bouira - La Dépêche de Kabylie

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bouira - La Dépêche de Kabylie
QUOTIDIEN D’INFORMATION - LUNDI 31 OCTOBRE 2016 - N°4405 - ALGÉRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com
C
M
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LE MAIRE lâché par les quatre autres élus du parti qui ont rejoint l’opposition
Scission au RCD à l’APC de Tizi N’Tleta
Page 3.
ISSN 1112-3842
MO BÉJAÏA Nacer Sendjak
garde espoir d’un exploit au
Congo malgré tout
“ NOUS JOUONS BIEN
À L’EXTÉRIEUR”
Page 23.
BÉJAÏA 55 MILITANTS DÉNONCENT «le clientélisme» du coordinateur territorial
DÉMISSION collective
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CHEZ BENFLIS
Page 3.
ACCIDENT LE WALI DE BOUIRA AU CHEVET DES 22 BLESSÉS
Un bus de supporters du MOB heurté par un camion
Page 4.
MOHAMED OUKIL,
maire de Lakhdaria
«J’ai eu droit
à 40 commissions
d’enquête»
Page 2.
Bouira
Que d’inaugurations
au menu de
la sortie du wali
Page 4.
Supplément
C
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Aujourd’hui votre
cahier central
en Tamazight
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Pages 11, 12, 13 et 14.
La Météo du Jour
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QUOTIDIEN D’INFORMATION
LUNDI 31 OCTOBRE 2016 N°4405
Alger
Tizi-Ouzou
Max: 23
Min : 13
Max : 24
Min : 10
A
Publicité
Hidoussi
entamera son
travail aujourd’hui
Sur un autr e plan, le nouvel
entr aîneur des Canar is, Sofiane
Hidoussi, entamer a aujour d’hui
le tr avail avec le club kabyle. En
effet, le technicien tunisien ser a
pr ésent à la séance de la repr ise
progr ammée à 17h au stade du
1er novembre. Un gr and tr avail
attend, donc, le successeur de
Mouassa, pour rendre la J SK sur
les r ails. Le club kabyle tr aver se
des moments difficiles et un
DDK 31/10/2016 ANEP/G N° 0050
r evienne en for ce lor s
prochaines confrontations.
des
M. L.
Hannachi
«Je ne comprends
pas ce qui arrive»
e pr ésident Hannachi était tr ès
déçu par ce nouveau faux pas de
son équipe. Il s’est contenté de lancer
cette phr ase aux vestiaires : «J e
ne comprends pas ce qui
ar r ive à l’équipe qui n’ar r ive
plus à gagner à domicile».
M. L.
L
’est un
Kherroubi
déçu par le
résultat final
du match qui
s’est présenté
à la
conférence de
presse d’après
la rencontre.
Le coach kabyle a répondu à toutes les
questions qui lui ont été posées par les
journalistes présents. D’emblée, il a commenté
ce match face au MCO qui s’est soldé sur un
score de parité (1-1). Il estime que son club est
revenu de loin et qu’un match nul est mieux
qu’une défaite. «Bien sûr que je suis déçu par le
résultat final de la rencontre. Néanmoins, un
match nul est mieux qu’une défaite. Mes
joueurs ont eu une belle réaction en seconde
période, en créant plusieurs occasions de scorer.
Toutefois, ils ne les ont pas concrétisées comme
celle de Boulaouidet ou de Redouani. On
pouvait réaliser un score meilleur lors de ce
match», a déclaré le jeune entraîneur kabyle.
Questionné sur les changements opérés lors du
match, Kherroubi estime qu’ils ont apporté le
plus escompté. «Mes joueurs n’étaient pas
performants en première mi-temps en
commettant une erreur défensif qui a permis à
notre adversaire d’ouvrir le score. Cependant,
avec les changements opérés, les joueurs
incorporés ont apporté un plus et l’équipe a créé
une multiple d’occasions lors de ce half», a
précisé le coach kabyle. En dépit de ce nouveau
pas de son équipe, l’entraîneur des Canaris ne
semble pas inquiet. Il a affirmé qu’avec la
venue de Hidoussi, ils essayeront de trouver des
solutions pour les prochaines rencontres. «Je
vais faire un rapport détaillé à l’entraîneur
Hidoussi dès son retour ce lundi (aujourd’hui
ndlr). On travaillera les insuffisances du club
pour que l’équipe soit meilleure lors des
prochaines journées du championnat», a conclu
Kherroubi son intervention. Par ailleurs, la
reprise des entraînements est prévue,
aujourd’hui après-midi, au stade du 1er
novembre. Le nouvel entraîneur des Canaris,
Sofiane Hidoussi, dirigera à l’occasion sa
première séance d’entraînement avec sa
nouvelle équipe.
M. L.
C
La JSK a
commis un
autre faux pas at
home, avant-hier
soir, en concédant
un match nul
(1 - 1) face
au MCO.
tr avail colossal attend le nouvel
entr aîneur des J aune et Ver t, qui
a promis aux dir igeants kabyles
de tout faire pour que l’équipe
Max : 19
Min : 10
«On trouvera
les solutions pour
les prochaines
rencontres»
Le chantier qui
attend Hidoussi
Une situation difficile que
tr aver se le club kabyle qui
occupe une place peu confor table
au classement génér al.
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Min : 09
Béjaïa
Kherroubi, entraîneur adjoint
JS KABYLIE L’équipe ne sait plus gagner
yant r até la pr emièr e
pér iode, les Kabyles se
sont montr és beaucoup
meilleur s en second half. La
touche du coach Kher roubi était
pr ésente et les Canar is ont cr éé
plusieur s occasions de scorer en
dominant leur adver sair e du
jour.
Néanmoins,
la
concr étisation était absente et
seul Fer hani a marqué un but à
la 91’ pour son équipe. Un but
qui a évité à son équipe une
défaite au cour s de cette
rencontre. Ainsi, le club kabyle
n’ar r ive toujour s pas à gagner au
stade du 1er novembr e, et ce
depuis le début de la saison en
cour s.
Les
Canar is
ont
enregistr é, en effet, cinq matchs
nuls en tant de rencontres jouées
à domicile. Avec la langue des
statistiques, le club a per du 10
points complets sur son ter r ain
face au MCA, l’USMH, le CAB,
le MOB et le MCO. Si les Kabyles
ont gagné leur match, ils seront
aujour d’hui sur le podium.
Cependant, le doute s’est installé
et les Canar is trouvent toutes les
peines du monde à rempor ter
leur première victoire à domicile.
Bouira
2
L’ÉVÉNEMENT
Lundi 31 octobre 2016
À seulement 36 ans, il
préside l’assemblée
populaire communale de
la deuxième plus grande
commune de la wilaya de
Bouira qui compte plus de
73 000 habitants. Lui c’est
M. Mohamed Oukil, élu du
FFS. Il parle de son bilan, des
projets de développement
dans sa commune,
de son plan d’action, de
ses ambitions politiques
et donne sa version des
faits, après ses récentes
condamnations en justice.
MOHAMED OUKIL, maire FFS de Lakhdaria
«J’ai eu droit à 40
commissions d’enquête»
La Dépêche de Kabylie :
Vous êtes à la tête de l’APC
depuis plus de 4 ans, comment
évaluez-vous votre mandat ?
M. Oukil : J e dois dire qu’à notre
ar r ivée, la commune de Lakhdar ia,
par ticulièrement le centre-ville, ressemblait à une cité sinistr ée et les
nouvelles habitations à des cités
dor toir s. C’était inacceptable. La
major ité des pr ojets, notamment
ceux de l’aménagement ur bain
débloqués par l’Etat, n’avaient pas
été concr étisés et les citoyens souffr aient d’une dégr adation sans
pr écédent de leur cadr e de vie.
Depuis tout le monde a constaté les
changements. J e dir ais donc que
mon bilan est positif, non seulement
pour le nombre non-négligeable de
projets qu’on a r éalisés, mais aussi
pour le r établissement du contr at
mor al et de la confiance entre les
citoyens et leur assemblée. Mon
bureau est toujour s ouver t.
Quelles difficultés
avez-vous rencontrées ?
De la bur eaucr atie, au manque
d’assiettes foncières, en passant par
les oppositions et blocages des projets par les citoyens, nous sommes
tout le temps confrontés à ce genre
de problèmes. Mais je tiens à rendre
un vibr ant hommage à l’ex-wali de
Bouir a, M. Nacer Maaskr i, qui s’est
impliqué avec nous pour débloquer
tous les projets. L’un des premier s
problèmes auxquels notre équipe a
été confrontée, c’était la gestion des
or dur es ménagèr es. En 2012, la
commune ne disposait même pas
d’une déchar ge. C’est suite à un
long tr avail de pr ospection que
nous avons r éussi à r éser ver une
petite assiette, située à la frontière
avec la wilaya de Boumer dès et la
tr ansfor mer en déchar ge contr ôlée.
Le projet de r éalisation d’un centre
d’enfouissement technique (CET),
inscr it en 2013 pour 23 milliar ds de
DA, au village Zbar bour a, n’a toujour s pas été concr étisé. Les
citoyens de cette localité refusent
catégor iquement son implantation
sur leur ter r itoire. Nous sommes
toujour s en discussion avec leur s
repr ésentants et j’espère qu’ils finiront par changer d’avis, car il n’y a
que le CET qui puisse mettre un
ter me au problème des or dures au
niveau de notr e commune. Les
constr uctions anarchiques, par ticulièrement au chef-lieu communal,
posent toujour s pr oblème. La
r égion a été touchée de plein fouet
dur ant la décennie noire, et la ville
de Lakhdar ia a accueilli des millier s
de familles, obligées de quitter leur s
villages et se r éfugier au centre-ville
à la recherche de sécur ité. Ces der nières ont élu domicile dans des
maisons de for tunes, r éalisées sans
autor isation et sans r espect des
nor mes d’ur banisme. Alor s, et dans
l’objectif de r égler ce pr oblème,
nous avons entamé, dès 2012, un
vaste chantier, notamment à tr aver s
l’application de la loi 15/08, pour la
r égular isation et la mise en confor mité de ces habitations. Cer tains
citoyens ont r épondu favor ablement à notre appel et ont r églé leur s
situations, mais d’autres refusent
toujour s de se soumettre à la loi, et
ça nous pose un sér ieux problème. Le manque de foncier, au
niveau du chef-lieu communal plus
par ticulièrement, nous affecte également, car beaucoup de projets,
d’utilité publique, et d’investissements pr ivés n’aboutissent pas à
cause de cela. Les ter r ains agr icoles,
situés en contrebas du chef-lieu et
de l’autor oute Est-ouest, étant
intouchables, les par ticulier s nous
exigent des sommes far amineuses
pour céder leur s ter r ains. Nous
espérons, cependant, l’extension du
plan de masse de la nouvelle-ville
pour pouvoir r éaliser d’autres projets. La der nière contr ainte est liée
à la nouvelle loi des marchés qui
compor te une multitude de
démarches administr atives et fait
retar der le lancement de tous les
projets. Avec cette loi, il vous faut
au moins 9 avis favor ables de différentes administr ations ainsi que la
délibér ation de l’assemblée et minimum 6 mois, pour pouvoir lancer le
plus simple projet.
Quels sont les
principaux projets que
vous avez lancés ?
La commune a bénéficié d’au moins
142 projets au cour s des 4 der nières
années. Ils sont r épar tis entre progr ammes financés par les PSD et
PCD, sur budget communal et
fonds de solidar ité des collectivités
locales. Par mi les plus impor tants
projets, je citer ai l’aménagement
des cités Lakouir, Kr ichiche, la cité
05 juillet et les 140 logements au
centre-ville, avec une cagnotte globale de plus de 160 millions de DA.
Ces quatre projets ont été r éalisés
apr ès la r énovation de l’ensemble
des r éseaux, AEP, gaz, électr icité,
assainissement
et
téléphonie.
Ensuite, nous avons le r accor dement de 40 villages de notre commune à l’eau potable via le bar r age
Koudiat Acer doun. Pour le gaz de
ville, au moins 10 pr ojets sont
actuellement en cour s de r éalisation, je r assure également le reste
des villageois pour le gaz de ville,
dont les projets de r accor dement
ont été approuvés. D’ici 2017, les 40
villages que compte notre commune
ser ont alimentés en gaz natur el.
Nous avons aussi r éalisé cinq nouvelles écoles pr imaires et inscr it des
projets pour la r éhabilitation de
plus de 100 autres établissements.
Pour le logement, nous avons bénéficié de 1 600 unités du type LPL,
3500 aides pour l’habitat r ur al et
150 du type LPA. Nous comptons
aussi r éaliser deux marchés couver ts au centre-ville, des tr ibunes
pour le stade communal avec plus
de 60 millions de DA, ainsi que cinq
stades de proximité avec du gazon
synthétique.
La zone d’activité communale
vient d’être relancée après
un gel de plus de 20 ans.
Quels sont les projets
affectés à cette zone ?
Actuellement, nous avons 18 projets
d’investissement en cour s de r éalisation. Les postes d’emploi que
devr aient générer ces projets sont
estimés à plus de 3 500 entre empois
dir ects et indir ects. Nous avons
accor dé deux projets pour la r éalisation d’une usine phar maceutique,
d’une usine de produits déter gents
et d’une usine de pneumatiques. 30
lots n’ont toujour s pas été affectés
et nous attendons des investisseur s
sér ieux avec des projets concrets
pour les attr ibuer. Per sonnellement,
je pense que cette zone pour r a, à
moyen ter me, r éduire sensiblement
le problème du chômage et doubler
les ressources financière de notre
commune.
Qu’avez-vous prévu
pour le volet tourisme ?
Notre commune compte des sites
natur els impor tants qui peuvent
abr iter des activités et des investissements tour istiques consistants.
Malheureusement, ces sites, à l’image des gor ges et des chutes de
Palestro, jadis exploitées à des fins
tour istiques, ont été déser tés par les
tour istes dur ant les années 90 en
r aison de la dégr adation de la situation sécur itair e. Actuellement, et
malgr é le r établissement de la sécur ité, le secteur piétine et tar de à se
relancer. Le problème de manque
d’assiettes foncières pénalise aussi
cette relance. Récemment, un investisseur pr ivé nous a pr ésenté une
fiche technique pour la r éalisation
d’un hôtel quatre étoiles, malheureusement, nous n’avons pu dénicher un ter r ain pour y implanter e
projet.
Vous avez été poursuivi deux
fois en justice et condamné
à une peine de prison avec sursis.
Que pouvez-vous nous en dire ?
J e n’ai aucune relation avec ces
deux affaires. J e suis innocent, mais
au regar d de la loi, je suis devant
l’obligation d’assumer des fautes
administr atives que je n’ai pas commises. Pour la pr emièr e affair e,
celle que la presse appelle désor mais «affaire HP», il s’agit en effet
de l’acquisition de micro-or dinateur s que l’APC a commandés pour
ses besoins au niveau du ser vice de
l’état civil. Cette mar que a été
recommandée par le ministère de
l’Intér ieur dans une note que nous
avons reçue. Apr ès avoir entamé les
démarches nécessaires, la commission des achats a retenu un four nisseur qui s’est engagé à nous livrer
des PC avec les spécificités recommandés. Malheureusement ça n’a
pas été le cas, et le four nisseur nous
a livr é une autre marque. Ayant pr is
connaissance de ce fait, j’ai refusé
de signer la r éception et je lui ai
demandé de respecter le cahier des
char ges. Le four nisseur a remplacé
le matér iel quelques jour s apr ès.
Apr ès cette histoir e, je me suis
retrouvé convoqué à la justice, et
alor s qu’aucune preuve n’a été retenue contre moi, j’ai été condamné à
6 mois de pr ison avec sur sis. Le
second procès a tr ait à la délivr ance
d’un per mis de constr uir e non
confor me à la r églementation. Le
juge qui m’a pr ésenté le document
en question, n’a retenu là non plus
aucune preuve contre moi, car il ne
por tait pas mon cachet, le numéro
01, mais celui des ser vices techniques de l’APC. Rien n’empêche,
j’ai été condamné à une année de
pr ison avec sur sis. Il faut que je
vous avoue, que ces deux procès
m’ont fait beaucoup r éfléchir, et
c’est totalement légitime, car ces
condamnations sont injustifiées.
Peut-être parce qu’on a jugé que
j’étais trop jeune pour cette responsabilité, ou parce que je suis du
FFS. J e vous assure que beaucoup
de cercles politiques locaux n’ont
toujour s pas digér é que le FFS soit
aux commandes à Lakhdar ia. La
pr euve, j’ai r eçu la visite d’au
moins 40 commissions d’enquête
depuis 2012, et à chaque fois, on me
pr ésente des lettr es anonymes
comme motif. J e laisse les citoyens
juger !
Toutes ces condamnations,
ces enquêtes et ces lettres
anonymes, ça ne vous
perturbe pas ?
«Ce qui ne me tue pas me rend plus
for t» disait Nietzsche, et moi je me
r econnais dans cette phr ase. J e
reste serein, concentr é sur mon tr avail pour maintenir la cadence des
projets de développement. J e rester ai ce militant, et je ser ai toujour s
fidèle à mes engagements et sur tout
à mes convictions que j’ai puisées
d’une famille r évolutionnaire de la
première heure, et de la per sonne de
Si El-Hocine Ait Ahmed, qui m’a
toujour s inspir é.
Entretien réalisé par
Oussama Khitouche
L’ÉVÉNEMENT
Lundi 31 octobre 2016
C
M
J
3
BÉJAÏA 55 militants dénoncent «le clientélisme» du coordinateur territorial
N
C
M
Dans une
déclaration
au vitriol,
des militants
de la section
de Béjaïa du parti
de Benflis tirent
à boulets
rouges sur les
responsables
nationaux du parti,
accusés de
«clientélisme
et de clanisme»,
tout en annonçant
leur démission
collective
des rangs de
cette formation
pourtant en phase
de structuration
dans la wilaya
de Béjaïa.
es désor mais ex-militants
du par ti Talaie El-Hour iat
de la commune de Béjaïa
(55 signataires de la déclar ation)
reprochent à Ali Benflis d’avoir
installé
une
«fantomatique
str ucture de wilaya gér ée comme
une épicer ie par le coor dinateur
Démission
collective chez Benflis
ni r espect des dispositions
statutaires et r églementaires du
par ti». Les démissionnair es du
par ti Talaie El-Hour iat n’ont pas
manqué
d’afficher
leur
«désappr obation» quant à la
manière dont est gér é le par ti à
tous les échelons. «Constatant que
l’exercice du dialogue inter ne (…)
pour un r èglement des conflits est
en déphasage par r appor t à
l’ambition de constr uction d’un
par ti moder ne, démocr atique et
citoyen, nous soussignés, sommes
ni agence élector ale ni club de
suppor teur s, mais plutôt des
militants engagés pour un État de
droit et pour un développement
TIZI N’TLETA Quatre élus lâchent leur
camarade maire et rejoignent l’opposition
Scission au RCD !
D
L
ter r itor ial».
Ce
der nier,
fulminent-ils, «s’est per mis de
limoger le coor dinateur local
faisant fonction de secr étair e
communal élu en assemblée
génér ale à l’unanimité, sans motif
OULD ABBES a reçu hier une délégation de l’aile Belayat
Le FLN en quête d’un compromis ?
