Dossier de presse – Juillet 2005 • à La Galerie des

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Dossier de presse – Juillet 2005
• à La Galerie des Galeries aux Galeries Lafayette
03 - 12 novembre 2005
• à la Galerie BICHE DE BERE
17 - 20 novembre 2005
• à Shangaï
Octobre 2005
Première rencontre de photographie numérique
professionnelle
Christophe Luxereau et Frédéric Pauly ont initié le projet
pour
permettre à des photographes d’exprimer leur vision de la beauté à travers la
photographie numérique. Cette rencontre annuelle portera cette année le nom du
projet :
. Chacun des six photographes professionnels invités exposera, à
La Galerie des Galeries aux Galeries Lafayette et à la Galerie Biche de Bere, une
série réalisée pour l'occasion. L'événement transversal investira le milieu de la mode,
de la photographie et celui de l'art contemporain, pendant la foire Paris Photo en
novembre 2005.
PHOTOGRAPHES
Caroline Delmotte / Catherine Louis / Christophe Luxereau / Zhenya Minkovich /
François Rousseau / Yethy
ORGANISATIONS
: Christophe Luxereau / Frédéric Pauly / Aude de Bourbon / Fred Prod
www.BEAUTYBY.FR
L‘exposition est représentée par
LIEUX
LA GALERIE DES GALERIES LAFAYETTE : Galeries Lafayette
1er étage, espace Créateurs / 40, bd Haussmann / 75009 Paris
LA GALERIE BICHE DE BERE : 4 passage St Avoye au niveau du 8 rue Rambuteau /
75003 Paris
CONTACTS PRESSE
Aude de Bourbon : [email protected] / http://www.beautyby.fr
David Rémondeau : 06 70 50 51 81
[email protected] / WWW.BEAUTYBY.FR
LA PREMIERE RENCONTRE
DE PHOTOGRAPHIE NUMERIQUE PROFESSIONNELLE
, la première rencontre de photographie numérique professionnelle.
La première mondiale se tiendra à la Galerie des Galeries Lafayette à Paris du 3 au
12 novembre 2005 et à la galerie BICHE DE BERE du 17 au 20 novembre 2005.
Cet événement annuel, D’envergure internationale, a pour objectif d'explorer les
possibilités techniques et artistiques de la photographie numérique à travers un thème.
Le choix d'un thème commun — cette année la beauté —, exige des artistes une
réflexion autour d'un concept en relation avec une esthétique et la production
spéciale d'oeuvres.
2005 présente six variations autour du numérique, sans désir
d’exhaustivité. Six photographes professionnels — Caroline Delmotte , Catherine
Louis, Christophe Luxereau, Zhenya Minkovich, François Rousseau et Yethy — offrent,
à travers six séries réalisées pour l'occasion, leur vision de la beauté à l'heure du
numérique.
LE NUMERIQUE
"Toute nouvelle technologie implique une nouvelle forme d'art"
Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray
Depuis le début des années 1990, le numérique investit progressivement la vie
quotidienne et les domaines de création. Les amateurs délaissent les appareils
traditionnels pour la liberté et la facilité d'utilisation qu'offre le numérique. De plus en
plus de photographes de mode utilisent les appareils numériques pour ses possibilités
techniques : visualisation de la prise de vue en temps réel, facilité de retouches et de
transformation informatique de l'image, coût de production moins élevé. Ils se
familiarisent avec l'outil et envisagent de nouvelles esthétiques.
Cette évolution des mœurs, qui touche tous les milieux artistiques, du cinéma à la
musique en passant par les spectacles vivants, engendre une transformation de la
représentation. Le virtuel investit pleinement le réel, et la frontière entre ces deux
mondes se dissout.
LA BEAUTÉ
Avec les outils actuels de prise de vue et de postproduction numérique, notre notion
de la beauté est bouleversée, nos repères changent. Le thème, sélectionné pour cette
première rencontre, offre la possibilité aux artistes de donner leur définition actuelle
de la Beauté.
, la beauté par Caroline
Delmotte, Catherine Louis,
Christophe Luxereau, Zhenya Minkovich, François Rousseau et par Yethy. Chacun
d’eux, en travaillant en mode, beauté, publicité, porte un regard sur les images
véhiculées par le corps cosmétique et les médias. Il se les ré-approprie pour se forger
une esthétique propre, loin de tout consensus.
