Mémoire de Mor Niang Licence 3 Teleinformatique

Transcription

Mémoire de Mor Niang Licence 3 Teleinformatique
Mémoire de fin de cycle : MTM-PEAGE
2012
REPUBLIQUE DU SENEGAL
***** * * ********
ECOLE SUPERIEURE DES TECHNOLOGIES
ET DE MANAGEMENT DE DAKAR
DEPARTEMENT INFORMATIQUES
MEMOIRE DE FIN DE CYCLE
Pour l’obtention de la :
Licence Professionnelle Téléinformatique et Réseaux
Thème :
Mise en place d’une application pour la
gestion de l’autoroute à péage (Mtn –péage)
Lieu d’étude :
Présenté par :
Mor
NIANG
Encadré par :
M. Cheikh SENE
Année universitaire : 2011 – 2012
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DEDICACES
 Je rends grâce au Tout Puissant ALLAH qui m’a donné l’occasion de
produire ce travail dans la santé et la sérénité.
Je dédie ce mémoire :
A ma chère Maman Fatou Kine NIANG : ce mémoire est le fruit de ta générosité,
de ton soutien et de la confiance que tu as toujours porté en moi. Que Dieu te
bénisse et t'accorde longue vie.
A mon papa Ibrahima NIANG, pour ces prières ces conseils son amour. Merci
papa que Dieu t’accorde longue vie.
A ma très chère grande mère Diémé NDIAYE qui m’a toujours soutenu pour la
réalisation de ce travail.
A la mémoire de mon cher oncle et ami Ibrahima NIANG. Que DIEU l’accueille
dans son paradis.
A mes oncles Mbaye NIANG, Abdoulaye NIANG et Mor NIANG qui n’ont jamais
cessés de me soutenir et de prier pour moi.
A toute ma famille, pour leur amour, leur disponibilité et leur soutien sans faille.
A tous les étudiants de ma promotion.
Mor Niang
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REMERCIEMENTS
 Dans l’élaboration de cette mémoire, j’ai été soutenu par bon nombre de
personnes à qui je tends à adresser ici mes plus sincères remerciements.
Ainsi, je remercie
DIEU le Tout Puissant qui m’a donné santé, courage et ouverture d’esprit, son
Prophète MOUHAMED(S.A.W) que j’adore de tout mon cœur.
Mes très chers parents sans qui je n’aurais pas pu présenter ce travail.
L’administration et tout le corps professoral de l’ESTM particulièrement du
Département Informatique qui nous ont encadrés durant les trois années.
Je remercie pareillement Monsieur DIENE directeur générale de l’Ecole
Supérieure de Technologie de Management et aussi à le Directeur des Etudes
M. CAMPAL.
M. Cheikh SENE mon encadreur pour sa patience, sa disponibilité et surtout ses
judicieux conseils, qui ont contribué à alimenter ma réflexion.
L’ensemble des étudiants de l’immeuble des Etudiants Thiessois pour les
conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ces trois années de cohabitions
A Binta Niang Mouhamadou Mamour Niang, Malick Ameth Diop, Fatou Ndao
Tall, Abibatou Sall, Moctar Sall, Ahmadou Sall Cissé et à Ouseynou gueye
pour leurs conseils et encouragements.
Mention spéciale à une personne spéciale AWA NIANG merci pour tout.
Que chacun
Mor Niang
trouve
ici
l’expression de ma profonde gratitude.
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GLOSSAIRE
APIX : Agence nationale chargée du Promotion des Investissements et des Grands Travaux
ESTM : Ecole Supérieure de Technologie et Management
CAMES : Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur
SGC : Le système de gestion central
SSCVR : Sous-systèmes de commande de voies rapides
SGBD : Système de gestion de bases de données
SGC : Le système de gestion central
SSCVR : sous-systèmes de commande de voies rapides
SSCVM : sous-systèmes de commande des voies à péage manuel
SSGLS : sous-système de gestion locale et de supervision
OMT: Object Modeling Technique
OMG: Object Management Group
HTML: HyperText Markup Language
SGML: Standard Generalized Markup Language
CSS: Cascading Style Sheet = feuille de style
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AVANT-PROPOS
L'école Supérieure de Technologie et de Management de Dakar est une école privée
d’enseignement supérieur et universitaire, elle a été créée en 2002 par des universitaire et des
professionnels des secteurs des technologies de l’information, de la communication et de la
gestion. Les enseignements dispensés sont comparables à ceux dispensés dans les meilleures
écoles.
Les enseignements sont des valeurs universitaires et des professionnels des secteurs concernés
et chaque matière est confiée aux meilleurs enseignants du moment.
Les formations délivrées permettront au futur cadre d’être un produit actif et opérationnel
dans le milieu du travail.
L’école participe, en collaboration avec les étudiants, à la recherche de stage de fin de cycle
d’une durée de 45 jours soit dans une entreprise soit au sein des locaux de l’école. Les stages
donnent lieu à une soutenance devant un jury.
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SOMMAIRE
DEDICACES ………………………………………………………………………………… 2
Remerciement ………………………………………………………………………………... 3
Glossaire ……………………………………………………………………………………… 4
Avant-propos ………………………………………………………………………………..... 5
Sommaire …………………………………………………………………………………...... 6
Table des tableaux et table des ………….…………………………………………………..... 8
Table des figures ……………………………………………………………………………... 8
INTRODUCTION …………………………………………………………………………. .. 9
Chapitre 1 : CADRE GENERAL ET ETUDE THEORIQUE …..…………………….. 10
1. Présentation de l’ESTM ………………..…………………………………………… 11
2. Présentation du projet ……………………………………………………………….. 13
2.1.Présentation de l’APIX …………...………………………………………………… 13
3. Etude de l’existant …………………….…………………………………………….. 16
3.1. L’autoroute à péage ………………………………………………………………… 16
3.2. Description du fonctionnement général…………………………………………….. 17
3.3.Description du système de traitement de l’information……………………………... 20
3.4.Etude du sous-système de commande d’une voie rapide……………………………. 21
3.4.1. Description d’une voie rapide…………………………………………………… 22
3.4.2. Fonctionnement en mode télépéage……………………………………………... 24
4. Problématique ……………………………………………………............................. 24
Chapitre 2 : ANALYSE ET CONCEPTION ……………………………………………. 25
II. Analyse et conception……………………………………………………………………. 26