A
C
M
dur able et une société des liber tés,
expr imons notre désapprobation
s’agissant de la gestion unilatér ale
des
str uctur es
du
par ti»,
soutiennent-ils. Les ex-militants
du par ti de Benflis à Béjaïa
soulignent qu’ils ne peuvent rester
dans les r angs d’un par ti qui
s’accommode
avec
«l’amateur isme et le mensonge
politique incar nés à tr aver s des
pr atiques qui ne cadrent pas avec
les aspir ations citoyennes et les
enfants de Béjaïa».
D. S.
pr ès la r éunion or ganisée à Tizi-Ouzou, avanthier, par l’aile des redresseur s du FLN pr ésidée
par son coor dinateur Abder ahmane Belayat, et qui a
r egr oupé membr es, militants, par lementair es et
sénateur s du par ti, beaucoup d’obser vateur s s’accor dent à dire que le FLN n’a pas encore retrouvé son
équilibre malgr é le dépar t de son ancien secr étaire
génér al M. Saâdani, et la nomination d’un nouveau
secr étaire à la tête du par ti en la per sonne de M.
Ould Abbès. M. Belayat, contacté hier par nos soins,
a d’emblée rejeté la qualification de redresseur s :
«On est la direction unifiée du FLN, redresseur s est
un ter me péjor atif, on est le FLN». Revenant sur sa
r éunion de Tizi-Ouzou, M. Belayat dir a que «c’était
dans le cadre des activités habituelles de sensibilisation et de mobilisation de la base militante». Il a
ajouté : «C’est pour faire tr iompher la liber té et le
droit au sein des instances du par ti», pr écisant que
c’était dans ses pr érogatives en tant que pr ésident de
la direction unifiée du FLN. Par ailleur s, et commentant la démission de l’ancien secr étaire du par ti
M. Saâdani, M. Belayat n’a pas caché sa satisfaction.
Pour lui, toutefois, «il ne s’agissait pas de démission
vu qu’elle est sur venue apr ès l’inter vention du pr ésident du par ti, M. Abdelaziz Bouteflika, qui a
entr aîné le dépar t, la libér ation et la délivr ance du
poste de secr étaire génér al qui a échu à Ould Abbès».
Il a enchainé en disant : «Ould Abbès a déclar é à la
presse qu’il agit selon les or ientations du pr ésident
du par ti et qu’il applique sa politique». Un point
considér é comme positif par M. Belayat qui a
confir mé qu’il a bel et bien été approché par M. Ould
Abbès lor s d’un enter rement, où ils se sont mis d’accor d sur une rencontre, qui a eu lieu d’ailleur s hier.
En effet, une délégation, composée de trois membres
des r edr esseur s, en l’occur r ence M. Allal Riad,
Boualem Djaafar et Kassa Aissi, est allée à la rencontre du nouveau secr étaire génér al du par ti. Pour
le coor dinateur de l’aile des redresseur s, le motif de
la rencontre était d’essayer de comprendre comment
Ould Abbès envisageait l’application des or ientations
du pr ésident du par ti pour remettre la situation
inter ne dans la bonne direction. Selon toujour s notre
inter locuteur, il s’agir ait de prendre en considér ation
deux points : «La r éussite commune dans les prochaines élections législatives et la remise des instances et des str uctures locales du par ti dans le bon
sens». Quant aux attentes des redresseur s vis-à-vis
du nouveau secr étaire génér al du FLN, M. Belayat a
souhaité qu’ «il ne soit pas l’otage des vestiges de son
pr édécesseur ». «Nous attendons qu’il comprenne et
reconnaisse que le FLN ne peut pas gagner les élections en 2017 si nous ne nous unissons pas tous et si
nous ne tr availlons pas ensemble pour les mêmes
objectifs. Nous attendons que les instances et str uctures de par ti reprennent leur dynamique dans une
tr ansparence totale. C’est le pr ésident du par ti qui
désire cette démarche et c’est bien à lui que nous
allons nous r éférer s’il y a des difficultés ou des revirements», a-il-ajouté. Concer nant la légitimité du
10ème congr ès qui constitue une diver gence de taille
entre les deux hommes. M. Ould Abbès considère lui
qu’il est hor s de question de remettre en cause la légitimité du congr ès, quant à M. Belayat, qui a toujour s
dénoncé l’illégitimité de 10ème congr ès, il ne semble
pas changer d’avis. Par ailleur s, dans un autre
registre, en par lant du malaise sur venu der nièrement
entre le nouveau secr étaire du FLN, M. Ould Abbès,
et M. Belkhadem, suite aux déclar ations de ce der nier sur CNN sur la nécessité d’une tr ansition or ganique au sein du par ti, M. Belayat a estimé que c’était là une querelle intestine que le pr ésident du par ti,
M. Bouteflika, va bientôt r égler, dans l’intér êt du
par ti. Pour conclure, M. Belayat nous a déclar é que
lui ne par lait que selon ses pr érogatives en mesur ant
toutes ses paroles, soulignant qu’il était «moins
impor tant et moins for t que les deux hommes».
Kamela Haddoum.
écidemment, rien ne va plus dans la commune de Tizi N’Tléta relevant
de la daïra des Ouadhias, au sud de Tizi-Ouzou. Quatre élus du RCD ont
fini par rejoindre les rangs de l’opposition formée par les élus du Front des
forces socialistes. Du coup, le maire perd sa majorité et n’arrive pas à voter
ses projets. La dernière assemblée où le maire a présenté son ordre du jour, la
majorité des élus 9/15 ont rejeté l’ordre du jour proposé par le P/APC. Les 9
élus (5 élus du FFS et 4 élus du RCD) sont allés plus loin à travers une déclaration rendue publique, dont une copie est parvenue à notre rédaction, où ils
tirent à boulets rouges sur le P/APC d’obédience RCD, Zerrouki Mahfoud.
«Après 4 ans d’existence à la tête de l’APC, le P/APC a perdu sa majorité et
la commune fonctionne sans exécutif, ce qui est la résultante d’une gestion
opaque, catastrophique», écrivent d’emblée les rédacteurs. Les élus relèvent
plusieurs carences, à savoir une gestion dictatoriale instaurée par le P/APC et
un laxisme politique discriminatoire à l’encontre de la population. Les 9 élus
ont également justifié leur rejet de l’ordre du jour de la dernière assemblée par
le manque d’informations fiables concernant les points retenus dans l’ordre du
jour. Toutefois, les élus insistent surtout sur le revêtement du chemin reliant le
chef-lieu de Tizi N’Tléta vers Cheurfa. «Le point le plus illustratif reste le
marché public relatif au revêtement du chemin Tizi N’Tléta vers Cheurfa dont
on ignore l’aspect technique et financier. Outre cela, il est à relever la
défaillance du P/APC qui n’a pas assuré le suivi de l’entreprise en charge du
gaz qu’il a autorisée à effectuer des travaux sans utiliser une coupeuse de bitume. Les comités de villages, les transporteurs et les commerçants ont
d’ailleurs observé une grève générale pour réclamer son revêtement. Une
cagnotte de 125 millions de centimes a été ensuite votée par l’assemblée pour
sa réhabilitation mais, à ce jour rien, n’est fait », déplorent les rédacteurs. Ils
regrettent aussi le fait que le maire n’ait jamais présenté son bilan à la population car disent-ils : «Le P/APC de Tizi N’Tléta n’a pas de bon bilan pour se
légitimer alors il procède à la tromperie, la manipulation et les fausses promesses, ce qui a pollué l’atmosphère politique au niveau de la commune de
Tizi N’Tléta». Pour sa part, le maire joint par nos soins rejette tout en bloque
et accusent les élus de ne chercher que leurs intérêts.
«Certains m’ont sollicité pour
des privilèges personnels»
«Ils parlent de gestion catastrophique, je leur fais savoir que tous nos projets
sont lancés et spécialement les revêtements en tri-couche au niveau d’Ait
Abdelmoumène et de Cheurfa. S’ils parlent de dictature, je leur réponds que
le laisser-aller des élus n’est pas toléré dans notre commune. Nos portes sont
toujours ouvertes au personnel, à la population et aux élus dont certains ne
connaissent pas, après 4 ans, le bureau du maire. Ils votent par procuration»,
notera le P/APC. Le maire précise : «Ils parlent de discrimination alors que
nous avons fait un recrutement de 102 fonctionnaires issus des différentes
couches sociales de nos différents villages. Ce qui n’est pas de leur goût, c’est
que certains d’entre eux m’ont sollicité pour recruter leur proches et m’ont
même demandé de leur accorder un quota à recruter, ce que je n’ai jamais
accepté». Au sujet du revêtement de la route Tizi n’Tléta vers Cheurfa, le
maire indiquera : «A quoi sert-il de réhabiliter un chemin alors que le passage
de la fibre optique attend ? Un projet d’ailleurs qu’ils n’ont pas voté. J’ai
refusé de gaspiller l’argent de la commune en commun accord avec les transporteurs. Maintenant que la fibre optique est passée, le revêtement de ce chemin est en bonne voie selon bien sûr la procédure en vigueur. D’ailleurs, un
des signataires de la déclaration fait partie de la commission des marchés ».
Dans tous les cas de figure, le maire perd sa majorité et cela n’est pas une
bonne chose pour la commune de Tizi n’Tléta qui traîne toujours dans les basfonds du sous développement.
Hocine T.
4
ACTUALITÉ
Lundi 31 octobre 2016
BOUIRA 62ème anniversaire du déclenchement de la révolution
Dans le cadre
des festivités
officielles pour la
célébration du 62e
anniversaire
du déclenchement
de la guerre
de libération
nationale,
le wali de Bouira,
M. Cherifi
Mouloud,
a effectué, hier,
une sortie de
travail et
d'inspection dans
des communes
de l'ouest et du
nord de la wilaya.
u progr amme de cette visite,
recueillements à la mémoire
des mar tyr s, baptisations et
mise en ser vice de nouveaux
r éseaux de gaz naturel. Ainsi la
première étape de cette sor tie s'est
effectuée au niveau du village Sidi
Yahia, r elevant de la commune
d'Aïn Bessam, où le wali a procédé
à la mise en ser vice du r éseau de gaz
naturel, qui alimente plus de 1 200
foyer s de cette r égion. Inscr it en
début de l’année 2015, ce projet a
nécessité une cagnotte de 260
millions de dinar s et la r éalisation
d'un r éseau de tr anspor t et d'un
autre de distr ibution sur 79 km. Six
entrepr ises ont été retenues pour la
concr étisation du projet, dont une
étr angère. Inter venant à ce sujet, le
premier magistr at de la wilaya a
insisté aupr ès des responsables du
pr ojet pour l' accélér ation des
tr avaux de r accor dement, pour
faire bénéficier les citoyens de cette
commodité avant l' ar r ivée de
Que d’inaugurations
au menu
A
l'hiver. Concer nant les zones nonencor e r accor dées, M. Cher ifi a
instr uit le directeur des mines pour
la multiplication des dépôts de
vente du gaz butane, et ce, en
attendant leur s r accor dements. " Il
faut mettr e à la disposition des
citoyens de ces zones des points de
vente contr ôlés. Le gaz butane doit
être à leur por tée et à n'impor te
quelle pér iode de l' année" , a-t-il
insisté. Sur place, le wali s' est
également entr etenu avec des
repr ésentants des villageois, qui lui
ont exposé plusieur s pr éoccupations
notamment l' état dégr adé de la
RN25 qui tr ansite par leur village et
aussi l'alimentation en eau potable
qui pose toujour s problème. L'hôte
du village qui a pr is note de tous ces
points s'est engagé à trouver des
solutions dans les meilleur s délais.
Le cor tège officiel s'est dir igé par la
suite au chef-lieu communal d'Aïn
Bessam, où le wali a déposé une
ger be de fleur s au niveau du car r é
des mar tyr s. Ar r ivé au niveau de la
commune de Guer rouma, apr ès un
long détour via la localité de Tablat
dans la wilaya de Médéa, le wali a,
en pr emier lieu, pr océdé à
l' inaugur ation du CW93, qui a
bénéficié
d' une
impor tante
opér ation de r éhabilitation et de
moder nisation sur plus de 5 km,
avec une cagnotte globale de 170
millions de dinar s sur budget de la
DTP. À noter que cette r oute
Université Akli Mohand Oulhadj
La faculté des sciences à nouveau paralysée
L
es étudiants du dépar tement de Génie Civile, relevant de l’univer sité Akli Mohand Oulhadj de
Bouir a, ont entamé, hier, un nouveau mouvement de
gr ève. Ces der nier s dénoncent «la politique de la sour de oreille» menée par les responsables de leur dépar tement, par ticulièrement face à leur s r éclamations. En
effet, dans la matinée d'hier, la faculté des Sciences et
des Sciences appliquées a été bloquée par une quar antaine d’étudiants. Les amphithéâtres étaient fer més
ainsi que l’accès aux différentes classes et administr ations. À l'entr ée du dépar tement, une deuxième déclar ation a été affichée, où l’on pouvait lire l’ensemble des
r evendications, déjà inventor iées dans la pr emièr e
déclar ation placar dée la semaine passée. Selon les étudiants gr évistes, leur objectif est de «pour suivre leur
mouvement de gr ève entamé la semaine pr écédente, et
ce jusqu’à satisfaction concr ète de leur s revendications». «L’administr ation n’a pas satisfait nos requêtes,
c’est pourquoi nous pour suivons notre mouvement de
contestation», nous a confié Malek, un étudiant protestataire. Ils exigent la gar antie d’un accès automatique
de l’ensemble des étudiants en fin de cycle licence à la
première année Master et la r éintégr ation totale des
étudiants r adiés, ainsi que la satisfaction de toutes les
demandes de changement de spécialité, ayant reçu le
refus. En attendant une inter vention des responsables
de l’univer sité, les étudiants gr évistes semblent être
déter minés à pour suivre leur action de contestation jusqu’à satisfaction de leur s revendications.
A. C.
El-Esnam
Les étudiants ne décolèrent pas
E
n signe de protestation contre
l’indisponibilité du tr anspor t
univer sitaire, une cinquantaine d’étudiants de l’univer sité Akli
Mohand Oulhadj de Bouir a, r ésidant à El Esnam, une commune sise
à 13Km au Sud-est du chef-lieu de
la wilaya, ont empêché, hier, aux
environs de 7H les bus univer sitaires, en provenance de plusieur s
localités de l’Est de la wilaya, de
pour suivre leur tr ajet ver s l’univer sité. Ce blocage a dur é une heure et
a empêché plus d’une centaine d’étudiants d’ar r iver à temps à leur s
cour s. A tr aver s cette action de protestation, les étudiants d’El Esnam
r éclament un bus qui assurer a leur
tr anspor t ver s la commune.
D’apr ès eux, la situation qu’ils
vivent au quotidien devient de plus
en plus insuppor table. Chaque jour,
ils sont contr aints, soit d’empr unter
le tr anspor t ur bain, aux tar ifs onéreux, soit de subir des bousculades,
en pleine matinée, afin de prendre
place dans des bus univer sitaires
tr ansitant par ladite commune.
Pour r appel, les étudiants r ésidant
dans la commune de Lakhdar ia (exPalestro) ont de nouveau empêché,
mercredi der nier, la sor tie des bus
univer sitair es du campus Akli
Mohand Oulhadj. Ils r éclament,
eux aussi, le r enfor cement des
moyens de tr anspor t univer sitaire.
A. C.
constitue un accès direct ver s la
RN8
pour
l' ensemble
des
communes du massif de Zbar bar.
M. Cher ifi a insisté pour
l’équipement en glissièr es et
signalisations r outièr es sur ce
tr onçon. Aussi, il or donner a la
r équisition de " l' ensemble des
moyens disponibles" pour les
opér ations de déneigement du
r éseau routier de cette r égion qui
culmine à plus de 900 mètr es
d'altitude. Toujour s à Guer rouma,
le wali a procédé à l'inaugur ation
du nouveau CEM et sa baptisation
au nom du chahid Hettab
Mohamed. Ce pr ojet impor tant
pour cette r égion a été r éalisé en
l'espace de 18 mois avec un budget
global de 123 millions de DA sur le
budget PSD. D' une capacité
d' accueil
de
600
places
pédagogiques, il compor te 18 salles
de classe, deux labor atoires, deux
atelier s, une bibliothèque, 4
logements d'astreinte, une salle de
spor t et une cantine d'une capacité
de 200 plats par jour. Apr ès avoir
effectué une tour née à l'intér ieur de
l'établissement, le wali a donné des
instr uctions
fer mes
pour
l' accélér ation des tr avaux de
r accor dement du CEM au gaz
naturel, aussi pour l'aménagement
de la route menant à cette école et à
la protection de ces alentour s ainsi
que sa dotation des moyens
matér iels et humains nécessair es
pour son bon fonctionnement. Un
autre établissement scolaire a été
aussi inaugur é au niveau de la
commune voisine de Boukr am. Il
s'agit d'un nouveau lycée de 120
places pédagogiques baptisé au nom
du chahid Touati Ramdane. Le coût
global du pr ojet s' élève à 169
millions de DA avec un délai de
r éalisation de 20 mois. À
Lakhdar ia, le premier magistr at de
la wilaya a procédé à la mise en
ser vice du r éseau de distr ibution de
gaz naturel au profit de 449 foyer s
du village Guer gour. Il clôturer a sa
tour née en déposant une ger be de
fleur s au niveau du car r é des
mar tyr s de la commune.
Oussama Khitouche
Un bus des supporters
du MOB percuté par un camion
22 personnes blessées
H
ier, aux environs de 4h du matin, un bus tr anspor tant des suppor ter s du MOB, en panne, a été heur té de plein fouet par un
camion de gros tonnage. 22 per sonnes ont été blessées et évacuées
ver s le ser vice des ur gences de l’EPH Mohamed Boudiaf de Bouir a.
Le bus en question était stationné sur la bande d’ar r êt d’ur gence,
sur l’autoroute Est-Ouest, à proximité de la gare routière de Bouir a,
lor sque, pour des r aisons inconnues, un camion de type semiremorque l’a percuté et tr ainé sur plus de 80 mètres. Les occupants,
qui étaient à moitié endor mis, ont été évacués par les éléments de la
protection civile de Bouir a. For t heureusement aucune per te humaine n’est à déplorer. A retenir que M. Cher ifi Mouloud, le wali de
Bouir a, s’est rendu au chevet des blessés, au niveau du ser vice des
ur gences, dès les premières heures de la matinée. En milieu de
jour née, trois blessés or iginaires de Seddouk étaient toujour s en
obser vation alor s que les autres ont pu rejoindre leur s domiciles.
Une enquête a été ouver te par les ser vices de la br igade de gendar mer ie pour déter miner les r aisons ayant entr ainé cet accident.
Quant au chauffeur du camion, également blessé, il a été entendu
par les ser vices de sécur ité.
Hafidh B.
Union de wilaya UGTA
Report du 13ème congrès
L
’Union de wilaya UGTA de Tizi-Ouzou a informé, hier, via un communiqué, que le 13ème congrés prévu le Jeudi 03.11.2016 à l'annexe de la
Maison de culture Mouloud Mammeri de Azazga est reporté à une date ultérieure. «En effet, vu les impératifs du frère Madjid Sidi-Said, secrétaire général de la centrale syndicale et ceux du secrétariat national, il a été jugé utile de
reporter ce congrès à une autre date», explique l’Union de wilaya.
