Oak n°11_du 30/01/97

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Oak n°11_du 30/01/97
Oak n°11_du 30/01/97_
C’ EST UNE NOUVELLE FORMULE !!! LA FIN DE L’AIR
“OAK SE CHERCHE.”. ÇA Y EST ! NOUS SOMMES FIXÉS !
VOICI LE STYLE DE OAK !
LA DIRECTION DE CE JOURNAL DE... ... J’SAIS PAS !
Je m’attaque enfin à ce sujet vieux de 1 milliard
d’années, sujet que tout bon éditorialiste traite dès le début de
sa carrière. Ce sujet, c’est le SEXE ! Le sexe est partout ! Mais
pourquoi le sexe a-t-il une place aussi prépondérante dans
notre société ?
Tout d’abord, je me suis documenté sur la question. Je
me suis d’abord rendu, à mon vidéoclub. Je me suis servi dans
les grands titres comme :“Une bite en plus”, Chatte sur poils”,
ou le fameux “Bite, choune, couilles, etc.”. Sur ce, j’ai couru
au bureau de tabac habituel, je me suis abonné à Play-boy,
Panthère, et autres...
Après avoir passé plus de 15 heures à étudier, je suis
exténué de toute cette science. Je me suis vidé. Façon de
parler ! Et tout ce que j’ai appris, ne sont que des choses
pratiques, sur l’art du coït par tous les trous inimaginables !
Mais, je n’ai rien appris sur le pourquoi le sexe, pourquoi le
Scrabble...
Alors, je me suis décidé à rencontrer des gens du
métier ! C’est là que je me suis aperçu de l’étendue du
désastre ! Tout le monde pratique cette immonde chose qu’est
le sexe. Mais comment se fesse ?... Oups ! Pardon ! Au hasard
de la rue, j’interroge un vieux monsieur de 60 ans, et lui
demande comment a-t-il vécu la cruauté de ses scènes de
pénétrations. Il m’a répondu : « Oh ! Putain, c’était bon ! ». Je
m’inquiète ! La population est malade. Elle est obsédée. Après
ça, j’ interroge une jeune femme de 17 ans et lui demande
comment a-t-elle vécu sa malheureuse première expérience
sexuelle ! Elle s’arrête, se met à crier des “Ah !” et me raconte
toute la scène en détail.. Il était poilu comme Demis Roussos
ou Charly ; il était petit comme Gérard Holtz, ou Charly ; il
puait comme M. Duprat, ou Charly. En fait ; je croyais qu’elle
s’était faite violée, mais non ! Bon, elle avait un peu bu. Mais
quand j’ai vu la photo de son homme à poils, je n’ai pas pu me
retenir de faire un énorme pâté. C’était Charly tout nu (dans la
neige (*)). Quand j’y repense ! Beurk ! Elle a couché avec...
enfin, n’en parlons plus !
Le dessus, j’étais dégoûté du sexe à vie ! Et c’est en
cherchant des W.C., pour finir mon pâté, que je rencontrai
Cindy, à ce moment, je compris ! J’ai compris pourquoi le
sexe ! Par amour...
Je ne peux pas finir cet édito sur une note aussi
romantique et poétique, alors souvenez-vous, Charly à poils !
Beurk !...
Oak n°11_du 30/01/97_
Chers lecteurs, chères lectrices,
et autres Chers lecteurs, chères
lectrices, et autres. Il est 21h27 et je
viens de retrouver un vieux Oak où il
est écrit :
« Vous êtes mes esclaves, alors
au boulot et vite !!! Je veux des
articles... ». Donc, je réponds à la
volonté de mon «Führer» : j’écris..
