Les mille splendeurs d`un anthologique corso…
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Les mille splendeurs d`un anthologique corso…
1 A Jean-Marc Les mille splendeurs d’un anthologique corso… Dans le respect d’une chaleureuse et riche tradition populaire remontant à presque un siècle déjà, la joliette et attachante bourgade de Beaumont-Lès-Valence anime sa fête annuelle de village par toute l’exubérance joliment printanière d’un inégalable corso de grande renommée régionale. De ces savoureux délices de l’existence à nul autre pareil et à ne manquer en aucune manière ! Ordonnancées à merveille par un dynamique et sympathique Comité des Fêtes, ces réjouissances festives pascales mettent à vif et pour le plein bonheur de tous, une spectaculaire faconde trouvant son sublime point d’orgue par le très apprécié défilé des chars fleuris. Un itinéraire choisi serpentant dans l’enceinte villageoise en décline à l’envi toute l’éclatante et somptueuse beauté. Le dimanche de Pâques venu, sur le coup des quinze heures toquées à la vénérable horloge de la tour médiévale, une extraordinaire effervescence s’anime et s’installe telle une liesse populaire et bonne enfant. Elle exulte. Elle exalte. Elle se déploie. Elle enivre tout un chacun d’un communicatif et plein bonheur. Elle se 2 montre en spectacle dans toute sa magnificence, sous les rythmes endiablés et tonitruants des bandas, des cliques et autres pénas constituées de cuivres, de résonances et de lumière…Pendant que les chars font magnifique étalage de leurs formes et de leurs galbes tout en harmonieuses élégances et délicates finesses chromatiques. Pour la durée de quelques jours de vie bien fugace, leurs éphémères et fragiles structures mettent en valeur des sujets ou des personnages allégoriques adorablement recouverts de multicolores apprêts constitués de fleurs, de gaufrages et autres fards de circonstance : L’expression d’un incomparable savoir-faire de la part de tous ces valeureux et contributifs constructeurs de chars, à ce point ingénieux et adroits de leurs mains créatives…Quelque part, à l’identique de ce cher Gepetto qui, en son atelier, de ses mains si fertiles et douces, donna la vie au génial Pinocchio de notre prime enfance. Dès le nouvel an venu et juste passé la gourmande fête des rois, les nombreux émules et les talentueux bâtisseurs du corso…Dans son nouveau millésime à venir se réunissent fraternellement pour définir et concevoir les sujets de leurs ouvrages à initier patiemment, avec une grande et méticuleuse obstination. Sans cette active et féconde collaboration, cette géniale débauche florale ne serait finalement pas ce qu’elle demeure depuis tant de générations déjà. Alors, le plein hiver venu, dans les granges, les entrepôts et les ateliers, tous s’activent dans le liant de la franche bonne humeur, marié à la parfaite et durable amitié, celle de l’amour immodéré de procurer de la joie et du bonheur aux autres. Dans la durée des longues et laborieuses soirées toutes en froidure, à Montmeyran, à Montoison, à Montéléger, à Beauvallon, à Portes-Lès-Valence, excellentes communes amies et notre Beaumont-Lès-Valence, toutes ces mains habiles, inventives et imaginatives façonnent, modélisent et peaufinent longuement leurs si belles silhouettes de l’année, un peu comme le petit dernier de la famille, choyé de tant d’amour et de compassion. Par l’inexplicable choix d’un sujet drôle, inédit, amusant, à l’allure saugrenue et finalement tellement attachante s’expriment : Une sensibilité, une émotion, un enthousiasme à l’état pur, animés par la générosité comme à fleur de peau. C’est une juste et élogieuse évidence de reconnaître en ces milliers d’heures aboutées de travail opiniâtre et pugnace, de la part de ces irremplaçables bénévoles de l’éphémère, de pouvoir affirmer qu’ils méritent tant l’admiration