Table des matières - Performances Group

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Table des matières - Performances Group
Semaine 17 – du 25 avril au 01 mai 2011
N° 171
Table des matières
air-journal.fr – Mauritanie Airlines prend son envol
3
africanmanager.com – Début des activités de la compagnie Mauritanie Airlines
3
Panapress.com – Le Zimbabwe adopte une nouvelle taxe aéroportuaire
4
Panapress.com – Pronchain lancement de la compagnie aérienne Korongo Airlines
4
Panapress.com – Un expert déplore l'état du secteur de l'Aviation en Afrique
5
african-aviation.com – Kenya Airways Resumes Flights to Abidjan
5
african-aviation.com – Nigerian Federal Government Intensifies Work on Rehabilitation
of Aeronautical Infrastructure
6
african-aviation.com – AFRAA responds to EU ban of Mozambican airlines from
European airspace
7
fr.allafrica.com – Reprise des vols vers Abidjan
8
afriqueavenir.org – La France va aider à renforcer les mesures de sûreté de l’aviation
civile en RDC
8
air-journal.fr – Brussels Airlines repart aujourd’hui vers Abidjan
9
africanmanager.com – Tunisie: Les compagnies aériennes à l’épreuve de l’économie
de carburant
9
africanmanager.com – Le Cameroun dessine le chemin de fer du futur
fr.allafrica.com – Cameroun: Transport par voie ferrée - Vers l'arrivée de nouveaux
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acteurs
10
fr.allafrica.com – Guinée: Rio-Tinto: Nouveau port minier doit être construit au pays
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wk-transport-logistique.fr – Port d'Abidjan : le trafic maritime reprend
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Chad inks airport accord with Chinese firm
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Air France adds new West Africa routes
12
Brussels Airlines resumes flights to Abidjan
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Senegal Airlines to fly Dakar-Abidjan route
13
Kenya Airways Plans to Double Fleet Size to 60 Within Four Years, CEO Says
13
Mauritanie: lancement de Mauritania Airlines, nouvelle compagnie nationale
14
Major development for Central Africa
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air-journal.fr – Mauritanie Airlines prend son envol
Le chef de l’Etat mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, a inauguré mercredi dernier la nouvelle
compagnie aérienne mauritanienne, baptisée officiellement Mauritanie Airlines, par un vol symbolique au-dessus de la capitale Nouakchott. Elle doit débuter ses activités commerciales début
mai.
Née des cendres de la défunte Air Mauritanie, propriété de l’Etat et de privés mauritaniens et
mise en faillite début 2008, la nouvelle compagnie nationale a été créée en 2009 dans le cadre
d’une stratégie nationale de développement du transport aérien et d’extension des échanges
en Afrique et en Europe, notamment la France et l’Espagne. Elle doit, selon les dernières prévisions, débuter ses vols début mai à destination de l’Afrique, mais aussi de Paris (aéroport de
Charles de Gaulle) et de Las Palmas (Canaries).
Elle opèrera ses vols en Boeing B737 : un B737-700 d’une capacité de 118 passagers, de 5 ans
d’âge et acquis auprès de l’ancienne compagnie sénégalaise Air Sénégal International (ASI),
ainsi que deux B737-500, âgés de 14 ans et d’une capacité de 108 sièges. Elle compte par ailleurs
renforcer sa flotte par l’acquisition d’un nouvel appareil pour les lignes intérieures et qui devrait
permettre de désenclaver ce pays de plus d’un million de km2.
Pour éviter à Mauritanie Airlines le sort des précédentes compagnies nationales tombées en faillite au cours des 20 dernières années, le gouvernement, principal actionnaire, promet une rupture
avec les méthodes du passé en matière de sécurité, de sûreté et de gestion financière.
africanmanager.com – Début des activités de la compagnie Mauritanie Airlines
Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, a donné le coup d’envoi officiel des activités de la nouvelle compagnie aérienne nationale "Mauritanie Airlines" mercredi en fin d’aprèsmidi, en présence de plusieurs hauts responsables nationaux, des représentants du corps diplomatique et des organisations internationales.
Ce début des activités commerciales de la nouvelle compagnie mauritanienne a été marqué
par un vol inaugural "symbolique" à bord duquel le chef de l’Etat était accompagné par 27
élèves issus des 9 communes de Nouakchott.