1. Les méthodes d’analyse et de conception …………………………………………... 26
2. Merise/UML …………………………………………………………………………26
2.1. Merise …………………………………………………………………………...26
2.2.UML ……………………………………………………………………………..27
2.3.Choix d’UML ……………………………………………………………………27
3. Les diagrammes ……………………………………………………………………...28
3.1. Diagramme de cas d’utilisation …………………………………………………28
3.2. Diagramme de séquence ………………………………………………………...30
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3.3. Diagramme d’état de transition …………………………………………………31
3.4. Diagramme d’activité ………………………………………………………….. 33
3.5. Diagramme de classe …………………………………………………………... 34
Chapitre 3 : REALISATION …………………………………………………………….. 35
III. Réalisation ……………………………………………………………………………… 36
1. Choix des outils et des technologies utilisés ………………………………………... 36
a. Dreamweaver …………………...……………………………………………..... 36
b. Poweramc ……………………………………………………………………….. 36
c. PHP ………………………………………………………………………………37
d. HTML/HTML5 …………………………………………………………………..37
e. CSS ………………………………………………………………………………39
f. JavaScript…………………………………………………………………………40
g. Apache……………………………………………………………………………41
h. SQL ………………………………………………………………………………41
2. Mise en œuvre ………………………………………………………………………..42
2.1. Description de l’environnement future ……………………………………………42
2.2. Architecture logicielle utilisée (trois tiers) ………………………………………..43
2.3. Base de données : MYSQL ……………………………………………………….43
2.4. Plateforme de développement intègre choisi : Wampserveur …………………….44
3. La sécurité…………………………………………………………………………….45
3.1. .htaccess …………………………………………………………………………...45
3.2. La fonction md5 () ………………………………………………………………...45
4. Présentation de l’application………………………………………………………… 47
CONCLUSION …………………………………………………………………………….. 57
Webographie ………………………………………………………………………………... 58
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TABLES DES FIGURES
Organigramme de l’ESTM …………………………………………………………………………. 12
Organigramme de l’APIX …………………………………………………………………………... 16
Cartographie de l’autoroute ………………………………………………………………………… 17
Figure 1 : Schéma d’ensemble de la station de péage d’autoroute …………………………. 17
Figure2 : Système de traitement de l’information ………………………………………….. 19
Figure3: diagramme du cas cas d’utilisation de l’agent ……………………………………….. 26
Figure4: diagramme de séquence de la passage du client sur le poste de péage……...…….. 28
Figure5: diagramme d’état d’un abonné …………………………………………………………. 29
Figure6: diagramme d’activité d’un abonné …………………………………………………….. 30
Figure7: diagramme d’activité d’un client ……………………………………………………….. 31
Figure8: diagramme de classe ……………………………………………………………………. 32
Figure 9 : Modèle relationnelle de données ……………………………………………………... 43
Figure10: fonctionnement de l’architecture trois tiers ………………………………………… 44
TABLES DES TABLEAUX
Tableau 1.a. Capteur ………………………………………………………………………... 23
Tableau 1.b. Actionneur …………………………………………………………………….. 24
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INTRODUCTION
En quelque années, Internet et son utilisation s’est entièrement emparé de notre vie quotidien,
immergent ce qu’il faut sans doute qualifier de révolution de l’information et contrairement à
beaucoup de celles qui ont précédé, est une révolution de l’information et de la
communication, qui entraine un changement fondamental dans les attitudes, notamment de
nouveaux agissements, de nouvelles façons de penser, de vivre, d’échanger avec les autres et
aussi de nous informer en temps dans nos activités.
Pour cela avec l’avènement de l’alternance, beaucoup de projets ont été mis en place dans
lequel celui de l’autoroute à péage.
L'Agence nationale chargée du Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX)
est l'aboutissement d'un processus de rationalisation du dispositif institutionnel d'appui aux
Investisseurs.
C’est ainsi que notre étude portera surtout dans le système de péage de l’autoroute.
Ce document a pour but de faire comprendre le fonctionnement de notre application ainsi que
de décrire l’ensemble de ses fonctionnalités du plus simple au plus complexe. De ce fait il
vise d’abord l’administration de station de péage de l’autoroute Dakar à Diameniadio, les
agents et aussi des automobilistes.
Pour la réussite de ce travail, nous avons effectué des interviews, des observations et de la
documentation au sein du service de l’APIX.
Dans l’étude qui suit nous allons élaborer d’abord dans le premier chapitre l’étude du cadre
général et l’étude théorique ensuite l’analyse du SI (Système d’information), la mise en place
de la conception, enfin nous aurons à parler dans le dernier chapitre la réalisation du système
mtn-péage.
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Et enfin une conclusion sera faite et une la présentation de quelques maquettes de l'application
et nos source de documentation.
Chapitre 1 : cadre
générale et étude
théorique
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Présentation de l’ESTM
1. Présentation de l’ESTM
L’école Supérieure de Technologie et Management (ESTM), est une école privée
d’enseignement supérieur, universitaire et professionnel. Elle a été créée en 2002 par des
professionnels des secteurs des technologies de l’information, de la communication et de la
gestion. Les enseignements dispensés s’inspirent des normes exigées par le CAMES (Centre
Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur) et donc superposables à ceux dispensés
dans les meilleures écoles tant sur le continent africain que sur le reste du monde. L ESTM est
implantée à Dakar et est située sur l’avenue Bourguiba prolongée x front. Elle assure des
formations dans deux départements qui la composent. Ces formations sont en cours du jour,
comme en cours du soir, aussi bien en formation initiale qu’en formation continue pour le
compte des entreprises, sociétés et particuliers. Ces départements sont : département de
l’Informatique et Télécommunication et département de science de la gestion.
L’accès aux formations peut se faire sur :