et tout le bonheur offerts à ces spectateurs subjugués et conquis par tant de talents enchanteurs. En ce vendredi saint au soir de cette année 2008, ces festivités pascales s’initièrent par un apéritif d’honneur offert par le Comité des Fêtes aux valeureux et dévoués constructeurs de chars, associés aux Comités des Fêtes de l’entour mais aussi aux municipalités avoisinantes en leurs personnes responsables et leurs élus municipaux. Jean-Michel Pomarel, le tout nouveau maire de Beaumont-Lès-Valence, dans une parfaite symbolique bien d’à-propos, offrit magistralement les clés de la ville à Jean-Marc Osternaud, le charismatique, généreux et chaleureux Président du Comité des Fêtes…Une innovante et officielle cérémonie empreinte à la fois de solennité et de simplicité. Après avoir visionné le film du corso précédent, le temps fut venu de l’intronisation protocolaire des miss du corso, en la présence de leurs homologues ayant élégamment occupé le char royal, il y a un an déjà…Une réception à la fois amicale et chaleureuse à l’issu de laquelle, un convivial apéritif fut partagé avec l’assistance amie…Pendant que la péna « Les Marinières » de Bourg-LèsValence offrait en partage toute sa belle musicalité d’ambiance fort réussie…Pendant que Marie-Odile servait des très économes mais vertueuses mominettes et que Jean-Michel administrait des généreuses et opulentes rasades. 3 Le plus talentueux des Maîtres de Cérémonies du monde ne possèdera jamais le suprême et extraordinaire pouvoir de convoquer dans l’instant, avec une persuasive autorité teintée d’un plein succès, le plus agréable et le plus ensoleillé des temps possibles, tellement souhaitable…Pour le meilleur accomplissement de telles festives, et éminentes circonstances. Ce fut une évidence pour tous de déplorer que les conditions atmosphériques présidant à ce défilé, furent à ce point maussades : On eut même dit que les dieux de la fête étaient courroucés par quelque insurmontable contrariété !… Un gros temps de décembre tout en frimas, en giboulées et bourrasques des plus mauvais jours de l’hiver, sur fond de montagne de la Raye récalcitrante et dissimulant mal son obscure et glaciale mauvaise humeur. Les ombrelles étaient devenues imperméables, les cache-nez prévoyants et les manteaux, mitaines et chapeaux chaudement emmitouflés. Amis, venez donc avec moi. Je vous prends par la menotte ! …oooOOOooo… La fulminante parade commença par une luxueuse et inhabituelle mise en bouche constituée par un vrombissant florilège de motos Harley-Davidson, émotif et malicieux clin d’œil à notre regretté Serge Gainsbourg…Une amicale et retentissante visite du Club de bikers « Rhône Vallée Chapter »… L’étalage d’une culture et d’une éthique propres à la vie motocycliste aventureuse et amoureuse des grands et libres espaces. Le premier de ces rutilants engins inauguraux se trouvait conduit par JeanMichel Pomarel, ceint de son écharpe tricolore de maire de la commune…Dans le sillage : « Les Musiciens en Folie » originaires de Cholet en Maine-et-Loire. Une hardie et joyeuse compagnie de cuivres et de percussions avec des musiciens très toniques et primesautiers, singulièrement vêtus à la façon des guillerets clowns de cirque, à la tignasse rouge ornée d’un étrange et bien mystérieux ressort, à la façon d’un Zébulon marsien…Des genres de croquignolets Pierrots de la Piste aux Etoiles et dont les originaux pantalons oranges se marient avec des vareuses bleues parsemées de délicates fleurs en marguerites, tenue de cirque agrémentée d’extraordinaires chaussures de couleurs jaune, verte et grenat….Dans le sillage : « Le Char Royal » : Un écrin luxueux, précieux, extraordinaire et géant, porteur d’un authentique et pur diamant en forme d’inestimable solitaire au prénom de Caroline, splendide miss 2008 rayonnante d’un immense bonheur ; D’une