La création de la nouvelle compagnie, "la plus grande réalisation entièrement financée par l’Etat
depuis l’indépendance et dont le processus a été entamé en 2009, entre dans le cadre d’une
stratégie nationale de développement du transport aérien et d’extension des échanges avec la
sous-région, le continent africain et l’Europe, tout particulièrement la France et l’archipel espagnol des Iles Canaries", selon le ministre des Transports, Yahya Ould Hademine.
La compagnie mauritanienne à capitaux publics débute ses activités avec 3 appareils, des
Boeing 737, dont un d’une capacité de 118 places et 2 capables de transporter 108 passagers.
Un autre appareil pour les vols domestiques est attendu très prochainement dans un pays dont la
superficie dépasse le million de kilomètres carrés.
Après les vols au niveau de la sous-région, la compagnie mauritanienne établira des lignes vers la
France et les Iles Canaries au mois de juillet prochain.
Par ailleurs, le transport du fret, notamment celui du poisson vers l’Europe constituera une importante dimension des activités de la compagnie.
Pour éviter à la nouvelle compagnie "Mauritanie Airlines" le sort des précédentes compagnies nationales tombées en faillite au cours des 20 dernières années, le gouvernement, principal actionnaire, promet une rupture avec les méthodes du passé en matière de sécurité, de sûreté et de
gestion financière
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Panapress.com – Le Zimbabwe adopte une nouvelle
taxe aéroportuaire
Le Zimbabwe a introduit une nouvelle taxe aéroportuaire pour collecter 400 millions de dollars
américains en vue de réorganiser les aéroports du pays.
L’autorité de l’Aviation civile du Zimbabwe, qui est l’agence publique chargée de la gestion des
transports dans le pays, a indiqué que les passagers voyageant à l’intérieur du pays vont payer
une nouvelle taxe de 10 dollars et ceux qui voyagent à l’étranger vont payer 30 dollars.
Cette taxe appelée Fonds de développement des infrastructures va entrer en vigueur à partir de
dimanche 1er mai.
David Chawota, administrateur général de l’agence, a indiqué que le Zimbabwe était simplement en train de copier ce que les autres pays avaient fait et qu’il avait besoin de ce fonds pour
moderniser les aéroports du pays.
Une crise économique longue d’une décennie a mis la plupart des infrastructures du pays, y
compris les aéroports, dans un mauvais état.
M. Chawota a révélé que six aéroports allaient être modernisés dans le cadre de ce programme
devenu urgent au moment où l’industrie du tourisme du Zimbabwe se remet de plus en plus de la
crise.
Plus de deux millions de touristes étrangers ont visité le Zimbabwe l’année dernière, ce qui a rapporté au pays près de 800 millions de dollars américains.
Panapress.com – Pronchain lancement de la compagnie aérienne Korongo Airlines
La nouvelle compagnie aérienne congolaise, Korongo Airlines, basée à Lubumbashi, dans le Sud
de la République démocratique du Congo (RDC) va procéder prochainement à la vente des billets d'avion pour desservir le marché domestique congolais et de la sous-région africaine, a-t-on
appris de source officielle.
Selon un communiqué transmis à la presse jeudi à Bruxelles, la nouvelle entité aérienne est le fruit
d'un partenariat entre le Groupe Forrest International et la compagnie aérienne belge, Brussels
Airlines, dont les principaux actionnaires sont Lufthansa, le Groupe Virgin, des banques ainsi que le
Groupe Suez-Tractebel.
Korongo sera lancée avec un investissement initial de 11,5 millions de dollars américains sans
compter les trois millions de dollars investis dans la construction d'un hangar ultra moderne destiné
à assurer la maintenance des appareils.
Installé en RDC, George Forrest est le plus riche industriel belge exploitant notamment les mines
de cuivre du Katanga.
Korongo, qui compte, à terme, recruter 500 employés, a déjà engagé 100 membres du personnel qui ont suivi des formations poussées en Afrique et en Europe, indique le communiqué. Selon
leurs domaines de compétence, ces agents ont suivi une formation en maintenance, assistance
au sol, opérations commerciales, finances et aussi du personnel de cabine.
Le communiqué souligne que Korongo Airlines sera un vecteur de référence, concourant à la sécurisation de l'espace aérien congolais et contribuant à un retrait progressif des limitations opérationnelles édictées par l'Union européenne touchant l'ensemble du secteur aérien congolais.
Actuellement, toutes les compagnies aériennes congolaises sont interdites de vol en Europe,
rappelle-t-on.