L'exposition met ainsi en lumière l'évolution des esthétiques et l'émergence de
nouveaux codes. Les artistes interrogent le présent pour parler du futur. Convergeonsnous vers une uniformité de la beauté, une esthétique calibrée édictée par les grandes
marques ou vers une unicité ? Nous tournons-nous obligatoirement vers un corps
sophistiqué, comme le révèle la chirurgie esthétique mais aussi, d'une tout autre
manière, certaines tendances du body art ? Tant de questions auxquelles répondent
les séries exposées.
LA TRANSVERSALITÉ
Par sa thématique et la sélection des artistes, cette exposition fait fi de toute frontière
entre les mondes réel et virtuel, et entre les médiums, passant des arts plastiques à la
mode en effleurant le design graphique, inhérent à la photographie numérique.
À travers la diversité des œuvres sélectionnées, elle propose une définition de
l'esthétique du numérique autour du thème de la beauté et lance un processus de
conceptualisation de ce genre de création.
LES ARTISTES
CAROLINE DELMOTTE
Pour Caroline Delmotte, la beauté en
photographie est un mélange de surprise et de
mystère. Elle laisse place à l'imaginaire, en
permettant à celui qui regarde de s'interroger sur
ce qu'il voit et de créer sa propre histoire. Pour
, des femmes sophistiquées et
féminines posent dans un environnement mifuturiste mi-rétro, en tout cas artificiel. Une matière
molletonnée envahie par des fleurs métalliques
recouvre l'arrière-plan et les rassemble dans un
même univers. Mais lequel ? Rien n'explique non
plus leurs attitudes. S'apprêtent-elles devant un
miroir ? Elles semblent jouer de leurs charmes
comme pour ensorceler leur propre image.
Avant de shooter, Caroline dessine, une habitude
d’enfant qu’elle perfectionna ensuite lors de ses
études d’art. Une manière pour elle de clarifier
ses idées, qui prendront ensuite une forme
immatérielle, celle d'un fichier informatique. Le
travail est ensuite affaire de collaboration et de
confiance: avec un maquilleur, une coiffeuse, un
retoucheur professionnel.
Caroline Delmotte voyage entre trois mondes :
- celui de l'art : elle a fait des études à l'école
d'art de la rue Blanche, section décoration et aux
Arts Décoratifs de Paris. Son intérêt pour le
décoratif se ressent dans la série proposée pour «
Beauty By » dans laquelle les femmes évoluent
dans un même univers, sur un même fond.
- celui de la mode : elle réalise des shootings
mode pour l'étranger
- celui de la pub : elle réalise des campagnes de
publicité pour BNP, Thalys, ...
(6 visuels sur demande)
CATHERINE LOUIS
« La beauté est à chercher dans la courbe,
principalement féminine. Un corps sensuellement
nu qui se dévoile tout en laissant une part de
mystère. Une lutte contre la vulgarité. » Catherine
Louis crée une relation de proximité entre elle et
son modèle pour révéler la beauté, de manière
intime, avec liberté.
La série qu’elle expose à
a débuté il
y a un an. Un corps recroquevillé rouge compose
la première œuvre. Les lignes fluides répondent
aux courbes sensuelles. Le corps devient
composition abstraite. La série est une variation
autour de cette création. Une recherche de la
perfection sensuelle et secrète.
Catherine Louis est issue d’une famille passionnée
par la photographie. Dès l’âge de 15 ans, elle se
retrouve avec un appareil en main. Elle voulait
être danseuse classique, un problème de genou
brise ses rêves. Elle se réfugie dans la
photographie et réalise des portraits de mineurs à
Saint-Etienne, sa ville natale. À Paris, elle devient
assistante de photographes de mode, de beauté
ou de déco, et développe en parallèle ses projets
artistiques personnels. Après avoir côtoyé
pendant sept ans tous les milieux et touché à
toutes les techniques photographiques, elle se met
à son propre compte. Elle réalise des campagnes
publicitaires pour Guerlain, La Roche-Posay, etc.
et travaille pour Elle, Madame Figaro, View on
Color, etc.
