le soir d`algerie - Institut Culturel Italien d`Alger

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le soir d`algerie - Institut Culturel Italien d`Alger
LE SOIR D’ALGERIE
28/06/2008 – pag. 9
RENDEZ-VOUS AVEC LE CINEMA ITALIEN
PROGRAMME
Ibn-Zeydoun — Office Ryad El-Feth (19 h)
.Ce soir : L'aria salata
d'Alessandro Angelini,
(2007)
Demain: 7" t'8 de S.
Ficarra, V. Picone et G.
Avellino (2007)
30 juin : Baciami piccina
de Roberto Ciampanelli,
(2006)
1" juillet : Jamal courtmétrage de Luisella
Ratiglia, (2006)
Mi fido di te de Massimo
Venier, (2006)
INFO SOIR
26/06/2008 - pag. 15
Semaine du
cinéma italien
Du 27 juin au
1er juillet à Ibn
Zeydoun
• La 2e semaine du cinéma
italien sera
organisée du 27
juin au ier juillet à Alger avec,
à l'affiche, des films traitant
de la question de l'émigra
tion, a-t-on appris, hier, mer
credi, auprès des organisa
teurs. Organisée par l'Institut
culturel italien et l'ambassa
de d'Italie en Algérie, en col
laboration
avec Filmltalia, la
2e semaine du cinéma italien
se veut un hommage à «la
culture de l'Algérie et à son
cinéma qui est désormais
apprécié et présenté dans les
plus importants festivals
internationaux», affirment
les organisateurs de cette
manifestation. «Changer en
profondeur l'approche avec
une partie du monde
(l'Afrique du Nord) qui,
aujourd'hui, est un partenai
re incontournable du déve
loppement culturel et écono
mique de la région euroméditerranéenne», est l'objectif
que «MediFilm festival
onlus» vise à travers cette
manifestation. Un film du
réalisateur
Carlo
Mazzacurati intitulé La guista distanza a été sélectionné
pour être présenté à l'inauguration de cette semaine. Pour
découvrir un visage plus
jeune du cinéma italien, deux
courts-métrages primés plusieurs fois vont, en revanche,
clôturer cette manifestation
cinématographique, ajoutent
les organisateurs.
APS
L’EXPRESSION
28/06/2008 – pag. 21
IN
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SALLE IBN ZEYDOUN
Rendez-vous avec le
cinéma italien
Le Centre culturel italien en
collaboration avec l'ambassade
d'Italie et MedFilm organise
un Festival un « Rendez-vous
du cinéma italien » à la salle
Ibn Zeydoun du 27 juin au 1er
juillet. Ce « rendez-vous » qui
en est à sa deuxième session
comprend, cette année, sept
films présentés chaque jour à
19hOO à la salle Ibn Zeydoun
(Oref)
Aujourd'hui à 19hOO
L'Aria salata d'Alessandro
Angelini
2EME RENDEZ-VOUS AVEC LE CINEMA ITALIEN A ALGER
Italiano vero
Présent à l'ouverture de la manifestation, M. Mario Paolini, directeur de l'Institut culturel italien
souligné l'importance de ce cycle du film italien, avec une sélection de cinq longs-métrages
courts-métrages réalisés durant ces deux dernières années.
P
ourquoi Jamal est entrain de
courir derrière cette jeune
italienne ? D'ailleurs les choses risquent de mal tourner pour lui,
car deux jeunes italiens l'ont vu et
ont décidé d'intervenir.
A la fin, on sait que c'est parce
qu'il voulait tout simplement récupérer son permis de séjour en Italie
que la jeune fille avait pris par
mégarde.
Ceci est le résumé du court
métrage Jamal réalisé par Luisella
Ratiglia et projecté vendredi, à la
salle Ibn-Zeydoun de Riadh El Feth,
l'ouverture du 2e Rendez-vous avec le
cinéma italien à Alger. Ainsi, les
préjugés peuvent mener à la peur de
l'autre, l'étranger et même à des drames. Uova d'Alessandro Celli, le
deuxième court métrage projeté vendredi, est un concentré d'émotions
autour d'un conflit familial.