Fahem L.
6
ACTUALITÉ
Bouteflika
inspecte le
projet de la
mosquée
d'Alger
e pr ésident de la
République, Abdelaziz
Bouteflika, qui a effectué
dimanche une visite d'inspection au projet de la mosquée
d'Alger, a assisté à une projection vidéo sur les aspects techniques et l'état d'avancement
des tr avaux de cet ouvr age
phare de la capitale. Selon la
vidéo projetée, les gros oeuvres
du projet de la mosquée
d'Alger enregistrent un taux
global de r éalisation de 90% .
Quant au minaret, 33 étages
sur les 43 pr évus ont été r éalisées depuis la pose de ses fondations en 2015. Concer nant la
salle de pr ière, il ne reste à
poser que la deuxième coupole,
la première étant posée en août
der nier. Avant la séance de
projection, le pr ésident
Bouteflika a visité notamment
l'immense salle de pr ière d'une
capacité d'accueil de 36.000
fidèles et pouvant aller jusqu'à
120.000 fidèles en y associant
l'esplanade d'une sur face totale de 185.000 m2. En cour s de
constr uction, la mosquée
d'Alger est considér ée comme
la plus gr ande d'Afr ique et la
troisième du monde apr ès
Masdjid Al-Har am de la
Mecque et Masdjid Al-Nabawi
de Médine en Ar abie Saoudite.
Elle pour r a accueillir 120.000
fidèles et ser a dotée d’un
minaret de 265 m de hauteur,
ce qui en fer a le plus gr and du
monde. Le chef de l'Etat était
accompagné dur ant cette visite
du Premier ministre,
Abdelmalek Sellal, du ministre
de l'Habitat, de l'Ur banisme et
de la Ville, Abdelmadjid
Tebboune, du ministre des
Affaires religieuses et des
Wakf, Mohamed Aissa, du pr ésident du Haut conseil islamique, Bouabdellah
Ghoulamallah et du wali
d'Alger, Abdelkader Zoukh.
L
Lundi 31 octobre 2016
TIZI-OUZOU Sensibilisation contre le dopage en milieu sportif
Au moins 215
contrôles
anti-dopage ont
été effectués
à l’échelle
nationale entre
janvier et août
2016. Pour l’année
2015, sur les 315
sportifs contrôlés,
quatre ont été
sanctionnés après
leur contrôle
positif, contre 180
contrôles
effectués en 2014
et 92 en 2013.
es chiffres ont été r évélés par
le
pr ésident
de
la
Commission
nationale
antidopage (CNAD), Dr Lamine
Mekacher. Inter venant lor s de
l’atelier d’infor mation et de
sensibilisation contr e le dopage
dans le milieu spor tif en r égion
centr e or ganisé, hier samedi, au
centr e de loisir s scientifiques de
Tizi-Ouzou (CLS), par la DJ S et la
commission nationale anti-dopage,
la commission cible les spor ts à
r isque et toutes les disciplines sauf
le foot. «Le coût d’un contr ôle antidopage r evient à 200 eur os», a
indiqué Dr Mekacher. Au moins 200
par ticipants issus des wilayas du
centr e, entr e autr es, Tizi-Ouzou,
Alger, Blida, Boumer dès, Bouir a,
Tipaza et Médéa, ont pr is par t à cet
événement. " Cet événement cible
par ticulièr ement les spor tifs et
l’encadrement technique des clubs
évoluant au niveau r égional, dans le
but de les infor mer et de les
sensibiliser des danger s du dopage
sur la santé" , pr écise le même
r esponsable.
Plusieur s
communications ont été or ganisées,
concer nant
notamment
les
procédures de contr ôle du dopage,
215 contrôles
effectuésen2016
L
BÉJAÏA Cours d’alphabétisation
Plus de 8 300 inscrits
P
as moins de 8 300 inscrits poursuivent des cours d’alphabétisation dans la
wilaya de Béjaïa, selon l’antenne locale de l’office national
d’alphabétisation et d’enseignement pour adultes. La nouvelle année
académique des cours contre l’illettrisme a été lancée début octobre. «Les
apprenants inscrits dans les classes d’alphabétisation sont répartis sur 50
communes de la wilaya», a souligné la même source. Il ne reste que deux
communes qui ne disposent pas encore de classes pour les personnes non
lettrées. À noter que plus de 200 enseignants assurent l’encadrement de ces
cours. Cette année, affirme la même source, «l’annexe de Béjaïa de l’office
national d’alphabétisation et d’enseignement pour adultes a reçu 42 demandes
de renouvellement de contrats par des enseignants, souhaitant continuer le
travail dans l’alphabétisation. En plus de postes budgétaires affectés par la
tutelle, d’autres engainants sont recrutés par l’intermédiaire des dispositifs
étatiques, tels l’ANEM et la DAS. Pour répondre au besoin de renforcement
de l’encadrement pédagogique, l’annexe de wilaya de l’alphabétisation a
procédé au recrutement de 38 nouveaux formateurs, choisis parmi les 70
postulants. Par ailleurs, l’objectif principal de ces cours est d’apprendre aux
analphabètes, qui n’ont jamais mis les pieds à l’école pour une raison ou une
autre, comment lire, écrire et compter. Des cours de culture générale,
d’éducation civique et de religieuse sont également dispensés aux apprenants,
dont la majorité est issue des régions rurales. Dans un autre chapitre, il est à
noter que le Haut commissariat à l’amazighité (HCA) a lancé, l’année
dernière, la première promotion des cours d’alphabétisation en langue
amazighe. Quelques 328 apprenants ont suivi ces cours avec succès dans la
wilaya de Béjaïa. Le lancement de ces cours d’alphabétisation en tamazight
entre dans le cadre de la généralisation de l’enseignement de cette langue,
conformément aux recommandations du gouvernement et de la tutelle.
Boualem S.
les danger s du dopage sur la santé,
les r isques que peut pr ésenter
l’utilisation des compléments
alimentair es non contr ôlés, les
droits et obligations définis dans le
Code national anti-dopage et les
procédures pour les autor isations à
des fins thér apeutiques, suivies de
débats r iches et constr uctifs. «Les
athlètes doivent connaître la liste
des médicaments inter dits définis
par la loi. Tous les athlètes sont
responsables et sujets de contr ôle,
dont les athlètes mineur s»,
pr écisent les spécialistes. Élar gir la
for mation au niveau de l’univer sité
c’est le point sur lequel les
spécialistes se sont focalisés de
manière à introduire officiellement
ces notions. Quatr e médecins
seulement sont for més dans chaque
promotion au niveau national. Un
chiffre qui reste insuffisant vu le
nombre de clubs existant à l’échelle
nationale. «Les moyens mis en place
sont limités et insuffisants», pr écise
un autre membre de la commission.
Dr Mekacher a indiqué qu’une
br igade mixte vient d’être installée
par la tutelle pour contr ôler et
analyser tout produit employé dans
les clubs, et ce, dans le but de
r éduire ce phénomène de dopage.
Nadia Rahab
BOUIRA Cité pistache
Sit-in des citoyens devant la wilaya
D
es citoyens d’El-Esnam r ésidant au cœur de Hai El
Foustouk, communément appelée Cité Pistache,
sont montés au cr éneau, hier matin, en or ganisant un
sit-in devant le siège de la wilaya. Ces citoyens
accompagnés du secr étaire génér al de la daïr a de
Bechloul ainsi que du maire par intér im d’El-Esnam
revendiquent l’attr ibution de logements dans le cadre
du RHP. Selon les contestataires, sur les 30 familles
r ecensées dans ce bidonville, seules 25 aur aient
bénéficié de logements. «Nous avons sollicité à maintes
r epr ises le chef de daïr a, mais ce der nier r efuse
d’accor der plus de deux logements par famille alor s
que nous sommes 4 à 5 foyer s dans chaque famille. J e
suis mar ié et père de deux enfants, mon fr ère est
également mar ié et père de famille en plus de ma mère
et de ma sœur, il est inconcevable que nous ne puissions
pas bénéficier de 3 logements», déplore Rachid, se
disant discr iminé par cette manière de distr ibution de
logements. Pour les protestataires rencontr és devant le
siège de la wilaya, il y aur ait actuellement pr ès de 150
logements achevés et pr êts à accueillir les habitants de
la cité Pistache. «Nous ne compr enons pas cette
méthode d’attr ibution. Nous avons été destinataires de
convocations en date du 14/06/2015 et ce n’est
qu’aujour d’hui que l’on nous infor me que nos familles
ne pour ront pas être relogées dans leur intégr alité.
C’est aber r ant !», déclare notre inter locuteur. Pour M.
Messaoudi, un quinquagénaire habitant ce bidonville, il
est inconcevable de ne pas attr ibuer un logement pour
chaque foyer. «Nous sommes fr appés par l’inter diction
du chef de daïr a de bénéficier d’un appar tement pour
chaque foyer. J ’ai trois fils mar iés et pères de familles et
trois filles non mar iées vivant avec nous. Nous devons
loger dans au moins quatr e logements. Nous ne
demandons pas l’impossible», dir a-t-il. À souligner que
l’ensemble de ces familles habitants dans ce bidonville
affir ment avoir fui le ter ror isme en 1996 en quittant
leur village. «Nous avons trouvé refuge ici dans les
années 90, mais un refuge plus que pr écaire avec
comme gites des bar aques de for tune ér igées
grossièrement en par paings, même pas cr épies, et dont
les toits sont de simples tôles galvanisées. Entre ces
taudis, des caniveaux sommairement aménagés dans
lesquels stagnent des eaux usées. Les odeur s
pestilentielles qui se dégagent des évacuations de ces
eaux usées ne sont pas faites pour éviter rongeur s et
autres bestioles nuisibles. Des câbles électr iques qui
pendouillent entre nos bicoques font cr aindre le pire
car un simple frottement contre un mur pour r ait
aisément enflammer cet immense amas de bar aques
insalubres», déclare notre premier inter locuteur. Aux
environs de 14h et apr ès avoir essuyé un refus de la par t
du chef de cabinet de la wilaya, ne voulant pas les
recevoir, c’est du moins ce qu’ont affir mé le secr étaire
génér al de la daïr a de Bechloul et le maire par intér im
d’El-Esnam, les contestataires sont rentr és chez eux
afin de se concer ter et de voir la suite à donner à leur
action. Pour eux, ne pas pouvoir bénéficier de plus de
deux logements est une sanction inavouée car, selon
eux, «en 2010, lor s du der nier r ecasement RHP,
cer taines familles avaient bénéficié de 5 logements».
Hafidh B.
Appel du SNAPAP à un rassemblement
D
es syndicalistes de la section du
SNAPAP de la Direction de la
J eunesse et des Spor ts de la wilaya
de Bouir a or ganisent aujour d’hui
lundi, de 10h à 12h, un sit-in pour
dénoncer «la gestion des œuvres
sociales, le retar d dans le ver sement
de leur s paies, la bur eaucr atie
affectant cette dir ection pour se
faire délivrer des attestations de
tr avail, ATS et fiches de paies». Ce
sont les pr incipales revendications
por tées dans la lettre adressée aux
autor ités de wilaya ainsi qu’au
ministèr e de la J eunesse et des
Spor ts. Pour r appel, l’année
der nière déjà au mois de décembre,
la section syndicale du SNAPAP
avait engagé un br as de fer avec la
DJ S de Bouir a afin de faire aboutir
les revendications des tr availleur s
de cette direction. Revendications
qui avaient été satisfaites apr ès
plusieur s actions de protestation.
Hafidh B.
KABYLIE
Lundi 31 octobre 2016
7
H O R A I R E S des prières
FAJR
DOHR
Tizi-Ouzou 05:32 12:28
Bouira
05:32 12:28
Béjaïa
05:28 12:24
TIZI-OUZOU Élu village le plus propre de la wilaya
Boumessaoud
célèbre son titre
un jour
La Kabylie
C
MAGHREB
17:54
17:49
17:50
ISHA
19:14
19:13
19:10
Brèves de Fréha
L'APC se met au biométrique
oici venue enfin l'ère du biométrique, mais mis à part
les nouveaux bacheliers qui ont eu automatiquement
leurs cartes nationales d'identité biométriques, les autres
citoyens doivent attendre. Selon un des responsables du service en charge de l’établissement de ces cartes, seuls les
citoyens qui ont des cartes dont la date de validité a expiré
ou qui le sera dans six (06) mois ont le droit de déposer un
dossier pour avoir ce document. Outre le fait indéniable que
ce nouveau procédé d'identification et bien meilleur que le
précèdent, puisque les nouvelles CNI sont équipées de puces
électroniques pour la gestion des données personnelles, les
gens les appréhendent avec curiosité tout en espérant bien
sûr que les démarches administratives seront plus souples à
l'avenir.
A.D.
V
Boumessaoud,
ce petit bourg
de la commune
d’Imsouhal,
lauréat du prix
du village le
plus propre de
la wilaya de
Tizi-Ouzou,
édition 2016,
a célébré
vendredi passé
son titre.
ette distinction a été
pour r appel initiée en
2005
par
l’ex
pr ésident de l’APW de TiziOuzou, en l’occur rence, feu
Rabah Aissat. Les villageois
de
Boumessaoud
ont
d’ailleur s rendu au défunt
un hommage par ticulier par
l’exposition à l’entr ée de
«tadar t» d’un
tableau
r epr ésentant son por tr ait.
«Un gr and défenseur de la
natur e
et
de
l’envir onnement», comme
l’avait d’ailleur s souligné, à
cette cér émonie lor s de sa
pr ise de par ole devant le
public,
M.
Klalèche
Mohamed, actuel P/APW de
Tizi- Ouzou. L’or ateur dir a
notamment :«J e suis tr ès
honor é d’être aujour d’hui
par mi vous pour vous
féliciter pour tout le tr avail
que vous avez consenti
ensemble
hommes
et
femmes, sans lésiner ni sur
les moyens humains ni
matér iels en cotisant de vos
pr opr es poches
pour
pouvoir mér iter amplement
ce 1er pr ix du village le plus
pr opr e de notr e wilaya».
ASR
15:25
15:26
15:21
Le chef-lieu toujours sale
a localité de Fréha ne semble pas prête à prétendre à
remporter le prix du village le plus propre que vient de
décrocher le village de Boumessaoud dans la commune
d’Iferhounene cette année, à moins d’une prise de conscience et d’une synergie de la part de ses habitants et des riverains. En effet, des détritus de tous genres, sachets en plastique, bouteilles de verre et canettes de toutes sortes ainsi
que des herbes folles s'invitent partout…etc. C'est vrai que
l'APC a placé ces derniers temps des paniers à ordures en
plusieurs points de la ville et que les gens les utilisent régulièrement, mais apparemment, ça ne suffit pas ou ça ne règle
qu'une partie du problème. De l'avis des habitants de Freha,
une des solutions serait de lancer des campagnes de volontariat pour ramasser et nettoyer l'environnement en impliquant
le plus grand nombre possible de citoyens et de résidents de
la région. Une telle initiative peut être organisée par la collectivité par le biais d'affichages publics. Les bonnes idées,
faut-il le souligner, ne manquent pas, ce sont les bonnes
volontés qui peinent à se manifester.
A.D.
L
L’or ateur lança un appel à
la futur e major ité qui
pr endr ait l’APW lor s des
élections locales de 2017 à
sauvegar der ce concour s
pour faire par ticiper encore
un plus gr and nombre de
villages
à
cette
manifestation
qui
a
commencé à donner ces
fr uits, et pour pr euve,
aujour d’hui, on est passé de
09 à 73 villages», a-t-il
notifié. L’autr e or ateur à
pr endr e la par ole, n’est
autre que l’actuel ministre
de la jeunesse et des spor ts
M. Ould Ali El Hadi : «A
chacune de mes visites dans
votre village, je vous trouve
unis et ce pr ix de la
consécr ation du village le
plus propre reflète la beauté
intér ieure de vos cœur s ! et
ceci est un honneur, non pas
pour Boumessaoud ou la
commune d’Imsouhal, mais
pour le pays tout entier.»
Par ailleur s, le ministre ne
s’est pas empêché de rendre
également un hommage à
Cher if Khedam. De son
côté, le tout nouveau wali de
Tizi-Ouzou, M. Bouder bala
Mohamed,
également
pr ésent à la cér émonie dir a :
«Boumessaoud
est
un
exemple non pas pour la
Kabylie, mais pour toute
l’Algér ie
entièr e»,
et
d’ajouter qu’il «est pr êt à
tr availler avec tout le monde
à aider à œuvrer dans le bon
sens afin de hisser la wilaya
de Tizi- Ouzou au sommet.»
Pr ofitant
de
cette
oppor tunité, le comité du
village de Boumessaoud a
r éussi à ar r acher au wali
une enveloppe de 1 milion
de dinar s et 2 millions au
PAPW, alor s que le ministre
a pr omis le financement
d’un stade matico avec
gazon
et
toutes
les
c o m m o d i t é s
accompagnatr ices du projet.
A noter que des pr ésents
symboliques en guise de
souvenir ont été offer ts au
ministr e, au wali et au
PAPW. En mar ge de cette
fête, il est à mentionner que
la délégation ministér ielle a
inaugur é la plaque édifiée
pour immor taliser le titre
du concour s Aissat Rabah
du village le plus propre de
la wilaya de Tizi-Ouzou
édition 2016. Ils étaient
accueillis à l’entr ée du
village par des ger bes de
fleur s et une tr oupe de
musiciens
«Idbalen»,
accompagnés
par
des
youyous de femmes avant la
visite des ar tères du village
et le r ecueillement sur la
tombe du monument de la
chanson algér ienne, Chér if
Khedam.
Pour
la
circonstance, une waada, à
savoir un couscous gar ni
accompagné de viande de
bœuf, a été offer te aux
nombr euses
délégations
invitées en la circonstance
Et pour clôtur er cette
cér émonie dans la joie, une
soir ée ar tistique animée par
les chanteur s Arezki Ouali
et Youcef Guer bas a été
or ganisée sur l’esplanade de
la placette du village.
Madjid A.
Un petit marché
mais d’une grande utilité
l faudrait être un étranger à la région des Ath Djennad pour
ignorer l’existence du petit marché de fruits et légumes de
Freha. Malgré la modique superficie qui l’abrite, la grande
quantité des produits qu'on peut trouver sur les nombreux spacieux étals de fruits et légumes frais et de très bonne qualité
font de ce marché un lieu incontournable pour les habitants de
la région qui l’envahissent dès les premières lueurs du jour. Le
citoyen y trouve tout et selon sa bourse. En effet, des légumes
et fruits du premier choix jusqu'au dernier s’offrent à des prix
raisonnables. Il n’y a qu’à voir les automobilistes en route
vers les hauteurs et vers Azeffoun s’y arrêter pour faire leurs
emplettes. C’est tout cela qui fait que ce marché reste un peu
la fierté de la région. Les agriculteurs de cette localité à vocation agricole y assurent chaque jour et à toute heure des produits tout frais. Cependant, ces derniers temps, des rumeurs
circulent sur sa probable délocalisation ailleurs, chose qui
agace un peu les habitants car le marché se situe au cœur de la
ville et arrange presque tout le monde.