verte émeraude, au prénom de Marie, la gracieuse Première dauphine ; D’un rouge rubis, au prénom de Loren, la ravissante Deuxième Dauphine. A qui de royaux éloges flatteurs furent décernés par Christophe et Franck, émérites animateurs et metteurs en scène du spectacle se débridant dans tout son faste et sa somptuosité… Dans le sillage : Le char : « Les Rois de la Glisse » : Un adorable mais curieux pingouin au yeux bleus, habillé en tenue de soirée évidement en forme de queue de pie noire et blanche, surfant sur la vague océane avec des démonstratives moustaches jaunes, à l’identique de tous ses copains de l’Antarctique…Un palmipède austral alors si bien dans sa peau, par une température bien à sa convenance, tellement froide et comme polaire !...Dans le sillage : Le char « Alors ça Vanne » : Un magnifique et tendre girafon à la douce robe gaufrée, embellie par de délicates et ressemblantes couleurs orange et jaune, à vouloir chaleureusement le caresser et le 4 réconforter…Assis sur son séant, enchanteur et serein, sa tête expressive et juvénile se mouvait de surprenante manière par un mécanisme dont seul possèdent le secret les membres du Comité des Fêtes, auteurs de ce rare sujet : Toute la fine et l’intelligente expression de l’africanité avec ses immenses réserves animalières… Dans le sillage : « La Péna les Marinières » : Des sons de Dixiland adroitement mariés aux rythmes éclectiques fleurant bon la traditionnelle musique des terroirs français, sur fond de costumes de couleurs bien françaises, bleue, blanche et rouge… Dans le sillage : Le char : « Le Ranch des Mustangs » : Deux expressifs chevaux cabrés aux admirables robes de couleurs blanche et noire finement tachetées ; Le blanc dans le noir et le noir dans le blanc…Semblant tracter avec tant de fougue Ludivine, la miss 2007 de Bourg-lès-Valence…Dans le sillage : Les miss 2008 de Bourg-lès-Valence installées dans un ancestral et prestigieux cabriolet Peugeot 301 de l’année 1936 de couleur noire, au volant duquel son expansif propriétaire prenait un indicible plaisir à exposer son petit bijoux de voiture…Dans le sillage : Le char « La Charlotte aux Fraises » : L’admirable et émotif conte d’une jeunette petite fille au visage tellement expressif, empli de belles tâches de rousseur…Mais, présentant la particularité de porter au fait de son crâne une énorme et goûteuse fraise à vous donner envie de la mordre à belles dents. Son ravissant costume haut en couleurs, se trouvait en une parfaite harmonie avec un superbe environnement enfantin aux chromatiques subtiles se déclinant en pastels donnant dans des arcs-en-ciel de verts, d’oranges, de mauves, de jaunes et de violets. Toute une symphonie de bons goûts avec une Emotion, une Sensibilité, une Douceur…Un paradis pour enfants, bambins en bas âge que l’on doit, bien sûr, à toute la tendre et maternelle féminité !...Dans le sillage… Le char : « Le Chat k’ Bossé » : Un bien joli minou de caractère, à la carrure imposante et massive que l’on doit à l’imaginatif et fécond fusain de Philippe Geluck, le célèbre dessinateur belge. Pour sa bien périlleuse mésaventure, un chat, le pied dans le plâtre ; un pauvre félin ayant subi les blessures d’un âpre combat qui le conduit à endurer sur sa frimousse, le port d’un énorme sparadrap infirmier. Vous savez, de ces chats du mois de mars, en éternelle partance amoureuse, guidés dans des féroces combats contre des congénères aspirant tout aussi à gagner le cœur de la même Minette…Dans le sillage…La banda : « Gugga 51 Lus Buena de Mulhouse », une formation musicale d’apparat, à dominante de cuivres et de percussions aux sons carnavalesques de belle et ardente facture. De nombreux musiciens vêtus de costumes aux formes fantasmagoriques, aux couleurs violette et noire ornées d’extravagances rappelant des personnages comme extraterrestres. Dans