La deuxième édition du Rendezvous avec le cinéma italien à Alger
se déroule, du 27 juin au 1er juillet
2008, à la salle Ibn-Zeydoun avec
des projections quotidiennes à partir
de 19h. Présent à l'ouverture de la
manifestation, M. Mario Paolini,
directeur de l'Institut culturel italien
d'Alger, a souligné l'importance de
ce cycle du film italien, avec une
élection de cinq longs-métrages et
deux courts-métrages réalisés durant
ces deux dernières années. Pour
Ginella Vocca, présidente du MedFestival, cette initiative est une
manière
de
contribuer
à
«rapprocher pacifiquement, et
d'une
manière
directe
et
constructive, les peuples de la
Méditerranée, dans le respect des
différences» et avec «la conviction
ferme que le dialogue culturel
représente la condition indispensable pour la paix et le développement
démocratique».
Certains des films, programmés à
cette deuxième édition du rendezvous avec le cinéma italien à Alger,
s'inscrivent dans la pure tradition de
la comédie italienne. D'autres se
penchent sur le côté «obscur» d'un
pays en profondes mutations (le
cinéma italien est connu par son réalisme). Mme Ginella Vocca est la
fondatrice, il y a quatorze ans, du
Medfilm Festival. L'édition 2007, de
ce festival, avait vu la projection du
Long-métrage Délice paloma de
Nadir Moknèche.
Les projections des films programmés dans le cadre du 2e
rendez-vous avec le cinéma italien à
Alger, sont en version originale
avec un sous-tirage en français.
La manifestation est organisée
par l'OREF en collaboration, notamment, avec l'Institut culturel italien
d'Alger et le Med film Festival
Onlus •
Kader B.
L’AUTHENTIQUE
29/06/2008 – pag. 9
INFOSOIR
Cinéma italien
29/06/2008 – pag. 15
Sous le signe ide la diversité
Projection • La semaine du cinéma italien s'est ouverte, vendredi, à la salle Ibn Zeydoun (Riad EI-Feth).
ce
Pour
vous
deuxième rendezconsécutif,
la
sélection des films retenus
(cinq longs-métrages et deux
courts-métrages)
est
récente : tous sont de cette
année ou de 2007. Lors de la
soirée inaugurale, les cinéphiles ont pu apprécier La
Giusta Distanz (la bonne distance).
Ce film, écrit et réalisé en
2008 par Carlo Mazzacurati et
qui a remporté plusieurs distinctions dans les festivals
internationaux comme celui
de Tokyo ou celui de Rome,
raconte une histoire qui
semble ordinaire et qui se
déroule dans un village, un
coin reculé d'Italie.
C'est l'histoire de Mara, une
jeune femme, belle et séduisante, qui, dès son arrivée,
bouscule, en quelque sorte, les
habitudes des villageois,
notamment celles des
hommes. Elle attire sur elle
leur regard et leur attention.
Tous ou presque s'intéressent
à elle. C'en est ainsi, pour
Giovanni, jeune journaliste, et
aussi pour Hassan, mécanicien
tunisien une histoire
d'amour se tisse d'ailleurs
entre Mara et Hassan. Une
relation intime en dépit des film montre comment des prépréjugés des uns et des réti- jugés raciaux et culturels peucences des autres. En fait, le vent conditionner un raison-
nement et influer sur un comportement, notamment sur les
rapports avec autrui. Cette
semaine du cinéma contemporain italien est conjointement
organisée par l'Institut culturel italien et Med Film
Festival. Mario Paolini, directeur de l'Institut culturel italien, a déclaré : «Le cinéma
italien vit un moment heureux.
A côté des réalisateurs les plus
expérimentés et de renom, la
relève se dessine et des films
importants voient le jour. Ce
qui nous confirme dans l'idée
de privilégier la toute récente
production pour ce deuxième
rendez-vous. Nous offrons
alors aux cinéphiles algériens,
durant une semaine, une occasion de découvrir et d'apprécier des films de réalisateurs
très connus et distingués dans
les festivals internationaux.»
Il a ensuite ajouté : «Dans
cette mosaïque non exhaustive, les spectateurs trouveront
d'un côté des films qui s'insèrent d'une manière directe
dans la lignée la plus classique
de la comédie italienne, celle
qui cherche le sourire sans
renoncer à un regard sans
concession à la société, de
l'autre des films qui s'interro-
gent sur le côté obscur d'un
pays qui vit de profondes
mutations.»