Mais, il a beau être mon Führer,
c’est pas ça qui va faire pénétrer le
génie en moi, sauf si le génie est la
bite de Nicolas, sinon, à l’heure qu’il
est (21h31), je serai Einstein
puissance 10 (c’est dire !). D’abord,
il exige de nous d’écrire pour son
journal (passe encore), mais en plus,
il nous interdit de se foutre de ses
Santiags et de parler des partouzes
organisés avec ses chiens et les Lahet
(*). Mais alors, que me reste-t-il
comme sujet ? Je lui demande, et il
me répond : « J’ai envie de faire un
numéro où tout le monde écrit des
saloperies sur B.L. ». Moi je dis
d’accord, mais que dire sur un être
qui allie force physique et
intellectuelle, qui pratique le sport le
plus noble et le plus intelligent que je
connaisse (après le foot, bien sûr) : le
rugby (*²). Non, je vois pas ce qu’on
pourrait lui reprocher, tant pis pour le
numéro spécial Baptiste Lahet.
Bon, maintenant, il est 21h39 et
je me fais chier : la télé ne marche
pas, j’ai le flegme de sortir, alors je
crois que je vais souffler ma bougie
(*3) et me coucher. Je n’ai plus qu’à
vous souhaiter bonne nuit et de faire
de très beaux rêves, pleins de bites,
de couilles et de chounes ce qui ne
m’étonnerait pas de la part de
membres de la secte Oak que vous
êtes.
BON ALLEZ : BONNE NUIT
(*) Note du Rédacteur en Chef : Je
profite de cette occasion pour
signaler que dès aujourd’hui, tous les
articles sur mes chiens seront
intégralement censurés. Juste ceux
sur mes chiens...
(*²) Note du Rédacteur en Chef : M.
Lahet a du allonger 4500 F pour que
Cyrille soit aussi gentil avec lui...
C’est dégueulasse...
(* 3) Note de l’Auteur : Au fait, j’ai
plus d’électricité, alors si vous
connaissez un mec de l’EDF,
envoyez-le moi parce que j’en ai
marre de faire du camping indoor.
Oak n°11_du 30/01/97_
LA VÉRITÉ SUR OAK...
Depuis peu, Oak se laisse accuser de
secte, de multinationale, d’avoir des slogans
comme :“bite, couille, anus” à répéter 100
fois par jour. En ce qui concerne l’équipe, il
faut s’intégrer. Pas difficile, selon un
certain contact téléphonique que j’ai réussi
à obtenir. Une voix essoufflée m’a dit :
« Si tu veux continuer dans notre
communauté, il te faudra passer le test du
finard boursouflé au gravier .». Je
l’interrogeais alors sur son identité qu’il me
révéla trop vite à mon goût :Mendia
Charcutier. Outre le fait que je n’ai jamais
vu de charcutier donner la pâte pour
demander quelque sous, je me doutais qu’il
s’agissait d’un pseudonyme.
L’affaire semblait grave. Entrer dans
une communauté ? Le finard boursouflé au
gravier ? Ces mots martelaient mon esprit...
Un indice, il me fallait un indice pour mn
investigation. L’illumination me vint. Mon
subtil esprit découvrit l’astuce de Oak. Bien
sûr, on peut s’inquiéter de son extension
formidable, de ses habitudes ve rbales qui le
font ressembler à une secte, mais d’autres
ont déjà abordé le sujet. Ici, j’ai découvert
que les dirigeants de Oak employaient la
méthode subliminale, n’aviez-vous pas déjà
lu les mots “bite, couille, finard, choune,
gravier, Castandet, aimer, Juppé, anus...”
placés dans un contexte spécial, ils ont pour
les
communs des mortels une certaine
signification. Pourtant, ils entrent dans le
cadre d’une gigantesque entreprise de
déstabilisation nationale, que dis-je
intergalactique de la jeunesse terrienne. Si
nous n’y prenons pas garde, ce complot,
monté par les calamars géants de
l’antarctique ne pourra plus être enrayé.
Moi-même, mors de mon tour du monde en
baignoire avec escale et équipage, au large
de la terre de feu, je vis mes équipiers
happés. Ils s’écrièrent :“bite, anus, Juppé,
bière...”, un dernier hurla “Castandet,
handbaaaaaaaaall...”. Seul, je regagnais
l’Australie.