A. D.
I
ALLAGHANE
AÏN EL HAMMAM
ATH MANSOUR
L’unité de soins et
le foyer de jeunes
toujours fermés !
La coordination
inter-villages est née
L’entreprise chargée
de la réhabilitation
du CW12 indexée
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BÉJAÏA
Lundi 31 octobre 2016
TIFRA À l’initiative d’Ithri Ibouraine
Hommage à Youcef Abdjaoui
L’association
culturelle Ithri
Ibouraine a
rendu un grand
hommage à l’un
des piliers de la
chanson kabyle,
en l’occurrence
Youcef Abdjaoui,
et ce, à travers une
journée riche
en activités.
ingt ans apr ès la mor t de
l’enfant d’Ath Allouane,
un village perché sur les
hauteur s de l’Akfaodu, l’éter nel
chantre de l’amour et de l’exil
vibre toujour s dans les cœur s des
millier s de fans au tr aver s de ses
chansons immor telles. En effet, le
village Assam de la commune de
Tifr a a vécu une jour née
mémor able vendredi der nier. Une
occasion donc de r evisiter le
patr imoine culturel du défunt et
de faire connaître aux nouvelles
génér ations un monument de la
chanson kabyle. Ce faisant, la
jour née commémor ative s’est
ouver te par une visite au domicile
familial de Dda Youcef, dans son
village natal d’Ath Allouane,
suivie du dépôt de ger bes de fleur s
V
sur la tombe du défunt. Le centre
culturel du village Assam a abr ité
la sér ie de témoignages ayant
clairement fait l’apologie de Dda
Youcef qui a su toucher le cœur
des amoureux du ver be et des
belles mélodies. L’amour, l’exil, la
félonie, la Kabylie… autant de
thèmes qui r eviennent dans le
r éper toire aussi r iche que var ié de
disciple de cheikh Saddek
l'Bdjaoui. D’emblée, le pr ésident
de l’association or ganisatr ice
dudit événement, Mour ad Touak,
n’a pas manqué de r appeler le
par cour s ar tistique, pr olixe en
APC d’Amalou
Assainissement des
annexes comptables
F
aute de ressources propres à elle, la commune d’Amalou, à l’instar de
beaucoup de communes de la wilaya de Béjaïa, fonctionne avec les
subventions qui lui sont allouées par l’Etat dans le cadre des plans
communaux de développement (PCD), des plans sectoriels de
développement (PSD), du budget de wilaya, et du fonds commun des
collectivités locales. Lors de notre visite dans cette commune, qui fait
partie du douar d’Ath Aidel, nous avons rencontré Djamel Azzoug, le
président de l’assemblée populaire communale dans son Bureau, servant
aussi de salle de réunion avec les membres de son exécutif ou des notables
des villages, qui s’est confié à notre journal en parlant de tout ce qui a trait
au fonctionnement de sa commune sans négliger le moindre détail,
notamment la tâche ardue de la fonction de maire, dépouillée de beaucoup
de prérogatives qui restent encore du ressort de l’administration. Il nous
donnera à ce sujet plus de détails, «il n’y a que le concerné qui sait
combien la tâche de maire est parsemée d’embuches liées, notamment, au
fonctionnement d’une assemblée populaire communale, du fait que la
centralisation de la gestion et de la décision par les pouvoirs centraux ne
laisse le P/APC jouir que de peu de prérogatives. Si l’on s’en tient à cela,
parfois il est ligoté par les membres de son assemblée, même s’il a obtenu
la majorité absolue. Pour exemple tangible, il a fallu une dérogation du
ministère des Finances pour la reconnaissance des annexes (comptables)
en tant que documents comptables, ce qui a d’ailleurs permis aux APC de
trouver une source de financement provenant des excédents de recettes des
exercices antérieurs, et ce, en l’absence des comptes administratifs (CA) et
Budget supplémentaire (BS), appelé aussi budget de régulation. C’est une
opportunité à titre exceptionnel pour les APC qui ne sont pas à jour dans
leurs comptes, c'est-à-dire non encore approuvés officiellement. Cela
permet aussi aux communes d’avoir une idée et une maitrise des comptes
des années antérieures et dépenser l’argent propre dégagé en réutilisant les
excédents», a expliqué notre interlocuteur qui, en continuant dans le même
ordre d’idées, fera savoir le travail accompli par ses services pour assainir
ces comptes. «Pour notre commune, les annexes des exercices 2009 à
2013 sont assainies complètement et nous projetons d’assainir tous les CA
au 31/03/2017 », a déclaré l’édile communal.
L.Beddar
tubes, de Dda Youcef, dédié r ien
que pour la chanson et la musique.
La vie du bar de de la Kabylie ne
s’est pas constr uite que sur du
velour s, mais l’abnégation et
l’amour sans faille pour l’ar t
musical a fait de Dda Youcef l’une
des figures emblématiques de la
chanson kabyle. Dans l’apr èsmidi
de
la
jour née
commémor ative, une pléiade
d’ar tistes s’est r elayée sur la
scène, à l’image de Taleb Tahar,
Akli Ath Waghlis, Louiza,
Boualem
Boukacem, Belaid
Dahmani, Hacène Ahr es, Si
Lekhel, Rachid Fer hani, Zayen…
L’invité de mar que, Kamel
Hamadi, pour tant annoncé par les
or ganisateur s, n’a pu assister à cet
hommage pour des r aisons
per sonnelles. Cependant, le
public, venu pour rehausser de sa
pr ésence cette manifestation, s’est
r égalé par la pr estation des
ar tistes ayant tenu à prendre par t
à
ce
vibr ant
hommage.
«Contr airement à ce qui se dit, la
jeunesse kabyle est toujour s
gar dienne du temple cultur el
kabyle, nonobstant la profusion
de tubes et de clips qui
envahissent la toile et l’écr an de
télévision, il subsiste encore une
bonne par tie de cette jeunesse,
capable de donner vie à nos
espoir s et à nos attentes», avoue
un quinquagénaire venu assister
au gala ar tistique.
Bachir Djaider
ALLAGHANE Ça dure depuis des années
L'unité de soins et le foyer
de jeunes toujours fermés !
L
a bour gade d'Allaghane, située à 5 kms du chef-lieu
communal de Tazmalt, est peuplée par environ 3
500 habitants. De vocation agropastor ale, cette localité
s'avère être l'un des car refour s de l'ar r ière-pays de la
vallée de la Soummam. Elle est tr aver sée par les RN 106
et 26 qui se joignent dans un endroit de ce village appelé
" l'embr anchement d'Allaghane" . Des centaines d'usager s des ces routes y tr ansitent quotidiennement tr ansfor mant, de ce fait, ce village en vér itable «r uche
humaine». Malgr é l'impor tance que revêt cette localité
dans la r égion, elle enregistre, néanmoins, des insuffisances flagr antes sur tout en matière d’équipements
publics. En effet, ce village, qui recèle des vestiges
datant de l'époque romaine, est complètement négligé
par les pouvoir s publics. Seuls une école pr imaire, un
collège, une antenne administr ative et un bureau de
poste, exigu de surcroît, " étoffent" les lieux. Toutefois,
il existe dans la même localité des équipements qui se
trouvent non exploités, au gr and dam de la population.
Il s'agit de l'unité de soins et du foyer de jeunes dont les
por tes sont bizar rement cadenassées, et ce, depuis des
années. S'agissant de l'unité de soins, cette str ucture,
comme nous l'avons constaté in situ, demeure toujour s
fer mée sans aucune explication. Les habitants, en
conséquence, se voient obligés d'aller jusqu'à la ville de
Tazmalt, à 5 kms, pour bénéficier des consultations de
médecine génér ale et des premier s soins (piqûres, pansements, sutures,...). «Si seulement les autor ités prenaient en char ge cette unité de soins en la dotant de tout
le nécessaire... C'est malheureux de voir une str ucture
pareille exposée aux aléas de la nature sans pouvoir en
bénéficier », regrette un voisin. Pour sa par t, le foyer de
jeunes, qui fut l'ancien siège de la gar de communale,
demeure, pour des r aisons inconnues également, fer mé
au gr and dam des jeunes de la localité qui y bénéficiaient aupar avant des activités culturelles. Quant au
chemin qui mène ver s ces deux str uctures, il est dans un
état lamentable. La pr ise en char ge de ces équipements
et la r éhabilitation du chemin qui les desser t reste l'un
des souhaits des habitants d'Allaghane!
Syphax Y.
AMIZOUR Projet des 140 logements publics aidés (LPA)
Les pré-bénéficiaires dans l’expectative !
L
es 140 pr é-bénéficiaires des 140
logements publics aidés (LPA)
d’Amizour ne savent plus à quel
saint se vouer pour voir leur r êve se
r éaliser. Dans une déclar ation remise à la presse, ces der nier s, tout en
affichant leur s «inquiétude et
désar roi», veulent connaitre les dessous de la «non-validation de la liste
de 2013» sur laquelle leur s noms
étaient por tés noir sur blanc. «Nous
avons souscr it aupr ès du promoteur
Louiba Kamel, et ce, apr ès avoir été
or ientés ver s lui par les ser vices de
la daïr a d’Amizour, juste apr ès la
publication de l’avis dans la presse
nationale», r appellent-ils dans leur
document. Ceux-ci pr écisent, au
passage, qu’une liste de pr é-bénéficiaires, dans laquelle ils figur aient,
avait été établie, juste apr ès, par le
promoteur de concer t avec le chef
de daïr a et le P/APC d’Amizour.
Les 140 pr é-bénéficiaires, dont la
major ité est composée de pères de
familles attendant des toits décents,
sont depuis 2013 dans l’expectative,
et pour cause, un autre registre,
selon eux, aur ait été ouver t par le
chef de daïr a en 2016, les mettant
ainsi sur le car reau. «Le chef de
daïr a n’a pas respecté la r églementation, notamment l’ar r êté du wali
de Béjaïa N° 2819/15 du 22/11/2015,
ar ticles 05 et 06, stipulant que pour
les projets qui ont connu un démar r age, la commission de daïr a est
tenue de pr élever les pr é-bénéficiaires du registre déjà ouver t par le
promoteur », notent-ils, en sollicitant l’inter vention des pouvoir s
publics. Il est à r appeler que ces
demandeur s de logements ont, à
maintes fois, expr imé leur colère
suite à la non-validation de la première liste des pr é-bénéficiaires de
la liste des 140 unités LPA
d’Amizour, ainsi, leur der nièr e
action de protestation remonte à la
semaine der nière devant le siège de
la wilaya. Leur s délégués ont été
d’ailleur s reçus par le chef de cabinet du wali et le directeur du logement de Bejaia. Les deux commis
de l’Etat se sont engagés à ce qu’ils
soient «r établis dans leur s droits
légitimes ».Toutefois, ces der nier s
comptent maintenir la pression sur
les autor ités locales jusqu’à ce que
leur «cauchemar prenne fin».
F.A.B.
TIZI-OUZOU
Lundi 31 octobre 2016
Aïn El Hammam
La nouvelle de la
délocalisation
prochaine du
pavillon des
urgences de
l’hôpital d’Aïn
El Hammam a
soulevé un tollé
au sein de la
population,
notamment des
habitants des
villages d’Ath
Menguellet.
éunis der nièrement, lor s de
la cr éation de la coor dination inter villages, ces der nier s sont montés au cr éneau en
appr enant que l’ouver tur e de la
polyclinique d’Aïn El Hammam
ville allait sonner le glas du pavillon
des ur gences de l’EPH. «Il est clair
que ceux qui ont pr is une telle décision ne connaissent pas la r égion,
sinon ils saur aient que la couver tu-
La santé va mal
R
re sanitaire de la r égion située au
sud-ouest de la commune est des
plus faibles», nous dit un citoyen
qui souligne que depuis la cr éation
de l’hôpital, tous les habitants des
Ath Menguellet s’y font soigner.
Cependant, avec la nouvelle or ganisation sanitaire, et la pr ise en char -
La coordination inter-villages est née
l’initiative d’un groupe de citoyens, une réunion
regroupant la quasi-totalité des comités de villages
relevant de la commune d’Ain El Hammam, à cinquante
kilomètres au sud-est de Tizi-Ouzou, s’est déroulée vendredi dernier, au mausolée de Djeddi Menguellet, à trois
kilomètres à l’Ouest du chef-lieu communal. De nombreux villageois, parmi eux un P/APC et des cadres dans
l’administration de la région, ont pris part à ce rendezvous dont l’ordre du jour était de faire un tour d’horizon
des problèmes vécus par la population de la région, particulièrement dans le secteur de la santé. Les orateurs se
sont relayés de 10h jusqu’à 15h et ont convenu de désigner une commission composée de huit membres mandatés par cette assemblée, pour se rendre à Tizi-Ouzou
A
afin de demander audience au wali. Ils ont ainsi été
chargés de présenter les doléances de la population au
premier magistrat de la wilaya. «C’est en fonction des
résultats de cette rencontre que des décisions seront
prises», nous a dit un membre présent à Djeddi
Menguellet. Par ailleurs, rendez-vous a été pris pour la
constitution de la coordination inter-villages au sein de
laquelle sera représentée chaque agglomération de la
région. «C’est à partir de là que seront déterminés les
objectifs qui seront assignés à cette organisation qui ne
peut qu’être bénéfique à toute la commune», ajoute notre
interlocuteur.
A.O.T.
L’EPH Krim Belkacem honore 65 retraités
’est par le bais de sa commission des œuvres sociales que
l’EPH Kr im Belkacem de Dr aâ
El-Mizan a honor é, avant-hier
samedi, soixante-cinq r etr aités,
lor s d’une cér émonie tr ès émouvante. «Le nouveau bureau de la
commission des œuvres sociales de
l’EPH Kr im Belkacem a décidé, et
c’est le moins que nous puissions
fair e, d’honor er nos anciens
collègues. On a pensé à les r assembler à la veille de la célébr ation du 62ème anniver saire du
déclenchement de la r évolution,
dont l’un des pr incipaux dir igeants fut celui dont notre hôpital
por te fièr ement le nom. Kr im
Belkacem demeure en effet notre
guide dans l’accomplissement
quotidien de notre tr avail», nous a
déclar é, juste avant la cér émonie,
M. Rabah Zekr ini, le pr ésident de
ladite commission. Il nous pr éciser a que les 65 employés honor és
sont par tis à la retr aite ces 3 der nières années. «Ce n’est pas de
gaité de cœur que la plupar t
d’entre nous ont demandé à par tir
à la r etr aite, notamment cette
année, mais c’est à cause de cette
nouvelle loi sur la retr aite qui ser a
appliquée à par tir de 2O17 et qui
nous contr aindr ait à attendre jusqu’à l’âge de 60 ans», nous confier a un des concer nés. La r éception
fut entamée par une pr ise de
par oles de M. Ali Ber bour, le
directeur de l’EPH : «J e suis tr ès
honor é d’avoir tr availlé avec
vous. Malgr é toutes les difficultés
que connait notre secteur, votre
jusqu’à Tizi-Ouzou pour accoucher.
De nombr eux cas de délivr ance
dans l’ambulance ou un taxi, se sont
produits, sans par ler des complications post accouchement de cer taines d’entre elles, faute de pr ise en
char ge immédiate par un spécialiste. En outre, la r égion a attendu
des années pour qu’on daigne la
faire bénéficier d’un scanner. En
l’absence d’un r adiologue, la
machine installée depuis pr ès d’une
année, «n’est d’aucune utilité pour
le moment» nous dit un médecin,
ajoutant : «de toutes façons, en
2016, on devr ait plutôt par ler de
l’IRM». L’ancien dispensaire de la
cité Akkar, pr évu à l’or igine pour
les habitants des cent soixante logements mitoyens, a été, malgr é son
exiguïté, ér igé en clinique où doivent se dérouler les consultations de
trois spécialités. Sa minuscule salle
d’attente meublée d’une quinzaine
de chaises n’est pas suffisamment
spacieuse pour accueillir les nombreux patients qui y affluent. Pour
attendre leur tour, les malades doivent patienter dehor s sous le soleil
ou le froid, en attendant qu’un des
spécialistes qui auscultent quar ante
per sonnes chacun, les appelle. Des
conditions d’accueil dénoncées par
tous les malades, «endroit ne dispose même pas de toilettes», nous dit
l’un d’eux. La liste des insuffisances est loin d’être exhaustive.
«La direction de la santé et de la
population de la wilaya devr ait
prendre les choses en main pour
assur er aux habitants d’Ain El
Hammam leur droit à des soins de
proximité de qualité», nous dit un
villageois.
A.O.T.
Évocation
Draâ El-Mizan
C
ge des soins de pr oximité par
l’EPSP Ifer hounene, la population
se trouve confrontée à de multiples
tr acas. Les citoyens ne comprennent pas qu’on leur demande de se
déplacer jusqu’à la cité Akkar ou au
centre ville. Pour tant pour y aller,
ils doivent tr aver ser l’hôpital.
Aucun village par mi la quinzaine
qui for me le « âar ch » Ath
Menguellet ne dispose d’une salle
de soins. Quant à l’hôpital, jadis
l’un des meilleur s à l’échelle nationale, il ne compte plus ses manques
de spécialistes. On cite à titr e
d’exemple la mater nité qui n’a pas
vu de gynécologue depuis plus de
dix ans sans qu’on se soucie des
souffr ances endur ées par les par tur ientes contr aintes de se déplacer
9
conscience professionnelle et votre
abnégation ont fait que les
citoyens ont un gr and r espect
pour notre hôpital et une gr ande
confiance en nos ser vices», dir a-til, en souhaitant à tous les
retr aités une longue vie et une
r etr aite paisible. M. Rabah
Zekr ini, pr ésident de la commission des œuvres sociales et pr ésident de la section syndicale SAP,
ainsi que le pr ésident de la section
UGTA ont tenu également à souhaiter une bonne retr aite à leur s
ex-collègues, leur promettant que
le combat syndical continuer a :
«Vous avez toujour s soutenu notre
combat et nous vous promettons
que nous allons le continuer. Nous
savons que c’est à contrecœur que
vous êtes par tis, d’autant plus que
vous aur iez pu continuer à encadrer tous les jeunes qui seront
votr e r elève». La cér émonie se
pour suivr a par la r emise aux
r etr aités honor és des diplômes
d’honneur ainsi que 2 millions de
centimes en guise de cadeau.
«Pour les cadeaux, nous avons
pr éfér é leur remettre à chacun la
somme de deux millions de centimes avec laquelle il pour r a s’offr ir ce dont il a besoin, je crois
c’est le meilleur choix», nous
confie M. Rabah Zekr ini. A la fin
de la cér émonie, tout le monde fut
convié à un déjeuner.
