16 1. Les étages sont accessibles grâce à un escalier à spirale fait d

1.
Les étages sont accessibles
grâce à un escalier à spirale
fait d'acier et de bois. Sa structure
est réalisée en acier galvanisé
traité à chaud et équipée de
marches en bois exotique.
L'essence sélectionnée ici est
l'ipé, une variété sud-américaine
qui compte parmi les plus
résistantes. Ces marches
bénéficient ici d'une finition
huilée.
Architecte: François Gassan
2.
Ce qui caractérise cet
escalier à spirale, c'est
essentiellement sa position
centrale dans le séjour. L'escalier
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s'affirme ainsi comme un élément
à part entière de l'architecture
intérieure et du décor. Sa structure
portante en métal peint est
équipée de marches rayonnantes
en bois et d'une rampe métallique
à profils tubulaires très élancée.
3.
L'escalier à spirale qui
s'élève dans un coin de ce
salon haut en couleur est une
pièce unique conçue par le
propriétaire lui-même et réalisée
de manière artisanale en pierre
bleue. Cette pierre a subi une
finition sablée pour la confection
des marches tandis que les
éléments intermédiaires de la
colonne sont en finition
bouchardée. L'assemblage des
marches en console est réalisé par
superposition des collets et
fixation sur une tringle métallique
intégrée dans le poteau central.
En outre, un élément en plomb
sépare les marches et les
éléments intermédiaires afin
d'éviter tout contact direct entre
les deux et donc tout risque de
bris dû à la pression. Chaque
marche est également renforcée
par une tringle métallique intégrée
dans la pierre et son extrémité est
soutenue par deux balustres en
fer forgé. Conception et
réalisation: Andy Allaer
STYLES
En colimaçon
L'escalier à spirale ne représente pas une innovation. Les
interminables escaliers en pierre des cathédrales ou des
châteaux-forts du moyen âge témoignent de l'ancienneté de
cette technique. Aujourd'hui, l'intérêt en terme de "gain de
place" et l'esthétique particulière de ce type d'escalier
poussent les créateurs à le revisiter et à le moderniser.
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1.
L'escalier à spirale trouve
dans cette application toute
sa justification. Il s'agit en effet
d'un escalier à usage secondaire,
installé en outre dans une
extension vitrée à deux niveaux où
l'espace est relativement compté.
Cet escalier à spirale permet de
rejoindre le bureau installé à
l'étage supérieur. De conception
extrêmement simple, cet escalier
est fabriqué en fer forgé à effet
patine rouillé léger. Cet effet est
obtenu en laissant le fer s'oxyder
un certain temps avant de le
traiter pour stopper le processus
d'oxydation.
2.
Cet escalier à spirale occupe
dans cet intérieur une place
prépondérante, non seulement en
raison de son implantation
centrale au cœur du séjour, mais
également par le fait que sa
colonne sert de support à la
charpente de l'habitation. Les
marches, qui forment également
par assemblage le poteau central,
sont réalisées en béton peint
tandis que la rampe est en métal
également peint. L'originalité de
cette réalisation provient aussi du
fait que l'escalier ne débouche
pas directement sur la mezzanine
mais il la rejoint grâce à une
passerelle en bois de sapin
(finition huilée). Celle-ci repose
sur une poutre centrale et des
solives intermédiaires en bois. Ses
balustrades prolongent celle de
l'escalier jusqu'à la mezzanine.
Architecte: Dominique Lasnes Specific Home
3 à5. Remarquablement intégré à
cet intérieur grâce à son
prolongement naturel à travers la
balustrade de la mezzanine, cet
escalier à spirale est entièrement
réalisé en acier. Les marches qui
s'enroulent autour du fût central
sont fabriquées en tôle d'acier plié
tandis que la main courante et les
barreaux de la balustrade sont
façonnés à partir de tubes d'acier.
La finition patinée "rouille" qui
caractérise toute cette structure
est obtenue par un procédé
particulier. Les éléments en acier
sont volontairement oxydés
durant quelques semaines. Ils
sont ensuite cirés de manière à
fixer la rouille et stopper le
processus d'oxydation. L'effet
obtenu est très “tendance”.
Réalisation: Ferronnerie Poncelet
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1&2. Dans le cadre de cet intérieur
contemporain, l'escalier se
développe en deux phases de
formes différentes tout en gardant
une parfaite unité de style. C'est
un escalier à spirale qui relie le
rez-de-chaussée et le premier
étage. Sa structure en tôle d'inox
est revêtue de marches réalisées
dans le même bois exotique
massif que celui du parquet (le
tatajuba). Cet escalier rejoint le
premier étage par un palier en
inox à partir duquel s'élance la
silhouette sinueuse du second
escalier menant vers le hall de
nuit. La forme même de cet
escalier, également en inox et bois
exotique, empêche une vue
directe sur ce hall, ce qui a pour
effet de renforcer le sentiment
d'intimité de cet espace de nuit.
La structure autoportante de ce
second escalier est renforcée par
un support inférieur sous la forme
de trois fins profilés en inox.
Toutes les balustrades et gardecorps sont conçus également en
inox et adoptent par leur profil la
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même fluidité que celle qui
caractérise les escaliers.
Architecte: Johan De Groote
3.
Montées en spirale autour
d'un fût central (diam. 152 mm)
et peintes comme lui en gris brillant,
les consoles autoportantes de cet
escalier sont fabriquées en acier
et forment une structure qui
s'inscrit dans un diamètre total de
190 centimètres. Ces consoles
supportent des marches en bois
aux angles arrondis. L'essence de
bois utilisée est relativement peu
courante; il s'agit de l'hévéa, une
variété tropicale d'Amazonie et
réputée pour sa grande dureté. Le
garde-corps qui s'enroule autour
de cette structure est constitué
d'une main courante en acier
inoxydable (32 mm) et de trois fins
profilés en acier (12 mm) peints
dans la même teinte que la
structure. Réalisation: Spira
4 à 7. Cet impressionnant escalier
à spirale est conçu de
manière à desservir trois niveaux
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différents auxquels il est relié par
autant de paliers en bois. La
difficulté à surmonter lors de la
conception d'un tel appareillage
était de conserver tout au long de
la montée et donc à tous les
niveaux une même hauteur de
marche. L'ensemble de la
structure autoportante repose sur
un poteau central et un limon
hélicoïdal en acier brut tandis que
les structures des différents
paliers s'ancrent dans le mur.
L'ensemble des éléments en acier
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(structure et balustrades) est
traité au moyen d'une finition à
base de cire destinée à protéger
l'acier brut. Ce type de finition a
été préféré au vernis transparent
car il permet de conserver intact
l'effet mat qui se dégage de
l'acier. Les marches en bois de
chêne français qui habillent la
structure ont une épaisseur
d'environ 43 mm. Elle sont
simplement traitées au moyen
d'un vernis incolore.
Réalisation: ROMACO