Ibid. Be place cet apopht. avant le précédent et l'attribue ainsi à Coprès au lieu d'Ammonios. psaume? Ne savais-tu pas que tu te tenais devant Dieu et que tu parlais à Dieu » 24. Un frère interrogea l'abbé Ammônios et dit « Comment convient-il à l'homme d'agir, lorsqu'il veut commencer une affaire quelconque ou aller, .-< ou venir, ou passer d'un endroit en un autre, pour que son affaire ait lieu selon la volonté de Dieu et qu'elle soit dégagée de la tromperie des démons? » Le vieillard lui dit « Il faut que l'homme considère d'abord dans son esprit et voie quelle est la cause de ce qu'il veut faire et d'où elle si elle provient de Dieu ou de Satan, ou de l'homme provient, lui-même; io il fera la première et il s'écartera des deux suivantes, sinon il sera raillé à la Un par les démons. Ensuite il priera et il demandera à Dieu de faire ce qui est de Dieu; il se mettra à l'oeuvre et après cela il se glorifiera en Dieu'. » 25. Le même dit encore « Supporte chacun comme Dieu aussi te » supporte. L Cf. t/i/f<. icH.t'c P.M'u.un.–r.xt.–i. 4 et ;), p. 'i4s. 4. AMMOXAS. 424 [132] DEUX CHAPITRES DE L'HtSTOfUA MoNACifOtU.-M (RuFI~). III. c; v~?~~ ~et~ <n~T~~3 ~Q~ ~m .~a-a~~ jcsojjj~ Tm r~c~ ca~3~ :L J~-M-~Q:coj J~ ~J~~ :3~ ~LjJ- :~7Sf-~T~. jCOaT-=lQ ~-tJ~ rsfsvsf v~otcacn.x-a~~aco~Tm ~7~ ~T. .T~vsH-~o ~) ~M r~oco ~jcoa~ T ~p-< jcoa~L~-l~ ~e~a ~1~a ?~~a-l cn-ln-p-~v~oca ~coa~ :oa-~a-T~ .J," .J:~QCO '~Jao 5.J.J. ¡¡ T~~ CGa .j.03 ~T~~BO ~ijLM ~T~fti~ n~ae~~ ~?~ ~OCQ .7~0J_&~Q3 t~T-3-~ < .t~ cc~c~av~~a ~cta~aJ~ T~il~3~ .T~aca ~aco J~. T~j.a-a v~~a oa~e~T~ d=~ s~v~ct co~a~ rdj~a~'n p~~a~~ ..cacn~a~ T~D~~a r~TJJT~ :d-l-~3 'o M~T~~ao H/ta! dans Preuschen, Palladius 1. Syriaque dans BR p. 427 et Bu p. ~0; grec dans Migne, P. L., t. LXXII1. col. 1176; texte Rufinus, Giessen, 1897, p. 77 (= P); latin 2. TM~oTo~M~~E~v P. L., t. XXI, col. 432. latin original de Rufin dans Migne, 6. E~pYi.~ P; 5. P. 4. P. Su~U.St~ X~ XpY)~M!.<P. P. 3. fpogEpOV ntTUp' x~ ïov Tourou 'A~To~tov 8. S~86~< 7. om. Bu. Y&p variante E~pY~c, etricaciter. ~M/M e/ SH6'C6STMV~SfptSj.tKTMV U~eSE~TOP. XCftT-~ X~pOVOH[C(V ~tt8~V 'A[J!)V5V S!XOTM~ ~0~0/'<7! sisset Antonio et eius discipulo Ammonae, /Me7-~0~M!/K SMCcessA Aae/'e~a// nos. M. 9. MP add. 'Tpo? ~s<, apud ENSUITE, avons 1. Nous nait BELLES ACTIONS DE L'ABBÉ PiTYRION. encore et qui était très Dans ces cavernes le fleuve escarpés un abbé vu en Thébaïde effrayante, demeuraient une sur haute laquelle de nombreux montagne il y avait qui domides rochers moines; ils avaient l'un des disciples de saint Pityrion 2, qui était il était le troisième de) cet endroit'.II qui avait reçu (la direction Antoine; les démons. et chassait évidemment faisait de nombreux prodiges Antoine et du bienheureux et grand 2. En homme donc qui prit la place l'hériil avait reçu aussi avec raison Ammônis de son disciple (Ammonas), il parla surtout d'autres Il prononça beaucoup paroles, tage de ses œuvres. dont le nom était 1. Interea, redeuntes ex Thebaide, vidimus montem quemdam praeruptum fluvio imminentem, elationc minacis saxi, aspectu etiam ipso terribilem, in quo erant per ipsa praecipitia speluncae 3. Hic et ex difticitis adscensus; Rufin, 1'. L., t. XXI, col. 432. 2. Pithyrion. Rufin, loc. cit. 5 10 {123] !H. DEUX CHAPITRES DE RUFtN. PITYRION ET AMMONtS. 425 r~o-~ ~ur~ :r~aca -L-~v~a .d-L~ < <r v~a~ ~~i-~a~ ~U ~L~~ :t~~U ~a~~ :.t 1 "rS~<hj-t.=Ll ~-A-3~7t ~~C~~ïd-tACO~l~r~t~~CQ~! r~ J~oco~ ~a~~u ~o-~ocd :T~cL~ ~c~-u~ 5 tl~J.~l-3~ ~Q~l ~D~~Q <nCL.~ ~t~ :J:~ T~U~ -L~ .L~ .~cn-~cu~ ~r~ ~QT\T~~ rsf~cn~ :r~ ~c~~ ~~1~ ~J~-3'~ni~T~a :a-~a-j~T~J t~cu~ aca ~n .~CtT.Ll<X!CLt~<3t~~ QCa .T*~( ~CQ~~U~ ~ca ~~mr3 r~aca ~1~J~n ~.<h~~ T~l~cd- acn~ 10jcn chaao ccL-T's~a v~ t<~ ~'ST_~i T~Lx~ :r~!a ~JLlo T~jl~c co~dc~T~ Tsi-i–~co~ .~3:rs~aca <n~T*~ rsiJ .i-~ ~-L~r~'To~oa 'eQTU~. -Li~ ?~aca 10. SiCBu: )~: Be: ~SUj~K-tMV P. StC(x?~M<; TY,YaTT~p.a~M. 13. ~ov ~~upou(~txpov)P. habitum M. 11. Ta trx9~-u.MV I\ 13. e'MTOtt SK~ 14. =~ Bu; T~ ~t~ auToSP; suum vigoureusement sur la distinction des esprits et il disait II y a des démons attachés aux passions qui changent souvent notre bon penchant en (penchant) mauvais. Ceux donc d'entre vous, mes fils, qui veulent chasser les démons doivent d'abord subjuguer leurs penchants. 3. Chaque fois qu'un homme vainc un penchant, il chasse aussi son démon; il vous faut vaincre peu à peu les penchants afin que, de cette manière, vous chassiez aussi leurs démons. Car le démon est porté à la gourmandise et celui qui peut la vaincre peut par là mème chasser son démon. N 4. Le bienheureux mangeait deux fois par semaine, le dimanche et le to jeudi. Sa nourriture était un peu de farine et d'eau cuite en petite quantité', et il ne pouvait rien prendre d'autre parce telle était son habitude. que discipnlisbeati Antoniitnit et, post iHiusobitu.n,cumsancto habitaveratAmmone,Rufin,<oc.cil. Miesecundoreficiebatur in septimana,pu)ticu)a-, accipiensex tanna,Rutin,loc.(-!< col.433. AMMONAS. 426 "Nf.133QCO~ GGCO ~T-3' V va. ~tl~ \7~3J~ [124] J~ 'VSf~\T~ .o-ico rL~c~ Tu~ vsi-t~ i Mfi-a ~.aao ~ï~ ~n ~loa-l-~ 1 7L-HT~a~~H ~G-~3-3 '.T~jJh-. ~T~-m 5 ~lM ~J~ t~Lp ~3~ ~f~-1-M~a .T\ ~~rsf T~MT~.~003 0003 ~-LJ3~ VSfJ'~ < ~Ct~ ~T~-U~~ V~lT~"~GU CQ.-3-J~ ~<R-1 ~a~Tt-~a \3-1~U rsfï~~ ~o~m~ .~1 aaco ~~aj~3 /a<~ .1 oaco ~i~~Q vsfju~<h r~jcoJ on~ ~m <A-lJLj3 T~ls~~a :bco io rsfm~ ~T-L ~7~ 'L~ v~aco~ .f~=!3 \1 M~~r~a !~J~ T~oaLl ~v~nma dl-~ .~Vp 1. Ms. add. 14597 du British Muséum, date de l'an 569, fol. 133'-135 (= N). Ce cette version. On trouve une autre version syriaque est seul à présenter manuscrit vers 650, dans sa aussi ancienne et moins littératc insérée par Hénanjésu (Hananiso'), Paris, 1897, p. 389 (= Be) et éditée par P. Bedjan, P~-a~'sMs Patrum, compilation Londres, 1904, t. II (texte), p. 391 par W. Budge, The Book of Paradise of Palladius, 50 (= P), et la traduction latine (='Bu). Le grec se trouve chez Preuschen, loc. cit., p. Le texte col. 1162 original de Rufin se trouve P. L., chez Migne, P. L., t. LXXIII, (= M). N seul. MP soudent ce récit au précédent. P 2. Ce titre figure dans t. XXI, col. 420. EV &pM~VTUp~KP. 3. nopSUO~MVSE~MV XOtT& T~ ~~OV ~ES~6p~ E~~ M?t 'A~OM. 6. oi 8s SS~Yo~e~ T~E< aoE~o: P. Soxo~:P. B. o~ 5. )L~! )i~ 4. ~)., )~ B. P. XK[X6p<y.<!TO[(; XK~KCTTtSKÇ 7. Sc<XXO~TO(< N ). HISTOIRE DES FRÈRES (RM~K et QUI GUIDAIENT ses CES BIENHEUREUX co~M'y?ïo~~). nous i. Comme nous marchions dans le désert au moment de midi vîmes tout à coup une trace d'un grand dragon, comme si une poutre avait été traînée sur le sable, et une grande crainte nous saisit. Or les frères qui nous guidaient nous exhortaient à ne pas craindre, mais plutôt à prendre (f Vous voyez Ils nous disaient courage et à suivre la trace de ce dragon. notre foi, et vous verrez en réalité comment nous tuons ce dragon; car soyez de certains que nous avons tué de nos mains beaucoup de dragons, d'aspics et cérastes parce que nous avons confiance dans le Seigneur et que, chez nous, 10 1. Lire « dansle désert du midi Preuschen,<oe.cil., p. 193;ou« le désertd'Arabie)'. Ad Rufin,P. L., t. XXI,col.420. partemdeserticontraMeridianum, [125] III. DEUX CHAPITRES DE RL'FtN. PRODIGES D'AMMOXIS. 427 TSl.'1~3J~ ~T~T~ OQ~L-l- ~Jhcd VSi~n T.Q .UJ .t /r~ca ~-leL-x. ~o~l rsljr~ ~co-~ r~cn~ /r~3T~ -r~ i i~ -i~ enLjj cnl~a /T~mj3~.a T~~aajj ~cm.a~ 'H~o~T% r~Ljj~a r~~a..i.ca rsfi~ ~.L~ca ~m t CM rr i i<h~ en. j~ ~d~ ~1~ ~aca~ .aco ..f~r< ._aaQ T~-JJT~ Tm .<C!3–! rSijJ~Ot~i~ T~JlT~ .~T~ r~ ~aaj~ ~000.1~3 7~~a.~i.=~a~ J~niï r~~aT-t~~ '.cn.n*\T.r~~ ~na .ctoa r~l jCQq~DM-\ r~~cm~ r~aca 'T-~3~0 r~ D i r~aco rcf~D \T~'aoo <j3L.ia ~~aa cd~ M r~acn ~-Lpa .003 vdi~~ ~m a<x!v~~ca~ .~1 r~mj-\ aaca ~~T-~n v~jjr~ \r~jj!~ ~co .T~jao~ ')o'~3 jcacuun~ ~r~ ~-il~ '~Aa .aco~i~. J~T~i t~a~ r~l'n ca-u~la :3 Tujr~a \'n.M r~jj~ ~~a .-acn «~ vdl~ ~r~aco T~Q~fa ~-J~ T~ J~r~ J r~aca aoa r~ i t ~h~ ~oo~ p~ r~Lan~-H ~j~~ur~ 8. ~0 TTOD~ ~:o8un~<; 0. TT~mtn~~MV ~S<; P. 10. Ot3~ B: TTjV6xu.~ P. t'r; ~ue ~«~ f~xe le s'accomplit la parole de Nôtre-Seigneur, disant f<M.rpieds les .'{<')~c~~et les scorpions et <0! ~M~n- f/p pMt~a?;ce de » raf/r.<!6nre'.)) 2. Nous donc, parce que nous étions incrédules et saisis d'une grande nous les de ne suivre la trace du dragon, mais de crainte, conjurions pas suivre le droit chemin. L'un de ces frères, dans l'ardeur de sa bonne volonté, nous laissa où nous étions et courut dans la solitude à la recherche de ce dragon, puis, lorsqu'il l'eut trouvé, parce qu'il n'était pas très éloigné, il criait à (haute) voix et il nous dit « Le dragon est ici dans la caverne », et o il nous appelait pour voir ce qu'il faisait. Les autres frères nous sollicitaient à aller sans crainte avec eux. Comme nous allions voir le dragon, un solitaire survint qui nous la et il nous d'aller à son main, prit monastère, et il nous disait conjurait « Vous ne pourrez pas résister à la sortie Impétueuse de ce dragon, surtout ). Luc.x. t9. Vl). ]!< *)'.]33 Vb. 428 AMMONAS. V~-l -L~f~ T-UQ .~0~-H 0~-3~ ~S~SQ ~l'~J~ja .J~?~ vsfaco ~'f .< ~t ii~ ~lljj~ *f.l34 ra. *f.t34 r'b. .~1 TSfacn < ~~3 d3Q~3 .~aco oa.~aQja v~-1 ~aa .t~ï '-n~i-< [<.6T<XTT?jVXt osj~n~ .r~acs *< -< ai~ajj~a TOU CM~EO~! P. 12. .~oe~G~v~ n~~La~~L~ \rsf=Li~ TYJV O~yo~ttJT~KV ~pt.MV ..ly~a 013 co~x~ cn-3 acco 1\ ~CCO 'TLt~ ~CTUS ~03 ï~fm~l 7~<hT~~ \~T~~ T~JJ~~ ~T~f Tsf~j~ao J~ n~aoo T~L.t.-H.. .003 J'~i. .003 s Hfaen ~~T~lx~cn~ rsf~a~ oQ~a~H~G ~o~a Tsf~~o'~s ~03 \r~<M~ .~fL~3 'n~i~v~ T~<h-J3~ aco T~aco ?~~f~~T~~M ~3?~' CQ~~Q \~cacL~J37L-U ~L. ~r~ 7~~U:3~ T~GCO QCQ ~n T- 11. 003 ~k~T~ ~G~G~.tl T~T~ VSfi-n-~ *fi34 r'b. ~Mrsf '~o'n-D /~aT-a-t T~aca ea~ .C.l~tCO V~3~T-a 'n–S~Ct .CQ–3 ."ctcbvsi-ï.-lcm~ .v~i~e~Ll ~aa TSftC!3 <~V~ jCO~m T~~tTSf~~ T~ ti~ÛO~ ~cao-tJ-L-ja~~ [126J ~~1 vsfx~U3 n~nm~~o ~<hT~~<hv'~jjao 13. ~o~'t B; 'A{JL[JLM<V P. parce que jusqu'ici vous n'en avez pas vu comme lui s, car il disait « J'ai vu souvent qu'il était très fort et qu'il a plus de quinze coudées. )) 4. Après nous avoir ordonné d'attendre en cet endroit, il alla vers ce frère, et il le conjurait de s'éloigner de l'ouverture de cette caverne, car il ne voulait pas quitter ce lieu avant d'avoir tué le dragon; (enfin) il le persuada et il ramena près de nous le bienheureux qui nous reprochait beaucoup notre peu de foi lorsqu'il nous eut rejoints. 5. Le bienheureux nous emmena et il nous fit entrer dans sa demeure qui était éloignée de près d'un mille et nous nous reposâmes de notre fatigue et nous nous réconfortâmes. Le solitaire nous racontait qu'en cet endroit avait habité avant lui un solitaire, homme saint, nommé Ammônis', son précepteur, qui opérait de nombreux prodiges en ce lieu. 6. Souvent en effet des voleurs étaient venus qui avaient pris son pain 1. Ammon nomine, Rufin, <oc. cit., col. 421; on trouve aussi Amun. to [127] HI. DEUX CHÀPtTRES DE HUFfX. PRODtGES D'AMMONtS. 429 spj3j rsf~J?3CL. ~73 T\jj.n ~~T~ctco ~p~rsf ~~ao ~.&a .aacn rïfacQ ~j3-aa .vsf~Q~ TS~jj~ CQ~A. j~L.T~Q .Tsfn~ajj~ a~r~o .v~ ~~a~LL~a ~03 v~s~aT~~ ~~cc~aB~~ ~aa~l ama ~c~nT~~ ~r~ T~aa~Q~3a n~~ca r~<h~a~ ~f~ s J– ~acQ~cn ~3a .aaca cL-~aa~~r~ ~~coo .aaoo v~=~ <1- ~_cur~ ~u-jLr~T~fjacLL <o~b -~a .al2b ~jaoojL3~ ~ru~~uLT~~ajjl~r~<h~aLi.~ r~~C~uu ~aacn ~~UL 7S~rs~ r~aca if~jj~a .n~~<L-t-jj M .~j~~ur~ ~j~~ur~ rsif-la ~~3 ~'UT~=i .fY)<~ .~i-t–3~-1 < r~aoo ~_cur~ ~o-~pr~ ~j~Tt *~o-l T~cndr~ ~3 T~cn-JtT~ ~a~ur~ ~c~n~ ~cn .i~~a <1!L~ ~ocnl ~ca .–?o T~oo~ *ri~ v"a. 7sflSrsf.L~ n~~L~-lpd ~cur~ d~r~a.hjr~ ~.THi-o TJ>3~ r~xmf ~_oar~ ~oca~ r~aco r~~r~~a .~r~~a~tS ~ctoa~ '~oj~a r~T '~i ~j~x~j~~Qo i~~ui~ ~_cuca ~joBUu r~Tt~ JLlja ~s.c~~u~T~r~rdI~j~ ~3 ~~u~TTt~a \<a'aao aj~s~ ~~cu~~ca~ r~~a~r~ ~r~ ~~T.~3~ ca.Ljj~ aacn ..?~ 14. 'f,jjn9avEt< j~~m P. ~~n. 1G. ~oo B '!TOt:s97jXE (Bu om. TSaTtE~ŒV j~~eo'. 1.'). EtS~v xurou~ ~Ecu< '°[~~°"? xai cf/e~ov P. et sa nourriture. Comme il (en) était très incommodé, il alla certain jour au désert et en ramena avec lui deux grands dragons auxquels il commanda de demeurer en cet endroit et d'en garder la porte. (Lorsque) les voleurs vinrent selon leur habitude et virent ce prodige, ils furent saisis d'un grand étonnement et d'une grande frayeur et de la crainte qu'ils éprouvaient ils tombèrent la face contre terre. 7. Lorsque le bienheureux sortit, il les trouva gisants à terre et il ne leur restait plus qu'un faible souffle de vie. Il les releva et leur fit des reproches en disant « Vous êtes beaucoup plus cruels que les animaux, car ceux-ci, à io cause de Dieu, obéissent à notre volonté, tandis que vous, vous ne craignez pas Dieu et vous n'avez aucun respect pour les hommes ». Il les fit entrer dans la cellule et leur prépara la table, et il les exhortait à changer leur volonté mauvaise. Ceux-là abandonnèrent aussitôt leurs mauvaises actions, et ils parurent meilleurs que beaucoup d'hommes, car au bout de peu de temps, dans 15 (leur) foi, ils faisaient mème des prodiges par la vertu de Nôtre-Seigneur. f. 134 430 AMMONAS. r~Qcn T~i~i r~~cu~a r~~cC>3~. eo-L~a T~aco Jt~<~LJL~3~ .~aCQ~'LX. a<X~-3a jQQQ~G-JjJ~3 ~coa~~a~ tltT. .TSfaca vsijj-a ~~<j3'T-~tQ QT~ ~j~ ~M~x~a CQ~tO-1 ~m ~3 .T~aco <M( ~0~03 ?~'1 Tïf~~ p <~J-1-J3J .'1~?~ nf~U~~ em~3~ T~rujT~ '~r~~ -a V~&ï~da ea~3Qj3 .~r~aan ~ia~T~ ~3 ~cn-~ T~lT~ t T. .TSfcO~TSfl .aas Tsf3rsf3j~a t <j3~i ~~oo 1 ~1~ 5 ?dl~~d ~~T~ v~-L.A-3~ ~~00 T~l 7Sf-H~t-XJ?3 H~l~ ~3 TU~ rsfetca t~T~ <~ed ~ol J'~ jcocd~. J.Lja~3 ~Ct03 \~€n~~ ~=L~. ysfacn .~j±~~<' GOQ.T~ ..?Sfae!3 t TSf~?~ ï~~ea~a .a o~l ~icd~ ~~seC~a 1t&=:~ ~.&a JL=LM~a a~?~a ~G~ T~A~ ~aca ~t~jBoa 0003 ~cun~ VSf-~3CL~l jm~T~ ~T~Tjj~f ctT~~?~' jCQ<a-3Q-j~ ~a oal~-l~ ~J3o ~00~0~ ~f~teui~ia *f.l3t \'°h. t~n~?~ .3-Aja~ [128] ?sf~u~ ~?~E.j3 ~fje-t-~ .~OO~~T~ E'(.)8ev OS ;1$ KVCtTTX; IM30v P. lxÀm 't'~ P. 1~. 17. Ë(,)6EV 17. P. 18. StoSoV 18. P. 19. ëx~~E 19. Elç TTCOTSuy'~V E~ «vC(cr-d.,P. TK yOVKTK "{ÓvC('t'C( 'Ttpocrou/:I¡v 21. TUS~O~ P. 22. xai ~~07)~ TrOVTJpa~ ~TTOTTEm.TtOV P. ase~K Ss~OV P. 8. *)'.1:!4 \b. Un autre dragon encore dévastait tout le pays voisin dr- ce bien- heureux; il tuait et faisait périr beaucoup de bétail et d'animaux. Tous les habitants du désert vinrent ensemble près d'Ammoun et ils lui demandaient d'extirper ce dragon du pays. Mais lui, qui refusait de le faire comme s'il ne pouvait pas les aider, renvoyait donc ces hommes de près de lui dans une grande tristesse. 9. Le jour suivant, dès le matin, il se mit seul en route, *I1 se plaça sur le chemin du dragon, tomba à genoux et pria Dieu. Quand il l'eut fait trois fois, le dragon apparut subitement et s'avança vers lui avec grande impétuosité, tandis qu'une haleine redoutable sortait de sa bouche, qu'il se gonflait, qu'il sifflait et qu'il émettait une mauvaise puanteur. Saint Ammônis « Que le ne fut ni ému ni effrayé, mais il se retourna et il dit au dragon Christ, fils du Dieu vivant, te donne la mort, Lui qui doit tuer le Léviathan'. » 1. Qui pet'fn)pt))rus est cctum mngnum. Rufin, ~nc. eit., col. ~21. M fl2~ III. f)EUX CHAf~TPRS DE RL'FiN. PRO!)[(:{-;S D'AMMONfS. 4311 T~Ct .oi~ CtQ3/T~JJ ~CQ.l~~ Ct31J3 Jc~LjSJ~ eol&G ..AL~~ 003 r~&j~ ?~TUiI?3'co 1~ ~ca~ actca a~~T~~k-~acL-. ~3.~<h~ 00-~3~ ~~<kj3 ~n~aoo occa c~cQ~G .aco < jaoon~ua~T~L-A-CL-jB JJL~a.T~fjLJSoJL 0~3 jCHJTtjQ3 ~<cL~t-3 ~7~J~ <aaao CL-EAT~rd&~ao rïiJLu ~r~ï~i onj~~ ~'i~j~a <aaco Qco.~aaal~. .) );, '1-h~rsfl.T~aoQ ~on~o ~ca~ ~iaL. r 11. '/ctco ?s~Ltj< c~~Ld aj~BT~u joaq~n~ aocQ ~M'iJ~aJ~a T~aca~d~i~r~aeQr~~T~J~. ~M~Ud~3~3 ") tl-S~a .cn~S-j ~T~a ~a jco~ma .ct<33 ~ijj~ < T~jajja~.~7': r~aco r~Q .~v~TJ3~J~U3 ~730 ~~Ja .T~L~c~cn-l~ .r~JL.a ~JJ-J ~jCtao–L-t!~ QQCOjOOC~~M-T~ fSfx~3~ T~Ll co-!L. ~o~~3~ rsf~Ll~. .v~l~cd- <hcd jooc~~uH~a CQ-JJ-XJ~!T~JJJL~Q.T'~CtCa ~d~ V~3L.TU3 ~~03 .0003 15J–t~eo r~~ca r~jj~ 'Toi~aa L ~co ~L-L–~aa 23. )-)! )-Lj~jc<\B: ïo ~.sycf x?;To~ P. 24. Tov !ov P: o)H-<oD. ~XO'ICtfTSt 27. OÎHtOt P. YEVOtJ!.6VO<; E~~O'~b~Tev P. 25. KY:otxot P. 26. ev 10. Quand il eut dit cela, le dragon creva sur-le-champ, et il rendait tout son venin avec. son sang' Quelques jours après, les paysans vinrent et virent le dragon, et ils s'étonnèrent du prodige que le bienheureux avait opéré à son occasion; comme ils ne pouvaient supporter sa mauvaise puanteur, Ils jetaient beaucoup de sable sur lui; le saint demeurait près d'eux, car ils n'osaient pas sans lui s'approcher du corps de ce dragon. 11. Un enfant paissait une fois les brebis, tandis que ce dragon vivait encore il le vit de loin et trembla, le soufre lui manqua et il tomba et mourut dans le désert. Il resta gisant tout le jour et, vers le soir, des hommes le trouvèrent inanimé à terre et le conduisirent au bienheureux, sans connaître la cause d'' ce qui était arrivé- Alors le saint se mit en prière et l'oignit d'huile; et l'enfant se leva et il raconta ce qu'il avait vu. C'est pour cela que 1. Statim diri~"imu~ <)raeo ~nmc ~imu) <;nm -'pirHu f\'omans Hunn./or.<7..<'u).4~). venenum, disruptus crepuit médius. r. 432 AMMONAS. [130] ~li-t-J coJ-Ljaa T~aca J~t~a /TSfma.L rsfaca ~~ca~vdl v~~mo~x.~ a~oa~ o~3JL av~ am~ J~a ~aaa 'm~3~ T~30~ J~ T~-LX. ~lx. ~03 T~jL~f 28. Cette finalene se trouve aussi que dans le ms. 14597(X). ce bienheureux fut touché de compassion et qu'il alla tuer le dragon; et tous ceux qui virent ou entendirent louèrent Dieu. Fin de ce <~ concerne les MenAeweM;rsolitaires (ht Je~er~. IV. LETTRESD'ÂMMONAS. E'~CToX'/j6t'. A p. 7. TOT OEIOT KAI'E)EO(DOPOY nATPOS HM~N ABBA AMM~NA nEPI HETXIAS. O'J~U~0< 5 O~KTEXMtU~.S?<<XY<X-!n;TOt 6(.Se~<pOt ;J.OU,OTt'X~'OU SY~STO ~<Xp!x6<XC~, XOH ~6 TÙ~ !X~9p~TTM~ ~!XUT'~ TOtt ~Uy7],M! ~E~,TOfOeO~eMY~M~,E6C~ [J! CUCTE~T) ToT6 y~p g~6T6H TQ~TTO~S~ T&~ p.K~O~MV fXTTO XUT~,Xcd, EX~ '!M~TO<; TCEpKT~KC~.OU. TOUOEOU, TOT6MOME' MÙT~TO7;V6U~<X. ~~CY) TOVXKTK X6(tpOV Ep~O~SWVTTO~ejJMM, 2 XCH 6 XX:p!.KTO; 'E~ T0?<;TTO~e~O~~ [Jt.ET'X~]6-/)<reTK~ 6~ X.0~0~X!Xt0[.YK~{<X.C~. ~p'/i, ~~ot [M) 'io swt.fpsp&rKt eir' <xuT~ M~ct~ x<xt'xx-/)~Mt,x<x.to~<xTco~ac wo~u-rpo-~K e~ 7)CU~KX OUyacpKTYU<TOU<H XCCT' <X.ÙT~Ç T!;T0~9~' T70pEUO~)!. 1. cf~ou A. A. 3. a~TM A. 2. Tto~jjnot; 1 (SYR.,XYl). ~Ap.7. SURLA SOLITUDE. DE NOTRESAINTET THEOPHORE PERE, L'ABBÉÂMMONAS, 1. Vous savez, vous aussi, mes chers frères, que, depuis la prévarication, l'âme ne peut connaître Dieu comme il faut, si elle ne s'éloigne pas des hommes et de toute distraction. Car elle verra alors l'attaque de ceux qui 5 luttent contre elle et, si elle triomphe de l'attaque qui lui survient de et toute la peine sera temps en temps, l'Esprit de Dieu habitera alors en elle, lui sera infligé des afflicchangée en joie et en allégresse. Durant ces luttes, il tions et des ennuis avec beaucoup d'autres désagréments variés, mais qu'elle ne s'effraie pas, car ils ne prévaudront pas contre celle qui vit dans la solitude. 10 AtK TO'JTO XX~ 0~ KYK~. 433 I.:SYR. XIf~. SUR LA SOLITUDE. iV.–LETTRE [131] TTXTSpE; EV TK~ -U~ 6 -~TK\' <TU~E?TX~U.6W~, EpY~.O~ TE H~tX~ OTL M~ yxp -~O~K7TtTc, 6 OscêtTTi~,XXL~MXW/]~ 6 Bx~TtCr-r- X~ 0~~OUTO~ ~XTSpS< Lt.S<7M -M~ -:0~ 5 -~U/~XV ~<X T~, Y~p 6 O~X.oSoK.7) T,CX~ T~i; X~O yoeuXV, KUTOU? XHOCTE~Et ".1. ~0 X~OCTE:AXt 10' ~UYT)~ TÙV Y6VM'/TX: X.Xt S~ TX.; QspKTKuOï, U.EOO~ TM~ Y~p TTEpt TM~ '\syE~ TO e~ XX~ X~9p&)'!7M~ XXt TM « TOLOUÏM~' 7]d'~CMTO TOU; 'KpO~ TK TTp6; ~M A~XTO~ ~~C~TMt, T-/)~ Î~OUCXV OU TM 6CUTOU?, KUTOt XpE- tXTpOt TKUTT)~ T7)~ dS TOTS SCT~ yx? XXt OUX tX-~ÏCTS~O~ 'EyM AtCt K-!?ECTe'OVTO' KUTM~, O~O~O~iV TX(; KUTM~' XppMO-TLXi; X~~MT~OU~ T- dU~X~.t~ ~O~TK<; BepX'~euC'XL. ~0<T-/t;7.XTK. 8e'i~-XTt T'~ ~9pMKM~, TX!; QspK~SUCMG'L T!:XVTX XUTMV fi <X~6?M~MV, TM~ ~.ECO~ XUTM\' Xp9MTT''XÇ O~OUCXV EXU-0?$ X~X ~~KLOCU' T7~ XKTMp~MTX~ 6V S<I~7]XXT~ XUTO'J~ OL MYOULE~Ot d'E '!TpO TOU T~UMQ~VXt, 060; KUTÙ~ ~ETX~U X77EC7!;M'0, -~U~tX~ OTXV O'~KMt, X~SC-ra~ 0EOÇ ~UY'~ T7;~ 0~ X<TX'/f'7K~TE~, 7:pOTSpO~ XXL TOTS Q~T- OVTE(; K~QpM~M~ TOV OEO~ <Xc9~6!.X~' TOU OeOU. de iX<p' 0 SXU- A p. 8. cK'7]~ OOUOé Ud'S 'f¡' O~X.OOO[L'f¡cr7..t 't'W'I9-rpE)Cov TM~ d'tXTOO-Q OUOé !Y.ç7..t O~EEXUTO'Jt; é%U't'O'Jç dU~T<X.~ OU'IiX'I't'iXt, 0:XO~O~<TXt ~U~7;V. 'fUX'O'l. (pU~K~Xt IpU ~TpE~~2 »)), Ot%-où-0 Ot 1;, d'~ ~6 K'j-y~ yO~TKL (XTTO OsoC SXT-TO TTCO~ T'~ 1. Thomas de la lettre de 5; TX(; TM~ Marga cf. Liber cXr.OGT'ij'l7..t WS~TTO~eWt, 6E:<X~ ~UVX~.e~, X~QpM~M~ o!x.OOOtJ! (tx' cite siècle) superto/'um. éd. la version Bedjan, T~H ~X d'E ;) syriaque Paris, 1901, ~CU~~Kg OU ~Xp<XXOUTM<H des dix p. 279. EidOTE~ pou)~T6M, TOU suivantes lignes 2. Jér., xxiii, Ô'/i~MURyOU, et d'une OTL ~p- phrase 21. 2. C'est pour cela que nos saints Pères aussi s'étaient retirés dans les déserts, comme Élie le Thesbite, Jean-Baptiste et les autres Pères'. Ne croyez pas en effet que c'est lorsqu'ils se trouvaient au milieu des hommes mais ils ont comque les justes ont progressé à côté d'eux dans la vertu; 5 mencé, en vivant dans une grande solitude, par obtenir que la vertu divine habitât en eux c'est après cela que Dieu les a envoyés au milieu des hommes, lorsqu'ils possédaient déjà les vertus, pour servir à l'édification des hommes et pour guérir leurs faiblesses; car ils étaient des médecins de l'âme, et ils pouvaient guérir leurs faiblesses. C'est dans ce but qu'ils ont 10 été arrachés à la solitude et envoyés près des hommes, mais (Dieu) ne les envoie qu'après avoir guéri toutes leurs infirmités. Il est impossible en effet que Dieu envoie au milieu des hommes, pour les édifier, une âme qui a une maladie; ceux qui sortent (de la solitude) avant d'être parfaits le font de ceuxd'après leur propre volonté et non d'après celle de Dieu. Dieu dit 15 là PoM?'moi, je ne les ai pas enf0!/e.s, mais ils coMra!'e/~d'eux-mêmes2; à ~Ap.s. cause de cela, ils ne peuvent ni se garder eux-mêmes ni édifier une autre âme. 3. Ceux qui sont envoyés par Dieu ne veulent pas abandonner la solitude, sachant que c'est grâce à elle qu'ils ont acquis les vertus divines; c'est 1. SaintJérômea connucetteopinionqui faitremonterles originesde tavie monacaleà Élieet à I!écriten enet,en tètedela Viede saintPaulde Thèbes Quidam,altiusrepetentes,n Jean-Baptiste. &ea~o /Ma etJoannesumpsere Voiraussiledébutde la Viede Pacôme,P. t. LXXIII. pn'ytCtptHm. col.231. 2. Jér., xxm, 21. 434 AMMONAS. [132] 'IdOUEY~MpKM 0 (")so$tXTCOd~SyETKt. 'ËTTE~ T7]VdU~Kp. XSHT6(.UT7)\' UU.!vTTi~'~CUV~Ot!; OUV X<X[ TO T'V po'~EKX.~ T~(;'~CU~ <p9<XCeTS E~ KÙTO. ~y~MTE ~.STpO~ C~ yKpTf~.E'LCTQt TMV[AOYK~MV OÙX U.eTOC TM~K~9pMS:~TOUTO, S'~QiXCKV TTKpK~.e~Ot.~TEC Ta 6s~U.<XTX EKUTMV OÙYXO'~9E~iO'0(.'< ~M~,X~ dM TOUTO 'V~TKt '77CMTO!. [/ ~U~7)~VTE(; XaC.T6C'n:Of'~CCH MCTESX~uyE~ TO~'n;6ptC~<XC{Jt.O~ TM'V(X~QpMTTNV, 0~' ~tAS~OV EXUTOU~, TTEOt-!) x,l7.t ~tKTOUTO 06x 't'OUTO OUX. OÙX TOUOeOU~ OUX,OC't"7I<W't"/j'J y'XuXUTTjTX <X'<]'\MV, X<Xt XXTYj~tMCKM~E~Ot G~(')p.e'Jo~ ~ST'OCI\f\jI\W'J, p.eT ~MT6t~T'~ EjV<t)t¡a'J )'I\IJ)(.UT7I't"OC 't'OU. EO'J, ou 9'<7<X~ M <XÙTOU XCH 0[X?]C9H <xÙTOt(; T7:~ ~U~K~.t\' T~~ oÙpKVM~ TtOMTTjTK. !XÙTO~ T7(XpO(.CyE~ AtXTOUTO OUX E~OtXE~KÙTO?<; TOUOsOU,S'!7ECO' E~ TOV 7) ~U'<K~.t(; TO~ XKT6t TTSpK7~M'VT!Xt XOH 6'VTO~TrxQect XKLÈvT(X~;<Xv6pM7rMiXt<; TOUTOU, T~$~U~T]~ ~O~Kt~ XOCrpLOV <X~<XOTp6<pOVT6t~ XOHTQ!~ TOU~K~tXtOU Qe~f~Of.Ot (X~QpMTTOU. '[dO'JK'K' &VT6u9~ 6 €)EO(;7;[J! 6'7r~.7;p0~6p7]Te TOC[AE~.OVTK* O'JV,M EVOU~iX[AOUo66 OE y<Xp 0~ TTpKTTETS. OÙdWK~T<Xt TXSOH)TM~ T7]$-y]CU~M~ VtX~O<Xt K<ptCTX{Jt.6~0[ QE~KTK, OÙOE TOV[AX~O~EVO~ X!XT(X'<X~.K!T<Xt AtK TOUTO oùd6~yO~TS~ S~KUTO?~ SVOtKÙTO~TTO'Xe~O~. XOUCtX~ TOUOsou, OUdEXKTO~e: T0!$ dOU~UOUO't TTj~OU~K~M <X~' Ù{Jt.E~ TO~ TT(x6E<~V, TK ~!x87)~tX'/fcKTS, X<X.t OeOU<X<p' 7) du'M~ TOU 60!.UT?]~ EÀeUCSTiXt 6~ÙU. 15 "EppMc6eEVlY~SU~XT~ KY~M'Â~fv. pour ne pas désobéir au Créateur qu'Us sortent (de la solitude) pour l'édification des hommes. 4. Voilà que je vous ai fait connaître la vertu de la solitude et (combien) Dieu l'a pour agréable. Puisque vous avez donc reconnu l'utilité et la règle de la solitude, vous avancez dans cette voie. 5. La plupart des moines n'ont pas pu progresser en cela, parce qu'ils sont restés au milieu des hommes et qu'ils n'ont pas pu, à cause de cela, vaincre toutes leurs volontés; ils n'ont pas voulu en effet se vaincre euxmêmes au point de fuir les distractions causées par les hommes, mais ils sont demeurés tiraillés avec les autres et, à cause de cela, ils n'ont pas connu la suavité dn Dieu et ils n'ont pas été jugés dignes que sa vertu habitât en eux et leur donnât la qualité divine. Aussi la vertu de Dieu n'habite pas en 10 eux parce qu'ils sont tiraillés dans les choses de ce monde et qu'ils tournent au milieu des passions de l'âme, des opinions humaines et des voloités du vieil homme. 6. Voilà donc que depuis longtemps (depuis Élie) Dieu nous a donné témoignage de ce qui doit se passer; aussi fortifiez-vous dans les choses que 15 vous faites. Car ceux qui abandonnent la solitude ne peuvent pas vaincre leurs propres volontés ni l'emporter dans la guerre soulevée contre eux, aussi la vertu de Dieu n'habite pas en eux; elle n'habite pas non plus chez ceux qui obéissent à leurs passions. Pour vous, vainquez les passions et la vertu de Dieu viendra d'elle-même en vous. Portez-vous bien dans le Saint-Esprit. Amen. ~133j 1 IV. LETTRE H ,SYR. H). SUR LA CULTURE DE LA GRACE. 'Ë~CTOATj TOT AYTOr. 435 p'. HEPI FEilPriAI THE XAPIFOE. M RuptMVKLpELV. To~ KY<X"/i'rO~ 'Exv -K; !XY<X7C7:?-/) TO~KuptO~ OÀT) X<Xt EV7CKC7) XiX~ T'Y) ~K- A p. U. XKpOtX, ~XCT) M 6 X~ 6 XAKuQ~.O~ ~Et TT~e-~ <p6~M, ~66o<;yE~/CE~'KUTM ~.ÀK)j6~6~, ~p<X- XX~ ~<XpX XXL ~M TXUTTi~~u~ ~<Xp'7!0<pOp7f'TE'. ~XSt-XixtMV?-/) 6 OEO<; yE~V'SE!.:C~UV, TO~ <X'JT-7~ KÙTO~ O'jTMt; S~TIKdM X.Kp'~0~ Mp<x!M, ~pOC~E~ETX~ M~EUM~KX. XtXt <XUt"?j CUYYXp'/fCe-fXt~.ET'X TMVfX~yE~M~ KXt~M?St<XUTTO~ 6V 6CJTOU, KU~<XC<Xt; !?U\KX<X (RU~XTCOVTK TX?<:6~0:<;C(.UTT~, ~M; 6~<T-/i XUT-~E~ TOV-0~0~ T~<:XVKTVXUCeMf;, ~K ~.TiXXTtO/UC-/) 10 KUT~~ 6 S<XTiXVX< "0'70VY~XpOpiX6 ~tX~O~O; TO~<pU~KXX, TOUTETT~ T7;V~<X~ ~UX~M T-?~~~$, <pEuyEt t-M XXL Ooëou~EVO-; T-~ E~~StT!'pOOEYYtC<Xt tX~RN~N, SU~.X§OU[/.E~O<; E~ X'JTM oI~<X 0-TL9EO~E~f ~<X;7.tV.'06Ef, XY<XTt-/jTO't Rup~N,OU~<XY<X.~X 'i'U~ '~OU, O'J~E~ EXUTO~ XT'CfX'jQE TT:~~K~~ TX'jr/ MX<po6-/l9-~ ~~EH ECTE' UjAX;Ô SxTX~X~, XK'tMXCO~tT~TiTE EV~KCtTO~ îpYOU;U~M~,xxi ~X Y~UXUTTi~ T~i; ~6<ptTO<; T7po6xMOU<T<X 15 XUC'~CT) TOV TOU TOU U~~ XKpT70~. 'HY~pY'Xux.UT'/]<;~<Xp~~XTO<; ~VEU~.KTtXOS Y~Bp<X SCTtV t. -~ï,A. -ostA. II (SYH., II). Du MÊME, AU SUJET DE LA CULTURE DE LA GRACK. 1. Aux très chers dans le Seigneur, salut! 1 Si quelqu'un aime le .S6'~CM)'de tout son cœ~r et de toute son ~yne et demeure 5 dans la crainte de toute sa force, la crainte lui produira les larmes" et les larmes la joie; la joie engendrera la force et, par elle, l'âme portera des fruits en tout; et, si Dieu voit que son fruit est assez beau, il l'accueille comme un parfum agréable et il se réjouira en toutes choses en elle avec ses anges et il lui donnera un gardien qui la protège dans toutes ses voies, pour la 10 conduire au lieu du repos, afin que Satan ne domine pas sur elle. Car chaque fois que le diable voit le gardien, c'est-à-dire la vertu qui est autour de l'âme, il s'enfuit, craignant d'approcher de l'homme et redoutant la vertu qui est près de lui. Comme" je sais, ô mes amis dans le Seigneur, vous que mon âme aime, que vous êtes bénis de Dieu; possédez donc cette vertu en vous). mêmes, pour que Satan vous craigne, pour agir sagement dans toutes vos actions et pour que la douceur de la grâce progresse et augmente votre fruit; car la douceur de la faveur spirituelle est /~M douce <e le miel et le rayon de ). Matth.,xxu, ~7. 2. CI'.p. 'iSl. 3.I.iH. « c'e~t.pourquoiD.S\t'. « mai.sx. Ap. u. 436 AMMONAS. [134 ouoeTM~xpe~MV,ey~~ T-~ oi ~0~0~ TM~~c~, « u~p jj~ x-~p~' )), T~$ ~ptTO?, S~~T) OUXMT-TO T-~ ~K~~ T-~ 6: 1T6tUT-~ Y~UXUTÏ.TK ~y~ TOCïO<XUT-~ OÙOE T-~ yEMpy~ T~~ ~K~M~ ~Mt MTX TO~OU< y~p S~OMUV S: 0 1-~ y~Mpy~ ~T?)$, ~~MC~ 0<.UT7)V To~ yxp WOMUfH 6 K.UpM~OUXÎ<~X.M<XUtO~. 