Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale
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Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale
Comité pour la République du Canada www.comiterepubliquecanada.ca 514-461-1557/ 7209 Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale « J’ai peur que cela ne devienne un "fait accompli" (…) que l’on se réveille un matin en apprenant que les frappes ont eu lieu. » Telles sont les remarques faites par le général à la retraite, Joseph P. Hoar, ancien commandant en chef de l’US Central Command (CENTCOM), à la revue Executive Intelligence Review (EIR) concernant le danger de frappes militaires contre l’Iran. Quelques jours plus tard, le chef d’état-major des forces armées russes, Nicholaï Makarov, avertissait que la Russie pourrait être entraînée dans un conflit nucléaire régional pouvant dégénérer en guerre mondiale. De plus, de nombreux responsables militaires américains ont averti des « conséquences non désirées » qu’une attaque contre l’Iran pourrait avoir. Ajoutons que de nombreux spécialistes du Proche-Orient avertissent depuis longtemps qu’une guerre contre l’Iran signifie une Troisième Guerre mondiale. Face à une menace si terrible qu’elle représente un défi à la compréhension humaine normale, l’esprit humain a tendance, pour se « protéger », à rejeter cette réalité. Et il est évident que l’idée d’une Troisième Guerre mondiale, où des armes de destruction massive seraient utilisées, est un exemple de ces cas. Après la guerre contre la Libye et les menaces proférées depuis contre la Syrie et l’Iran, beaucoup ont l’intuition qu’il se trame quelque chose de terrible. Ils ont une impression de « déjà vu », l’impression d’entendre le même genre de propagande qui avait mené à la guerre d’Irak, et ils admettent qu’ils ne veulent plus écouter ou lire les nouvelles car ils voient qu’elles ne servent qu’à préparer les gens aux hostilités à venir. Cependant, il vaut mieux faire face à l’impensable, car c’est seulement si les individus et les gouvernements peuvent imaginer, dans ses détails atroces, les conséquences qui résulteront d’une guerre mondiale impliquant le déploiement d’armes ABC (atomique, biologique, chimique), que citoyens et gouvernements pourront changer le cours de l’histoire et éviter ce danger de guerre, pour ainsi dire « à minuit moins cinq ». Il est vrai qu’il existe des forces pour qui la réduction de la population mondiale de 7 milliards à 1 ou 2 milliards est un résultat souhaitable. Mais que serait la vie pour ceux qui survivraient ? Et même si certains parmi nous comptaient parmi les survivants, y aurait-il quelque raison de s’en réjouir ? Ne maudirions-nous pas ce jour, souhaitant avoir été nous aussi parmi les morts ? L’objectif de cet appel est d’éveiller l’opinion publique et d’exiger que ceux qui occupent des positions d’influence à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher cette guerre. Nous appelons les gouvernements à faire comme le ministre danois des Affaires étrangères, Villy Soesndal, et de déclarer qu’en aucune circonstance, ils ne prendront part à une guerre contre la Syrie ou l’Iran. Il faudra ensuite éliminer toute la dynamique sous-jacente au danger de guerre, c’est-à-dire l’effondrement imminent du système financier transatlantique et de l’Euro en particulier. Addendum: Le sommet de l’Union européenne des 8 et 9 décembre a réussi à produire un résultat encore plus monstrueux que la politique de l’Union européenne n’avait pu faire jusqu’à présent. Il n’a rien fait pour réduire le danger d’effondrement de l’Euro ou la faillite des banques. Un répit pour les endettés, un contrôle supranational des budgets par la Commission européenne, des sanctions plus dures contre ceux qui violent les limites des déficits, « plus d’Europe », perte de souveraineté et de démocratie, politiques d’austérité et un futur sans espoir pour des millions des gens : voilà le résultat désastreux de la stratégie de « Merkozy ». La menace d’un effondrement du système financier transatlantique reste évidente. Helga Zepp-LaRouche Présidente du Mouvement des droits civiques solidarité ( Büso ) http://bueso.de/ Empêchons l’holocauste nucléaire ! Le 16 décembre 2011 -Le monde est présentement à deux doigts de la catastrophe que représente la combinaison de (1) un effondrement économique général qui menace de façon imminente tout le secteur transatlantique et, (2) un conflit thermonucléaire pour lequel les conditions appropriées ont été orchestrées par l’alliance Anglo-américaine contre les principales nations d’Asie, dont la Russie et la Chine. Ce danger existe maintenant et continuera d’exister tant et aussi longtemps que la marionnette de Londres, le président américain Barack Obama, restera président des États-Unis. Cette situation a été pré-arrangée depuis le meurtre de l’ancien chef d’État libyen par l’alliance de la Grande Bretagne, la France et les États-Unis d’Obama. L’offensive a été planifiée autour du déclencheur désigné qu’est la menace d’attaque israélienne contre l’Iran, et l’intention associée de détruire la nation syrienne. A moins que les États-Unis ne se débarrassent d’un président Obama -devenu fou, en utilisant la section 4 du 25ième amendement de la Constitution américaine, ou par une procédure de destitution, il y a très peu de probabilité qu’une troisième guerre mondiale puisse être évitée dans les semaines à venir. La retraite forcée du président Obama écarterait le plus grave danger qui menace présentement la planète. Il ne s’agit pas là de spéculation. C’est un fait. Au même moment, l’ensemble de la région transatlantique se trouve plongée dans une crise hyperinflationiste dont les effets seraient bien pires que celle qui avait dévasté l’Allemagne de Weimar en 1923. Ce danger de guerre thermonucléaire et la plus grave dépression de l’histoire moderne, peut être neutralisé maintenant; cependant il ne sera pas neutralisé à moins qu’il soit arrêté. Aux États-Unis, cela veut dire trois actions: A- forcer la démission de Barack Obama. B- remettre en place immédiatement la loi Glass-Steagall du président Franklin Roosevelt (qui érige un coupe-feu entre les banques d’affaires et les banques de dépôts); et C- créer à nouveau le système de banque nationale mis en place par le secrétaire au Trésor Alexandre Hamilton. La combinaison de ces deux réformes législatives serait suffisante pour assurer une reprise économique générale. Lyndon LaRouche www.larouchepac.com Aux États-Unis, cela veut dire trois actions: A-forcer la démission de Barack Obama B-remettre en place immédiatement la loi Glass-Steagall du président Franklin Roosevelt (qui érige un coupe-feu entre les banques d’affaires et les banques de dépôts) C-créer à nouveau le système de banque nationale mis en place par le secrétaire au Trésor Alexandre Hamilton.