Édito - Ordre des Experts
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Life Expert N° 10 Édito Retraites par capitalisation et ISF Avec ce premier article, Marie Hélène Poirier, Directeur Juridique et Fiscal Swiss Life, nous livre tout ce qu’il faut savoir à propos de l’ ISF sur l’épargne constituée dans le cadre des retraites par capitalisation. Dans notre prochaine lettre, nous reviendrons avec elle sur les prestations versées. L’assiette de l’ISF est constituée par la valeur nette au 1er janvier de l’année d’imposition de « l’ensemble des biens, droits et valeurs » détenus par le foyer fiscal (art. 885 E du CGI). Nous savons que l’assurance vie fait l’objet de dispositions particulières, tant au cours de la phase d’épargne qu’à l’échéance du contrat. Les contrats de retraite par capitalisation, qu’il s’agisse de contrats d’assurance vie collective (Madelin, « Article 83 », etc) ou d’épargne retraite (PERCO), bénéficient d’un régime globalement très favorable concernant cette imposition. Ce régime comporte toutefois quelques particularités qu’il convient de préciser, en distinguant la phase d’épargne de celle de dénouement du contrat ou du plan. 1. ISF sur l’épargne constituée Le Code général des impôts distingue deux régimes, selon que les contrats d’assurance vie sont rachetables ou non rachetables (art. 885 F du CGI). Dès lors qu’ils comportent une valeur de suite p. 2 Assurance vie : l’optimisation du rendement se fera à long terme par le choix des unités de comptes par Jean-Pierre Grimaud, Directeur des Investissements Swiss Life A fin août, la progression des cotisations en assurance-vie poursuivait sa croissance (+9% par rapport à l’année 2008). L’encours des contrats d’assurance-vie et de capitalisation atteignait 1220 milliards d’euros, en progression de 5% depuis le début de l’année. Ce rattrapage est réalisé en premier lieu principalement par les banques qui bénéficient d’un phénomène d’arbitrage des clients ; ceuxci réorientent leur épargne des placements bancaires liquides (Livret A, LDD, comptes à terme), dont la rentabilité à fortement chuté, vers des placements toujours sans risques, mais à plus long terme et par conséquent plus rémunérateurs, tels que les obligations ou l’assurance-vie. Depuis un an, les épargnants continuent de privilégier la sécurité en investissant davantage sur les fonds euros (+ 14% entre juin 2008 et fin juin 2009) qu’en unités de compte (-31% sur la même période). Cette stratégie des particuliers, somme toute bien compréhensible après cette période particulièrement houleuse sur les marchés financiers, risque de pénaliser leurs rendements à terme. En effet, au sein des actifs généraux, les assureurs remplacent progressivement La fin d’année est proche et à bien des égards, 2009 fût un millésimé très particulier dans notre histoire moderne : la crise financière, de l’avis général, a pris une tournure jamais vue depuis le fameux krach de 1929 et c’est certainement le sujet qui est revenu le plus souvent ces derniers mois dans les médias et parfois…dans nos propres conversations. Désormais, alors que la sortie de la crise nous est promise pour demain, la pause des confiseurs qui approche nous donne l’opportunité de faire un premier bilan. Les résultats semestriels communiqués par Swiss Life en septembre montrent que notre positionnement d’assureur Gestion Privée nous conserve un dynamisme salvateur lorsque les marchés traditionnels de l’assurance sont à la peine. Le succès de notre participation au dernier Congrès de l’Ordre à Nantes ne dément pas la tendance positive qui fait de Swiss Life un des tout premiers partenaires de votre profession ; vous avez été d’ailleurs nombreux à venir en témoigner sur notre stand comme à l’atelier que nous animions. Devenir référent dans le partenariat, que nous avons engagé avec vous depuis plusieurs années, nécessite de notre part d’aller plus loin encore dans la qualité de relation et de service que nous vous offrons. Pour cette raison, nous mettons en place une nouvelle démarche commerciale qui, tout en vous garantissant une plus grande proximité de nos équipes, vous permettra désormais de bénéficier de l’ensemble de notre offre patrimoniale gestion privée. Bonnes fêtes