Dossier pour la formation initiale

Contrat dans le cadre des formations continue
L’école vise à ce que les étudiants, sortant de ses cycles de formations, soient capables de
participer à la conception, la réalisation et la mise en œuvre des systèmes correspondant au
besoin des utilisateurs. Ainsi l’école forme des techniciens supérieurs en informatique de
gestion, maintenance informatique, réseaux télécommunication, réseau téléinformatique en
deux (2) ans et des licences professionnelle en réseaux et génie logiciel, en réseaux
télécommunication, en réseau téléinformatique. Le second cycle des ingénieurs technologues
en : réseaux télécommunication, réseaux téléinformatique, génie logiciel et système de gestion
de base des données dans son département des sciences de l’informatique et
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télécommunication, des diplômes de premier et second cycle en Marketing, Comptabilité,
tourisme et gestion dans le département des sciences de gestion.
Des diplômes reconnus par le CAMES mis à la disposition de nos étudiants pour faciliter leur
mobilité et leur insertion en entreprise. Depuis quelques années l'école a opté pour la mise ne
place effective du système LMD.
DIRECTEUR
GENERAL
Agent Administratif
Directeur des Etudes
Chef Scolarité
Sécurité
Responsable technique
Hygiène
Comptable
Intandant
Contrôleurs
Organigramme de l’ESTM
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Présentation du projet
2. Présentation de l’APIX
L'Agence nationale chargée du Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX)
est l'aboutissement d'un processus de rationalisation du dispositif institutionnel d'appui aux
Investisseurs.

Restructuration du dispositif d'Appui au Secteur Privé

Simplification des Procédures administratives

Elaboration d'une loi d'orientation sur l'investissement

Mise en œuvre de stratégies de développement des Grappes Prioritaires (Tourisme,
Industries Culturelles, BTP et Industries d'Assemblage),

Mise en place d'un Centre de Formalités des Entreprises, etc.
C'est dans ce contexte que l'APIX a été créée en Juillet 2000, traduisant ainsi la forte volonté
politique des nouvelles autorités, de développer une stratégie d'attraction des investissements
privés et de lancer de grands chantiers d'infrastructures d'appui à la production.
Missions et Services offerts

La recherche et l'identification des investisseurs ;

La promotion du Sénégal comme destination privilégiée pour l'Investissement Direct
Etranger ;

L'accueil et l'accompagnement des investisseurs au Sénégal ;

La mise à disposition permanente d'informations économiques ; commerciales et
technologiques sur les principaux secteurs d'activités ;
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
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L'assistance à l'investisseur pour les formalités de création d'entreprise et d'obtention
des diverses autorisations administratives (accès à la terre, permis de construire,
licences, etc.) ;

L'appui dans la recherche de financement et/ou de partenariat ;

Le suivi des contacts avec les investisseurs ;

Le suivi et l'évaluation des projets d'investissements au Sénégal

La réalisation des grands projets d'infrastructures du Président de la république sur le
modèle BOT, BOOT, etc.
Une organisation adaptée et efficace créée par Décret n° 2000-562 du 10 Juillet 2000,
l'Agence nationale chargée de la Promotion de l'Investissement et des Grands Tavaux (APIX)
est directement rattachée à la Présidence de la République. Dans l'exécution de sa mission,
l'Agence est placée sous la supervision directe d'un Comité Stratégique pour la Promotion de
l'Investissement, dont les membres sont nommés par arrêté du Président de la République.
La composition du Comité Stratégique est la suivante :

Un Président

Trois représentants du Secteur Privé

Trois représentants de l'Etat

Le Directeur Général de l'APIX
Une équipe multilingue particulièrement dédiée vous accompagne dans toutes les phases
indispensables à la mise en œuvre de votre projet d'investissement :

L'instruction des demandes d'agrément au Code des Investissements et à l'Entreprise
Franche d'exportation

L'assistance aux investisseurs dans la résolution de problèmes tels que :
- L'accès à la terre
- L'obtention des différents permis et autorisations (permis de construire, licences,
etc.)
- Appui dans la recherche de financements
- Facilitation et conciliation dans les contentieux avec l'administration fiscale)

La conduite des études pour l’amélioration de l'environnement des Affaires

La gestion du Centre de formalités des Entreprises
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Un Guichet Unique moderne
Pour assurer une meilleure prise en charge des projets d'investissements, un service Guichet
Unique, moderne dans son fonctionnement a été ouvert au sein de l'APIX, pour assurer :

L'exécution de toutes les formalités administratives de création ou de modification des
entreprises, en un même lieu, sur une fiche unique de demande d'immatriculations ;

L'agrément au Code des Investissements et au statut de l'Entreprise Franche
d'Exportation ;

Le suivi des projets d'investissements agréés aux cadres d'incitations susvisés, etc.
Un programme d'Action est d'ailleurs en cours pour la mise en place d'une démarche qualité
au niveau du Guichet Unique de l'APIX et pour une certification ISO 9002.
Un environnement des affaires en amélioration constante :
Afin d'améliorer l'environnement des affaires, et en collaboration avec des administrations
publiques, l'APIX a pris en charge plusieurs dossiers :

La restructuration du dispositif d'Appui au Secteur Privé

La simplification des Procédures administratives

L'élaboration d'une loi d'orientation sur l'investissement
Une politique hardie de promotion de l'investissement privé dans le financement des
infrastructures de soutien à la production à travers les Grands Projets du Chef de l'Etat
confiés à l'APIX, que sont :