5 ïo' Y~pyoCeMKuT-~~i~ Y6~~ YE~ Oe~, ou y~p Mît ~po~o~T~ S~MCWe(U.T'/)~. TOUTO ~TS, ~Y~Nu~ 05~, ~)TO't, OÎ~ OT~6M(p~~ ETTE,XMK<p'0~ E~ TO~pYO~ 6V AtX TOUTO TO~OEM 0~7)!X<Xp~X$. X'XyM -7!<7<X -~K~ 0~ XKp~M~OU,StX 7!;MT& T-~ 0~ X1-/iC9!.c6s MUTO?? T-~ ~VK~~ ITCtUT-~ AotTTO~ TMVXCtp~tMV 1- EÙMT7)T<X U[J!-M~. TO~pyo~TOUOSOS10 ïva ~~TM! TOU$Xp~OU~ Ù~~ ~O~C7)Te ~u68p~, X~ M<X 6: ~~o~T) T~ ~8p~~ ~T~SeKaeuT~Tc~v s!jxo~ov 7) ~p' u~. Aù-r~yMp ~K~ ou~p~ irxc~ « r.~ ~ou<r~ -rou<xspo~)). s:<;~E~ T-~ ~~<xucM, 6~y:ï KUi-ov XCtt eaoUCKLKUTO~ TOU;~epMTtOU~ X(j)tMCt~ Et(7~ YKp~Epy~ett TMKEptXM~UOUCOCt. XM~UCMCM OsOV TOV 7)~ 6XTSVM~ MK T6~Os6~. NSVOU~(iUTTÎCM~~ ~E~E~ TTRO? MUT~ 0~ ~~M~, où- '5 OCO~ <~6<~ ~6$ CtUTMy~p ~OU~ T-~ ~U~M T-~ 6sÏX-~ ~O' -<1~U~H 'H yeMpY~0~ ~UTTi~ XM~COH. M~~ ~R~ MV~Ot~<T-/) ~UVXTM <XUTOU~ 6.Ta ~6~~ e~ t Ps x\-m 11. 2. Lireou. 3. Actes,x, 34. 4. o~ A. 5. Éph., n, ~S. ai& 1~ xa:EV 638~ S.ëë~ To5« ~~T. {. S~~t. ~fP~T~ .-Jp~~E~ de 'A~M~ (Note A). ~ii~<pepou<i~ ~tYpa~ « 'Ex TiK~p.n)<~~To~<rou &66& connu cette grande niiel', et la plupart des moines et des vierges n'ont pas si ce n'est douceur de la grâce, car ils n'ont pas reçu la vertu céleste, car ils n'ont pas cultivé la vertu, et c'est quelques-uns de place en place, ne la leur a pas donnée. Car Dieu la donne à ceux pour cela que le Seigneur des personnes", mais il la donne à ceux s qui la cultivent; il ne fait pas acception qui la cultivent en toute génération. 2 Maintenant donc, mes chers amis, je sais que vous êtes pieux et que, ce travail, vous aimez Dieu de tout cœur. C'est depuis que vous avez entrepris de tout mon cœur, à cause de la rectitude de pourquoi je vous aime moi aussi toute 10 vos cœurs. Acquérez donc enfin cette vertu divine, afin que vous passiez en votre vie dans la liberté et que l'œuvre de Dieu soit facile chez vous. C'est conduira effet la vertu (l'ange) qui aura été donnée ici-bas à l'homme, qui le ensuite vers ce lieu du repos, jusqu'à ce qu'il ait dépassé toutes les pMMM~CM de l'air'. Il y a, en effet, dans l'air des forces qui repoussent les hommes et monter vers Dieu. Maintenant donc, prions 15 qui ne veulent pas les laisser Dieu sans relâche, pour que ces forces ne nous empêchent pas de monter près de lui; car tant que les justes ont la vertu divine avec eux, personne ne peut la leur faire obstacle. Voici donc quelle doit être sa culture, jusqu'à ce que 2. 1. Ps. x-vm,11. 3- Syr. « peu. ont connuf. Cf.p. 43U;s. 3. Actes,x, 34. 4. Ëph.,if, Cf.infra,p. 474. ÏV. ~i E~ T7i.; TM ~X K~6pd)-~M, Tt.~7]~ (o~~K:, jJt.t?7]C7: TTXT~~ ~.LOy~i ~OyKT~O~ X.KT<XOpOV7)?7i X.Xt KUTÙ~, XXt ~C(~T'6<; LETTRE II (SYR. )L. SUR LA CULTURE DE LA GRACE. 6 7:!XCK.; TK~ KVXTTX'~?~ TOU yRS~X~ TO'J X<X[ TTX~TO~ OU-~KpoS, 'JTX'77].; X~9pM'~0, {JLK-amu X.xQxptCT) T0\! <ppOW~.<XTO$ X.6H T~KO'Tjf; iX~pMTtM~, X.OC~.OU TO'JTOU, xxi CM{/X-0. TM~ !XT:KX~ TK~ M~ XUTOU X6H TO'JTOU, A p. 10. WM.t- Tm.:K~ T7;V X.<XpdLK~ (X!MW; 437 K'n'6 ~K aaiTrrr,Tac 6~~7)<TTem~ XK.L zoc','U.M<X:. <X:Tï,T/TKt v~cTESa:ç rxidS«x~ucc <XX.3UCt Kai 6 XY~Qo~ Kc<.t o'~ YOO~te~ TOU vurTÔ;X.~ ~UXTO~ 0" O'J âYa9ôç060~ ZOovtE~ TG'3 00'~X.! XXt ~K~TX TX XK~ XUT~' U~' T~Ct'jTS~ 677X~ 6~X.<pSOT7;T~' X!T7)~!XT<X XXt §M?'/] a.eYX~Tjf §HCS~ U~.&V X'JT' ~XT~SOETS TO'J~~ 'nrxep'~(7~X'~ 6UO'~<TSTe e~MTTM~ U~ M: UU. C~fX- YSOVOU~ U[J!.M~" -00 0EOC, XX~ TOTS y6YOX'~TKt' 'E<X~dS ;7.ETX TO ~0~~ KTTO<T"/] ~<X~ 7: 9epp!.7) 7; 66!X-~~7!T-CXTE XKT<X~E~j U~ )0 TT<(X~ XXL-~S;. 'H yx? X<XTX <XÙT-~ OEOV6ep[7.).OUTM; ET-~ M; TTUp,X6HTO ~UYpO~ s~ T-~ ~d~~ du~~ ~.eïK~K~s~ Rxt sctv ~d'/j-reT-~ xxpd~ 'j[/.M-~Trpo~Mp<xvT~K M/M~MV EUCeëe? T~ X<XTX dtCf.VatX~ P!Xp'J~0~~7)~, ~&y,<.X.TS U~.M~ U~Û~X.~XL '\OY~U.M eTKCCt-E<XUT7i~, XKtOUTM$ 77'X~ XSH SV K<XL iX~KY~T) Qs~.K~ET~ ~UDOUTOU OsM. yXO6 6'TE 6Ld~ X<XOd~ X ÙTOS T Et~S~ Ox~:$, Axb~d, GTE E'c~SE T'~ Tiw K (( Kxt 'rzPo~~T~ç TtpO~fTT;~ ov-wç' %aoacxv NxPouUÉYml, ~XpO'J{/.6~7)V, OUTM~' S~YEK '1: m' 6JJ.E COU' cou T'/iV ~U~-yj'V JJ.OU~ )). (('E;j!9-/)~ -~EpM~ XX~ Xp~MM~ EV ~XCf~ E~6'\ST/)CX TO~ MYOK; Y.7..(O'~TM~ »,)), y.x~T7.. XX~ TSC E S~< Ç'IJÇ" X<X.~ eTTO~CE S7t'O¡'I)GS T-~ 't"1J'I e~UTOU S!XUTO') XXt y.xt O'JTWÇ ~K~.M, 7t'IX X.Xpd~ x.7..P()~7. ~ep~Ot~Q~~X: VSpp.IX'IV'f¡'7,~ Tf)U SdS~XTO T7,~y~UX'JT-/]'X. ~O~KYtOU n~EU~tXTO~. 7. suite 3 Sic à syr., la fin 13. Ps. syr. 8. Sic T,~ A. de la lettre 3, p. 5. 14. Ps. xn, syr.. 8MiE).sson [24J, et la A. 9. remplace Sic par syr., deux ~~Mv A. 10. Le 11. phrases. syriaque ï)u.S< A. la porte 12. T~aTe 5. cxni, vertu habite dans l'homme, c'est que l'homme méprise tout outrage venant A p. in. des hommes, ainsi que tous leurs honneurs; qu'il haïsse tous les avantages de ce monde, ceux qu'on regarde comme précieux; qu'il haïsse tout délassement du corps; qu'il purifie son cœur de tout raisonnement sordide et de tout 5 vain raisonnement de ce siècle; qu'il demande (la vertu) jour et nuit dans le jeûne et les larmes. Et le Dieu bon ne tardera pas à vous la donner, et, lorsqu'il vous l'aura donnée, vous passerez toute votre vie dans le repos et le soulagement; vous posséderez une grande assurance devant Dieu et il vous accordera alors toutes vos demandes, comme il est écrit 3 (Syr., 111,4)~. Si, après que nous l'avons reçue, la ferveur divine vous 10 abandonne, demandez-la de nouveau et elle viendra. Car la ferveur divine est comme un feu et elle change le froid en sa propre puissance. Et si vous voyez que votre cœur est appesanti à certaine heure, mettez votre âme devant vous et faites-lui subir, en pensée, l'examen d'un pieux raisonnement, et ainsi, de 13 toute nécessité, elle se réchauffera et elle brûlera en Dieu. Le prophète David lui-mème, lorsqu'il a vu que son âme était accablée, a parlé ainsi J'ai versé mon âme .~);r?Hor'. Je me suis rappelé les anciens yoH~ et j'ai médité slcr ~«~ tes o?Mu?-es\etc. C'est ainsi qu'il a enflammé son cœur à nouveau et qu'il a reçu la douceur de l'Esprit très saint. 1. Cf. Ps. xxxvi, 4. 2. Cf. M/rc, p. 452, note U. 3. Ps. xn, 5. 4. Ps. cxm, 5. AMMONAS. 438 [13u] 'E~CTO~T)y TOT AYTOT. HEPI AlOPATIK~OT XAPIXMAl'OE, ~At TOT XYSTEIAAI EATTOTE EK mN AMEAEXTEPUN'. To~ (X.Y6(.1~TO!'<; <X~E~<po! .K.U?';M~Kt?6~. xxt s O~oM-eo'n yp~M u{AM,M<;TE~o~ ctya~TO~ [~ou~ xon -rexw~ T'/x; MM~yEXM~, X~ Tj~Ep~, MM6 0~ ~U~M TOUTOUTCO~L~TjCXM A p. 11. -6~0~ T7)~~<XC~ U~.MWX-TO? S~T-~TE XM ~'XT~TO~ <ppO~T~)TE,6'1tM~ ~X~T] UU.K?<X~6 TMC~ XOCXKX;<X~> T-~ ~OpOt~ TO~X~OU WKpKCYT)" Ù~ otXXptCMXKt M~E~M MX ~Q~TS ~HXXpMEM XO~TOUXKXOU TTXCt'yEypK~TKtyMp' « Ts~StM~MTM Y) STEREX Tp0<p7]TM~~X T-~ ~M ))' OUTO~ SKT~Ot 10 XK~OUTE X<XXOU TK ~cO'/i~pKXyEyu~<XC~.EW'S~TMV, ~KXXRMM XM ~Oytce~TE~6~ ~.ETRO~ TV;?U~SCKX~0~ 6 Oec~ ~~MXË UMLT~! P<XCAE(K!' YEVO[jt.E~Ot M!X.~i~E~ KUTOU? <XHKT'~0'AypS(JSTK~ T7)~(X~K~e~M 'rK.UTT:~ M TrKCtTO~ ~~0~ XUTMV, ~Et~T) o~MeM)<px~ xcct TroD~ <xTrxTM~TK:, roS oùïN<; ~600, yatp 6 a~SoM~'n;po<pacet 6 ~.<XX!X:pM; ~5~0$ yMMCXM~S-TtOUTO<; 060:: T~T<X~6).E~M. AtX TOUTO ~<XOX 1. Le titre manque dans C (suppl. grec 38, fol. 288)qui porte en marge le titre gênerai suivant –3. A om. ou~mùrm x[upttj)]&B~o~< 2. C om. t<.ou. tou &Y:ou Tcpb<Tou: 'A(tjiM~5 (Mptx~!c[apat]veMt< xctt. 5. A om. 6 Oeo;-xMXta;.6. A xxi(om. Stonc~r6;) <ppo~ T. potT. 4. C add. (p. Taijto) xatTEX. C. Hëbr., v, 14. 8. A o: u[o:ïou pK<n\EM;. 7. Y~t~ 5n. ~ap~v,. C <puM~t.nap~ot. Bs. 9. A add. BtKxptc~, jjt.&Uo~ III Du DE A (SYR., IV). R LA GRACEPERSPICACEET QU'IL FAUTS'ECARTER DES HOMMESNÉGLIGENTS. Aux très chers frères dans le Seigneur, salut! 1. Vous savez que je vous écris comme à mes fils chéris et aux fils de la c'est pourquoi je fais mémoire de vous du royaume p. il. promesse' et aux enfants et que vous nuit et jour, afin que Dieu vous g-itrdc de toute méchanceté demandiez et que vous vous préoccupiez constamment d'obtenir de lui le discernement et la vue d'en haut, afin que vous appreniez à discerner la différence La MOMn'~ure solide est pour les 10 du bien et du mal en tout car il est écrit exerce les /6tCM~ à ~Mce?-ne/' ce qui hommes /at~, pour ceMj?c~~ prct~Me est bon e~ ce qui est ~mf<M~. Ce sont ceux-là qui sont fils du royaume, comptés ceux auxquels Dieu a donné cette vue d'en au nombre (des fils) d'adoption', haut dans toutes les œuvres pour que personne ne les trompe, car l'homme est captivé par le prétexte du bien, et beaucoup sont trompés ainsi, parce 15 Dieu cette vue d'en haut. C'est pourquoi le qu'ils n'ont pas encore reçu de 1. Cf. Gai.,iv, 28. Hcbr., v, 14. 3. Cf. Hum.. \ii!, 15. )V.–LETTRE ri37] SCT~ X~ C -epX~. 5 TtTO Y\'N<7EM.; XKpdLK; 0 ~0~-CVXL TO~ ~KTTM~, K.URLOU X'J-OÙ !77~MCSt 'J~ Ty~ TO'~ Î~TTOOT~~ XX~'JtL~ 6~K~ -MV ~OUTO~ ;syxç n~O~, )) TO~ po'JXETX~ -j:0~ 't-JO'J KUTO' 0:~ ~Ey~~ ~!Xt OV TT~OU-O~, 'ElM~ -YKïr7i<T6~. T~~ ~x9o~ 439 yO~XTX ~<X 'J~.M~. XXp~ O.OU VUXT~ ~MT) T-)\' 0~ W~?S~ e'y~M, 0;SCT~ -<1 S\' O~EV, OTt'% e~ KTTO- u~~ TO S~ UULM-~ TS y~MVX~ 'E~St~ S~~ TX XX~TM U77Sp Ofp~X~Ot~ '~0~ XKL TX OT~ Xp~CTO'~ TO~i; XXt ~.7)XO~~ TOU K.UpM'J <xyx~~ -~(~ (( O'JTM~. ).syE: TtE<pMT~OL~ XXt ~XTO~ !H (SYR. IV). SUR I,A GRACE. U~Sp~OU~V 0~<; XUTO'J?~ XpKJTM ~06-~ S;- ~x6~E~ OUXS- K.UTO~, X.OT.~WGtV XO-MC~ 0'1O'j~~ O'J~e o'Joe Oo67ie-/)CO~TXt ~v o'JUevt O'~e\ K. TOU Toû o'Joev'.1t~X'V'J,X-L, Trpxy~-t, OO'O"I}IJ'IIGOV't"7..L za~' -/)xYaa~:xat5 ~VK~ <p~M, coo'Ow, <-)M':i 10 « 6<7-[-X! ~ET' u-~p ~t XXt X~OX.X~'J~~ NC~ O'j~. SX"~ELX O~p la X'JTM~ XXL ~y~x -6t 7TpO?e~O;7.XL OUX 7;MoV t~. A on. o'j'<) Yap. ~St~/i XSH -~Sp: TM~ e<itM.– )j. ta. A. om. 'J~M~, (': om. [C. A ~x. S"\6-/)-E 66 :My.M' (L o~M) U~OU~, Et; E~ TX'J- C~X~~O~ ~2. o'j. TKUTT-~ 6sO<?~E~ A To ~x°- 17. C 0EOU ~Mest M.UTOK; ~(X~CXt. X["/ff7KTE TO M.UTO~ Y~UXX~eTjCETMt ~X~TO;, yXMCC- XXT<X\xê'/] U;J.Ct~ TO'J SC-Xt ~K jJ!.Ot 6:i; <X<p' O'J 7-)XT6' ~~M~, 6tt. ~ST' !vx ~pyOV K'JTM~ K OU ~U~X~tL 6~0YM6-/)TS ~XXpUTM, XX-S~<pE~, -~0~0~ XX'~ TO -r~.SpX. OEO~ ~U<TT-/)p~, KY~T~-O~ X. XCM 6 M ~.Tip~ U~.X<; O~M"' ~ELVû? WXTO~ ~UXTO~ ~MpXT~O~ XC~MV- ~pOXO~ X~ ~U/Kt XXTX Kp! X~ -~SOX? TOUTO "I, YKptCU.<X, 6 ~M 6~ -~L)Hx~, TOT~OUÇ. H-19. TX?)V 'Ec(V 14. C (L ~eTs. bienheureux Paul, sachant que c'est là la grande richesse des fidèles, a dit .le /i~ /(~ e~M?- /He.!~e~o:<.r~o;<r ~0;~ ~euan~ A~e-~e~MeuT- Je~M~-CA~~ /<' il co~Ma~re, ~o/:MeMne t-eue~~o/t aux yeM~ !M7Mt'M~de vos que, ~o;< <Yj"«~.s', ~t<?- ~e ro;~ ~acA!'e=~ue/~ est /a ~r~exr et la /OHyMew,la AaM~M?et p)-o/b/ï<N', ft~M de co?!/M!<e cAa/e Ju Set~?!eMr~Mt~rp~e toute ~ee', etc. Comme Paul les aimait de tout cœur, il veut que la grande richesse qu'il connaissait, et qui est la vue d'en haut dans le Christ, soit donnée à ses fils qu'il aimait. Il savait, en effet, que si elle leur était donnée, ils ne se fatigueraient plus à aucune chose et ne craindraient plus d'aucune crainte, mais 10 l'allégresse de Dieu serait avec eux nuit et jour et l'oeuvre de Dieu leur serait (/0!(ce~/M.!~<e /e miel et le 'ayoM de ~e/ et Dieu sera toujours avec eux et leur donnera des révélations et (leur apprendra) de grands mystères que je ne puis pas exprimer avec la langue. 2. Maintenant donc, mes bien-aimés, puisque vous m'êtes attribués pour i. fils, demandez jour et nuit, avec constance, foi et larmes, vous obtepour que niez cette grâce perspicace, qui ne vous a pas encore été dévolue depuis que vous êtes entrés dans cette vie ascétique. Pour moi, l'humble, demande je pour vous que vous arriviez à cette prérogative et à cette maturité, à laquelle ne sont pas parvenus beaucoup de moitiés, mais seulement, de place en place, t. )':ph..tu. 14-i'j. 1' \vtu, U. f'An:. un. T. x;. i-j AMMONAS. 440 Et<; TOUTO'~ Qe~TE e~Qs~, U.eTpO' K~K E~KDOtT~, U(/ TO CUCTE'~XTE~" O~O~Ot. SKUTOUf; [138] TMV ~.0~<X~OU 6~6 6~ OLUTÛ~, ~-Yj e9tO'/)T8 tX~E~SOTEpM~ OU CUy~MpOUC~ ~TiyS TTp6(; U~.<X<; XKTK oi )'~p (X'X~(X. 't"'II'1 ~1tOGOEVVUOUGW ~EOVTTpoë-~Cf~ OEO~ TOt y<Xp aNEaÉGTEpoC K~MTSpOt 6sp~j~ \Jep(lo'IIV ,IX 8Ep~OT7)TX \Jep[l.OT'I}'t"7.. U~ÙV Ot.TTOcë~~UOUCM~ U[l.WV 1tpOO'IjVIX~ ~.<XXKt %aiEIXV e K~ A r- 12.aux SKUTM~IXX.O ~aurwv-'3 OUX KX.O~OuQoCct~, OU\JOUG~V, 1trxprxOX.WGW T0:<;\JE TMpKëxD.MC~ up.N, U~~ aaÏYOUCM, K~OC 6E).Yj~KC~ 'l)p.lXa~v £XOUGLV, ,IX 't"OL~ 5 TOUTOU XK'.~X T~<;6~ T'~ 9sp~7)fU~Û~ cëE~~UOUCM ~.OUCt TKTOUKtM~O~ TK'JT'/)!; XKt CMpOUCM X<x6<t)~ Ù~ ~ROXO~Kt' Y~YpCt~TKt« To KO' UU.M~ XKlOUCUy~MpOUG-~ 07 TO'J1tEpLG1tCl.G))' G'Oevvu't" ))' ~e OLCl XK~OCa"8 ~:0! 't"0') '7n'EUU.<X '76~WT6(. ÔÈ ~O:T-~ 't"'IIÇ ~l.xTatGCÇ 'r/i C~WT6~ 'X~K~, IX ~IXÇ, XiXL TTepK7')TXC~XTKtXÇ 1tVW(lo~ iJÎ) GOEWUTE "Oï~ 't"~V u.ou. ~toù. 2n TM<x~ 'roLOU't"oUÇ, rtvag TOMurou~, ~snr/iTe~" jJAe7t"lI-re XKt (~EÛ'YETE Yot'L s~ aJJTWV É~ xuTM~ tpeuveTe auTOu$ euspYe–~cKTe aùroùç xon' ·SO (lo'1I %a6 ~) TOf ~6pMHOV ~pC~Ott. EV CUY~bJpOU~TE~ KÙTO~'KÙTOL Y~p e~e~ 0~' CU~CtVK.tJ~'pUcQs TO~ X<X.tpo!; TOUTOt~. "EppMcQe K.uptM, !XyM!7]TO~ M 'TCVSUp'.iX.Tt T~~ ~pK<jT~TO{~ 'E~tSTO~Tj TOT nEPI ATTOY. KATA nTOYEI 18. A om. a'jTM~ 34. om. 39. C np.) ei; ToÙTo. xKTK tou Beou. T~N OEON, 19. A add. 23. C add. KEPAOS OTI TouTo. (in 35. marg.) C om. xa! K!pouTM &(p' ~~M~. 30. C STE ot~ p).~TE. (t. x;d <peÙY. C. 20. ATTOIS C TOIS nEIPAXM~N STMBAI~ONT~N nPOEENOYSI, <r-j<Ti:E&sTE.–31. TouTo Ei(, ~ftE~p~ 36. 1 Thess., v, aÙTM~ XKt) &n&. nPOKOKAI tpa~M 19. 31. om. A <tUYX")po5i<M ~x; xonmMM~. 23. C 37. A A. <j6~wTE.– 32. A lo ai ~Tu/ifXt ft'jTmv. 28. n. OTI ~Ya~. om. A. n~. T. ME)~ des Ames peu nombreuses bénies de Dieu. Si vous voulez atteindre cette nom d'un mesure, ne prenez pas l'habitude de mentionner entre vous le moine qui compte parmi les négligents; mais retirez-vous de leur société, sinon ils ne vous permettront pas de progresser en Dieu, mais ils refroidiront votre ferveur; car les négligents n'ont pas de ferveur, mais ils suivent 5 Ap. 13.leurs volontés et s'ils vous rencontrent, ils vous parlent des choses de ce monde et, par cette conversation, ils éteignent votre ferveur, ils vous en privent. et ils ne vous laissent pas faire de progrès, ainsi qu'il est écrit vaines et par les N'éteignez pas Fe~Wt Or il est éteint par les conversations distractions. Lorsque vous voyez des (moines) de ce genre, faites-leur du 10 eux qui bien, fuyez-les et n'ayez pas de rapports avec eux; car ce sont dans la voie de la perfection. empêchent l'homme, en cette vie, de marcher Portez-vous bien dans le Seigneur, mes bien-aimés, en esprit de douceur. IV (SYR., IX). Du MHME. DES ). 1 Thess., v, TENTATIONS 19. QLt ARRIVENT A. CEUX QUI FONT DES PROGRKS SELON 15 ~13m fV.-LETTRH IV SYR.)X.SUR \i2P!I nEIPA~Mi~' ANABHNAi nPOY: 10 OT~ SV O~K, E~TS ~0~- A~~ ~M ~p0~ 'X~O~ d'T. ~T~ S. U~~ ~?<XCr; S'~E e~TS -J;~v. 1~ yxp yx? ~6pùv, OTE xy~ T~ T-~ ~p~ 'txXMg Xp.J-~TM~, ~UTOV ~e?~. "OTS~y~p T-~ .~eM, 6.~0~ ~~o~~ 'T KO~~XL ~O~O-Pi~ OHU, ~Xpx 6~.0~0- ~~T<. XXT<X TOU i~yX~TE: O.J ~~cQs .x~o CTSp-~Xt TTXpXTO.J ~TpO; ~6~~ 6 ~LpX~O; TO.~'II~Û ~6s~ X~o~ yS~M; ~0.~ e~TM. OL .M~~Tt YXp O-X~pM;, 0;. 441 OPOKO~-AI 1 OYAE e~ -ù~ i -n-t TTM~eCO~Se, ~p~ ~OT6, H' -~apK?~.M ~0<X~.o! 6 0~ ~.T~~X~ W~6-~ ;~TpO. ~~p~~O; ~TO~ ~oy-~E~ 10 'Ix~g TO EÙp~x~ ~O~~ETXt SCTE, e~ u~p -~tCT~, 0V AYXATA) OEO~ XKO~~ Y~o LRSTKNTAT)(~-S. ~g~~t. r <XUT~-6 y~p ~go~ E.J~Y~V 6" E~OY-7) G SX- <xU' ~OU~E~ TOU~.xxtOU, Y~OX~X.. Y~ OTt- (( 0~ ~.J~ X<XTK K~~ Kup~ T-~ p~~OV T~ ~~xpT~(~ ~L TÛV~-?.poVT&.r~xx~~ ))- 6 yo~ 'I~M~ 0~ KTU~~SCE T-~ 6~0~ n~ xn~ IX GUV'r,'J~IXV£V ~T-~ -~6pK. `f~~J.ÉPxv IX'J"t"-r,V OL ~p~oC, Y~p Tu~T~ 7..À TcC A o. om. 6. T, 7. C (: (t. H~ o~) xo. E~ur~~ 'r,'l,eOIXç;1tOU()IXGIX"t"e -p~. T~ (urd. ~o-~< inv.). x~y~ 3. C 0.. O'JV x~ ~agï, r; Y7', Tou; '/)'1.5tç ~e-.px~~ou; A o.n. T, ¡(,JeL,TOVeç ~~0~ Ye~~X~ XL Y~'SGr ooe. u~~ C 6~ 6 A p. ). C o~ D~L-, ET QU'ELLES LEL-R PROCURERONTDE L'V.TA(;E; ET QUE L'AME ~-E l'EUT r'AS, SAXS TENTATIONS,F.UMEDES t.ROCRÈ.SOU S'AVANCER VERS DIEU. 1. Je sais que vous êtes dans les peines de cœur, parce que vous êtes tombés en tentation, en les mais, supportant avec courage, vous en retirerez o de l'allégresse. Si, en effet, aucune tentation, ou visible ou cachée, ne vous est imposée, vous ne pouvez pas au delà de la mesure que vous progresser avez atteinte. Tous les saints en effet, lorsqu'ils ont demandé que la foi leur soit ajoutée, sont tombés (tans les tentations; car dès que quelqu'un reçoit une bénédiction de Dieu, une tentation lui est aussitôt ajoutée de la part des 10 ennemis qui veulent le priver de la bénédiction dont Dieu l'a n-ratiné. Les démons, en effet, sachant que l'âme bénie fait des progrès, la combattent, soit en secret soit en public. Lorsque Jacob a été béni par son père, la tentation d'Ksan lui est aussitôt le diable en effet excita son cœur survenue'; contre Jacob, parce qu'il voulait enacer la mais il n<- put prévabénédiction, L-. loir contre le car il est écrit juste, & le ,g~ SMr lot /~e~ Jacob ne perdit donc pas la bénédiction qu'il 1 avait reçue, mais il se l'augmenta de en jour jour. En-orcez-vous donc, vous aussi, de l'emporter sur la tentation, car ceux qui reçoivent une bénédiction 1. '.en.. x.[;. 2. t's. cxxiv,3. A p. 13. AMMONAS. 442 [140] XML M TM X~ TMXpU7:TM ~OUOt.KxyM066 ItfXTT)? 6~.M~ ~Ey~OU~UTtE~EMK ~6tpMC[AOU~, X<X~ ÔL6<TM(76 X<X~ X<Xt TO6~iU.KTOU060UTfpOCOS~O~MOf; ~.E. KtTOU[/.6~0$, UTTSm~tX (D'X.VEpM, XXT6~X~ C r. 28'J K.KtU~ To!w~, KY'X~TOL Ù~M;, E~7]XO~.Ot", E~~T)"*S'jXoy~Rup~OU )'. ojv Ot ~ELpKCU-Ot. ~°~ ~cu9-/)<?6t~ '!T<Xp~9'/)TE' 66Myx? KUTOU~ 'T~O~e~KTe <X~P~ 6~STeXKL U~.M~,XKL 5 'CpOc9'~7)~ M ~X<K~TOt?;XpETOf.~ TTKpE~.9'/)TE, U.EY<X~ 1TpOXOTt7!V TOC! ~oQ'/foETKt TT<Xp6~ '/)~ O'Y~MTE. Tà <~S<p~p~.<XXO~ U~ ~.eYX~)(XY~X~~C~ 0'JpC<~0\), M OeM 0~7) ~X K~JX 6e~ TOUi;'7r6tp9(.<TM.OU<; TM XXpMT~, JJL7) 6~~Mp7{c-rE, -!TpOCEU~)c9E~ XKt XCH EV WX<H, UjAK! ~0:? TT<Xpe~EUM~TC(t"' E'J~KpLCTOU~TE~, ~OH4po9u~7]C7)TE'~ 'IM~ X~ T~OTOL XXt E<pK~7)0-<X~ ~OXt~TEpOt. ~TEpOt TTEtp!X.c8~T~ 'AëpKXU., XCH'IOMM6, KÙTÛ-~ 10 <! <Xt TM~§MK~ X<X.t EXWtXCS~ At'XTOUTO 110~~ p'JC'STtXt"' 6~6~ YSYP~T'X~' 'I«Xh)ëo?~~6~ « 'AQu~e!T~ E~ U~ Hp(Ma~:c9M.» 'OpCtTE XÙTO~6 K~pK~))' TCK~M TW OeÔ~E'!7E]<.9!.X6(7!X~TO 0~ ~YM:6~6o~T6(; e~ TOU;'!C6tpO(.C~.OU! Tr<D$ TC~TE(; n~V c9s~ B. -jlY~O!. 8. Y~YOX'KTOH' ~M TotYfXpOU~ U~, C om. TtpOCEU~seCtt. 2. C i~y.). Q'JX T-~ ETtE~Spe~ 9. C o?EtX. 14. « A Eu~a~œ. om. Q riKTTO~ EueuT-/)TX U~ (')M(;, T~ oç XK.p~LX! TTStp~C~OU~' 10. A O'JX om. 15. A )tKXpo9u[).t]<TME. 3. C om. To~spou~-O~ E~CE( n~E~EUTETOtt. 12. A om. 16. C OeO~' Et <XY<X-!rX KuRM~ YxP' l'[. e~S~. 6 S U~Sp TTHpMcQ~Ot.t U~.MV CU~pK~ELU;~ Y~f" (A U~.0t~ pUETKt. A t. C ()U~<X~.7) Y~p TT~- 15 13. A !tpo< SMX. T. 6. (Ot'd. Gnump~M). doivent aussi nécessairement supporter des tentations. Moi-même, votre père, et en public, je me suis souj'ai supporté de grandes tentations, et en secret mis à la volonté de Dieu; j'ai pris patience, j'ai supplié (Dieu) et il m'a sauvé. 2. Vous donc aussi, mes bien-aimés, lorsque la bénédiction du Seigneur 5 c f. 289vous est arrivée, les tentations l'ont suivie. Patientez donc jusqu'à ce que vous les ayez surmontées, car, si vous les surmontez, vous en retirerez un toutes vos vertus, et il vous sera grand avantage et un accroissement pour donné une grande allégresse céleste que vous ne connaissiez pas. Le remède tomber dans la négligence, mais de pour vaincre les tentations est de ne pas d'avoir une grande patience 10 prier Dieu en lui rendant grâces de tout cœur et en tout, et elles vous quitteront. Car Abraham et Jacob et Job et beaucoup d'autres qui ont été tentés ont paru de meilleur aloi c'est pour cela qu'il est Nombreusessont les cpreH~es (~ 'u~es, le Seigneur les délivrera <r<~eA' écrit toutes' Jacques dit encore Si Ft~ de vous souffre, qu'il prtc'. Voyez-vous 15 comment tous les justes, lorsqu'ils sont tombés dans les tentations, ont invoqué Dieu ?a pas que vous soyez 3. H est encore écrit Dieu e~/Mè~, lui qui ne permet tentés au-dessus de t~ forces 3. Dieu opère donc en vous à cause de la rectitude de votre cœur s'il ne vous aimait pas, il ne vous aurait pas imposé de tentaI. Ps.xxxm,20. 2. Jacques,v, 13. 3. 1Cor.,x, 13. IV. L~lj f)eu6!, ~6M-tyo!' x'j-~ Et 0'6 '0 E:(; -7i~ 0!&~ SCTt EtCt, yxp" ).U7r-y]9!VTS$ fd9o~ Oso- RxL -~S~X~.O?; To~ o'~ ~T-ro~ XXt SKT~, 'A~TM~o<; TOS ~Ct~xv )) ~xpxoe~s-xt. K~E~p'XTTO~ -aw.~Txt". E!cE~8e~ o~ 'jM~, ~e OCOt ~StpXO~M~, LRTTRR IV SYR. IX~. SUR LES TENTATIONS. T-~ s~eye~ ~<X TTOtXO.Ot. Td~ E~o<; SC~TtX mooO'~Ct, o'j~t<; fx~pxc-ro.; ouv'/fcsïKt « HsTpO~ TO -6 s~tcsceTx~ T-/]~ OS 0'U~6(.- oït 6 KTtOCTO~O; 443 M M, ~OX~tO~ 07~, <XYX~Mc9e\ T7i~ U~.M~ TTO~'J T~OTS< ') TO~X1tOI\I\U(loé'lOU, StX ^uoôç -tMTEpO~ xouciou 'Lf'WnpO'l ~pUOMU X~O'DjJ~OU,OLX T?'Jp6<; ~6 OO:l.t{l.x.of'.e'lou SoXt~X~O~OU e'Jpi~E~)"n.N. ,\6Y6T'X~ E')OEOEt-4 ,1ÉYETa! t âà XCtt ÔE Y.0tt -ri-OV TMV ~L OTt UTTO 157rà T(~ (XVe~.MV À T7'\SO-~ À, ~V,70ct XiXt 7~-8,0't ~S~pM~, '7TEpt 'i.\ T7X.OE~O~').0'J[jt.E~X XU~X 1' p~oC~TCH '0') ~O'JGr Ta X'J-rx XXO'JSTSTÛ~ 10 <~ r~MTXSTS ~E, ~X:X~, XC<t T-~ YXUXUT-/]-<X, dE ~~TT~et 4. A add. Ot T~ TOÙTO U~O~'jU<H. ~'X TO e~ ~pyo~ XUTM~ XKp~tX;; TOTS (pe'jys~. ~K Ei y~M, K.cd S~ TOUTM TO~'JV XXL ev'" -0~ K'\).0~ TfpOXQ~TE. TO TT~SU~XTtXM "Oï~ Xx8xpX~. XXL XXTX~X~EL T7XTY)<; ~!J~?,<; ~.ETX KUTOU< ~tX'X~t U~MV", Mi; ~6TtùV nom xx! ~~XCXK~M~ STT:~7)TOCctV ~M <XUTOU~ 6X~TOUT-/)~ TO~ TO TT) <Xp~7J'~ ~E Oe6~, (X'JTOV -)10' XX~ TO XUTO~ TOOTO E~ T~ T~~ K'JTOU Xp/T). ~6, n~SU~X n\'6ÛU.<X' SCTL TÔ ~SuyeL e~KV ~MpSYS~ T-~ Ouy- ~S yc(.a~ <77)~et'0~. XX~ XXTtX.- xcd XKTXO· n~ïx. Cite aussi pius om. 6).tY<M mpn. 1: A wç. par j. A om. xN: P. < t. Dorothee, 9. A omet cette add. oït. 1' T~ M9.o-<. col. LXXXVIIf, citation A xat p~cov-ro. 6 cm. 6. 1840, G lettre youv. 5. 10. n.-eùp. 15. C om. To 7. col. 77. G., t. LXV. 8. Le texte du N. T. porte en A om. zv. 11. C 12. A A~Mv. n-<. Cf. 16. P. C um. (par homoiol.) XCtLTOUTO aÙTOU-fXUTOU~. tions; car il est écrit te S~~eM?- co)T~c celui qu'il aime; il flagelle le << Hy/rce C'est donc aux justes qu'il survient une apparence de tentations, et ceux qui ne sont pas tentés sont des fils illégitimes; ils portent à la vérité l'habit monacal, mais ils en méconnaissent la vertu. Antoine nous a dit en 5 effet que « personne ne peut entrer dans le royaume de Dieu sans avoir été tenté )'. Et l'apôtre Pierre En cela, dit-il, vous vous t-e/oM~M, ~t~~a?(liverses tentations, s'il le faut, que la solidité éprouvée de votre foi soit ~-oMt-Mbeaucoupplus précieuse que l'or périssable, que l'on éprouve cependant par /e/cM\ On raconte aussi des arbres, que ceux qui sont agités par les vents 10 s'enracinent davantage et croissent; il en arrive autant aux justes. En cela donc et en toutes les autres choses, écoutez vos maîtres, afin que vous fassiez du progrès. 4. Sachez encore comment le Saint-Esprit donne l'allégresse au commencement pour un travail spirituel, lorsqu'il voit que leurs cœurs sont purs. lo Lorsque l'Esprit leur a donné l'allégresse et la douceur, il fuit alors et les c'est là son signe. 11fait cela avec toute âme qui cherche Dieu, au abandonne' commencement. Il fuit et il abandonne les hommes pour savoir s'ils le cherchent ou non. Il en est en etfet, lorsque l'Esprit a fui et les a abandonnés, qui t. Pruv.,ni, 12. 2. Migne.P. G.,t. LXV,col.77. x. 1 Pierre, H-7. 4. Cf.;n/ p. M4. 444 A p. 1~ AMMONAS. KUTOU~, 0~7) TOV (")sov, <X~9! ~<X ~6{ om TO Xp9~ TX.; TOUTO U'!70U.6~0UTt. pxpO~ XK~. X.xSïj~TXt X<X~ D~O'/i 6~ p~OOt;, KUTO)~ X.!X.t TX K~S~SLK; 0'<X3X~XO~ XK~ Y~O~TK; S'V T7j !XUTO'J~~ Se~OtTK M.OVO~ TO 7; XKt '/) Y~UX.'JTY' VxpK K~OTptOU~TKt CY~U.K K<X~ OUX X~TO~~TX~ <XX~7)TO! pxpUTTjTt T'~ (OOpOUTt, '?i~ SY~NCK~, T~Ç Y').UX.UT'/)'0<; OS dU'~KU.M TOU CtÙTOU OeOU' '~SVT)~ 5 TK. OÙTO~ EtT~ o! '['Ufp'XMQe'~TE~ EVT"~~M~K'JT~~X.XtTO ~pYOV TOUOsoS ~.7)eT7LVt~(~'<C'XO~TE! 'E(XV X6d O'JV 'X!c9ct'~MO't TO~ <x!ï'/fcMTL X.Kt~ Eu9uT7jTt KUTO~ U.OU~ ~KCT)~ ~EÏK "OTS" 0~)$ T'!]<; ~.ETK ouv XtXp~M~ ~u~i TOCOUTOV ~pMTT]~, (x~cf~EpSTK~ KUTY) OLOpXTtXT) X.<X~ (XVOt'XU.EcQKt, 0'EUTeOQ~' CUTOUcy~ SX~7)TOUC7]~ TOCOUTOV STtKj)SpO~TK.t y~ XO! O'XXpUM~ ~U~~ E~MV Et~ sx XXTK SUTTpMtEKX~ TOV TTpMTOV E9<XU~X<re~, W<Xp<X TO j3<Xp'jT-/1TO; ~.S~O~<X. 'TtKpK T'/]f ~CtpCM ?~ TtOtE? XXT'X 6~ Oeo~ M(; eifTE~, ~7)CTS~, X'X.t To~ 6 TOTE KO~OU~TCH XXL CT'~pt~St TO~ XK.t ~)o; TX Ty,~ TFpO'JT7Kp~<XC<X~ ~XpX~, E<X\' t'O' <XYOt9oC OsÔ. 'XUTM~ 6e~7;pLKT6<. (X'JTOU~ ~SOV. TouTO OTt" ~tOMC't T7XVTK., SO'Tt TO C'/]~.E!0~, OeOV. x~ou, TOKOUt; K~Yj~ OUSK~OV oco~ omo'Xou6e? TTEtpKC~.O~, ~.<XU.6<XVS[". T<u ~S'~ EQ'XU~.KCE'~ KUTOU TO OT~ E~O'tCX xa!. 8. C OTE ~S~, .'). A <MTM<n. 9. C 'H~.tK; OE ET7s6'/) <pM~ Toi Ktc6o(~9f!is[ Oeou. TTEtpXT- 6 ~E~\E~ St~OH TO M~ OXOTO~ 1. C 2. C 3. C 4. C add. auTOM;. xotra~Et~ïj. (i~ojjna! Tou papou; T~ Ttapm To <7U~T]6E~. 6. A on). Sït. 7." C om. xa!. XKTK tOTtO~ o!. H. A 12. C a'~a~ËK~. yàp. C'ETOUC; T~MpSO~O~T) ~OïS ToS n~au~KTt TO~ 15 TTpMTO'J (a!<t9Y)O~TE~ C) 10. C OTK' et qui demeurent sans mouvement dans cette pesanteur et ils sont alourdis A p.i'). ne prient pas Dieu de leur enlever ce poids et de leur envoyer la joie et la douceur qu'ils ont connues, mais, à cause de leur négligen&e et de leur propre volonté, ils deviennent étrangers à la douceur de Dieu; c'est pourquoi ils deviennent charnels et ils portent seulement l'habit monastique mais ils en renient la vertu. Ce sont là ceux qui sont aveuglés dans leur vie et qui ne connaissent pas l'oeuvre de Dieu. 5. Si donc ils s'aperçoivent d'une lourdeur inaccoutumée, contraire à l'allégresse précédente, et s'ils prient Dieu dans les larmes et les jeûnes, alors le Dieu bon, s'il voit que c'est avec droiture et de tout cœur qu'ils l'Implorent et qu'ils renient toutes leurs propres volontés, leur donne une allégresse plus grande que la première et les fortine davantage. Tel est le signe qu'il fait avec toute âme qui cherche Dieu. 6 (cf. Syr., x, 1). Lorsque l'âme monte donc de l'Hadès, aussi longtemps qu'elle accompagne l'Esprit de Dieu, elle éprouve des tentations partout durant tout ce temps. Lorsqu'elle a vaincu les tentations, elle devient perspicace et elle reçoit une autre beauté. Lorsque Élie a dû être enlevé (au ciel), en arrivant au premier ciel il s'est étonné de son éclat; lorsqu'il est arrivé au second, il s'est étonné au point de dire « J'ai pensé que la lumière du premier ciel était comme l'obscurité D et ainsi pour chaque ciel des s i" is 20 [143] IV. O'JpXWJ, XKL OUTM IctUTK 5 TYi Y?X<pM 6-:M~O~TX~ ~U~ OU XKpÔLX(;, XKL TOU~ TÔ ~Xpôm BXsTfETE 10 dUV-/)ceTK~ Ct'D~ XUTO' ÔE TO 15 ~O'J' ~veuU.K, ~0~<X ~OYKT~OU~ TOU ~]TTOTE~ ~i Eu6')"<~T~ TÔ~ Y<Xp T0~<; E'j6s<rt. Oso~ K~OXKM~St, TOU aç 6;; T7]~ 'X'~S~Qs. <rjTO'J TY, X.Xp~X 'E~X-~ 'X ou <~U~Kt~<Xt TC? Ot O't.X.KKdV ST7E~6~&-?~K: 'Ex~ ~-0~9o~ ~EtpKC~OV ~S CM~'XTLXO~, XKt Ttt- TOL~ ~SLp.KT~.ol tXuT7)\\ ~UX.TO; U~M~ ~E 'XoYKT~.O~ 0 nxTYjp XX~ YEVE~, ~.XpTUpM K'JTO, S~ S~ TO~ ~OyMjJ!.0~ K.X-VM XKTOtXS?, TE~StMV X'X~ 9sÀ-/]-re" ~d/8o~ S~ C~TO~VrE~ '~U.MiX~, UU. XX-TK yE~S~V ~6~ic6s OT'. ~xO-/]T6. OUCK~O~ X.Kp~6f~* OÙ~ CUY~Mp-/iC7)T6 XK'~ TÙV 0~ 445 TMV O'JSK~bjV. XTK7X~-Q~ EXUTOU; XKL ~o6;]CETKL etTSÀ~MC~ ~UYT) X<X't yœ3~ X;9~, X~<XTE~<XT6 TfUOOf; XK~ TO~O~ TT'XpKC~TjTe~ U~ TtO!M~ ir7)V ySMpY~ 0 y0!.p S~TiTE~TE !X'~<X~(x6'E~, Et(; TOY S~ TOY OUOS~Ô~ ~T'/lp~TiTE X~' 'H TMV OUOX~M~ 6!~ ~X S!<; ~~['C(V, TOUTO Se~C~Kt' <X~T7fc!X0~6 'X~iX~T, K~xë-~Xt n~EU~X 06 O'~pX~O~ xyKTr/tTOt, ~U~K-Kt ~~e'j~XTtXO~ ~X SM<; O'J U; O'JX ~xa~<X O~ï, TO~ X.X~ X.!X!. ~O~K~E~ T7pOX.O'!TTSt CTO~C LETTRE IV ~SYR. IX, X. VIII). SUR LES TENTATIONS. TO'JTOt; UU.MV, YpiX~L. 1. C :i. C OUTM;. TO~ O'~pX~oû. 3. A oui. XOt ~M?!a~ f). (~ ((. XK[ TOU;).OY. Uji.-U~) XCti Oo6~JET<M U~.TO Tt~j~K TTKp~ETe. 'H).ia TM 9Eo'ëtr/] xai M 'E).t(T<rŒ:M xcn To:; aUot< 7. A KpOBTiT'xt;. om. 'Ëxe~o Ss-6e6~. U~ X<XT<XXUpL6U~K~ U[jLM\ TK e'jOe~X; ~.UCT'/fptK "AfBoëot ~S C ~<X 'Xx~tTS X'JTO. ~T~ U.6T' 4. TK; XeYOVTS;' K[TOUU.<X:, C(.UTÔf; ~e-TKL X(Xt UU. <XT70XO(.M~EL /C<PTYi ~t~uyMt; 'EX6:W X'X.0~ TOU OU?<X. 289 4 TOTE YS~cecQs 9~7)(n]TS. C 5. C TOU 6StOU KUpO(;. TO~TOYKp e'J7)pY'<)<rE~ [LY). 8. C ta; xapSta;. 