à tous ! Vincent Liégeon Directeur Commercial suite p. 2 Sommaire ◆R etraites par capitalisation et ISF p.1 ◆A ssurance vie : l’optimisation du rendement se fera par le choix des unités de comptes p. 1 ◆U n partenariat durable p. 3 ◆ L a Fondation Swiss Life s’engage p. 4 4èmetrimestre 2009 Life Expert Retraites par capitalisation et ISF (suite) rachat, les contrats sont imposables à l’ISF : ils doivent être compris dans le patrimoine du souscripteur pour leur valeur de rachat au 1er janvier de l’année d’imposition, quels que soient l’âge de l’assuré et la date de conclusion du contrat, qu’il s’agisse d’assurance en cas de vie ou en cas de décès. Le souscripteur est informé chaque année de cette valeur par l’assureur (art. L. 132-22 du Code des assurances). Mais lorsque le contrat ne prévoit pas de faculté de rachat, le souscripteur est exonéré d’ISF. L’article L. 132-23 du Code des assurances énumère les contrats non rachetables. Il s’agit : des assurances temporaires en cas de décès, des assurances de capitaux de survie et de rente de survie, des assurances en cas de vie sans contreassurance, des rentes viagères immédiates ou en cours de service, des rentes viagères différées sans contreassurance, des contrats d’assurance de groupe en cas de vie dont les prestations sont liées à la cessation d’activité professionnelle. . . . . . . Cette dernière catégorie est celle de l’assurance retraite. Elle doit être distinguée de la situation du PERCO. A. Assurance vie collective de retraite - Principe : pas d’ISF Il est ici question des contrats d’assurance vie collective de retraite bénéficiant d’un régime fiscal et éventuellement social spécifiques : des contrats de retraite à cotisations définies « Article 83 », des contrats de retraite à prestations définies « Article 39 », des contrats spécifiques aux TNS : les contrats Madelin et les contrats Madelin agricole, du PERP et de sa déclinaison en entreprise : le PERE. . . . . Ces différents contrats d’assurance vie collective ayant pour objet d’offrir des prestations de retraite supplémentaire ne sont pas rachetables. Le principe est affirmé par le Code des assurances, ainsi que par les différentes instructions fiscales et circulaires de la DSS qui précisent leur régime fiscal et, le cas échéant, social. A ce titre, ils n’entrent pas dans l’assiette de l’ISF. Précisons que le PERP bénéficie du même régime, puisqu’il ne peut pas faire l’objet de rachats (sauf dans les cas prévus par l’article L 132-23 du Code des assurances), bien qu’il s’agisse d’un produit d’assurance retraite pouvant être souscrit par toute personne, ayant une activité professionnelle ou non. Il présente en effet les caractéristiques suivantes : contrat d’assurance de groupe, constitué dans un cadre privé et individuel, ayant pour objet l’acquisition et la jouissance de droits viagers personnels payables à l’adhérent à compter au plus tôt de la date de liquidation de sa pension dans un régime obligatoire d’assurance vieillesse ou de l’âge fixé en application de l’article L 351-1 du code de la sécurité sociale (c’est-à-dire 60 ans, sauf cas particuliers), à la suite de versements libres et volontaires. . . . . - Exceptions Toutefois, ces contrats pourraient être concernés par l’ISF pendant la phase d’épargne dans 2 circonstances très exceptionnelles. Il conviendra par ailleurs de citer le cas particulier des contrats « Article 82 ». 1) La loi autorise le rachat anticipé des contrats d’assurance vie collective de retraite dans certaines circonstances exceptionnelles, limitativement énumérées (article L 13223 précité) : expiration des droits de l’assuré aux allocations chômage prévues par le Code du travail en cas de licenciement, ou le fait pour un assuré qui a exercé des fonctions d’administrateur, de membre du directoire ou de membre de conseil de surveillance, et n’a pas liquidé sa pension dans un régime obligatoire d’assurance . suite p. 3 Assurance vie : l’optimisation du rendement se fera à long terme par le choix des unités de comptes (suite) leur portefeuilles obligataires constitués en grande majorité d’obligations d’Etat, des titres anciens au rendement élevé – en tout état de cause plus important que ceux émis aujourd’hui – par des titres de plus faible rendement ce qui fait mathématiquement baisser le rendement courant du portefeuille. A terme, l’optimisation des rendements des contrats passera par les supports en unités de compte dont les actifs sont certes plus risqués mais offrent de larges possibilités de diversification. Ils permettent de réaliser les meilleurs performances, sous réserve d’envisager un placement à moyen ou long terme et d’être prêt à supporter un risque potentiellement élevé sur des périodes d’investissement assez courtes, comme vient de le démontrer la dernière crise financière. 