Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale

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Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale
Comité pour la République du Canada
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Appel international-À la vieille de la Troisième Guerre Mondiale
« J’ai peur que cela ne devienne un "fait accompli" (…) que l’on se réveille un matin en apprenant que les
frappes ont eu lieu. » Telles sont les remarques faites par le général à la retraite, Joseph P. Hoar, ancien
commandant en chef de l’US Central Command (CENTCOM), à la revue Executive Intelligence Review (EIR)
concernant le danger de frappes militaires contre l’Iran. Quelques jours plus tard, le chef d’état-major des
forces armées russes, Nicholaï Makarov, avertissait que la Russie pourrait être entraînée dans un conflit
nucléaire régional pouvant dégénérer en guerre mondiale. De plus, de nombreux responsables militaires
américains ont averti des « conséquences non désirées » qu’une attaque contre l’Iran pourrait avoir. Ajoutons
que de nombreux spécialistes du Proche-Orient avertissent depuis longtemps qu’une guerre contre l’Iran
signifie une Troisième Guerre mondiale.
Face à une menace si terrible qu’elle représente un défi à la compréhension humaine normale, l’esprit humain a
tendance, pour se « protéger », à rejeter cette réalité. Et il est évident que l’idée d’une Troisième Guerre
mondiale, où des armes de destruction massive seraient utilisées, est un exemple de ces cas. Après la guerre
contre la Libye et les menaces proférées depuis contre la Syrie et l’Iran, beaucoup ont l’intuition qu’il se trame
quelque chose de terrible. Ils ont une impression de « déjà vu », l’impression d’entendre le même genre de
propagande qui avait mené à la guerre d’Irak, et ils admettent qu’ils ne veulent plus écouter ou lire les
nouvelles car ils voient qu’elles ne servent qu’à préparer les gens aux hostilités à venir. Cependant, il vaut
mieux faire face à l’impensable, car c’est seulement si les individus et les gouvernements peuvent imaginer,
dans ses détails atroces, les conséquences qui résulteront d’une guerre mondiale impliquant le déploiement
d’armes ABC (atomique, biologique, chimique), que citoyens et gouvernements pourront changer le cours de
l’histoire et éviter ce danger de guerre, pour ainsi dire « à minuit moins cinq ». Il est vrai qu’il existe des forces
pour qui la réduction de la population mondiale de 7 milliards à 1 ou 2 milliards est un résultat souhaitable.
Mais que serait la vie pour ceux qui survivraient ? Et même si certains parmi nous comptaient parmi les
survivants, y aurait-il quelque raison de s’en réjouir ? Ne maudirions-nous pas ce jour, souhaitant avoir été
nous aussi parmi les morts ?
L’objectif de cet appel est d’éveiller l’opinion publique et d’exiger que ceux qui occupent des positions
d’influence à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher cette guerre. Nous appelons les
gouvernements à faire comme le ministre danois des Affaires étrangères, Villy Soesndal, et de déclarer qu’en
aucune circonstance, ils ne prendront part à une guerre contre la Syrie ou l’Iran. Il faudra ensuite éliminer
toute la dynamique sous-jacente au danger de guerre, c’est-à-dire l’effondrement imminent du système
financier transatlantique et de l’Euro en particulier.
Addendum:
Le sommet de l’Union européenne des 8 et 9 décembre a réussi à produire un résultat encore plus monstrueux
que la politique de l’Union européenne n’avait pu faire jusqu’à présent. Il n’a rien fait pour réduire le danger
d’effondrement de l’Euro ou la faillite des banques. Un répit pour les endettés, un contrôle supranational des
budgets par la Commission européenne, des sanctions plus dures contre ceux qui violent les limites des déficits,
« plus d’Europe », perte de souveraineté et de démocratie, politiques d’austérité et un futur sans espoir pour
des millions des gens : voilà le résultat désastreux de la stratégie de « Merkozy ». La menace d’un
effondrement du système financier transatlantique reste évidente.
Helga Zepp-LaRouche
Présidente du Mouvement des droits civiques solidarité ( Büso )
http://bueso.de/
Empêchons l’holocauste nucléaire !
Le 16 décembre 2011 -Le monde est présentement à deux doigts de la catastrophe que représente la combinaison de (1)
un effondrement économique général qui menace de façon imminente tout le secteur transatlantique et, (2) un conflit
thermonucléaire pour lequel les conditions appropriées ont été orchestrées par l’alliance Anglo-américaine contre les
principales nations d’Asie, dont la Russie et la Chine. Ce danger existe maintenant et continuera d’exister tant et aussi
longtemps que la marionnette de Londres, le président américain Barack Obama, restera président des États-Unis. Cette
situation a été pré-arrangée depuis le meurtre de l’ancien chef d’État libyen par l’alliance de la Grande Bretagne, la France
et les États-Unis d’Obama.
L’offensive a été planifiée autour du déclencheur désigné qu’est la menace d’attaque israélienne contre l’Iran, et l’intention
associée de détruire la nation syrienne. A moins que les États-Unis ne se débarrassent d’un président Obama -devenu fou,
en utilisant la section 4 du 25ième amendement de la Constitution américaine, ou par une procédure de
destitution, il y a très peu de probabilité qu’une troisième guerre mondiale puisse être évitée dans les semaines à venir. La
retraite forcée du président Obama écarterait le plus grave danger qui menace présentement la planète.
Il ne s’agit pas là de spéculation. C’est un fait.
Au même moment, l’ensemble de la région transatlantique se trouve plongée dans une crise hyperinflationiste dont les
effets seraient bien pires que celle qui avait dévasté l’Allemagne de Weimar en 1923. Ce danger de guerre thermonucléaire
et la plus grave dépression de l’histoire moderne, peut être neutralisé maintenant; cependant il ne sera pas neutralisé à
moins qu’il soit arrêté. Aux États-Unis, cela veut dire trois actions: A- forcer la démission de Barack Obama. B- remettre en
place immédiatement la loi Glass-Steagall du président Franklin Roosevelt (qui érige un coupe-feu entre les banques
d’affaires et les banques de dépôts); et C- créer à nouveau le système de banque nationale mis en place par le secrétaire
au Trésor Alexandre Hamilton. La combinaison de ces deux réformes législatives serait suffisante pour assurer une reprise
économique générale.
Lyndon LaRouche
www.larouchepac.com
Aux États-Unis, cela veut dire trois actions:
A-forcer la démission de Barack Obama
B-remettre en place immédiatement la
loi Glass-Steagall du président Franklin
Roosevelt (qui érige un coupe-feu
entre les banques d’affaires et les
banques de dépôts)
C-créer à nouveau le système de
banque nationale mis en place par le
secrétaire au Trésor Alexandre
Hamilton.

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