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Panapress.com – Un expert déplore l'état du secteur de
l'Aviation en Afrique
L'état déplorable de l'industrie de l'Aviation en Afrique est dû à la fragmentation du continent en
plus de 50 pays par le pouvoir colonial, s'ajoutant à une coopération politique et économique insuffisante entre les nations, d'après Nick Fadugba, l'ancien Secrétaire général-adjoint de l'Association des compagnies aériennes africaines (AFRAA).
"Cet échec est régulièrement causé par les crises politiques et des guerres inutiles. Regardez la
Côte d'Ivoire, par exemple. Ce pays était un hub pour les banques ouest-africaines et la Banque
africaine de développement (BAD) qui y avaient installé leur siège.
Mais la BAD a dû transférer son siège à Tunis il y a quelques années à cause de la crise politique
en Côte d'Ivoire qui a presque dégénéré en guerre civile. Par conséquent, Air Ivoire, la compagnie aérienne nationale, a immobilisé sa flotte et cessé de voler", a déclaré M. Fadugba dans le
colonnes du quotidien privé "Guardian".
Il a regretté que l'Afrique soit à la traîne par rapport aux autres continents en termes de développement économique et de bien-être social, mais a rapidement noté que ces dernières années,
le Produit intérieur brut (PIB) du continent progressait.
Cet expert en Aviation estime que les crises politiques permanentes et les conflits civils à travers
l'Afrique se traduisent par la stagnation continue du marché du transport aérien.
Pour M. Fadugba, pire encore, l'Afrique du Nord a sombré dans la crise politique et de Casablanca au Caire, l'ensemble de la région est devenue instable sur le plan politique avec à la clé
des gouvernements renversés en Egypte et en Tunisie.
"Toutefois, sous l'angle de l'Aviation, les compagnies aériennes d'Afrique du Nord dans leur ensemble avaient de meilleurs résultats que leurs homologues subsahariennes. Les compagnies
d'Afrique du Nord sont responsables d'un important pourcentage des commandes de nouveaux
appareils et bon nombre d'installations de maintenance, réparation (MRO) étaient basées dans
cette partie de l'Afrique. Mais suite à l'irruption de la crise politique en Afrique du Nord, de nombreuses compagnies ont dû immobiliser leurs appareils et réduire leurs activités. La différence majeure entre le Nigeria et la plupart des autres pays africains est que le trafic aérien nigérian est
presque rigide; la forte demande persistera en dépit des crises", a-t-il observé.
En revanche, note ce dernier, les pays africains du Nord dépendaient du tourisme étranger pour
l'essentiel de leur trafic aérien, réaffirmant que dans "un tel environnement, une fois qu'il y a une
crise politique, les touristes étrangers fuient, les appareils sont vides, les recettes en baisse, les employés du secteur mis au chômage technique et les avions immobilisés, une catastrophe en
somme".
Cependant, pour faire avancer le secteur de l'Aviation, M. Fadugba préconise que le continent
doit porter ses efforts et sa vision à un niveau plus élevé, être moins prosaïque.
Selon lui, pour que le continent réalise ses objectifs de développement, "il faut moins de conflits
politiques et sociaux et que les Africains coopèrent davantage".
african-aviation.com – Kenya Airways Resumes Flights
to Abidjan
Kenya Airways resumed scheduled flights to Abidjan, Cote d’Ivoire, after a month’s absence due
to the political skirmishes that had rocked the country.
The Kenyan National Airline resumes the route with three flights a week linked with Dakar starting
2nd May 2011 operating on Monday, Thursday and Saturday.
Kenya Airways flights to Abidjan/Dakar were re routed Accra, Ghana on 1st April due to security
reasons. But as a result of the improved political and security situation in Cote d’ivoire, Abidjan
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flights have been reinstated. Kenya Airways flies daily to Dakar, 3 times a week via Abidjan and 4
times a week via Bamako Mali.
african-aviation.com – Nigerian Federal Government Intensifies Work on Rehabilitation of Aeronautical Infrastructure
The Minister of Aviation, Mrs. Fidelia Njeze, said that the Federal Government has intensified efforts
on the rehabilitation and replacement of obsolete infrastructure in the nation's aviation sector towards achieving full implementation of the International Civil Aviation Organisation's Standards
and Recommended Practices in various areas of air transportation.
Mrs. Njeze, who spoke on the state of the air transport industry in Nigeria at an aviation conference, tagged "Vision 20:20 – Safe skies for Africa," organised by the International Air Transport Association in Lagos, noted that the government had already concluded some of the projects while
some others were ongoing.