Le Nouvel Aéroport International

L'Autoroute à péage

La Cité des Affaires de l'Afrique de l'Ouest

Le Chemin de Fer à écartement standard

Le Port du Futur

Le Port Minéralier de Bargny

La Réhabilitation du Port de Saint-Louis

L'exploitation des mines de fer du Sénégal Oriental, etc.
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Pour mener à bien l'exécution de ces importants projets dont le mode de financement est basé
sur le principe de concessions au secteur privé (BT, BOT, BOOT), la Direction des Grands
Travaux travaille en étroite collaboration avec les Ministères techniques et autres services
compétents de l'Etat.
Président
Représentant du
secteur privé
Représentant de
l’Etat
Directeur General
Directeur Adjoint
Secrétaire
Secrétaire
Sécrétaire
DRH
Comptable
Organigramme de l’APIX
3. Etude de l’existant
3.1. L’autoroute à péage
« Au début du mois de septembre prochain, les usagers du tronçon Patte d’Oie-Pikine de
l’autoroute Dakar-Diamniadio vont commencer à payer. La première gare de péage a fini
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d’être installée. 80 personnes sont recrutées pour s’occuper du péage. Des équipements de
dernière génération sont visibles sur les lieux.
Le bitume noir semble se liquéfier sous le soleil estival. La vaste autoroute est sillonnée dans
les deux sens par des véhicules en partance ou en provenance de Dakar. Après le pont de
Cambérène, juste à hauteur du quartier de Dalifort, la barrière pleine route appelée sous
d’autres cieux station ou gare de péage a fini de sortir de terre. Une huitaine de box de péage
coincés entre les voies de passage donne des airs de nains sous les imposants pylônes bardés
de lasers, de caméras ainsi que d’autres équipements de dernière génération.
Des équipes de Senac, une société de la filiale d’Eiffage qui va exploiter l’autoroute, font des
essais. Certains sont dans des véhicules et empruntent la barrière pleine route, d’autres sont au
niveau des box pour assurer le péage. Plus loin, d’autres équipes s’emploient à modifier le
tracé de l’autoroute afin que les véhicules, dans les deux sens, puissent passer à la station de
péage ».
Article tiré du journal l’observateur.
Cartographie de l’autoroute
3.2. Description du fonctionnement général de l’autoroute
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Chaque station de péage comprend quatre voies à péage manuel et deux voies rapides à
télépéage (voies 1 et 6, voir figure 1). Une signalisation placée en amont de la station de
péage indique aux automobilistes le type de chaque voie.
Les automobilistes qui passent fréquemment par cette station de péage ont la possibilité de
s’abonner au système de télépéage. Pour cela, chaque abonné se voit attribuer une balise
émettrice munie d’un code qui sera fixée sur le pare-brise de la voiture.
Dès l’entrée dans la voie rapide, un émetteur radio lit le code de l’abonné. Si toutes les
conditions d’utilisation de la voie rapide sont réunies, l’automobiliste est autorisé à l’utiliser,
sinon il est dirigé par des panneaux de signalisation vers une voie à péage manuel.
Les droits de passage de chaque automobiliste abonné sont comptabilisés par un système de
gestion central qui édite à la fin de chaque mois l’abonné.
Les automobilistes non abonnés doivent utiliser les voies à péage manuel. Chacune de ces
voies est équipée d’un poste de péage géré par un opérateur qui encaisse le droit de passage et
commande l’ouverture de la barrière.
Chaque opérateur possède un login et un mot de passe qui leur permet de s’identifier à chaque
début de service. A la fin du service, l’operateur remet les droits de passage encaissés à
l’agent responsable de la station.
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Figure 1 : Schéma d’ensemble de la station de péage d’autoroute
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3.3. Description du système de traitement de l’information
Le système de traitement de l’information de l’autoroute comprend :

Une partie centralisée : Le système de gestion central(SGC) implanté sur un
micro-ordinateur et qui gère les données de péage de l’autoroute (abonnés,
employés,...).

