Berliet VM Torpedo (1924) 19 950 EUR

Transcription

Berliet VM Torpedo (1924) 19 950 EUR
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Berliet VM Torpedo (1924)
Grand Cabriolet
19 950 EUR
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
Description
CG Français, recarrossé on torpedo (trés belle realisation)
(d'après Wikipedia, l'encyclopédie libre) Berliet est un constructeur automobile français, fondé par Marius
Berliet (1866-1949) en 1901. Il s'agit à l'origine un constructeur spécialisé dans l'automobile, et plus
particulièrement l'automobile de luxe, jusqu'en 1939. C'est essentiellement son activité dans le domaine des
poids lourds qui subsiste à partir de 1946
Marius Berliet (1866 - 1949), fils de tisserand lyonnais, il construit son premier moteur et le monte sur sa
première voiture en 1895, à l'aide de trois compagnons dans un atelier de 90 m2 situé à la Croix-Rousse . Les
voitures monocylindre seront suivies en 1900 par des modèles bicylindres.
En 1902, Berliet reprend l'activité du constructeur lyonnais Audibert et Lavirotte et commence la construction
de modèles à quatre cylindres dotés de radiateurs en nid d'abeille et basés sur des cadres en acier en
remplacement du bois traditionnel.
En 1904-1906, la société American Locomotive Motor Car Company qui fabrique des locomotives, souhaite
développer des automobiles et propose à Berliet d'acheter la licence de construction d'un modèle de course
vainqueur de la Targa Bologna. En souvenir du prix payé, ce qui permet d'installer une première usine à
Monplaisir, le logo de la marque devient une locomotive américaine stylisée. Les royalties vont permettre de
financer le développement de l'entreprise.
Avant la Première Guerre mondiale, la marque offre une gamme de voitures de 8 ch à 60 ch : la plupart sont
équipées de moteurs à quatre cylindres (2 412 cm3 et 4 398 cm3) mais une version six cylindres de 9 500 cm3
est également proposée.
En 1909, il existe huit succursales ou dépôts et quarante-deux agents en France et Algérie.
En 1910, l'usine de Monplaisir fabrique le premier camion Berliet. Le type M est un camion à cabine avancée
avec un moteur à essence à 4 cylindres, une transmission par chaîne et d'un poids total en charge (P.T.C.) de
3,5 tonnes (charge utile de 2 tonnes) (ce qui semble être l'unique exemplaire restant de ce camion a été classé
Monument historique en 1988).
De 1910 à 1912, une automobile 12 ch de 1 539 cm3 est produite. À partir de 1912, les versions six cylindres
ne sont plus proposées que sur commandes spéciales. C'est également en 1912 qu'une voiture Berliet gagne
la seconde édition du rallye de Monte-Carlo ce qui accroit la renommée de la marque lyonnaise5. Cette même
année, il envoie quelques ingénieurs visiter les usines Ford aux États-Unis5 et à leur retour va appliquer pour
sa production l'organisation scientifique du travail5 et un des premiers en France à l'appliquer. Nombre limité
de modèle, pièces interchangeables, conformité de l'usinage de ces dernières, division du travail.
En 1913, la production monte à 3 500 véhicules et en 1914, les deux tiers des camions produits en France le
sont par Berliet5 dont le chiffre d'affaire est alors de 29 millions de francs-or. Depuis sa création, sa croissance
est en moyenne de 26% par an5 et sa marge est proche de 24% sur les six dernières années5. En 1914, la
moitié de la production est alors exportée.
La Première Guerre mondiale va faire prendre à l'entreprise une nouvelle dimension5 avec un accroissement
massif de la demande. Berliet, comme Renault ou Latil, produit des camions pour l'Armée française. Ces
commandes militaires vont entrainer chez Berliet un travail à la chaine très poussé et surtout l'acquisition de
nouvelles machines que cette production de masse permet de rentabiliser.
En 1915, un terrain de 400 hectares d'un seul tenant est acheté à Vénissieux et Saint-Priest pour ériger l'usine
principale2.
Le CBA est le camion emblématique de la Voie Sacrée qui assure les liaisons jusqu'au front lors de la bataille
de Verdun2.
Lancé en 1914, le CBA de 4/5 tonnes de P.T.C. à cabine normale et à transmission par chaîne, qui est
commandé à 25 000 exemplaires par l'armée française6, est produit jusqu'en 1932. En 1916, 40 camions
Exposé pour ID du véhicule: 2995
www.classic-trader.com/ad/2995
En 1917, la Société anonyme des Automobiles Marius Berliet est constituée2 et le chiffre d'affaire de
l'entreprise a été multiplié par 4 depuis le début du conflit5.
Après-guerre, les infrastructures sont trop importantes5 même si Berliet a réorienté une partie de sa
production vers l'automobile. Mais la production diminue de moitié.
Des automobiles de 12 CV (2 613 cm3), de 15 CV (3 308 cm3) et de 22 CV (4 398 cm3) sont produites. Le
modèle VB était une copie conforme de la Dodge et devait sortir au rythme de 100 véhicules/jour. En
conséquence, Berliet connaît des difficultés financières et les pertes atteignent 55 millions de francs5
menaçant l'entreprise de disparaitre5. Elle est placée temporairement sous administration judiciaire en 1921.
Marius Berliet qui possède alors 88% des actions ne peut régler les dettes et la société passe sous le contrôle
des banques5. Marius Berliet ne reprendra le plein contrôle de son entreprise qu'en 1929 après l'épuration
des dettes, aidé en cela par la forte croissance entre 1922 et 1929, croissance qui retrouve son niveau d'avantguerre, autour de 25% par an.
En 1923, apparaît le camion LH. Au Salon de Paris, une nouvelle voiture 7 CV (1 159 cm3) est présentée. En
1924, les utilitaires VFA et VHA s'ajoutent. En 1926, de nouveaux moteurs six-cylindres sont montés sur les
automobiles tandis que les camions à transmission classique de la série GD débutent. Comme les autres
constructeurs à l'époque, Berliet se lance dans les premières missions sahariennes automobiles.
À partir de 1925, la marque fabrique ses propres carrosseries.
En 1930, le moteur diesel est expérimenté sur le CBA puis monté en série sur le GD2 en 1931.
Fournisseur
Oldtimerfarm SPRL / BVBa Contact:
Steenweg op Deinze 51C
9880 Aalter
Belgique
E-mail:
Xavier Molenaar
[email protected]

Documents pareils