2 Enfin, la gestion du risque UC peut être optimisée grâce aux options proposées dans les contrats eux-mêmes : réallocation automatique, investissement progressif, arbitrage automatique des plus-values ou moins values, garantie-plancher en cas de décès. L’usage de ces options, jusqu’à récemment réservées à la clientèle haut de gamme, offre à nos clients la possibilité de véritablement gérer leurs contrats et de sécuriser ou optimiser la part de leurs actifs investis en UC. Le lancement de notre nouveau contrat SwissLife Liberté Plus, doté de ces cinq options de sécurisation, répond pleinement à la volonté de notre Groupe d’accompagner l’ensemble de nos clients dans l’optimisation du rendement de leurs investissements, ce qui ne peut se faire, à long terme, qu’au travers du choix des unités de comptes. 4ème trimestre 2009 Retraites par capitalisation et ISF (fin) . . vieillesse, de ne pas être titulaire d’un contrat de travail ou d’un mandat social depuis deux ans au moins à compter du non-renouvellement de son mandat social ou de sa révocation ; cessation d’activité non salariée de l’assuré à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire en application des dispositions du livre VI du Code de commerce ; invalidité de l’assuré correspondant au classement dans les deuxième ou troisième catégories prévues à l’article L. 341-4 du Code de la sécurité sociale. L’assuré peut, dans ces hypothèses mais seulement dans celles-ci et sous réserve d’en justifier auprès de l’assureur, faire valoir ses droits sur son contrat, avant l’âge de la retraite. Si le contrat devenait rachetable en raison de la survenance de l’un de ces évènements, il devrait être compris dans le patrimoine du redevable pour sa valeur de rachat au 1er janvier de l’année d’imposition. Cette solution n’est toutefois expressément pré- vue que pour les contrats Madelin (instruction 7 S-1-95 du 18 avril 1995). contrats de rente éducation sont exonérés d’ISF : il s’agit de contrats « temporaires décès ». Toutefois, en cas d’invalidité, s’appliquerait l’exonération prévue à l’article 885 K du CGI en faveur des rentes ou indemnités perçues en réparation de dommages corporels liés à un accident ou à une maladie. B. PERCO 2) D’autre part, sont à ajouter au patrimoine du souscripteur les primes versées alors que l’assuré était âgé de plus de 70 ans, au titre de contrats conclus à compter du 20 novembre 1991. Il s’agit en l’occurrence d’une hypothèse d’école, les contrats dont il est question ayant vocation à se dénouer par une pension qui doit être payable au plus tôt à la date de liquidation de la pension dans un régime obligatoire d’assurance vieillesse ou de l’âge fixé en application de l’article L 351-1 du code de la sécurité sociale (c’est-à-dire 60 ans, sauf cas particuliers). 3) Les entreprises peuvent également mettre en place au profit de certains de leurs collaborateurs des contrats d’assurance vie collectifs à adhésion facultative, dits en sursalaire ou « Article 82 ». Leur régime fiscal est très proche de celui des contrats d’assurance vie individuelle classiques. En ce qui concerne l’ISF, ces contrats étant rachetables, leur valeur de rachat entre dans l’assiette de l’ISF dans les conditions normales de l’assurance vie. Toutefois pendant la phase d’épargne, les Le PERCO (Plan d’Epargne pour la Retraite Collectif), qui est un dispositif d’épargne en valeurs mobilières dont les sommes sont bloquées jusqu’au départ en retraite, peut faire l’objet d’un déblocage anticipé dans un certain nombre de cas prévus à l’article R 3334-4 du Code du travail : invalidité de l’intéressé, de ses enfants, de son conjoint ou de son