9. A cieux L'âme donc des justes parfaits avance et progresse jusqu'à ce qu'elle monte au ciel des cieux~. î (cf. Syr., x, 2). Je vous écris cela, mes bien-aimés, afin que vous soyez fortifiés et que vous appreniez que les tentations ne causent pas de aux fidèles, mais de l'avantage, et, sans avoir enduré de tentation, dommage l'âme ne peut pas monter vers la demeure de Celui qui l'a créée 8 (cf. Syr., vni). Si vous voulez acquérir la grâce spirituelle, préparezvous à la souffrance corporelle et à la souffrance du cœur; dirigez nuit et jour vos pensées vers le ciel, en demandant de tout coeur l'Esprit de feu et il vous 10 sera donné. 9. Voyez donc à ce que des pensées d'irrésolution n'entrent jamais dans votre cœur, disant « Qui pourra admettre cela? )) Ne vous laissez pas dominer par ces pensées, mais demandez avec droiture et vous recevrez. Moi-même, votre père, je prie pour que vous receviez (l'Esprit) c'est celui qui le cultive la de génération en génération qui le recevra. Cet Esprit habite en ceux qui ont le cœur droit. Je vous rends ce témoignage que vous implorez Dieu avec un cœur droit. Lorsque vous aurez reçu l'Esprit, il vous révélera les mystères du 'ciel; car il vous révélera beaucoup de choses que je ne puis pas écrire *c f. 289 ~° sur le papier. Vous serez alors à l'abri de toute crainte, la joie céleste vous en1. Cf. Ascension</7Miff, vni, 21, trad. E. Tisserant,Paris, 1909,p. 169. 2. Le syriaquene parlepas des cieux. 3.Le grecpasseicide la lettre syriaquex. p. !43],à la lettre\'n!. p. [34]. 446 AMMONAS. [144, A p. ~5.KTTO ~CEcQsM$ '~7] {JLeTKTTK~TOC <p6~0U,XKL~XRKOUpX~M; <X'KO']'~ETOtL UHNÇ,XKt OUTM~* ~Tt TeOe~TS!;E~ T7:~ pot.C~E~, -ë~TS~ (TM~XTt,XOHOUXST[~p'~ETS E~~CtcQc~U~Ep EKUTMV, X.K.TK~OU~Tt N~'X'ÙTTSp ETEpMV. A6~<XTM (X.VK.QM OeM, TM TOMUTMf'UT"r/)MMV 2 TOU<; ~ Ou).EtJO~T6CÇ ~O~KO~M~tO!'ÂH-T]~. Y~tCKdt; <X.)TM'MTCae~e~ a E\ 'ETCKTTO~] TOY ATTOT. OTI AYEXEPHE EETÏN H EnirN~SÏE TOY OEAHMATOS TOT OEOT, KAI OTI EAN MH 0 ANOP~nOE APNHSHTAI nANTA TA OEAHMATA ATTOT KAI TnA&OTSH TOIS KATA nNETMA rONETSIN ATTOT OT ATNATAI NOHSAI TO OEAHMA TOY OEOT H riPOKOVAI. 10 X!Xt~X6'()6~ K'\).7]V 0'L~KTE,<X~E~<pOL ~.OU,OTt M;X\' tX~MyT) ~M7) TOUaCvQûMTK'J, TM OeM, x,GU v 1tpw-r'I)'i, <X~CCETKtX.9~TÔ XGGe't"IXL L 't"o ovo[l.a 6tUT7;~ 't"j'i ~M7)~IXpeGitouG~'i "W"I}V 't"C¡) "é~), XM KpSCXOUCX~ [;.H~O'VK [I.é~OVIX 7TT<XpK rOtpcz Wp~TT)~,IX 6'VO~KIXUTOO.TM'Vyx? XYHOV X.~l0(.! OfUTM~ lIxTSpM~7)~M~TtpOXO~KVTM~, TraOO'YtYOCtK; '~XXfXY~CfXV, X.KtHpOTETS~T) EVTK'K; "OïE Y&p~OOEtXUTOK; '!7'Xx~TO'JOUpX~OU. O~O~OL X<X~Ô~, YSYp<X.M.M.~O~ TO O'~OM.O: CO'JS<XO<X, K~K SKpOCt» X6ft TM I!' X.O~EE~apX 6ppe9'/)K.UT7)'« OUX.]6'<]0'&T<M XK~TM *I&(XX XKt(X~TtS~OU~n'X.U~O! TcKCtX,XXtTM T<XXM6 AëpKU., 'Aëoat.6{U., 'I<TOM7)~ 1. A eu~cts6s. 2. A om.A<~etTMKY.-'Ajt~. A p. 15.veloppera, et vous serez comme si vous étiez déjà portés dans le royaume (du ciel), tout en étant encore dans le corps; et vous n'aurez plus besoin de prier pour vous, mais (seulement) pour les autres. Gloire au Dieu bon, qui favorise de tels mystères ceux qui le servent avec s sincérité; à lui convient la gloire éternelle. Amen. V Du MÊME. SI QU'IL UN HOMME EST NE DE DIFFICILE RENONCE PAS CONNAÎTRE A TOUTES SES LA VOLONTÉ VOLONTÉS DE DIEU PROPRES ET ET QUE, N'OBEIT LA VOPASA SES PARENTSSELONL'ESPRIT, IL NE PEUT PAS COMPRENDRE PROGRÈS. LONTÉDE DIEU OU FAIREDES 10 1. Vous le savez, mes frères', lorsque la vie de l'homme est changée et qu'il vient à une autre vie agréable à Dieu et supérieure à la première, son nom même est changé. Lorsque nos Pères en effet avançaient dans la perfection, leurs dénominations aussi étaient changées, et il leur était ajouté un nom nouveau, écrit sur les tables du ciel. Lorsque Sarra eut fait des progrès, il lui ~5 fut dit « Ton nom ne sera plus Sara, mais Sarra Abram a été nommé Abraham; Isac, Isaac; Jacob, Israël; Saul, Paul; et Simon, Céphas, lorsque 1. Cecimanquedansle syriaque. 2. Gen.,xvn. 15. [145~ tV. LETTRE V ~SYR.X!. SUR LE RENONCEMENT. 447 X.XtfX~TL ~XC' S 7;CX~'~mTOSïO ETTetOT; T,~xy' KUTM~~M'/jX~ttfpOSKO'l'KV K.T.OK;, SKjLM~O~ '77pO'7!97,XKT: X~!X'7]'~K~ X!X~ XC1.\ X.KTX X.'XTX TOOVOM.K STTE' i1te~ 1tfO"Ea'f,XClTf y,~E?Ç, T-~-~tX.~X T0 '}.ll.eLç, 'Í¡ÀLxi=¡: Ù[J!.M'/ 060~, Ù(loWV 0eà'l, X~KYXT; ;/YxY%f7.ÀÀX¡~'7.'t"0 O'lO(loIX X.MTX OsO~ T7]$ U~.M~~pQ~O~T]. Xxl <~)T& TO CUU.MOOV To~XpOUV, KY<X'~7!TOt KupM;),OÙ$KYKTTM0'\7]X.Kp~LOC U.OU 5 U~,<DV X<XTX M; e[JM:U-rOU, STTEtOTj Os6~, TTStpKCU.O~ S'\OYKr9'~TE ~.Q'.S~ TEX~X UU.~'770!.pS~OOT~ QsÀETS XXTOt'X: TpMUCCC ~E~ KXOUM'. ~o€oujj!.<Xt ~fTTM;(X<p' UjJLM~ '7U~.6a(.t\'E!' YXO TO~ TOTCO~ X!Xt 6t XX[ ~O~.U~ U~Ô ~X' S~U']6'7, ~'J~Y;~t/.T)XO<XT'/i6etC. 'JU.S~, 7pdw\' ~YM Oto<Xyx? fXXSM&(;, 0'H EK~(XTTOO'T'~TE !XT70 TOUTOTTOU OU TO CU~O~.0~, '~tJ!.(L~, TTpOX.O~STS OUTTM OEOUS<TT!'E~ <X.O' SXUTM~ O'JCU~p~EI, OU~SCWS~E~E'Jyc(p6s~);J.C<. E~6'\6-/]TE, tU TcTXLU~ 6 0~0~, KKt(pO~OU~.Kt. X.KXM~. Ka(.LSKVTM t~~MQs~f~7)E~EC'M~ S~ Tf'\Tj6o~ OUXST~ 6 K~OTTeXÀEt CtUTOU T'/jVOU~XL' A p. 1<). ~X": <XXO~.Qu67iCM~.e~, (")s0~ T'~ XKTEUoSouTiXV TTKO'K~ T(L~XfQpMITM~' 6~ YXp6 <X~9pM~O~ T<X(; OOOU~ Tt EK.U'roC OU 'K'O'CT) tTOXYU.KXT' CUH.'KO'XTTet 6 Oeoç XMtEUp~XETfXt KUTOU XX~ TtKC~ E~~K).CtUTM ol; XiXpd'KX '!T:Xp'X (X~UVKj-0~, ~.6TX!.ÏI ystp <X.~<XT7) TMV'77!.TT'M~, XX~6 SU.t<XtyU.6~ <XUT<jDV, ~pOOXTEt. ~pOX.MT?].; y~ 15 d~ oudswf;YKpx~ou y,ir'x.T7fQ7! 7)E~<x,e~ [~7;'Kpo~'xcstxYxQou x<xt irpox.oirTJ~xxoucoccx TOU'~6(~.7;C<X~TOC T7)~<p&)~7i~, yx? OT'.(<:ÏCScQsM~ (')s0t )) XXL~.7;OtXXp~XO'K '!f6<p7pMUCE < 1. Danslems. syr. de Paris,n" 201,fol.162'' (P) la présentelettre portelen°VI (et non xi) '=ot. ~o~jn-M; «~Mt Les variantessontcellesde W. 2. tt.&o P. 3. cm.P. leur vie a été changée et qu'ils sont devenus plus parfaits qu'ils n'étaient. C'est pour cela que nous aussi, lorsque vous avez progressé en votre vigueur selon Dieu, il (nous) a fallu changer le nom de votre avancement selon Dieu. 2 (cf. Syr., xi, 1). Mes bien-aimés dans le Seigneur, vous que j'aime de tout cœur et dont je cherche l'avantage comme le mien propre, puisque vous m'avez été attribués pour enfants selon Dieu, j'apprends donc que la tentation vous presse et je crains qu'elle ne vous arrive par votre faute. J'ai entendu dire en effet que vous voulez abandonner votre place et j'en ai été peiné bien qu'il y ait longtemps que je n'avais été saisi par la tristesse. Car je sais 10 très bien que si vous quittez votre place, vous ne profiterez en rien, car ce n'est pas la volonté de Dieu. Si vous partez de vous-mêmes, Dieu ne vous aidera pas et ne sortira pas avec vous, et je crains que nous ne tombions dans une multitude de maux. Et si nous suivons notre propre volonté, Dieu ne nous envoie pas sa vertu qui fait prospérer toutes les voies des hommes; car si un A p. ]f. 15 homme fait quelque chose de lui-même, Dieu ne coopère pas avec lui, et son cœur se trouve triste et sans force dans toutes les choses auxquelles il s'applique. Car les fidèles sont trompés et captivés par l'illusion du progrès spirituel. Ève, en effet, n'a été trompée par rien autre que par le prétexte du bien et du progrès; c'est lorsqu'elle a entendu voits serez comme des <Keua~, et n'a 20 qu'elle pas discerné la voix de celui qui parlait, qu'elle a désobéi à l'ordre de 1.Cf.Ap. 5, XH/a, p. 404et 412. 2. Gen.,)n, 5. 448 AMMONAS. T7JC; XXt A~Yet (X~9p(&~OtÇ, [/ TOS e~foMi~ TsXEUTCub~ f0 6e~.7)~M ~<Xp~ [Jt.7] OÙCMM ~XpX~' '0 ~e TQU (Xxo~ouQMf OsOU, TM ~.7)06 X.KTKyEt xX~ OT:' ~S pou~XTt.-ToC « St~ TCuQ~S~K TK TOU ~KX~Q~OU ~~MC~ OeoS TV; TU~e?~, E:(TM <XXO).Ou9ou~TM~ '~Ot.~XVOUCt~TTXp.X. UCTEpO~ fXyCtQou ~~(.30~M.~6f.~<; <XUTM~ TOU OsQU, 66\7i~0(. YOtO TO TO T7p0~ SV TX~ 0 Eo'\0[JLM~ TO [AS~TOt C'U~t6\'TM'~ XX~, OeOU, [146] 6~0~. OOXoS(7!Xt B X~OU. sv T~ TotUTK M Qep~OT'QTX XM '~PX~ ~Y~~ EWe~YeL UU.X$ 7r6tp!X. oLvtxQc~ ~.syn SKUTM~' Os~i~KTX Ot.UTOK; CTUYVOT7)T6t. UTr6TT6(7EV. X.KTXpX TTSpt ~.7) T'~ T<~ ~OOCvT6(; apYY,, Oj/.O~ v 5 TTXpOt.~EtyjJt.'XTKT~O~. uTTOu.e'vst xx~KTo~, ScTepo~ 3 ~e e~p~oxst xsd Kyof.Ctv. M'/)~s~~ouvTrpK~TS,~YP~ ,1 cuvT~yM~ <x~xTC(Xuc[~, 'j~. ~6 6t(7t TUVO~eUO~T9!. XSH Ot HO~OtTMV !xStO(.~EmTM$, TMtX~OpMT7M TpHX. 9e~[J!.<XT<X ~.0e! 0~ h)'V 10 OCUTaC, 6 'A~OTTO~Ot;' TE~EMt,TTEp~ <p'/)0'~ \'<X.YM~ KYVOOUCM [Jt.7) [Jt.O'VO~YS~d~.E~Ot « Ts~SHd~~S6CTM7) OTEpSK TM~~KX.T~ Tat (X.tcQ'ïiT'~OM TpOCTJ, YeYU~afOU.~M EYO~TMV~RO;~tMXptCM XOeXou TE X~ X<X.XQU. » T~6f.OÙV SCTtTX TptKT<xCT!X; TOU Y~X TT!XpX X<Xt TXSX X.OH TX SXTOU OeoS TO~ K'V6t(; e~6pOU Trp07pt'!TTO[J!.EVK, T~$ XO!.p(~!X$ yE'<~M~E'ef., 'A~6f TOtJTM~ TÔ6<XUTOU 6 0~0~. 8pM'!T(M O~EtpOU.e~K.' [Jt-0~0~ K~O~SVETOft AoX[M.KC<X.Te OU~ eetUTOUÇ, OU~ K.TtOCTTjTE, M7) 1. Sic larités de '!7Q?0' !XYp~! K~ KTTX~'r~CM syr.; xotpo: A. P. Ses variantes, 2. ~)t.t*. nous TSv TpKd~ ÙjJt. (1. ~*)~t*') P. l'avons dit, sont X(x6M~ XM 6~ 3. W celles P. de W. TO~ X!XTX~.eM!«Xt TO E'~yY~M~ Nous ne T07TO~ UM.&J't'. 15 <p7]0~ « ~pOC~S'~CtTe relevons que les particu- 4. !tOtM'; A. Dieu et, loin d'obtenir un bon résultat, elle est tombée sous la malédiction. 3 (Syr., xi, 2). Salomon dit aussi dans les Proverbes Il </ a des voies qui paraissent bonnes parmi les hommes, et leur aboutissement co~!<~ aM.x! pro/b??~pM?' de /'eM/e?' II dit cela de ceux qui ne connaissent pas la volonté de Dieu, mais qui suivent leur propre volonté; comme ils n'entendent pas la volonté de Dieu, 5 ils reçoivent du diable, au commencement, une ferveur semblable à l'allégresse, mais qui n'est pas l'allégresse, et ils s'attirent enfin la tristesse et l'ignominie. Celui au contraire qui s'attache à la volonté de Dieu éprouve au commencement une grande peine, mais trouve enfin le repos et l'allégresse. Ne faites donc rien avant que je vous aie vus. 10 4 (Syr., xi, 3). Il y a trois volontés qui accompagnent constamment l'homme, et la plupart des moines ne s'en rendent pas compte, si ce n'est ceux qui sont devenus parfaits, au sujet desquels l'Apôtre a dit La ?MM?T~M?'e solide est pour les hommes faits, pour ceux dont /(t pratique a exercé les facultés a discerner ce qui est bon et ce qui est m~MuaM~. Quelles sont ces trois choses? 15 (Ce sont) celles qui sont suggérées par l'Ennemi, celles qui naissent dans le cœur et celles qui sont semées par Dieu dans l'homme. Mais parmi toutes ces choses Dieu n'accepte que ce qui est sien\ 5 (Syr., x!, 4). Éprouvez-vous donc vous-mêmes, pour savoir laquelle de ces trois choses vous pousse à quitter votre endroit. Ne vous éloignez donc 20 1. Prov.,x:v,12. 2. Hébr.,v, 14. 3. Cf.sap/'a,Ap.24,p. 423. JV. ~147 LETTRE V (SYR. XI). SUR LE RENONCEMENT. 449 M 'lspO'J7x).y, EM~&VÀK67)-S TOUOsoS 6V ~X~ 6~ 'J~OU(; )). 'EyMyXpO~'XTO6s).7)~K TTJTM Mît UM.'X;' TO~O'~TX~ T~X TO TOU 0EOC ~XG"/) f)DC~6pS; yxp i -:c(p'X Qs~M MpK. r EKV yxp ~Ve~X 0 ~7; !Xv9pM~O(; (7)Te~ OU 0'U~O'6TKt X'JTOS, yO~SUCt-~ TOTe TOC 77XpX TT~TK e<p\'7fc7:TCH OcO'~ ~O~CX: <~UVXj7.tV, ~X TX TO 9e'\7]~X~ TOU OsOU. OïX~ XKTX TO~ 0'E~ ~07)~ KUTO, K'JTO. '0~7]G'0(.~ K7~UCTt XX!. U~KXOUC"/] X'JTO'J, 6e'KTX "~CT6XXtTOW/iC-Xt TO6s\7)jj!.x TO?OsOU ~.BYXSOT! XX~TOTTO~CKtm~O~. TaUT~ ~6 TX~OU~X~Et~ U~XOUCeTO!~YO~E~T~' Q'T6y~~ S~O'/fxxOtV î'TYe~Io(.XM6,6'!?eM7] MUTE) X~sM;~ S~ MEM'!TOTX~.KXV E~ A~êct~eTO~M~UT!)'X.Q'JCE, XtXtTO~YE M.7)pouXo~eVO~ yMO' 4 EL cQ'~Xt Twv c9i;vxs TMVyovewv' TTJ~S'J'XoYtK'~ RctYM 6 0 St ûU'~XX.OUTX~ ~rxioûcx5 ~~6 's Tw YO~EM~' 7TXT'0 UU.Sv' êUoY(<X.V ex.'X7:pO~OLy.7)C'Sf. É%aroovôNncEv. KâYw 7:O't"P U(loWV 10 XUTOU. NCv TtKU' XKt 0'~ SOUYE~ 1.-) C*'X~< OE P. cit., ~=; OT! S;p'XC<TS, (XTTO 'H<TKU, OÙV TO~ Mt~T~XcQs /of. OUX KV XTTSX'X~ud'S YO'"sCc~, <XXOUCKTE TOU UU.S~ OTt 'IctXM~ 1. ~M Marga, XX~ 0:0~ TTiXTpO; e\' U~.MV ~X TO'JTM, 6 Oe6<; ~Ot YEV7)T!Xt TO UU.~ 6E~7]jJ!.<X e!; A p. tT. <XVX- TtOOXO'K" H~OU~K OTt TC?<; ~KTX 'J~XOU~M -~po-EpO~ 2. telle ~o)<u~=j qu'elle )i~ ~M !XY'~Oe! <XÀ).' O'JX 'IxX.M~, 3. trouve ~p~)~ KTje~pX ~.E~KTe, P. se ~M~ dans TO~ m/.M~ ~a; la 6 XXU.XTO~ <X<D' S(XUTOU, &V {J!.Eyp~ p. 4. version 0 Cette syriaque, Tr~T'/ip 'X'X' TTXT7;p phrase UU.M~ UKÔ U~MV est SH/);'a, §6 O'~XU.~ T(u~ (XTTE- Y°' XTtOCTE~T] citée par lettre xi, UtJKtc, Thomas p. de [48]. p. pas avant que je vous aie rencontrés, comme il est dit dans l'Évangile D~mcMre~à Jérusalem jusqu'à ce ~!<evous ayez ?'e~Mla /brce d'en /MM~ Car je connais la volonté de Dieu en ceci mieux que vous. Il est difficile, en effet, que quelqu'un connaisse la volonté de Dieu à toute heure. Car si un homme ne 5 renonce pas à toutes ses volontés et n'obéit pas à ses parents selon l'esprit, il ne pourra pas comprendre la volonté de Dieu. Lorsqu'il l'aura comprise, alors il demandera à Dieu la force de pouvoir la faire. 6 (Syr., xt, 5). Il est donc important de connaître la volonté de Dieu et il est plus important encore de l'accomplir. Jacob a eu ces vertus lorsqu'il a obéi H) à ses parents. Lorsqu'ils lui ont eu dit d'aller en Mésopotamie près de Laban, il leur a obéi avec empressement, bien que ne voulant pas s'éloigner de ses parents; en obéissant il a recueilli la bénédiction~. Et moi, votre père, si je n'avais pas obéi d'abord à mes parents selon Dieu, Dieu ne m'aurait pas révélé sa volonté. Maintenant donc, vous aussi, écoutez en cela votre père, pour i') qu'il vous en résulte repos et progrès. 7 (S\'r., xi, 6). J'ai appris que vous avez dit « Notre père ne connaît pas notre peine » Or nous savons que Jacob a fui devant Ésaü, mais il ne s'est pas éloigné de sa propre volonté; il avait, en effet, été envoyé par ses parents. Inutez donc Jacob, demeurez jusqu'à ce que votre père vous envoie, afin qu'il 1. Lue.xxfY,49. 2. Cf. Gen., xxvn-xxvm. 3. Toutecette lettremontrequ'Ammonas avait quittéle monastère. p. 17. i 450 AMMONAS. [148! ~<X Eu).Oyr,C7) UM.K$tX~EpYQU.E~OU~ XX' TQTS & <")eo~ SU~OX'/fc'/j T X6t.9~ U~X~. "EppMC~S M Rupt(j).'AM. 'ETT~TO~.7) TOY EN AriOlS nATPOE HM~N ABBA AMM~NA AOrOS KAIKENOAOEIAE. nEPIANOP~HAPEEKElAE, fi 6~ XUO~M T~.tMTtXTQ~ 0;6'\<po!~ ~KMEtv. iv K'X'/jQstX M xa: Évô'?,~ C~T)X.'XpdKX. À X.6~ 3 ~TjTOUCt TGY w5 9EO<Dt'XECT~TO~" Y T&f ,À fi XOM I'pxy~coÙU.M rpK:(pM ùvxvM(; Y.U',otov XUptOV S~'!TXCt~, TMf VOLp TO!OUTM~ 6~0(.)(.OU(76TMt 6 Os0$ EU~<Xp!.E~M~ X.<X~ <XUTOUÇ <XUTM\ SU~O'p)(7St 2'!7<X'~ (XÙTM 0~ ~xi ~M<Te~ WK~TK TX KLT'<]U.!XTK <XUTO~ TTKpKKOt.~ETMCM. '~7)~~X. MUTMV l ràT<X Io ~S Sp~O~E~OL iv <XU-ro~ OÙXEV &11' iv ~t~U~tM, .1-' X<Xt 6-À-4 -xotoûvtaç TTOMU~TS~ 'Épya Ep~Ct10 0~) XKp~KX~' YOEP~t'ce TCpOÇ TOC OEOO KÙTN~ M(7TE~ KTM TM~Xv9pM77fd'V, OUTOt~' OUX ~0~!Xc6?]~OLt EtC<XXOUc6~CO~TKt '!T(XpK M 0~ K~TOUCM OC~X ETT~ OCUTO~, [J!.Ct~OV Y0:p Opy~STOU TO~ 6py0~ KUïE)~,ysYpXTTTOU cfft' (( 6 6EÔ$~t6CXOpTCKT~ 0<TT6(. )). K'vQ&MTrcf.OECXM~ <XUTO~~{dMCt T<DV 6pY~ETML S~ TO~ ~pYO~ TQUTM~ XX~ OU~ OTt TOt ~py-X (XUTM~15 D f. 183 <x!T'/)~KT<~ M~ XMOUT~ XUTOV, X~tX. ~K~O~ XCHK~QtCTCt'rKt KUTO~' V. « Fin de la sixième lettre 1. 'A~epxo~M~ A. 2. ~!=tM )~ tfa~~o~ r~ t~*t0~ 4. oTie Ms. 5. Ms. (pr. m.) o: TomuTOt(ut de Mar Ammonis, moine ermite M,P. 3. 6~. Ms. 6. cpotTEMs. 7. v final gratté. videtur). 'OpB.TS WM~0 060$ vous bénisse à votre départ et que Dieu fasse alors prospérer tout ce qui vous concerne. Portez-vous bien dans le Seigneur. Amen. VI DE NOTRE DÉFUNT PÈRE (SYR., ÀMMONAS, I!l). DISCOURS ET LA VAINE GLOIRE. SUR LE RESPECT HUMAIN !) Aux très honorés frères dans le Seigneur, salut. 1. Je vous écris comme à des hommes très aimés de Dieu, qui cherchent le en effet, que le Seigneur Seigneur en vérité et de tout cœur. Ce sont ceux-là, exaucera lorsqu'ils prient, et il les bénira en tout, et il leur donnera toutes les demandes de leur âme lorsqu'ils l'invoqueront. Quant à ceux qui s'approchent 10 de lui, non de tout cœur mais avec irrésolution, et qui font leurs œuvres de manière à être loués par les hommes, ceux-là ne sont pas exaucés par Dieu en ce qu'ils lui demandent, mais il s'irrite plutôt contre leurs œuvres. Car il est écrit Dieu a dispersé les os de ceux qui ont du respect humain 2. Vous voyez combien Dieu se fâche contre les œuvres de ceux-là et qu'il 15 ne leur accorde aucune des demandes qu'ils lui adressent, mais qu'il leur Df. 183résiste plutôt; car ils ne font pas leurs œuvres selon la foi, mais ils les font v. 1. Ps. ni, 6. [149] IV. LETTRE VI (SYR. III). SUR LE RESPECT HUMAIN. 451 OUT70t.OUC~ T7K7TS'(X').ÀXXXTX 6t)JTX-~Ot.O'JT~. AtX TOUTO ~UV<XL' 7; Qsi.'X.T] !X~6pMT70V OUXXTO~E?6VXUTO~'X~K VT70UC'V M TtKC~TO~ MYO~CCUTN~ A[X 0~ KVS'~t~'X'X'X~~TX~. TOUTO OUXsy~MTX~T-~ ~X~ 0'J§6 T-~jV6~a<ppOT-X<XUT- OU~ST~VYXOX~ T-~ ~Kp~TO~, X\ÀX ~U~YjK'JTMV 'XUT7](;' T7(X<T~ CtUTÙ~ TO~ SpYO:~ pe6xp'/]TX'. OOpT~O~Tj. T6 ~St'CTOV 5 o'j~ TM~ ~.O~xyù~TOMUTOt SKT'.VOUX.eà~X~TO T'~ '~U~Xmv T7)<; YXOLTO? T7:V STTxt~OUCX~ TT,V'~X.) XUTY)~ K'JTT)'SUtpOOCU~V 'JTKpXSXEUX~OUCX~ ~X~6~, XfXt ~XOeYOUCOM KUTM~ TTjV~U~ 6C~OtOUC~ -EptXV -SpX$, XKtT-~ Qsp~.K~O'J'yx~ OEM.T<XY<Xp ~OY(X. XXTXM'v9pM7;0'~ TTOtOU?~'StX TOUTO OUX)hrEOOtT7;CE~ ET7'CtUTOU;y<XO~.B~UY~K YKp QeouECTtVX~~ptuTTO~ 6 T?OtMV T7; OU~X[/.EM~TO'J TK ~pYX<X'J'C'Ou XXTX X~9oMT79!.pSCXSKX~. M~ 6 )0 TO~, S~OY~T, 'E:i; XY<X7:iTOt ~OU, OEM, XYN~?Xcf)e*EV ~Kf7t*D f. i8't XXp~ ~X <X'JTO S~ T~KC~'X.K~?\'K ~X.7fc7)TE TO~e'pYO! U~M~~tx TO 'TT~E'J~.X T~ XE~O~O~KÇ 3('6 0~0(; XKp7r6~ U~.M~SU~pOC~SXTOt; Y~TiTX~ XKt ~KX~6tV- ~M~7:XpX TM ~j/.tO<J3YM'X'X'~ ~6t ÀX~7)Te"T7~ ~UV<X~T-~ ~KptTO.;T-~ T~TM~ TO'JTM~XpSLTTO~M'n~EHI~Xt YCCp OT~ 6'COt S'~ ~ U~KTX <X'JTK ~Ot~Te ~Ept U~.M~,(X~E'X<pO~ TTO~SU!.OU~TE<; U~ Trpô~ ~OO.; TO ~E~X T~$ XEW~O~Kt;, XKt K.YM'TQe XKT'K'JTO~~(X~TO. AtX TOUTO6 X!M~6~7 U~MV~-7,- T6 yx? 'n;SU~XTO'JTOTOWQ~ipO~,S~p~ETfXtTM 'X.vQpMTTNÏT~CT)~X!X.MCW/j ETCLbX~ETXt 6 Kv6pM-!70~, 6s"\MV~t!XCX6~KO'xt St~ TO~XXp-~0~<X.UTOS XCHTOUTOU <Xypa?0~ 1. x~T~'< Ms. 2. Ms?uTTr)<7E-/ Ms. ~\fs. 7. Syr. corpus. ~<76cn StK~~MMs. 6. ).xg))tm[ Ms. Ms. xpeiTyo~Œ 6. &YM'< selon l'homme. A cause de cela, ta vertu divine n'habite pas en eux, mais ils sont ainig'és dans toutes les œuvres auxquelles ils s'adonnent. A cause de cela, ils ne connaissent pas la vertu de la grâce, ni sa facilité, ni sa joie; mais leur âme est appesantie, sous toutes leurs œuvres. C'est le surchargée s cas de la des moines ils n'ont plupart pas reçu la vertu de la grâce qui donne son assentiment à l'âme et qui la prépare à se réjouir, qui leur donne de la joie de jour en jour et qui fait brûler leur âme en Dieu; car les œuvres qu'ils aussi la grâce n'est pas venue sur eux. font, ils les font selon l'homme; L'homme qui fait ses œuvres par respect humain est, en effet, l'abomination t" de la vertu divine. 3. Vous donc, mes bien-aimés, dont le fruit a été compté en Dieu, luttez, dans toutes vos actions, en songeant à l'esprit de vaine gloire, afin de le vaincre en tout, pour que tout votre fruit soit le bienvenu et qu'il demeure vivant près du Créateur, et pour que vous receviez la vertu de la grâce qui l'emporte sur toutes ces choses. Car, mes frères, je suis persuadé que tout ce que vous pouvez faire dans ce but vous le faites, en combattant contre l'esprit de vaine gloire et vous luttez toujours contre lui. A cause de cela votre fruit vit. Car cet esprit mauvais se présente à l'homme dans toute œuvre de justice que l'homme entreprend; il veut dissiper son fruit et le rendre inutile, afin de ne 20 pas laisser les hommes faire l'oeuvre de justice selon Dieu. Car ce mauvais 452 AMMONAS. [150] T& M/C<. WOt~CCU T7)~d~KMCU~7]V X.Of.TX OeoV.'Ex.E~O VKO TtO~a'CH, K~QpMTTOU~ [JL7) 6X07]TOU<; <X7c6 'Ect~O'JVTME$S~K~sQScM TO~ 9s~.OU<H '7Ct.TTO~. 6MTm;M).KtSt YMScBiXt K0'~p6~TU~EUt/.Of., EX.EMO TO I~EU~.M TM~ K~QptdTTMV V,E~.S7)'0.0'M(;, eùQsM~ <~M~~T~CTO~ M$X!XXO'!T6<.6s! 3 K~TmOf.a~Et *D f. 184TO 'KOVTJpOf TO?~6e).OU(7[f~' *TtVK(;~E XCH~:XXXOHïàv XCtp~O~KUTMV vo. 1 1 1 1 p, .Ii'" 'f K'JTM~ X'XL!X'!COc6~VUO'M' T70t7JC'!X.~ TK.;TTO~T6HX~ ~HXOMpTr~Et 1T6:p')~C)~EU9:~e~ YK?<X'JTOU<; CMCO~.UTM'' X.KT<X (X'JTMV''r0f XMp'7?6v, 0(.~6oMTrKpE<TX6t!XV~ OC~Ot~jJHy~XM~O~TM.; WjJt.~0~~S TMVTM~<X~8pMTTM~ OTt~YOUC~ TT,~ X.~pITO~' TKtpK TMOeu 0'J~EV EyoUC~.At.KTOUTO TO~ OUX Î~MX: K~~ X<X~.O\' <X.UTOU$ X6WU(; S'~EMY; ~U~omt~<XUTO!~ KO~X6~ 0'JY 6Ùp6~ XiXt et1TE(n-6pY)<7M ~K.p'!TOV KUTM~, <XUTQU!; T7]$ TO<TX)JT7)$ T~ y~UXUr/iTO~ ~p~TO~ 'E'KKJT'0~ 10 TOYATTOT. 6~ 'Ayot.t7)TQt C f. v'. 288 6'J<D~S~ EtJLTC~SOV 6~ s! TTKpxëx~e~ To~ 1. YOU~ ~xe~m 5. –<;xtcM ragraphe TO~ ~UYM~ EtCE~6e!v 2. Sic syr. 6. ontoM.o~~ Ms. plus haut TM~ 6~ 6 OLXKKi)~. TE~EtM~ K.XixQct.pTO~ K.UOtO; 3. Ms. à la fin M 1CVEU~O!.Tt T?J; U[7.X(; XK6Kp96KT<X.t; (XTTOCTO~.0~ Ms. trouvé '!7pO(TXyOpeUM [Jt.7j TK~ X(X~ OU ~MTCM SOT~ XUptM, 7)U.N~ <XTO T'/); YXO TO Saf.UTM~ MT~ ~~6UtJ[.K e!p'/)~m6v, 0'J~6,J.t<X T);xLxMT7jTO$' ~U/Y) XyM~ yMp 1& ~UY~. OUX Ï~M~eV Ajouter ye~E~Mt 7. KUTM Ms. de la lettre 'ExS~O T7pCtOT7)TO~, xurco~ 8. xa~ou; a<.UTO, comme Ms. ~M; plus OÙ 6X!X&~ptC6t~ haut. '). Le 4. syriaque Syr. ajoute SCt'JTOU~. corpus. un pa- p. 437. n, esprit livre combat à ceux qui veulent devenir fidèles. Si donc certains sont loués par les hommes comme fidèles ou comme maltraités, ou comme miséricordieux, aussitôt cet esprit mauvais combat contre ceux qui veulent (devenir Df. 184fidèles); il vainc certains d'entre eux et il dissipe et détruit leur fruit; car il VI. les incite à faire leurs actes mélangés de respect humain, et ainsi il perd leur fruit, tandis que les hommes croient qu'ils ont du fruit; mais devant Dieu ils n'ont rien. A cause de cela (Dieu) ne leur donne pas la force, mais il les renvoie vides, parce qu'il n'a pas trouvé que leur fruit est bon, et il les prive de la si grande douceur de la grâce. VII (SYR., Du XIII). 5 10 MÊME. 1. Mes bien-aimés dans le Seigneur, je vous salue dans l'Esprit de douceur, qui est pacifique et qui souille une odeur suave dans les âmes des c f. 288justes. Cet Esprit n'entre dans aucune âme, si ce n'est dans celles qui sont VI~ entièrement purifiées de leur vétusté car il est saint et il ne peut pas entrer 15 dans une âme impure. 2. Notre -Seigneur ne l'a donc pas donné aux apôtres avant qu'ils se fV. ;151: A~ TOUTO LETTRE VII (SYR. X!H;. SUR L'ESPRIT-SAINT. K'JTOL; 6'\EyEV 6'Tt « EX\' <XTTE'M, -7EU.~M TO~ 'JL! 453 TO 77KSXX.7]TOV, 7!EUtJt.K T~; tX~EMt;,XXtKVXyy~E~U~ T7X\X)). ToS-0 yxp TO T~E'~XXTTO "A6e~ XX['E-/M/ SM: T7]$ TX;. 'X; E-n-M?~ CTj~EpOf To EXUTO YCM TTXp<xëx).~0~ STTt- -0 yx~ ~VS~K TXH X~K~ T- X.<X!.(XTrOTT~'JVEt. X770 T'~ p -TXpXO~MC~ XUTC<$ YÀUX'JTytTX, Î'AUz"J't""Ij"t"a, XX~Mf; X7..rJwç XKL °0 XIXI ~~EU~.KTt ~EUG \EU~' ~t.X.XLM~ ~U~KK;, ~.ETX~OLX~ 77XO'C<.<; XX~E? TM TM~ TX~ O'JX. E~TtV ;XUTM~. ?-ytM, XXt <p7]Tt' «(( %xt (QY/rL' X~ XUTO, TX~ Trxpxëx~Et <XX6(6<Xp(7~ TM X~TL~E~ ~'JY!X't(;, O'J T-~ `f,00VÎ~Y "t"'I)V 7:~OV~ <X'\).'X!~ "O-XV ~XUETX!. K'X ~E TE~ELM~ TO EXx9x3t<T<X~ T- T~EUpX ~U~K~' 67~S~ TO~ ~EUHXTCx; "t"0') TU; 1tVEU/J_XTO~ 't"1; U.ETfXTO E~E~j X<x6<XO:'C7) KUTX~ K'JTX~ EY~M, eyvw, E(XU- K~TO TE~EK~, E'JM~~ XC!~ E: U.7) £: ~J%~ ME~û'. É%E:YG: E~ O'J; XKTEO'MCE~; )) O'J~0'\ÀO~ 0!J§6TOS'7tVEUU.!X.TO$ X.XTTi~MQ'/jO'KV 77];;~.STX~OKX~, ~EVOÙV 10 TO(~ ~VEU~.K T~ X~E~ ~KT6t XXt XXTOtXEt EV EVtX~ YE~EXV YE~EX~ ;Jt.6~ ~U-/<X~. 0 6 St E~ TM~~tXX~~ ~C77Epyx? ~.K?Y<Xp~T-TTOÀUTt~O;, TK~~U~C(?(; OU~E'')p~ETXt T(~ TETE~E~M~EVMV. "OïE ~0'~ X<XTT,~N9-/) K'JTOU 6 AEut, ~.EY~-Xf; EU/K;~M~E TMOEM « Tô 7!~E'J~X. 0 E~MXKf; ~EyM~' T~M CE, 6 OEÔ~,OT~E~KpKTM TO~ ~OU~O~ JJ!.OL COU.» Rx~ TTX~TE~ ~E 0~ ~~X~Ot0~ <X~E'7Tx).), ~EyK~M~ TMOsM. OuTO~YXOECT~ y,U~Kp~T7)CXV N f 't 1 !5 00 ~apY~T'~TTEp~ '7~O'J~t'y.Y~TXt TOEU:XYYE\tO~' 0~ 0 )' TX -~M~CK.'!7X~TX lÀ 'V -~YOpCtTEV -~y~pCtrEV U~XpyOVTX fXUTO\i' 6 EVTM <XYpM O'JTO;ECT~0 6'/]0<XU~O!; 0~ E'JpMV X.EXpUjj!EVO$, X~QpM~O! EYXOTj fussent purifiés. C'est pour cela qu'il leur a dit Si je m'en uaM, je t.-OM~ e/<e;t le jP<!?'r<c/<l'Esprit de vérité, et il u~M~/era connaître toute cAo~e cet Esprit se donne aux âmes des Depuis Abel et Hénoch jusqu'aujourd'hui, justes qui se sont entièrement purifiées. Celui qui survient aux autres âmes 5 n'est pas celui-là, mais c'est l'esprit de pénitence, car l'esprit de pénitence survient aux autres âmes parce que lui les appelle toutes et les lave de leur Impureté. Lorsqu'il les a purifiées complètement, il les transmet à et il ne cesse pas de leur verser la suavité et la douceur, l'Esprit-Saint, comme l'a dit Lévi Qui a r~/i/iM~t t'o/M~e de /'E~'t~ sinon ceMa?c~ /e~!<e/x 10 il a /)a<'N~?Peu nombreux sont ceux qui n'ont pas été favorisés même du (seul) esprit de pénitence; mais l'esprit de vérité, de génération en génération, habite à peine dans quelques âmes. 3. De même donc que la perle de grand prix, (l'Esprit-Saint) ne se trouve que dans les âmes des justes qui sont parfaits. Lors donc que Lévi en a été gratifié, il a adressé de grandes prières à Dieu en disant « Je te chante, ô Dieu, parce que tu m'as gratifié (le l'Esprit que tu as donné à tes serviteurs 9 Et tous les justes auxquels il a été envoyé en ont rendu de grandes actions de grâce à Dieu. Car il est la perle dont parle l'Évangile, qui a été achetée par celui qui avait vendu tous ses biens C'est le trésor qui était 2" caché dans le champ et qui a causé une grande joie à celui qui l'a trouvé". t. Jean.xvt.7, ):{. 2. Manquedan-ila Bibleet tes apocryphesconnus. 3. Cf. Matth.,xm. 45-46. 4. Cf.Matin.,xin, 44. 454 AMMONAS. [152] X6M 6~~ 'E~ <X~~S MOt~Cet ~U~, ~sy~M OLUT~<; ~OX~U~t ~.UCTYip~, 0<pOOpX. -OUTOU X~ -/]W~. 'I~OUS-~MpMOf. T~U[/.KTO$ ETT~7] 7)jJt.Ep~ Ù~ T-~ S~EpyE~TOU XUT<X.~ C~TfXV OE ~Ti TTVEU~-X' O'JXS~:<pepST'Xt O'~KTSOS~, OTt TTEtpiX.C~.O~ ~9p(~M, 6~ MUTM~XT~ ~S KÙTM ~xg-0 ~eS~K, ~p~~OTKt TM ~9~M U~p TOU T~pK~eTt~K~. 5 et -nterTO~, po(.S~N(~;T6 nveG~ceTou Oeou. 'A~u~-ro~ yotp TM ~Kx6o).N-~p&TM MUTO~ 6 OeO! TTXpO~M e~ T-~ ~p-r~ov "Oïs vou~ 6 K.upM~-/)~ eë~Ttc6-/), K~ ''° nveu~<x~'j<XUTM 0 ~~go~O?. 'H ~~0(. UWO TOU~ëo~OU, XKtOUX -~U~7)6-/) TTRO~ W8tp<Xc6~VKt T0?<; 0!.yt0~XOH T05 n\'66~XTO< ~.eï~ TOU~~eLpO!.C;Jt.OU$, ~Y~O! ~Sp0\' ~OCT~TiCt °. ~u~a~M~e~o~6(. EtT6 T~], K<XTK TT~TKYOM,~O~X~M~ f0~ OMV", M EÙ~MpKT-rM~, e~ TO Me~ou, x<xt~oxot.TECT'/iCM <xepo$ 'y)~K(;<x~oïou cxo-rE~oE! ot.T~x, 6'T'.<x~7)yKYe~ 3~0~TOTCpOTEpO'V. suivants .figurent dans A Les deux paragraphes 1. Le syriaque porte un paragraphe en plus. 4. om. A. 3. 2. A add. E!<Tb A. aSs~o: [tou. p. 28, d'après le manuscrit 464 du Sinai, fol. 341'. A. 7. om. A. œuT~ e:8st TOTE ïo aùïo~ ~p~TEpS;, K ~YCtY~ 6. Meurt. xKt ~<]M~ 5. o~ A. n~a H. Le frag10. 6o~<TMA. 8. A add. 9. Le syriaque porte plusieurs paragraphes en plus. ment cité par A, d'après le ms. 464 du Sinai, s'arrête ici et ajoute 'A~. Aux âmes dans lesquelles il habitera, il révélera de grands mystères; pour elles le jour et la nuit seront la même chose. Voilà que je vous ai fait connaître l'action de cet esprit. rcK~eM)',/Hf(/~Me(~M le pre~e;~ 4. (Ce para~rapAe du syriaque, pe~o/M~ ma.MM~(T~ grec.) 5. Vous savez que la tentation n'est pas infligée à l'homme, s'il n'a pas diable pour être reçu l'Esprit; mais lorsqu'il a reçu l'Esprit, il est livré au tenté Mais qui le lui livre? L'Esprit de Dieu. Car il est impossible au diable de tenter un fidèle si Dieu ne le lui livre. 6. Lors donc que Notre-Seigneur a été baptisé, l'Esprit l'a conduit au 10 désert pour être tenté par le diable, et le diable ne pouvait rien contre lui". Mais la force de l'Esprit, après les tentations, ajoute aux saints une autre grandeur et une force plus grande. 7. En toute chose donc, louons Dieu et rendons-lui grâce soit dans l'honet i& neur, soit dans l'humiliation, parce qu'il nous a arrachés à cet air ténébreux qu'il nous a rétablis à (notre) première hauteur. 1. Cf. sft/M'ft, p. 443-4. 2. Cf. Matth-, iv. 3. Cf. Ëph., vt. 12. V. ~153' [NSTRUCT!ONS. V. A EX. T7j~ ÏÏCMTO~ K'JTOU /p'/] t~ T<~ SXV Sp'/]~.M' "0~ E'ta'/jT'Xt SCT:~ X.x07)~7]<; OT[ 6 'XX.x(<X3TOTepX (")ec: T7)~ TO~~M~ e'l(oJmo'l 't"0'l 9pMT!OÇ 1. sic ~ï.Te H. OsM XXt XxL ~X ~Xp ~M~K)V !0"rL -OU X6H TM~ Ta H. yx? SX~ XXt <X\OY<X, ULET<XW~?