The minister, who was represented by the Managing Director of the Federal Airports Authority of
Nigeria, Mr. Richard Aisuebeogun, disclosed that FAAN is currently replacing some of the old control towers, which could not accommodate the new safe tower equipment provided by the Nigerian Airspace Management Agency, and other temporary towers that have outlived their usefulness and long overdue for replacement.
Mrs. Njeze revealed that the airports that are to benefit from the first phase of the programme include the Mallam Aminu Kano International Airport, which is about 80 per cent completed, the
Kaduna, Maiduguri, Ilorin, Ibadan, Akure and Benin airports. The contracts for the replacements of
the control towers at the airports, she said, had been awarded.
The minister further said that FAAN has embarked on apron expansion programme at the Lagos,
Abuja and Port Harcourt international airports to check the challenge of inadequacy of aircraft
parking space at the airports.
She also pointed out that Nigeria has not relented in ensuring safety and security in the industry,
adding that the Nigerian Civil Aviation Authority had in 2010 attained FAA IASA Category 1 Certification, which gave Nigerian carriers and crew equal leverage to operate direct flights to continental United States and hitherto highly restricted routes. This, she said, was a testimony to the
compliance of the nation's aviation industry to ICAO safety and security procedure.
She stated that her ministry, through the NCAA, has commenced re-certification of the entire industry in accordance with the new internationally harmonized safety regulations. In addition, the
NCAA has concluded arrangements for the commencement of the International Civil Aviation
Assessment Programme (ICASA), the Nigerian equivalent of the FAA IASA, to enable the NCAA
assess foreign CAAs and Airline operators of countries intending to operate into Nigeria.
She highlighted some of the initiatives that had been taken in fostering safety and security at the
nation's aviation industry, including the procurement/distribution of fire tenders to various airports
across the country; procurement/installation of 10 3D Secure 1000 Rapiscan (Full Body Scanners)
and procurement/installation of 22 Walk-through metal detectors and 14 baggage screening
machines.
Others were the construction of operational/perimeter fences at various airports, including Port
Harcourt International Airport, Nnamdi Azikiwe International Airport Abuja, Sam Mbakwe Airport
Owerri, Yola Airport, Akanu Ibiam International Airport Enugu; construction of new control towers
at Mallam Aminu Kano International Airport (MAKIA), Kaduna Airport, Maiduguri Airport, Ilorin Airport, Ibadan Airport, and Akure Airport; power supply improvement at various airports; Total Radar
Coverage of the Nigerian Airspace; installation of Total Very High Frequency Radio (VHF) in different locations within the country to boost digital communication in the Nigerian Airspace; automation of Aeronautical Information Service (AIS) to provide the latest digital Air Traffic Control and
Aeronautical Message Handling System; and the construction of a modern National Weather Forecasting and Climate Research Centre with Numerical Weather Prediction (NWP) facilities, GIS
facilities, Library, Weather Studio, Satellite data receiver and archiving facilities.
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She said the government has also begun the transformation, remodelling and modernization of
airports, which will in the first phase cover the international airports in Lagos, Abuja, Kano, Port
Harcourt, Enugu and Calabar.
The minister assured that Nigeria would continue to implement the Civil Aviation master plan by
adhering and meeting up to ICAO standards and recommended practices.
"We shall continue to invest in current and next generation equipment as well as in the training of
and deployment of skilled manpower in the sector to ensure continued safety and security in the
aviation services," she added.
african-aviation.com – AFRAA responds to EU ban of
Mozambican airlines from European airspace
It is with great disappointment and concern that the African Airlines Association (AFRAA) received
the disturbing news that the European Commission has included the Republic of Mozambique
and all its airlines in the infamous EU list of banned airlines – the blacklist. Mozambique is the 14th
African State to be included in the list and this brings to 26%, the number of African States now on
the banned list. The number reaches 15 when counting Madagascar, whose national airline, Air
Madagascar, is slapped with a partial ban.
LAM Mozambique Airlines’ safety record is impeccable. Since the company was established in
1980; it has not had a single major accident. And since 1989 there have been no accidents of
any kind involving LAM Mozambique Airlines aircraft. Major European airlines can make no such
claim. For example, according to the Flight Safety Foundation, Air France has had 23 major accidents (involving substantial damage to aircraft, serious or fatal injuries) since 1990, three of them
with fatalities, and a total of 348 deaths.
LAM Mozambique Airlines has worked hard and invested significant resources to attain industry
best practices on safety which enabled it attain the IATA Safety Audit Certification in 2007 which
was renewed in 2009.