S'exprimant sur ce rendezvous
cinématographique,
Ginella Vocca, présidente du
Med Film Festival, a dit : «Ce
deuxième rendez-vous avec le
cinéma italien à Alger a pour
ambition de contribuer au
développement d'activités culturelles capables de rapprocher, pacifiquement et d'une
manière directe et constructive, les peuples de la
Méditerranée, dans le respect
des différences et la recherche
des innombrables points de
contact et soutenus par la
conviction ferme que le dialogue culturel représente la
condition indispensable pour
la paix et le développement
démocratique.»
Ainsi, Med Film Festival,
impliqué dans la réalisation
d'activités dédiées à la rencontre et au dialogue entre les
cultures notamment dans la
région euroméditerranéenne,
a pour mission de soutenir les
productions
cinématographiques dans une dynamique
permanente et réciproque.
Yacine Idjer
L'EXPRESSION
29/06/2008-pag. 2l
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SALLE IBN ZEYDOUN
Cycle cinéma italien
Le Centre culturel italien
en collaboration avec
l'ambassade d'Italie et
MedFilm Festival
organisent un « Rendezvous du cinéma italien » à
la Salle Ibn Zeydoun, du 27
juin au 1er juillet. Cette
deuxième édition comprend
sept films présentés chaque
jour à 19hOO à la salle Ibn
Zeydoun (Oref) Aujourd'hui
à 19hOO II 7 e l'8 de S.
Ficarra, V Picone, G.
Avellino (2006)
LE JOUR D’ALGERIE
29/06/2008 pag. 15
Semaine du cinéma italien à Alger
Italiano vero à l’affiche
Le meilleur du cinéma
italien Vous donne rendezvous du 27 juin au 1" juillet
à Alger. Cinq longs vétrages et deux courts
métrages, réalisés en 2006
et 2007, sont projetés à la
salle Ibn Zaydoun de Riadh
Elfeth.
Par Irane Belkhedim _______
_
les films projetés sont en
Tous
version original et sous-titrés en
français. L'entrée est libre, doric
pas d'excuses pour rater ce
re'ridèzjyous annuel qui devient une
tradition. Cette seconde édition se
démarque encore par le choix des
œuvres 'présentées. Des. comédies
italiennes qui aborderont différents
thèmes d'actualité, notamment l'immigration et les réalités sociales qui
bouleversent l'Italie. Des larmes, des
idées et des souffrances à partager
et toujours avec cette pointe fine,
dramatique et émouvante. Italiano
verra I «Nous inaugurons cette
seconde édition ave l'espoir ambitieux de contribuer au développement d'activités culturelles capables
de • rapprocher, pacifiquement et
d'une manière directe et constrùctive, les peuples de la Méditerranée,
dans le respect des différences et à
la recherche des innombrables
points de contacts et soutenus par la
conviction ferme que le dialogue cult ur el r ep rés e nt e l a c on di t i on
indispensable pour la paix et le développement démocratique», soutient
d'emblée M™ Ginellà Vocca, présidente de Medfilm Festival qui organise cette semaine culturelle à Alger.
Avec son accent italien et ses gestes
méditerranéens tendres, elle a du
mal à bâcher sa passiop.poucJe" septième art, pour le dialogue et la cultu-
re: Elle en parle avec: tendresse et
force. C'est un cri du cœur qu'elle
partage avec lès journalistes qui
l'entourent à la
conférene de
p r e s s e qu'elle
a tenu à la salle
Ibn-Zaydoun, à
Alger, vendredi
après-m i d i .
«L'année
p r o c h a i n e nous
envisageons de
mettre en place
des masters
classes pour le
même événement.
Nous. ; sommes en
train d.e préparer
cela-, dit-elle.
Evoquant le cinéma
italien, elle explique
qu'il doit son
succès à son style personnel, à son
identité, son authenticité et sa
différence qu'il a su garder et mettre
en valeur. «La différence est importante, elle est enrichissante. Que
serait le monde sans différence ?»,
s'interroge-t-elle, ajoutant que le
cinéma est une fenêtre qui permet au
public de comprendre la réalité
d'une manière directe. Une réalité
«vraie". "Pas filtrée, comme nous la
présente les médias ou le journal
télévisé. D'ailleurs les films que nous
avons choisis évoquent la réalité italienne telle qu'elle est, sans la déformer, sans exagérer. Avec honnêteté.