<Xt X.Kt ~T~ XX~M~ « X~XpTtS~ K'yi"/)'\ÀX')'T) 0 OsO.; ~VSM ~XTX TK XUVKO~X, X'<6pM'!70U S<XUT'~ X.6ct TM~ XCH TX 7; 6~. f?) ~Ct~Mp'~GN~ O'JX XO!CX.Et ~tX<XMTU~] TTETE~M~ OT~ -/) (~YN'p! ~O~o!. KUTOU~. ~.ET' OTL [jt.7) Tr'\7ipOOOp'/iC7; TWV XXt ~-r,, 'A'~<X -0 M; U.K'0~ KUTOU îoyo~ pXXO~ K'~0- 'j<UY7J 6~ K'\7)9etX, ~.U~M~, '77:TSMX OU TtpOC~SyeTKt OÙ~STTOTS -~U.Ot.p- -OU Ó£O'J, OU~E OUl)E "OQs~ "OHEv S~ X.RLC~ Et5 O't"L ô6 /X(loap't"w (")EOU, %OGG6V epXOVT7.¡,. Ep~O~TXt. TFpd~7)XoV 1tpOO'1I 0'1 OT!. OCU.iXpTM~.Of; O~ âv-01; e'\EE~O-EpO'<; 6?T~ XCH TM~ XT-~M~, K (xs:.K)x'M~ K ad(). Mm~. )I). 7. o'j xxTOtx~ s'; xÙTM 6 Bso; II. DES 0~ K~OyMV, QUTE X~OM~O~ 0:XO~O[Jt.OUVTXt ~.X' X~CYX. K.Xt 6 OTt O'JX 0!X.E~ TrpOT/rrou (X'JTO'J X~ TTO'MV "'X U772p ~Y' XV~SMTCO~ <X~6pM~Ot$, X\'9pMT70$, MUTÙV X'JTY)(;' eu~ C'' nATPOSHMi2NAMM~NA. Í. 6 (")s0'(;. 6 T~ TSMi; Y XUTM~ S~ ~Oy~STXt TO~ 'OY~ Xp'\St~ !X~ '!7<XpX~eySTK[ OTE ~TL TX'JTK y.Cf'X~OV (')c(~' X'JTOU S'J~T;~ T<;) XUTO~, '7'j~TU~tK TY, XX~ 0X10 455 ENSEIGNEMENTS. QUATRE TOY Et?tV, 'j~Ep7]OX~~X' <Xp6TXS: 1" AlAArAlATUN' ~pXY~.XTX O't-S ~UVXTXt, INSTRLC'DOXS. TUN TsT'7KpX 1" QUATRE ENSEIGNEMENTS. ENSEIC.XEMEKTS fol. ))E yx? otpMxT) t[. 8. ou~ME II. XOTRE etsuppL. 200', TU~EpSt~ SAt~T GREC om. K'JTM~, H. U. K add. PERE t3t9, .'). ~et~opT]- n. JJ!.7)~S Sic SX K; ).~t- s!. A~MO~AS fol. M!; TCC X'\Oy<X, (Ms. GREC 2500, i27). Il y quatre c))oses teUcs, que si l'homme possède l'une d'elles il ne peut pas se repentir et Dieu n'accepte pas sa prière. 5 D'abord l'orgueil lorsque l'homme pense qu'il vit bien, que sa conduite pluit à Dieu et aux hommes, que beaucoup sont édifiés lorsqu'ils le rencontrent et que certes il a été délivre de beaucoup de péchés en se retirant dans le désert; si un homme pense ces choses, Dieu n'habite pas avec lui. Il faut plutôt que le moine se condamne plus que les êtres sans raison et qu'il 10 tienne que ses œuvres ne plaisent pas à Dieu. Il est dit, en enet, par le T~f/e /<wn/ ,/?f\'h'~ f~, <;?).~a ~?'~e~;e, Mm/Hc le /;M~M prophète t/ic Et si l'àme ne se rend pas témoignage en /~?7u?!c~u/ n t'M'. vérité qu'elle est plus pécheresse que les êtres sans raison et les oiseaux f'f, les chiens, ))Ieu n'agréera pas sa pricre; car les êtres sans raison, les 1. chiens et les oiseaux n'ont jamais péché devant Dieu et ne seront pas jugés. Il est évident par la que l'homme pécheur est plus malheureux que les animaux; il lui serait utile de ne pas ressusciter d'entre les morts, comme les êtres sans raison, et de ne pas venir au jugement. Les I. )' r,. (:r. /);7f. p. '.K!. I. t'ATH. OU. T. M. F. 'i. ;~} AMMONAS. 456 [154] T<X~oyM O'JXKT<X'\<X~OUC~, OU~U-fCEp)T)?KII f. 201~Xp(MEYEpQwon'" [J~E E~ Xp~~ ~6~ ro. ''°' e oüx OUX NOEt'\E KUTX'l' 6ô ~6 8's ~8pM-~0? M<; ï~c?eL~e :tÀÀ"xx'LKyO~MCt <X~KXKt. âv0pw;~oç xy~K o-~5 T~É~OVT~XS veuovTaL, VEUO~TM, xyaaé~eL-OUCTpE~Taf; TOY ~<XCK~T<X XKL TpEtpOVTK <XUTO~OeO~. XML TOUOMU~OTE'~~QpM~O'J, E~Ep'~ E~t. ~TjC~'XXt~ XKTTO! AEUTEpO~, r ` ` <XÙTOU ` %ÙTOU XUTOU rjùy~Ep~OUX X<Xt ;)C~.XE?"' KUTM, 7) ` XUTO~ TGV 6<p6of.~0~ EU~ K~ETU~fTE, TOU TTp6<; Oe6~es~sou!; ÕOU~ ~6 S9(.UTO\' 6 TO~STO~, ~<X~C- X.~ ~XpO~ SYE~) ~Tt ;~p0$ ?) GU)'Y.'o)P'I}GL'J '1} 1TT<xpK trxp~ \eou. (")eou. cuY~p7)c~ XXTXXSXpt~MO~ &CT~,X~ ~8pMTrOV ~XpT~O~TK,XKLMUTO~ TptTO~, 6~ X<X-TC<X.p~7i » OU X~ « EÏ~S 6 M: ~~7)~6. Xp~MTE"' C-~e!KTCO~XMte<XU[JLXT<X~.yàp Xp~O?Kn~ 10 OU~~K., yx? 6 ~KT'/ipXpMEL jJt.)Xp~EM K~pMTrO~« OU~E Xp7)0~ ~ptCTtfXWV '1 r- .)') fi 0 \t\ X ~MXE ~T~p~T-6~ SOT7p6T-oCXp~TOU T-~ XpKJMTr~<XV TMUM~ )), MCTE XpMM~ XKtTK~j.~ OCtOt ~~KLOt, XKt-~Op~O~ Ren M~O~, ~7]CT6H O~TE$ KURM\' SY~O~TO C-4[J<.EpO~ 1 '1.) ,t p 013T~ ~E v.I'L KÙTM~' OU~ ~07~ A~'tycùg ~~M! KUTM~ E~O~.E~~ KRET~ XpU~~ K[JLKpT~ 25 EXpMK[J!.EV t TETKpTM T~ E<TirM EKV Y~6<T<T<XH T<~ KYYE~~ xy<X~7]~~<X'M~.E~ ~Mp~ Xxl YKp K'JTYi~, Mç '\syEt ~MM T-~ OpQ-~ ~MTM 15 6 ~OC-TO~O~, ~M~.E~ ~) H. 15. ~).(ME xa: ~~x.Mt H. -14. II. -13. 12. 0:0~~0; 10. ~Ep9~ K. -11. Mot K. 20. xp~ K. 19. Tep~ II. II. 18. om. K. t7. II. ~xpo~ H. 16. ~.a~<~ ~:p~ (-x~ K) 1~x~ &S. 1. II. 25. 11 om. K. 24. om. exp. 23. s'iSm~ 22. xpt<n~ K. 21. xp~m II. K. 2. TM~ &~Op6KN~ ).aXm[).ev pas, et ils aiment ceux n f. 201animaux ne déblatèrent pas, ne s'enorgueillissent l'homme n'aime pas, comme il le faudrait, Dieu qui les nourrissent; mais qui l'a créé et qui le nourrit. 2. Deuxièmement, si quelqu'un a de la rancune contre n'importe quel s'il en conserve du ressenti- 5 homme; quand même il lui aurait crevé l'œil, celui-là ne se flatte pas, même ment, sa prière ne monte pas vers Dieu. Que de Dieu. s'il ressuscite des morts, qu'il a part à la pitié ou au pardon près il sera condamné 3. Troisièmement, si quelqu'un condamne un pécheur, des prodiges. Car le Christ a lui-même, quand même il ferait des signes et Il faut donc que le chrétien ne 10 dit Ne jugez pas et vous ne .~crespas /u~ Père lui-même ne juge personne, mais il a laissé tout le juge personne, car le sorte que celui qui juge avant le Christ est un Antéjugement au Fils 2, de christ. Beaucoup de ceux qui sont aujourd'hui voleurs et impudiques, seront mais nous ne connaisdemain saints et justes'; car nous voyons leurs péchés, 15 sons pas leurs vertus cachées et nous les jugeons injustement. dit comme 4. Quatrièmement, si on n'a pas la charité; sans elle en cnet, nous parlerions les langues des anges, et que nous l'Apôtre, quand même 8 à lo. ':f. SHjM'a. p. 4o(iet 414,Apophtegmes 1.MaUh.,V!t,1. 2.Jean.v. 22. V. !531 [NSTRL'CTrONS. XX~ ;~T6MT7)?M~, -C00w/J.£V -S~ OU~ OUOEV XXt ~.OC'jy/i T-e).EtX ~~O'J~ ~6 XCM -,Lv, T~, X~T- Ct~E~ ;7.E?0? TTO~O~ o''jTE <xyx~ 0''JTS XUTMV [~T~, O~TE ~.X~O~ XX~ -!TO~, -to~ XXL EXX'\E<TE~ (J,' ~pE~E~ OUTM'" H OH). ~Y. X&v U. tiendrions bien servira à a qu'on !a de partie aux 10 ta uns personne, ne ni l'Impudique, elle pleure; l'imitation eux'. C'est De ~-rr)' (.')' f f:ur., /f"; i- qu'elle ce et les ne pécheurs en la en t (.:nr.. ainsi \m. '7. (:)t!h.. et et les qu'elie a bons; buvant avec il charité, co~/jc /c.s'~M;v«'.s'~ ;f.c.s' faibles véritable ~~nco~/t~.r, ni pécheur, qu'aux et mangeant ne personne, deuil plutôt était quelle /s' porte leurs citante le les le tort protègent ni pécheurs, qu'elle aux pécheurs montrait les plutôt font haïssent n'attriste l'étranger, que qu'une et caria pas; personne, ni autre uns et l'est tout n'est d'autres, étrangers nous donner aux contre aux souffre, .s'< Cf. rancune nll'inudèle, aime charité avons, ne n'est parfaite; la charité, celui-ci/n/cM< /s-s' la condamne méchants D~'i'e/ie~ que la elle lorsquil .s')' \m. ndèle, appelait disant <MjM i. qui même là ne mais aux pourquoi, l'enseigna r~s'/f. pour Christ en le eux compatit du pas scélérat c'est donnent de TC. XCt: les cela elle M<rc Pf?c /c.s'~< celui L\. qui ))-):{. 201 ~i 'J~EO M. M nous l'aumône charit.ë compatissent n'est ni le effet H. peut-on H II Xat XCH ~tXa.~U? ~SE?, tout <. V-. ~7r'L E~ que martyre, car M» Kcc'L Rett 0 0~PiVtOg. OUpX~M~. XUpK~ ce Comment charité pas ont personne, personne', négligents; L-. autres, n'Injurie déteste et au ~Q'/X; transporterions tout corps la 7. X~M~ À XU.XOTM~OU; TT-X\'Tet; nous pauvres la n'est um. même « avoir en les ce n. peuL-etre pas uns les Vraiment H. U). notre beaucoup Insultent G. ~:N aux l'aumône hébergent et proches. hait Mais H. K. XMt TMV ECTM -ÀLov -/]~OV KY~, x).~[ bien livrerions ne -~K~Kf; afCtT. donnerions et pauvres M. quand direz charité, autres, les nous nous » xx: foi, vous aux citante:' vraie que rien'. ex! TO~ r~v X~.Kp- Kc6E~E?<; TOU~ ro, "Jj[l'WV 7;~ 6<T1-tV XKTKXp~St, ~AEO~" T~ "aT'lIf ~KT-~p ~6~TE'\AE~ ,À" E~M~ H. xuTû'j même Myx~V T!p. ,<.Xt XYx(i'j~ iy~tO(j,'jz 6 0 *M!; wc, O'JX ~~0~, ôg V Xp~-ro~ E~E'/j- O~Te XX~ U~EtXWM~ XXL OtX"t"tpl1.0'IEÇ O~T~~E~ S" XXL K~~E~ ïov la et montagnes ce xai toute quand 6 TOÙ?0, XlXt Õ Cl.)'1X MYxOct Ot X.XL Tn~po~ XX~ Am y, CXS1TOU- A' Ao~O~ XXt ~OU~X! OOUViXt ~6-OG~ C'j~S\'<X O'~TE ~Xte~ TO~ y~y.0'j;) <X~TÛ~. ~.ET' r~E?8E tvÕr; 0 ert E~ TO OMp.Ct jl. K. Pps~t « ~E'YM~wv- EX.E~O: -.Yc,ÎVOZ X~LXOU: ~~X~Et, TU~MV E~X~S eoW7..ç£ (t)C7rEp M<~Ep Ky.XpTMAC~ M~'M~ XY'X7!), XYX7t"II, ). XX' XX,<.0~ ~E K~OU~ X~.XpTM'\0~ r TfjL? Mdx<~ ~O~Opa, TOU; ~E~E? ECT~ ~oO<T~. XTUCTO~, ~.XpTUp~M TCC OV't"1X '7C£ O~K ––OuX. JJLEV'' ~LOUC L~LOUC 457 C(Lu.X ;~7)CtX.KXOUC~, 0)j~~ -?TO\ X~).K X~x6<XpTO~, UTTEp X.XL "'l" O'J~~X XY~ K~OUi; TO ~X~TK 1tZV"t"IX » <X'OtC yctp ~M~ rU~t7r7OO'~rL, cujJf.Trxeo'~t, XXV ~UCM~, x.aL ~<; ~uvoc-r6v~KTOV MT~/ ~6VO~~cC?t, Y~p S//J~EV « SA7)jJ!.0~ ~E~UCCE~X' XT<~ MX EpE~-EEv\'El-:E' <XY~- ~Wt~ SCT~, ~~o~~ ~M<; lGW~ T, yxp xD.X 0-J~~X ;XY<XT:K, tiA~' tX~OUC QUX 0'~ a. À '\O~OpO'JO- STSpOU; 'pou,- TTX~-Ct 77T~QU<; Xyx~ X~XOUS~, ~776~, TM~, 10 S'~EM <xyx~, KYX7r/ O~evx TO~ 0'£LÀO'J!J.E ~O'J; U. ~TTM~, E~ i~ QUATRE ENSRfGNRMENTS. a la charité ~);,t.th.. en v. )i f. 2~ [15C] AMMONAS. 458 WO~S~TE' 6:$ SXE~ ~0~" e<Xppo! ~T«M E~ETM. EtCL yxp TME~E~QCWr~ KMmO~OU~ ~.MOUVT~,XOM-M<7M~.X~U~O~T~, XCtt ITOMU~T-E~ TS~, X<XtTCQ~KX~KpT-~<XT<X ~~MTtV. E~T-~ E~S7)~0~)~ KUT~ E~t~T~, W~t~UCt TTOtE~/ OÙTO~ EKUTOUf; B'. A'. T/)TOU< <K<XUTO~ KXpt~M~, T-~M Oe6~ M-~ Ked K~t'/fy/tTO~ MX 6TM:M~Ou6Y)CM~ ~t' -/)[~ <ppo~T<x~, TOT ATTOT. 2° EV TM ~<X~e~ ''iëpeM~ XUTM ~oD~ ~66<X.TO~ ETUt C~XyT)-~ -~97) <XY~7)TE, ~0~ TO~ '~ECM KE~AAAÏA IfAPAïNETIKA'. X~' ~M~" TC0~7i$ af.t~pMV -~s~ero" x~ ~M? X<M M~ <X~O~ M<XVï{o~ TOU KStpOVm K pergit. 12. Hic desinit H. 11. {t~~ K. xat Tt~T~M~ oTt & xùpto! Y)~S)~ infra A'. 1. Tou i6g& 'A~m~ A'. /.OYO~&'p~ji«; B. 2. TOUTOUBD. &66E '&t).t<.M~KTOU OtMXMp~TOUE. 6. x.t E. 5. 4..S. ex<~ ~<Tt~ D. Il. E um. E. in. om. D. 9. oM~x~o; XUTOU nulto ~pKT~ titulo intermisso XXt <XKT~U- yeYp~TtX:" ~<~ 5 sy~ETO' T<X~eMMCK:' KUTOU, [Jt-eyK~M~ X6M U~Epë~J~TM~ Q'')X !XVO~YE~TO GTO~.<X C(.UTOU, 6V TT, TX~e~MOSL B. TU7t;0<; ~CAMCU~, [Jt.Qp<p~ ~OU~OU, XOH ~TM~6C<X$ x<xl 6'Tt. 0 Kupt0$ M~ Qof.ppN~ X~ ITtCTEU~, eXUTO~ XXT~ « KUTO~ X<pM~O$, 0''iïM~ )0 ~K~KTO~ <XUTOU -/]pQ-/).)), X.KL T~pEt cMUtov &xptSM;. Oo(pp..i-< t°~ ToO a-~TOuxE~fx/.am tS' ~~u ose).. U. nNpaYY~ 3. S6~-< BD. (TEK-JTM,~O~K~E, &< E. E. 8. BDE add. xai. E. 7. ET.~M<~ YE~o; )' 13. E: xEtp~To; 12. x~p~ïo; x~-rEY. ~si; 14. oSïO! D. vérité aime tout le monde, a pitié de tous, prie pour tous. Il y en a en connants en elle seule effet qui font, il est vrai, l'aumône, mais qui commettent beaucoup de péchés, haïssent beaucoup de gens et souillent leurs corps; ceux-là se trompent eux-mêmes, en se confiant dans l'aumône qu'ils croient faire. 2". EXHORTATIOKS. 5 1. Prends bien garde, mon cher ami, parce que tu as la confiance et la conviction que Notre-Seigneur Jésus-Christ,, qui est Dieu et qui a une gloire et une grandeur ineffable, s'est fait notre modèle pour que nous marchions sur ses traces il s'est humilié profondément et au delà de toute expression sans reculer devant une profonde 10 pour nous en preMtM~ forme de r exclue aussi beaucoup d'outrages et pauvreté ni devant les opprobres; il a enduré a été con~M~ comme une ~'e~ à la boud'injures, et, comme il est écrit le ~o~, ainsi il ?i'OM~v r/M' et, comme ~neem est M??~~oxa?devant ce~ il a pas la bouche. C'est dans r/mm~M~n que -s-on~«/emM~ s'est fOM~mm~; aussi enduré la mort avec beaucoup d'outrages pour nous; de sorte que nous i& nos aussi, d'après son ordre, nous devons supporter de bonne grâce, pour 1.Philipp.,n, 7. 2. Is., mt, 7, 8; cf. Actes,\-t)i, fiNSTf(U(:Th).\S.2"DtX-NKUF !XH()!rrATiONS. ~7 'J~E'7-T7i y.S~X TM~ ~tM~ X~tXM:, '~CÀÀ(. <X~.<XpTT,XTM'j!?pt(-/), !.VK, X.Xt B'. TTiÇ~" T'/tpEt T?X.6E~ ~.X ~~T-~ ~.ETX X']6E[<X; MV Tti; xyo~.SW~ X.Kt ~'X.CT~) 'JTYSp'~ '?) <X.!XK~ 6[~ Qx~KTOV. ~MÇ'~ !X'X!X'\0~, TOXK96Xou~' M!; XT~~O~ ~Xp<XXK\E~ XÙTO'J, OtOCO'~OTe" -K-; XXTX~K~y,, M~ ~~7], KXp~M$ T~ ~poOu~.M~ KupLO~'TX~X Y~M~L" ~.eyo~ (XTt~M~, T0!<; X~tXpTKX~ ~OU, TM~ CS, M<; ~YX~K ~:<X T7-~ ~TfA'/jV X.&~ TT~TE~hX; ~6 U.), <TtM'77<X~ TCt776MMCEM(; X~ -X~ u6p6~, TTXCCC ÔLX TO~ '70' T, -JC-Sp- ~.x).0~, TSKUTO~ XKt ~CtCTX~e XU'r6C! <~Tg X.X!. 'X; 8<X'7TX~6~ ~poM~.Mi;, XT~.X~ K')JjX T70~7)~ E~Xt" 7);A<X< M<; TTpO~KTO~ ETTt Ctp~yT)~ ~.7i X~TtÀSy' ~.E'X (~ u6pSMV M9 TOU xai XSp~O~ XXL C'MTTJp~X~ T~ TKi; TXTM~MfK~ XOH XTKpXyM~, X<XL~yx yxo" ~xeou~ '~OY~O~.E't'O~ OTt ~(Ui; ;0t ~K -K~ ~U~7](; COU~ TUt~TEUMV -6~~ OTL' K~M!; TCQ~M~ 6'6M~ X<Xt TOU OsO~i ~OU' X~ OCK~ ~Tice~ X.SH TO X!x9o'\OU ~.7) '~0~ UT~EpEU./OU 0(.UTM~ HX~TM~ X.at.TX T~O~. 'Ecf~ 15. 6cc<. tt. 'jSo. uttMTT: lord. iuv.) UDE. 16. ~ct xa! 7)~ E. liDE. 19. om. UD. -?, anoTTEp~ BI)E (-pe? BË). '2t. B add. I'' 24. E~ TM xa6' S/Tj E. ~H. Trœpax~T) )). x~tt/sYc~ t!DH. :"t. T'ï'ne[wspo?u~'r,; )' )8. Y~Q[JL6- xai St~ XKTK~MU~X.L ~!X.9e~ TM~ TO~ XM~T) '!TpO~E~7)?X~TM~ K.UpM~ A p. ~'XeM~X'' Tt X.K~ P<X- KTt.U.tM~, XK~ OWM- TM~ 9~S~XTrÔ 4'U7'~? §S Tt<; CS THJt.X XKt e'!TC(.Mïj" 17. xsi u~ep 1). t8. a~ap~Mv xa!. 22. om. E. 23. xT~o; 27. stM~av E. –28. om. BE. B'. 1. ?K~Tc-~BJ). 2. M;; ~TK )' :}. t)H om. T-7, 4. om. D. 5. E om. sou 7c. e~at. 6. om. 7. H add. xxt TUCTEUM'y s~~t x~T~t6oMO[' S. Mmra~ D; pecr~E~ aÙTa E. 9. ~Elov E. In. HIH'; on). jj.EY~jj.o( fR ndd. xœi). 11. nitt~ Om. -fap. 12. om. E. 13. xe~ po~j T~t 8: x~ pM~~ T'.V~ D: Y~ai T'K Ti )'\ l' li. 1) (Yhoj~CftE). I) 16. ~))<T9et!; XCt[ p0j[~ Tt i'J. y-z',)o~toct Y6\O~CH elcr~xt~ nD (M(imXT]<E). «ùadtxil~ E). (ytvoliat ).'). MO'XX~ iR. [tè-na0stç BD (~<ntEt (~tv~axat 1'. ~toti~ H (xuToLç ndT~ ))). LS. ~po~ï,oft'<TŒ ~)' li~. i~'Xt'~i' )!D: ).~Y~C!~ )~: OS TS TtjJLKXX[ETtaMETH. xŒTEu~o'j Kuïo~ xa! 'naot~ jiETa '{''J/r,; xett K/. E. propres péchés, si n'importe qui, à bon droit ou à tort, nous outrage, nous méprise, nous fait tort, nous invective et nous frappe jusqu'à la mort; afin''onime nne brel)is conduite à la boucherie et comme un animal sans parole' que tu ne contredises aucunement, mais plutôt, si tu le peux, mets-toi en 5 prière ou du moins, si tu ne If peux pas, garde un profond silence avec grande humiii[.(' Prends bien garde, en croyant que les injures, les mépris et les humi- A p. is. Mations qui arrivent à cause du Seigneur, sont un grand profit et le salut de ton âme; supporte-les de bon coeur et sans trouble, en te disant « Je mérite io de soun'rir davantage encore à cause de mes péchés; c'est même beaucoup pour moi d'avoir été juge digne de souffrir et d'endurer à cause du Seigneur; peut-être (lue par de nombreuses aniictions et humiliations, j'imiterai, au moins en quelque manière, la passion de mon Dieu. s Chaque fois que tu te souviens de ceux qu! t'ont afHigc, prie pour eux tous du fond de ton âme et en 15 vérité, comme t'ayant procuré un grand gain, et ne pense rien contre personne. Mais si quelqu'un t'honore et te loue, aniige-toi et prie pour être débarrassé de ce fardeau, comme (le toute chose qui comporte tant soit peu 1. Ht'.I~aie,L;n.7. AMMONAS. 460 XXL E~/OU ?X6T7XT()7if<X: SX. TOU Pxp~U~ ~'J~OU, T~ !'i581 TOUTOU. XOH OUTO~ CMM H~Tù~ -?) UTTEOOYT]~~70'~TC.; ~M; AET7TOUW/0:. ~0~ TOU OEOU SXTe~ùJf; Aso'J ~pxy~K.- KTTO X.Xt ~~7]~ XOfL !Z1t0GOU <TOU Ta -.QtCCÙTa2 TOE O~TL' ~.STK MK a(X~X~tO~ V7.ç"toç 'Ii'Je~~çL Vc(([Jt.KXpU~ TO~KUTM~, ~oy~O~.E~Ot; o)'ov.evoç O't'L' 6~~ i!.IXL EtV.t [J,e't"aOf.iQE~O! lorxXPUV'~1 K-!?6 XtXt T7~TOTS KTOe~' X.K.L M TM~OTSpO~ M~' T'/fpSt CECCUTOV' fXXp~Mg, MC77Ep ~.6Y<X~~ O'~TM~ K~M~ XKt TO Qe~St~ ~0~<X! TO~ E~M Tt 6'Tt X.6H IMtTK~ ~07]CKt X6{TMp9M<I~~ x!cy06t' ~9pM1TO~ Tt~ 6: {/) TCOUSC~ MK OUTM" YpE~MC" S'7:X~OU<; ~KpK OT~" OCpST' XM~ 7;~O~V S~Qu~KX~ C6KUTO~ T/:pM~ K~9pM'77M' eTSpO'J 0~ 22. 21..lu<rmTtEt To~ 6~6'; B. 20. i[Ep~m~Tot HD. B. 23. Tou StKg~.o' TK TO~UTCt KTtKi~ (A <rjjnxp-j'v8~CH) CM TOt;KjiOfpTtcf;i<.0-J,XXt nx'<TOTeTOT; TKTt~MMTEpOt; TpO~O~ 27. om. D, 28. om. D. 2~. D add. 26. m~xrn; BD. TMO~' [J<.7;OUC7)Ç'~ 'X.V~X7)$, Tt'" -?) S~6{~:?TOV SV TO~ X'J<[)K~d~.S~O~~ M KKL TÔ XKTS:- TMO;. TM~XTO~, ~j)6~ SX'J- ~Oy~ecQK~ ?) XK~ tc0~ T~O;, 6! ~U~C X<XL~)~0~0- 0~<Xp~~ XOH TÔ CiXp~[X7]V ~Mg e~K~tITOU'~ OUC'/)(; ~pStO!< TO~E, 5 )(.M.LX~.M~- XiXt Of.TfM~EKXV1"~ ~KCX~ XX~~MV" X9CL X~KC~Kt OUC7)Ç ~pEtK~ Qx~XTO~ XML p~U~~ p.KTTi'r~ '}] TK/.X(; 6pEU~K <XXp:6'M$ K~'jTTO~O'/fïM~, M<; C~E- (70)J SK!M~'°. T~~ COU X<X~ XO~KC~ ~YMyOtC~' M(; WX~TO~ SC~OtTMTEpO; T'XUTK yKp jJLeYK~K ~p~Y) ~X, 21 T<X~EM(D~ XX~' XM~. VEX.pM9e~<; TM XOC[JLM TQUTM, XOt~* OM K'!to9o!M~ ~XV", K~ O'E'XUTOV~~9'X.&C~" 0!.UTo7ç E~KY<XYE~ r'. XXt TK~ TOU~ TX'n-EMOTSpOU!; Tp07:OU$, OU<7-/j~ SU: ~KpU S'\T~'7TOK;, 15 r/K jiKXpu~-0onm <rou x<ït K~oppi~);) T~ 24. Sït ct~o~ Et)~ xa: Tt/.Etova ~KOe~ 25. C~KYEBD; ~XYet'/ E. X~ CtYM~Ot; D. 3n. E om. T<xuTKY~P-' xct: TtK'~u)~ Bou).o;. Sic DE; om. nU. n. ~T~t; ï!. 5. J!D a<)d. Ts).E:m;; H 3. o{i!M; BD. K. 7. DE. S. So~ XE~oEo~ /.OY!(;N(t6o!t BDE. 'J. OTt atM~O~TOUTE).E[m;(TatXKtpSE).~<M!)ctt. 12. ~KTOU BD; XK't ~6pM'!Ci'<7,t 10. n Om. XKTMpt).(Xp., OTt. -11. XCt).).ioVDE. S:jti Tt, OT[ XKTOpOMMD. 14. ~Mp'~ E. 15. n add. )f.. A om. xo: 13. xct~ B; D (x~ E). ~yK. SM; ).Etrrou E. 'So~ D 18. {ccjTM D E). 19. E ndd. &x-jTo~. 17. ouTMt (om. (BDE add.). (om. E). &'i'ctT9~sTEpou. 1. TMUTo~BD. r'. et puissance. qu'il éloigne gloire pour les et sans et monde, Tout de cela, sans cesse toutes les choses comme comme effet, si tu sera si étais un du toi le grand allais dernier profit mourir de pour et tous ton âmf ton en avec et pensant les application comportes-y tu df fond analogues, avec toujours humbles, plus regret, en toi D!eu Recherche les occupations lité Prie et infirme. indigne 2. axptg. &; ~Ya E. manières componction si tu et le étais déjà plus grand en vérité, que tu d'être et mort es et humià ce 5 pécheur. âme. comme s'il s'a3. Prends bien garde d'avoir en haine et en horreur gissait d'une mort redoutable, de la perte de ton âme et de la punition étertout désir du pouvoir et de la gloire, et de vouloir des honneurs, in nelle des distinctions et des louanges parmi les hommes, et de penser que tu es tel ou quelque chose et que tu es vertueux ou que tu es plus beau (lu'un l'égal d'un tel, et de penser à tout désir honteux et à tout plaisir charnel, si petit soit-il, et d'observer un homme sans besoin, et de toucher un autre corps sans nécessité, et de dire à quelqu'un « où est cela ))sans besoin, ou de man- 15 afin qu'en te ger si peu que ce soit lorsqu'il n'en est pas besoin. (Tu le feras), gardant et en te fortifiant dans les moindres choses, tu ne tombes pas plus ~159: V. '~7i E~ETT~, ~.Ï~S A'. K'\7)~E''6t; SX.XO'T7)~ Xp6T7; M~ pOtXO~ S'\E'/]6M TMSX X.!X~OTt, OsOU, Rcn OU-VM~ S~M~ T~ 2~. COU M(; X~9h)~ T7K'WX XKL OTO~ M(; XO'7p~V XCtt M0(. O'~M: mSL Xp~TJ~Kt'" ~6T' ~U~i~ ~0<X~" ~p0!; S~M [Jt.ET<XTOU 6~SO< SXTE~Mf; S~L Y~ Et j~Yt e).E6t. XV<XX.U~t, ~K E'\SEt 7:O~M X~ XKL ~.<XX.p6(~ MTK (XtM~LOU XO~XCEM<; U.X~O~ SU.OU OU ~U~K~ett ~KVTM'V TSKU~O~ 7C<X~TOTe ~TTO ~~<; S~$ ~S~~OUCKV'" X!Xt TeTXTJSt~M~.MT! TQf (')e6~ MOU~.Ot.Ct'* XK~ XXT<X- X.C(~ fIITOdOV X.<X: YT~ '7TpO(;C'JYXp~O-tV XptCT~WU, t"~ X.C(t SX.~7]T' TpO~O~ SCyXTMTEOOV XX'. K~.KpTM~OTSpO~ K'LT~OC S~t. 'X<peT~ ~7)p7]~ X<X~ C~O~OÇ, TTO~M"' T"?)~ yx? E~.t XK~ ?(?' Xod A [). 19. ~pLTL 'Ex~ XTL~<X< X<x9' -~Sp<X~ TS WpOO~OX.M'~ ~MpQMCT~TK.t ?VX O~TM<; <XKï9x~) CEMUTOU XO'!TtX'7K~TO< COU T7)~ ~U~T~, T7] ~UTT~ X!X~ TM 21. exnEtpM9st; 22. juxpMv exns<7E~ DE. <m'jT6'<UD. 2. u)n. BI)E.3. a~. M'j ~eyœ xepSo; xai TMr/;p!œ~ 'J~<' (E add. 4. um. E. n. 1) add. TMV. 6. ex~TE~ BDE. 7. (nm'jMi;~ BDE. E. –1. UUË. K~KOTtS~ OURX~M~ KTroXX~Yi~.E't'T).; T7KCX '/j ~tX.<XM'7U~7) p.OU.XCH ~O'J~TKt'' XXt '!TC~C- pctT'.ÀS~ CSfX'jTC~ 77<X~T6!; Xp~TKX~O'~ YKp TO~ 6x\'X.TO~, U7:SC TM~ [~X XX~* Ot!XVO'~<X XK~. ÀOYM XKL SayM, X.Xt ()0'~0~, 461 X.KL~.7; ~KT<X~)pO'~(t)\'TM~ UHXRM~XKTK jJLt.X.~6~~507)~ ~6(. T'/)~~ X.Xt'' ~'jy' XKL E'JTe)~ ~XfTMV ST~XTO~ XXt ~STX KX.O~(i)~. <7'!70U~X~ ?TXCSL TX7:E~O~; 2" DIX-NEUF KXHORTATIONS. EX7?E'.3X'78Y.: CEKUTO~' Ty,06t ~XC-< ~'J~Xt/.Et 10 0'\('~ X.X!. 'yM-77;C~~ 'T- .J INSTRUCTIONS. x<x'i)Mfr. a).~9M 8. om. U. 9. s-.oùjia~ DE. 10. sx-jTo~ D. 11. BD add. M<. 12. om. BD. 13. e; D. 14. pxxxo~ BDE. t;i. e).SM (0!U. T:o/) I!I). 1H. ÙTto 17. po'j).T)9~ B. 18. Pou).~ StXŒiM6~Ctt E. 19. ~K e~Y]; T. 'I'. )!D.–20 !va o<iïM(;E~st; T. TETNTt. xa'i ne~. ).OYt!;0)JLE~o< Sït xa9' 'fjp.epoM xp'xrBoxM jjtO-j (e,/Et; i)) 7tE';9o~<yœ~ To'< 6. xod et~tt~ e(LT('jT6'<p/6KM T'~ <Mm~:o'jxo).aTEM,' xa~ pox E. 2). H add. xet't aSm~rtm~ 22. Tro~oE D. 23. Tï.jTbv xomaoo~TCt UDE. gravement, que, du moins, tu tie sois pas tenté et que tu ne tombes pas peu à peu en méprisant les petites choses. 4. Prends bien garde de demander en vérité le pardon de tes péchés, de chercher de toute manière le salut de ton âme et le royaume des cieux, et de 5 t'efforcer de toute ta force, par la pensée, par la parole et par les œuvres, par le vêtement et la tenue, de t'humilier et de t'avilir comme du fumier, de la terre et de la cendre, comme le dernier de tous et le serviteur de tous, de te regarder toujours, du fond du cœur et en vérité, comme le dernier et le plus pécheur des chrétiens, bien éloigné de toute vertu, et (dis-toi) K En compa10 raison d'un chrétien. je ne suis que terre et cendre et comme /)a<7~?t~'M~e Ap. 19. 0 ses ~s et ce n'est que par une grande faveur et par grâce que /t/f je puis trouver miséricorde devant Dieu, lorsque je suis plus digne de la punition éternelle que de la vie. Car, s'il veut entrer en jugement avec moi, je ne puis avoir gain de cause, vu que je suis plein d'abjection. « Tandis que tu tiens 15 ainsi ton âme dans le deuil et dans l'humiliation et que tu attends la mort chaque jour, crie sans relâche vers Dieu, afin qu'avec grande miséricorde il corrige ton âme et te prenne en pitié, pour que tu te sentes accablé sous le Is., ).x)v, ti. <:t'u/);'a. p. 'f.').'<. AMMONAS. 462 *2:~ Xx). M~ ys~, (ITS~y~M, U.V)~E7r&TE L~.<XpU~ec()xL' t~ X-Xt SLC TT~Qo~ -y, ~KpX XKT/<?S~X~, [~ETKTTpEOTiTKL~ ~.syM~OT~ E'. TEKUTOf~ T'/fp6~ XKt~ XKt TTO~O! ?) T/~ 302 eM? (~ j7.0~, X.0!.t T~ -66E'\Y)U.<X MY<X~OU" 2~. TT~TOTS TCX~TOTS T7)\LX~T7)~ TM~ pUo9~~<Xt ~Kx-~OM, T-~ Tusuc-~g TTO'X~ TOU U~M OSOU, TM~ XKt BDE. 27. xopEÙc-j U!)E. E'. da-jTo~ ~<X KXRt~M~, O~MUeVOU! M~ ~M7JÇ, ~OKXÇ TCOO? TO H r. ~K XK~ XOtWU.EWU~ K~X' XKt i. 0 7:K~TfjTe TC~TOTE TOU Y~ft): TXuOpM~X~.)~ H; 1 TTOpSUV, S~Y)c9'/jS~M~'XTM~ <{)U~[JLOU MM.CtOTM~OTEpO~ ?K~ .[160] 6X6~ HOWU~ K~KpTtM~ TY~ CSXUTO~ S~C~ ~~6oUCK~ ~X. CL~X~ X<Xt X'X~ M< :M\XTEM!; X'~TM~ SX6~M~ moëepNV ~po'\x6e~ XOH~ DD (-pE). {).CtpEUE<r9<M om. o'n. 38. Sic E. ABD MV. Â. XXL TN~X, 26. :"). XK~ OC-~ 0(~ [tETnTpKKT) B: simm~ttou xx~ XOH Sx(7]-Et"' <T<.)~KTO~, E; e~sY~ XOH TOUC SX~ <X'tTt.O~ SCTt XX:?~ M<; 'Y) 6~ ~U~X~ E; jiET<X<TTpK:f.E[ D; x~xM~ 6 CTS~K~'JU- [/.X~0~ Tre~Qo~, Xet'r7]<[)6HX~ ~.S~TOt~TO 25. M~ ~~x~6~To~ XKt X<Xt" ~OY~O~S~OÇ XO~.X16M~, XxL SC~OLTM-EpO~ CXOTO~ TO K~M~~O~ ~TSu6~ XKL ~eY<X~M~ -6 ~pKTTtKWU T6T<X'!7e~M~7)f EXEt CXUTO~ ~7)C X~XTOUÇ COU, ~Et~ TM~ sxe7w CKuQpM~OTTt-fOt XKt X<X~ t-6 U.Tj ~<X~Y,i:, S~WTjC~, T7<X~TO~ {/.STX- X~oSx~M~ -o~ X.Xt ~ctu9- TEKUTM, KUTO~ Il lo X.<XTrx KTtK'JTTM(; X~SUtTM~ [teTa~TpETtETCH U. B. ~x~iotE X. E 2. i'~K o{iTM; e~t< E. BD. xKt &~û[pT. xot't <!<; <x'/K~o; Mv xm tStMit); 't"O 10 IX¡W'ItO'I, 'tÕ xlXl ).E~To!i ).E1t't"OV TMTOTe 1tciv'to'tE a!M-~0' X< 't¿¡; T~ XC(t "IX! TO 't"o Y.IX&'o).o'J XK6* O~O-J ~M; ËII>; TMO; 'mo; &6o:).;J.OU o:¡;OÛ.¡.r.où E)(Et'< /iXEL'I TO Jt~p ¡t::ip ~T] fl-i¡ ).IX).ETv, ).a).E~, ~p0 1tpO aLYwv <TtY&V T?); MM~ioUt XO).KTE~, XKt TOÙ; EXET XpMOjJ.EVO~ XfX't oS-J~O~~OU;, xat M; TMV ~XE~ TEa-jTOV ).OY~OJ t<.K/0~ !a 6 6eo< xpteijwM ~ET' e[<.ou o~ Btj~a~t Yep e!~t aTt~tK<. Voir oM<xxujj~<M, ~pvx M~ ).EYm~ Sït pou~Set à la fin du chapitre. 4. BD add. ~') ~°' suite (~ s~<n)). 9. ii ndd. <tÏT~v. in. Sic i' 7. Mupo;j.Ewu; A. 8. om. BD. !'m ~) xoLTKwS~ To. ex~ (D Sic om. BD. l't. exEtw~ B. 1. 1). BD. 12. om. BD. -13. on). sx~T~ BD; AB. 11. &; A. 17. EpY~MOM BD. 18. D. deuil et les gémissements, au point de ne jamais te réjouir et rire, mais que ton rire soit toujours changé en douleur et ta joie en tristesse.; marche toua c~Mue~e~c ~~<crM'.s jours avec un air sombre en te disant mon <7m<? 5. Prends bien garde de te regarder comme le dernier et le plus pécheur des chrétiens; et de tenir toujours ton âme dans la douleur, l'humiliation et 5 de te taire toujours et de ne pas parler; d'avoir présents à les gémissements l'esprit l'obscurité éternelle et ceux qui y sont punis et tourmentés, en te jugeant plutôt digne d'être l'un de ceux-là que de la vie, comme si tu méritais une telle punition. Dès ici-bas, tant que c'est le moment de la pénitence, pour éviter ces redoutables et grandes punitions, comme si tu étais 10 déjà mort et si tu te trouvais par la pensée en cet endroit, hâte-toi de saisir avec les pleurs et tout ce grand chagrin et cette B f. 302 cette douleur continuelle tristesse; procure-toi, dans l'ordre de la volonté de Dieu, des fatigues et des travaux de l'âme et du corps, accomplis-les sans te lasser à cause de tes péchés, pour tenir ton corps sans interruption, autant que tu le peux, dans i:, les travaux manuels, les jeûnes et les autres nombreuses humiliations selon 1.Cf.Ps. xxxvn.R. V. [10 jr').7ipM~ ~X~TOTE À, U.~STÏ,; AS'.TTTM!: T'J~X~ -r'. TM XX' TM TM 'j~Ep Z'. ):h Sic e~['<. r~dacUon !): 22. H, om. oni. XTToQx~O~T: 7'M~ à la suite ~o. H 23. u!K. D. de X.~ 'TrxVTOTS, XU"OU (t. de T'~ ~6 7HOX~ !~X KupLO~ XKL7)~.e! XK~ SH~KAS~ XXt TtO~T)- ).Oy.C'~OU~ To2 K-jp~'j add. 25. B 3 XXL C~TLS~MSX TO'J E~~M~ A p. 20. '~X'~TO* ŒO~OU X~. Tf) /.sYT~- MTM (D xed. 26. Kom-. M; T7]).txauT~ X~'ÀK SKUTO?~~N~.S~ XK~ '77KTT6UM~, K-JO~X~MV ~STX <XTfs9K~E UTTEp '~MV [/)XETt T76(3SCT:7',KM~ ~Ou).0.: 'M~~ M~ ~6tp:M~ TU~E~St" MC~Ep )a. note 0 eYSpQ~Tt.' Mît) To ~(0~ 2~. om. B. la nation OTt '~K(;, 'SVM~ ~K, XX.p'.6ù: A. B. S' 6~M'!7'.T~ M~ ?EXUTO~' T'~pSt OXHJLO~Xt ~MTEUMV, Ct.UTO'J '<]YOpX<I!~ X'JTO~ XX~ TOUTOU, TO'J; S'jp!~ M.; KXpt.~M~ K'~7.X-t T(~~CO~X').~M~ X.O?~.TJ H'/i CO'J. (TSKUTO~' r'pEt K.UOLM, TO'J T70~(L~ XKp~tX e~'7E'' 10 463 !py0:: ~OU.: SV T~ X.Xt 2" DtX-NKUF RXHO~TADOXS. ~XL ~TjTTS~X~ X.XL X'X'.<; X.XTK (')e6~ -~0'X~ /M~ TXTt~-i/MCSCt., "fi'" 2 ,l, TO <( « SCT~" TTXV-M~ :'CyX-0; X.Kt '!7X~TM~ ~0'J'\0~ "À » ))' T'y,~ 06 ~U/i~ OTT. TO! ~U~X~ .u.. p p 23 XKt S~ T'f, H.E'\E'y-(, À, TM~ r ,À' X.K~ XXT' XOtX~St'!7TM~ T~ FpX~MV 0'YO'~ ~XTT7]~.<X. y l' Û. <)', e X. CTS~X~L~ O'tXWKXV~ EXTS~M~, O'~TM~ S~K!. XXTK~' T'~ M<; M~LXEU~SG~Kt !pYX,0;7.S~O~ 5 );\ST)U'(;T)().\S. TpO~.OU X~ Mïm). D. Voici la oS'~ xo).a<rEM; &'< K?no;' ~0'X' 21. B fin K~TE~9sv add. de la EM; ETTt'/ jj.2Ta';oh; ïm'; ~Ya).m'/ x&t ~o6EpS'/ EXE~M~ xo~asEm'v, M; ~3?) aTto9a~M'< xed M~ xx~o; Ttpf)! Tfj p'jo6'<K'. SXE? M'< T~ Sta'/OiK TrpO~KgE?~ OBei'~E~ EXS~O Tfj CfBtCtAEtnTO~ n~6o< XCtt TO'; X/&OjJLf;V(SiC) XKi T7JV TtOAÀTj~K'JTN(; SXUf)pM!t6r<;TX X~~ XXTTJ~EiK~' XXI SX~T~V OEK'TO'< XXrK TO 9s/.t)(t.X TOU 9EOU TTO~OU; XCH XK~NTO' ~°" 'X~< X'~loi'; aBt~.smïM~ SM[i(!TO;. XTf'~ aSm~e~TM, epY~~<:6'ï[ UTISp TM~ KjJ.CfpTtMVOO'J' TM [LE'/ dMj~CtTt' ~(TEt S~Ct~t; e~ ~pyot; ~Hpo~ xx'! ~7i'7mcn; xxt m).). 'no).).a~ xŒTcf 9so~ Tœ~E[';M<TE<nv, M; ethjOM; K).~9eM 7c)'~pM'~ TO 7TCX~Tfù'/l'tT~fXTO~X~'L n~Tf')~ ~0~),0~. epY~6}i!o~ OE ~~X~~ '~Sp TOU p.sya).0~ XXt KxœTCt~ŒUCTO'J X/.sO[JLO~ XKt ppuyp.0~ TMV 6S6'<TM' T~ XOH E/E~ C(YM'< ~Œ~Tà'; ~<T7) COt Eu';C([t.t; E'< 'C~] tIS/iT'i) nK~TOTE xmt tÏOtŒ~EmTN~ TM~ YpK~M~' xa~ XOf'C' O~tyO~ StKSTT'jJ.a T)]; p.&AET~~ cn~K~St'V X~ TCpOCE'J~&~QottEXTE~M~' ~<x OUTM~ 'CT] StCt'/OtfX 7:(XVTOTE' Mt; CEO~<X~S[~TM~ (TU'/tX~t~ TtOtfD~~ X&'i eûps~ T'. to'j; 1. Sœo'«x~ ~Mpct~ E~6œ [j/.x~epoù~ ~oyt<![tou; TX~TOV BD. 2. OnL E. K'~TTT; B. I*- s!; T7;'< xap~:K'/ XK'~ OÙ ji'<]XSTt OEK~TO~ ~< E. 5. e~Ot xx'L o'n xxpeTT~ TY)'/ x~pStaf ~mmo~ <iou ~a~toiE' H. B add. 7. E: TtavroTS, xo~ <Txo~SM'< T,S)']. zl ~aVIOTE T(U Tpd?:tp TO'JTM XCf. TY) OU~~t5~[aE~ fXTI~Qfï~f~~X~ XUTO'~[JLEVOV XK~. TrKpEGT~Xcb~~MTOTE i' L~ Z'. 1. SCt~T' f). '70' Il. t'K E~).9M~ EX TT~ x6?{J.OU TOUTOU, XCM M!; e'VM~OV 2. !:0(~TOT; )~. et le .s'eru~eMrde ~0!