Essaid Mouas
Il y a 17 ans
I
l y a 17 ans nous quittait le
Moudjahid Fer hati Idir, décédé, le
24 octobre 1989 des suites d’un
malaise (Insolation et coma) alor s
qu’il était à la Mecque. Né le 5
décembre 1930, Fer hati Idir était un
gar çon chouchouté et gâté du fait
qu’il était le fils unique d’une famille décimée par une mor talité infantile ter r ible. Mais cela ne l’a nullement empêché de prendre conscience qu’il avait la responsabilité de la
char ge de sa famille suite à l’éloignement de son père par ti pour gagner sa vie dans une boulanger ie du
côté d’El Attaf (Aïn Defla). Dès son enfance, c’est lor s des passages des
premier s maquisar ds, les bandes à Kr im et compagnie, bien avant le 1er
novembre 1954, qu’il a baigné dans le militantisme pour libérer l’Algér ie
du joug colonial. Au déclenchement de la guer re de libér ation, toute la
famille Fer hati de Laazib Adr ar s’est mise au ser vice de la guer re
d’Algér ie en assur ant un refuge aux maquisar ds de passage. Le père
(Ahmed) et l’oncle (Rabah) ne tar dent pas être dénoncés et ar r êtés par
l’ar mée fr ançaise en 1957. Ils n’ont plus été revus depuis, victimes de la
fameuse «cor vée de bois» et laissés sans sépulture dans la for êt de
Tamgout. Peu de temps apr ès, son tour ar r iva pour qu’il soit ar r êté et
empr isonné à la pr ison d’Azazga. Il n’a pas cessé de cogiter le meilleur
moyen de s’évader de cette geôle. Et cette occasion s’est pr ésentée au bout
du 6e mois où il trouva la faille pour prendre la clé des champs. Comme il
l’a relaté à ses compères, le plan d’évasion se ser ait pr ésenté à lui dans un
r êve, la veille. Il rejoint directement le maquis en 1958, où on lui donna le
nom de guer re de Si Idir. Il ser a désigné chef de front au douar Tamgout.
Blessé à la jambe en 1959, il sur vécut en se ter r ant dans un buisson jusqu'à ce que ses compagnons le retrouvent exsangue et le soignent. Il
reprend son activité et les peines se succédèrent. Il y eut la blessure par
balle de sa femme, l’ar restation de sa mère, l’Opér ation jumelle, etc.
L’indépendance ar r iva et il s’est retrouvé balloté dans ses choix : la
Wilaya III contre l’ar mée des frontières, l’appel du FFS, etc. Il décida de
retrouver la légalité et de s’engager dans l’ar mée r égulière (ANP) où il
obtient le gr ade de ser gent-chef. En 1969, il quitta l’ar mée pour être
recr uté par une entrepr ise publique (SOGEDIA). Il mena une vie paisible
malgr é quelques ennuis de santé.
A. B.
10
BOUIRA
EL-ESNAM Cité
des 40 Logements
Tazmert-nwen
Lundi 31 octobre 2016
C
BOUIRA Ressources en eau
Tmaziɣt
L’apport souterrain
Les habitants
chargent
l’APC
Aḥezqul
n temgaṛt
Le cadre de vie des habitants du quar tier des 40 logements, situé à 2 km à
l’Est du centre-ville d’El-Esnam, une
commune sise à 13 km au Sud-est du
chef-lieu de la wilaya de Bouir a, se
dégr ade à vue d’œil. La situation
témoigne d’une mar ginalisation de la
cité et du laisser-aller des gestionnaires
de la commune. Cet état de fait, nous
avions pu le constater lor s de notre
déplacement sur les lieux. Dans ce quar tier, des déchets sont abandonnés à
proximité des immeubles d’habitations
et, à cause des conduits cassés, des eaux
usées se r épandent toute au long de la
chaussée. Des locaux inoccupés sont
ouver ts aux quatre vents à longueur de
jour née, donnant un décor du « Far
West ». Ces lieux sont devenus des dépotoir s et des latr ines pour les malfaiteur s
et les malfr ats circulant la nuit. Ir r ités,
des locataires affir ment que cette pollution ne date pas d'hier et déclarent avoir
signalé ce cas aupr ès des responsables
locaux, mais en vain. «Nous avons
r éclamé aupr ès des ser vices de l'APC à
Acu-t
temgart
maintes
repruḥezgul
ises, mais,nmalgr
é notre?
insistance, aucune suite n'a été donnée à
nos doléances. Nous ne pouvons pas
vivre dans ces conditions! J usqu'à pr ésent, au lieu d’actions concr ètes, nous
n’avions eu droit qu’à des promesses.
Les dépotoir s ne cessent d’atteindre des
propor tions alar mantes. L’odeur nauséaAcu
d-yettakken
lahlak-a
bonde
quii se
dégage, au quotidien,
des?
gar ages tr ansfor mées en lieux d’aisance
par des malfr ats, est insuppor table. Des
maladies guettent les r ésidents du quar tier s», ont déclar é quelques habitants
rencontr és sur place. Non loin, au bas
des immeubles, des cumuls de déchets
br ûlés par les locataires offrent aussi une
image déplor able d'une cité abr itant
plus d'une cinquantaine de familles. A
S émité
wacudesyezmer
adune
d-yeglu
l’extr
bâtiments
conduite
uḥezqul-a
teɣzi
lweqt
cassée
n’a pas étésr épar
ée n
depuis
une?
longue pér iode, et ce, en r aison de l'insouciance des ser vices concer nés que le
P/ APC a, pour tant, avisés. En der nier,
et dû à l'incivisme de cer tains locataires,
il y a ce phénomène de sacs blancs, remplis d'agr égats, balancés à proximité des
chemins. Ce genre des compor tements
favor isent la décadence des lieux publics
en donnant un aspect déplor able pour
les cités
A. C.
est faible
di tmurt n leqbayel
Acemmet s t...t
Sɣur Bouacherine
T
Une partie des ressources en eau qui alimente la population de laAglawan
wilaya
de Bouira est d’origine souterraine. Selon les services de l’hydraulique,
son apport annuel est estimé à 50 millions de m 3.
ompar é au 837 millions
de mètres cubes provenant des r essour ces
super ficielles à par tir des trois
bar r ages que sont Lakhel (27
millions), Tilesdit (165 millions)
et Koudiat Acer doune (640 millions), l’appor t provenant des
r essour ces souter r aines est
presque insignifiant.
Pis encore, et à en croire les
mêmes ser vices, les ressources
souter r aines ne sont pas aussi
r iches en eau, les quantités
qu’elles r ecèlent sont plutôt
faible. Les r essour ces souter r aines proviennent des nappes
alluviales, ainsi, la wilaya en
C
compte cinq. Celle Isser, dont
l’appor t annuel est estimé à 8
millions de m3 par an, celle des
Ar r ibs (2.5 millions de m3), celle
d’El Esnam (5 millions de m3),
celle de la vallée du Soummam
(10 millions de m3) et enfin la
nappe d’El Madjen et Bouir a
(25 millions de m3).
Il est à noter que l’appor t en eau
de cette der nièr e est le plus
impor tant. Il est, également,
utile de souligner que la wilaya
de Bouir a compte 178 for ages
dont 47 en exploitation. Ils ont
une capacité de plus de 33.000
de mètres cube par jour. L’on
recense aussi 85 puits, dont 53
en exploitation, d’une capacité
de plus de 7500 m3 par jour. Il
existe, par ailleur s, 110 sources
dont l’appor t jour nalier en eau
est de 21.000 m3. Au total, ces
374 ouvr ages mobilisent plus de
63.000 m3 d’eau par jour.
D. M.
ATH MANSOUR Le chemin
à nouveau impraticable
L’entreprise chargée de la
réhabilitation du CW12 indexée !
e CW12, qui passe par l'Est de la commune d'Ath Mansour
en faisant la jonction entre la RN n°5 et le CW42 (Boudjellil,
Béjaïa), a fait couler beaucoup d'eau sous les ponts. En effet, ce
tronçon névr algique, et combien impor tant pour la circulation,
Kra n yiwellihen i kunwi:
s'est dégr adé apr ès avoir été fr aichement " r éhabilité" . Les tr avaux qui ont été engagés l'été der nier sur ce chemin se sont avér és
" incomplets" et même bâclés, du moment que la chaussée a commencé, d'ores et déjà, à pr ésenter des avar ies et des dégr adations
à plusieur s endroits. Des trous et des car actères béants sont appar us par-ci par-là, et ce, au gr and dam des automobilistes et autres
l'aménagement d'une seconde salle
'établissement public hospitalier (EPH) Kaci Yahia extension pourAratak
routier s qui empr untent, par centaines par jour, ce chemin. Les
de M'chedallah souffre énor mément d'une insuffi- d'opér ation peut se faire sans aucune contr ainte. Étant
der nières aver ses qu'a connues la r égion ont mis à mal la mince
Dalidans les années 1890 sous l'occupation fr ançair éalisé
sance aiguë en matière de salle d’opér ations. La str uc- Salima
couche du bitume en l'endommageant violemment. De petites
ture sanitaire ne tour ne qu'avec une seule et unique se, cet hôpital est, par ailleur s, l'une des plus anciennes
r igoles, sur tout sur les bas-côtés, sont appar ues par l'effet de r uissalle par tagée entre 6 chir ur giens, 2 or thopédistes et 4 institutions de la santé de la wilaya de Bouir a. Il a,
sellement des eaux pluviales. Cette situation pr éoccupante rengynécologues. Ces pr aticiens se voient, bien souvent, cer tes, bénéficié de plusieur s opér ations d'extension,
seigne sur la nature des tr avaux qui ont été menés sur ce tronçon,
contr aints d’attendr e leur tour sachant qu’apr ès mais il demeure exigu du fait qu’il prend en char ge
sinon comment expliquer la détér ior ation de la chaussée apr ès
chaque opér ation, cette salle doit être complètement l’une des plus impor tantes démogr aphies de sa circonsquelques semaines seulement de sa r éfection ? Les citoyens de la
cr iption. Il a, à l'heure actuelle, une capacité d'accueil
désinfectée et le matér iel stér ilisé.
commune, en par ticulier les routier s qui passent en gr and nombre
Il convient de signaler que la circonscr iption adminis- de 80 lits uniquement et abr ite un ser vice des ur gences,
par ce chemin, se posent des questions, somme toute, légitimes sur
l'ancien centre de santé, qu'il par tage
tr ative et la compétence ter r itor iale de cette institution dans une aile de
cette façon de faire. A cela, s’ajoute l’existence d’un point noir
Isufar
Aheggi
s'étale sur les six communes, englobant 150.000 habi- avec les ser vices de l'EPSP.
dans ce tronçon, tr ès dense en circulation routière, qui a tr ait au
tants, de la daïr a de M'chedallah, ainsi la commune Celui ci est utilisé en guise de polyclinique, mais aussi
ponceau situé à proximité de hameau Tihemamine. En effet, cet
d'El-Adjiba qui, quant à elle, abr ite 7 000 âmes. A cela, d'un ser vice d’hémodialyse dans une autre polycliouvr age d'ar t, qui enjambe un r uisseau, s'avère être trop étroit
s’ajoute les malades qui viennent hor s circonscr iption, nique à Ahnif. Notons, pour conclure, que le projet
pour le passage simultané sur tout de deux véhicules de gros tonnades wilayas limitrophes, ainsi que les accidentés des d'un autre hôpital de 120 lits a été lancé en pér iphér ie
ge. Il ar r ive le plus souvent que des embouteillages se produisent
trois tronçons routier s, la RN5, la RN26, et l'autoroute, de la nouvelle ville, mais, malheureusement, les faibles
au niveau de ce dalot étroit, car deux gros véhicules y ar r ivent au
qui tr aver sent cette circonscr iption. Ces trois tronçons moyens humains et matér iels, engagés sur le chantier,
même moment, provoquant, alor s, des pr ises de becs entre les
sont, r appelons-le, les plus meur tr ier s à l'échelle natio- ont fait qu'il accuse un énor me retar d en consommant
conducteur s qui se disputent la pr ior ité. En tout état de cause, de
nale. Il convient de signaler que r ien que pour le les délais de r éalisation et sans que l'avancement des
l'avis d'un bon nombre de per sonnes, ce chemin est à refaire vr aideuxième tr imestre de l'année en cour s, soit du 1er tr avaux ne fr anchisse le taux de 50 % . Un cas sur
ment et sur tout sér ieusement. En attendant, les pluies vont poujuillet au 30 septembre, il a été enregistr é pas moins de lequel doivent se pencher en ur gence les autor ités
voir détér iorer davantage le CW12, où la circulation deviendr a
356 opér ations, dont 60 césar iennes, dans cette unique compétentes, sans quoi ce nouvel hôpital ne ver r a
S ɣur
Dayaen
encore plus compliquée avec les cr atères qui se tr ansfor
meront
salle. Un responsable de cet hôpital dir a que le rez-de- jamais le jour.
petits mar écages inextr icables.
Oulaid Soualah
chaussée de l'institution est à moitié vide, et qu'une
Y. S.
EPH de M'Chedallah
Nécessité d'une seconde salle opératoire
L
L
M
C
M
[email protected]
J
N
Wali kan
Arim, 31 deg tuber 2016
Amenzu n wunbir 1954
Asmektii n tegrawlaa tazzayrit
riyen. Mazal later-nsen ar ass-a n wussan. I
lmend n usmekti n tegrawla n 54, yal tama n
tmrut n leqbayel , yal taddart, ad ruḥen ɣer
yisebdaden( monuments) akken ad sersen
ijeğğigen , ad sterḥmen ɣef lerwaḥ n cuhada.
Dɣa, deg taddart n texliğt At Ʃattu deg Micli
ad xedmen asebdad s yisem n umeɣras Si
Lḥafiḍ Yaḥa yewḍen leɛfu n Rebbi kra n
wayyuren aya. Deg taddart At laɛziz, yal aseggas mi ara yekcem umenzu n wunbir kkaten
lbarud. Deg tɣiwanin-nniḍen, am Yiɣil Imula
deg Waḍiyen, tettaččar taddart-nni imi dinna
llan aṭas n wallalen i d-yesmektayen ṭṭrad,
ttasen-d seg Wat Yanni, ttawin-d inelmaden
akken ad walin later n yiṛumyen. Amenzu n
wunbir 1954, ulac win i izemren ad t-yettu.
Ad yerḥem Rebbi imeɣrasen n tegrawla. Ad dnebder kra deg-sen : Abane Ramdane, Ḥassiba
Ben Bouali , Mustapha Ben Boulaid, Krim
Belkacem, Amirouche Ait Hamouda,
Abderrehman Mira , Si Lhouas d waṭasnniḍen, mačči d yiwen ad t-id nebder.
Zakiaa Ben
n yahiaa
C
M
J
N
Am yal amenzu n wayyur n wunbir, tamurt n lezzayer , tessmektayd Tagrawla n 1954. Seg wass-nni ar ass-a, 62 n yiseggasen segmi i
d-kkren Yizzayriyen akken ad qablen acengu amesbaṭli i yebɣan ad
yesteɛmer tamaurt, ama s yidles –nsen ama s tutlayt –nsen.
lac acu ur xdimen deg lejdud-nneɣ:
nɣan, tilawi, irgazen akkedd yigerdan ;
serɣen iɣerbazen, xedmen ayen ur
U
yezmir yiwen ad yettu. Usan-d ad aɣ-fakken,
ad aɣ-snegren. Maca, imir banen-d yirgazen i
tesɛa tmurt n Lezzayer myuṭṭafen afus deg
ufus s tebɣest, d tiḥerci , banen-d belli deg
teswiɛt n ddiq, Izzayriyen, ttuɣalen d yiwen :
d agdud ur nqebbel ara lbaṭel ; ur nettsusum
ara i wayen yebɣa Uṛumi ad t-yexdem. D
amezruy i yellan d inigi i wayen yuɣen
Izzayriyen. Yerna ar ass-a, mazal wid i d-yecfan, llan imir d imjuhad, menɛen seg yir ifassen. Mi ara d-ḥekkun, d ayen ur iqebbel leɛqel
ɣef wayen srewten Yiṛumyen deg yizzay-
Asebdad
d
i Sii Lḥafiḍ
Ayt Smaɛel
Ttheggin
n yimezdaɣ
ɣ i tegrestt i d-iteddun
kud
d yettɛedday,, ileḥḥu
u ur
iḥebbes.. Yall tikkeltt d anwa
lawan
n i d-yessiwiḍ,, yettilii deg
tudertt n umdan
n akken
n ad
d yezri,
yettak
k tagnitt i kra-nniḍen
n ad
d dyelḥeq,, ad
d yesɛu
u nnuba-ss gar
wiyaḍ.. Dɣa,, skud
d aql-aɣ
ɣ deg
tsemhuytt n umwan,, taswiɛtt ideg
ttewriɣen
n wafriwen
n n ṭṭjur,, simmall tettqarab-d
d tegrestt i ineqqen
n ḥamu,, i d-igellun
n s teqseḥ
ḥn
usemmiḍ.. Am
m yall aseggass ihi,, am
yakk
k lɣacii n tuddar-nniḍen,
imezdaɣ
ɣ n taddartt n Aytt Smaɛel,
A
bdan
n ttheggin
n i unneqlab
b n waddad
d n tegnawtt i araa yilin
n deg
wayyurr n duǧemberr i d-iteddun.
Imii qrib
b ad
d d-tekcem
m ccetwa,
xeddmen
n segg turaa leḥsabatt i
yiman-nsen,, ttnadin
n warr araǧu
ud
uɛeṭṭell swayess araa zemren
n ad
ɣelben
n tuɛertt n usemmiḍ..
Amek
k iban
n lḥal,, maččii d yiwen
nn
ttawill i yellan
n akken
n ad
d tecɛel
tmess degg yixxamen-nsen,, acku
ifurnuyen
n yall waa s usenf-is,, yal
waa s wacu
u i d-yekkatt s ḥamu.. Ma
yehwa-asen,, ad
d ceɛlen
n s lmaẓuṭ,
lgaz,, trisitii akked
d yisɣaren,, maca
nutnii segg ukuẓ-aa n wagnayen,
tugett seg-sen,, fernen
n ad
d sserɣen
isɣaren..
Ayen
n i ten-yeǧǧan
n ad
d ḍefren
agna-a,, yekka-d
d segg waṭass n
tmentilin.. Maa nemmeslay-d
d fellasent,, ad
d d-nebderr leɣlaa n
lmaẓuṭṭ i irennun
n ssuma,, yettzid
segg useggass ɣerr wayeḍ.. Lqellaa n
laman
n i yettilin
n degg yifurnuyen
n lgaz,, imii zgan
n dimaa snernayen-d
d tugdii ɣeff wayen
n i izemren
n ad
d yeḍru,, ad
d d-yessegri
nndama.. Urr ntettu,, daɣen,, ḥamu
n yifurnuyen
n i ijebbden,, i tetten
xillaa n trisiti,, lameɛnaa urr ttqenniɛen
n wid
d i ten-ikesben
n amek
ilaq.. D annect-aa i iqeddmen
imezdaɣ
ɣ n Aytt Smaɛell d kraa seg
wid
d i ten-iqerben,, qeblen
n leɛtab
n uzdam
m d ujmeɛɛ n yisɣaren
n seg
tẓegwaa n temnaḍt-nsen.
Smenyifen
n tiɣin
n n yikumyan
nn
yiqejmuren,, walaa maa ssuffɣen
adrim-nsen
n degg ttawilat-nniḍen.