le sillage : Le char : « Le Génie d’Aladin » : Un imaginaire monstre bleu tellement baraqué et colossal que son corps, vaguement semblable à celui d’une sirène de l’Odyssée, se prolongeait à l’infini pour se fondre, comme pour lui donner la juste lumière, en la lampe d’Aladin. De couleur vieil or, cette bien mystérieuse source de magique lumière rappelait les contes des Mille et Une Nuits, au pays de Shéhérazade dans la féerie des merveilleux jardins suspendus de Babylone…Dans le sillage : Le char « Spiderchouchou And Co » : Un intrigant personnage habillé en Spiderman, de type arachnoïde proche de sa toile d’araignée géante se trouvant à l’intersection des rues newyorkaises de « Chouchou Street » et de « Heroes Boulevard ». Un impressionnant imaginaire pour enfants en quête de sensations fortes propres aux albums des bandes dessinées…Dans le sillage : Le char : « La Ratatouille des Gonflés » : Une anthologique souris de couleur bleue mais ne ressemblant pas du tout à sa grand-mère Minie, sortie en droite ligne du génial et récent 5 cinéma d’animation pour enfants de toujours…Dans le plat de laquelle les sages petites filles aux jolis prénoms de Célia et de Séraphie se sentaient tellement aux anges de vivre intensément de si précieux et inoubliables moments de bonheur en pareille douce, agréable et amicale compagnie…Dans le sillage : La banda « Los Cailletos de Chabeuil » : Une clique amie de proche terroir, aux seyants uniformes rutilants de couleur rouge écarlate…Apportant une part contributive à toute la musicalité régnant sur une Place du Rasset décorée de flonflons flottant de violente manière à tous les vents venant du nord. Dans le sillage : Le char : « Le Camping les Flots Bleus » : Un petit environnement d’amicalité plagiste à la manière de Franck Dubosc…Constitué d’une petite guitoune de couleur bleue, d’un parasol, d’un très réaliste fil à étendre les chaussettes…En somme, presque « le Bar de la Plage » pour certains, à l’heure de la sieste ou bien pour d’autres, à celui de la baignade…A tout prendre, celui du pastaga, après la batailleuse et gagnante partie de pétanque…Une fine richesse de couleurs rappelant les bons moments familiaux passés au bord de la mer…Dans le sillage : Le char : « Les Pirates des Caraïbes » : Une sorte de turbulent bateau ivre Pirate, en vague forme de Drakkar mais pour Boucaniers, pour Flibustiers ou pour Corsaires des mers chaudes, élevant bien haut un menaçant drapeau noir frappé de la tête de mort. A l’arrière de cette voleuse petite caravelle, un énorme coffre, rempli de pièces d’or. Elle rassemblait certainement toute la fabuleuse richesse pillée sur les galions de leurs majestés : Les rois de France et d’Angleterre…Dans le sillage : « Au Pré de mon Ane » : Une émotive animation tellement humaine avec des personnages pagnolesques illustrant parfaitement et même dans les saisissants détails, tout le calvaire et la mortification endurés par Jean de Florette dans sa vaine quête de l’eau si vitale, si précieuse dans toute l’aridité des montagnettes provençales…Dans le sillage : Le groupe « Les Belmont’s Girls » : Un groupe local de danseuses, dynamiques, enthousiastes, sympathiques, petites dames de grands talents aux costumes frangés et aux folkloriques couleurs bleue et noire…Des danses rythmiques du Far West américain avec pour décor, ses illustres et chevauchants chariots de l’aventure…Dans le sillage : La banda « Los Monteros de Beaumont-Monteux » : aux allures d’un autre Far West stylisé en ses musicalités toutes en cuivres et percussions… Dans le sillage : Le char : « Mario Kart » : Un pantin un tantinet bedonnant en salopette bleue rappelant qui l’on sait, aux vives et agréables couleurs chatoyantes…Un héros levant les deux doigts en forme du V de la Victoire, après une épique et glorieuse course de Karting, un