Je ne compris que cette année quand
les événements se sont enchaînés. Plusieurs
bateaux en perdition dans les eaux
antarctiques, une litanie que je connaissais...
Un frisson, un parcourt encore, frères,
Oak est désormais aux mains des calamars
géants ! J’aime pas les calamars, ni les
endives cuites ! Laissez- moi m’exprimer !
Je sais tout, je me rappelle,... ma
baignoire... Juppé... haaaaaa... Laissez- moi :
bite, ouiiii ! bite, Juppé, gravier, bière, SODO-MIE. Il m’ont eu, ma vie c’est Oak !
Mon vénéré rédacteur sera mon maître.
Ahômmmm...
Oak n°11_du 30/01/97_
Amis lecteurs, bonsoir ! Nous sommes réunis
en ce soir de janvier dans le même cosmos.
L’alchimie prête serment à la religion pour
sauvegarder la moralité qui n’est présente que dans
un monde d’injustice, sans quoi cette morale
n’existerait pas.
Nous sommes donc réunis pour débattre
ensemble du tabou. Dans Oak beaucoup de gens sont
concernés. Je ne vais pas les citer, ni dire que ce sont
des mecs qui habitent dans les Landes, qui ont un
sexe inférieur à 12 centimètres, habitant
principalement à St Pierre du Mt et qui profite
allègrement du tabou.
Mais quel tabou ? Et bien, oui, le tabou, celui
qui mesure environ 40 centimètres de hauteur, d’une
couleur mélangeant jaune et bleu, constitués, telle
une pâquerette, d’une tige, avec des feuilles et une
fleur pouvant s’utiliser en pâtisserie, ou bien pour
rajouter du goût à ce que tenait Lucky Luke dans ses
fameux albums... En effet, nous faisons appel à des
êtres St-Pierrois supérieurs, pour comprendre ce
tabou. Pour mieux comprendre, nous allons jouer à
tabou, ensemble mais sans vous !
(Le jeu étant réalisé par le frère de Batou, ce
cher Guitou, ils nous quittent pour quelques
minutes...)
QUELQUES MINUTES PLUS TARD...
Bon, maintenant que nous avons joué à tabou
nous comprendrons sûrement mieux les mieux les
actions de ces quelques personnes citées plus tôt.
Un d’eux attire tout particulièrement notre
attention : un certain DB...
Un jeune homme d’apparence très malade, les
yeux exorbités, les joues creuses, le regard dans le
vide, la démarche du boxeur, ayant pour chaussure
des Fila® noire, taille 42 (pour des pieds qui en font
45, cela étant surprenant du fait de ses misérables
1m 75)...
Et pourtant, cet être est connu de vous tous,
mais nous ne dévoilerons pas son identité, tout ce
que nous pouvons vous dire c’est qu’il fait de
nombreux métiers dont celui de meuble chez la
famille Simpsons de St Pierre du Mt, les G., puis il
fit un long et dur stage dans le terrible monde de
l’apprentissage du tabou, pour finalement finir à y
jouer dans un square. Ne vous en déplaise cet être est
tout particulièrement apprécié pour cette
caractéristique, malgré ses quelques défauts : un rire
de bipède castré, sa tendance masturbatrice du
monde de Mario Bros et le fait de son engouement
pour les 25 centimètres d’un acteur de X bien connu
de tous.
Mais sa participation à la connerie
commune, en fait un pilier de celle-ci, et il est
d’ailleurs un des plus prometteur dans le journal où
il déverse toute sa connerie, telles les chutes du
Niagara...
En parlant de ce journal, l’absence de son
rédacteur en chef, notre dieu, affaiblie la définition
de cet être, et nous le déplorons tous...
Pour conclure, cet être a une certaine
définition de la vie qu’il nous communique et nous
influe dans notre progressions de la connerie, car
c’est une renommée en la matière *.
*Charabias...
*Note des rédacteurs : Comme vous l’avez
remarqué nous avons dévié du débat initial,
pour faire la description d’un être à part.
Veuillez nous en excuser ! Merci d’avance...

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