<~ Dieu; accomplissant le mot V/ ~< /c dernier de et (pour tf'nir) ton âme toujours et sans cesse dans la méditation des Écritures t't, après un petit intervalle de méditation, il gémir et à prier longuement, et à être dans la mt.me disposition d'esprit que si tu assistais constam.5 ment au saint Sacrifice, pour que les démons ne trouvent pas l'occasion de jeter des pensées mauvaises dans ton cœur. 6. Prends bien g'ardo, dans la conviction que Notre-Seigneur est mort est ressuscité et nous a rachetés par son sang, afin que nous ne pour nous, vivions aucunement pour nous, mais pour le Seigneur qui est mort et ressus10 cité pour nous; et encore dans la confiance et la persuasion que tu es toujours devant ses yeux, en mourant par la pensée, et en sortant de ce monde comme si tu restais devant lui et y demeurais toujours. 7. Prends bien garde, afin que, de même qu'un serviteur accompagne son 1.Marc,x, Vt. Ap. 20. AMMONAS. 464 MXO~OUQS~ T'XfKMhXTBM~ M~ 'J'!U<XX.OU6M TM T~0$°, ~ETK TOOU.OU XX'~ X'X.tTtO~?ic CtOCV ~[K T'~oe~ E~(Xt OiK'f~OTS 6~ X<Xt yx~OUg xod 6~HJ;EK; Oi(p' ~UTOU add. 12. B om. xai 9. xa! napET:');x<o; mxo~oMBB~ a'JTOU- (teA~KTt TOU E:t!![t Tôt TMTOTE S-~Kim; xat Tot~EMMMM! )tT]Ss 5).Mt H'. E~MV 1. i. 4. ~ct EhE BD &< om. 1S. exetv TtO~TOTE' <7Ea'JTO~ TmSL (D TM ouTM< Ttftp~CHat am. om. e!; O~v. ONaXU'i~ ce ettE DD. 5. p.. E. 6~ KOH XXt <p66o'J X.CH X9H 6'V- XKTX- 'n'<XC'<~ 5 6'!7KTT7){/)~ [/.7)ÔO~S"' T?Xpp7)- XM ~M~" TOt, eH S~' TO'J 6~TE ÔXVKTO~~ TrxVTOTE M~ XXL Tr~TOTS ~<XpE<7T7)XM<; ~TS ~M' ~~TSM$, D. Voici TOU eEOUoi.'ito xctt atS~; Bt& xen Bs. ms. <j)66o'J 6~ XXt 10 ~.S- T7pOC~OXM~ ~Syx~K(; (pO~EpXi; ).oY~p.M~ E'ntoTTi~7); XK[ Tpd~O-J ~0~?]?~, xm! ~~o/.).i]~ xen (in Xa't Tp0[t0'j our' (i6~o; (j)~gou add. )iETOt 6~Ct! T~O; 41. m~T. 8. <7E B. om. BD. 1!). marg.) ~ou. tt6).).7j; TfntEMMCrEM; BD R Eirs xGt6<), 7. ~o. om; B XK[ x~o-j~o; ~TK BD 14. du p.STa e~E TO!~ &etpT!c(< 2. 5. add. xat OT7)XT](;, 10. rédaction Bou).0;. <!); KUToO, e~-r'; B D. IpOKO- BD. ~-jx'i< la 6. HD. 13. m.). chapitre. Ei~ XKt Tt'~ xct! otOMOM' xcH jcpm<j'n]TO; SLTE 6K~MTO~. x'jpt<j) xm9KM-jE~ X. M[OOU~ X.xl [/.S~M~ E~TS ~pOCSp~O~OU~ ~Mmo~ Ttp~et e~ ~~060~ X<xL TE' STO~OÇ ~.6~0~ ~6T6C pU~XpM~ T7pXOT"y)TQ~ (XUTOU~ T7po6u~KX<; EMCtt nu xai 0EOU" ~U~V ~.OYM~.ÛV CXOTfe~O~TOÇ Se~-MfT~, ~M~TOt Tp6(to-j m~; TaK. TtoU~ Z'. E. jtETa TM <po6ep6't' Ï~C( OUTMt ~t. TtKpKrrKttEMK. on), xtt! o<n) A. XXL ~tu~OV M~ ~0~~$ XcH XTTO ~TE XxOT), TOU XX~ CM~.X ~KXWM TOU MM~M~ <X~' .XUTOÛ' <X~<XXud'Kt. TKtpKC~OU!; P<XC~OU(; T'~ ~TE TT'~X.j!; M~ TTX~TOTS MN~tO~ KUTOU ~STM <po6EpOUÇ ~TS CU, XTU' X~OU~.BW~ ~<X~TOT: ~K KXOt€a~ U~iXXO~EM [A'/i T'X.7eMO(j)pOCUV/)~ COU CM[.UTO~ E~X~ X'x9~3SUS ~T<XGO 0~<XpTMC<; XXt ~U~Tj~ Su~Km; ')T<XC7)~ U.ETK TtX~ ETO~U.M!; B C<~ 'r<XT!:EMMGEM(; H' 3. ~6~' TOU X~. CMtJt.KT6 6<77) TpOU.O~ OUTM (Ï'JTOU, SKUTOV XK~ &UTOU, Rup~M (ts~KTt pu9~$" U-sy~OU, Y~MCSM;, TM !162] ot~TO~ a).).' ~TE )tETK XKt {f-EY~OU KM<n); &'< ï~o;, Tpotto' TM[).KTO; xaTaY~MTEM;, <!); TtM~<, ETOt~o; ïou CEou Tt6t~TOTS ùmaxoue~ xett XK: TM <~<rjT~ XK; ~UXT];, itETa Txo~Euo'/TO; ttastr~ (TE, xat CO-J. 'lvlX <&; Èvwmov !~K w; EVM~tov TroMTOTE ~p6~ 't"o: TOU Soxct~ O¡¡OÜ E. SeoC E. (JLEYK).o-j< E. 3, 3. 1tciv't'o'tE, tcavMTE, 6. om. Ú1tIXXO';¡¡LV Ktjiou &!taxouE~ IXÙ'tOÜ Tm OÙ. 't"e!' f)e).. E. maître avec crainte et tremblement et avec beaucoup d'humilité sans s'éloigner de lui, mais en étant (toujours) prêt à écouter sa volonté, toi aussi, que tu sois assis ou debout, que tu sois seul ou avec quelqu'un, tu t'arranges pour être le toujours comme devant Dieu, avec crainte et grand tremblement, pour ton âme dans la crainte corps et pour l'âme, afin de tenir toujours ton corps et et la frayeur. Autant que tu le peux, que ton intelligence soit purinée des de celui qui te pensées malpropres et de tout reproche; tiens-toi, en présence de respect, de tact, et avec regarde, avec beaucoup d'humilité, de douceur, en haut, à cause de tes grande humiliation, sans oser aucunement regarder 5 10 péchés. et si tu étais en la comme si tu demeurais 8. Prends bien garde, toujours la à obéir à sa soit d'être volonté, vie, soit pour pour prêt présence (de Dieu), la mort, soit pour une afniction quelconque, avec beaucoup de bonne volonté et de foi, comme si tu t'attendais toujours à ce qu'il t'arrive de grandes et redoutables tentations, et même do grandes et redoutables afflictions et i~ tortures et une mort effrayante. V. [l(;s (' · SLTe SX~ TOU (")E')U l'. OXM'/iTX~ T'/fpet EL'TS o!oW/i'!7QTe~ ÂO~OV O~TM; TTOtS~, 10 M~ EtTS~ TOUTO ~N~M~ (j~').i~.X') TTO~Y' (X'JTOU SÏTS~ 465 ~M7] ~OX'X<77)(; TOU OeoC, ÀÀ" fX~K XfX~XUC~, S~/ Epyx~TQfX' TO XKt 9~~ (Xt&JVLO~ E<7T~ OsQU S'LTE~ VO. 4 T- ~)~ T~EtM! TO'~ TT~~ ~X T70~<T6H, ~776'. ?~ ~M'n'M~ Mf; 0<XY~ ~E'Xe~ TO ~TO~T) ïvx, XXRtëS;, X~X' TT~YM.X XX'~ sPYo:S xx: Sp~O~ 1OK)H~ 7: yxp S~M~ CEXUTO~' KUTOU T7pXTTT~, XKL KXC~M~ SpSU~ 3 3 ~.7) ~T- TO'1) XxOoÀO'J ~O~X~, 6x~'XTC~ 5 2" DIX-NEUF EXHORTATIONS. TEtXUTO~ E't'TE ~K, E'L-7~§' &V?U;~ COtT~pxy~X 1-~OEt KX3~M(;, MYtdELTc Sp~M~ B f. 302 XXTX ~~7]~X INSTRUCTIONS. &)V ~X~TOTE, XO~j~Ti~K! Et TtOM-O~ ~K t/)~e~ ~TE Y~MTtV. ~XpCt6x~6:f X.XTX O'~TùJ; 6~ KVSU ~XC[ ('~60~ TO~ XXt eof!, <IOU ~OYO~ XXt StX TOUTOU xy'tatz TOÛTGU CYSfH~ XXL WOQCS~OtX~ 1tO"¡¡Vcx~ctv T70~ CY'~f; xxs B f. f. 30:J 3033 1tpOGeopL7. GX'1~TTRO~ 1tpO~ B e~O~.O~dY7;T~ X'J-0~ IA'. T-?St ~O~CX~ ~f)~ <-)'. (n]-/ 1. ~ï'j~ )}!). 5. TS'XUTÔ~' ~S~O~XX~E~ ED. ~oS~ M~ 'XXp~(L;, )), 2. ~M BD. 6. ~X 6~M(; S:' -[ E!ïE ).oYM BE. B add. xai. SpYa';ST9<M ~O'/TOtS, M~ XOit 9M<)/t'< BOtt~. E. 1. (rœuTb'/ BD. 2. T]TOt D. OTt (( ~OU~Ot YEYpXITTK~ OM Tror/i!; TO~ 3. ~TEt BD (i~T~ 7. ctxpt~M; xm 8. ?!t!TKt 3. mfpKget). X.XTX ~uper 10~ X/paO'; (')60V ~pYO~ rasuram Te~M~ Kote! à EC~, E). x& U. 0<pEt- MÇ 6~ 4. 0~. Mt6u{<.e~ T~~ xfti ~<M B. D. 4. om. D. .'). A um. ourm; -7]o!o~5~oTe r-~ E~; Voici le texte de E ~pocE~xv mpoc BM-y B. TYJpEt seCt'jTO~ X/.pt6M<, i'C< E~MTHOV T05 9~0U ~S~N~ XfXt JTapSCTT~XM; ~KVTOtE, TOC (t7)E6'< Œ~S'J Y~M~; aÙTO') KpKTT~ sm; ).E'!tTou Tt~o; e:Tt o' m'; Se).?;; xo[7i<TKt, e!TE ERyo~ Ti ~OTe ~o~TCtt. ttap<x6a).e?'< TMt, e~E TL ttOTE, 6~6 ~tE?'/ E:TE X0t)17]e!)~0t[. s!T6 o!o-<S;r)!tOTE ~pŒYP.X 6e/t; (pTy~ <t0~<yœt, ~t OOXt(iNO"r,; ttpmTOV }) XKTK OEO'/ ~TM, XKt OUTMC ~0~0).OY~<~9œt TÏj~ K!Tt<XVO'J M~jK KOt)]CrCH, xai OUTMC /.OtKMV KOtE~ M, KpE!fE[ ~~M~:o\< ïou Oeou, ~a ourM; n&~t ro!; Aoyot; Tou xa~ To!< ~pyot;, B!SM; s~o}H)~oY7]<ytv TM 6sM, ~a Bm Touro-j -~x, y~TCH tA' faute d't!omoiotp)entie (BD add.). 6. TTO/.).)]V<Ef7~ xat tTpOfrESpEt'KV6/E[~ TIpO; TCM6EO~. 1. <ra-jTo-; B. 2. D add. oït. 3. ~ote! D. 9 (cf. )4). Prends bien garde, afin qu'en toute chose qui t'arrivera, soit en parole, soit en action, soit en pensée, tu ne cherches aucunement ta volonté ni ton repos, mais que tu recherches avec soin la volonté de Dieu et que tu désires l'accomplir entièrement, quand bien même elle te paraîtrait s entraîner l'anliction et la mort; car son <'o?MM!n~emc~est la vie e~o'~e~e 10 (cf. 15). Prends bien garde, comme si tu étais toujours en présence de Dieu, de ne rien faire sans prendre son avis, mais, quelle que soit la chose que tu veux faire, soit manger, soit boire, soit dormir, soit rendre visite à quelqu'un, (prends garde) de rechercher d'abord si c'est selon Dieu; tu agiras 10 ensuite comme on doit le faire en présence de Dieu, afin qu'en le confessant ainsi dans tous tes discours et dans toutes tes actions tu aies, par ce moyen, une grande affection envers lui et une grande assiduité. 11. Prends bien garde, sachant qu'il est écrit A~Mssommesdes serviteurs î'<~p.~ /<~ /f(i'~?M f'e~' Mo; af's' le ~euo!'r~e/f<tre~ afin qu'en tout ce que 15 tu fais dans les œuvres selon Dieu, tu ne le fasses pas comme pour un salaire, ). Jean,.\n, 2. Luc,xvn, !n. B f. 302 "°' a f. 303 466 AMMONAS. ~164] A p. 2). t7.tc()M TTOt'/i~. <X~6C U.ST<X7TX?7): T6t7:S~O<p30<7U~7]~M; 'X~.Y]()(!j, OOU~O$ XYp~O; YpSMCTTj~' XOH Mît XX~ t~$ (TEC(.UTO'< TTX~TOTS T70~.U X~O~O~TtX &V TTOtT); ~7~]~ 7:o)~h)' M~ OOE~S~, X.Kt XK.9' É%aGT'fjV TOU TatÇ M~ TYSOO~ wç EXKCT'/iV 'Sp6~ OtX T' 't"'ljç a~J.E~ELaC, GXeoov %x~' Î~tU.éPaY"pOG't'~(.)'1 TEROTT'.Qù~ GOU T!X~ xU!/PTL7LC, X~.KpTtK~ O:x X~.S~St~ GOU. lt COU. f ~OT~ l'.COÛT: TCOU~ YC(p ° X<X.~OV TM~ E~TOÀfd~ TOU OeOU, X.Kt jJ!.7j TTOMUVTt XJ7.KOHX <XUTMSCT~ », XXt S~ OC<XÙCTcpE~ Tr~TOTS ~'xe~.KL1toX'\M 0'TMX~M XKt XfXL <p~K~9pM~M ~Mc9xt CE ~S? -OU <")EOU SXT~M~ CUV/Mp~GT) COL' TK~ X~.<MTLM; ?OU"' X<Xt K~t~E~Tt').; 5 X6t~ TCO~OT; ~.STX COU ~0~ IB'. T~pEt COt ~.U7F7) ~6f, E6t~~ OM~TTOTS T?pXY~<XTt 6'~&Y)~X.Xt Qu~.O~, CKdTTOtC~ XtXt TO X<x6o\OU t/.T) ~~T,CY)~ T~ K~tet~E~T(? <p6\ CSKUTOV' KXp~M~ TtpOCEUyYj 'Kp'X.'J'~Q'~ TOU Tt X.O(.p§MCX.Kt OUTM 'E<X.~ ~6 YE~TjTK~ GOL TO~ <X~S~<pO~, xai YpSLK S~SY~Kt TK.CTK.CtX, ~'<)~S\' MUTM ~0[~/<T/]! CXUTOVX~XS~O~ ~0~ ~M 'A7: ~MpX ef 6'M~ WpMTOV AOUTO'~ TTKpCf.X.Ot~.SC'~ TO~ <X~6' j~eTT~" ?UV T7i OpY7'i Y~p0\' X<XT'XTT<X<mX.9H ~OKOT'/)Tt" TO 'KRE~O' Y~)T<X[ KÙTO~" T<ïpS(.Y9~, TQT6 ~.0~0~ X~' ~X~CO~, 6?~ 6~ 10 (XX'X~7;<; X6H [JL7] M(; 6' Il. ~et~ D. 5. Tto~e, ~Etc eetUTo~Jj. G.o~ B. 7. oui. B. 8. BEscSm TOU9eouSE? U. U. To'j B (om. D). 10. om. B. 11. B add. wv Te xcd ei(;'r?j~ exET6Eva~oma-jT~. 2. cité est IB' 1. (fauTov alXu't"ovBD, BD. È" BD. par 3. 3, iàv 4. TtSnm atw1t1XD. D. 5.5. col. D. 6. ~apKXK/.sfFEt; EOM6~67); OhLI3~;BD. BD. oü't"w; i.). C. 7tCXplX1<eti.:la¡¡L; B. 7. Le chapitre XII est. cité par Xosime, Migne, P. G., t. LXXVIII. col. 1688. Cette citation avec les variantes figure déjà dans l'édition de JY'rusaiem, p. 21, note 1 = A. Nous la reproduisons de Migne = M et du ms. supp!. grec, n° 38. dn Paris, fol. 2')'t = C T: E'jxo/MTepo~ To'j atotToit KtM ~E~tjTo), TOU &665 'A}l[tM'<S ÀEVO~TO:'Ty,pEL TKtpK(C 7[Ept) &Y[0'J Xa! Tt!iKXTtXo5S[OOt(Txa).OU(M 5t' S e~).6E;, xa: s:p' m capet) !'<K Mv ït; Ts (A on~. Te) ev otMS'~oTE SEKuTb~ &xp[6m; (CM add. (M <j:9sYY~°~')' ~M; 0'~ npaY}<.c[n ~Àt'Tj, <nt<Mto~(M TtM~a~) XKt (CM um. x<xt) To xK9o).o~ <p6EYYETKt To~ T~ &BtCt~emT<j) ttpoTeu~, ~pa{~f)% <rou ?) xftpSia, xa! ouTM (C ouTM;) /.o~o~ (A ou. /ombv) ~~o~pxxK).E~ 9. TKUTovB. K'. Ttpc(ÛTT)T[ BD. 8. ~em); B. &8e~j)d~. mais en toute humilité, comme si tu étais en vérité un serviteur inutile, et Ap. 21.comme si tu étais débiteur de beaucoup (d'argent); quoi que tu fasses, regarde-toi comme bien en dessous de ce tu dois faire f't comme si tu ajoutais à tes péchés presque chaque jour à cause de ta négligence. Car c<M?qui sait /6[M'erc qui est ~'c'~ et ~;f: lie /f /fK'/pas r~H)??i/M/<~~cAe Et pour tout ce que tu 5 omets des commandements de Dieu, il te faut toujours gémir et prier Dieu assidûment et sans interruption, afin qu'avec grande pitié et philanthropie, il te remette tes péchés et fasse miséricorde avec toi. 12. Prends bifn garde de te taire lorsqu'une chose quelconque t'afflige et s'il t'arrive unsujet de douleur ou de colère, et ne (lis rien en sus de ce qui est 10 convenable, jusqu'à ce que ton cœur ait d'ahord été adouci par une prière continuelle, alors seulement tu prieras ton frcrc. Si tu as besoin de réprimander un frère, et si tu vois qu'il est fâché et bouleversé, ne lui dis rien, de crainte qu'avec la colère il ne soit encore plus troublé; mais si tu vois <[uevous êtes, toi et lui, en grande tranquillité et mansuétude, alors parle-lui enfin, lo 1. Jacques,iv, 17. V. ~65] KÀ'~ (L: ÀO'Y~~ E~ ~h)~ A'TT' E~M~LC~ 5 T(UV IF <X'~s6x\'S ?X?[7.E~OC 10 '70~0'~ X'JpLM KUTO' ~X~TOTE TOU @EO~, o).~ XTTx()E'.<X~' Trx'r/]7'OW,, TU OsA7){7.'X ~T~E~TrE X~ EC'J' COU M<X O'~TNÇ" TM OU 6 XK~EOO~ MCKEp TrpXOTKTO~ TO '\K- ~XppM~ XKt ~tOTEUM~ OT; O'~TM; XUTOV TOE~.E" XXt O'~TM.; E'S'/i T7\OUCM~ &~ ~:YX~MC-U~~ K.UOM; '~YOpKGe~ EVMtrM~ XX~OU XML TFXC'KV ~0~ XX~ Kup'jM' '!7K~TOTE XX'~ ~O~XV '~VX L/j M.; U.Yi ?X(.'A7]~. XUTOU 'X'~K-L X~X OU"M~ XKt T7MTE'JMV M~ XXt X~~M-O~~X~EC~ XÀ')~ X.<X~ TM ~Ç, T7~ TE'\E'JM~ TT'\7)pOUV CX~OKX tCX.O~M< TEXU-M K'LïO'J iX~~Y'/ITOV KXt M~ X'JTO\~ ~X~TOTE' M<; 6~N~ 467 X.<X't '!73XOT7]TOC'~ TTX~TOTE 'yM~OU XXt s!, T7)f CT70~ X.KL 6~7)TE, ~y~ETt TM TOU (')s0~ TSXUTO~ T'/fpEt 'M~ TOU CC TÛU. 7-O~.X-O~ 6'TL T~pOC"' Y- UTTXO~M~, TO'j OpyY. 2" DIX-NEUF EXHORTATIONS. {/.ETK T7XC'<]$ TX7TE~O<[)pOTUV7).; 'j'~O~.t~C'X.MV O~QxÀ~G~ E:OM~ 'pObCU, INSTRUCTIONS. EKUTOV'~ tl. E/.EY/M-; Œ'jT~ D. H. um. I). 13. TpTj'n]To; B. M; s!8m.; n. IH. xcn ~oSo'j T~ omE~v œuïo'j, xœt M: sMm; le chap. A;)rt's IB', avant, Il" (l:i), E :t une addition ~.7; 'X.; ~'X. '~X~, XKL K.UTO~ ~O'~O~ XT'~0~ TOU E~EU~EpO~ TW~$ VEXOM~E~ 7] S~TX 14. xKpTspet B. Sït oo'o-< ttpb; I!. ÙICOTKC- SXUTO'J TO~" ?) E~U~XV, TO E3YX~E?9xt 6E\tj!.C<. X~' E~OUC~, 15. xapTepSt 17. M(; 7)YOTr~TX TE'\EtM~ 'M~OV 6E~7)j7.<X E~E TO~ UT~SO XXT6: TE~EM~ X~X~T!p37]TM; (~EO'J ~M~ ETt-~U~.m~ CU MV xcn Tpsjis Y)] B. xa! e~s ~6~0; e!. ELTE JJLET'x/.).m~, (fut. 217') TT)pE[ ceK~To~ Kxp[gM<' [~x !!Ts <Tr~xT, e~TS xcHet. e~e ri mo~T. X'X[ ~KpKTXSUa~Et~ (7E'X'C't'7 TCÏ~TOTe, M; npsXEt TTap~Tet~M E~MJHOV TOU 6EOU, ;!); M~ T[; !CO~).œ xat xett ~.EïK :6go'j x-xt Tp6ji')~ jj.eYœ).ou ~'j~t]; xœt SMjjmTfi;, xen xT(6xpEus~ 'jTtepoyY'x xt~Kpr~ cmb T~ Sm~om TpOttM't'/ p~TTCfpMV /.oYtfïjjtM~ xx! nK<n); XKïaY~MCEM;. xa't )tsi<x Ttœ'y'<;< Tenre~o~poTU~; Œ!8o'j; XK: MTponT];, M; TO~ 960'~ <IXOTtE'JO'<TO.; CE, XK[ jl'f) E~M'/ nKpp7)C[fïv xoit ~paÛT~To;, jJLTjoe a~'X~~ÙCat, xon jj~Ta ~K OUIM; ~OÀ/.o~ [t7;Bs'< '!tK'<TOte 6'< TtpK'JTrjTt XO~ Tjfrj~~ 'Ctt SX" TO'~ ~yS['< TO EÙ6pY7)TO'<XŒ; aTCtpCt~O~ XK~ &9opu6o~, 0)~ 9&OV SnOT~C~~ S~M~ Tc5~ !8Kjt)'~ Xt'VY]U.(XT(jù~. H". 1. (TK'jT~ BD. 2. oTt St' T~a; 6TtTM/6'jTE'< 6 K-jpto; ~).ou<TtO{ M~, xa'[ u~ep E. 3. Sic Bt) (om. A). 4. iauTCo It. 5. âo-1 6. 7rpaù,/ BI). 7. Etyoct Elv<xt BD.BD. 8. B zidd. ~<xuTM BD. Mf) BI). BI). xt~w; add. xat. 9. Toî~ ~pmù'/ -T~vog ~8oM~ot~ àvOot~7rotç ïo~ !Ttap<TEMt E~M; KJrOW!x; ~a6sert ïo~ N'~pMn~ot; D. 10.s/ B!). 11.om.B. 12.eau./.oY.(ord.inv.)D. non en le réprimandant, mais en l'avertissant en toute humilité et douceur, afin de ne dire aucune parole dans la colère de ta bouche. Lutte toujours en étant persuadé et on croyant que tu es devant les yeux de Dieu et en le voyant partout; ainsi redoute-le et crains-le, sachant qu'en comparaison de 5 sa gloire inénarrable et de sa grandeur, tu seras comme si tu n'étais rien, ter re et cendre et putréfaction et ver. 13. Prends bien garde, en croyant que le Seigneur, à cause de nous, lorsqu'il était riche, est mort pour nous, est ressuscité et nous a rachetés par son sang, afin que toi, comme acheté à prix d'argent, tu ne vives plus pour 1" toi, mais pour le Seigneur; sois son serviteur parfait en tout, pour atteindre cntin le calme complet; comme un animal très doux qui se soumet sans résistance à son maître, mais tiens-toi toujours devant Dieu, mort complètetement aux passions humaines et à tout plaisir, sans avoir jamais de désir ou de volonté propre, mais que toute ta volonté et tout ton désir soit toujours de faire la volonté de Dieu, ahndc ne jamais te regarder comme libre ou comme ton propre maitre, mais de te dire « Je suis le serviteur de Dieu et il me 468 *A p. *Bf.303 V 22. AMMONAS. !~C{ ~7)~ OTt ;XXO'Xou6e~' ~EtpKC~ ~EM" Qs!~ ?'~ MM S[!; T'~ T'~pet X<xl T7pKY~.<X, M(; ~X~TOT6, TM~ X~K a:\7)9M; j3<XCt\SM~ Tt[0'TEUM~ S~ T0$ E~ ~M7) XK'. 6'E:? O~Tt' « XUTOO Ù~OTMCCS~Xt XXt TTpOC~OXMV STTEp~ETQx~" COL ~E~~KTt '~EpK~ XM~OU(; Am Wp0(; ~Ey~O'J~ ~oX7.M~ ~Ef Q~~EMV TO ~OtCTM- 7:j7.K; E~E~ 5 » <~$ ~M~O~ XXTK TOU (")eOU TO !XXp~M$ O'TL TOUTO ECT~ M~ HMTOTS, Xtx9o~OU XOH CTE~iX~OV X.<Xp~tK~ <X[tù~tO$ TOU OeOU ~tXVOtK~, OUpiX~M~ O~y)~ T<;) JAE EXXO-TT]~ ~.oy~OjAE~O~ TO Oe~O!. YKp EVTO~.7) K.UpMU 7] E~-TE'~ tXXptSM;, ~RYM, xx6' OUp~MV ~T6 XXt ~M OeOU N<; 0(.TXp<X~M$, CMUTOV E'tTE TOC Q~KTO~~ poLOtXeLO~ KVXTTKUCM, X~' E~ Et'TE'~ E~.t GSOf.UTO~ T'~REL TTpoQu~M~ ÏA'. COt ~OU~O$ [166~ ~M?)! OU~6pSL X.6d 0~ K.yXTrM'VTe~ TO ~T?~ X<M TE~.s!M(; ~M, S~ Tt Te~E~M~ <pX~ET9M Tto6et Ù'n;Ep '7TK<T<Xf <pp6'V'CM <XUTO'V « CU~T, CO~ 86~.7)[7.0<. ~'O~S Et X<X~ XO~Of TOUTO &~ XX~ T'~ ~OV, SpY~OU ~o K~QpM'nr~Ti' OUX E~.X.TTMQ'/foO~TOU ~<X~- <XV6t6oU )). M~TT~TOTE, ~OC~.7]~E~ K~EU y~M~i~ IE'. T'/fpet C6<XUTQ~ KXptëM;,M(;~MTtM~TOU(")SOU E~TS E~TE Tt ~ET7TOU XUTOU TTO~CCU EpyMCtXsQof.:~M~COM EM<; ~0~$, K~' E~TLS' &~8s).Y)!; EÏTEa!0 EL..e K~O O~OVO'lj1ton E~TE E~TEGuv"t"uXeLv E'~TE OM~TTOTS T~O~eL"t"E .voç 1- eL't"E 't"lVL, HpKY~K,1"15 1tp7.)'(l.a, TTOtpxë~E~ 1trxp~o~ ELV ELTE CU~TU~E~ XOt[J!.7)67)V<Xt XO~(lO'1} 'IIV~~ ~<X ~OX.m.(~C7)!; 13. BDom. ~pËTO~ t\m ~YYj<. 18. XpO; TO P.) pK<rTCt~. IA'et !E'. EL ~pE~Of. 14. BD ES~OY~ ECTfV TOU ?) 6E\]~.<X B. 15. T]TOi D. ep~jt.E~ (1. T. 0~ji.) TOU 6EOU. 16. xno. OEOU TOUTO' XKt 6).. jteYK).ft; Xaf.t OUTM.; D. E~O~O- 17. Bn (). BDomettentcesdeuxchapitresqui paraissentêtre uneparaphrasede IX ~t X. commesi tu Ap. 22.faut me soumettre à sa volonté et l'accomplir. « Conduis-toi t'attendais chaque jour à ce qu'il t'arrive une épreuve, soit un danger de mort, soit des afflictions et de grands périls, pour les endurer avec bonne volonté et sans trouble, en pensant que c'est p<M'de Mom~'eM~ tribulations 1, qu'il nous /<n~ e?!er <~UMle royaume des CMM~ 14 (cf. 9). Prends bien garde, comme étant toujours en présence de Dieu, afin qu'en toute chose qui t'arrivera, soit en parole, soit en action, soit en pensée, tu ne cherches aucunement ta volonté ni ton repos, mais que tu recherches avec soin et entièrement la.volonté de Dieu, quand même elle 10 paraîtrait impliquer de la peine, mais, comme si elle était en vérité le royaume des cieux et la couronne de vie, recherche-la parfaitement et exécute-ta toujours, en croyant de tout cœur qu'elle l'emporte sur toute sagesse humaine; car le précepte du Seigneur est la vie ~er/:e~c~, et ceux <« rMtm< ~e~' ne seront privés f<<K<CM?i 1.~ i5(cf. iû).Prends bien garde, afin, comme si tu étais toujours en présence de Dieu, de ne rien faire sans prendre son avis, mais, quelle que soit la chose que tu veux faire, soit travailler, soit parler si peu que ce soit, soit rendre visite à quelqu'un ou conférer avec lui, soit dormir ou faire n'importe quelle autre chose, (prends garde) de chercher d'abord s'il y a à cela une nécessité 1. Actes,xiv, 22. 2. Jean,xn, St). 3. Ps. xxxm, 11. V. [167] INSTRUCTIONS. iVMMKMV '7rtOVTOU (). (-)sou ) ~Oy'~CE~ ?U~O~:À~ S'~Y, X.~ S~O~.O').OY7;<?~' XEt TO'J TEX'JTC~ y.i Ir'. ~7;~EV 10 TCtyu T-~pSt K~X <):T~, XXt XXTxy~M~ Ce~XUTOU ~-L ~U~gK~Xt XXt 6~ 7;XCt -0~ STTOL'/iCCf~ '!7XpX TM S~YSI~XL OsM GOU ~oyo~ TOU~ TO~ Xcd CY6C't~ OtOOU S'pyO~ OOOU~ TOUTOU.; OT7M~ X.XTOp9d)CXt 469 (Ct'~0' ~KXp~M~ ?<DX~Y~. CEKUTO~' Et S~i: (')SOU XXt ~.ETK~O!~ ~.STX TOV TTpO: S9C~ 2" DIX-NEUF EXHORTATIONS. 1OO'ëo'J 'gou X.X~ TpO~.QU ~.EYXÀOU, O'~TM Y~TjCKX.~ OItM~ (XXptëM~, 7!:<Xp' KUTOU TOU Y~ET6<Xt CQ~ T-~ M~ ~M7:0~ OeO~h)~~ XKT6t TO KUTOU 66'\7]~.K. MK' TYX~TOTE, X.XL S~ T~ [JLETSt TTKTTEM~, J/.d~OU'' ~p6KX.~ TO'~ X6H X~ EV 0~ ~XO!X [/.7)OEVO~ ~EO'J* Yp7)~ E~p~O'X.S~ TQU EUY<Xp~G'TE~ TM Cf.'J-rOUG'0t. GOL 0~S~MXOTO~, :l.7..L ÉJY EXV'* 't"0 X.K96'\0'J 't"C:) (~EM~K~TOTE ~~e<¡J ,xv't"o-;e M.;KUTOU w; X,IX 0 O'J P:1j WWY.O't"O;, XX~ Mi;TO M. UG":éP'I)V"ç U~TSpTjQï~ TtVO:,cJ5 't"L'l0;, E m.,wv E1tIXV STT' K~9pM~& 't"o S~~M~ TO Xx6o'\OU X,X')O 0 U XIX-rX U1t'1j X\~K X C<: pw,ov, 'I~ (lo'ljOé ~.7) ~UTT-~9-~ (-1) ~.V~E YOyvU~~XtXTX T~O;, 'n'loç, p<X~TX~E" t-'IXG't'7.e )'O),YUCï' X'X.t TTpo9u~MÇ T~ U.OU, T!7)~ XTKpX~Mg !X~ 6e~-(, TOUTO ~.S 6 '\OY~O~S~O? (")EO~ SÀS~TX~ OT~- M~O!; ~'J~XT6H :~t XXt TM~~ O~tYH Q'\L~M~ XK~ ~LK S~ [ATi~e~ T6t<; ~.KO'!TK(7KV ~-OU~pe~X~7)pMC!X.t' IZ'. ?SX'JTOV XXp~M~, ~X~tXVS~ T~ ;r/E XKTXO'SYE~Kt, &[ ~.7) ~TJpOtpOpE?~ A p. 23. Sic BD (om. A). 3. om. D. 4. B add. 5. ~et D. p.ï). xe<po'j8~b< eï }i7) ~apa ïou jjL~ou 6Eou B. 7. ~P~~s~ D. 8. a'['cet B. 9. To~ ~6~ B. 10. a~ D. H. ~M-re~oM B. 12. [iE!~o'<[ Vossius. 1: B xcd ouim.; ~apxxKXs: To~ 9MV ~a auTo< ~ot~<r<n et add. !ta<TK'< XP~ °~ '!t).'ipMS7] (D Su~KTM, XKt OUTM; Beo'J toO 6soS ~Ct X~TO; TtNTŒ~ XP~ <~ tt).7ipMd7;). !Z'. 1. TNUT~ B. 2. Tt~œpet TMOf e! ~.TipOfpopijcat B. l, (!. e). 1. T' (MUTM BD. plausible, ou si c'est la voloité de Dieu; et ainsi tu rendras grâce devant Dieu avec crainte et avec grand tremblement, afin que tu aies ainsi de véritables rapports et relations avec Dieu; rends grâce dans toutes tes paroles et toutes tes actions. Et si tu as conscience d'avoir fait quelque chose s contre ces commandements, en'orce-toi de te repentir, de t'affliger et de prier Dieu de te corriger, afin qu'en te jugeant toi-même, tu ne tombes pas bientôt. 16. Prends bien garde, comme si tu étais toujours en présence de Dieu, de ne rien espérer de personne si ce n'est de lui seul, avec foi; en tout ce 10 dont tu as besoin, prie Dieu pour qu'il t'arrive ce dont tu manques, selon sa volonté; et, dans tout ce qui t'arrive, loue toujours Dieu, comme si c'était lui qui te l'ait donné; et si tu manques de quelque chose, sans mettre aucunement ton espérance dans l'homme, ne t'afflige pas du tout et ne murmure contre personne, mais supporte courageusement et sans trouble, 15 en te disant <! Je mérite beaucoup d'afflictions à cause de mes péchés, mais si Dieu veut me prendre en pitié, il peut et en peu (de temps) et en un rien (de temps) combler toutes mes indigences. » 17. Prends bien garde de ne rien recevoir ou accepter s'il ne t'est pas A p. 23. prouvé que Dieu te l'a donné. Ce que tu vois (provenir) du fruit de justice et [168] AMMONAS. 1 j~ïx ~x<r~~s?p-/)~<; oï<.6 Oso~ co<.~6~M~, x~ à ~s~t.~ xo(.p~oC'~ocwr~ X~K~ ~6TO(. OC&~E ~~S~ TKUTK ~.X~ X~ OO~OUXXt X~ KyxTU-~ XKTOLOE~OU TX TO~UTX,~Oy~O~O~O~Tt- KpS~M~ [~.tXRX <XT7M()OUOMMpp~TE U~O~MSM~ 'S y MOtXtX!; C COtX.L~Ç <[)66ou 1t0 )'EWI}[I'7.t"x [AET' U.M~U.STK ysW~.XTX(loe-r <pooou Rupfou" up~oU' 7)'IITtO~Ct uEPiS (loe't"a: IH'. X<XTK Ca<.UTO~ KXptë&C, T7)pEL TO <XYM~<:6<76<if~ TO~e T~ eŒTt '?) s~ cexuTo~ ~TOC MVYpEUX. CO~ yM7)TC(.<. ~T~ XM~ X<Xt OSTM<: ~0[JLO\OY-OC<Xt C~CKt O~TM ~O~M ~.tXpM M$ e~E TO~ EMM~ X<Xt ÛTTKMUE, ~~XO~~ ~.eTX -roTe jJt.iOE~ T~, TÔ ~Ot~O~ X~ yx? TM OsOU X~ ~KOT'/tTO?~ Tt;J.iTtX.OU T-oG-ro ~~CXt, TOU ~yN ~OU M XXt ~et 6Ï-6 X<X~ S6M ~eT<Xc9-~ C~~7)G-/i~ TO (-)EM, M~ O~M~ UTtO~~TO~TO~, ECTt u~p 10 ~S é ).X~E~ TM H X<X-rX TTpMTO~ ~Tt 6~E~ C~KV TL~ ~Xt~Ct~ ~x~co- CTO[Mt ~TOTS TOU E~E~ ~t ~X'X7]COf.~ TO <XWtyE Ky~ X~ TOU '\OYOU, CUT~ T~ [JLSTK ~oyOU ~Oy~~O~ ~OYQU? Oeou «E~~ TO <X~)OM <xyMWX T~O? ~T<X~E~O~pOC'~7)Ç ~TK ~6YX'\M M<X T, ~UO K~KYX'/)~, OEOU ~)~ TO TrpOCMTTO~ XXt T~t <X~' su~oyo-; ~~o(. ~~S~ X<t6o~OU TOUTO, MU MC ~y~ CU~TU~/X; T~ Ttp~ TT~SOV~. B. 5. B~ou D. 4. xotp~ oT( 6 6. sot Bso. ïo [~ETten D. ~apa T~o<, Et ttt ô ~poMp~ B. 8. xpe~TO~ Un. Totot~Ta BD. 7. ~oy~. add. B6).ou xat ~ppMnE. f.. [).ax~ M~tK! xat (B t~a) TMt atm~a; Tm Be SEM ~(Kov Bo~Ct Tt] TcmaYm TpM~ 2:~ TO'J! XT~.E-jTf,tO~ 10. B add. 9. 9EOU BD. dans B;). La suite T~ a;<~Mv. manque ~~). TM Sa 8eM ï.~ B6~ e!; ïou< a!<5~; a:~M~. '& (D tout 1 à V, IX, X, XII et XIX et met presque les chapitres K (suppl.'grec Le ms. 1319) renferme fin de XIX sans l'en XVIII à la séparer. le chap. xal tXCX~SM~ !<<! 0<;)Y; TOt XY~~O; ~ME~~OU ;H'. 1. T6 Bs (ITO~K TO-J, ETTM KCNTOTE<7~M~ &! ~K).0'j OT~ y.~i XP~" M.s~ exTo; MxyxT: xa: &TX~ ïo S~m~ t~Ya).-<i; 6 6M; ~5~ sot Sù~K~ aYMV~M6<ït T.. (?0, X.d ~t<TT?i~ K. 2. E add. 'Ë~ttoMYTO ~T~ XM TO ).aM)~ <T~~t U~Ep ~0-f6; 9~!iK6EOU K. 3. 'R~ TM AK).~ B~xo~M~, ).<jo~ Tou ~pct-fp.aTo; oC 9e).EH ).cc).ii<yon,xa! o~TM;, &; 6eou eE~~ït T~ ah:~ 3. ~ë. avec et l'injustice vaut WM' et paix grande avec mais accepte-le; fraude lutte, ~) pe~e charité, et cra~~c ~'eo M~M~M'e hypocrisie, (~ tout ce que rejette-le Scï</y:e!H-, ~ue tu vois en te ~a.!<M!<~ de (provenir) M<c!<.r disant (~ /)-'< a' 18. Prends bien garde, comme si ton grand exercice et ta grande étude il était de te taire toujours et de t'exercer à ne pas parler du tout, si peu que ce cela'? f Mais situas besoin soit, pas même pour dire à quelqu'un a Où est de dire quelque chose, examine d'abord en toi-même s'il y a une nécessité raisonnable et si c'est la volonté de Dieu et ensuite parle, car cela te vaut du 10 mieux (dans ce cas) que de ne pas parler. Ainsi confesse à Dieu la cause discours que tu veux prononcer, et ainsi, ensuite, comme pour obéir à la volonté de Dieu, ouvre ta bouche au verbe de Dieu et parle, soit au petit soit au grand, avec toute humilité et douceur; tandis que tu parles, occupe ton visage et ta pensée avec un discours châtié et modeste afin, si tu rencontres quelqu'un, que tu lui dises une ou deux paroles avec charité et que tu te )r, taises ensuite; et si l'on te demande quelque chose en cas de nécessité, obos et rien de plus. 1. Cf. Prov.. xv, 1G. Cf. SH/M'n, 4Cu, V. ~(i91 [<")'. o'EKUTO~ r'/ipst KTCO XXt. 2° DIX-NEUF EXHORTATIONS. INSTRUCTIONS. ~x, xxptë~ TMV 6'~tQu~.tK; MTTKp X.X~ 6'?9<X'\[jt.M~ <XTro eyxpxTS'jEt T7~ XK~ XX07H T'~ o~"M.; ~op\'s~ -OU 471 SYXp<x-su' M:M~ CTOU,XTO~ TOU~ U.e~ X.Xt [- XtXT'X.OOUVTK!; O~X'X[Jt.OU~E~ï~ TM S'ayM TOU T7p&C~O~TK:; [JLOVOV M~M~, 6L U.7) 6'TCOU <70~SCT~ ~S 7] (XppE~LE'JTpOCMTfM TO XxM).OU ~pEm S'~OYO< yu~<X~t J/.Y) HpOC'YT'~ YMO~ XXOU:~ '~0~ T'X<; X.fXTX !XXCO!~~7) T'jy~MpE~ T~O~, ~S ~'XY~ 6MM<pS\e~ 6~.L'X~ TO <~ CTTO~.XCOUCtY~~ T~~TOTS ~TtMC 0''iïM!; 7:0~~ EUpT~ 6~e0(; '77XpC< Kup~OU TOU OsOU, M §0~<X X.K~ 't"o Y.Lx~ TOU~ IXLW'JIX; K~M~Ct~'t"c.>vrx~wvW'J. TM~ K;M~M~. 'AM.7]~. TO xp~'o~ X.pXTO~eLç 6~ -oùq 'A,,j.-4v. ~X'<T')Te ~E jj.6~0'~ TO ~STX TCfx~ToTE ec'o )(-). jj.(!M BÙ).OYO; Mît aTtTo'j et la xxi Tt'<œ fin de E; e! [f] que ef7T[ xps!a K. xxt avons K. T) 5. X~XY.t7;'< ïoù~ o~~K 2. K add. xx: xxTK'<oE[ jj.~) Tœ~ù K. U!tO!tmTÔ~TX. TO! TtpO; OT[ KÙTM sù).OY'~ XŒt T~?]T[XO~ E~'CKT9~ <you' <?M[ia'o~ nous 06 E~xpaTeùcT] EpYM a).).ou jiKAt~TK XVIII E; TM )~Y~p.O~ Ë! To'< 6eo~ Eu/.oyS~ ~xpaTEueo9c(t 'jrpoo~o'~x; TO~ E!TK StM~Ct. xen ù~M'; 1. XK[ nOOTMKO~ ef~ŒK-r~, xett Ce manuscrit reproduite plus T~; 6. porte aux JJLO~O~ XXÎ 'Ajjt.Yj~. 3. a~. m~Opmjtov K. haut a!(B~Œ<. 8~ T~t ~U'<TU)(M'< OntOXp~OJ K. Ettg~M K. aussitôt To K (sic fva 7. Ss El o~6x).jioù; pL~ OTE E~tC~ XOi! OUTM <Tou, ~< pÀEnet; (JL~Ss 6[tt).!a, cro~ct ~OYOU; jj.7)0e' exit~. Toù; 4. EVCC OUO Tt).SO~ EdTM MNuTm on o;~m:pE).E?r, ~a~TOTE XP~ [J~TE oty~ variantes. 19. Prends bien garde de t'éloigner de la concupiscence des yeux, de l'ouïe et de la bouche, comme tu t'éloignes de la fornication; afin que tu tiennes les yeux attachés à ton ouvrage seulement, sans regarder en haut, si ce n'est lorsque tu as un motif raisonnable. Ne porte aucunement ton attention sur une femme ou sur un homme au beau visage, à moins d'une grande nécessité: ne laisse pas tes oreilles entendre quelque chose contre quelqu'un, ou des discours inutiles; que ta bouche se taise toujours, afin qu'en agissant ainsi tu trouves miséricorde devant le Seigneur Dieu, à qui gloire et puissance dans les siècles des siècles. Amen'. 1. Le ms. grec de Paris, n° 1138A, du xiv, siècle, porte aussi, fol. 223' Tou agM 'A~~MvS, xE~x).o.tm ~ot'<-jMOE~~K.MpoM/e~KUTM(sic) ~xptgm;. La rédaction est un peu différente et très incorrecte, comme on le voit déjà par ces quelques mots. Nous avons vu d'ailleurs aux variantes que les mss. Coislin 283 et suppl. grec 1319 diffèrent de ta rédaction commune. Pour expliquer ces variantes d'un môme ouvrage, on peut supposer que l'ouvrage a passé par les lorsqu'il ne s'agit pas de plusieurs traductions, mains de sophistes analogues à Synésius qui attachait peu d'importance aux mots et remplaçait le texte d'un auteur par ses improvisations « Souvent, quand je lis un livre, je n'attends pas ce que va dire l'auteur; mais je lève les yeux et, m'inspirant de l'ouvrage, j'en compose moi-même la suite, sans hésiter, comme si je continuais ma lecture et d'après l'enchaînement naturel des pensées. Puis jf compare mon improvisation avec le texte que j'ai sous les yeux, et je me souviens d'avoir souvent rencontre, non seulement les mêmes idées, mais encore les mêmes expressions. D'autres fois j'ai devine le sens avec taut de bonheur, que malgré la différence des mots il y avait toujours unité de t'omposihon. » Hf. ~'<e.'«7~e7Yf, ~d. Petau, Paris, Kit: p. (.il c. PATft.OR.–T. XI.