However, the airline’s impeccable safety record, and dual achievement of the internationally reputed IOSA Certification and ISO 9000 Certification, has not spared it from the EU blanket banning. AFRAA fails to see how such blanket banning contributes to encourage African carriers
which strive to achieve industry best practices in safety standards.
The banning of an airline not only prohibits the airline from operating to the EU but also impacts its
ticket sales to other destinations including on code shared routes as travel agents and other code
share partners in EU are required by regulation at the time of sales or booking to notify passengers
that the airline is blacklisted.
Irrespective of what the European Commission public relations exercise of attempting to pass
blanket banning as a solution to safety concerns is, it amounts to nothing either than a blunt instrument that constrains the development of a viable African air transport industry in Africa. While
the net losers are African carriers, the net beneficiaries are always the EU Community carriers that
swiftly step in to fill the vacuum and take the market share of the banned airlines. Despite the
blacklisting of Mozambique, EU carriers will continue to operate with increased frequencies and
higher yields to Mozambique and the other States that are the subject of the ban. If the airspace
of an African country is unsafe, it is unsafe also to European carriers who continue to fly the African skies for commercial benefit.
African governments, the African Union (AU) and African Civil Aviation Commission (AFCAC)
should not allow this state of affairs to continue as the continents’ air transport industry is being
progressively destroyed. AFRAA calls upon all African stakeholders including governments, the AU,
AFCAC, AFRAA to address the serious safety oversight deficiencies and concerns in the States
blacklisted and to seriously and meaningfully engage with the EU to establish a mutually acceptable, fair and transparent mechanism to address safety concerns in place of the unilateral blanket banning, which has so far not yielded any meaningful achievement in advancing safety in the
continent.
Once again AFRAA’ reiterates its call which it made on its 42nd Annual General Assembly Resolutions in November, 2010 which deplored the continued unilateral practice of blacklisting of mainly
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African States and airlines with no visible benefits in enhancing safety on the continent whilst having a huge negative commercial implications not only on the carriers concerned but on African
aviation in general. The AFRAA Assembly Resolution called upon the AU and AFCAC to engage
the EU with the view to find a mutually acceptable and agreed approach to jointly addressing safety issues.
fr.allafrica.com – Reprise des vols vers Abidjan
Après plusieurs semaines d'interruption due aux combats en Côte d'Ivoire, Asky reprend ses vols
vers Abidjan à partir de dimanche.
Comme toutes les autres compagnies aériennes africaines et internationales, le transporteur, basé au Togo, avait été contraint d'arrêter ses rotations en raison de l'absence de sécurité dans la
capitale économique ivoirienne en proie à de violents combats entre les forces d'Alassane Ouattara et celles de Laurent Gbagbo.
Asky espère reprendre un trafic normal dès la semaine prochaine.
afriqueavenir.org – La France va aider à renforcer les
mesures de sûreté de l’aviation civile en RDC
La France va aider au renforcement des mesures de sûreté de l’aviation civile en République
démocratique du Congo, annonce l’ambassade française dans ce pays dans un communiqué
transmis jeudi à APA.
Paris a dégagé un financement d'un million d'euros sous la forme d'un fonds de solidarité prioritaire mobilisateur en faveur de 17 pays africains pour les trois prochaines années.
« Les partenaires s'engagent à collaborer à la mise en œuvre de ce projet d'assistance en matière de sûreté de l'Aviation civile dans les domaines d'élaboration, d'adoption et de mise en application des normes et pratiques prescrites par l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale
(OACI)… », indique le communiqué.
Selon le même texte, la coopération touchera également la formation des personnels de sûreté,
le développement des programmes de sûreté et de gestion des crises, ainsi que la mise en œuvre
d'un système de supervision et de contrôle de la qualité de la sûreté.
La RDC représentée par sa ministre aux Transports et voies de communication, Laure-Marie Kawanda Kayena, et la France par son ambassadeur à Kinshasa, Pierre Jacquemot ont signé mardi
dans la capitale congolaise le protocole consacrant l'aide française au renforcement des mesures de sûreté de l'aviation civile.
La partie congolaise a été la première des 17 partenaires à signer ce protocole, souligne le
communiqué.
Vingt-cinq (25) stagiaires de l'Autorité de l'Aviation Civile (AAC) et de la Régie des Voies Aériennes prendront part à deux stages qui vont se dérouler l’un à Brazzaville et l’autre à Kinshasa.
La RDC s’est engagée dans un processus devant l’amener à être rayée sur la liste noire des
avions interdits de survoler l’espace aérien européen.