CHRISTOPHE LUXEREAU
Après des études d’art classique en peinture
(école des Beaux-Arts) et en architecture (génie
civil), il se consacre à la photographie à partir de
1986. Christophe Luxereau travaille ses images
sur ordinateur dès 1995 pour développer le
thème de la relation à la machine électronique.
Cette relation établit de nouveaux codes, d’autres
comportements et de nouvelles icônes. L’artiste
puise ses inspirations aussi bien dans l’univers de
l’animation (Goldorak, Les maîtres du temps) que
dans les films de science fiction (Blade Runner,
Forbidden Planet) ou encore dans l’esthétique des
films de David Cronenberg. Familier du monde de
la Mode, Christophe Luxereau intègre des
d’hybridations diverses à l'esthétique glamour.
Son travail porte ainsi une réflexion sur l'idée de
la beauté artificielle véhiculée par les publicités.
Pour
, deux femmes se font écho et
révèlent leurs différences : une femme-enfant
traîne sa poupée. Naturelle et sombre à la fois,
elle agit sur la seconde sophistiquée et passive,
pour la transformer à son image...fantasmée.
Christophe Luxereau a exposé au Festival Art
Outsiders au Centre Pompidou en 2000, et à la
Mep en 2001 et 2002, à la Galerie La Périphérie
de Malakoff et au Musée des arts et Techniques
de St Etienne en 2001. Il a participé à l'exposition
« Le corps recomposé » à la Cité des Sciences de
la Villette à Paris la même année, « Avatars » à la
galerie des Galeries Lafayette à Paris en 2003, et
la même année à la galerie Rabouan Moussion.
Enfin ses photographies ont été présentées au
Cube à Issy les Moulineaux et à la galerie
Artcore à Paris en 2004.
ZHENYA MINKOVICH
Pour Zhenya, la poupée russe représente la
beauté classique que toutes les femmes
recherchent en s’habillant et en se maquillant. Elle
est le critère de beauté de toute jeune femme née
en Russie. Pour
, elle a utilisé cet
objet symbolique et l’a associé au corps d’une
femme nue. Ses photographies abordent le thème
de la découverte de soit dans un monde féerique
aux couleurs explosives. La femme poupée
apprend à aimer son corps, à apprécier sa
beauté et à savourer la vie.
« Après avoir vécu à St-Petersburg, Vienne,
Rome, San Francisco, Paris et à Londres, je suis
de retour à Paris.
Dans toutes mes créations, qu’elles représentent
la beauté, la mode, les portraits ou l’architecture,
je recherche inconsciemment un équilibre entre la
structuration qui vient de mon ancien métier
d’ingénieur, une sorte d’extase venant de ma
passion pour la vie et mon humour. Il y a toujours
un peu de rire dans mes travaux : caché ou
explicite c’est une chose dont je ne peux pas me
passer dans mon travail.»
FRANÇOIS ROUSSEAU
Qu’est-ce qui différencie une photographie de
monde d’une photographie plasticienne ? Lors
d’une présentation de son travail à Artcurial en
2005, en parallèle à celui du photographe
Roman Opalka qu’il admire, François Rousseau a
réfléchi à cette interrogation. Les deux triptyques
qu’il présente pour
y répondent de
manière subjective. Ils se composent d’une
photographie de la séance de shooting, de la
photographie en tant que création finalisée et de
la photographie présentée soit en couverture d’un
magazine, soit exposée dans une galerie. Une
illustration par la représentation, qui oblige le
spectateur à s’interroger sur son rôle en tant
qu’œil critique et qui se confronte à la vision de
Marcel Duchamp, pour qui un objet acquiert le
statut d’œuvre d’art à partir du moment où son
créateur le définit comme tel.
François Rousseau débute sa carrière de
photographe en 1995, après 10 années de
peinture. En 1996, de nombreux magazines
parisiens lui commande des photos. Actuellement,
il alterne entre des photographies de mode, des
photos d’art et la production de photos associant
la mode, le sport et le milieu urbain (boxer,
baseballer, footballer, rappers, surfers, athlètes).
En 2002, il a reçu le prix de la Villa Medicis-horsles-murs. En 2003, on lui a demandé de réaliser
les photos du calendrier des Rugbymen français
« Les dieux du stade 2004 », vendu à 160 000
exemplaires. Durant l’été 2004, il a travaillé sur
deux livres et un projet réalisé à Los Angeles.