–F. 4. ~1 472 AMMONAS. AOrOS TOY ABBA AMMiINA, nEPI T~N OEAONTiIN HSTXASAI. r'. To ~<XHM TM~ SMUTQU ~S "OcTK; "0<7TK; Os6~ EKUTMV XKp~~ ~7)TM S'pYOfTK! X~ Y~MCSt, ~UV<XTCH 6~<XL TOC Ms. nous virgules, que g". DISCOURS eOM 6 TTEpt OeOU, eTTOtpE~M- M-/) TO GOL ~6-~ "0<TTt!; ~T~C'/i? <X.y~O~ X'X~ K.6e6-/)~OÇ <X'')TOU. XTKTKL ee~)M.K ~U~V~ T-~ XXp~X. a la particularité EXUTM Tt-pOTEpO~ ~0~]~ XXt ~.EYMTT)~ CtRO~pK. de TtKpKPp~TE~ OEOV TOU (~EOS Ù~K !X[/.MpTKX;"Oc"T~ XKt SXTO~ en sus des TOU OeOU, OTM ~/) OEOU ~XU-0~ un grand K<p' T~ TOU ~EU[/X-~ TY)~ yp~ points, 6X~)TE: -OU CT-/)p~6t ORX TOU~ ~OyOU~ porte)-, '\dyOU~ T-Ky~p ~(~M~ ~S 0<TT'.<; Ta T7)\' ~9?~, "OcT~ MCUTC~ TOU; Y~7]T<Xt. !i "Ocït~ ~p~ ~!XTTSt CE <MCO T7]$ TMC- T(u X6t6-<]~M ~.OVKVM S<XUTOU K~XRTLXt;. TO-~ ~XCO'/)~M TO OE SO~, ?! OUTMC, TO <XY~K eTT~ T6t$ 0''iïM~ XKL T7~ ~9pK~ X<M <X~jJt.~MTKXV <X'JTOU<; wç OU X~ -~Ots!' nombre t5 de en général. reproduisons DANS S~Et, OsoC' manuscrit DE -/i yp'X07), 6V 'pO~M <j)6pO~TO~ Ce y~p <X~[M~MTMe~OH. TO~O~ XKTE/St 'AjJLKpTtK .xy~6KX.~ !K po7)6s~, T-~ XCtTX~E~~XVOVT!. YpXO- 6[/.O~N~.K. XK~KOtE? ~60~ 1. TOtouTo; TO ~p0~ TMTSt Yp9!.<p-~ Stp-~f. ~Ep~pyo~ (XYKTTK T-~ MUTO~, TOV Oso- [~tX T-~ TTM~pyx~cQKt. YO-/)YOpE: OSOU. TtMTKt TM T7)~ OEpSt K~KpTLMV 6 TOMU-Ot;' xr<]TSTO!.[, ~M T-~ T7SpLEpY<X~Sc66H T-/)V X<XpO~KX\' <X.UTOU C~Tt TCM~ eÏ~ ~XpE/Et TOU TO KYM~'C'X.t ~Ept XS~'fM [1701 L'ABBÉ LA ÀMMONA.S, SOLITUDE (Ms. AU DE SUJET Colsllll 282, CEUX fol. QUI VEULENT YIV))E !.G1). i. Aimer scruter curieusement l'Écriture engendre la discorde et la la paix. C'est, eu effet, querelle; tandis que pleurer sur ses péchés apporte un péché pour le moine qui demeure dans sa cellule de scruter curieusement l'Écriture, en négligeant ses propres péchés. Quiconque applique son cœur à savoir ce que porte l'Écriture, ceci ou cela, avant de se posséder dans une capd'abord, celui-là occupe son âme de soins superflus et tombe tandis que celui qui veille pour ne tivité multiple et excessivement grande' devant Dieu. Quiconque cherche une pas être captivé aime se prosterner ressemblance au sujet de Dieu blasphème Dieu; mais quiconque cherche à l'honorer, aime la pureté dans la crainte de Dieu. Quiconque garde les discours de Dieu connaît Dieu et les observe comme un devoir. Ne scrute pas les Dinu de venir à ton secours, afin qu'il profondeurs de Dieu", tant que tu pries vienne en toi et qu'il te sauve du péché car (les dons) de Dieu viennent d'euxmêmes, si la place est nette et interdite aux profanes. 2. Celui qui s'attache à son propre sens et tient à sa propre volonté, à l'esprit qui apporte la tristesse au acquicrt l'inimitié et ne peut échapper cœur. Quiconque voit les paroles de l'Écriture et les observe selon sa propre science, et s'appuie sur elle (pour dire) « C'est ainsi » celui-là ignore sa 1. Cf.ApophLsyr.17,M~'n,p. 420. 2. Cf.Rom.,X),20;XII,3. s 10 15 20 V. ,171] X.KTX XUTOU~ TOtOUTO~ 0:~X, J~STRUCTtONS. -7!~ T7;~ xy~Os! X.XTK COU 6t~ TM~ '7TOU.K TOU~ ).6yOU~ TMV K~9pMT7MV, f70U, ~K 6~CT'/ip~6~ X.XL TGV TT~OUTO~ TM 0!M TOU, 7;XTEpM~ 6 TT~TjC~ TO ~SU~O~, TO ~E E-!?' XUTO! KUTOU. Oe~T'/i~ ~X COU 0 TO'J.; 6 SCT~ X.XoS~ T7]~ (")EOU *Gf.l6)v'. <70U. 2 Y~MCCX~~ (XYX~<X~ T7)~ HOtS'L TO~ Ooëo~ TKTM~MCEt., 6 ?OU M.6TX T7] A~K~O~ XTTO COU. To TOU T7ÀOUTO; S~ )), 0'~ XK~sy~ '\OYKJt/.o6~ '\UT77)~ TLM.tO(;. (pEUYEt <XUT7)~ (X~XTpS~Xt ~~E~M~ CSXUTM EUp~T) T~tXCX ?o!. ~EC~O(; de yU~KCCM 47:! OT~ « CUTM~ TOY TOLOUTOV S~XUC'/i~ ~7) X.<X~TO y~MO'et, M'JTM T~CCOEyEt. E~ M'/i dUVKjj! TOU Osou~ T~XTSt X.Xt ÔO~'X~ SKUTOU ~ET' Tu tt'u).!X~O~ X.UTOU, T7]V )), T-/i~ E: 5 T7K~-M~, dd~KV St~L K~SpMTTO~ XXTOtXel, KUTOU y~MO! :i" DISCOURS AUX SOLITAHŒS. ~0~<X~ TOU ~EOU M TY, EV TMV 1 't"(ùV 't"o')XOC~OU, !v<X t'Ill jj!.7j "{I L M7)'1}veA'fjG'~ç ,oç /eVEGV7..L MOO~M't' TOU 'r,00<,7.. (loEL.0VIl ~E~O~tX XKp~LX.L=(-. QE~C'/j~ ~t)~0<; <pL yE~ecQxL X,OG[1.0U, (lo'11 7; ~O~X 10 ~o.~ (-)eo~ K[/6~U~7) ~V)'~ !XUTO~, Q~Et~. H ~EpLTTXTe!' ~6t~.St H K~O, ~.XTK~'XSCT:. XCM TO ~.STK TOU KOe~fDOU XXt M'/i EYE~ <X~.O XO'D.T~Y~ ~7) T! Ms. ~.STpE~ M 6X.X\ EXUTO~ K~E~moU [jt.ST' T7)~ Ky~~St KUTOU TTKp!X CO~ X.ML XKT~ëx'XKUTOU,X XKp~KV TfCC~OUpY~tX, OU ~7) 'KXOS'\87) E~ TY, X.KobtX KUTOU T~ ~<X TCtOUTM, <XX.XX.MV, tVK :i. TOU X.'XTK~.et~ Qs~C'~ KUTOU ~.ETO! T{D~ 2. Y/M~e~ 'Ex~ XXX.6XV, eX<pK~7)~ <X7r'\OT7)$ Xtd U.S'VOU. nEpt77XT'TO~ 1. ~.t Ms. Tt<XpCt CO~. x'x-o!ËxUE( ~.7) EV <T!7~MC7) Ms. YEW) 4. exM(['~ TMV 'KO~)OM~. iX'JTOV ~U'!?7j XXO~ '!7M<m 7; ~.EtTOUpY~ '~OV/]0:K, X.0!~<t)~6<; o!7f0 tAT] XX.T<X'\<X~7] C'ECC OU CS &X. TOU "0<TT~ "OCT~ TOU TOtOUTOU MU CCUTOU TOU U.St/.tOtU.- T7i<d~7)~'X.'jT<Lvx.9HTY)(;<X.Y'E~X< Ms. propre gloire et sa (vraie) richesse. Mais celui qui voit et dit « Je ne sais pas, je suis homme )), rend gloire à Dieu. La richesse de Dieu habite dans ce dernier selon sa force. Ne consens pas à développer tes raisonnements devant tous, mais seu- ~Gf.ieiv". lement devant tes Pères afin de ne pas t'attirer de la tristesse dans ton cœur. Garde ta bouche-, afin que ton prochain soit respecté par toi. Exerce ta langue sur les paroles de Dieu avec prudence, et le mensonge fuira loin de toi. 4. Aimer la gloire humaine engendre le mensonge; tandis que la détruire avec humilité augmente la crainte de Dieu dans le cœur. 10 5. Ne désire pas devenir ami des nobles du monde, de peur que la gloire de Dieu ne s'émousse chez toi. G. Si quelqu'un parle mal de son frère devant toi, s'il l'abaisse et publie la méchanceté, tu n'accepteras pas d'aller avec lui, de crainte qu'il ne t'arrive ce qup tu ne veux pas. La simplicité et ne pas se mesurer soi-même purifie le n cœur des mauvaises choses. La douleur du cœur n'épargnera pas celui qui use de tromperie envers son frère. 7. Si quelqu'un dit une chose et en a une autre dans son cœur en mal, tout l'office liturgique de celui-là est vain. Ne te lie pas avec un tel homme, de crainte qu'il ne te souille de son venin impur. 8. Marche avec les bons, pour que tu participes à leur gloir<' et à leur 20 pureté. t. Cf. –2. (;r.P<.c.\[.,3: Krrii.. \f!, AMMONAS. 474 [172] COU<XpyO'J<; XOTCOU~ Mv) C~~ Tn~)p~ E~ <X~6pM~O~, TOUi; ~Ot7)C- "Ay~tCMCOU ~M TOU 0EOU COt."~CKSp T~ XOCUCO-~ ~<X9EMp7]~<; 1"~ 6~ ~i-~XKpO~~.STK TCXVTMV, X~ ~'X7TT6~ <XUTOU T'/jVXMpd~X~ U~OO-XCO~tOU, 6 M; MUTOU E:~ ~OVTO CM~fX. TKptEp~STKt ~t.V~J~EUE[ T-~ ~U~ X.X~ SCT~7)XiXX!'X TO~~CM~' 0 M~yMp<XUT~~ TOtKUTT) XS~TX KUTOU, TTp6(; 5 TM~KOTTMV <XUTOU ~K ~7) tXTtO~M~TOU, KITOTY)(;~O~TtpKXC. "OcT~ OUVOE~ETCH T<X~EM<; ~KCX~~0~]p~ XMXKXKXV EXT~KCCE~ KT?'MUTOU TO~ CXOp~O~, TOUTECTt TM Y~p @6M '!70:T7Et ~O~Ot 6~ ToûS Eiç TOÙ~ <X~5)~<X$. aic~vu5. 'A~ 'Atu.-4v. 1tpE1tEL OOSIX nEPI THE XAPAE THE ~FYXHE TOY APEAMENOT AOTAETEAI OE~. A'. MM~0~TQUOsOU,'~M$ M T'/iV~U~X[;.M ~O~CM~E~ 'MV M ~KXpUC~ 'Ay<XTr/)TO~ K~e~mo~, 7) <X.Y~/)6(.ÙTOU 'tl~X; 6'M~OÙXXTX~0~6jr/fcM~.E\' S~<X'n;OCTE~ ~0(.U.~ ~KTTOUCXV U.s9' TO 'Cf.'[62r°. MV S~pM~XU.E~ TOU~ ~ETK ~~TMV E~p'/i~EUE~ oTjX~ EU ~8'/) Kp~OVTKi; ~.[XpM~ CU~T7)C~ 1. Tou ot~T&u Ms. ~OV'/)p~<; TOU; X<XL ~EyK~M~' -!]T~ T?i~ '0 7]~. TfpO XTTtX~TMVTKf;. 'MV eLp'~7) T-~ !XTeE~<T<X<; <XUTO<; ~M 'AYK~7]T&S~ XTCO TO? <j)U~K~SL 7j~ '0 UY~XV\ ~.MOU~, <T-E<pO~O(; 2. -jYM~ Ms. 9. N'aie pas de méchanceté envers un homme, de crainte de rendre inutiles (toutes) tes fatigues. 10. Tiens ton cœur pur à l'égard de tous, afin que tu voies la paix de Dieu en toi. 11. Si quelqu'un est frappé par un scorpion, le venin se répand par tout son corps et le blesse au coeur; ainsi en est-il de la méchanceté envers le prochain car son venin frappe l'âme et la met en danger par le fait du mal. Celui donc qui a souci de ne pas perdre ses labeurs, secoue aussitôt (loin) de lui le à la scorpion, c'est-à-dire toute perversité et méchanceté; car Dieu convient gloire dans les siècles. Amen. 5 A SERV!KDIEUt DE L'ESPRITDE CELUIQUI COMMENCE S~R L'ALLÉGRESSE 161'). (Ms. Coislin282,fol. 4°. 1. Mes bien-aimés, fortifions-nous dans les larmes devant Dieu; peut-êtree nous garder jusqu'à ce que sa charité nous enverra une vertu (un ange) pour les chefs de la mé- 15 que nous ayons vaincu, à l'aide de nos (bonnes) actions, de nous chanceté qui se présenteront au-devant 2. nous paix *cr.~G2r' Celui qui 1. Saint Anvers, p. 43C, d'être Aimons malade Ëphrem 1019, p. 276, où l'on trouve avec paix contre gardera est en apprécie le tous, avec les Méchant, lorsqu'il la Celui santé. et petits avec viendra qui est couronné les à notre l'est « ad novitios monacltos trad. », par exemple, pièces plusieurs elles ne ressemblent à celle-ci. 2. Cf. mais sKp/'a, 27U, 295, pas de développements sur ou "-vertu ». l'ange (gardien) plus a écrit cette grands rencontre. parce G. qu'il Vossius. lettre II, 2, V. [173; CTEOSTXt 4" CONSENS iNSTRUCTfOXS. ~OTt ~tX7;TE 6CU.S~ 6M7)~'X?TXt, ~'r,Qt TO'J; Sy6pOU~ SC't/.S~ N; TOU T7SO')OTXt. "ETTt ~KC'~SM~. 'A~OOS~K AUX NOVICES. 6LTt ~x6'/), XX:OtX, XXt 6<7!'t p07;6s'.X 475 KRETKr T7i Et 'LuYV, ~E M.ETX STTtT'~$XXX~XÇ. ~6T6 .H Tcw 1:> À, XT'~O'XO'QKt TM~9e'\OVTM~ %T'~cxc8xc ccpEUsôv, M~TCep (")SOV, T' %x%sx5. û%nc~sx, ~O'~Et.K ~'o~A£ax c'écr£p7; <XX.7)~K, 'H ()'J~<X~ ~~wauc5 6MSK'X TTX~'ppO~TtO'MC~. SCT~'~X S~ ~STM?t,'7] ~.i.X.pO~U~O'MT~, TtXSp~Ct~K TX(;,XUT'/i 5 TÛ~ KOETM~ s!c~ 0~ TM~XTLXOt XT~O~ EVy~MTE~Tx YE~~Tf~KTK fM~~K6h)~y~O~TXtfXTTO To TO T'~ fX~.eXE~. X3~K~TQ~T7~<n&V, Te~yo~SOT~TM~S~ 'MCEL '!tO~E!7.0U~TM' X.XT<X\UE'. TO TS~O~E'~'xy~M'H'X. ÏO <D?O~TKTKt TTOU? TO~ T~~y'\MCC7)~, ~'?i'\OV ~E~X~ KUTOV, ~S OUX î~~oQs~ OTtT7p<XX.TH40$ EC'T~'7] K~Ctt.~e'JC'tK T/ YX(t)T<77)~, X~~pMT70~, C~X~StO~T~ ~St SV T~X.TH T O XXL X'JTOU 'H 7) E~ T7,~(XYK'KT)~' KOET~' y~MO'etS~S'/i~OCU~j, 'M003X'V Od'~YE! 10 ~e !X~E'\c7)[J'.OCUV/] OTtOUX. î(7Tt~S~ K'JTM 'H XY<x6oTT~ TtXTEtT7)~KY~etX~0 <I7)~!X:~Et KpETT,. ~6 ~63KI7;<XCjJt.O!; TK 1Tx9'/]. 'H !TX.X'/]{)OXXp~[X 'H <XO'X7)~t~ T7)~Opy-y)~. T7]!;'~U~ Tt~TSt T~T~. ETTt éG't'L T'~ TO TO ~.KT7]TXt ~16c~6xL ~YY;~ Y~MCEt. t. 't"OV TOV 1t£pLG1tIXG[1-0'l' ~Sa[.0"KC[J!.0~' 6CTt K.0p0; ~povnjsen TO (XYKTTKV TOV S~VO'J Ms. 2. TC~y/f ay~i'a~ 7J~EOÉ TOU GW[I,7.Oç C(G%I~GLy,^'t"OU <X<TX.7]Ct!; CM~.X'r6$ ~S ~Sp~~KT~OV' SCT~ 7:'X~M~ E~- ~Mp~NCt~ CM~9(.T' ETT~ ÉGT6Y T~Ç (TMT7)pm ~~EtK. 7]e'lOeL<X. ~U/ ~S 'H 6X.T7TM(Tt~ ex..TWGL~ E<TT~ XKp~tX~, Ï,(TUytX M <xyp~K~~ Ms. a vaincu les ennemis du roi'. II y a des passions, il y a aussi des vertus; mais si nous sommes négligents, nous sommes de véritables traîtres. 3. Un cœur courageux est un appui pour l'âme après Dieu; de même que la négligence est un appui pour la méchanceté. 4. Voici la force de ceux qui veulent posséder les vertus, c'est de ne pas se décourager s'ils tombent, mais veiller de nouveau. 5. Les instruments des vertus sont les fatigues corporelles (endurées) avec science. (). Les rejetons des passions proviennent de la négligence. 7. Ne pas juger le prochain est un mur pour ceux qui combattent dans la science; critiquer le prochain détruit le mur dans l'ignorance. 8.. Veiller sur la langue montre que l'homme est actif; tandis que la maladresse de la langue montre qu'il n'a pas la vertu en lui. U. La compassion avec science engendre la prévision et conduit à la cha15 rité la dureté montre que celui-là n'a pas la vertu en lui. 10. La bonté engendre la pureté; mais la querelle engendre les passions. La dureté de cœur engendre la colère. il. L'exercice de l'âme consiste à haïr les distractions; l'exercice du corps est la pénurie. 12. La décadence de l'esprit provient de l'amour des distractions; la soli.,o tude dans la science est le redressement de l'esprit. 13. La satiété du sommeil cause le tumulte des passions dans le corps; l'insomnie avec mesure est le salut du cœur. Beaucoup de sommeil alourdit i. Cf. II Tim.. !t. 5. AMMONAS. 476 tYo~US HETOM. CXOTO?' UT7M T?)V UT7VOC TTXY'JVSt ~UYT)~' <XYpUTtVOU~TK T7)~ [r/]'<X~ T[X.TEL T7)~ OEOU ~UYT], TO T1 S~ K.OC;J!.7](T~ XOt.O~. ~E ~~OtX~ T7)\' V". TKÇ <X3STK~' He~ETT) [JMU, <I'UY7)\ [JLK~Kx~. TO SV (DoëM, CXOT~EL 7) ~E 1. crxoTot Ms. (D'A'XTTet TM~ <X'KO~UC<X.[ TO X0~7.XTM~ T7)~ 7; TM~ <X'~OT<XY'~ T7)'; Ms. fXpeT~. U'X'/i$, XYKW(X~ EK~ TOU OEOU, TK$ To K~XXKM~St GOU TM [MTK TOU TT<x95'V, (XYK~7)COH TO~ TM~ K~O (p6b0~ T'~ ~S T70'\U~.OY~ C7)~.K~St C'/jUK~St ~OU~ ~X~COU S~)~, XCtL T-~ X'X.TK OEOU E~ T'~ !pU'\Ct~'X~ T~TSt Q~ T7)~ 5 ÔtEYE~pEt 'H My~?] TO CTO~.X T'/i~ 10 <XX.7)- 0 ~QU<; ~E77Et 'H Ky~MC~X~. TOUi; ~OYO'JÇ Qopuëe? ~U~ TOC T7j~ K'JTOU X.Kp~tXC. To '!T~7]<7~0~, T7)~ EX.~(!)X~ E~SC~~TM~, ~]C- TO ~6 Tô TM~KvOp(t)'!TMV, <ppO~TtC<X! <XUT' 7) CtMTf' ~(XTUC~.O~, TO~ XpeTK<; UTT~O~, EV Y~M~S~t X(XX.~O!.CKTXRMY~M;. TO ~S T~TEt C[MT7K, Y' 9~7)[J!.iX TO~ XKTXCTpO~, r[o'\Ut; 'Ho'O~X 7; ~6 S~Qu~K Tr6t6'/), OE <X<poë[<X E~~pEt <X'KO TÛf ~U~V ~E EXTMKCCEL TO 9E~7j[J!.<X COU OC~O 2. ~).~K[ TX ECTL ~)~,<; MtYjJLK'XMC~X't', ~S XOMTE~ KUTT;~ TKTTEt~o! TrpO~ TO~ OsOV, T6 TO ~.Mpd~' TVj'V CU~Et~7)(H\ T7)~ T~KC'K~ TKf; TtXTE~T7i~T<X~e~O<ppOCU~7)~. U.MpO~ CM~KTO~, TMOCEyS~ X'X.T'XWK.Te~ ~KXV XOH T7)~ 162 To SXXO~T6t OsOV, ~~YS~OEt XXTK SYXO<XTEt<X. TTi~ YKCTpO!; MUTOt KXOKM~. o6ëo~ TOU T~CtOV, CU~Et~jC' X'JT' 'JT~oSvsV 'ÂYCtQo~ EX.OtMXSt. ~~()o~ ~E~TUVSt XK~T] (DOT~StKUT~V. To U.MTOHO'XoYtKK;. ~6 iXYpUT~K. (XypUTT~KX OS MM-STOM S~ UT~ep/jfpK~~KV 'H Y~MCt.~ XXO~tK~, [174] TO'J X.OC- TO~ ~OU~ XOH T6 C[MTT(X'V e~ T7]~ 15 TO 3. Y'~McrM Ms. le cœur; mais une propice insomnie l'allège. Beaucoup de sommeil obscurcit l'esprit; mais l'insomnie avec mesure l'éclaire. Celui qui dort dans le silence, dans la science, l'emporte sur celui qui veille dans les vains discours. 14. La douleur chasse sans trouble toutes les méchancetés. Ne pas blesser le sentiment du prochain engendre l'humilité. 15. La gloire des hommes engendre l'orgueil peu à peu, et aimer l'ostentation chasse la science. 16. La tempérance du ventre détruit les passions, mais le désir des mets les développe sans peine. 17. La parure du corps est la mort de l'esprit, mais il est bien de s'occuper de lui selon la crainte de Dieu. 18. Prêter attention aux jugements de Dieu engendre la crainte de Dieu dans l'âme, mais fouler la conscience~aux pieds arrache les vertus du coeur. 19. La charité selon Dieu bannit la captivité, mais la sécurité la réveille. 20. Veiller sur la bouche élève la pensée vers Dieu, si elle garde le silence avec intelligence; mais la loquacité engendre la négligence et la folie. 21. Sacrifier ta volonté au prochain montre que (ton) intelligence voit les f. les v°. vertus; mais maintenir ta volonté contre le prochain dénote de l'ignorance. 22. La méditation dans la crainte garde l'âme contre les passions; mais parler des discours du monde lui cache les vertus. 23. Aimer la matière trouble l'intelligence et l'âme; tandis que la renonciation à la matière renouvelle l'intelligence et l'âme. 5 10 15 20 0 V. [175]J TOUC S~ME~ M'JTOU (.(')1'OU T/,V T'V INSTRUCTIONS. <X:'7~pX' CZtGXOXV' exdtMxet KuïoS, TO ôtXKtM?X; 10 6XOT~~e~ T~)~TS~ TO ~MV SCtUTOU XUTQ~ 'Lu~T)~ 15 UT70~EpS~ To T~MV. XO'!TOV, ~6~0~ TM [AeTX 1. TU~tcMj ~0 XTKp'X~M~ TÛ~ SCT; Ms. TO TOU ~S!~ ~E TTp6$ KOETMV XOC~.O'-), 7] ÏO XUTT]~ 06 <XYX.C~ EV ~Ct~, OX~7)p~X, <p6pSt XO~O~ XXO~~et~, T-~ X'~ ~.PS!K~ <DSp6~ T'~ MUTX ~S iXiM~M~. M~ ~C7)~ TOU OeoG, (X.~QpMTT~- OUtJLM.~tX.t TO~ XOTM-O'J To Y~ T?<x6M~ OUTMCXKX~ X<XT6H<TY)J~Et TOU MM 176MTMV TMV e~M'!7tOV §6 ro XK.: U.7i <X~6pMTTM'V, (XKO TTKCM~ OpY'~V' xx~ '7790 ~E KUTO, TO O'O~CC~ T7!X.TS3Mf .t"E~WV KUTOU Tu)~ <X~C(.6L T'/i~ 6up~Kc, T7~7fpMt/.Ct C'u)X 60'TM U7ro<D6pE~ T7]f TXpXCCSt. '!7tXp<X.6~6M T0(. TUxQ'/t' TO TOf T7)'i' '{"Jy~ T?KOKpp~<XL §XXOU<X CtUT'y~ <p6p6t. ')K<pp7)C'M~. ~U~O~ X'X.TiX'rpMyt'M To u.j~e Tt~Tj KYKm]' X< 6TEL TWV 67r' TM~ 7; TK~Et~OOOOCU~T)' SCTt~ XpSTMV X'X.t TX. SCT~ e?TM 477 XOC~OU KUTOU xÛTO'J 6 T~MM~ OUTM~ C~TJpO~, T~ SCT~ 0'')TM; 'TM'~ XpSTMV. SKUTO~, TOU T~.TJ~ EçeL7t'éLVTO'J.: S~E~ ':0'J~ ~OY~HOUÇ ÀoY!cuoûç 1 o~xtx syouc<x 6upxv CXM~T!~ Ù~ptV, T7)V SX~YjTS~~ CtUTTjV, T~O!: "fIcTrep 'I' OLX TO CXOTtcQ~Von' ~<TO<; ~'XCMV np6 [Jt.Vj ~S~E~Oott OsM E~ XKTXTpMyMV SXUTO~. T-~ OTt 'TjrEp yxTTpt~.Cf.pYtK. S~ ~<Xpô'fx ECT: [0~ XUTTj. e~T~ xurou. SMSpY~TKt '~T"!7Ep C'J~urQï, ?:x6M~ Trou! 'n'Kpp'(7~(o[/.EVO; 1tap~'r.Gta..r)IJ.EVO; 'X.UTOU!; KTr' <puX'XC<T<<)~ KUTOV. TM~ ~E pE TMV M~STMV ~OU~0~.6WV '<1 X.tXpd~ 06 CE Ô'/i~O~ ~.OytT~OU~, 4" CONSEILS AUX NOVICES. eUYOt/.S~OV ~OH? T~ <XY<XTt(X~ TÔV CE<XUTOV 2. nK<n] Ms. ~4. Te taire quand il y a lieu de révéler tes pensées montre que tu cherches l'honneur du monde et sa gloire mauvaise mais celui qui ne cr:uut pas de révéler ses pensées devant ses Pères, les chasse loin de lui. 25. Comme une maison qui n'a pas de porte ni de fenêtre, et où tout repo tile peut entrer comme il le veut, ainsi est celui qui fait son travail sans y porter (toute) son attention. 26. Comme la rouille qui ronge le fer, ainsi est la considération des hommes, si le cœur y met sa confiance. 27. L'humilité est à la tête de toutes les vertus, et la gourmandise est à 10 la tête de toutes les passions. 28. La charité est la fin des vertus, et s'estimer juste est la plénitude des passions. 29. Comme le ver qui mange le bois le détruit, ainsi la méchanceté dans le cœur obscurcit l'âme loin des vertus. 15 30. Jeter l'Ame en présence de Dieu permet de supporter sans trouble les mauvais traitements, et les larmes (de l'âme) sont sauves de toutes les peines humaines.. 31. Ne pas se blâmer soi-même conduit à ne pas supporter la colère. 32. Engager la conversation avec ceux du monde trouble le cœur et couvre :;o de confusion celui qui prie Dieu, par manque de confiance. 33. Aimer le profit du monde obscurcit l'âme, tandis que le mépriser en tout conduit à la science. 478 [176] AMMONAS. ETTL XKt XXt6 ~OytC~.O? COU SVCOt.Mv)ECOTUETTOtQM; COU, TrO~tfEUX, T~ C~U~.E~ ~CU~fXCEt' ETTEt OU E'CTtXt TOU0EOUCUfS~pYETOtt COL. ÔEXT7) 7] M'/j ÎYE~8?~ ~p6$ K~QpMTro~, ~Q'~Etat. COU. ~<X 0(?9ct)k~OU(; U.ETK TttX~TM~, ~'Xpp'/]CKXCY) EU~O~O~.t&u).~0~TO'JÇ TrpOCSUy'~ E~p'~EUE E~7)~0~ COU OU '0 ETT~ETTM~ OTMU'< ~]7!;OTE~ X Xt St$ COU, XXR~M p.Y)~] TTO~pCC. EVT7]XKp~KX COU KVTX-5 M'~ 9s~T~ KXOUCXL CE,~X ~x6ï~ ~U~CO~TO? ~.Ot~e~ TE~E?. t~KP:IJ OSXUTM TTO~MC'/]~ ~<OV Tà5 TCt(;àxockg KXO~(; KUT~.'~l'UU~K~O~ COU,ïva rou, TTO~E~OU! ev.ouç, iv 'ERyx~OU ao~c~cnç IXU't"(:). {J!]£it'Lr;uvrxç~çQ'E1.U't"~)7>0 STUCU~K~T); ECTt X .M CO~MpTOV YKpCCpYKX 9<X~!X.TO(; ÎX~TMO~T'7~ T(~SpYOYEM&) COU,M6<. SUpT) ~TMyO(; f. 163r".d'UY~ T6 CUWYM!; KTrd~UOt TO~E X.XTCC T7]~M~[J!.<X~.MC[<X~' [/.MaO'V j.~Xp6~ TTpOCEU~ec6o!t TO~ 6K~<XTO~ ECT~ '0 T ~~~9~)!. T ~ OU~<X.~<XpT-~CEt fXjJ!.S~6M, ~'<]T7)p S~yu~S'~MV TTROC~OXM, ToU '!M~X6< 6 ~S TFpOC~OXMV t!;0\U~CCtt,~0~<X~ <X~<XpT~6t:; ETOt~~TO~ tO CUmT~'XX.TjCeTM. TM~6RYMV 6 060!; ~pO~T~Et SKUTOf ~OUVMt Trx~TM~ KUTOU, Ttp OsM 7TSp~ Ky~CKtXUTOU ~OVOV 6~6~(X[/.C{pTM(;' 6 XM~.syM~6'T~ ~9KCSt~M~SXE?TT~pO~Et TO~TTO~KCK~ XKT<X<ppO~MV V/)p0:$. ripO TOÛ Tt oX(<)$TTO~COU CE ~pYO~ XOt.9' EXXCT'/jV'~ERKV, ~Y)c97)Tt 1. ~u~K<n)Ms. –2. Pr. m. ono~S~oTE. Sec. m. oTto-j~~oTE. TTOU 6~ X.CHO-fK~ 3. Ms. add.EM;. 34. Aimer le travail entraîne la haine des passions, tandis que la paresse les amène sans peine. 35. Ne t'attache pas aux affaires, et ta raison sera tranquille en toi. 36. Ne mets pas ta confiance en ta force, sinon l'appui de Dieu te quittera. 37. N'aie pas d'inimitié contre quelqu'un, sinon ta prière ne sera pas agréée. Sois en paix avec tous, pour que tu aies confiance lorsque tu pries. 38. Garde tes yeux, et ton cœur ne verra pas le mal'. Celui qui regarde quoi que ce soit avec plaisir, accomplit l'adultère~. 39. Ne désire pas apprendre le tort (que te cause) celui qui t'outrage, de crainte que tu ne le lui rendes en ton cœur. 40. Garde tes oreilles, afin que tu ne t'excites pas des guerres. 41. Travaille à ton ouvrage manuel, afin que le pauvre trouve ton pain, car l'oisiveté est la mort et la chute de l'âme. mais la négligence progres42. La prière constante détruit la captivité; f. 163r°. l'oubli. sive enfante 43. Celui qui a la mort en expectative ne péchera pas beaucoup mais celui qui se promet une longue vie sera impliqué dans beaucoup de péchés. 44. Pour celui qui se prépare à rendre compte à Dieu de toutes ses actions, Dieu prend soin de lui purifier toute voie de péché mais celui qui n'en prend pas souci et qui dit qu'il pourra aller jusqu'à tel point voisine avec les méchants. 45. Chaque jour, avant de faire aucun travail, rappelle-toi où tu es et où 1.Cf.supra,p. 406et 414,Apopht.8. 2. Cf.supra,p. 460-461. 5 10 15 20 V. fl77] 6~9-~ 7]~.EpK~. CS XX-~X SX. TOU A~cy~OU ~.XpO~ INSTRUCTIONS. CM~KTO~, –/i~ U.[Xp6v. ~OU T:p. Aoy~O'J S~Et~ y~ 4° CONSEILS AUX NOVICES. 'X'?rS'\6e~, X!XTS~<x€o~ TCX~t~ XKt XCH WK-~TS; TOU~ OUX. Ot K'~S~TJCSK; xytOt, O~S~tC~-OU~ T7~ X!XL 0 ~UYT~ ~.0$ OUi; XXTS~xëov 479 COU (XUTM~ OUO'SU.KX'~ S~XUCEt 0~ XU.XpTM~.oL, CEKUTO~ Ge~UtO'1 G<:1tO KTUO TM'~ TwY OU'\K~E;(: tXE~'(loe't"GX£ 0~.0~ ?U1\G~ç ~0~ 01\0'1 ~0~7)pM~. "O'IIPW'I.up,')o'J Su~ëou~Vj~ "lJç IXe~ pLSTc~E TTtXTSpM~, 7CaTéawV, %rX6 1tOL£LÇ COU T~ ~p6~0~E'/<XVXTTXU?a. SK~6 ~Oy'.C~O~ CO'J CEKUTf;) rfpOCE~E ~U~ fTE6'Tt6 X~mO~COU ~.UT~TKt XKTXCOU,~.7)XK.fetOpOV/fcT~ <X~Xpx~S 6(.UTN SVOM~ OLXTOfX, 'XUTOU, ~ETKWtX~ 0'~ KUTOV. BLETTE E'CO ETTL E'M(; T7SK77]!; TOV COU'j~X~OU.EQct ~7) CX.~TJpOX.XO~Mt; K~E'X<pO~ yxo XT76'r7~~6pK~. 'Ex~ 0~ ~.ETKK~E).<pM~, ~pOCTX~<; WX~TE~ 0!UrO~EVTr<X~~OXYTOVXKp~OV COU.'.E~ QopuëMC~ ~KTt, K'X CUYXOT~XCOV KUTO~,~6t~.7) <X'!fO~.ECY)~ CE0~ 10 dX~O~E~ X(X.t X~ [7.Eyx'\7)~ COtOVE~tCU.OV, '!7!ptTp0<p7]<; OXE~XC~-XTO~, UT7o6x'\).O~TS(; -KTM~E~C: CKUTO~ TMO~MEV0~.7)XXa~KX KUTO?!; TMt, <X~XT~XpxOou COUXKt ~.7)<XVTXTrOXp~ BXeTTE COU ( XUTXt T6t~~e~TOUpyKX~~OtEt~, TO~OMK\'<X'!T!XU'/). ~.7!XKTOfOpOV'/iC'~ Y<XO <DEOOUCL Et 5~ SK~O'E T7]$ 'XUTO~' X<Xt T70~X 1-[C~ ~U~Tj~. <XY<xOx ~0:7]CXi;, XXU~M MTO~CKÇ K~<XCT7)6tem T'~ XK.pStM~ XXX'X, X~STpM!; ~77)97)COU 7] XK.p~~X, COU,E~ TO U.7)XeT~ 2 t5 C'J~.TTStC~VXL X.KL (X7CO XUTTU;, T~~ U')TM7)Œ!X.X~ S<X~ EÎ CO<DO~. 'ExV6y'\E?CX~ <pU~.X~9'~C7) :I. t. MTMs. 2. o~TMMs. tu iras lorsque tu sortiras du corps et tu ne passeras aucun jour sans prendre souci de ton âme. 46. Pense à l'honneur qu'ont reçu tous les saints, et leur zèle t'entraînera peu à peu. Pense encore aux reproches que les méchants ont encourus, et tu te garderas des choses mauvaises. 47. Prends toujours l'avis des Pères, et tu passeras dans le repos tout le temps de ta (vie). 48. Prends garde si ta pensée te tourmente parce qu'un frère est afuigé contre toi, ne le méprise pas, mais fais-lui repentance avec une voix sup10 pliante, jusqu'à ce que tu le persuades. Vois à ne pas être endurci contre ton frère; car nous sommes tous subjugués par l'inimitié. 49. Si tu habites avec des frères, ne leur commande pas en toutes choses, mais travaille avec eux, afin de ne pas perdre ton fruit. 50. Si les démons te troublent à l'occasion de la nourriture et du vêtet.~ ment et t'objectent l'opprobre d'une grande pauvreté, ne leur réponds en rien, mais réfugie-toi en Dieu de tout cœur, et tu trouves le repos. 51. Vois à ne pas oublier de faire tes offices liturgiques, car ils entraînent l'illumination de l'esprit. 52. Si tu as fait de bonnes actions, ne t'en vante pas; et si tu as fait 20 beaucoup de maux, que ton cœur ne s'en attriste pas sans mesure, mais veille sur ton cœur pour ne plus être captivé par eux, et tu seras gardé contre l'orgueil si tu es sage. AMMONAS. 480 [178] XTtL M TO!.T7SMt6cEt S~MTTM~ TOÛ(")eOU, <X'!t6 COU TO <TMM.<X. fX~tK~EmfM~ T7j$TtOOVEKX;, 6).H~O~ COU OU<X[AKpT(<Xt, XKtK~XT7XU'/). 'Exf COU OT!CU~E~Mp'~Q'OC~ T'~ XXp~KX~ TT~S~~Kt U.)EKC7]<; KUTM~ xxl <XV(XCe~0~6jJt.) M em9u[/.{x S~~C~XTM~, p~c9'/iTLT~f;~UCM~KXi; YKCTpH/.KpYKX. S K~ OTt KXOUC'/i 'XuTT7)6~0H 9).~ CEEt; TOf<X~S~<?0~ 'EKV7) XKT<X~.<X~.m COU, 7C!XU[Jt.V~67)Tt V. XXt f. 163 ~YSt,XK~ K~~T7]C<Xt K.UTM, K~KTTX.UT). XUp~U'/iCOU, ~c!)7)T<. 5 ~:<XTpE1T7; 'Ex~UTrEp7]<DK'V~<X XtXt O~OV TO'V XOTM'V XXtOUX. ~CTtTO~CU[M~6o[Jt.E'VOt(; C~Tt. <X'!TO~UCt COU OLUT/j KUITT) {/.ETM~OtK, §Tt~tK a L'X 'Xv£"OUOéVWGLÇ 1t0 ~'XV Cou E~~ GOU TOVTT~7)CM~ to 'ExV T'~ X 't"'I]V EK;"0'11t E~OU~MMC~ eou, 'il GOU, XKp~t~ ŒpO ~c6'/)Tt u't"L (X~KKXUT). ~vrx1trxu' TTO~e~T) e(lo"{l cE S[~ CS Twv ~Qpù~ TM~ X.a(.t 'ZJ«vXK~O~ 'E~ oc CM~.StTO; ToûTO6ô OEO; TOUTO 0 <X~<X.~(XU7). sïÿ /EM<X!; COU, %xiâvxraû~. cw~JxTO; ~aPaâo-Sesc T TCtpK~MCEt ;~eiPaS 's~A~cûv cou~ )XUTOO cfT~ XKt 'EctY T~~oUCM~6t(; COU,~'<!c6'/)Tt <XT?o6KV/],K~KTtKU'/i. ~X'/) T-/)~XKp~CM ~oS KT)~ 10 TM~ÔT)!XT7o9cMOUC&V '~0~ TM~YU~<XMMV, M; Y)~CT7j'COL, ,tJ!7jc6'<]T~ ~O~S[/.V), 60V,XKt<XV<XTT<XU'~). XK~KX9(.TOp9o?, TK X6tt~~OY~O~~Y),TX ToniïXYKpTTXVTK~tXXptC~ CU~KyOUCOt. eKV <~ <pXU~X 'A~UVOt.TOf OU~sM<~ T7]~~KXXptCM, T7)V~6t-rOUpy~~ MUTTji; X<XT<XpY~. XMTOV 6 ftXTet T7)'V WOtTICT];' WpMTOV '~CU~~V, '~OU~KX T?)VNOXTJOM X~u9~.0V X~Xu6~0; Ms. 1. ~5~<jn 53. Si tu es tourmenté par l'impureté, accable ton corps constamment dans l'humilité devant Dieu et ne laisse pas ton cœur croire que tes péchés t'ont été remis, et tu trouves le repos. 54. Si la gourmandise te porte à désirer certaines nourritures, souviens-toi 5 de leur mauvaise odeur, et tu trouves le repos. 55. Si la médisance te pousse contre ton frère, souviens-toi que si tu l'écoutes il y aura lieu de s'en plaindre, si tu renonces à marcher contre lui tu trouves le repos. f. i63v. 56. Si l'orgueil te domine, souviens-toi qu'il perd tout ton travail et qu'il n'y a pas de pénitence pour ceux qui l'écoutent, et tu trouves le repos. 10 57. Si le mépris combat ton cœur contre ton prochain, souviens-toi que Dieu te livrera à cause de cela aux mains de tes ennemis, et tu trouves le repos. 58. Si la beauté du corps sollicite ton corps, souviens-toi de sa puanteur 15 lorsqu'il meurt, et tu trouves le repos. des femmes comme s'il t'était très 59. Si tu es combattu par le plaisir agréable, rappelle-toi où ont été celles qui sont déjà mortes, et tu trouves le repos. faisant des déductions 60. En toutes ces choses en effet le discernement', fait les bonnes choses et rend inefficaces les 20 et des raisonnements, prospérer mauvaises. Il est impossible que le discernement vienne, si tu ne fais pas d'abord (rechercher) la solitude; la tout ce qui l'accompagne (sa liturgie) 1, Cf.Apopht.14,p. 40'tet M8. V. ~79]J TtKTEt TO~ 6 0000~' 7, K.YfXTr/)~, INSTRUCTIONS. ~01~' xyx~i EGTLY IX7t'O K~Ô TOU 't"ou ~X~RX~ p.7..x,PZV EC"r~ TÙV -'X'~TK~ 5 X.~ OsO'J, TXt XpSTfL~, SX'JTO~ ~.XTe~ 0EOU, £ou, KpSTX~ 6'CTM OUV TTX~TX 10 KUTû TrO~UO~'o~, ~E [Jt.x6E' 6~' E~8-/i OU ~i Qe~O~TCt TffXVTX TO ??0003K~' TOTE TOU K~QpMTTOU, ~) EC~ KUTX~, ~OU~Kt OU ~] X.Xt OU TL~.fX; 't"L[J.iX; X<Xt STOt- KUTM, KUTO~ K'~6 fXYx9oo'U~7) TQU OsOU TOU y<XO~e- X<X~ TCt~M~ K~ETOM~, 6(. (p6x<7-/), TM ~STK~O~K Xp~K: T7;~ OT~ E~ e1t~ TK~ 't" '[-6 KOOC~O~ Sc6~ <X~9pM~O~ OU~' T~TEt K~QpM~O~, 0'~V éeXOet~ vew O'J~ TOUTOV, XK~ '<] OT~ T7~ TOt ITxQT), Tt 481 TTpOOpXV 6 y~MT~Et. '0 t'OU ~OU'Xo~.E'~0~ I)[J.evo~ TO~ XOC~.O~ X~6p&)~OV (X~KX.X~~E'. yK? TO X<XTKWEtTM EuyETK! To'~TO TX~Et. TfX~TfX. 1tZ'I't"rx. KTTO WX~-O~ XK~ ~C'/fcs'. <XYKT7M~ T~TOU XO'7[AOU TO'JTQU, nKp'XX'X~M TXUTK. 't"7.'J't":7. K.<Xt 6'7XX~ KUTO' X.'Xt <XVOCOV, <X~&97i' ~.ETK p.é't"CX <X~.Ept~O<; XXTKpY~CEt <XU'C'M T~ TX'7TE~M7t~ T'~V ~U~ 6x~'XT& Et; T~Tet mo~OÇ 4° CONSEILS AUX NOVICES. OcM, 6X~H~St -?) E!XUTO~ KT7XTK. 2KUTM ŒU'X'X~t <pd6o'V TOU 0SOU X'KO XTTO T~ ~~v'T7XC' C-OU >t7c'~Go-,) Osou ~K ~K~OTTE~i 0-ao,3iva TOtTOV 't"OV Oo6o\' 6u~< n~i~, S~ '1UZ'£j~Ij'I, ~U~X~.S~, ouvx[I.et, I(X't'T'/iTKt X.t'r'IIGlXt ~KpK 1tlXp'X lot ?O~OV XUTO'J, ~SVX M~ ÔtK T'~ STirm'oO'/fcEM!; TX~.X~Mj;M 6tuT' 15 ~K Ot 6~6p0~ OÙV, <X~E~S, T~pOTE~S 1. not7) Ms. S!