Kaisa Khalifi
Azeffoun
Uɣalen akk d inegmaren
C
M
J
N
zal n umalas (ddurt) aya, tiftisin n
Uẓeffun uɣalen-t d lwelha i waṭas : ama d
wid i tt-izedɣen neɣ d inebgawen ansi-
A
nniḍen, xas akken tallit n tucfa tfuk. Maca
tikkel-a, d agemmer i asen-yessawlen, degmi
i yuzzel wawal ɣef tuffɣa n yiselman n n way-
nanaz ( la daurade ), anda akken i ten-ttrebbin. Iselman-a, rran-d ula i umeẓyan d umeqqran, akken ad ten-id-gemren, ama d win
yessnen neɣ d ubujad d imeré, anwa ara yeṭṭfen tagnit, anwa ara d- yessalin ugar n wayeḍ.
Uɣalen medden akk d inegmaren, ssawḍen
kra ǧǧan lecɣal-nsen,ha-ten-an ẓẓan din am
wass am yiḍ. Dinna i ttnussun, ur d-cqin i kra
gar wallen-nsen ala aslem n waynanaz. Dɣa,
ula deg Lezzayer tamanaɣt, Bgayet, usan-d
ula d nutni ad awin amur-nsen. Acku aslem-a
s wazal-is, d ayen ara asen-yeččaren iẓewaḍen-nsen, aṭas i aɣ-d-yennan, deg wass
tteffɣen almi d 5 n yimelyan neɣ ugar. Ma d
wiyaḍ, ddan akken ddan waman, daya.
Nessaram akken imerẓi-a ad yili yal ass,
mačči kan deg yiri n yilel, di tlemmast, meqqar ahat ad yader wazal n yiselman di tmurtnneɣ, ad t-nečč, ur t-nettargu ara.
Tamsaoutt Tarik
lmend n umuli wis 62 γef wasmi tenddeh tegrewla n Lezzayer, ddeqs n leqdicat i d-ittewheggan di 04 n tγemmar n
tmurt. Dγa taddart n Texliǧt n Σettu di
temnaḍt n Yiferḥunen, lwilaya n Tizi
Uzzu, llan di ttiεad n wass n umezruy,
anda ara ldin yiwen n usebdad n ugrawliw Yaḥa Ʃabd Lḥafid i yetwasnen s
yisem n tegrewla Si Lḥafiḍ. D yiwen n
umeγras u d agrawliw meqqren. Illul
deg yirebbi n taddart n Texliğt At Ʃettu,
ass, n 26 deg yennayer 1933. D azamul u
d amedya n tebγset d umennuγ γef tlelli, imi yella gar yimenza i d-yerran i
teγri n umenzu n unbir 1954, akken
tamurt ad tt-id-kksen deg ufus n waεdaw. Si Lḥfiḍ, yewwi-d abrid zeddigen,
muḥal yekna i lbaṭṭel, muḥal yexdem
miḥyaf gar yimdanen. Di tallit-nni n
tegrewla, yella d aγella gar temnaḍt n
Σin Lḥemmam d Draε Lmizan, yella γer
yidis n yigrewliwen meqqren n lwilaya
tis3 tamazrayt am, Remḍan Σebban,
Σmiruc, Krim Belqasem, Muḥend
Welḥağ d waṭas-nniḍen. Mebεed timmunent, Si Lḥafiḍ yella d aqerru n ukabar n Tirni n Yiγallen n Yinemlayen
(FFS), γer yidis n Si Lḥusin At-Ḥmed
akked Muḥend Welḥağ i yettnaγen mgal
adabu n Ben Bella. Syin, yunnag γer
tmurt n Fransa, anda ikemmel amennuγ
i lfayda n tmurt almi d asmi yewweḍ
leεfu n Rebbi deg waggur n furar 2016,
di leεmer-is 83 n yiseggasen.
Islam
m Bessaci
I
12
TALLIT
Arim, 31 deg tuber 2016
C
Tizi-Tlakh
M
J
N
Timecreḍtt n ḥartadem
m
Zrin rebɛa n
yiseggasen seg
tmecreḍt taneggarut i
tga taddart n Tizi
Tlakh, i_d yuzgan rrif
n Tewrirt Musa
Weɛmar, deg Lɛerc n
At Meḥmud.
Aseggas-agi,
s lmendad n
yimsewqen n
taddart, nnejmaɛen
imezdaɣ,
heggan-d timecredt
n hertadem.
C
aṣebḥit n wass-nni n lǧemɛa,
nerza ɣer Tizi-Tlakh, nufa
aṭas n tkerrusin, i d-yusan
berra n Tizi Uzzu, aṭas n yimezdaɣ i
illan berra, usan-d ad ḥedren i tmecredṭ.Tuget deg-sen, unagen, ffɣen
taddart di lgirra-nni mi tt-isedrem
lɛesker
akken i aɣ-t-id-yenna
Hmed At Lewnis neɣ Matoub
Ahmed : « Aql-aɣ nemlal-d, aṭas n
wid ur ẓriɣ ara acḥal aya, ass-a tessemlal-aɣ-id tmeccreḍt macci d lǧanaza. Nekni, taddart ffɣen akk,
ffɣen di lgirra-nni, asmi i tt-hudden
lɛesker». Xas akken taddart d taqrart, mezziyet, ulac deg-s aṭas n
yimezdaɣ, acu kan wid d-iqqimen
ṭṭfen deg leɛwayed n lejdud. Ɣef
tmecreḍt n tikkelt-a, yiwen n uɛeggal seg yimsewqen taddart, Akli
yenna : « timecreḍt d lḥaǧa i d-ǧǧan
lejdud, niqal nxeddem-itt yal aseggass, mbeɛd neǧǧa-tt kra n yiseggasen. Ssebba d kra n wuguren tettidir
T
M
J
taddart. Tikkelt-a, nenna-as ur ilaq
ara ad tt-neǧ axaṭar ma deg yella
neǧǧa-tt, nuggad ad aɣ-ruḥent terkizin n taddart. Timecreḍt d yiwet
seg terkizin ɣef i tbedd tmetti n leqbayel. Ihi, nemcawar nekni s
yiɛerḍiyen n taddart, nenna-as
issefk ad nexdem timecreḍt am
watmaten-nneɣ n Tewrirt Musa
Wewɛmer , nenna–as, ilaq ad nexdem timecreḍt weḥd-neɣ. Asmi
nennejmeɛ s yimsewqen n taddart,
neṭqen-d kra, nnan-d ilaq ad d-nerr
timecrepdt n lfuruḥ. Yal lweqt s
tmecreḍt-is. Timecreḍt n lfuruḥ, d
acu-tt ? Mi ara yesɛu yiwen lfaṛḥ
ittseddiq i taddart, mi ara d-njmeɛ
lfuruḥ-nni akk n sadaqa ad d-nessiwed azgar neɣ sin, nxeddem timecreḍt n lfuruḥ. Tagi n wass-a, d
timecreḍt n ḥartadem, nxeddem-itt
i lmend n tfellaḥt, nessutur di bab
igenwan ad d-tili saba, ad d-tessew
tmurt, ad issebɛed tixessarin imi d
lawan n lɣella n uzemmur. akken ad
iḥareb ɣef yimezwayen. Timecreḍt
d tagnit deg ttemlilin imdannen.
Ass-agi, llan agad ur nwala ara seg
tmecreḍt taneggarut, d tagnit ihi
deg ara ad nemmwali, ad temlil tasa
d way turew…».Si tama-s, aselway n
tɣiwant n At Meḥmud i d-yerzan
ula d netta ɣer Tizi-Tlagh yenna : «
Usiɣ-d ɣer Tizi-Tlakh s lfarḥ ameqqran, am iterrasen-nniḍien, usiɣ-d
mačči kan imi lliɣ d aselway n tɣiwant. Nekk seg wid ittḥaraben ɣef
wansayen i d-ǧǧan lejdud, ferḥaɣ
aṭas s ccɣel-agi i xedmen Wat TiziTlakh. Timeceredt, deg-s i tettemlil
tasa d way turew, tesnernay tagmat. Akka ttwaliɣ, imezdaɣ n
tudrin-nneɣ, uɣalen ɣer leɛwayed n
zik, d ayen igerzen aṭas. Akka nwala
ass-a, aṭas i d-yusan si berra akken
ad ḥedren, ad mlilen d wid-nsen,..».
Si tama-as Mehrez, yiwen n yilemzi
yenna : « Nekk ferhaɣ s tmecredtagi; d tagnit n lfarh , mlalen akk
imezdaɣ, usan-d si yal tama, Aql-aɣ
s yilmezyen nefka-d ula d nekni
afus, nqeddec ayen iwumi nezmer
». Ma d Massa Khorsi, yiwet n
tmeṭṭut n Cahid
tenna : «
Timecreḍt, tella si zik n zik.
Jemmɛen-d lwaɛadi n lfuruḥ : win
uɣur yerna uqcic, ad iseddaq, win i
d-yewwin tameṭṭut neɣ win isɛan
kra n lfarḥ ad iseddaq i tejmeɛt. S
yisurdiyen n lfuruḥ, ttaɣen-d timecreḍt. Zellun akraren neɣ izgaren.
Ittusemma d asfel akken ad d-tili
talwit, akken ad d-iwwet ugeffur, ad
tili saba. Ifraḥ umeẓyan, ifraḥ umeqqran am lɛid tameqqrant » .
Akka i t-id-nnan wid nesteqsa,
Boualem Messoussi
Amedyaz,, amsuɣel
ellaa ddurtt iɛeddan
n umedyaz-amsuqell Buɛlam
Messusii d inebgii n Tdukklaa Azday
y Adelsan
nn
g s wazal-iss ɣef
Uweqqass i t-id-inecden
n i yiwen
n n usarag
umaḍall n usezgii (adaptation).. Mii d-teḥḍerr tegnit,
n i d-yessufeɣ
yemmeslay-d
d umsureg
g ɣeff yidlisen
d umezruy
y n tneqqisin
n yecban
n Kalilaa d
Dimna,, syin
n yefka-d
d kraa n yiwellihen
n ɣef
wamek
k suqulen,, neɣ
ɣ sezgayen,, aḍriss neɣ
tamacahutt sdatt n kraa n medden.. Ɣas
druss yid-sen,, macaa ffuden
n s tidett i
usenf-aa n temliliyin.. Kraa n wakud,
yessawal-d
d Masss Buɛlam
m kraa n tneqqisin
n i wid
d iḥeḍren,, am
m tinnaa Uccen
d Yizimer,, almii i ten-yewwii ɣerr ddunit-nnii n uḥezzeb.. Dɣa,, yeɛjeb-asen
lḥall merra.. Ɣerr taggaraa n usarag,
Y
Cwiṭṭ segg
tedyanin
n n zik
Lekraa n userdun
ɛmer Awma seg taddart n At Buɛli r
Yiwet n tikkelt, issekra Aɛmer Awmer
aserdun-is i yiwen ad yawi tislit s At Ḥelli.
Netta, iḍḥa-d ur as-fkin ara lekra. Iwweḍ
alammi d talemmast n ubrid indeh i userdun ibedd, yenna-asen ar da d-ters teslit-a.
Nnan-as wid-nni, ar naweḍ s axxam, ad ak-
A
n yisteqsiyen
ni
yella-d
d yiwen
n uskasii yelhan
n andaa i d-llan
n akk
k icudden
n ɣer
bab
b n yidlisen
n d tmuɣliwin
n ɣeff wayen
tira.. D acu,, sḥassfen
n yimeḥḍarr imii urr d-tellii temlilitt n
ubuddu
u n yidlisen
n n umsuɣel.. Ɣeff wayaa yenna-aɣ-d
d win
i terzaa taluft:: «ssawleɣ
ɣ i umaẓrag
g macaa urr d-yewwii kra.
n ɣass urr d-yusii araa waṭas.
Ma d timlilit,, tgerrezz ayendin
Ilaq
q kan,, ad
d gtentt ugarr deg
g tmurtt n Yizwawen».. Ugur-a
n yirr aqeyyem
m n temliliyin
n tidelsanin,, iɛumm
m deg
g yal
tamaa ɣur-neɣ.. Imi,, deg
g taa n Uweqqas,, ssawlen
n yimheggiyen
n i yiselmaden
n merra,, macaa alaa yiwen
n i yellan
n di
ttiɛad,, rnu
u d aɣrib!! Yessufeɣ-d
d arr turaa Buɛlam
m Messusi
kraḍ
ḍ n yidlisen,, akk-nsen,, cudden
n i warrac,, d asezgii neɣ
u d kraa n tneqqisen
n i dd asuqell ɣerr tmaziɣt.. Amezwaru
yeffɣen
n s tallett n HCA
A deg
g 2004.. Syin,, yerna-d
d Kalilaa d
Dimnaa d uḥric-nniḍen
n n tneqqisin
n tigreɣlanin.
Mhenni Khalifi
n-nefk lekra userdun. Yenna-as Aɛmer
Awmer: “ A ḥeq wihin d wihin ar da d-ters
teslit-a!” Alammi i as-ten-id fkan i s-isseraḥ i userdun. Yenna-as :
Yamina n Ḥsen teččaḥ
Yewwi-tt unefraḥ
Issers-itt ddaw At Ḥelli
Issers-itt ddaw inijel
Qebḍen-as lajel
Ikkes-as akk lesdaq-nni
Iggul Si Aɛmer Awmer
Ass-a d axeṣṣar
Lekra n userdun ad d-teɣli.
Ramdanee Lasheb
ansay n tmecredt d yiwen unsay i
yellan seg zik, d asfel akken i t-id
tenna temɣart i nesteqsa. Asfel,
akken i aɣ-t-id ssfehmen imusnawen, ixeddem-it umdan yal tikkelt
deg ara isbedd kra d ajdid , ama d
axam, ama d lǧama, ama d abeddel
n useggas neɣ n tsemhut (saison)
am ḥartadem. Issaram ad ibnu ɣef
wayen zeddigen am wasmi i dtebda ddunit, kullec ibda d ajdid, d
azedgan. Qqaren-d, amdan mi ara
ixdem asfel, issazal idamen am
wakken d ddunit tajḍidt ara d-ilalen. Asmi d-texlaq ddunit, bab igenwan ixelq-d irebbiten. Wigi ur
ssawḍen ara ad ḥekmen alammi
uzlen idammen, alammi inɣa, issazel idammen n kra n lerwaḥ.
Tamcahut n usfel, deg yal tamurt
amek i tt-id-ttawin. Wa ihedder-d
ɣef tlafsa n sebɛa iqerray, wa ihedder-d ɣef yiwen leɛǧeb izedɣen
lebḥur…atg Timecreḍt, tesɛa azal
ameqran deg tudert n yiqbayliyen.
D tagnit ideg ttemlilin yimdanen,
ideg, imezdaɣ ttakken-d rray-nsen,
ttemjadalen d wiyid mi ara nnejmaɛen ɣef tmecreḍt. D tagnit ideg
lemden tugdut : lemden izerfannsen wala ayen i d-yewwi ad xedmen. Si tama-nniḍen, timecredt d
tagnit ideg tettemlil tasa d way
turew, d tagnit ideg tettnerni tegmat , ttiǧhiden wassaɣen gar imezdaɣ . Timecreḍt tessmektay-d, temmal i yimezdaɣ n taddart yal yiwen,
d aẓawali neɣ d bab n cci d akken
isɛa amur. Zik, akken ibɣu tili taddart meẓẓiyet neɣ meqqret ttgen
akken timecreḍt. D lɛib ɣef taddart,
ɣef imsewqen ma ur xdimen ara
timecreḍt. Qqaren-d d ’’tamsalt n
nnif’’.
R. L.
N
i kunwi,, i kunnemti
Imeɣriyen,, timeɣriyin
nn
Uɣmiss n yimaziɣen,, ma
tebɣam(t)) ad
d d-tekkim
m deg
yisebtarr n tmaziɣt,, aznet-d
imagraden
n ɣerr :
[email protected]
C
M
J
N
Arim, 31 deg tuber 2016
TADDART/TAƔIWANT
13
C
M
J
N
C
M
J
N
Iweǧǧiben d ansay
aqdim ɣer leqbayel, d
ass amenzu n tyerza
ɣer yifellaḥen ,
ttmagaren-t medden
s lfuttuḥ n lxir,
ssaramen ad yelhu
useggas n tyerza am
wakken sfiliten,
ad yili lxir d ṣṣaba
deg yigran.
ar wayen xeddmen lejdud,
nezmer ad d-nebder aya:
sufuɣen izgaren, ad tezwir
tyuga n uxxam At lxir n taddart, ad
teddu tmeṭṭut tameqrant n uxxam,
ad tawi aɣerbal deg-s remman , ibawen , tajilbant, irden , tazart d
lmesbaḥ. Ad dehnen tagersa , ma d
arrac ad ṭṭfen deg ufus n tsilet. S
umata, akka i d-yettili uɛeǧǧeb di
tmurt n leqbayel . Imezdaɣ n taddart n Teslent di tamnaḍt n
Ssumam, di tɣiwant n Yiɣram gar
wigad i mazal ṭṭfen di leɛɛwayd.
Ass-nni, 26 di tuber yezrin i weǧben
, muggren ass amenzu n tfellaḥt.
Amek i d-yella uweǧǧeb di taddart n
Teslent ? Ddurt uqbel aweǧǧeb,
Ighrem
Iweǧǧiben
n deg
degg
Iweǧǧiben
taddartt nn ‘’Taslent’’
‘’Taslent’’
taddart
GG
nnejmaɛen deg taddart, msefhamen i wakken ad d-ssufɣen tirbuyin
n seksu n ubisar ɣer umraḥ n taddart iwumi qqaren ‘’Sidi Abdjlil d
Uɛetman’’ ass imensi n iweǧǧiben ,
yal axxam ad d-inawel seksu n
temẓin neɣ n yirden, ma ulac d
smid , abiṣar ad yili d asafar agejdan
. «Nebɣa ur yettemgarad ara nwal
gar uxxam d wayeḍ , acku
iswi–nneɣ d ajgugel deg wansayen
n lejdud , mačči d timsizzelt gar
yixxamen, anwa ara ad d-inawlen a
xir n wayeḍ» i d- yenna Mass
Boualem Iskounen s yisem-is d lɛaqel n taddart . Imi i d-yewweḍ
lawan-nni n usečči , mlalen-d Wat
taddart, win-d tirbuyin n ubiṣar,
llan wid i d-yusan ula si berra n taddart, ttidiren di temdinin-nniḍen.
Gar-asen, ad naf Mass Buyusef i dyusan seg Uqbu. Nnig n 70 n yiseggasen-aya i yezdeɣ di temdint-nni ,
maca yal mi ara ad d-tili tegnit am
tagi, yettas-d igellu-d s tarbuyt-is.
Mi i t-nessteqsa , yenna-k : « deg
tignatin am tigi, tettuɣ abɛad ɣef
taddart. D akal akked wansayen n
lejdud i yi-d yessawalen yal tikelt .