bolide rouge à ses pieds exposé…Dans le sillage : Le char : « Le Bar de la Place » : Un singulier bar ambulant, occupés par une joyeuse et délurée troupe de gringalets bien assoiffés, installés comme dans une paillote corse ornée de deux palmiers aux feuillage à la couleur d’un étrange vert très fluorescent…Dans le sillage et pour clore le défilé : Le char : « Le Bacchus » : Le traditionnel et symbolique char comme balai, celui de la descente de charge de ces éphémères demoiselles de jeune et éclatante beauté, miss du corso 2007, il y a tout juste un an déjà : Samantha, Emilie et Laetitia. Ce char final, orné d’un splendide cheval à la fine crinière de couleur noire, la robe adroitement tachetée de gaufrages de couleur grise, se trouvait accompagné d’une vieille araire et de quelques ceps de vigne donnant tout leur sens et leur portée à des volumineux tonneaux de vin blanc opérationnels et très sollicités par les soiffards alléchés par l’aubaine providentielle. Le vinique contenu de ces fûts était généreusement offert à un public connaisseur faisant honneur à cette incontournable 6 tradition empreinte de beaucoup de chaleur humaine joliment partagée. Ainsi se clôtura le défilé de chars de ce mémorable corso en ce dimanche de Pâques… …oooOOOooo… A l’issue de la cavalcade, la foule convergeait vers l’espace Charles de Gaulle où la fête foraine battait son plein avec tous ses stands gourmands ou bien d’adresses; ses manèges en chenille des neiges et autos–tamponnant, ses loteries et stands de tirs…Dans des saisissantes odeurs de barbe à papa, de chichis, de beignets, de poutirettes et de pommes d’amour…Dans un assourdissant tintamarre constitué de musiques contrariées, de fulgurants coups de carabines et autres bruits de jeux suscitant beaucoup d’intérêt auprès de la jeunesse enthousiasmée « Roulez Jeunesse ! »…Le temps de se frayer un difficile chemin, dans ces allées populeuses et animées, pour converger sur le parvis de la Salle des Fêtes. Tous les groupes musicaux s’y retrouvaient pour offrir une aubade musicale, en guise de final, à un public toujours très sensible aux vifs désagréments d’une température très froide et venteuse pour la saison...Le temps de se rendre au gymnase pour déguster la délicieuse pogne du pâtissier, agrémentée d’un verre de crémant, offerts par la Municipalité à leurs hôtes d’un jour. En égard aux mauvaises et contraignantes conditions atmosphériques, la traditionnelle visite des communes voisines ne permit pas aux organisateurs de prendre le risque de faire subir aux chars les fâcheux et dommageables aléas des intempéries…Une absence regrettée mais nécessaire, laquelle permit néanmoins à tous de goûter la pogne et le verre de l’amitié sur un itinéraire guidant les participants, sympathisants et amis à Montmeyran, à Montéléger et à Beauvallon…Où se terminait cette rituelle et conviviale visite, comme à l’accoutumée, empreinte d’une joviale bonne humeur et d’une franche simplicité. Le lendemain soir, mardi, sur le coup de vingtet-une heures, malgré une température toujours froidement défavorable, le même défilé des chars fleuris, mais nocturne cette fois, revêtit d’autres indicibles splendeurs mises en valeur par des jeux de lumières attribuant aux sujets des allures, des angles, des profils inédits et pleins d’intérêts insoupçonnés…L’apothéose de cinq jours d’exception permettant aux Beaumontois ravis, de remercier chaleureusement le Comité des Fêtes et en tout premier lieu son Président, pour la parfaite qualité d’une telle organisation en tous points remarquables…Laquelle, une nouvelle fois, malgré les incontournables vicissitudes d’une météorologie bien capricieuse, nous permit de Vivre, d’Apprécier et de Partager toute l’excellence de ces mémorables fêtes pascales et surtout… Les mille splendeurs d’un anthologique corso… Jean d’Orfeuille