Ç 6s~O~TK J.U~, [<TM$ ôtCC TOUTO T7~ Et!; K~K~KUT~, 2. jj.ter~(7f] Ms. <XUT7)~ K~O (X~OpMK~ 3. a~op?)a~ 0<TO~ EY ~X~TtX TM 'r<X TOU 0EO'J, StXUTMV TT] ~U~~St ~O~e~OUfTt COU <X'!70'~E(r/) (")sC' T7<x97) (X~TtCTp<XTeUOS~ TO X~TipOWU.YidKt TO~ ~T~O'~E~.OU~TEÇ EV TM CM~KTt XOC~M <X~9pM7TOV. TOUTN' OU~' où Ms. solitude engendre l'ascétisme et les larmes; les larmes engendrent la crainte' la crainte engendre l'humilité et la prévision; la prévision engendre la charité; la charité rend l'âme saine et impassible alors l'homme comprend qu'après toutes ces choses, il n'est pas loin de Dieu. s ()1. Celui donc qui veut avoir accès à ces dignités des vertus restera sans préoccupation, loin de tout homme, pour ne pas le juger, et il se préparera à la mort. Chaque fois qu'il prie, qu'il cherche ce qui le sépare de Dieu et il le rendra inefficace et il haïra ce monde et la bonté de Dieu lui donnera bientôt les vertus; mais apprends que tout homme qui boit et mange sans discrétion ou qui aime quelque chose de ce monde, n'aura pas accès aux vertus, et ne les atteindra pas, mais il se trompe lui-même. 62. Je supplie donc tout homme qui veut faire pénitence pour Dieu de se de car elle renouvelle toutes les l'ivresse, garder passions et elle chasse la crainte de Dieu loin de l'âme. 6:}. Cependant, de toute ta force, demande à Dieu de t'envoyer sa crainte, afin que par ton désir dirigé vers Dieu, tu extirpes toutes les passions qui combattent contre la malheureuse âme, en cherchant à la séparer de Dieu pour la posséder; c'est pour cela sans doute que les ennemis combattent de toute leur force en attaquant l'homme. ~0 64. monde, 1. Cf. endroit semblent Ne cherche et lettre, à saint à ceux ne donc prends n, 1, p. Antoine pas et d'Ammonas. 2. dont Cf. Migne, on a retrouvé tant frère, repos, confiance pas 4M. le P. en toi-même G., des t. XL, fragments tu que es dans col. 1073. coptes dans une Les (Brit. le période préceptes Mus., en corps ce exempte attribués catal. Crum) en cet res- 482 AMMONAS. [180] Ot EVXKMM XTTO TMVWX~M~, ~MTtCTsXXoUCM SXUTOUt; (TeKUTM X~TTXUOt~M LM)TT!CTSU<r/i(; M TTCt~OUpyKX~, ~O~Mt~p0$XCf~pO~ T'~ SK'JTOU ~M~OÙO~QpMTM~ !XTTO'Xu<?'/) XXpÔ~ W~Mf K tDfM !m <1t~ <XUT'~M~ avryv w5 XtX~ xa~ SKTTT/j~OSctV £~G1t'I}OOUüW T7;~ TfV f. 16't 1s4l'r°. OTt O't"L (X.~ETT~T), ~Ve1tX'I), ~cpVW -TO(.0(.~HpO~ 't"~~L1t'(1pOV ~U~T)~, "{IJX"IIV, X<X~ X~L OM CP1tXI"OUGLV p~X~OUO~ CTpOuQ~, XUTT)~ X<X~S9fV eirtXpKTEO'TMOt.<XUTT]<; Y~M~TKt, e'V TTM~TtK.[t6tpT7)p!.KTt TtXTCe~OUC:~ M~'.r)~6TO 5 TM~T7<X.p<X T~ Kp~Ot!; eUY~Mp7)9~VK~. XTO(.9(5~.E~ <X~e\e'/]U.6v< YK~E~MTepO~ U-~Sp Ta '7:pXXTMO\' OU~ M~O~MOMU,X~ <puM~M~e~tTE~OU~TE~ TTXC<X.(; T0!<; 'Û~, ~U~KCCO~TEÇ J 0~ XO'~0~ XMt0~ ~0~6ot.TOC XM~tJOUCt TM~e~6pM~'~MTt K~TME~ T'/i~XMX~<X'V ~.LXpETOL~, <X~<X X.9(.t KUTOt OU OTt !X'~& T?]$ ~OUTOtJTOU, U.0~0~ ~U~TTOUC~ ~[Jt.Ki; ~O~p~ XOOU T?~~ EUToe~~oufn 'n]~~X. ~po ToSs~~6e?vex TouCM~XTO;. rou~ cTE<pK'vou~ TX 10 ~<XX~pO~O~CM~SV TO~U~,M K~E~O~,TOVXO<T~XM~TK ev (XUTM, ~UYM[~EV OtX~CfL TOUXOC~OU SCTtX~ XpyupO.XOH 'H yo!?XA7)pO~O;JHK TOUTOU ~pUCO~ e~OUpXVtO: <XY<x6<X. K~~KX~ K~SR~O~E~Ot XKtE~U[Jt.CCT<X, X~ où [J!.0~0~ OTtT:Mp<XTXEU~OU<T~ -y]~.X(; (X{y.KpTK~St~, E<7WV~6 0~)8x~t.O;OUX <XÙT< 'H ~6 TOUOeOUX~pOVO[;(X. <X[J'.ETp7)TO~ XKT~t[/X~O[~.S~ OÙX 6 X<Xt 6~t XKp~~f~6pM~OU (Xw6'/),XXtTOtUTT)~ -~OUCE, e~Otp~MTO EÏOS,XOHOÙ~OÙX TOUTMXOH OUX (XUTOU M TM[Jt-tXpM <xÙT7j~ 0EO~T0?<;Ù~CtXOUOUCM ~.K~SiX~OUC~ KpyMÇ,15 XOt.tptp X<xlt[J).<XTM~, K ~Ctpee~OVTO XCt~~tX <p~6tv8ph)T;KX~ K~K ~t' KOTO~ X<Xt TOÏÇ~eO[AMO~, UOMp Ms. 1. Tto~pe~< 2. a~Tp~o~ Ms. 3. Cf.1 Cor.,n, !). de passions, parce que les (ennemis) rusés se contiennent pour un temps, cœur en pensant trompeurs qu'ils sont, jusqu'à ce que l'homme ait relâché son sur cette malheureuse qu'il est dans le repos; alors ils s'élancent tout d'un coup f. i64r. âme, ils la saisissent comme un passereau et, s'ils l'emportent sur elle, ils l'humilient sans pitié dans tous les péchés; il lui est bien plus difficile d'obtenir le pardon (de ces choses) que de celles pour lesquelles elle priait au commencement. 65. Tenons-nous donc dans la crainte de Dieu, et prenons garde d'exercer notre activité en observant toutes les vertus qui font obstacle à la malice des ennemis, parce que les travaux et les souffrances de cette courte vie non seulement nous gardent du mal, mais préparent encore les couronnes de l'âme avant qu'elle sorte du corps. 66. Fuyons donc, mes frères, le monde et ce qui est en lui, pour que nous héritions des biens du ciel. Car l'héritage de ce monde est l'or et l'argent, les maisons et les vêtements; non seulement toutes ces choses nous portent, à monde. L'héripécher, mais nous les abandonnons lorsque nous quittons ce ne l'a pas entendu, il tage de Dieu est immense; l'œil ne l'a pas vu, l'oreille n'est pas venu à l'esprit de l'homme' et Dieu l'a donné à ceux qui l'écoutent dans cette courte vie, et qui ne le cherchent pas dans l'oisiveté, mais à l'aide du pain de l'eau et des habits qu'ils ont donnés à ceux qui étaient dans le besoin, à l'aide de la philanthropie et de la pureté du corps loin de la corrupet 1 Cor.,11,9. 1, Cf,Is., Lxrv~-4, _nn_ s lu 15 20 [181] V. INSTRUCTIONS. 4° CONSEILS AUX NOVICES. 483 KKtX~E~ ?<XTO~X~O<p6op~,XXt TOV~OV, ~~t TOKT-Qx~ KXXO~O~~L TO X~O. TX~~0~' KUTOU R~ 0~ ~TO~r. ~~U~ ~X<T~T6~ TXUTX, ~p~~ %xiw T~i XKt TM XtMVt £ÇOUGL, S~OUCt, xiwvc'rG~7(ù, TOU-M, E'J~xë-/)e-~OVTXL EWx~~A~covrx! Ot KUTOU~ r; K~pM~Ot, IXU"OUÇ O~T~ g %xi, OTrxV E~MC~ ~é*ÀO(,)(7tv Op&)7.0t, ~6 TO.~<TM;~TO;, ~xp~ K~~O~ ~O~TXt. O! ~E ~OM~T~ Ta e~XTK ~T&V X.~ KM.<XpT~, 8~0~~ ~S-~OTiT~ x). OVTe~ TTSp~~X?~ ~<; -~0~ TY) MUT&~~XT-/) ~LTE~~TE~T-~ x~~ ~UT~, T-~ EUTp~ -C~ ~M~ <XUTM~, /Y'. T-V T-~ YPOCIJY-V XpK-JY-~ 1 ÈV T~ TX~q TOU; ~6~S-/]; 7TX tO TM 6-X~ X~, K-JTOU, ~E- SCT~ TOU TTELpX~.O-: 'h)<~ 6 CtUTOU, SXUTO~ TOU OSO? ~6 x~' 77~ ~~<XUCO~T6H TO M e~ pcM~X 0~ ~L 0X0~ KtC~] ~M~ ~ps~t KUTOU E~ KUTOU~ ~po~ TO~ ~po~X: ~X T~ T~ CMe-~Xt ~U~Qô~e~ Où XOC~. ~uïou ~T~ -~p x~ ~~6~- X~ ~96~, TOUS <X~<X~. 6 ~po~~ vu't XKt T-~ r-~v i TK TTpOCM- (Deoîi~ OeO. XXT<X<ppQ~COUer~ ~t ~)pOU TO~ ~eQ' TOL;TM~ <X~pM~O~ X~ T-oS Xp~EM~ K~pT~XTM., O~~O~ ~pYOU T-~ rg î P x<po6~ TU. TOUTOU, e~ TO~ T~ Xo~X ~t 7;~TO? n~~TKt 6~ T-V -r-~ ~U~& ~9~ ~~OVTO~ Xp~ 6-:C TO ~~a 6 ZO~O'J ` X~ <X;<T~ ~S~JpM~ TO~ S~~M~~ <p~XTTO~-X; T~ ~TM~OU:, TOUTM A~TOC Y~ 15 <X~; OCÙrCùV, XUTÙ~, ii.XOCLC ~.X~K: Ot.UTMV, M T~ ~pyo~ TY/MpK f. 164 V° KupLO~ ïo~ e~E\~TOVT~ ~6~ ~ET' 'Au. M- EXX<XX-<]<T-~ O'JV,X~S~S, TXUTK XCf.6'-/];J!.6p<X\ X~Y~MC~MV ~œ~ YSV-/)TO(.t KXt7)U.tV 1. )~~œ;Ms. 2. ~To).&; Ms. 3. E~o< Ms. tion, si l'on ne nuit pas au prochain, si l'on se garde l'esprit pur, si (l'on observe) tous ses autres préceptes. 67. Ceux qui observent ces choses trouveront le repos; les hommes les honoreront en ce monde et ils recevront la éternelle gloire lorsqu'ils quitteront le corps. 68. Quant à ceux qui font leurs volontés dans le péché et qui ne veulent pas se repentir, qui sont dans la distraction des plaisirs, qui accomplissent leur méchanceté en se trompant eux-mêmes, avec la bouffonnerie de leurs discours, leurs vociférations dans leurs querelles, le mépris du jugement de Dieu, 10 la dureté envers les pauvres et tous les autres péchés les visages de ceux-là seront couverts de confusion en ce monde et les hommes les mépriseront et, lorsqu'ils sortiront de ce monde, l'opprobre, avec la honte, les poussera dans la Géhenne. 69. Mais Dieu peut nous fortifier et nous faire la grâce d'avancer dans ses ir. œuvres en nous préservant de toute œuvre mauvaise, afin que nous puissions être sauvés à l'heure de doit fondre sur tout le monde. l'épreuve qui 70. Car Notre-Seigneur Jésus-Christ ne tardera pas, mais il viendra en f. ic4v.. il enverra les méchants au feu apportant le payement éternel, et il donnera la récompense aux siens et ils entreront avec lui et ils se reposeront dans son 20 royaume dans tous les siècles. Amen. 71. Ne perds donc pas courage, frère, en lisant ceci chaque jour; AMMONAS. 484 [182) TKUTK~ 0~, Kyo~TiTS, T'/ip~M).TKCMTO~K<; ne0?, ~8' M~-/)~M~ 6 Xp~TO~.<Ï)pOVTMO~ TO'; ~T-o).K<; TM~<Xy~ Tr~ ~U~~TM~ TCC<; ~U~8y~CM~~Kt[J!.ETK T6t<;Y~pK~~MX~M<X EMX~TW XM 0-JT-/)pe? K.J1-K, E~ T~ ~6 ~KY~MMEtTMUT<X ~Up~U-/)~&V'I-/)MU Xp~TOU. Ô~0?0<; 7]~. M eco~TpM,XXtMp~p~~K 6~~0{eo~.MM KUTOU X6fr~O-c~Tt T7pO(7N~O~ e~t T<X.S-rK XKt~~<TGEt,C~OK~SCTtTM G'~6p(j)TM C~Mp~Tt T-~ 5 E~ TK;~e <X~MYMM<TX6t Au~TO? SCT~ 6 Oe0<;TOUEUpE< ~~g MTO?? YT)~T-~ K.YK6-~ X.Xp~O<pOp7)~Tt. KUTOUTO~XKpH~CMO~ T-~ ~<Xp~O~ ~060UC~ mpOUC~,O~M~ ~6~/iTKt ~p' -O~M~ S~ TOU<; Kt~K<;TMV<XtMVM~. 'A~. XKtY)~0~ XXtTOXpKTO~ 6Tt<XUTOU SC-TM -0 ~V<X{A~ VI. TOY AYTOY AIIOSIIAEMATA. TK TOU10 ~&-rx<. ~U~ K.URMK; ~OU~SUEM)), i'' &0u~ <p- 6 KùpM< OU XMtM<X;~K « OUOW9M6s OSM~OU~SUEM TOUXOC[Jt.OU, )), ?) TM0EMTq)OSM (-)EQS X~ où ~Kc6eYKp x~ ~ot e~ 1:0~ ?) TMxo~M TMxo<~M.E~ 3's~o~ec-re ~~Ts ))- OÙ~Kc6s ~OpSUM~ Ë~ ~et~ y~' « 6 ~CHX~TrO~E~- YEYp~TCtt 1. e~~a9o}t~on Ms. miséricorde avec ceux que le Christ en a peut-être que nous trouverons aussi jugés dignes. 72. Prends donc garde, mon cher ami, d'observer ces commandements ont observé les préécrits, afin que tu puisses être sauvé avec les saints qui si quelqu'un les lit et ne les ;¡ ceptes de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Mais, et qui observe pas, il ?-eMemMeà celui qui voit son visage dans un m~-ot!oublie aussitôt quel il e<a~ la bonne 73. Mais si quelqu'un lit ces choses et les observe, il ressemble à Dieu peut semence qui est semée dans la bonne terre et qui porte des fruits'. afin 10 faire que nous soyons trouvés de ceux qui écoutent et qui observent, nos labeurs) sain et sauf par sa grâce, qu'il reçoive aussi de nous le fruit (de Amen. car à lui la force, la gloire et la puissance dans les siècles des siècles. VI. FRAGMENTS. 1° (Ms. du Sinaï 464, fol. 255 à 256). ne peut servir deux maîtres, a dit le Seigneur', vous ne de Dieu et celles du monde; )'OM~?;e pout'e~ pouvez pas (faire) les (œuvres) ou à Dieu seul ou au monde seul. pas ~-M'?-Dieu e~ m~7Mw\ (Il faut être) être Si vous êtes poltrons, n'allez pas à la guerre; car vous ne pouvez pas Il est écrit en effet' F ()«e le poltron n'aille pas en poltrons et guerriers. ~M.. 25. 5. DpuL.,xx, 8. 1. Jacques,I, 23-2~. 2. Cf.MaHh.,xm, 8. 3. MaU)).,VI,2' L Personne fl~J VI. DEUX FRAGMENTS. 485 E~X.. xx~X-~pE~OX~E~E:; OU~XCOEXXp~E~ yxp j~ X~.X~OpO.-?)T-~ (p~~ A p. 20 TOS(-hoS~7)~TE T.~ o~ X~RM~. '0 Xyx~S~~,«p~xv T~ ~6pM~ TOU (-)EOU'p~ Y~pX~XL yxp- XE'M;~XTOUxy~~Xt ~Ep T- ~)X~<7TXT<X<. eE~ )). '0 X~E~~ <ppO~T~,~;TM~ ïo.J -OU0EOU 6 Ù~~OUM~ U~MUSL, TMV~.M-OU(~MC ~KVTM';T<Xt TO~TOV~0;7.0~ TOU OsoCXXT~XTOUCtV. OuXMT:XKAO~ TOW<XT..V Oe~Et~ ~6pM7TO~ XX<XpM~M, V~pC~T~yx?' (( OuXt6'TXV E'~Tt 0; ~~TE; ~pM-~ ))-0~~pOO-~Xt ~5; U;~ U~MT-~ X~)~tX~~e~XO- o[ ~EU~O~pO~TXt TX-n;p6$-~0~ ~EyoVTM~ XvepM~~XXt-Û~TQ. "0?' Q~E~SK~~X~EX. T-~ X~eE~?,<pp~Tt<70V XX~X~O~VE~ Tx ~p6~-~OV-~TÛV<Xv6pM~ .~Ep XU~ ~0~<7X~ X~ XYX~e~ XUTÙ..'I~OU KXTE~ EypX~- ~.E~ TO <X~<XCO~ ~O~XTE-SyMOUTM .J;7.X; EX~ ~oy~O~XL, ?TL -~0~ T~ <Xv8pM~M~ TFpO; ~Ot-/i~TE, XUTO~ UC-EpO~ X~TX~~M~O~TX~ .M~ TT~~EU~xgE~-E~ T-~~ee~<; ~M-7XL ~0' .u~ «n' ucTEpo~e«u~ou~ xx~ ~x~Mu<n T~ ~~po~ -)~e~ Y~/xies,~x~ ~6s0~'JjjLM~ ~7)~0~. ~~M~.SV0~ TOU;T~ X~6pM~~X~NOE~E~ CU~UX~O.J? ~M~ XC~O~O~,M~6~ Y~pXXtT~i;E!p-~t~~XXTXCTXCEM~ TM~ <p6opO-:OLO~' OMEMTEpMV CU~OLXLT7]<T~0 A. sKt~a~s~ A. 3. <p0'!p(mo~ A. car vous ne pouvez pas être pusillanimes et .fe~ courageux; vous ne être et indifférents. pouvez pas Désirez l'amitié de Dieu ou l'amitié diligents des hommes. Celui qui aime l'amitié des hommes s'éloigne de l'amitié de Dieu. Car II est écrit C~~e:r y~MM mort pour /M t-e~e'. Celui qui prend la vérité à cœur obéit en tout à la loi de Dieu, et celui qui obéit à la loi dp Dieu est opposé à ceux qui foulent aux pieds la loi de Dieu. 2. II n'est pas bon de chercher à plaire à tous les hommes; car il est écrit m~eMr (à roM~) /or~Me ~tM Ao~~ diront ~Mbien de ~OM~; les prophètes sont morts pour la vérité, tandis que les faux prophètes ont dit ce 10 qui plaisait aux hommes et en ont été aimés. Toi qui veux épiloguer sur la vérité, pense (plutôt) à mourir pour elle, et non à faire ce qui plaît aux hommes et à être aimé par eux. Voilà que j'ai écrit comme j'en avais eu l'idée; pour vous, faites ce qui vous conduit au repos mais, pour moi, je pense que si vous agissez pour l'agrément des hommes, ceux-ci finiront par condamner votre i. manque de scrupules; tandis que si vous êtes pleins de zèle pour la vérité, quand bien même ils commenceraient par être un peu de mauvaise humeur contre vous, ils finiront par admirer et par louer votre zèle selon Dieu. Fuyons donc les réunions inutiles des hommes, attachons-nous à la solitude, car le commerce avec nos proches est nuisible et détruit l'état 20 (d'âme) pacifique. De même que des hommes vaillants, malades de la 1. Kec)i.. [V.28. 2.Luc,vi, 20. Ap. 29. ~.U~' <~Y~o!p~ ~~TM<; O~YO~, X.OCM.OV MSMM~ T~~ 0~ OUTM!. Tt :<.<M~- ÏTL y~P ~CCOOOM~ ~6pMT:0~ XO~O~ ~pO~ ~OUCL e~ ïo x~~o~ cou', cu~yxye cou TMwS~-~c~ït K<xOs!~MO! '~e TOU TOT~ T7i<; M TM XKT~M~ CU~TO~ T-~ ~j~TO! TOUTM XO<~M S~O~ ~~MCM- T-~ CU~~Op~-~<; ~6~COH ~TOHOT-/)TO$, X~ S~HMM! -~e- TM ~~gs 5 ~OW~, TT)! C~OU- M TYi<XUTYi ~poeu~ 1~ 7]CU~K~XKt <X<r6E~ Su~8~? ~~K~OS JJL~E~ ~Û<;~pK' 6:C~ ~6? M ~U~- M XK~CT~6M~~OY~OU Mv/)c9-~t~S X~ r~ M TM XK~KyS~ TL'~~p0~~OT~M <TTEW.Ya.M-M <p6ë(? ~OLM ~0~ ~p~TT) C~ tO oS~ TO~U~WM <X~6p~TO~ ~XpUO\ 'An~ X.~ SX.~O[~~ Tr-~~~UCTO~ ~e~o ~p6~T~ 0~ ~<i6-/)T.. <T~ou TO<pp~~ ~~pK~M~ p~~e~<rr< xp~<x'- ~e e~ T:~ 1. ~xa T0-< A. 2. sans ceux-là. Que qui ont ïo~ ~oxe~ Kp~YY~M~, <X:(~MM, CM~)X<X~6~ TM\' O~TM~ le ms. dans malades discernement peut-il renoncé TOU! I. J et rétablis tout participent en (au effet y avoir TM ~T~eUT-TO~, ppuy~, 3. om. A. ~~TM~ ap~ I. haut dans 4. au leur X~ ~)6ëoU! 5. la corps, T~ de ~MWU?. 6. 65Ù~ marge. 7. ainsi les xp~a commun (MOTO! I. Les J. la entre onze 8. 1 add. qui méchanceté le TO X~ "AYE hommes à nécessairement encore TO OEoC T-e XO~<X.- TX ~epM-!7& TKpTKpO~, I. -rou x.<XTE~?: T-~ <x:<~u~ ~~TM~o~ ~OUCtM~ ~Y~N~, dans grattés deviennent quentent ceux TO TOUTO~, sont précédents peste, XUTOO, ~Up <n-/tp~T<X, ~t T-~ ~<~ TOG XpKTTOU ~jf.52 ''°~' ~OCOUCt, oE Of.T?OT6(.~[Jt.EW: e~~TOU- p~ ~~T~ y~O~Ot jAET~K~XWJCt 2° E~e J f. 52 '° a. [184]] AMMONAS. 486 monde 15 mots xai fréde et monde). s 2° (Ms. Coislin i08 = I, fol. 47\ et Coislin 127 == J, fol. 5F. ton recueille ta cellule, Lorsque tu es assis dans (Ammonas) dit encore du corps; pense la mort la vois alors mort; esprit. Souviens-toi du jour de ce à cette conjoncture; accepte les fatigues; remarque la vanité qui est en afin que tu puisses toumonde; applique-toi à la modération et au zèle, de la solitude et que tu ne deviennes 10 jours demeurer dans le même zèle de la condition (des damnés) dans l'enfer; pas malade. Souviens-toi encore dans quel amer silence et quels pense comment les urnes s'y trouvent terribles gémissements; (pense aussi) avec quelle crainte, quelle contesles tation ou quelle appréhension elles accueillent la souffrance sans fin, Mais souviens-toi aussi du jour de la résurrection pleurs spirituels et sans fin. donne et de la comparution auprès de Dieu; représente-toi ce jugement qui le frisson; tiens compte de la honte qui attend les pécheurs en présence de de Dieu et de son Christ, des anges, des archanges, des Puissances et tous les hommes, ainsi que de toutes les punitions du feu éternel, du ver VI- T~ ~~XMHX-:0~ ~TOUX'JTOU, KYY~M~, XY~ .l' Xp~~YY~M~, DEUX FRAGMENTS. TOC<-)MU~XTO~ pLETX 1 TOU ~p?7)~ Y 1. ~OU~M~ ~K~TOç ~.OU, T'IIÇ T- XIXP%V T-/)?T-v ~Mp-~XTtX, XXt1't"'IIV - CI.0 KT-O~KUC~. aUG~v. ~KpX~Y.7..L TO.JT< 'E~TSp~ n 77~ {j riTÉVE, ~OUS, OCC%OUE; p 5 ~S, i. <~JTO~- 487 ~t ~C~ T~ T~ EVOUCx: S~u~: m 'C'f,V :OÉCCV<po6ou~ T-~ lP0'OOÛü.EV05~U7// TOUXptX~ TCC-KU- ~pT~~ Gu ~T~ J f.52 rab. ~?~6.. TOÛTOLSY~' -rOUTO~ 'YÉV'f,' ~S T0?<:XY~eo~TO~ ~OXe!~OH TO~ <o~, ~pE x~ XY~~O-J <='J~X~ Xxl TOUTM~ ~O~KCO~~0-\<XU<TX!, ~S:'VM~ ~S Kno-rpMC!c6~t. "Op<X~OTC, ,,1 "1' 2 ÀÀ' COU TUYX~! T~ ~n~ TOUTM~ ~OU', T-~ MU T6l ~~pp~r~ 'PpO~X, OT~ X&V TOUTOU TO~ f~EpOU<;~X<pEU~~oy~OU~ 1. gouverne ici deux nrcus.ifi~. col. 5.'j8. 2. tcou Mss. Cf. 7'A~M7-M ~a~c ~f~. <'<L Didot, Paris, 1831, t I, qui ne finit pas du Tartare', des ténèbres qui couvrent tout cela, du grincement des dents', dp la crainte et des tourments. Ajoute à cela les 5 btens réserves aux justes, leur assurance devant Dieu le Père et devant son Christ, les an~s, les les Puissances et tout le peuple (ajoute) archanges le royaume (du ciel) et ses présents, l'allégresse et la jouissance. le souvenir de ces deux (alternatives); gémis, pleure et HappeUe-toi souffre à l'occasion du jugement des pécheurs remplis-toi de cette idée, )o en craignant que tu ne prennes avec ceux-là. Sois dans la joie, l'alléplace et l'exultation à propos des biens réservés aux justes, enorce-toi de gresse recueillir ces derniers et d'écarter les autres. Que tu sois dans ta cellule ou dehors, vois a ne jamais écarter ta pensée du souvenir de ces.choses, afin d'échapper peut-être aux pensées pernicieuses. 1. Cf. Mnr< fx. ~3. '.5. ~7. 2. r;r. II Pierre. n. 4. 1 Th~s.. )v. 1G. 5. Cf. Hph.. \t. )2. PATH.OR.–T.Xt.–F.4. 3. Cf. Ma).th.. vin. 12; xm 42 etc. li. Cf f-52. 1 TABLE DES CITATIONS ANCIEN GENÈSE XXXVI, 6. ,,r. xxxvn, 44/ ,~XLI,5. m,5. xxvn. 441, 449 DEUTEKONOME. 8. 5 NOUVEAU MATTHIEU. 487 453vm,15. 456 n,7. 465 453 ACTES, ~8 436 475 475 HÉrsrs. HE))«. 438,448 JACQUES. 484 466 442 1,23-24. tt~i ~82~,17. v,13.13 v, IPiEME. 457 GAL. ~85~ 427 468 465", 404 412 449 vi, 48/ ~Q 440 HTiM. 438 ~~4 472 472 ICon Luc. lïm~s~. iv, 16. .q Nonl. II 487 too X,J.O. xin,l-7. ix, 43,45,47. x, 44 458 468468~5. II 5. 408,417X1,20. 435 YlT 3 MAnc. ~c. xii, 50. xvn, 10. xvm 5. xxiv 49. PHtUPP. 4M 4~ –44-46. xix 27. v.26. x.l9. TESTAMENT 408,417~3, ~87~3~ 22 457 xrv, ~y22. 8. yo~ 4Ho 473 ~q ~EAN. 454 v, 22. 457xii,50. xvi, 7, AKR 484 13. 456 ,y v, 45 vi, 24,25. vu, 1. -14. v' ix, 11-13. nf. 28. IsAÏE. IsnïE. 450 441 ~73 41':) ~~g 437 ~,7 7, 8. 458,459 482 Lxiv,4. g 4(,1 455~ 443 JErsfsMIE. 448 433 470xxm,21. 436, 439 m,12_ 468 xiv, 12. 442 xv, 16. xvni, 11. xxxm, 11. 20. xiii. 462 /Qr, 437 PROVERBES. PSAUMES. EcCH. 437 cxxrv,6.3. CXL,3. 484 CXLII, ~g TESTAMENT 443 i,6-7. 28. 438 2. 14-1H. 12. 11, 4 11,4. 436 439 AscENsioN D'IsAÏË. 487 LÉvi (cité deux fois).. 454, HPiEME. 487 445 453 II TABLE ALPHABÉTIQUE DES NOMS PROPRES ET DES PRINCIPALES MATIÈRES A \bell'13 Abet4533 Abraham '.42.. '.I.li" 't4<i,Abram4'.f. Abrnm ,r.lG, Achille (abbé) 409 n. t. ';09 n. 1. Agathon'.('9n.l. .\gathon Air ténébreux 454~, A)it-.gressc)urs<)uunsui..111t~gressc lui-s(lu'oit stil)les k'ntatiuns porte a\cccour:)ge't41.448, et ttoucenr AU<gresse apportcespar l'EspritSaint 4'f3;4,)ru .\me conduite au lieu du repos par un (ange) 47' gardien 435~ En souci prendre chaque jour 47'.); Ame ou cœur ',37, –Monte de ri[ades4'.4t, Am<Uineauci)e4t)0. Ammoes pour Ammonas mutent dans les Ira.4217-422,430, (le moine) édiductions393. Vie Ammom. de l'Arabie d'Ë. teurd d'Iteur d'Ammonas, Ammonas, d'Id'Ammonas Ammonas 394-5.39ft-a. gypte 394 note. saïe, de la vie ede '1 1 mort avant39G ou Ammounis 415, Était etc. 395. Fêté !e Ange le 403, 395. :'03: gardien gardien 435~, 1.:150-11 ~0, 395. 26 janvier Aumône n'est qu'une paret laFc~té veiHe 436, 474,, 1 lie de "e de ntachante est qu une 457-8. parde la ull1quagéslllH' detaQuinquageshnc Anges A.es"435,4.35~ Quelles aume)iies aumùnf-s 3-)5.-Ses œuvres 397-Animaux :rhumme! cheurcstptusmatheu~"sMes faut-il accepter? sujet 8. Sont éditées 43.. sqq. cheur est plus malhetiS.Sonteditces432sq<). dt, °'hort. l'rxhort. 469-î0. 17, 469-70. Ses reux qu'eux apophtegmes~ 455-6;donnés en 3'"):sontc()it<~403à~ exemple 423. Conservation (les' 456;4(!7~ jR textes 398-'): 471 n.l.'Antechrist45<!t., –Leurutnisationpar Antoine tuaitrt (saint). les auteurs subséd'Ammonas (mort ver~ <)ucnts 399-400. 356), page 394; 405,, Ammonas écrit à ses ~13~ 4065414~frères 432~ 438; 450, a! 408~ 417~ 419 n. 3,4246-, ses amis 435:, 436~439~' 481 n. 2. Cite par a ses fils 438, Ammonas 'i4o~ 443, a~ Apophtegmes 439~, 442; ou « pa447~ de grandes roles supporte édifiantes des tentations solitaires 442, égyptiens. Leurs diversescompiAmmonios iations 39G. rastrouome, Éditio)! cité 398 n. '2. apophtegmes des Ammonios Cheneuritès., d'Ammonas 403-423. 394 note. Leur ordre chronolo- ''09n.l.[nmonios423~ .\mmon 410. Ammon de Nitrie 3U3 n. t. 409 n. 1, 419 n. 3. Ammon de Pcboou, .mteurde la lettre sur AntmoniosonepMTirxmen-' s;ique403n.l.–SerThéodore e) Parome tionne393n.l. ventàconstituerla vie n. 1. d'Ammonas 394-5. Ammônis~24.428~430; AmmoadeJ!iia\thon393 VacitercherdeuxdraArabie de l'Égypte 394 n. 1,405 n. 2. gons pour garder "ote.–Desertd'Arabie sa~ Ammonas 403. 426 n.l 1 40'< porte 428-429. I-'ait~ t~-i:t 405~j,, Arbres 40f)~ périr un dragon 430-1. agites par les Ressuscite un enfant 'n-)3 408; vents s'enracinent da431-2. ~4., vantage443, 4.t2.~455,472;486~ Ammonius de Thône.. Ascension d'Isaie visée Ammônis. cité394note. 444-5. Ammonas évoque 4of; Ammoun409n.i,410~Aspic399;42< ''tlj-412~ ëdiieurs de 413,Astro)abe Amn)onas. Noms de traités 't'4,H;4)7.s-t.j' snrt'astrotabe -1-ménn.rarine.jutper398 n.2.-). 'i-r-i.j''t9,420, )~c405~cf.413., Rasitic tué à la prière d'Ammonas 403 410~ Bedjan(P.)eité396;397' 402,405 etc. Bénédiction de Dieu esl de tenaccompagnée tations 441., 441-2. !!etimesouVitimis409 n.l. Bons (marcher avec fe--) 473. Honte cngcndrefa purete 47. t!udge(W.'cite 3H6 397 Butter (dom Cuthbert) cite 393 n. 1, 395:402' 404 etc. Caverne d'Antoine 406 Ceitufe. Y penser aux châtiments et aux récompenses486-7 Ce!intes404~409n.l,411~ Leur position n.t. (:ép))as'f4(: 404 TABLE ALPHABÉTIQUE DES NOMS PROPRES 490 Cérastes 42(;in Charité es). )a fin des Rend vertus 477,; t'âme saine et impassible 481;; Sujet du quatrième enseigncmcntd'Ammonas45(i-8. Ct)rist,notremodètedans la pauvreté et les opprobres 458-HO. Ctfu)' droit est reeherch< par l'Esprit 445,r, Cœur pur 474.~ Co)èrc. Ammonas demande, (turant quatorze ans, de )a vaincre 404~ 410,0-11 Concupiscence, la fuir. sujet de l'exhort. in. 471. Conversations vaincs éteignent l'esprit 440. )t's Crainte produit el t'hularmes 435,, mi)itë481a est Crainte de Dieu chassée par le rire 420,, La demander 481, S'y tenir 482:j Crum (W. E.) ci)c :K)'! note, 404 n. 3, 481 n. 3. Culture de la grâce. Sujet de la lettre 2 d'Ammonas, 435-7.4X5~430~ D David4:!7~, Delehaye (le R. P. H.) cite 395 n. 4. Démons 423~-u 424, 425,S-5-0-7-X Attachés aux penchants 425, Combattent plus activement 1 contre les héros 411, Sèmont les 441j; mauvaises pensées 4< 47*~4 V. Satan. Diable 435,, 441,~ 448,~ 4547-s-n Discernement et vue d'en hant 438s43')~ 480~ t Distinction des esprits 435; Distraction durant t'«fMee422-423. Distractions ëteigm'nt t'esprit 44u~ Dorolhée cite Ammonas 3Hi'.443. Douceur de ta ~'t;in~2 f)r!<~t'ns42n-433. tasixit-motet.trc4r.n-2. Gloire des hommes 't7(! Conduit au mensonge 47:)~ K Gourmandise 480~ Hst atatëtedetoutcsic~ Écritures.–Les Méditer passions 477;, et gémir 403~ 47:i~ Gourmandise (démon de Nepas!esscruter472-3. la) 42~ V. Livres saints. (Gouverneur est l'effroi Miie't44n des sc~tërnts Mint<'Th('sbi).oM:~4:!4~ 410~ Enfer 486n V. Obscurité Grâce 451; t'~nétcrneUe4<!2. S:'desla force gendre ~3~ cription 486-7. Sa douceur43.'),n4:i(!; Etmomi (démon) ~48,,) Ennemis de l'an~c la co<n- Grâce (Culture de la) sujet de la deuxiemf t'êbattcnt481,cha[).H'<. tre d'Anxncnas 't:t-7. sur Enseignements ()u:)Orraco perspicace tre grands pechés:orde la troisième sujet rancune, jnKegueil, t<-ttro43S-40. sur mont porté antrui, de charité (iraop<;etest,e44:)),, manque Grec, son nnporiauce un 455-8. Hgyptc40t'-]. Ëphrem(S.) cite 474 n.i. Grégoire arcuimandritc Êsaù 441,3 449n du monas).Èrcdo SaiutEsprit (Saint) 4;!4~ 4:t7, Jean-BaptisteduJour~ujetdeja M3,i5-t~– dain:M!i )).< septième. )ettre452-'<. –Eprouve tes siens 44~f; les livre au diabtepuur H (ju'ities tente 454. Habit tnonastiquc Esprit de])ieu444~'f'i. Hache pst le (droit) jugcX-16 meut~u9, 418~ Esprit de feu 44.~ du dotK'Hur 452, Hadès; .'une monte ()c t'Hades 4M, <)e pénitence 45: Htienne d'Atexandrie ci)É IIananjësus uompHat.eur (le la version syriaque 338 n. 2. du PM/Ytf/M <S P~f. Ëudaimon, abbé. 421 n. 2. :!9' Evangite 453 Hase cite :!98n. Eve447;~ d'Ammo- Uenoch 45: Exhortations nas. Différences des Ht''ritagc de Dieu oppose à celui du monde'f82, 397-8. manuscrits Sont. éditées ~58-7). chap.S'i. Honneurs venant des hommes doivent être F méprises 437,~ fatigue corporelle pro!~o)Hleu~'s les fuir, sujc.t. duit les vertus 475~ des exhortations 2 et Femme insulte Ammod'Ammonas 45U-6t. nas 407~ 415~–cachée Humiliation du Christ par un frère, 407~4)(~ doit nous servir (le Ferveur divine 437~-j~ modèle, sujet de la Foi464,< première oxiiortatiou Ammonas in siFolie; d'Ammonas 4.'<8-U. !nnle4<)7~4t5, Lnshumi)iatio!)ssont Forces de l'air repousun profit c)uu gain, sent tes hmntnes'):!(:,jsujet de la seconde cxhorta).iou45U-<i",et.des (~ G exhort. 4 et 5, 461-:1. Gardien. \Am;e Humilité est a la t<te de toutes tes vertus 477;, Gtnire (vaine) sujet de [188J a:r:'tce comme Impassibilité cei)e d'une pierre 40f< n~ accabter le Impureté. corps pour mérite!' ~O~~s Indulgence d'AnuDonns p0)t)' uncpc<'))Ot'f"-M(; ~06-M7;~t'<j). Inm)it,i6, ne pas an avoir 478,47' IS:)!tC<t'tfi[~ tsanc )~ Syrien ('i)e Ammon!ts:t'tn. :<<)< ti-ac~M~ fsnie.S'm ascension est viSt'G~ Is!))oI'E~pticnci!cA))!tnonas :{<)'). Isr:)cJ~t, Ivresse.C!~ga)'dpr~.s)~; J .iacob 'n-n-tH ~~n '<'<tr.f't'Jnt'oi) mo([c)o de p!))icm't' M),-4 Jacques [S.)'2~ Jarre M7~~tt'~ Jcan-Baptis~fg.)' Jean Ctimaqne cite Ammonas:t9U. Joan,pa~'inrft)f')'n)ioche vers 1)00, )'< sumt'A)nnn)nas,o. Son Jean Pinloponos. h'aite sur t'astrotnbc traité l'astl'Oinbe estcite:!98n.2. JurôntP(S.)ci).<4:in.1. Jérusalem'<'i 9~ Jeune ~2~ l'ihrioi) man~e:uttn dimanche et te .jeudi '~5,, Manger tous tes deux jours ~0~), 412~. Mieux vaut [uangcr un peu chaque .jour 404, ~12, Jeunesse doit e!r<'attenUvo420; Jo))4't2u Jonc (trosser le) 'n 413~ Ne pas Jugement. juger 4<H!o7,4t'i-4ir<. du troi47.');Sujet siun~e cnseignetnent d'Anunonas 4!)(i. ~appa rtient qu'au Fits ~u Jugcn~ents d'Ammona~ 'tO(ia'"M;4)4!')'d7. :18~. de Dieu476~ Jugements .fu)iien.'M.;cHe:t9'.n.2:~ 40'~n.i. 1. Justes. tjeur bonheur: KT DES PRtNCH'ALHS MATtKI~S. !MorLS'ensouvenir't8n,i~paphnontis. '.86~ deS<'ete42t;, le simple ~91 en),snjetdescxhortatiens 7 et8, 463-4. Présence de Dieu (tout faire des en), sujet exhortations)~ et t6. 468-9. !Moyse('onvc!'seavccsaint~)'arac)ct4.'<j .\ntoine4o8j~'<!7; Paresse, amené les passions'~Sj 't7,it~V~482.~i()\serK)iuopien.ana-~ rhap.r,r,:48:487: ivscdcphjsieursdeses l'arier(nepas).Snjetde l'exhortation ~'rri)sa!)atognesaceux 18.470: Preuschen(Erwin)(-ite L 395 n. 3: 402 etc. d'Ammonas,~Oon.3.i cf.O, 473,.(, 47.'), du ciei revêtes! Prière contre les tentaM\stcres 476, lLabanV.9, 'tb'lO 'I,tl venue du pari'I';sprit445,n4.Parousie iions442t) Christ est pruche~S: Prochain: le r.-snectcr f.ad~.xe<~te:!9:in. LambrosfSp.) 1173,; < 70. .te:t.~ N Parure du corps est la l'routdutnondcobscurLarmes prudu.sent (a NatronM4n.).. mort de l'esprit~ cit l'âme 47721 jote 4.i. Xatroun (ouadi) '~)'t n. 1. Pasis '.18;V. Paisius. Promisse (n)s de ta) 438~ '~°' drentiacramte t8t, leur violence ~]\[~gtig(.nts(fuirieshon~ Passions, Psanme(ofnce)422j,423; lui non est proportionnée a la Puissances '"es), sujet de la troide l'air em'°". l sicmeiettre 438-40. saiutetu du patient pèchent de montervers Lcvia)iian~(~ éditeur d-1Dieu 436;'.rl" 'Nicepiiore, 4~ Lcv)ttque<n~t)~ Pastor trnducsaf.f'icSYrion.cite399 (abM), Livre.saints.Hestdau:1. tiondePœmon419n.4. Q ge) eux de les scrute! Patience. les ~i(.(;phoro'<r<goras.Son Enseignée par QuereUe engendre 5-" ll'ailé traite "111' I'astro)abe sur l'aslrolabe Ammonas 475, If_ passions Ammonas40;].413 '1050-1541:1 ft7510 l'" I.uttes de )'ame 43211»3-1-~il. ,j~ :!9X ?. p~~ XiL Cf. 4"'t,, Pau) cite nr 4().')n 4~ Euergetinos p '3i 40u. Ammonas, Xitrie 409 ~facaire cite 'i n. ): (montagne Pau)deThcbescitë433 de) Hancune, sujet dusecond Sa position 40't n. 1. 4" n. ); 422 n. ). d'Amenseignement · ~[aitres. ()!