Par ailleurs il a réalisé des photos pour les
campagnes d’affichage de Bouygues Telecom, Air
France / American Express, Ikea, Pink TV…
YETHY
Yethy se refuse à donner une définition de la
beauté, c'est affaire de subjectivité. Le beau serait
pour lui ce qui procure des sensations, au delà
d'un aspect esthétique. Dans ses photographies,
les sujets révèlent leur personnalité par leur
posture, leur environnement. Pour
, il
propose six portraits au naturel. Les modèles
s'offrent à nous, nus, sous une lumière cristalline.
Trois hommes, trois femmes, parce que Yethy ne
partage pas la référence principalement féminine
qu'offrent les médias. Ils sont blonds, bruns,
blancs, noirs, métis. L'artiste refuse de proposer
un critère de beauté; de toutes les façons il n'en a
pas. Il parle de mixité des genres, des peaux, de
métissage des cultures et surtout d'authenticité.
Yehty est un artiste autodidacte. D'une mère
décoratrice, il apprend dès 14 ans à travailler
sur des chantiers puis réalise du mobilier. Il passe
ensuite, à une maîtrise de sciences techniques
images photographiques numériques, tout en
étant assistant de photographes ou de plasticiens,
chef opérateur, réalisateur de court métrage ou
de maquettes publicitaires. Il participe à
l'organisation d'expositions, publie des portraits
dans des magazines (Têtu, Balcony, Max,
Double... « mais pas de photographie
dite beauté, que du naturel »), et travaille souvent
en collaboration, pour bénéficier du talent et de
la créativité des autres.
Christophe Luxereau : commissaire d'exposition
Aude de Bourbon : commissaire-adjointe chargée de la communication
Frédéric Pauly : coordinateur technique
Fred Prod
est une société de production d'expositions dédiées aux arts
numériques. Elle confronte les créations à l’art contemporain et leur permet ainsi de
sortir d’une période de balbutiement et de fascination pour leur seul aspect avantgardiste ou technologique. L'enjeu de cette confrontation est double : élargir la
diffusion des oeuvres et convaincre de la maturité de ces arts dits numériques.
a pour mission d'aider les artistes à produire leurs oeuvres et à les
diffuser sur le marché de l'art contemporain, en France et sur la scène internationale.
Elle représente l’exposition Beauty By.
LA GALERIE DES GALERIES
Espace d'exposition et de rencontres, La Galerie des Galeries propose un accès
privilégié à l'art et à la création sous toutes ses formes. Accessible directement depuis
le prestigieux magasin Haussmann dont la célèbre coupole est classée monument
historique, la Galerie des Galeries bénéficie de la notoriété parisienne et
internationale du grand magasin et de son fort taux de fréquentation journalier (80
000 personnes).
Architecture, arts plastiques, arts décoratifs, art de vivre, cinéma, design, littérature,
mode, photographie, La Galerie des Galeries met à l'honneur et diffuse les talents
dans les domaines les plus divers.
LA GALERIE BICHE DE BERE
La société Biche de Bere a installé son showroom en plein coeur du marais, proche de
Beaubourg. Il est avant tout la vitrine de Biche de Bere où les différentes collections
sont exposées en permanence et le lieu dans lequel tous les évènements de la marque
sont. Ce loft de 500 m2 construit autour d'une verrière exceptionnelle regroupe toutes
les qualités pour mettre en valeur les oeuvres exposées et accueillir un public
nombreux autour de ces évènements. Nelly Biche de Bère a confié son showroom
parisien à numeriscausa pour un cycle d'expositions durant la saison 2004-2005.
INFOS PRATIQUES
LIEUX
LA GALERIE DES GALERIES LAFAYETTE
Galeries Lafayette / 1er étage, espace Créateurs
40, bd Haussmann / 75009 Paris
Du 03 au 12 novembre 2005
LA GALERIE BICHE DE BERE
8 rue Rambuteau / 75003 Paris
Du 17 au 20 novembre 2005
CONTACTS PRESSE
Aude de Bourbon
[email protected]
http://www.beautyby.fr
David Rémondeau
06 70 50 51 81
REMERCIEMENTS
PICTO BASTILLE pour François Rousseau
MAXON computer pour Christophe Luxereau
PROPHOT
PARTENAIRES

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