partenaire lié par un pacte civil de solidarité , décès de l’intéressé, de son conjoint ou de son partenaire lié par un pacte civil de solidarité , affectation des sommes épargnées à l’acquisition de la résidence principale ou à la remise en état de la résidence principale endommagée à la suite d’une catastrophe naturelle reconnue par arrêté interministériel , situation de surendettement du participant définie à l’article L. 331-2 du Code de la consommation , expiration des droits à l’assurance chômage de l’intéressé. De ce fait, l’administration a considéré que : « Durant la phase d’épargne, le PERCO, compte tenu de son caractère rachetable, doit être compris pour sa valeur de rachat au premier jour de l’année d’imposition. » (Rép. Min. Cinieri, JOAN 13 février 2007 page 1580, n° 107289). . . . . . Un partenariat durable Swiss Life était présente au dernier Congrès de l’Ordre à Nantes en octobre, une opportunité pour Life Expert de revenir sur ce partenariat grâce à Philippe Fouquet, en charge du développement des relations avec les experts-comptables. ment sur la retraite, la santé, la prévoyance, l’épargne salariale et l’offre banque. Cette stratégie nécessitait de s’appuyer sur les réseaux Swiss Life qui bénéficiaient déjà d’une première expérience dans ce domaine. En 2006 lors du lancement de ce partenariat, quels étaient vos objectifs ? Nous voulions d’abord promouvoir l’aspect « prescripteur » de ce type de relation commerciale. A la fois client et prescripteur privilégié parce que « porte ouverte » sur les TPE* et les TNS*, l’expert-comptable est à même de pouvoir prescrire, en respectant le principe de neutralité, la souscription d’un contrat mais aussi, le cas échéant, de valider l’offre faite par une société à son propre client. Il s’agissait ensuite de nous permettre un développement harmonieux sur la branche entreprise et de travailler plus particulière- Quels sont les modes de présence de Swiss Life auprès des experts-comptables ? Le premier axe concerne la communication. Sur l’image de Swiss Life, assez peu installée au lancement du projet, un chemin important a été accompli en trois ans : après avoir mis en place une présence systématique dans toutes les manifestations nationales et régionales (Ordres national et régionaux, syndicats professionnels), nous sommes intervenus dans nombre d’ateliers et de conférences. Ceci nous permet de mettre en valeur notre expertise et notre savoir-faire, tant en assurance qu’en gestion de patrimoine. Ainsi, à titre d’exemple, Anne Batsale* a animé * TPE Très Petite Entreprise / TNS : Travailleur Non Salarié un atelier sur le thème de la société holding patrimoniale au Congrès de Nantes. De son côté, Marie-Hélène Poirier**, par sa contribution *Directeur juridique et fiscal SwissLife Banque Privée **Directeur juridique et fiscal Swiss Life suite p. 4 3 4ème trimestre 2009 Un partenariat durable (suite) régulière dans des conférences comme dans de nombreux articles, permet de positionner notre Groupe au meilleur niveau d’expertise. Pour être complet sur nos outils dédiés, il convient de citer également le site internet www.experts.swisslife.fr, cette lettre d’information Life Expert, ainsi qu’une gamme complète de supports commerciaux et techniques. Enfin, nous soutenons notre présence par un planning d’insertions régulières au sein de la presse professionnelle et une présence permanente sur le site de l’Ordre comme partenaire officiel de la profession. Mais la vraie présence qui compte, c’est bien sûr celle de nos équipes au quotidien auprès des experts-comptables ! Ainsi, l’exploitation des outils de calcul joue un rôle très important : bilans retraite ou patrimoniaux, choix sur le statut du chef d’entreprise ou de son conjoint, mode de rémunération, ils permettent d’aider l’expert-comptable à mieux conseiller son client. Enfin, des modules de formation, destinés aux collaborateurs du cabinet ou à l’animation de réunions chez les clients, sont à disposition avec des thèmes sur l’environnement technique, juridique et social de l’expert-comptable ou de sa clientèle. ment, assurance et gestion de patrimoine, nous confère un statut différenciant qui fait indiscutablement notre force. Quelles leçons tirez-vous