< ne pt'ut on Pécheurs menas 456. peuvent se -crvit'dcux't.s't-5. ne pas les Réprimande, Noh!esdumo))de(nepas' convertir, comment devenir Jrur Afa[rai)em's craignent !a ami) juger 45H~j_ un frère, réprimander vej!ue du gouverneur. '~3n)-n i~enciinnts doivent être sujet de t'cxhortation Nom change quant) un ~)3,4)0,-s subjuguÉs42. 1~4M~. 'Manuscri!s PensÉc" utilise"tf'2. [~ru:{resse4't6-7. impures s'cvaHespecthumaiu,sujetde Xoviccs't7'tn.[. l. ~laticre.–Aitnertamanouiruntsionneleur 450-2. la sixième lettre, ~icre h'uubic tend pas la main 4)9~ i'inteUiHire chasse la crainte de l'eres gcncc'f7~~ 0 473r. 477~ 479,; Dieu420t;–Ne jamais ~Id'chancctÉ euvers le (combattus chacun sese réjouir et rire 462; ion leur mesure4)l; Rouine. La considéra(jbscuritc ch'rurih.' proc))aij!,cotupar<eau e! vcnin d'un tiondes hommes lui scorpion ceux qui y sont punis Per)e(do!))par)et'Ëvan'i7'j.et auver<~ui bois 477, ro;~go)e (~~etsdciatnechanceie et tourmenté--462~ giie)4.')3;)j (Huvres:nepass't'npre-'t''6''re(S.)443,V.Sivah'ir. )uonet(;éphas. sujet de l'ex~r vivait encore en ''7'h. hor).n.'t65-(!i'out Médisance: ta tnir473, ''M, p. 395. taire en présence de, monastère de ,<SO., !?" Dieu. sujet de l'exhorMenteur, ie fuir 47.i, saint Antoine et d'An)tation!<,46S-9. 394-5.– Au menas, Mépris du prorhain'<e;res. doivent être fai-~ montsaintAutoine395 ~fes')pot.unic4~9; les selon la foi et non Midi(desertdu)426)i.).' n.2;397n.2. seioni'homme4.0-). Pihrion. successeur –(.\u moment de) 426. o)'jj~.Q~ de ~use. Mites, évoque d'Ammonas,394-M'. o,.g,)eii.sujetdupremier Sa iegemie le met en cite 400. d'Amenseignement Plaisir charnet 460,~478~ r.qtportaverAnnnunas nmnas 4.')5-< S'en Pu'men vivait au con~:!9' <~arder479.,480 2. Mi[icr.r.)ri)e:8!2. mencementduvsiecle, o~rages. Le-mépriser Mio.-<)eia'i'heba'ide39'~ :!9't-5. CorrespOfinote. dantdeMoyset'éthioMoines43't,'b!6,'j5i. p pien400.–Amtnonasie ~!onde.Sa~aest~)ro~')~c! reprend 408, 409,. de Pœ;nen. ~83.chap.7e. i_sL'f.40I)n.t,418). ~I~aïsios,frère ~)on(!physi!es opposent 4n8,(:f.4i8, r,-7''i' u (le Dien (vivre I. tecopteaugrec~o). ,Pamborite39:!n.t. ,Pr~ence estcomparëc4777 Hunn cité 393 n. 1,395; –traduit423-432. SacriRce (saint) (synaxe) 463, Salomon448~, Sara44H, Sarra44Ct.s Satan 423~ 435;V. EnDémons; Diable; nemi. Sauf 446,~ Scete404; 4K~ 421~ 422~,422 n.l.–Saposition404n.l. Schenoudicite400n.4. Scorpions 427;, 474~ s Scruter les Ecritures et tes de profottdeurs Dieu estnnisibte 72-3. 492 TABLE ALPHABÉTIQUE V. Basiiie.!Tartare4ti7, Serpent. Aspic, Dragon. Tempérance, détruit les Scrviteurinutiloetdébipassions 4768 teur466,-s Tentations; leur utilité; la quatrième 5ilence; l'observer !i6(il, Silence; 4GU, 460, sujet de ta iettrc d'Ammonas 440470~ Sitvain cite 401. G. Comment les vaincre Si.uon (Pierre) 446,, 442, Si.oès 405 n. 2. Si~ës Aasailleutl'hommequi Assai)tentt'hommequi tolitude a r<-cul'Esprit 454s-, engendre ]e~ larmes 481,–S'y attu-, Tentation presse les frècher 485,,j–Sujet res et les pousse a dp la lettre changer de province première 447-8. d'Ammonas 433-4. Tentation du Christ sommeil 423,Cause. ies passions 475-6. son baptême après 454, Support mutuel 423., La manière. Thébaide 4242 Synësius. de Pherme. dont il «restitue » les Théodore textes est citée 47t n. 1. cité 401 n. 1. Théodore Studitc cité Syriaque apophthegmes 395. traduits en syriaque 3!)6; sont Édités 410- Thomas de Marga cite 423.–Deux Ammonas399,433,449. chapitres! de la version syriaque Timothée auteur (?) de i's<orMmonac&orMm deI'~(.<o/-MmoKac/:o395. rsm 396-7 et 424-432. Tisserant (E.) rite 445 n.l. rp Trésor caché (dont parle l'Evangile) 453, Taire (se) et ne pas par- Tribulations à supporter 1er 462~476, 477, pour le ciel, sujet de DES NOMS PROPRES. [190~ l'exhortation 13, 4<i7-8. si)))c440,,443~ 4~<7,n Tribulation humaine doit N'' doit ~8r 4(i't-). être support<e 405~ pasôh'cchcrchf'-c~'S 412n L~ ~g cttan 68 Tribunal du Ci'rist. Clrrist. Le sacrifier ~acriHer an iii an prochain prochain prochain redouter 403:) ~lOo-~ y~ ~j~ v festee festée par par lesles supfsupc~,.jg~ Variantes. Explication quième lettre 446-50des variantes des exexhort. 8. hortations,471n.l. ~64-5' Veiiles431(; /.679 Vertu protectrice ou Volontés, au nombre de (ange) gardien 435, trois, proviennent du démon, de l'homme ou “< 436~437,474,, VertudeD.eu434,M Dieu 4-448-9 Vertu de la 451, traduction gràce 451r, 1. pstcitcc3')7-474nl Vertus, comment les ac- Vue d'en V. Disquerir481.chap.61. cerncment. c°rnament. Vitimis ou Hétimès 409 n.l. y Vivre pour le Christ, sude la sixième exborjet Yeux. Les garder pour tation4G3. q"o le cœur ne voie Voie étroite, c'est dompP~ le mal. 478, ter ses pensées 408~ 417g-G X Voie de Dieu 42t. Voleurs et Ammônis 428-9. Zosime cite Ammonas 3!)9 et 466. Volonté propre est nui- III Table de tous les mots syriaques du présent fascicule, p. 410-432, avec les principaux mots syriaques du fascicule Ammonii epistolae (t. X. fasc. 6, p. [15] à [65]) et les mots grecs qu'ils traduisent lorsque ces mots figurent dans le présent fascicule, p. 403 à 487. ~) 4!); XttTCtf~MV )o<e)0t~.) 408, ~rj~-) 418,, ~KCTK~Mf ii; 47, Transcrit l'iota dans ~n~cLa LjJi; ,x.n \wt-' !–to )oo; o-f~; 409g ~T, xpe[T~9e~ 447, 428, too) o~t~;o 427,~ 425~ \Mi2)j. Ct ~)<~ o, ~wwM2 ~°8 :M ~9. K6ëS-4t)R ~6a,4t)C~etC. ~i 422,, ~422, ~6~ 4t7~ 4)8,. ,t~, 415j YeuMdQxt 407 425,, 424,, ~n <~ 426,, V. ,), ~4t~;E~~7)<;404,, 4~ ~r– 4~. .1 42. H ~i ~~o;; ~0/1 0 ~428, .m 4t~: a~o).Ecr' a1toAsaat aTtoA~Nt 415tt; 4)5, '°~ 4«~ 4u7_ 407~ '"6,4 f )o~ ¡a~ ~'M' 108 423 1930 ~( ~° fo~ 4:~ a ~19,; l, a ), ~.)~;of42:t, ~i< tn "H Cf. ~4; 42t, ~!&; 26, ~.2 p~; ~j 4i~ ~j~ 427,, )~; 419, 40:~ 408,, -~o~oue.~6~ ~i < StSa<TXa~o< 40~ 425, 42H, ~~j ~.)_, loo, )“ 4)2, ),a~ 4)2,, 9~~ 4.0, ~o, ~20, 'A~~5< )o=) ~) ~< ~2 ~< ~))J; 0~ 4)6,; 407., 4)7, 428,; ~ot~a. ~M<TTK?e(Ye~TC(t ~6~ 412, t~; ~M 407, Cf. 427,, TO ~a9~ auïo~ ~t. ~)L, 4M~ ~< 418, .§~0; s.f ~n~jc~i M7, 408, 417, 42~ ~<~e~; Ammonae 423;, 428, ~g~ )~ ~426,. ~l, ~24~ 'A{t- 424, 48,, 419,; )~ 430,; 408~ 416g 424~ 428,g 430~; 404., 426, 4.8~, 422~ 403, 407~~ ~~g~; ~s,, 422, 408., 409~ 415~; I~YM 405, 420, 404,, TE8).t~{j!7) 4)6, 419~ 404,~ VKUT7)< 40n, 417~ o,).<ooo,)~4t5;j;~TU~OVT~40S,~ ~3, 443,, XKTe~Ee ~412,; TO Ss~SpO~ 4UH~ 4M,~ StSa~t 417~; 425,t~o KUT<;i 4U8, 4)9, ) 423~ 426,, ~TXO~ 4: ~.J't ~~35:, t 'HXiaç 'H).t0(~433, 35~52,; 52,; jw) ~i'9j, °. 9~436, ~;4t9' 4192 .1 ~°'~r ~'°' 423, 13 .;<S, OE~ç 407)a ~M 43ufo ~H3lf432.1. to ~4~ ~eu; 423 ~t-e-;3-i4-)M6 ~2 426, 428,429,, p 427, y aS~~(- AMMONAS. 494 !t[OTO(; 447,, 454.~ )~eL.ot~o47,,n8 ~f~7,4)8,4t9, ~YEt ~t, ~SY6V 4)5~ 4IH~; ~et 408, 4t7,; d7r~ 427~ ~o~ ;~o; 407;, 409~ 407~ e:TrEV 4u~ Xx~TBt 422,: 404, ~<~f 429,, XK[ du 414~; 4~ 18~ x~otue~o; )t9; 429,, ~o,o~, 5 4)5~; xc(T& MepM~ov 22,; 8e ~Y" ~~< )~nm-='; 4)4,, s~MXOTfO! 4)~; 4n(! EÎTrs~ 409~; ~ev~ )).(i~M;otXj-=26~cf. ~i)= o2~ 429,1~J; !,jt)t~o 406,z t° ooe).ot~a,t'!26,EAE-/ov407., "8' f 00) ,l~ef 40. ÀEYeTCtt 443,. -a 4' < t~ji o ;~QTe 403g 4)0~ oo) 419, t KCtpeëaÀov 428,, 429;, 43U;, 4:it;, <XTt?)A8o\' 404,, t~!°i'!2:i, 4)5~; Tt~s; ,~52. L!i: )JM ~~4~, ~t ~-M 12 li:~6LI JiLI I;tl ~oo~. 11-13~o 2),; 448,.l" 448t;, Bf.~ ~Y~ ~'7- e~OY~Mt EÙXQ-(~,aet6tUTOU<; y,~ 423,, ~po<; 4)9~ 423, ~4t8~; 6~409,; M 409, )U!u)~. 422 ~8EpM6U~433, )i!Q=m; 52, !c[Tp<M 433.. J' n.m)'!n\ 52,. eepOt~EUTOtt to~' )J.~ 43S. ~tciot a °)~ ~9pMKK- ~'t ,4H,p6~ 5. 427~ 406,, 00) i6~ 428 TTMtTTrtuVTKt ~EptanW ~429 a;n.~~.n4acy ~.<~4:<0 iA.a h:3;7tt~ f xocx-t, i(r,, xc<X7j 407, cf. 1'-)I;j /.12914I.«iot:~ 429,~ 43o,2),42:g HLj~l8:58tCf6o~o;4~ 4~ XKTa 2 4~ 8, ~K6o~K sv YSI~P~ t~~4)4, 32, )JLj;~±~429.,/.m ~443, yuv-~ 407. 4.6,; YU~ 4163; 407.~ ~i pETX6tOtV4.it~fi 30,u' TO~ XKTT ;;)~–oioMt~423,, OtUTO~! 449., a'v2oû ~) ~t-. 4: ~,4.2.p~40~ 425~ 6oxt~.XTKT6 8oxtu.isaTE u- ~,429, 10 ~?- 4~ 49-: 4.~ {MTa -ttw< 408,, Cf. M).Rt,449, ~~o. 7COÂEüOV 432,. 5:j'N n~-i '°-- 444,10 407, ~.Ot&JLjL\ 49 oveûatv Tr~E~U.K N Y~ Y 427.. Cf.' v?2,1 cf. 422, ~OjnM'a-.43<L °' ~°' ~o~J)43L, 408, 4J9,, fi ~u.e~ cf. 448, ,~M, 51,1-7: I¡~ 4M,4)8, o~pM~O!406,409, 4M~ jjKxxp~Kt -ixo).ou97)(10~v- 'i' 41i~; 4311~ 13 )U 4L,; 41112 415, 4181,; Tt Ttç 404 ~Lj;4)L,4~4M, 40,3 407 404g 407, 417 42!12 i ~<)43~ 40H,,40H, 43'\ )~49,9p?< ~n-.I 44, CY)TTr.9~ot[ 40ita ~~Tr,Owat 407,, 423, ~,) y' r1( aot i.iLV 40fia 0 1." ~n~jQ~))4t4.4)7.,424,A~<tO< TKpXtXM 4~ 1 °~ ooo¡ ""LII,14 ~'4 14 427,, 429,, 4m, ot~-M ooo, ~o ~uo '°°- tu; 4)9. a8 Nr XK- 4t6, '2' e'I<v]~Otfp7jTC(v407,~ crou 1,06 TOU "1 1, p; )~. 414 Ssou.Kt 406.. <cf. 421~~ 423~ u.; 4i&, ~i n4, y~o g~~ 410~ 4)~ t~,n. G,u, ~Sw 4, ?Lô·.v <i~ cf. <0~ TtuO~Ot ~tv0uava -r~ '107 ~eE-/ 407,, ?~ f. ~~Q~ ~(~; 415B LI 4)2,, e!ç 48.; ~84; 43: ~KUTOU~ 434~ TK~OV~TtU TTpOfIpmTOU.evK 448, 448.,a '1" )).; 4)6,421-; ILl 40i1 43~t, ~oo~anj~. )J_t~ ~o~; u.â.a; ~° ~4to,EYOU(~406,- fK~Q~o; -r?]<; pc«T~e{c«; o!xo8o{~<Mt 49~: 420,, 4'_>I 421, ~j; T~ 42. o!xo8o~ ~n-t ~j; T6XW 2. 438, rex~ot '!M, ~&~io .xJL=25,; 407,, 418~; o)\ ~c) ~L. M~Y~ ~ixJL= ~a)-. 4;). 43~ ~l~~ 422, 42),, 423, 427,~ 42s, 449~R 429~ ~50,4<9,;x<ï~YE449, )-); ~~o) 420, )J~ MsTOTMrxu.tOt ;Q. ~0 )~; 4M~: NUÀOtX'~ 403. ~pot~a) 429,, )oo, ~o; ~)~; )! t~ 422~ )-~= )~j; ~i ''ORm ~)!~t XOtX~Ot4(}H 4M, 'm; 42t~ 427,, 43), 419~ 420, t~): 4<0,, ~n~o; ~) ,-<; 422~ ).sy~ 4)0,; '<t.t; ~) 42H,, ~c) j~; :j)Opo~Tt )~< 409, 42:~ 4)0~ 4)8~ ~Y~ EÏTTE 409~ 409, too 4L_; Ty?)~K .m:~m; H~o) 4<9 4t9 ~) jM.t-'m; fi021 1 ~O. m TABLE DES MOTS SYHtA.QUES. [193 495 :o:).;422., t~°' < ~°! j~oo; 4)2~ 4~, 44t, TTA~M~ 'it:L: ~.j, 4u.~ Cf. <i5, 4:ii~, xxraxp~ 407, °~' 'i()7~, 'i~ ~u ~t! °~ ~S:oC 'n ~'a l ~S'" ~4~~ rend JLN( '"S~ 416E j TŸY Y~ si 1-;01 10~, .1~o, 12ï 128,.1 1ry6lU 4nz; .3~ 4~ 41~=; auTr 'ni% )~ '?7;t: 27, ..1tOX~'u.l.t. K~OXK~U~t< b;i'J~ 4.)U~ l' 'j-' 5'u 51, Te~EtM6! !pd6o< 446, T~StOt ~0[XS? .T., 't_ )oo, ~~) t8, Cf. 57,; sxE~ot o&< XKTeTX-~MTev Joo, 4t~ )~' ~s ~i-M-s SEd~Tj 405~ ~o); );) Me, ~o; 0?K TS ~'4t7, S!40S,,çf. ~-)~ 42R."1 42H. °"S(; '7 419, 425~ ~o~ioo~ ~) ~0, SxaSKpttIOtv \o, 453~, ~aJL~426,~UTN< ~) 2o, uTro~t~TXM 412,: TMO~Kt 116. 4~; M4, XK~Xp~Kt 407, "°'°'~°" exo~eyj 42H, ~q~n~, p~20,;65~4:i6,, ~.2 Cf. ~t9,27,: ~,<L ~"o ~°< 42< 430, 4~. ~M-, W~ )~ ~~= 1: 432~ 4t3~; <:6!VWTat 42f!, ~o, joo, j- SïjfjKXJtOV 405~ ~.o .je, 440, aST-y, Mît ),o, 4t7~ 408~ cf. 419, 431, ~e, 431, 28, TMptTTKTM 405,, 427. ~oo, )o0) ~o~e415g ïo~To11 ~o, 10 Nq 4<5~417t~: 4)7, oST'x;4073; 407,;Toûsu 403,, 406, 422,, ~~a; 42(~ Ct. ooo, ~<" 425,, 4)3, ).4t7,T0~0408, .~); ~M' 422,, 42: ~.o); ~o, 422, ~e, 406~ ~.o,42(!, Lo~~42~ K<!X7)<n<;439,~ eY~eTO oSiTM~ 406,~ (;f )~Q.i=,A~c(Tf)e<4'j, )~' )~o, ~)~ ~~j:4M,pS<Tat~o. 404 5 xal 4t5,g 418,~ 424~ 423, 427~ 431~ ETKOK~9)t]SKV ~otj ''0~ ~~oTe 4o6,, 41~i u.yrtotE 415, 406tb iYr. ~04 ~12 rend rcnd l'infinitif <t2,: t'~ 404~ +yyx~ 4)~; 423~ 429g 4:!)~ ~.o, o.LI n~<.) 406,, <?o,422g 'M!~ y 41~; ~o,414~ -CS~e~~ a~ToS s<:9(MV 404~ ~Qte 404,, i~; joo) 4t2- eye )oo,o 4)4, ~o, 42:i, u.ou 400, 41~ ~oe, '~00. 403g 409, Y~o~~ou ~) ~.0) of~ SoxtM ~.L. ~E[ 4X),, 1:t4~ 427,, )~ t.i.~Lf Trpodsyetv '2 4:H, 4)3~ 4'2:t. 42~ 45~ ~)i_ ooo) ~M !)io~ 423, i~oo, ~.5 +o t~o~ !po6o< 4:8, Cf. 42(i, 427, 4)4,: ao6o(; To~ <~SoT 4~0~ /oou! ,.q' )o)~- M~' 427M~ e:; )t~ <M~ a4 40ES,s ~S.2 "?°~°' ~2 4!), Ssôç j~.o,)i43t, )L.; go, 4:C~ 407t1 ~i. ÉsTtv CXV, tY' ) cxÀÀtcxO'tç 1:3'2" ~°' ~j:52,pOTOU 1 arUcle ..g -°' 0 )Lo,a~ Y~ YEYÔp.EVOV 407,z )w' 4)~ 1'>" )~<~ 407~ ¡¡, XOCTOC x~a '{EVECXVXOCC ~t YE. '{EVE'I.V a:3U -!?, ii "M, 453,e l'article )tCXTCX x~ v Y.EYExv 57, xa. “= iio p p 4211,9 ~j,,4.Ji '2 56,Age). rend °~ ~~° ~LfM,, ~¡<>'¡:'LL 2110; 1tUPOUT:xt ~upO~T~' ~t7,, +:i7. “?. )' ~l~, 428, StXaT8~VK[ ~o~: 407, cf. Tu~e6-/j 4~: 428,, )°.;4)8.6Tt~409, o~ 42H, )~ ~~T~E~M; ~4,, · ,too 1 '°' y 430, <~< TOXO; 404,, 4o7 424~ cf. t~,4i3,epM~4~cf.424,42.o;~427, Xt(T9 XCXT,x 43!~ Wi, )~4~~e~ot ~L I!t <!L, 2ï 27~ ~°'~= TOTrou; '?., ),o, TOUTO Mît TO 408~o j.o, 430, 419~ 423,, 419, 425. ~<412, ~o~ 4i7~ UTTO~p~Nt 425, 405, AMMONAS. 496 425 )~ )~ O ~n~t ). 4~OK417,, d7~s 43), s:ilz KY~n~cru 18, 448,; 4M,; xan xc(tpo-. 407, ci'. 421, 422, 432g; 7ror$ 410g 412,; ~VT.TE 405~ StMOtVTOt 4àl T'OV ;(POVOV XP°~" ~.)~~ -°' 418,; 403~; aY<< )~ <-<S, f~L 42n, y~ u~oSe~~M 59,; H~S), 2 1. 40~ )~M<iL54.MpMK434, ~3~ j~ KMYYe).s! u;~ j. 4S~ 4259 430~ ~Mt; 418~ ~<47.; ~=~)o425~ 408,, 4U9, ~g~ KTTKi7)44~ 426,, · )'.o<~ 427,< M)~J~ ~'< 50,; ~0~443, <07~ 1.1 ~416~o<< ~7~ 8.t 409, Cf. ME~t F-7rFty&t 49, 497; t- 419,; jt j,1, 54,; 54 417~ 427~ ~u.Et<; 408, 4M,. 36,; o,i.aj )~42&, Kt!a447~ )~47~; )~. ~5 ~S) ~P" M,; [~.7) suvavot- j) 2H, ? 429,, )-i. 48, Y~UXMl))< 434, 435,, t, "·.x 42H1. aux ~e~Mv 439, ~;X"P~~8n ): 61, 5a, (J-(yvuaOE 14°11 ;jt.tYVUs9E44(),, 430, ~o¡o!~ )~ po 423, ~) )i), ~~J.U. 1)~4t5,Tt;407g4I8, 4~,s~ i rtç 4oi3 4U:!7 oûai où~403,4Q~ ~j~ )tn~ ~c ,–D 429, ~OtOjn~~ ..0 ~.410,; 410 a ;194] 4210 423, 42.~ .r~ cf. p~ ~g~ 429, 432., )~426. ~.)t !o,, 417, ~po~~e 408, 43~ '"°" ,423, ~~428,431,. ~,415,UYa406., ~p)~~ ~Tt 41~ )~p.~ IL=p.~ 40, 43,L 434,, 427, <TaM~)< 415m 41B,, j aOtÀÓn¡ç ~u~ 416,- 431., 4313 ~5o,425,6~ 407, 407, 4~7& ~~e~o~ou~e~ t~o -i–– 426, 428, ~Of J~o 42'JK J~ 423, ..A ..Li 430 44:7 ~426, 27. j ~Y~S'')~ F'10yt'OEO-ITÉP.O! ~°' 4~91~ .429 429, ¡. ~43.. 1-0'11 ,~429.430, 4;)1, OJ.'Ua. °– 4226 1.o..&a. ;~ti~ 410, 4103 422, 422 4302 ]col ~43, 6~.2p! oi~u. 4250 425 )~.).t t~j; ~HM 1 4093 419-1;loytiYUO'Ç 405~, 49-64loil\ ~~G in ~P~ 426,a 410., 41014j VIX'I}aa.1 4042 404, 1-01 4319 < 403, ~5; 'L )).!<~)429 4C'~l )~a~~52.KppOOTtOt4:t3~ ~4~ 448, ~o~.t ~~404, koyte~tot ~~411,; 428K .IJ ~49. ~Y.u< ii~. 22~~ 23, 33,: 434,449, OeM Su~K.u.~ ~414,p~<406, ta 4 ~5~, <35g. 412,; 415, ~K ~Y"~6((tM 404, CTtavtOt 439,, 429,, ~4, 429,, JL. C. ~I 124 2 eEtX-~ 436~ 427~. )- 4)8;, jie~ '}'0(~0; )ootJ 27, 426~ "'6, Y~XK~6~eTNt ~3_ 439, )!&~L 40, 41g m r¡'IJ.'II 107 <p~Y) 407,,1\ ~9., 428,,la )1- 426, 431,; H- ~0[~[< iL- '~0;, °~ 419, 423g 424, 426, )~~o ~°~i~ 460, tJ~Z7g; ? 8uvc({jn< 439, 427,~ 43011 .18g.KYKTtTiTo! ~o~ L MXU? <i35,, 443, it~.18~39, )~. 4V,6 ~4~ i~47.,4t7,8uva~;403,,44?,, )oo, \)~~o ~u- ï0~408, 4 -.410; ~428, TGV ÀOYlap.Óv TOV aou AOYKT~OV (TOU OuvotOCft TNtiTjVCtt 410,, 410~ 419, ~j~. EA' taOv(aO"l} 15JIfl ~'0 Y~KUT-~ -i~i,, -i44, i" 424, 424, 425, <28, 430, 431~ TAHLR ))KS MOTS SYRIAQUES. [H)5j 0~Jt ~u~, o~y~ST] )Lo~, ~i)~: U.~K/0; 403,, Cf. 'U otùi~v 4:).\ 22, 4M,, 4). 4~ O~M<; i-M~ yapt; 42), °~ ~-1' ~v~~t ~), )).o~ 4)C, ~Otov 41.~ )~ -!(?“ Cf. -i2u~ 'i:!),~ 42),, )L<~ l4~ ~9ï, 405,, ),)oju~).; ~pOT6-~T) )~~ 414,,JI I>D"" –)~~ 4t, 444, )~~4)4~; l'< St~~ 4al.i,~ o e~Uta 4)3,: )j~, ~J~, 4)R~ 4t7 xpua7, `ô,.tiLLo ~i. iti~. ~o 420~ 22, ~v 4i7, X~P" T~ 4 418, jg. l'infinitif x~TetV 409, 421~ 42R, 419, )~o-' {! 60,, ~? joo, ~'o'&iL 418~ C/EO'~ e~M~ 4t7, 4)8,, ooo) a-~o~ 409 427, f' ~'9, 40S., ~)-~ )) 42:t, )oo) ~o~ .12,; C(UTM< TK fOS~- ~oo)~~ )J; 26, XOtjjt.TtTM 43U, n~~4~ 'f o~o~ 4)fi,, po 420~ jf~oa~o :)4, 4t7,, yc(pt<ru.<y. 445~ ~.axpuvct; 50~ -i\~ 407~ 408j, '~)~42L, a~. 4.~ ~=<~ 415,~ )~~<~ 43)g o~epov ~-o 407~ S'UfScrTK~u.~vOt ~t~, )~~ ooo, 433, 52, ~crM ~) !a~ 4<9,, ~) 421,~ M)?~J~= 427~ 4~, t9g 27~; x~p{ov 4)6, 48~; xaT~pet ~"c TT~TE!; 408,; .t!\i 423.. ~o~ 6~M 408,g 4:i0, 427, 448, ~p6< 408,, 421, 426, ~'5, 431,g 436, 439, 449g 426, 42'7, 4)8~ 429,~ 425~ ~pof~ A~Sav 416,~ 4M~ ~o~. ~<xi~\430 ~<~=a~; yvofTet 42),~ ~.<~4t9g43),, 423, P 421, 4~)~ aLS~i 432; ~o~f~o ~M °<~ C' 4t9, ~.o)));:427, )t°f 3~; xeiu.~TO; 414,; ~Mo< 40(~ 'i:X~, f 42t~ )~~e ~Q'TK 4;~ 43),~ f~oo) °~~ ~s 449, f~~po~ M~ '~T~ 433. ',2. ~)427,, ).- T.. de signe ~S, ~'S,. ~in signe de 1 accusatif ~~a~ ;i )~428,, x-.TM~ AeuL- OuSEV W~4~ 416. CO~IGAŸITE 43o,, ~t~TE OtUTM <!EM<p6As!404 4~5 < 19 M, ~e 4~ ~t~–ojtt~). )i).o~o )) '!n, ~o~o~. OEO~tO~ T~xou 408, ~,t~ ~0~2 Tt6tp6X~M97; < 4t0,g 404, EXK97)TO 405~ excfQt- ~~o! 40S jj; ~L~f~o ~s~ 407 Mpu~ev 437,~ ''07,~ '!0. t~t~j~o ~M ~Pet~~t~~P~. où ~pOXO.~Te 7rcox'Ó" E'tE 447, 44i£ )).o).w424, ~t~ 4)3, 428,, ,Q~j xo~ta406,, osa °°°- 4.6,; 41"1- ~33,2;X4~< ~t ~po; ~puT7)~444, ~m' .6='p0"7) )~ 42o~j, KUTov 407., 403, ~x~aTS ~Vw" 406~ ~n "11' ev 12 422,, )ooj)o~t,425 ~'?tS~TK~t4~ 407s cuv~87)Tav -t.~P ~) ânarwvrat 416~, ~~° 44), 4~). 141.a::I.3 ~pOTT66~v«[ 7tpoan -¡;VIXt ~&1,42. ~'°~ ~0~448~ <iiL.L=).; 4(M., 4:M~ ~)t~&.i:37,; -9.<>00J. :37_ 422, 4~, 4).~ OU ~tt~ecfVSt p 4)9, 404, Y~OVTE< 40~, 6~.))'4)7,oùx~a6o~408,, 4~ XP°~ xx8'~Ep~ ~°s' ~M407, n- 40~ °~ 406,, ~0~4)2,; ~t3,, X~CTKTte jtnm-). 4)7,; Tro~TOf ~0~3 IY ayaftdT~; 497 ~~10 408, AMMONAS. 498 UTTEp -CoS m:tpTtO'9?;V'!t[t :0)i.o~mi~n\; ~A~o42t~ ~.0~.43), < !l96] 428,, ;JL6t~~C( TTKpK T-~ )~i; ~~jL~~o 4<-i, TTpMT~ °~' ~n~nj :'7~ ~.s- 46, TTEtpOfC~O< ~2, 4' °~ 4.9, ~°~ ).~ 428,, ~OJo~ ~.Ot0j')n\) 424 ~o tw 424~ ~= i. <-X) j.9¡k L=9~m~ ~!i21113 0.1~04)5~; )).o Tt 4()t!~ 4t4~ 427, -.0)0-o-. <).oft0v 406~ 424~ ~° ~S2n )); 4H)~ ~.j-~ ~o exKTOv 409g ))~. 4)9, ~r~ 47j, ft~pOf 4:i), C~aJ 4~ <~u 447, 42f), ET~fJL-~e~ 4~; 408,, o~) ~TpM<06,. )j~<4.4,,420,; 408~ ETt&r/iT! ~N- ~S, 4t4~ 44L, o,C~427~ eK~TO; e~Msv tM~ °' 407, s tQ,M–~a~4]5~oe~40(~ '~o 41S,; ,-e) X"'?~ 453, .< )~.4t7~M<~ 42X,; 4t7,, ~t~?. ~o:y~,427~ UttET:E?EV 4M, ~~j )~pYaptT7)< aSu~O({jt.O< 447~ 4; ~aj 427, 420, 4~ 1:, °~=- 406,, ~30~ ~~o414;-tU~406')– ~)'~4a,o(p0tp.ton44tj., .) r r- aEpt ~~o4i5.,42a,i26,,427.,43t-ep[4U7.. OM Te ~))!o 4)5,. 407!.<" < sôv lw~ ~~o )o)~ Stâ ïov 416tt 417.; 4)6,, 4174 i Stdt !o;t)f A~ ev m.su~sjL=57;M~Mt;'J<u/e(tf;4M 1~. 9 4t)il 4i7, TrpOMye dEauTM '!nn 4!), ~UTOU; MU,- ). a~~oo42t) ~J ~SL.~0420, ~s~).;o42S ~1/0 f)eÓv Osov .~K) .)).; .1/ 40712 408r L~ 4:<t~ ~aj 'M9s_ )~ 47-; ~~j ~~u )~-)i fj~o 420, m,: TMO<7M7ro)~TtT'<j<436, TCpOO'(JmO).ltT'/jÇ 4:3G5 1\17; .~t~' TrpOE~TTSUSSV 414~; TCpoeq¡'I)'tÓuO'ev 414o ? 1:' 1¡2'i1l ~OJOj.1.ooJ"''_1, ~.Q)6t~.j-' 421, JI ~< ~i~xp.eu _j~Tt_~jrpMT7)TO<452,, 'tOU T~NMU 'tEJ\(J)VOU <04, 412, TO? )mT~ (oo).) ..A 4-M )M~o V. )~ ~o 'o~ p) ~-J~o )) 4M, 20~ u~j42t, 420~ )~oo) ~~a~o 423, )oot ~~Lso 417, ~n~o ~o~jo ~KAowx 408,, )~J )!o~! ~2 425~ 4S~ SU, a~a~KU<m ~S9 437, 423~, ~t~. 429,, ~eD )~u 4[7, 4t9,~ 'iZ~; -~pMV ~c'i20.42t,i22; ~Ot~' M, !j)U~~t !j)U~K<!TOV-!C:Ctùl:~ 4:)), 435~ 129., 422,, ~o~=~L ? .')2~; p.Yj ~ou.t0;7)-rs 433~, ~mM o,).o tS~; ())u).a~4;B~ 427 43t,, 428, .~m4)7,,42!),30~;n'ttAuW~ 420~ )jn.fn! ,l~o ~<. ,o;-<mi.; t.oo): 420, ~–)~~nj4<i~ ~~m 4i5~ 407, :1 o~. ~t; ~n\t) ~oo; au-t-<) J 40R,. ta 1~ 40~ 422, ~j 420~ )).o~. ~o ~ot~; 414,<a ooO-~Kt U 4)9 )~te ~~ct.420~ ~o~ <~ <.< ~t). '<4~ 44H~ t3~,)i~~=420~ ~1-5 ,.p. /-f OUX ~~CtTTKUOjJ.Ctt409, <<° 4M~ ).~ ~~o;: ~<~ t~ 8; ~~MTt<?n '[0[< osQotÀULO~ 439., asvot< 419,, 420g tt~o~o -M' O''i}'tOt 424,, 42~)~J ~~tu. ~I>v ~1~4~ ~UY~4a~ 0 );otj412,,4t3,424~!COT<~o; 421~ 427, ~o ~–):o~22,: \° .')H, TTSUKOjJtO! 4.')4 ~~to M7 4'L ft~! DES -~m; ))~~m MOTS j j~ joc, f~~co <27~ c.~ )~~ 424~ 42.28,, )~~ ~eoT-/)TO< povrc, ~n~< j, ~~26,; .8,; ~p~-pop- x~)-/ ~.7,. 4~ )-'a~. “), t TMpCfëMt; ). MTO~< u!o66~a 4~ T~t; 4)~ 4~, 4;)), ax~~ )~. 409, 4:t. t." .0, 447., °" )oo, ou cuu.- 4~, 447,,t~ 4U7, 408 4~ H<TC(G44!),, .'TO, 28.~Tr~<nrct<rtjt<~ 440~ p~9~ 408,4 )~_)~~7~. 2 to –u .u:u.. 1:!o- ~)0 i,a.J, 5afl~~ !~j. Ii:lH7 4'li_ ..c,K, ~.0)<i~Ln~j, 427., 4·rntoC °'r~~t CtUToS 408 TŸV lu~Os~v ~v ~9<: E~~O~ uTco ),UTt-/j(; 447~ 4.~ 4:172 )~. ~u °~- ~H=i9~. ~~paTT~ r. J;~ J~~ 4~; -P– 4ilS H~2Q,:yp~ ~y– ~6,g 11 40: ~po~oxfa Q.)..j~ Q~t~o~\49,OY,~o;[44!) I¡HI! _VOT¡vr:J.l 4 4:1, ~L~m( 1111111:dÔEV tlli aûroû '!2~~ 422,,to ~TTOxptes~ Trpct~t j, 'Í~ [L~n°°a ~.0) )~ a ~;o ~n~. Btptjt.c(X0~4'!2. ~4~ 447, ,40. )-~co~ 4.30. 424' 4<K, ~p~KCUM ~)~4t!), ~tfu, H~ 409 ,42). 4a~ OtJ~ 422,~ V M K), 5Ó IxTKvEt x.6~ a~6a~< 4~, t~~ ~8o< 435, ~4J3,oMOv' ~l:~ t~~ 1 XOJCOt 407~ 4). )~4)0,;xxx'3~pYO[4~ TO Tr/.e~rov j~j. ~4.9, t~ ~~0~! =,~= ~20, 42:< ~~o 4n(i~ a-t~o~v )~, )t~. 42~ t 4.4, ~~° ~° 499 4N, 4:n,,10 t' SYRIAQUES. ~o 47, ~t_ 1'-0' 424. )~°'~ ,1') ~?"~ ~7, ~.0~ ~8, 42:~12 ~v.H~ "1.1H L.ocn't 7t'¡,'XYp. 4.0, Y. )~ Of o/e'/jv 4~2m' K' ~~pa r ~r,; '~<ï8'ov je~c )'~ t~ 40, eMM~ 40~ f' ~~q 407~ '< ~~3 ~° 4.-)2~ ~'M! -~° ~n~c~ 404~~ f~~ 4fn,; ~Ui~n~ p~T~t ~tt ~pODXTSt 44:L 'rXP~<~ 447,~ t~ ot~u. ~j; ~s '4t.Etro~TC:<;4(~ OtùloC 408,, ~.61' 4)H~; {j!.6TK Tt\t0t TTpo< rtvct 409, ~M. ~on~ 408, 427,, j~~o 4~ 4)8,, 4!9,~ ), ~pysteft 4:~ Tr~8ot :j~; )M~; t~ou<~c<[ ToS ~6DO< ~.)~.o XT~Ot; j.n~gy~tOUpYO(;4:t~ 4: 4)9~ no~~ 48j, 5~ )L~. 2(~ :M,, 428, 428~ t-MQ~42~ ot~M~ ~o 4<JO,, ~<~naj: 429g ~i<i~a ). xct~ai0t; YEMpY~ ~n~~C~)429, 4~ 44~ 449, ~.0~9o< 424, ~-a–~o,a~af416~;jMpEXC<AMefV 407, ~fn~s~co 428 )o°t .m. <<i 42U,~ ;L~. ~n 4~7,, ~vm 44i., 42t.. -JLJ; ~~n~ j~~o 40S,g ~a.s 4t7~ ~o. ï]:t~ <~n~;o 409 427,~ ~.)d9 r~).T~~°~v4o(~ ~4t8,Tro[6!409,~ 4t8,_g; ~~9 I: ')<! 0)L~j,-nco 4:31 Jnéu. 2°0 Ó' ~'Y~ fJ-$Yrx, ~o~o; 1t' ÀoU't'oç ,.C~.? ~2 4)~ TNp(iuEtM T)(KSO; 40n~ ~i~to x~o<; .n:-=<~ 24, .o,~o 424,: SJTKVM407 't '13 )111_'f2' E1tcx.V[t} ~<T~e<~ 407,, T-n. 404,, ft~L~m )6~ ~7, I_ '4)(i,, f ~oot~j~.o~c4'~)tt b.~tt,5 ~ooW~.nm m 427,~ 42!L ~OQ) ~n~s~. 427~ 40~g AMMONAS. goo ji~â 35, t~~a ~-S~ a~t~) ~& ti.Aa 52g; ctl~&a~ f~; XNl;(up9Mttav 433;, ~.j ~ji YeMpY<Mt:tV auT~ TO~ 19,; & Sel~ 414,~ ~Mt )' 413, .nm~ 4t9jj <~=~ I!T ),, iv'toÀr..Vi8 448~ P 406,) ctu eù~~o< 66,; i) 48,; ~apctx).7i-rot ïva ~40~ xTfawuat407~ 4067 "t'CU> t~ e!<. StaxpM~ exp~E 447,~ HKX~6<y~TO o~o 39, 415, 448,, ))~ EtixoXov 436,, ~?po~< )z 403,40a,MYO;408,,cf.)~ u H~. ~.9 '2G 259 2G~ 25. àlilava- ~9, "°'~ ,<00, 437, 4.5, jo~ ~=j~ < 423, ~M)))?27,57~;ueYK~U<pt9 42:~425, )L~o,~ ~p~tra jt~~Oj~o ~~422,428,, ~42I," 4)7, 9423.~ .2 )) 4)8,; o&x -ii66).s 4U8,, m j. ),<~ ~pa )!o~ 41, Trpou- 444, 439~ Hl=~),?~; 1.0- ~;)t., 430,, 43. TcapotST~Ott oup~OL ~u.~ptot 445, 423,, 422, <1 430, 43), .J 418. 4M,~Z), ~)u, 40G,, E<TTt 406,, ):24~TQ~p~4S7, 4.30 430,, 12 ~415,,428.Mp'au~407, 43), T:pOT~EYXOV 4 ~J. ~~=~ ~j 422, 4;!0, 431~ 414, '0, ~8~' 'f_ltu ,8,; 407, to7< ~on ~)K~~4)5,:EYYU< ~M\ pu~po<; x~ ;uup\4)2,: ~424 auï-~ ~M~<~ 432,, cf. < p~ 422,, 4X~ 410, 417~ 442,~ 426. 5' 451,a TrMTO<439, 408, 427. )o3))~oo427, ~8 Staxp~KTa [~ 417,, )o~ ~-f. 4~ 43)~ 19,, 20 N )~o )t~~s20~22,; )=o, ~V– =Qj-rào 1 429,, ~~26.; ~9~ 2.0 a.l.o 18 x't'~aCXO'aE 4:15. ~~l8,x~oaT9E435,, ~4. S 4S<, StaxpMK 25.; 49: 422, 429,, 418., 4M, 404,d 424, nt~a~. 416~ ~~{.~ 7-o-I 4u8, 12 43~ '43 )).~o,s418~;8tKXptCt<409, 4j jL~ ~4~; ~La )~ti<ia 408, 40f!,f }<xpw 40(;, LttXp6v 42a,, 426,; 425,, 423'3 o,L~J o'j 427 )~JL~~ Il ~Ya~ 11 ~.400, l~"4~ .o. 442, ,~j~~ 447., 450,) 7)u~o ).431,, 1tpO438,. Y.Otu~ 1:1 264; 438,, 6)nYMp~<I7)T6 g~: L MpKSEtY~-MTM~Ot 48~; KYpeueTat 26, 406,, 407,, 2 4()n;, ~417,<pM~408~, 417)o_)si cpwv~ 408)1_)z 4~ ~«j~ ~t~ 1. 44i,.s 'i47,, 4ïn; ~at~O! 47~ É~·naLy~.ôç )~r'° )~ x~suoSo~. ~417, sT6~ ~~)i i)38,, ~<! 1 48 H~~48,t48, ~j~ 42)! )~~o)~StKt432, °~J 4)5~ ~~3 ~~o ~tu '°~' 429, tJt,s ~gt~ )t~~c4n~; ~jU~ ex~uM 43), ~~nj '°t- ).~ ~p~ J~ TTpKYftK 405, M o&Se~Ttp~~Tt ~J! 429 ~i&9 449, 439~, r~! ;<~a 6e~0[ 3<c; ib 26, 430,, 416~428,; ~on).,tf 4~ ~.n~nj) t~j ~MOtùTM 403~ cf. 405 n. 2 ~s V. 420, <M~432, 4:M, 642; TKU-t~~ MtoS~MCtt TM 18~ ee~~otït 32~; )~43U;, ~o.tJLi~ -iaH ~4t4,, ''3), ~on~~no 433~ ~4~:xo~~408, .Y. 4w XÔ7CTEtY400,, xo~Etv 409ti nm. 418~ 4lsto-n, 42i~ 42);, 4M, m~oY~ctoeott 408, 428, ~j 436~ 4U6~ ~ao~~a; es~~arot P=j 420,.1 e~ 423~ ~a )<M) 407, YMOpYtK 436~ 19~; ~os-, 4)5, t~a~; TMMU< XO~OU< eno~CCt T& tSta 417. ~o~j~ 445. St-~K [198] 4t4,; Trp&xo~t 424.426,420,430,, ~MT<M 4~ 408,,'1 )~, ~w! 420,,1 4:(0, 4)4, ~posxo~ 4.!6, 4U6, TABLE DES MOTS SYRIAQUES. [199] jto~i M, a~iOja~ LL~it TTpOXOK~ 449, 28, Ttpoë~on it~.47~;TM )J~iL 44Uj, jL~!t28, 418~ SStM 86~[j[.OtT[ 40g; ~poxo'~re 443~, "~J ~°°~ 43fj, Cf. 42o~ ~sit: ~7, "TEpOt o~i) ~o ~M~;4i)~ 404~ pour 429,L~ 86?~! 407~. ~U <x!s67i~ptK 448,, jt~j. 48, t ~.t,t, )).o;4t4~4I5,;e~n~tOt40U, ):,j 4t:t, ~9o.i 421, p 4M, .o t~ )oo, )).~ ~C(9o~< 4t6,; 44(~, 24,~ ~CfS~N~E~ ~S~ po 422,~ tt o~ tof~·~I y-tu 25~ esp~MtVStCtt -!H7, '°°' f '!27,, )fjt 405,, ))L±j 4tS., 5~7 B4. = ~4-8-M ~t 425~ j~jLjL~ 0)~ 2:J'-7 )~o. ~o~)po~ ïo Tr~EUU.a 410, 410" 421, 421. 423,; 4233: -~T~ T¡pt'J'tT¡as ~f~; yt~s( 4t7~ 35c 8 58 0, 454nv6u~443~445~454,;T:~uT. f1.ytOV 4.~ fJ.CX't0 (.a 45:J7 ~.v t~n~i; ~~o )~o-t 22,. 23. c- L~oi 't:;¡~ xsvo8o;Ícxç TCVSV(J-X 451'111,' _o~~451. 43~ 4. VjDMITjeT) 408, 43184~ ~jt ~o410,;MMIMS~40HL 40 '-<' 5t~L! Cf. :{) r, TO 452., 45), )~o, ~o. 48~; y. ~3 ~<~417.e::ro~uTM40~ r. )!~i.~ 21. ? (&~ Ct!r<]U.OtTK '.T" )o~ 18,, tu,, 2), 436,: eEO~tÂE~ e.o~~s~~ot 4~~ <27, .0~)..):) f:.a..iLU°f ~Ln~iC~o; 55g; ~a~i. ~`°n..iï 1,49~; u'~ (-c~oi~ 431, dpr¡vlx6v e:p~-x.. J~o~I-&o'!20,, 420 14 9 ,1. –2– 44t3, 448, ~7 ~YX'"PO~TE< x~~pEt 419,Y]409, xaTE~xe~ XOCTEVEYXFIV 409. 409. 40!L' 12 ~l~;417,e'408,, ~t~al 426'3' 100f 1,£ 4.31U '°°' .oo, 429, ~f~M t" J.EÂETŸIa7~Ç ae~6T~s~(tt o~ .Bou~ovTKt 'i7~ atp' TtE~oj/.E~Ot 433 s 'otA r. 421~ ~iotiL i' 53~ 4. ~atUTM~ 4<7, 421, tt 422g 428,, ~o~~jLj 425 ,~j, ). 21, K~8pMjrc(o pe<7XOt 450, ~411, W,j 3 u 4~ )oo, )j~~ .~4t7,ajroTT6t/ov408,~ t-)~oo)4f0, )C~j~o 4'~ ~~40G, MMUTO~ 409~ ~–)M,t~ju.4H,O~~T-04u4, 421, ~o ,~413, )1!~ 418, S~439, ~i 440, 408,. 418, 4)8, l 408. 4~ 428, 13 4t7,, 424,; 418~ ta 417, ave~Mp~dEV 452,1:1 H=oi26~; ~422 ~OS, 4- E~- 4 4'M t ~s-ta-t )n.n .)~ cu~<,i~<TKt °°°* ~EO~ ~<i~ OfL" 4~ 421 o.a.~o.a 432, n\~t 4.i1~ ~ULt "'7 E~OE~ ?“; \cn 4:10 '~M )~ a 419- jt~-QL~tl. 43~ 4:JO~ 431g )~~ -i;XOUTCf 408,, 417,. 'i'6, ~MS~ )t' 4~. KTTO<yT7]~K[4:t! < C(~[TTC([JLEM[ 434 4$qCj 18., 452t2 452,, 10 422 424 4:1! .-t~o~t 450, 7 à'woaTrTE KTroT~TE ÈaTtv 1.1 "t ~o~.t 448~ t~t.55,§MT~ Œ1'tOUaIV 450,15 "~J )L°'J IcÀo~M~' 43-) ~423,, ~t 4:tt °°' 44~ eep~C(~6~Kt437~ 4102 <~i) 409,a 425, 4~, 42S. 4:1014 ~o,.t.) 42!L 'Of;LI 4: )~, e~p~XEt 422, TUpjJLK 42(i~~ ooo) ~.o)Q- ~2C, 424~ ~&s;,j; 0~ 404,. e&pov 407,, 448, 423,, )~jt! op~ XNTN~6t~Kt ou~ f ~),, t~~o' ~H_ j~oi 410,, 4~ 4:B, 42.-)~ ~S~ S6~~t t~~4t~ 0 4t(~: ~< M~; Mp~ov 405, 429 l.j~tf429, °~~ ~po,C~ 9~t< joo) ~n~.t~; 422,, '°' ~f~ 4)2, 447,)-n-~ XCfpStX 409., )ee))~431,, ~'L; 501 o~o~f ;418, j;.o. 4t9 ~S[po<409,, 502 AMMONAS. ).425~ t ~C2-7~3: cf. 1~13.211'4 40711 \~416,t6NV407,.cf.42t'!28 L, ~)5– ~L42.~42G~4~428,430 432 ~2-<tn ~") U-tt-M~j )oo) )~ 430, )~ 423, o,~ 415, mTtS~UfTSV auT-~ 407, )~,L ~s~ 429~ ooo) oiotto 43~ ~S) ~).4~, )'~°~ u.:TN\'otK 405~ 4~ ~a-n6,,4t3, ~L asr~Pt~et 444~0 43, <!T7]pt~~6 \°~ ~to )t~ 415, ~oot~Lt 420, 40U,g EXEY407, ~~< 424, ~). 4)2, x~eou 404,, V. ~°'' ~i!~ [200] 427, ~4~;xp~<~ ~)~ )~ 4)2~; Stot Mo 404g ~~3~ )~). 406, ~;j. ~n~. ).o~ 39~ 4~ ~p8f~ 442., 444, ):o~i9~6u6uT~ 430~ Eu9uT-/)< 44&, t'o 424,, ))~L 4)8,, )oMa~~o 429~ )~ 429~ j.i. ~,) M~ & 0El6tTT,<; 432~ IV TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES I. AMMONU Tome X, fasc. 6. EREMITAE EPISTOLAE. PnAE[AT!0. De Ammonio monaclio epistolarum Epistolae Mari Ammonii eremitae auctore. [3] [151 [15] [i8) [21] [25] [28] [30] [32] [34]J [37J H. III IV. V. VI. VU. VU). IX. X. XI. XII. XIH. XIV. Epistolae dubiae [42J [46] [51] [55] [63] [G5] Il. ÂMMOXAS, Tome XI, fasc. 4. SUCCESSEUR DE SAfXT AxTOIXE. [xTRODLCTtOX. L'auteur. Les textes. Histoire littéraire. Objet de la présente 393 39.') 399 400 402 édition. Sigics. TEXTES <;i)ECSET SYRIAQUES. I. II. Apophteg'mes pA'rr.R.–T.t.–F.'t. 403 410 grecs syriaques. Il. H'; TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES. 504 Deux chapitres de la version syriaque de l'j~o/'M Rufin. IV.–Lettres d'Ammonas. (syr. XII) H(syr. 11 et III, 4). HI(syr.IV). IV(syr.IX:X,là2;VIII). V.(syr.XI). VI(syr.HI). Vn(syr.XMI). III. V. 1" 2" 3" 4° VI. Table Table Table Table Instructions [202] /Ho/MeAo/'«~!de 424 432 432 435 438 4~.0 446 450 452 d'Ammonas. Quatre enseignements. Dix-neuf exliortations. Discours aux solitaires. Conseils aux novices. Deux fragments. 455 458 472 474 484 des citations. des noms propres alphabétique des mots syriaques. analytique des matières. et des principales 488 489 493 503 matières. Imprimé par Brepols S.A. Tumhout Belgique