Une partie délocalisée dans chaque site de station de péage comprenant :
-
Des sous-systèmes de commande de voies rapides(SSCVR), implantés sur des
cartes à micro-contrôleur ;
-
Des sous-systèmes de commande des voies à péage manuel(SSCVM),
implémentés sur des cartes à micro-contrôleur ;
-
Un sous-système de gestion locale et de supervision (SSGLS) implémenté sur
un micro-ordinateur.
L’ensemble est interconnecté à l’aide d’un bus local industriel de type CAN (voir figure2).
Les informations relatives aux abonnés, aux employés et aux stations sont stockées dans une
base de données implémentée sur le système de gestion central. Pour accélérer les traitements,
une image de la base sera actualisée en permanence est implantée sur les différents soussystèmes de gestion locale et de supervision par l’administrateur.
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Figure2 : Système de traitement de l’information
3.4. Etude du sous-système de commande d’une voie rapide
Les deux voies rapides 1 et 6 ont un fonctionnement identique. Seule la voie 1 sera dans la
suite (voir figure 3).
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Figure 3 – Description schématique des voies 1 et 2
3.4.1 Description d’une voie rapide
La voie rapide 1 comprend :
-
Un émetteur-récepteur ER1 permettant la lecture du code de l’abonné.
-
Un émetteur-récepteur ER2, situé sur la voie adjacente, permettant la lecture
du code d’un abonné dévié,
-
Quatre capteurs au sol pour la section des voitures
-
Une barrière mobile B1 équipé d’un capteur infrarouge de sécurité signalant la
présence d’un obstacle sous la barrière.
-
Deux panneaux de signalisation comportant chacun deux flèche bicolores
(vertes et rouges) « A » (Autorisation et « D » (Déviation). Le panneau 1
comporte en plus un signal lumineux « Ralentir » ;
-
Une caméra de surveillance connectée à travers une carte d’acquisition au
sous-système de gestion locale et de supervision
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Le tableau suivant récapitule l’ensemble des capteurs et actionneurs gérés par un soussystème de commande d’une voie rapide.
Les différentes combinaisons d’allumage des flèches « A » et « D » ont chacune une
signification précise pour l’automobiliste qui rentre dans la voie rapide.
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Tableau 2 – Indications des panneaux de signalisation
3.4.2 Fonctionnement en mode télépéage
Le passage par la voie rapide est conditionné par :
-
La lecture correcte du code de l’abonné par l’émetteur récepteur ER1 imposant
une vitesse maximum de 5Okm/h aux véhicules,
-
Le règlement de la dernière facture par l’abonné.
4. Problématique
Le Sénégal est une destination d’affaires attractive à plus d’un titre et le pays offre plusieurs
atouts aux investisseurs. Choisir d’investir au Sénégal vous permet de bénéficier d’avantages
incomparables.
C’est ainsi que l’Etat depuis 2000 s’est résolument orienté dans une dynamique de mise à
niveau de ses infrastructures structurante, l’autoroute à péage reliant Dakar à Diamnadio en
est une.
C’est pour cela qu’on a essayé de concevoir une application pour bien gérer la gestion de
payement surtout de l’autoroute.
L’application mtn-peage a pour objectif de gérer:
- Le Télépéage qu’il soit manuel ou pro
-
Les employés.
-
La géolocalisation …
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Chapitre 2 : analyse
et conception
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Analyse et conception
II. ANALYSE ET CONCEPTION
1. Les méthodes d’analyse et de conception
Une méthode d’analyse et de conception a pour objectif de permettre de formaliser les étapes
préliminaires du développement d’un système afin de rendre ce développement plus fidèle
aux besoins du client. Pour ce faire, on part d’un énoncé informel(le besoin tel qu’il est
exprimé par le client, complété par des recherches d’informations auprès des experts du
domaine fonctionnel, comme par exemple les futurs utilisateurs d’un logiciel), ainsi que de
l'analyse de l'existant éventuel (c'est-à-dire la manière dont les processus à traiter par le
système se déroulent actuellement chez le client).
La phase d'analyse permet de lister les résultats attendus, en termes de fonctionnalités, de
performance, de robustesse, de maintenance, de sécurité, d'extensibilité, etc.
La phase de conception permet de décrire de manière non ambiguë, le plus souvent en
utilisant un langage de modélisation, le fonctionnement futur du système, afin d'en faciliter la
réalisation.
Il existe plusieurs méthodes: RACINES, Merise, NIAM, OMT (Object Modeling Technique),
Booch, OOSE, SADT, SA/SD, MACAO, FAST, APTE, Unified Process utilisant la méthode
de notation UML.
2. Merise/UML
2.1. Merise
Merise (prononcer « Meurisse » et non « Mérise ») est une méthode d'analyse, de conception
et de gestion de projet informatique.
Merise a été très utilisée dans les années 1970 et 1980 pour l'informatisation massive des
organisations. Cette méthode reste adaptée pour la gestion des projets internes aux
organisations, se limitant à un domaine précis. Elle est en revanche moins adaptée aux projets
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transverses aux organisations, qui gèrent le plus souvent des informations à caractère sociétal
(environnemental et social) avec des parties prenantes .
2.2. UML
UML (en anglais Unified Modeling Language ou « langage de modélisation unifié ») est un
langage de modélisation graphique à base de pictogrammes. Il est apparu dans le monde du
génie logiciel, dans le cadre de la « conception orientée objet ». Couramment utilisé dans les
projets logiciels, il peut être appliqué à toutes sortes de systèmes ne se limitant pas au
domaine informatique.
UML est l'accomplissement de la fusion de précédents langages de modélisation objet :
Booch, OMT, OOSE. Principalement issu des travaux de Grady Booch, James Rumbaugh et
Ivar Jacobson, UML est à présent un standard défini par l'Object Management Group (OMG).
La dernière version diffusée par l'OMG est UML 2.4.1 depuis aout 2011.
2.3. Choix d’UML
UML est utilisé pour spécifier, visualiser, modifier et construire les documents nécessaires au
bon développement d'un logiciel orienté objet. UML offre un standard de modélisation, pour
représenter l'architecture logicielle. Les différents éléments représentables sont :