Une réalité qui n'est pas facile à expliquer et que nous partageons avec
beaucoup de pays méditerranéens.
Nous l'exposons dans le but de
rechercher un parcours commun.qui
nous aide à apprécier avec joie, et
sérénité, les immenses richesses
dont nous disposons.
Pour illustrer ces dires, cette professionnelle.
r a c o n t e
quelques anecdotes. Elle parle
du chômage
qui frappe son
pays et indique
qu'aujourd'hui en
Italie, les cadres
supérieurs, d’un
niveau élevé, qui
sont mis à la
porte, ne sont pas
embauchés
facilement. Ils
traînent ou vivent
de petits "
boulots. "Et
pourtant, ils ont
de grandes
maisons,
s'habillent en costars. Ils tentent de garder leur image de marque.
Toute cette réalité est présente forte-
ment dans nos films». Ginella Vocca
accorde au cinéma une importance
capitale. Il a un grand rôle et ses
messages sont très importants. Ils
peuvent changer et bouleverser le
cours des choses. Et ce n'est pas
rien. "Le travail du réalisateur n'est
pas comme celui du journaliste. Le
cinéaste parle à la première
personne, il parle avec son âme,
d'une manière personnelle. Tout
réalisateur est porteur de sa
culture», insiste-elle. Le cinéma
c'est
son
dada
Preuve à l'appui.- Medfilm Onlus
organise depuis 14 ans le Festival di
film méditerranéen à Rome. M"
Ginella Vocca se déplacera
prochainement en Turquie et en
Istanbul pour présenter d'autres
rencontre
cinématographiques.
Avant
de
clore
cette conférence, deux courts
métrages ont été projetés aux
journalistes "Ùova» d'Alessandrp Celli
et
«Jamal »
de Luisella Ratiglia. Notons que
cette
manifestation
a
été
organisée conjointement avec
l'Institut culturel italien, l’ambassade
d’Italie,
à
Alger
Fjlmitalia, Cinecitta Holding group et
le ministère italien pour les Biens et
les Activités culturelles.
I. E
MedFilm Festival
CHAQUE film raconte l'infinie Variété des identités et des cultures,
patrimoine inestimable et réserve précieuse pour notre futur. Inspiré, de
cette passion et de la conviction que la diversité est une valeur le MedFilm
Festival naît en 1995 à l'occasion du Centenaire du cinéma et de la
Déclaration de Barcelone. Reconnu par plus de 40 pays, il est décrété
festival d'intérêt national par le ministère des Biens et Activités culturels et
manifestation historique de la ville de Rome - Garantir des espaces au
cinéma de qualité euro-méditerranéen tel est depuis toujours l'objectif du
MedFilm Festival qui, chaque année, amène à Rome des films et des
invités d'environ 40 pays d'Europe, allant de la rive sud de la Méditerranée
jusqu'au Moyen Orient, pour poser un regard sur la culture des autres à
travers les merveilles du cinéma. Nombreux sont les invités internationaux
qui viennent présenter leurs films, offrant ainsi un témoignage direct de
leurs propres activités grâce à une confrontation stimulante avec le public.
La sélection des œuvres proposées dans les différentes sections se base
sar là recherche, à travers la complexité et la diversité des visions, d'un
imaginaire commun capable de redonner une, continuité au présent
fragmenté qui fait obstacle au dialogue et la connaissance entre les
peuples de l'aire euro-méditerranéenne.
Les films projetés vendredi à la presse
Allessandro Celli
(Jury du David de Donatello, 2008)
: Le film dure une
Synopsis
dizaine de minutes. Le temps de
comprendre
une
histoire
touchante. Point de dialogue, de
bruit. Juste de grandes images qui
parlent.
Comme chaque matin, une fille,
dont on ne connaît pas le nom, va
faire ses courses à vélo. Comme
chaque matin, elle achète une boîte
d'œufs et elle rentre chez elle prendre son petit déjeuner...