Rnu, ttawiɣ-d arraw-iw i wakken ad
myussanen d Wat taddart. ‘’Aẓar
yettabaɛ tara’’… » Imensi ass n
yiweǧǧiben, yessemlal-d arrac, tiqcicin , imɣaren akked ilmezyen di
Teslent. : «nessaram, d ass ara yesdukklen cmel, wa ad qqiment leɛ-
Tubiret
Temlilittɣef
ɣeffwuguren
wuguren
nnnwaman
waman
Temlilit
aggara n yimalas yezrin, M.Cherifi, lwali n
Tubiret isers-d ɣer unnar n uskasi taluft yerzan aman deg yiwet n temlilit ideg i d-yesdukkel
imḍebbren n twilayt. Aḥric-a, yettmagaren iɣeblan mačči d kra yella-d fell-as umeslay anda
imḍebber n Tubiret inuda ad iẓer aẓar n tlufa d
wamek ara d-yaf tifrat ara yessuzfen lḥif n fad
ɣef yimezdaɣ n tamiwin yemgaraden. D tamnaḍt
TT
n Ain Bessem i yettwaddmen d amedya. Deg-s i
d-iban lixsas meqqren imi d tin yesɛan ḥala
yiwen lmexzen yettawin azal n wagim (1000 m3
) mi akken tuḥwaǧ azal n (6000m3) i wass. Lixsasa d win yesɛewqen tudert i yimezdaɣ yezgan
ccektayen yal tikkelt. Ulamma aman ttasen-d
seg ubaraǧ n Kudiat Aserdun s yiwet n tesmekta
iqadden, maca fad yezdaɣ ixxamen. Deg tama-
Tizi Uzzu
Tirzaannlwali
lwaliiɣer
ɣerrMaȃtkas
Maȃtkas
Tirza
wali amaynut n Tizi Uzzu, Mass Mohamed Bouderbali i d-yusan seg
C
M
J
N
LL
lwilaya n Sṭṭif, yexdem ass-nni n ahad 26deg tuber 2016 tirza-ines
tamezwarut ɣer unnar, seg asmi yuɣal ɣef uqerruy n lwilaya n Tizi
Uzzu. Deg tirza-ines tamenzut n lxedma, i t-yuwin ɣer ladayra n
Maȃtkas anida i yessefqed aṭas n yisenfaren n unegmu n tama-a. Yerza
ɣer umkan n usewseε n usqamu aɣerfan aɣiwan (A P C) n Maȃtkas,
nniḍen, anda aman ttasen-d s ṭṭaqa deg Saharidj,
imi lɛinser aberkan yettfeggiḍ am unebdu am
tegrest, deg Tqerbust ctaqen medden tiqqit zeddigen. Dɣa, d ayen yeǧǧan imezdaɣ-is medlen
tiwwura n tɣiwant ass n temlilit-a i wakken ad
ssutren aman n tissit. S kra n tuttriwin i d-yefka
lwali i yimḍebber n uḥric-a n waman, tiririyin
zgant idel-itent kra n wagu, imi aman llan maca
ur wwiḍen ara ɣer yimezdaɣ. Iɣisi n lixsas meqqer mačči d ayen ara yessedreg cɣel meẓẓiyen,
imi d tadrimt tameqrant i ilaqen ad tettwaheggi
mi akken liḥala n tmurt tessutur leḥder deg
umeṣruf. Lḥasun, aḥric-a yeḥwaǧen aseggem d
ureqqeɛ yesɣuluf mačči d kra imi M.Cherifi
yenwa ad yili deg lmendad i yimezdaɣ. Iwulem,
daɣ, ad d-nesmekti d akken tamsalt-a n waman,
kkren-d yimezdaɣ n la Crête-Rouge deg tɣiwant
n Leɛǧiba uqbel kan kra n wussan ad iruḥ lwali
Nacer Maâskri anda ssutren i wakken taddartnsen ad tt-id-iṣaḥ uḥric-is seg waman n ubaraǧ n
Tilesdit. Taddart-a, i d-yezgan azal n yiwen n
ukilumiter ɣef ubaraǧ-a, ar ass-a ur tt-id-ṣaḥen
ara waman-is mi akken timnaḍin ibeɛden neɣ
ahat tiwilayin yecban M’sila d Bordj wwint
aḥric-nsent.
Smail.. M
Smail. M
yerza daɣen ɣer taddart n Bourahmou, anidaiI yessaɣ lgaz n temdint i
tikkelt tamezwarut i lfayda n yimezdaɣ n taddart-agi. Am wakken
daɣen i iruḥ ɣer usalay n ufexxar aqbur n Maȃtkas. Issefqed diɣen tazeqqa n ssinima “Nedjma”, d temkerḍit n tɣiwant, annar d tzeqqa n waddal. Ad d-nesmekti kan, d akken tamnaḍt-agi n Maȃtkas, tettidir lexsas
meqqren deg yisenfaren n unegmu akked waṭas n yiḥricen n tudert tartar. Gar-asen: lbankat, iɣalen n usellek, takbanit n “Sonaelgaz”, ssbiṭer,
lexsas n waman…atg. D ayen i yeğğan imezdaɣ n ladayra n Maȃtkas, ad
gren tiɣri srid i lwali n Tizi Uzzu, i wakken ad iger tamuɣli-is ɣer wayen
ttidiren yal ass, yerna ad yelhi yid-sen.
Adaoun
n Abdelghani
Adaoun Abdelghani
wayed i tsetwin i d-iteddun, acku d
nutenti ara ad tent–ikemmlen», i dyenna Ali Teslent yiwen uɛeggal n
taddart.
Brahim
m Benhamouchee
Brahim Benhamouche
Benghebrit
Akayad
d n 5ee A.P
Akayad
5e
A.P
ulacc d n
acu
u ara
ulac
d acunara
yebddlen
deg-s
yebddlen deg-s
enna-d
d tneɣlaftt n usegmii aɣelnaw
w tneɣlaft
Massaa Noria
a Benghebrit,
enna-d
n usegmi
aɣeldeg
g yiwet
t n Noria
tedwilt
t deg
g tiliẓri,, d
naw
Massa
Benghebrit,
i n taggara
degakken:
yiwet: akayad-agi
n tedwilt deg
tiliẓri,adn uswir
amenzu
u (5èmee A.P)
) n useggas
s aɣurakken:
akayad-agi
n taggara
n uswir
bizz 2016/2017,
, ad
dnt-sεeddin
yinelamenzu
(5ème A.P)
useggasnaɣur. Deg
n deg
g yiɣerbazen-nsen.
bizmaden
2016/2017,
ad t-sεeddin yinelwawal-is
tenna-d,, daɣen,, d Deg
ayen
maden
degsyiɣerbazen-nsen.
negzem-itt
t deg
g daɣen,
rray,, d dakken
wawal-is
tenna-d,
ayen
akayad-aadeg
ad
d t-sεeddin
n am
m useggas
negzem-itt
rray, d akken
iεeddan
naddeg
g yiɣerbazen
anidaa qqaakayad-a
t-sεeddin
amnuseggas
ren,, mebla
maa rzan
n ɣer
r yiɣerbaiεeddan
deg ayiɣerbazen
anida
qqaAnect-gai,
, i wakken
n ur
ren,zenn-niḍen.
mebla ma.rzan
ɣer yiɣerbad-ttmagaren
n araa uguren
n i d-ttemliAnect-gai,
i wakken
ur
zenn-niḍen.
, garlin
n yall aseggas
yinelmaden,
d-ttmagaren
arasuguren
i d-ttemli: ugurr nyinelmaden,
laman,, ugurrgarn usiweḍ
lin asen:
yal aseggas
akked
d win
n lweqt…
… Tenna-d,
asen:
ugur
nnlaman,
ugur
n usiweḍ
daɣen,
, belli
i tansa-nni
i tunsibtt n
akked
win
n lweqt…
Tenna-d,
umaris
s (ddiwan)
) aɣelnaw
w nnyikayadaɣen,
belli
tansa-nni
tunsibt
, ha-ta-n
n yellii tiwden
n d(ddiwan)
temsizzliyin,
umaris
aɣelnaw
n yikayas ass-nnii nha-ta-n
16deg
g tuber
2016
yellir tiwdenwura-s
d temsizzliyin,
alamma
a d 166ndeg
g unbir2016.
. I wakwura-s
ass-nni
16deg
tuber 2016
ken
n ad
d izmiren
akk
k ad
d jerrden
n imanalamma
16 degnunbir2016.
I wakdeg
g unuɣen
n usεeddi.
Maa deg
kennsen
adnizmiren
akknad
jerrden.imanwass
s 200unuɣen
deg
g maggu
u 20177 dMa
asawen,
nsen
deg
n usεeddi.
deg
zemren
n akk
k yinelmden
d d-jebden
wass
20 deg
maggu
2017 nd ad
asawen,
tiseɣrayin-nsen
n (convocation)
)n
zemren
akk yinelmden
ad d-jebden
usεeddi.. Maa seg
g 155 dii yennayer
tiseɣrayin-nsen
(convocation)
n r 2017
alamma
a dseg
155 di
, ad
d tilii 2017
tensa-a
usεeddi.
Ma
15i furar,
di yennayer
tellii yakan
ad
dtili
tḥeqqen
n ma
alamma
d 15ndii wakken
furar, nad
tensa-a
a inelmaden-agi
jerrden
n imantelliyella
yakan
i wakken adi tḥeqqen
ma
nsen
n neɣ
ɣ ala.. Yerna
a ad
d seɣtin
n tucḍiyella
inelmaden-agi
jerrden
imanwin
n
maaala.
llant
t deg
g ad
yisallen
n i yuran
nsen
neɣ
Yerna
seɣtin
tucḍin tansa-a.
windaxel
ma lllant
deg yisallen i yuran
Adaoun
Abdelghani
daxel
n tansa-a.
TT
14
AKKA D WAKKA
Tazmert-nwen
Aḥezqull n temgaṛtt
dii tmurtt n leqbayell
amurt n leqbayel gar temnaḍin anda yeṭṭuqqet uḥezqul n temgart (goitre simple) labeɛda ɣer tmeṭṭut. Aya, icudd s umata
ɣer lqella n usafar n lyud (iode) deg učči-nneɣ. D lehlak iteddun s
tsussmi wer ma yewwi-d kra n lemḍerra, d acu kan tikkwal, s
teɣzi n lweqt , igellu-d s kra n yiɣilifen i umdan. D acu-t uḥezqul n
temgart? Acu i t-id-yettakken? S wacu yezmer ad d-yeglu s teɣzi n
lweqt? D isteqsiyen i ɣef ara neɛreḍ ad d-nerr deg umagrad
n wass-a.
T
Acu-tt uḥezgull n temgartt ?
D talɣa tejḍiḍt, yecban takuret yettilin di temgart. Ur tqeṛṛeḥ, ur
txenneq, ur teččeṭṭin asebleɛ n wučči, ur d-tgellu s kra n wugur
icudden s alluy neɣ s aṣubbu n tesmekta n thuṛmunin i d-yettakk
uḥezqul-agi. Teṭṭuqqet aṭas ɣer tmeṭṭut umbeɛd awwaḍ n tarda
(puberté). D talɣa i d-yesbeggin ttawil n l’échographie neɣ la scintigraphie.
Arim, 31 deg tuber 2016
TAMSIRT N Tmaziɣt
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Amayas
Abrid anbu
Amcic
Aïaran
Adrar-addal
Kerrez
Afus
Agu targa
TaDŽDŽalt
Yelha
Taͥbult
ImȢi
Jarjar
Urku akal
Tilelli
MaȚtub
Innan
AȢurru
Areqqaq
Tiririt
Asaru
Untu –tala
iέij
Azul
Awal
Țawaz
Axxam
Ayla
Azrar
Iϓuran
IMESLAYEN INMIDAGEN
Acemmet s t...t
Tikkwal mi ara nernu t
deg tazwara akked t
deg taggara i wawal
amalay yettuɣal d
acemmet.
Azger : tazgert
Sɣur Bouacherine
Sɣur SAID BOUDA
TARATSA UṬṬUN 19
Acu
u i d-yettakken
n lahlak-aa ?
Aglawan
n
1. Anemgal n wass.
Ɣer(Bel). Dagi.
Leḥmala.
2. D aɛeqqaṛ.
3. Yesenqas tamuɣli.
Wagi. Sidi.
4. Ḍɛef. Ezḍ.
5. Ixnanasen. Irkel.
6. Kra(Bel). Sseṛɣ.
7. Wagi(Bel). Ṭṭef.
8.Yettarra tiɣawsiwin
ttuɛdilin.Nnehta
n ɛeggu.
9. Bɣu.Kfu.
10. Ixfan iqeṛṛa
n llufanat.Amuṛḍus.
11. Awi.Ḥemmel(Bel).
12. Lḥila n cclaḍa.
13. Anamak.
Yettabaɛ ddeqt.
14. D aɣersiw
ihemmlen tamment.
Ɣer(Bel).
15. Deg.Meǧǧed.
Nneɛtab.
Tussna yettnadin, tessaweḍ ad d-tbeggen ddeqs n ssebbat yellan
deffir lehlak-a. Gar-asent ad d-nebder: lqella n wučči n usafar n
lyud ( seddaw 150 u/ ass) yellan d ssebba tamenzut di tmurt n leqbayel am wakken i d-nenna di tazwara, aẓar n umdan (hérédité)
imi nettaf deg yiwet n twacult ddegs n yiɛeggalen i yesɛan lahlaka. Ddexxan akk d ddeqs n ddwawi n usejji, labeɛda wid n waṭṭan n
wul (Cordarone) d thurmunin i tettett tmeṭṭut s ṭṭul, slalayen-d
aḥezgul n temgart.
S wacu
u yezmerr ad
d d-yeglu
u
uḥezqul-aa s teɣzii n lweqtt ?
Yettemgarad unerni n talɣa-s seg umdan ɣer wayeḍ, si tegnit ɣer
tayeḍ. D acu kan, ma iban-d uḥezqul-a ɣer win yesɛan tignatin am
ssebbat i d-nebder yakan, ara as-yanfen ad yimɣur si littaɛ, yezmer ad d-iglu s ddeqs n yiɣilifen am: tamsalmit n uḥezgul, anbeddal di tesmekta n thurmunin-is; d anbeddal i d-yeslalayen ddeqs n
ccirat di tudert n medden. Ccirat-a, ttawint ddeqs seg-sen s amejjay, aneggaru-a, ad yettuḥettem fell-as ad yerr amuḍin s ddwa.
Am wakken, yettakk-d, taxennaqt, aceṭṭen n usebleɛ n wučči,
aṭṭan n tnefsit, labeɛda ɣer tmeṭṭut imi tettwali-t d ugur i thuskis. Maca , d imexḍa iḥezgulen i yettuɣalen d axenzir (cancer)
Kraa n yiwellihen
n i kunwi:
Imi d lqella n wučči n usafar n lyud i yesṭuqqten aṭas lahlak-a,
yessefk fell-aɣ ad ntett kra n učči-nniḍen yesɛan asafar-a ( lfakya
n lebḥar, sserdin, ayefki d wayen yettwaxdamen seg-s, soja) , am
wakken, diɣ, ilaq amdan ad yesseḥbiber si yal ssebba i t-yeslalayen. Ma ifaq belli isɛa-t, ilaq-as ad yerzu s amejjay akken ad
iɛass aḥezqul-is, u ma iwala belli ilaq-as ucerreg, amuḍin ilaq ad
yeqbel axaṭer yezmer ad as-d-iglu s ddeqs n wuguren
Salimaa Dali
Aratak
I. Lgerrat. Tidak-agi. II. Rrif. Aweḍ. III. Qadd. Amzun. IV. Eg(Bel). Asmi. Aḥeqqani. V. Jerred. Ṛuḥ.Ayt. VI. Ttwableɛ. VII.
Widak(Bel). Ɛjen. VIII. Ayagi. Anemgal n wuruku. Ri. IX. Tameddit i t-yettḥaz yiṭij. X. Tanemgalt n tzelɣa. XI .Xaṣ aman.
XII .Kul. Iḥemmel. XIII. D aṛfiq n buh. Nɣeṭṭ. XIV. Ur(Bel). Ka. Imira. XV. Leɛtab ameqqṛan.Yeɛni d tidet?
Deg tnewwalt n leqbayel
Tiḥlawatin n ucebbaḍ
Isufar
Aheggi
2 lkisan n uwren areqaq,
1 lkas n lfarina, tisent
(lmelḥ), 1 tɣenjawt n yiɣes
(lexmira),1 n tɣenjawt n
ssker, aman immuḥlan
(tiede), zzit n lkuẓa,
ssker n uwren i ccnaḥa .
Di tqedduḥt , rwi awren ,
lfarina , lmelḥ, sskeṛ akked
iɣes. Rucc-it s waman , ɛarek
atekti-nni , rennu-as aman
alamma yuɣal d aleqqaq .
Get taḥbult , zuzzert-as
awren , ɣummet-ett , eǧǧetett ad tali. Mi tuli teḥbult ,
meqqeret , eṛzet arekti-nni
s ufus neɣ s wallal i waya .
(Rouleau). Gezmet imkuẓen
deg urekti ( carrés ) s lmus ,
gret imkuẓen –nni ar zzit
iḥman , ttruccut-tten s zzit
alamma cuufen , mi bdan la
ttizwiɣen ., d lawan ad tenid kksem , ad uddumen . Mi
yuddamen , zzuret fell-asen
sskeṛ .
S ɣurr Daya
SPORT
22
RÉGIONALE I JS Akbou 4 - O Tizi Rached 0
RÉGIONALE II
(4e journée)
Draâ Ben Khedda
détrône Draâ El-Mizan
’ES Dr aâ El Mizan est détr ônée de la
première place de la division r égionale
deux du groupe A. C’est l’USM Dr aâ Ben
Khedda qui prend désor mais les commandes
du groupe avec dix points dans son compte
et avec un point d’avance sur l’ESDEM qui
est reléguée à la deuxième place avec neuf
points à son actif. Les Ciel et Blanc de Dr aâ
Ben Khedda dr ivés par Nacer Zekr i sont
allés chercher la victoire en dehor s de leur s
bases, au stade Takejr ad en s’imposant par
la plus petite des mar ges 1 à 0 devant le WR
Bor dj Menaiel qui cumule les échecs en ce
début de saison. L’unique r éalisation de la
par tie fut l’œuvre du tr ansfuge de l’ERB
Ouled Moussa Zoheir Bourekoum à la 25’.
Sur un coup fr anc bien botté des 30 mètres,
Bourekoum n’a laissé aucune chance au gar dien du WRBM qui a été trompé par un
défenseur qui a dévié le cuir au fond des
filets. Les gar s de Dr aâ Ben Khedda ont
dominé leur s vis-à-vis de bout en bout et
aur aient pu marquer d’autres buts, mais le
manque d’efficacité leur a fait défaut. Les
gar s de Bor dj Menaiel de leur côté, aur aient
pu égaliser, mais c’était sans compter sur la
gr ande classe du gar dien de but des Ciel et
Blanc, Benchlaghem Imad, qui a ar r êté un
penalty tir é deux fois par le joueur du
WRBM. Ce jeune keeper qui était inter national avec les U17 et qui est âgé de 19 ans
venu de l’ERB Ouled Moussa, a été d’un
gr and appor t pour l’USMDBK face au WR
Bor dj Menaiel. Cette victoire va ouvr ir
gr andes les por tes aux Débékois d’entrevoir
le choc de la 5e jour née face au dauphin l’ES
Dr aâ El Mizan sous de bons auspices et avec
un mor al au beau fixe. Une rencontre qui va
tenir en haleine toute la r égion de Tizi
Ouzou et pas uniquement les villes de Dr aâ
Ben Khedda et de Dr aâ El Mizan. Un match
tr ès attendu par les galer ies des deux
équipes.