Activité d'un objet/logiciel

Acteurs

Processus

Schéma de base de données

Composants logiciels

Réutilisation de composants
Grâce aux outils de modélisation UML, il est également possible de générer automatiquement
une partie de code, par exemple Java, à partir des divers documents réalisés.
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UML est non seulement un outil intéressant mais une norme qui s’impose en technologie à
objets et à laquelle se rangés tous les grands acteurs du domaine, acteurs qui d’ailleurs
contribué à son élaboration. UML n’a donc pas a priori de domaine d’application restreint.
Les concepts propres à UML sont assez génériques pour correspondre à une majorité de
problématiques. Puis, les stéréotypes et les profils permettent de spécifier le langage pour
l’adapter à une problématique particulière.
D’où le choix d’UML pour modéliser notre projet.
3. Les diagrammes
3.1.
Diagrammes de cas d’utilisation
Les cas d’utilisations permettent d’exprimer le besoin des utilisateurs d’un système, ils sont
donc une vision orientée utilisateur de ce besoin au contraire d’une vision informatique.
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Diagramme de cas d’utilisation de l’agent
Figure3: diagramme du cas d’utilisation de l’agent
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3.2.
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Diagramme de séquence
Les diagrammes de séquences permettent de représenter des collaborations entre objets selon
un point de vue temporel, on y met l’accent sur la chronologie des envois de messages.
Diagramme de séquence du passage d’un client
Figure4 : diagramme de séquence du passage du client sur le poste de péage
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3.3.
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Diagramme d’état de transition
Ils décrivent le comportement interne d’un objet à l’aide d’états finis.
Ils présentent les séquences possibles d’états et d’actions qu’une instance de classe peut traiter
au cours de son cycle de vie en réaction à des événements discrets (de type signaux,
invocations de méthode).
Figure5: diagramme d’état d’un abonné
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3.4.
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Diagramme d’activités
Les diagrammes d’activités permettent de mettre l’accent sur les traitements.
Ils sont donc particulièrement adaptés à la modélisation du cheminement de flots de contrôle
et de flots de données. Ils permettent ainsi de représenter graphiquement le comportement
d’une méthode ou le déroulement d’un cas d’utilisation.
Diagramme d’activité d’un abonné
Figure6: diagramme d’activité d’un abonné
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Diagramme d’activité d’un client
Figure7: diagramme d’activité d’un client
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3.5.
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Diagrammes de classes
Le diagramme de classes est considéré comme le plus important de la modélisation orientée
objet, il est la seule obligation lors d’une telle modélisation.
Une classe se décrit par ces trois comportements : nom, attributs et méthodes.
Alors que le diagramme de cas d’utilisation montre un système du point de vus des acteurs, le
diagramme de classes en montre la structure interne.
recu
-
Id_recu
Date_recu
Montant_caise
Nom_station
:
:
:
:
int
Date
int
String
1..*
Client
1..1
Mat_agent
Nom_agent
Email_agent
Adresse_agent
Tel_agent
login
mot_de_passe
...
Id_client
Nom_client
Prenom_client
date_passage_client
1..*
agent
-
-
:
:
:
:
:
:
:
char
String
String
char
int
char
char
1..1
compte
- Id_compte : int
- solde_carte : int
1..1
0..*
abonne
1..*
-
Id_abonne
Nom_abonne
Prenom_abonne
Tel_abonne
Adresse_abonne
Numero_mat_voiture
:
:
:
:
:
:
int
String
String
int
char
char
1..1
1..1
1..*
Infraction
- Id_infraction
: int
- Barriere
: char
- Date_infraction : Date
Figure8: diagramme de classe
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Chapitre 3 : la
réalisation
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III. Réalisation
1. Choix des outils et des technologies utilisés
a. Dreamweaver
Dreamweaver est un éditeur WYSIWYG (What you see is what you get, ce que vous voyez
est ce que obtenez) destiné à la conception, au codage et au développement de sites, de pages
et d’applications web. Quel que soit l’environnement de travail utilisé, Dreamweaver propose
des outils qui vous aideront à créer des applications web. Ce logiciel est édité par
Macromedia.
Les fonctions d’édition visuelle de Dreamweaver nous permettent de créer rapidement des
pages sans rédiger une seule ligne de code. Si nous préférons faire appel au codage manuel,
Dreamweaver intègre également de nombreux outils et fonctions de codage.
Avec Dreamweaver, nous pouvons créer des applications web dynamiques reposant sur une
base de données à l’aide de langages serveur tels qu’ASP, ColdFusion, JSP et PHP.
b. Poweramc
PowerAMC est un logiciel de conception créé par la société SDP, qui permet de modéliser
les traitements informatiques et leurs bases de données associées.
Créé par SDP sous le nom AMCDesignor, racheté par Power soft, ce logiciel est produit
par Sybase depuis le rachat par cet éditeur en 1995. Hors de France, la version internationale
est commercialisée par Sybase sous la marque Power Designer.
PowerAMC permet de réaliser tous les types de modèles informatiques. Il reste un des seuls
qui permet de travailler avec la méthode Merise. Selon Riff News, cela permet d'améliorer la
modélisation, les processus, le coût et la production d'applications.
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c. PHP
PHP (HyperText Preprocessor) est un langage de scripte libre principalement utilisé pour
produire des pages web dynamique via un serveur http, mai pouvant également fonctionner
comme n’importe quel langage interprété de façon locale, en exécutant les programmes en
ligne de commande. PHP est un langage impératif disposant depuis la version 5 de
fonctionnalités de modèle objet complètes.
Le langage PHP est utilisé principalement en tant que langage de script coté serveur, ce qui
veut dire que c’est le serveur qui va interpréter le code PHP et générer du code qui pourra être
interpréter par un navigateur. PHP peut également générer d’autres formats en rapport avec le
web, comme le WML, le GVG, le format PDF, ou encore des images bitmap telles que JPEG,
GIF ou PNG.
Il a été conçu pour permettre la création d’applications dynamiques, le plus souvent dédiées
au web. PHP est très majoritairement installé sur un serveur Apache, mais peut être installé
sur les autres principaux serveurs http du marché, par exemple IIS. Ce couplage permet de
récupérer des informations issues d’une base de données, d’un système de fichiers ou plus
simplement des données envoyées par le navigateur afin d’être interprétées ou stockées pour
une utilisation ultérieure.
Il est multiforme car autant sur linux qu’avec Windows il permet aisément de reconduire le
même code sur un environnement à peu près semblable. Libre et gratuit, simple d’utilisation
et d’installation, ce langage nécessite comme tout langage de programmation une bonne
compréhension des principales fonctions usuelles ainsi qu’une connaissance aigue des
problèmes de sécurités.
d. HTML et HTML5
HTML
Le langage HTML (HyperText Markup Language) est au Web ce que la portée musicale est à
l’orchestre. L’un ne pourrait exister sans l’autre. Les musiciens, quelle que soit leur
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nationalité, ne pourraient interpréter l’oeuvre du compositeur sans cette notation commune,