Elle va dans la cuisine, prend une
poêlé et prépare son omelette
lorsque des voix s'élèvent de la
chambre d'à côté. Ses parents se
disputent comme chaque matin. Ils
se battent. A leur pied, son jeune
frère, encore bébé. L'adolescente
tente de faire l'indifférente mais ce
n'est pas possible, sort frangin pleure, la sucette dans sa bouche : Elle
ne peut pas manger.
En quelques minutes, elle se
décide. Elle prend le bébé et se
cache dans un placard. Une tanière
sécrète. Elle prend-la boîte d'œufs et
couvre le plafond, elle comble, le dernier vide qui l'éloigne du bruit, de la
douleur. Silence. Et l'on découvre
ébaubis, toutes les autres boîtes
d'œufs qui couvrent les murs de
cette cachette ou s'abrite la fille pour
fuir la violence de ses parents. Elle
s'y abrite comme s'abrite un poussin
dans un œuf.
I. B.
«Jamal» de Luisella Ratiglia
(Jury du Concours Sguardi Altrove Film Festival, 2008)
Première scène du film : Dans un bar
quelconque, une femme parle au téléphone. Elle se sent soudain scrutée
par le regard d'un étranger, assis à
ses côtés. Un Arabe. Sans se soucier
de lui, eIle prend une feuille qu'elle
trouve sur le comptoir, note une
adresse et quitte immédiatement
l'endroit. Jamal, regarde le comptoir, la
belle n'est plus là, il court à sa
poursuite, balbutiant un dialecte
arabe incompréhensible. C'est fait
exprès pour ne pas renvoyer à
l'Arabe mais plutôt, à I’étranger. Elle
court, il court. L'angoisse et la "peur •
et le poids des, préjugés qui acculent,
qui accourent... Il arrive à l'avoir.
Apeurée, la femme lui tend son sac,
croyant qu'il veut le délester. Mais
l'Etranger qui ânonne des mots
incompréhensibles dans son dialecte,
qui tente de lui dire ce qu'il veut, le
jette, il n'en Veut pas. Que veut-il ? •
II tente de chercher dans les poches
de la jeune femme. Au même
moment, deux jeunes européens,
voyant la scène, viennent la secourir.
Ils éloignent Jamal pour lui donner
une raclée. Puis, soudainement, la
belle femme cherché dans ses
poches et trouve le papier que voulait Jamal, c'est la feuille qui était sur
le comptoir et qu'elle a prise pour
noter son adresse. Elle lit en italien :
Permission de séjour. C'est tout l
Qui, c’est ce que voulait Jamal.
Récupérer son permis de séjour.
I. B.
PROGRAMME
Lundi 30 juin. Baclaml piccina de
Roberto Cimpanelli '
Le 7 septembre 1943, un jour avant
que l'Italie ne se désengage de la
Dimanche 29 juin. Il 7 et l’8 de
Seconde Guerre mondiale, le
S. Ficarra
brigadier Umberto Petroni est
chargé d'escorter un escroc à
Palerme.1975, à la maternité d,'un,
Venise afin de le remettre à la justice.
hôpital, les nouveaux-nés des
Luisa, sa fiancée décide de les
berceaux 7 et 8 sont échangés., , , accompagner. Mais la mission sera,
(Maintenant Tommaso et Daniele sont compliquée et l'armistice changera
devenus.deux adultes qui mènent
pour toujours leur vie.
sereinement leur vie, mais quand ils
se rencontrent et découvrent la
vérité, toute la vérité, leur existence
sera bouleversée...
Toutes les projections sont faites
à la salle Ibn Zevdoun à 19h
Mercredi 1er juillet. Jamal de
Lulsella Ratlglia.
Mi F/do di te de Massimo Venier
Alessandro et Francesco se
rencontrent fortuitement à un
moment particulier de leur vie.
Alessandro, pas tout à fait à la
dérive, mais presque, cherche à
rentrer dans le rang. Francesco, cadre
supérieur d'une multinationale, vient
d’être licencié et est à la recherche d’un
emploi.
Tout les sépare mais ils décident de
s'associer pour mettre au point des
opérations pas très catholiques.
EL DAJAZAIR NEWS
26/06/2008 pag. 29

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