du dernier Congrès de l’Ordre à Nantes ? Ce 4ème congrès auquel nous participions fut un nouveau succès pour Swiss Life, plus particulièrement sur trois points : - le développement de notre image et de notre positionnement assurances et gestion de patrimoine, grandement aidé en cela par la présence de nos équipes Gestion Privée, - le nombre important de contacts avec pour certains des retombées commerciales immédiates, en particulier sur notre opération Fast 7,5 %, - le nombre d’experts-comptables participants à notre conférence : avec plus de 450, nous avions 15 % des congressistes présents, à comparer aux 8 % du Congrès de Paris en 2008 et aux 4 % de Lille en 2007. Notre légitimité à intervenir auprès des experts-comptables paraît maintenant totalement reconnue. Notre double positionne- Face aux enjeux de demain, comment Swiss Life peut-elle apporter aux expertscomptables une aide qui compte ? Renforcer leur présence sur les problématiques de transmission d’entreprise (et ce phénomène de vieillissement de la population concerne tous les chefs d’entreprise), maîtriser un environnement juridique toujours plus compliqué et technique, les experts-comptables doivent aussi faire face à la concurrence plus soutenue des avocats d’affaires et des notaires. Face à ces enjeux, le rôle de nos équipes est évident et leur disponibilité visà-vis d’eux indispensable. Notre proximité dans la relation, appuyée par un bon niveau de compétences, est la seule façon de nous imposer comme le partenaire incontournable de l’expert-comptable et générer ainsi un flux d’affaires régulier et significatif, en utilisant toute la palette de nos gammes de produits. La Fondation Swiss Life Lutter contre la maladie d’Alzheimer Mieux comprendre pour mieux aider En décembre 2008, la Fondation Swiss Life voyait le jour. Son ambition est triple : développer des actions en soutien de jeunes talents*, promouvoir des projets associatifs de ses collaborateurs et, dans le prolongement de son rôle d’assureur santé ; encourager la recherche dans le domaine médical. Sur ce registre, la Fondation Swiss Life a choisi de s’engager dans la lutte, auprès de l’Association France Alzheimer, contre cette maladie. L’association propose différentes actions de soutien aux familles et aux personnes malades. Aide de proximité, soutiens psychologiques, séjours organisés sont autant de réponses apportées et adaptées en fonction du stade d’évolution de la maladie et des difficultés rencontrées au quotidien. Plus concrètement, la Fondation Swiss Life a décidé d’apporter son soutien financier à « la formation aux aidants familiaux ». Fidèle à la volonté de la Fondation de développer des perspectives de vie positives pour les personnes en difficulté, cette formation favorise la diffusion des bonnes pratiques de dispense de soins en aidant les proches à acquérir les attitudes adaptées aux situations quotidiennes. * Voir dans nos dernières éditions les articles sur la Fondation et le Cercle de l’Harmonie, jeune orchestre baroque soutenu par Swiss Life. Soutenue par l’Etat dans le cadre du Plan Alzheimer 2008 – 2012, cette formation s’adresse aux personnes qui accompagnent un parent ou un proche atteint de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée. Les participants sont réunis en petits groupes co-animés par un psychologue professionnel et un bénévole de l’association pour favoriser le partage d’expériences et les échanges. 5 modules sont proposés sur un cycle d’une durée de 14 heures mini- Vous souhaitez réagir ? N’hésitez pas ! Contact : [email protected] Pour une information plus réactive, connectez-vous sur expert.swisslife.fr 4 mum : connaître la maladie d’Alzheimer, les aides, l’accompagnement, communiquer et comprendre, être aidant familial. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à vous rendre sur le site : www.francealzheimer.org Directeur de la Publication : Philippe Fouquet Responsable de la rédaction : Véronique Eriaud Rédacteur en Chef : Pascal Cheynis Rédaction : Anne Pizet, Marie-Hélène Poirier, Pascal Cheynis, Philippe Fouquet et Jean-Pierre Grimaud. Réalisation : Sarah Jumeaucourt – Direction de la Communication et Qualité Marque Swiss Life s’engage pour la maladie d’Alzheimer