Massi Boufatis.
L
Les résultats
J S Akbou
ES Ghozlane
ES Azeffoun
CRB Tizi Ouzou
CRBB Kiffan
EC Oued Smar
IR Bir mandreis
WB Saoula
4
2
0
2
0
1
1
0
-
O Tizi Rached
NRBouchaoui
MB Bouir a
J S Tichy
J S Tixér aine
NRD Ibr ahim
B Sidi Moussa
ESM Boudouaou
0
0
1
0
1
1
2
0
Le leader frappe fort
En s’imposant sur un score net et sans bavure de 4 - 0 face à l’Olympique
de Tizi Rached, le leader du groupe de la Régionale I, la JS Akbou, a tout
simplement survolé les débats.
ne rencontre qui a vu les
camar ades de Nait
Slimane enchaîner une
quatr ième victoire consécutive
devant leur public. Lor s de ce
match, les Akboutiens ont
dominé cette première manche
et le score aur ait été plus lar ge
si les attaquants n’avaient pas
r até des occasions. D’ailleur s,
apr ès juste apr ès le r ound
d’obser vation, Djaoud ne laisser a aucune chance au gar dien
adver se sur un centre ajusté de
Lar djene. La r iposte des visiteur s n’a pas eu lieu. Ce fut au
contr aire Djaoud, encore lui,
qui r éalisa son premier doublé
U
VOLLEY-BALL 5e journée du championnat
national I Ooredoo des seniors dames
Qui arrêtera le GSP ?
a cinquième journée du championnat national I Ooredoo des seniors
dames, jouée le week-end passé, a été favorable au trio de tête composé respectivement du GSP, du NCB et du NRC. Les algéroises du
GSP n’ont pas trouvé beaucoup de difficultés pour revenir de Béjaïa
avec une belle victoire devant le RCB local, sur le score de 3/0 (17/25,
20/25 et 16/25), un match qui a été à sens unique pour les camarades de
Mezmate Aicha qui ont dominé les débats tout au long de la partie. Le
NC Béjaïa a réalisé une belle opération en allant battre à El Kseur l’équipe de Seddouk VB, sur le score de 3/2 (17/25, 25/23, 15/25, 25/20 et
07/15), un match qui est allé au Tie-break, chose qui confirme que la
partie a été très disputée et les filles de Malek Allab, coach du NCB,
continuent leur bon parcours cette saison en remportant leur 5ème victoire pour autant de matchs joués. Le MB Béjaïa n’a pas raté l’occasion
de recevoir la lanterne rouge, l’ASV Blida, pour remporter une victoire
sur le score de 3/0 (25/17, 26/24 et 25/21), un résultat qui redonne
espoir aux filles de Halim Henni et les replace à la 4ème place en attendant de meilleurs performances lors des prochaines journées. L’ASW
Béjaïa est revenu de son lointain déplacement à Tlemcen avec une belle
victoire devant le WAT local sur le score de 3/1 (25/20, 21/25, 11/25 et
15/25) alors que le WA Béjaïa est revenu bredouille de Chlef, en concédant une défaite sur le score de 3/0 (25/20, 25/23 et 25/16), une défaite
qui doit inciter les Béjaouies à réagir lors des prochaines journées.
Z. H.
L
Les résultats
MBB
RCB
SVB
NRC
WAT
3
0
2
3
1
-
ASVB
GSP
NCB
WAB
ASWB
0
3
3
0
3
Lundi 31 octobre 2016
et qui aggr ava la marque à la
demi-heur e de jeu pour les
locaux. Une première mi-temps
dominée par la J SA couronnée
par deux buts. Et c’est avec ce
score de 2 à 0 que ser a sifflée la
fin de la première manche. De
retour des vestiaires, les locaux
rentrent sur la pelouse avec la
fer me intention de faire le plein
et r assurer leur s suppor ter s et à
la
70’
le
r emuant
Bouchouchene r ajouter a un
troisième but apr ès un joli ser vice
de
son
coéquipier
Lar djene. Les visiteur s ont
failli r éduire la marque mais
Hamimi était là pour sauver sa
cage. Il est vr ai que les poulains
de Mustapha Ait Sid Ali
dominèrent cette rencontre qui
va se concr étiser par un quatr ième joli but signé Akouche
sur un centre de Zebir i. Malgr é
les occasions r atées de par t et
d’autre, le score n’évoluer a pas
et c’est sur cette lar ge victoire
des hommes de Saïd Haddad
que l’ar bitre siffla la fin de la
rencontre où il est à relever un
fair play total des 22 acteur s.
Samy H.
Les résultats
HC Ain Bessam
Gour aya Béjaïa
J S M'Chedallah
ERBO Moussa
ESD El Mizan
MC Bouir a
J SB Ménaïel
WRB Ménaïel
1
0
3
1
3
0
2
0
-
ES Timezr it
2
OS El Kseur
0
CRB Kher r ata
0
ES Bir Ghbalou 1
O.Akbou
2
USM Béjaia
0
CRB Isser
1
USMDB Khedda 1
HONNEUR TIZI-OUZOU (4e Journée)
Boghni,Tizi-Gheniff et
l’OC Azazga tombent à domicile
L
a 4e jour née de la division
honneur a été marquée par la
défaite à domicile du DC Boghni
devant le CRB Mekla. Les montagnar ds, qui restaient sur une victoir e hor s de leur s bases, ont
essuyé un rever s devant les gar s de
Mekla qui sont revenus avec trois
points, r éalisant, à l’occasion, leur
seconde victoire d’affilée. Une per for mance qui fer a beaucoup de
bien au mor al des protégés du pr ésident Kettane à deux jour s de leur
match retar d, qui aur a lieu au
stade de Mekla, face à l’US
Azazga. L’autr e fait saillant de
cette quatr ième jour née est la victoir e du FC Tadmait, à Tizi
Gheniff, devant les Olympiens
locaux qui se sont lour dement
inclinés devant des visiteur s qui se
sont r achetés apr ès un der nier
r atage à domicile. Pour sa par t, la
J S Boukhalfa est allée enfoncer
l’OC Azazga dans son fief à
Tir satine. Les banlieusar ds de
Tizi-Ouzou ont eu le der nier mot
en s’imposant devant les gar s de
Cheur fa par la plus petite des
mar ges dans le temps additionnel.
De son côté, le leader, l’OS
Moulediouane, a fait une nouvelle
victime, à savoir l’AC Yakouren.
Une quatr ième victoire de suite qui
per met aux Oiseaux de Dr aâ Ben
Khedda de mener le bal en tête du
classement devant la J S Boukhalfa
et la J SC Ouacif, qui s’est payé
l’ASC Ouaguenoun. L’ES Tigzir t
s’est imposée devant l’Etoile de
Dr aâ El-Mizan, son invitée du jour.
Un succès qui per met aux hommes
du pr ésident Ait Abdellah de se
propulser à la 3e place. Enfin les
Unioniste d’Azazga, qui se sont
rendus à Ouadhias, se sont offer t le
FCO local qui souffle le chaud et le
froid en ce début de saison. A
signaler que le match qui devait
opposer le KC Taguemount Azouz
au CA Fr éha a été repor té à une
date ultér ieure.
S. K.
Les résultats
O Tizi Gheniff
2 - FC Tadmaït
J SC Ouacifs
2 - ASC Ouaguenoun
OC Azazga
0 - J S Boukhalfa
ES Tigzir t
2 - E Dr aâ El Mizan
FC Ouadhias
1 - US Azazga
DC Boghni
1 - CRB Mekla
OS Moulediouane 4 - AC Yakouren
KCT Azouz - CA Freha (reporté)
Le classement
R
clubs
1- OS Moulediouane
2- J S Boukhalfa
- J SC Ouacifs
4- ES Tigzir t
5- CA Freha
points
12
9
9
7
6
joués
4
4
4
4
3
4
1
1
1
2
3
2
SPORT
Lundi 31 octobre 2016
23
C
M
J
Division Nationale
Amateur (8ème journée)
COUPE DE LA CAF Sendjak optimiste malgré tout
N
Le MO Béjaïa,
qui espérait
gagner son
match aller
de la finale
de la CAF
en recevant
avant-hier au
stade Tchaker
de Blida le
TP Mazembé,
a été forcé au
partage des
points.
’adver saire, il faut le dire
est tr ès expér imenté. Les
cr abes doivent en effet se
contenter d’un match nul (1-1)
tout en misant sur un exploit au
match retour qui aur a lieu dans
une semaine. Les camar ades de
Rehal qui ont tenté d’assiéger le
camp de leur adver sair e dés
l’entame de la par tie pour
imposer leur r ythme au match,
ont confondus entr e vitesse et
pr écipitation. N’ayant pas évolué
avec un avant-centre fr anc, les
Bedjaouis n’ont pas trop iniquité
l’ar r ière gar de Congolaise malgr é
de nombreuses tentatives lor s de
la pr emièr e demi-heur e. Les
pr otégés d’Huber t Velud qui
«On joue bien à
l’extérieur»
L
C
M
J
N
étaient
jusque-là
ser eins
procédaient par des contres et ils
ont fini par obtenir un penalty
apr ès un mauvais contr ôle de
Baouali ce qui a obligé le por tier
Rahmani à commettre la faute sur
La belle affaire
d’Amizour
l’attaquant adver se .Bolinghi le
tr ansfor me avec br io (42’) et
per met à son équipe de regagner
les vestiaires avec une longueur
d’avance.
La
r entr ée
de
Belkacemi en seconde pér iode a
donné plus de vivacité au club
Bedjaoui qui a r éussi à r établir
l’équilibre sur un coup fr anc bien
tir é par Yaya (66’). Dans la foulée
les ver t et noir ont malmené leur
adver saire et ont eu l’occasion de
doubler la mise par ce même
joueur mais sa r epr ise a été
inter cepté par
le gar dien
Gbouhou qui a fait un ar r êt
r eflexe de gr ande classe. Dans
l’ensemble les Bedjaouis avaient
montr és un meilleur visage en
seconde pér iode ce qui laisse
pousse les fans à penser que leur
équipe a encor e une chance à
saisir au match retour même-si la
mission des cr abes ser a des plus
dur s à Lubumbashi. « Notre tache
ne ser a guère de tout repos dans
une semaine mais je r este
optimiste car nous avons toujour s
bien joué à l’extér ieur » dir a,
d’ailleur s, l’entr aineur Nacer
Sendjak
avec
beaucoup
d’ambitions.
Amine Kaci
INTER-RÉGIONS Groupe Centre-est 7e journée
Les Azazguis reviennent bredouilles d’Aïn Lahdjar
A
ppelés à en découdre avec leur s homologues de l’IRB Aïn Lahdjar pour le
compte de la 7e jour née du championnat de
l’inter-r égions, gr oupe centr e-est, les
Azazguis n’ont pas r éussi un bon r ésultat.
Les poulains de Youcef Tonkin sont revenus
bredouilles en s’inclinant sur le score de
deux buts à un. Une défaite que les joueur s
de la J S Azazga aur aient pu éviter s’ils ont
bien négocié cette sor tie en dehor s de leur s
bases. Un rever s qui se r épercute sur le classement des Rouge et Noir qui dégr ingolent à
la 11e place avec toujour s huit points dans
leur compte. Les Azazguis sont donc appelés
à refaire sur face dès la prochaine jour née,
s’ils veulent éviter de se retrouver dans le bas
du tableau. La balle est, donc, dans le camp
des joueur s, seuls acteur s sur le ter r ain. Ils
sont conscients de la lour de tâche qui les
attend et doivent éviter de revivre le scénar io
des deux pr écédentes saisons, où ils ont fr ôlé
la relégation dans les der nières jour nées du
championnat. Youcef Tonkin, coach de la
J SA, doit redresser la bar re pour per mettre
à l’équipe de rebondir dans les plus brefs
délais et de retrouver ses marques, en championnat comme ça a été le cas en dame
coupe, où elle a damé le pion au NARB
Reghaia, pensionnaire de la division nationale amateur. Les dir igeants, de leur côté, sont
appelés à r éunir toutes les conditions nécessaires pour la bonne marche de l’équipe,
pour que les joueur s puissent se concentrer
uniquement sur leur sujet et aillent de
l’avant et r etr ouver ses sensations, en
enchaînant avec de bons r ésultats.
Said Aberkane
Les résultats
MBH Messaoud 1- AS Bor j Ghedir
WA Rouiba
2- CRB Aïn Djasser
NRB Achir
0 - USM Sétif
IRB Ber houm
1- ES Ber rouaghia
ES Ben Aknoun 1- OMR El Annasser
IRB Aïn Lahdjar 2- J S Azazga
CRB Ouled Djellal 3- CA Kouba
HAC Hydr a
2- FC Bir El Arch
1
1
3
1
0
1
1
4
JSM Béjaïa Reprise cet après-midi
L’Amal de Kouba en ligne de mire
A
pr ès avoir bénéficié de deux
jour s de repos au lendemain
de leur éclatante per for mance en
ter re Chélifienne contre l’ASO (32), les hommes du coach El Hadi
Khezzar vont devoir r epr endr e
leur bâton de pèler in dès cet
apr ès-midi, à par tir de 16 heures,
au stade de l’UMA. L’objectif ser a
celui de pr éparer comme il se doit
le rendez-vous de vendredi contre
la for mation de l’Amal de Kouba
(Inter r égions, groupe centre-est)
comptant pour le 4e et der nier
C
M
J
N
place de dauphin avec 17 points. Il
faut dire aussi que les r ésultats de
cette 8e jour née ont beaucoup
ar r angé les affaires des Ver t et
Rouge qui n’accusent désor mais
qu’une petite unité de retar d sur
le leader, le PAC et trois points
d’avance sur l’USM Blida (3e)
suite à sa défaite à Biskr a (1-0)
avant-hier. En outre, la J SMB qui
fait de son retour par mi l’élite son
objectif n°1 cette saison, aur a également deux belles oppor tunités
lor s des deux prochaines jour nées
tour de la coupe d’Algér ie de football qu’abr iter a le stade du 1er
Novembre de Tizi-Ouzou à par tir
de 14h 30’. Ayant aligné trois victoir es de suite l’espace d’une
semaine, toutes compétitions
confondues, les Béjaouis ont r éussi par ticulièrement à marquer les
espr its vendredi der nier en allant
chercher les trois points du succès
aux dépens d’un concur rent direct
pour l’accession. Un exploit ar r aché avec l’ar t et la manière et qui
leur a valu de prendre seuls la
QUOTIDIEN D’INFORMATION
édité par SARL
La Dépêche de Kabylie
au capital de 300.000 DA
Siège social :
Rue Abane Ramdane cité 60
Lgts Bt A. TIZI-OUZOU
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PUBLICATION
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BENYOUNES
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LA REDACTION
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MAISON
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(9e et 10e) pour accr oîtr e son
avance sur ses pour suivants en ce
sens qu’elle accueiller a deux fois
de suite le CABBA puis le MCS.
Par ailleur s, les coéquipier s de
Dr ifel qui sur fent actuellement
sur une vague de bonheur, auront
droit à une pr ime de dix (10) millions de centimes en guise de
r écompense à leur r écent succès
r amené de Chlef. De quoi les booster en pr évision des prochaines
échéances attendant leur équipe.
B. Ouari
BUREAU DE TIZI OUZOU
Rue Abane Ramdane
cité 60 Lgts Bt A
Rédaction :
Tél : (026). 12. 26. 77
Fax : (026). 12. 26. 48
PUBLICITÉ :
Tél- Fax- (026). 12. 26. 70
BUREAU DE
’équipe d’Amizour n’a pas laissé
passer l’opportunité de recevoir sur
son terrain, samedi dernier, pour alimenter
son compteur de trois nouvelles unités
face à une coriace équipe de l’IBKEK. Un
match très disputé où les deux équipes ont
joué avec beaucoup de volonté.
Finalement, le dernier mot est revenu aux
poulains de Boussekine. À la faveur de ce
troisième succès de suite, l’USOA a réussi
non seulement à préserver sa place mais
aussi à réduire l’écart à un point des deux
Co-leaders. Pour revenir au match et en
dépit de la totale domination des
unionistes, la première partie s’est
achevée sur un score vierge. De retour des
vestiaires, c’est le même scénario qui sera
réédité par les locaux qui se portent à
l’attaque et pressent les visiteurs. Passée
l'heure de jeu, le coach procéda à des
changements notamment avec
l’incorporation du joker Yaya pour
fouetter l’ardeur de la ligne d’attaque.
C’est d’ailleurs ce dernier qui parviendra à
ouvrir la maque à la 78’ de jeu, après un
exploit individuel qui l’a vu dribbler deux
défenseurs avant de tromper le très agité
gardien de but de Khemis El Khechna.
Pour se mettre à l’abri, les protégés du
duo Boussekine-Bounif poussés par leurs
supporters, mirent le pied sur
l’accélérateur, réussissant à inscrire le
second but à la 80’ par Amroune, mettant
ainsi fin aux espoirs des visiteurs.
Samy H.
L
B GAYET
Route des Aurès,
bt A
Tél. : 034 16.10.45
Fax : 034 16.10. 46
Mourad Bounif,
co-entraîneur de l’USOA
«Je dédie cette
victoire à nos
supporters»
omme je l’avais déjà déclaré, on
doit gagner tous nos matchs à
domicile, on n’a pas le droit à l’erreur. On
a fourni un bon match. Mes joueurs n’ont
pas lésiné sur les efforts pour enchaîner
avec une troisième victoire. C’était une
belle partie où on a su imposer notre jeu,
avec à la clé deux jolis buts. En première
période, on s’est crée beaucoup
d’occasions mais nous avons manqué de
lucidité et surtout d'efficacité dans le
dernier geste. En seconde période, on a
procédé à des changements qui se sont
avérés concluants et à force de persévérer,
on a réussi à matérialiser notre
domination. Dans l'ensemble, je suis
satisfait du rendement de nos joueurs que
je tiens à féliciter pour leurs efforts et leur
belle prestation. Je dédie cette victoire à
nos supporters».
Samy H.
«C
Les résultats
RC Boumer dès 1 - J SD J ijel
0
MB Rouissat
2 - J S Hai Djebel
2
IB Lakhdar ia
0 - USM Chér aga 1
NARB Réghaia 1 - WR M’Sila
2
RC Kouba
2 - MC M’khadema 1
CRBD El Beida
0 - CR Beni Thour 1
USO Amizour
2 - IBK El Khechna 0
US Béni Douala (exempt)
B OUi RA
Gare routière de
Bouira
Lot n°1 - 2e étage
BUREAU DE
IMPRESSION
SIMPRAL
DISTRIBUTION
D.D.K.
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L A DÉPÊCHE
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DE K ABYLIE
LES DOCUMENTS,
MANUSCRITS OU
AUTRES ET LES
LETTRES QUI
PARVIENNENT AU
JOURNAL NE PEUVENT
FAIRE L’OBJET D’UNE
QUELCONQUE
RÉCLAMATION