Depuis de 2006, les avions des compagnies congolaises sont interdits de survoler l’espace aérien
européen, à la suite d’un audit de l’Organisation internationale de l’Aviation civile qui avait mis
en exergue des carences importantes dans le domaine de la conformité aux normes internationales de la sécurité aérienne de la part de la RDC.
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air-journal.fr – Brussels Airlines repart aujourd’hui vers
Abidjan
La compagnie aérienne Brussels Airlines a annoncé la reprise mercredi de ses vols entre Bruxelles
et Abidjan, ayant jugée que la situation était stabilisée dans la capitale économique de Côte
d’Ivoire.
A compter de ce 27 avril 2011, la compagnie nationale belge remet en service deux vols hebdomadaires entre Bruxelles et la Côte d’Ivoire, avec des départs les mercredis et dimanches. Selon les horaires communiqués par le spécialiste des vols pas chers Bourse des vols, les Airbus A330300 décollent à 12h35 pour arriver à 17h15, les vols retour quittant Abidjan à 18h25 pour atterrir le
lendemain à 5h15, après une escale sans changement d’appareil à Accra au Ghana.
Brussels Airlines avait suspendu totalement sa desserte de la Côte d’Ivoire le 6 avril dernier alors
que les combats entre supporters du président élu Alassane Ouattara et ceux du président sortant Laurent Gbagbo gagnaient la ville d’Abidjan. La compagnie de Star Alliance n’a en revanche pas précisé quand cette route retrouvera les six vols hebdomadaires qui étaient proposés
jusqu’à la fin du mois de mars dernier.
Rappelons qu’Air France a repris ses propres vols vers la Côte d’Ivoire le 8 avril dernier après une
semaine d’interruption, et opère actuellement quatre vols par semaine vers Abidjan, les mardi,
jeudi, samedi et dimanche.
africanmanager.com – Tunisie: Les compagnies aériennes à l’épreuve de l’économie de carburant
«Toutes les compagnies aériennes peuvent unir leurs stratégies en matière d’économie du carburant, et ce malgré les grands problèmes auxquels on est en train de faire face. Il s’agit d’une pénurie d’expertise et de compétence pour traiter ce volet. D’autant qu’on ne sait pas comment
faire et comment aborder ce sujet ». Tel est l’observation dont a fait état Souhaiel Dallel, Directeur
Environnement et Carburant à TUNISAIR lors d’un déjeuner débat organisé par l’Agence Nationale de la Maitrise de l’Energie (ANME). Un constat qui semble inquiétant pour un secteur considéré comme important pour l'économie tunisienne et un gisement important d'atténuation des
GES.
Le débat qui a rassemblé les principaux acteurs du secteur aérien et des partenaires européens,
a porté sur le thème «Efficacité énergétique et quotas d’émissions du transport aérien : Enjeux et
solutions».
En effet, les compagnies aériennes nationales se trouvent confrontées à un défi beaucoup plus
important, celui de l’amélioration de l’efficacité énergétique de leurs flottes. Le poste carburant,
qui représente le principal élément du coût des opérations aériennes, dispose d’un gisement important d’économie. D’après l’IATA, le potentiel d’économie d’énergie dans le transport aérien
peut atteindre jusqu’au 5%, selon la nature de l’organisation technique et opérationnelle de
l’entreprise.
A ce propos, on peut indiquer que la part de consommation d'énergie du transport aérien tunisien est de l’ordre de 300Ktep dont environ 46% achetée sur le territoire national. Son potentiel
d’économie d’énergie varie entre 15 et 30 Ktep, soit des économies financières de 20 à 40 de dinars. D’où une forte contribution au phénomène de réchauffement climatique en produisant divers types d'émissions polluantes.
Ces éléments de contexte, selon Noura Laaroussi Ben Lazreg, directrice générale de l’Agence
Nationale de Maîtrise de l’Energie (ANME), conjugués à l’entrée en vigueur dès 2012, de
l’intégration du transport aérien dans le système européen d’échange de quotas, « nous oblige à
mettre en œuvre un programme de partenariat entre les différents intervenants, à savoir
l’administration, les opérateurs aériens et énergétiques et les organismes internationaux, et ce
pour plafonner les émissions de CO2 pour tous les avions ».
Cette proposition a été bien accueillie par la majorité des compagnies à savoir Nouvelair, Tunisair
qui ont exprimé leurs besoins des compétences adéquats pour atteindre cet objectif. « Nous
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avons tous ntérêt à collaborer ensemble en matière de carbone et faire face à la concurrence à
condition qu’on ait les experts nécessaires pour cette action », a précisé le responsable de
TUNISAIR qui a mis en relief les résultats intéressants enregistrés en matière de réduction de la consommation d’énergie. Moyennant des actions techniques et organisationnelles, elle a pu récupérer les investissements effectués des la première année du plan d’action.