pour jouer de « concert », sans fausses notes et en rythme.
Tout le monde a déjà entendu parler de HTML. Tous les internautes ont déjà vu cette
extension dans la barre d’adresses de leur navigateur. Pourtant, très peu savent ce qui se cache
réellement derrière ces quatre lettres mystérieuses qui leur permettent d’accéder à leurs sites
et services favoris.
En tant que concepteur, designer ou intégrateur web, on croit le maîtriser puis l’on découvre
de nouvelles applications chaque jour, de nouvelles subtilités et astuces qui en font un sujet
passionnant, voire monstrueux lorsqu’il s’agit de contenter tous les navigateurs sachant
l’interpréter avec plus ou moins de virtuosité.
HTML est initialement dérivé du Standard Generalized Markup Language (SGML).
HTML5
De nos jours, les différents langages pouvant être mis en jeu pour la composition d’une page
web (ou d’une application web) sont très intimement liés. Ainsi, l’on voit souvent regroupés
HTML 5, JavaScript et CSS (dans sa version 3 en cours d’élaboration) sous le terme
générique HTML 5 lui-même.
Il s’agit bien là d’un abus de langage, mais un abus justifié : le contenu (HTML) étant bien
dissocié de la forme (CSS), mais peu exploitable pour les visiteurs sous une forme brute sans
mise en pages, et peu dynamique sans langage de script pour des interactions avec le contenu
de la page lui-même. Il est donc difficile de se servir de l’un sans l’autre pour la création de
sites complets.
HTML5 est la pierre angulaire de l’édifice.
On pourra aussi noter la coïncidence – ou plutôt la concomitance – de la période de
développement de CSS 3, qui est somme toute logique dans le processus d’évolution des
langages web, mais qui associe bien souvent les deux dans les démonstrations technologiques.
De même, HTML 5 est livré avec plusieurs API évoluées qui se manipulent avec
JavaScript. Les moteurs les plus récents embarquent des avancées majeures pour
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JavaScript :
• la nouvelle version du langage ECMAScript 5, incluant l’API JSON et le mode strict (strict
mode) ;
• les tableaux typés natifs pouvant représenter un gain de performance ;
• XMLHttpRequest 2 et les objets FormData ;
• l’API Selectors et l’attribut classList ;
• les attributs async et defer ;
• et toutes les autres améliorations mineures au niveau atomique qui soulagent le développeur
de façon majeure.
Les implications du point de vue du développement et de l’intégration sont dès lors plus
complexes que par le passé. La synergie de ces trois langages paraît désormais essentielle
pour concevoir un site web attractif ou une application web multi-plate-forme.
HTML 5 n’est pas un tout monolithique. C’est un ensemble de fonctionnalités
individuelles, bâties autour d’un langage rétro compatible. Cette approche va permettre
d’implémenter certaines d’entre elles progressivement dans les navigateurs, avec
l’inconvénient de devoir se préoccuper du support de ces fonctionnalités les unes après les
autres, voire de proposer des alternatives de remplacement pour ne pas altérer le confort de
l’utilisateur.
e. CSS
Les CSS (Cascading Style Sheet = feuille de styles) sont des documents aux formats texte,
tout comme le HTML. La différence est qu’une CSS n’est prévu ni pour être visualisée par
l’internaute ni pour être affichée directement dans le navigateur. Une feuille de styles n’est
qu’un document qui définit comment une page HTML doit être affiché. Le navigateur web
s’occupe de charger le CSS sans que l’internaute doive intervenir ; une CSS a pour vocation
d’agir en arrière-plan.
En utilisant des styles, il est par exemple possible de dire que tous les liens, aux lieux d’être
bleus ou violets comme on en a l’habitude, doivent être gris ; ou bien que le texte est toujours
orange.
En fait, l’idée est que le navigateur parcours le document HTML. Lorsqu’il rencontre une
balise, il demande à la CSS de quelle manière il doit l’afficher. La CSS ne sait rien faire
d’autre que de dire comment doit être affiché tel ou tel élément de la page web.
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f. JavaScript
JavaScript est un langage de programmation scripts principalement utilisé dans les pages web
interactives mais aussi coté serveur. C’est un langage orienté objet à prototype, c’est-à-dire
que les bases du langage et ces principales interfaces sont fournies par des objets qui ne sont
pas des instances de classes, mais qui sont chacun équipés de constructeurs permettant de
générer leurs propriétés, et notamment une propriété de prototypage qui permet d’en générer
des objets héritiers personnalisés.
Le langage a été créé en 1995 par Brendan Eich pour le compte de Netscape
Communications Corporation. Le langage actuellement à la version 1.8.2 est une
implémentation de la 3e version de la norme ECMA-262 qui intègre également des éléments
inspirés du langage Python. La version 1.8.5 du langage est prévue pour intégrer la 5e version
su standard ECMA.
g. Apache
Apache est le serveur web le plus répandu sur Internet permettant à des clients d’accéder à des
pages web, c’est-à-dire en réalité des fichiers au format HTML à partir d’un navigateur (aussi
appelé browser) installé sur leur ordinateur distant.
Il s’agit d’une application fonctionnant à la base sur les systèmes d’exploitation de type Unix,
mais il a désormais été porté sur de nombreux systèmes, dont Microsoft Windows.
h. SQL
SQL (StructuredQueryLanguage) est un langage informatique normalisé qui sert à effectuer
des opérations sur les bases de données. La partie langage de manipulation de données SQL
permet de rechercher, d’ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de
données.
En plus du langage de manipulation de données, la partie langage de définition de données
permet de créer, et de modifier l’organisation des données dans les bases de données, la partie
langage de contrôle de transaction permet de commencer et de déterminer des transactions, et
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la partie langage de contrôle de données permet d’autoriser ou d’interdire l’accès à certaines
données à certaines personnes.
Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des
systèmes de gestion de base de données (SGBD) du marché.
2. Mise en œuvre
2.1.
Description de l’environnement futur
Notre environnement est partagé entre :
 Un client, c’est-à-dire l’ordinateur demandeur de ressources, équipée d’une interface
utilisateur (généralement un navigateur web) chargée de la présentation ;
 Le serveur d’application (appelé également middlewared), chargé de fournir la
ressource mai faisant appel à un autre serveur.
 Le serveur de données, fournissant au serveur d’application les données dont il a
besoin.
2.2.Architecture logicielle utilisées (trois tiers)
C’est un modèle logique d’architecture applicative qui vise à séparer très nettement trois
couches logicielles au sein d’une même application ou système, à modéliser et présente cette
application comme un empilement de trois couches, étages, niveaux ou strates dont le rôle est
clairement défini :
 La présentation de données : Elle correspond à la partie de l’application visible et
interactive avec les utilisateurs ;
 Le traitement métier des données : elle correspond à la partie fonctionnelle de
l’application, celle qui implémente le logique et qui décrit les opérations que
l’application opère sur les données en fonction des requêtes des utilisateurs,
effectuée au travers de la couche présentation ;
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 Et enfin l’accès aux données persistantes : Elle consiste en la partie gérant l’accès
aux gisements de données du système ;
2.3.
Bases de données : MYSQL