En fait, Tunisair qui a choisi d’adhérer au programme national de maîtrise de l’énergie et de consolider les efforts déployés dans ce domaine, a pu réaliser une économie de 15.175 tonnes soit
une économie totale de 45800 tonnes équivalent à 53.2 millions de dinars par rapport à 2005.
Le logiciel de planification LIDO permet l’optimisation des vols en tenant compte de plusieurs paramètres dont la taxe de survol. Malgré une augmentation des taxes de survol de 2.72% entre
2008 et 2010, le montant des redevances payées par Tunisair a baissé de 4.38%, soit une baisse
moyenne de 37 € par vol. L’économie sur les redevances de survol sur une année s’élève à 1,123
M €, soit 2,155 Md.
L’aboutissement à ce genre partenariat entre les différentes compagnies reste un projet souhaitable par la majorité des acteurs qui ont affirmé que le système d'échange de quotas d'émissions
serait le moyen le plus efficace de réduire l'impact du secteur sur le réchauffement climatique.
Toutefois, plusieurs questions ne manquent pas de se poser : Quelle devra être la stratégie de ces
acteurs pour s’acquitter de leurs obligations ? Et quelle sera la composition optimale du portefeuille de transaction pour gagner ce pari ?
africanmanager.com – Le Cameroun dessine le chemin
de fer du futur
Le ministère camerounais en charge de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du
territoire vient de présenter le Plan directeur ferroviaire national à l’horizon 2040, a constaté APA
sur place.
Le futur réseau ambitionne, à court terme (2025), le doublement de la voie ferrée existante entre
les métropoles économique et politique, Douala et Yaoundé.
Il devra couvrir toutes les régions du pays à moyen terme, avec des interconnexions vers les pays
voisins que sont le Gabon, le Congo, le Nigeria, le Tchad, et la République centrafricaine.
Cette extension est appelée, plus tard, à relier le pays à l’Angola et à la République démocratique du Congo, et devrait également aboutir à la construction de lignes de tramway à Douala
et Yaoundé.
«L’objectif est de bâtir, à moindre coût, un réseau de transport intégré, performant quadrillant
tout l’espace national, résolument ouvert sur les pays voisins, avec un tracé et des itinéraires
orientés vers les zones de trafic de voyageurs et de développement industriel», a expliqué à APA
le ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire, Louis Paul Motaze.
Les ouvrages annoncés, apprend-on, devront respecter les nouveaux standards internationaux et
pourraient générer jusqu’à 600.000 emplois directs et indirects.
Au plan du financement, actuellement estimé à 424 milliards FCFA, le gouvernement camerounais envisage le partenariat public-privé, l’emprunt obligataire ou encore la logique BuiltOparate-Transfert (construction, exploitation et transfert).
fr.allafrica.com – Cameroun: Transport par voie ferrée Vers l'arrivée de nouveaux acteurs
Le ministre en charge de l'économie présente par ailleurs ce jeudi, le plan directeur ferroviaire national.
C'est un peu malgré lui qu'Alexis Manguele a dû donner des détails du plan directeur ferroviaire
national. Ce responsable du ministère de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du
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territoire (Minepat), n'avait pas d'autre choix face à la grande demande d'information des participants aux rencontres africaines francophones des partenariats public-privé dans le secteur des
infrastructures de transport. La journée d'hier était consacrée entre autres, aux transports ferroviaires. Les organisateurs ont en effet tenu à faire avec les responsables de Camrail, (société
concessionnaire de l'activité ferroviaire au Cameroun) et ceux du Minepat, le bilan des dix ans de
mise en oeuvre de la concession entre l'Etat du Cameroun et la Camrail sur l'activité ferroviaire au
Cameroun.
Côté gouvernement, et ainsi que l'annonçait déjà Dieudonné Bondoma Yokono, le Directeur général de l'Economie, et de la programmation des Investissements publics au Minepat, Alexis Manguele est l'une des personnes les mieux placées pour parler de cette concession. Ce dernier fait
en effet partie du comité restreint chargé de défendre les intérêts de l'Etat lors des négociations
avec les responsables de Camrail. C'est peu dire qu'il connaît à la fois les péripéties, les ressorts et
le fin mot des négociations qui ont abouti à la signature des deux avenants à la convention de
concession, avenants signés respectivement le 16 septembre 2005 et le 04 novembre 2008.