MYSQL est un système de base de données relationnelle, rapide, robuste et facile à utiliser. Il
est adapté à la gestion de donnée dans un environnement réseaux, notamment en architecture
client/serveur. Il est fourni avec de nombreux outils et est accessible avec de nombreux
langages de programmation. Il est le plus célèbre SGDR open source du monde grace a son
interopérabilité avec le serveur de page web apache et langage de page web dynamique PHP.
Non seulement MYSQL est la base de données open source le plus populaire au monde mais
MySQL fonctionne sur plus de 20 plateformes incluant Linux, Windows, Mac OS, Solaris,
HP-UX, IBM AIX, vous offrant une grande flexibilité. Que l’on soit un débutant ou bien un
développeur ou un DBA expérimenté, MySQL offre une gamme complète de logiciels, de
support, de formations et de services de conseil pour vous assurer le succès.
Ce serveur de base de données est interrogeable via SQL (Structured Query Langage), le
langage standardisé le plus populaire pour interroger les bases de données. SQL permet de
manipuler les données très facilement.
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Figure 9 : Modèle relationnelle de données
2.4.
Plateforme de développement intègre choisi : wamp serveur
Wampserveur (anciennement WAMP5) est une plateforme de développement Web de type
WAMP, permettant de faire fonctionner localement (sans se connecter à un serveur externe)
des scripts PHP. Wampserveur n’est pas en soi un logiciel, mai un environnement comprenant
deux serveurs (Apache et MySQL), un interpréteur de script (PHP), ainsi que phpMyAdmin
pour l’administration Web des bases MySQL.
Il dispose d’une interface d’administration permettant de gérer et d’administrer ses serveurs.
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Figure9: fonctionnement de l’architecture trois tiers
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La sécurité
3.
La sécurité
La sécurité informatique est devenue de plus en plus importante avec la génération de
l’utilisation d’internet dans la vue quotidienne. Concernant les applications Web (du site web
au logiciel basé sur le web il convient de les protéger au moins un minimum afin qu’elles ne
soient pas détournées de leur utilisation première.
3.1. .htaccess
Les fichiers .htaccess sont des fichiers de configuration du serveur Apache, ils permettent de
définir des regles dans un réperetoire. On peut les utiliser pour protéger un répertoire par mot
de passe, pour changer le nom ou l’extension index, ou encore pour personnaliser les pages
d’erreur. Le fichier .htaccess est placé dans le répertoire dans lequel il doit agir. Il agit ainsi
sur les permissions du répertoire qui le contient et de tous ses sous répertoires.
Activation du fichier .htaccess
Pour activer les fichiers .htaccess, on va le crée dans le répertoire
\www\mtn-peage\administration.
AuthName "Page d'administration protégée"
AuthType Basic
AuthUserFile "C:\wamp\www\mtn-peage\administration\.htpasswd"
Require valid-user
3.2. La fonction md5 ()
La fonction md5 () permet de crypter une chaine de caractère. Elle utilise l’algorithme MD5.
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Md5 () convertit une chaîne de texte dans une table de hachage de 32 caractères, en utilisant
un algorithme secret, protégeant ainsi la source d’information originale. On a utilisé cette
fonction pour crypter les mots de passe des agents.
On peut prendre comme exemple le bout de code ci-après :
< ? php
$chaine = « chaine à crypter » ;
$cryptchaine = md5 ($chaine) ;
Echo cryptchaine ;
?>
Cela produira un fouillis de 32 caractères de lettres et de chiffres, qui ne ressemblera à la
chaine
d’entrée
d’origine
dans
le
moindre.
Dans
ce
cas,
la
sortie
serait
« fc8de8ee2c43a9ea2f9023f205d960d6 ».
Pour utiliser md5, la chaine simple dans md5 (x) ; en remplaçant les x démontré avec notre
nom de variable de chaîne. Par exemple, md5 ($ stringname); oui, c’est si simple.
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Présentation de l’application
4. Présentation de l’application
L’application présente au niveau de l’accueille trois onglets :
 L’onglet géolocalisation qui permettra aux automobilistes connaitre leur position au
niveau de l’autoroute.
 L’onglet pour l’administrateur il est à sa disposition la liste des agents, la liste des
abonnés ainsi que la liste des effractions et la liste de tous les reçus fournis au péage
manuel.
 L’onglet agent : il est à sa disposition la liste des abonnés, la liste reçus vendu.
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Page d’accueil de l’application sur laquelle on voit l’onglet géolocalisation qui permet de
montrer la position exacte de l’automobiliste, il y’a l’onglet agent qui permet aux agents de
s’authentifiés et enfin l’onglet administrateur.
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Page d’accueil d’un chef d’agent après connexion.
Comme vous l’avez vu il a les droits d’ajouter des nouveaux agent, alarmes de même que les
affectations.
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Page ajout agent qui permet d’enregistrer les nouveaux agents.
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Page liste des agents. Elle montre tous les agents enregistrés dans la base des données
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Page pour rechercher agent via leurs matricules
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L’onglet de géolocalisation : il vous montre le lieu exact de l’automobiliste et l’aidera de bien
s’orienter sur l’autoroute.
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Page de l’administrateur
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Page ajout abonnée : c’est ici qu’on va faire l’enregistrement des nouveaux adonnée de
l’autoroute pour le péage pro.
Page liste des abonnés : elle montre tous les abonnés enregistrés dans la base des données.
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Onglet pour ajouter un reçu pour les clients à péage manuelle.
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Conclusion
Nous avons mené une étude portant sur la gestion de péage de
l’autoroute Dakar à
Diamniadio qui va nous permettre d’obtenir notre licence professionnelle.
Au cours de la réalisation de l’application nous avons pu mettre en pratique les connaissances
que nous avons acquises durant nos trois années de formation ; ils s’agissent notamment de la
réalisation d’une application web et nous espérons avoir apporté une solution convenable aux
problèmes posés.
En effet, ce travail nous a permis de nous familiariser avec quelques outils de développement.
Ainsi dans l’ensemble, nous pouvons dire que les objectifs que nous nous étions fixés ont été
atteints.
Par ailleurs, nous comptons approfondir le développement de l’application, et travailler sur la
centralisation des demandes des automobilistes et les usagers de l’autoroute et aussi sous
prévoyons dans les futures versions de MTN-PEAGE d’y ajouter certaines fonctionnalités tels
que : les services infos sur les prévisions métrologique ou trafique et d’autre.
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Webographie
http://www.uml.free.fr/i-p14.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thodes_d%27analyse_et_de_conception
http://fr.wikipedia.org/wiki/Unified_modeling_language
http://www.apix.sn/page.htm
http://www.google.sn/
http://www.vinci-autoroutes.com/index.html
http://www.vinciautoroutes-gagnezvosvacances.com/index.php?ban=eva
http://www.siteduzero.com/tutoriel-3-37523-des-videos-flv-sur-son-site-web.html
http://www.commentcamarche.net/download/telecharger-34055064-wampserver
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