Société de patrimoine
A l'issue du second avenant, l'Etat s'était engagé à investir près de 87 milliards de Fcfa pour le renouvellement des infrastructures ferroviaires entre 2009 et 2020. C'est donc un fin connaisseur de
ce dossier qui a expliqué hier que cette décision du gouvernement visait tout simplement à éviter
à l'activité ferroviaire une interruption totale, laquelle aurait été très dommageable à l'activité
économique nationale, et potentiellement dangereuse pour la paix sociale.
«Mais Camrail doit savoir que cet avenant sera à nouveau revu d'ici 2013.» a indiqué Alexis Manguele. Le même avenant précisait déjà que l'Etat se doterait avant la fin 2011, d'un plan directeur
ferroviaire national. La cérémonie de présentation de ce plan directeur par le Minepat qui a lieu
ce jeudi, procède donc d'abord de cette clause. «L'Etat se réserve dans ce cadre, le droit de
décider de l'option politique à suivre aujourd'hui.»
D'ores et déjà, ce responsable du ministère de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du territoire annonce la création par l'Etat, d'une société de patrimoine publique chargée
de gérer le patrimoine du secteur ferroviaire national.
S'agissant du plan directeur ferroviaire national, et en attendant les explications précises que
fournira le ministre Louis Paul Motaze ce jour, l'on a appris qu'il se structure sur trois niveaux: Le
court terme, le moyen terme et le long terme. L'idée étant de façon globale de relier les principaux points d'exploitation des ressources naturelles (Mballam pour son fer, Mini Marta pour sa
Bauxite ) aux principaux ports du pays et notamment celui de Kribi actuellement en cours de
construction. La seconde phase du projet concerne le prolongement du réseau ferroviaire audelà de Ngaoundéré. L'idée étant de relier la capitale régionale de l'Adamaoua, à la ville de
Kousserie, frontalière avec le Tchad. Dans sa première phase qui va de 2013 à 2025, le projet devrait générer 400 mille emplois directs et indirects.
fr.allafrica.com – Guinée: Rio-Tinto: Nouveau port minier
doit être construit au pays
Dans le cadre d'un accord signé par Rio Tinto, sa filiale Simfer SA (Simfer), et le Gouvernement de
la Guinée un port typiquement minier doit être construit en République de Guinée.
L'accord prévoit que le groupe minier Rio Tinto payera au Trésor public guinéen £ 424 700 000
dans la poursuite de l'exploration des concessions minières dans le pays.
L'accord permettra également la mise en place d'un joint-venture entre les deux entités a savoir
le géant de l'exploitation minière et le gouvernement guinéen dans la construction de l'infrastructure nécessaire pour permettre les expéditions de minerai de fer qui commencera à la mi-2015
dans la région Simando du pays.
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wk-transport-logistique.fr – Port d'Abidjan : le trafic maritime reprend
Des navires ont pu accoster à nouveau dans le port autonome d'Abidjan, fin avril 2011, suite à la
sortie de crise en Côte-d'Ivoire. Bolloré Africa Logistics, gestionnaire du terminal à conteneurs, met
les bouchées doubles pour reprendre l'activité.
Avec la fin de la crise ivoirienne, les services économiques reprennent peu à peu leurs activités.
Le port autonome d'Abidjan se redresse et les premiers navires s'amarrent aux quais.
Ce fut d'abord un bitumier, puis un pétrolier pour la SIR (Société ivoirienne de raffinage) qui sont
venus au port, suivis rapidement par les navires de Delmas, filiale du groupe CMA CGM. Ainsi le 19
avril 2011, le CMA-CGM-Rabat a accosté, puis le CMA-CGM-Cortes. Les Johni-Ritscher et AenneRickmers, deux navires affrétés par le groupe Mærsk, ont aussi fait leur apparition à San Pedro.
Le commerce du cacao reprend
Avec le retour des navires dans le port, ce sont aussi les récoltes de cacao qui vont pouvoir emprunter le chemin des marchés internationaux et permettre au pays de se redresser économiquement.
"Nous mettons les bouchées doubles pour reprendre nos activités", a indiqué Dominique Lafont,
directeur général de Bolloré Africa Logistics, au site internet Abidjan.net. Le groupe de Vincent
Bolloré est en effet gestionnaire du terminal à conteneurs d'Abidjan. Le terminal de San Pedro est
géré pour sa part par l'armateur MSC.
Chad inks airport accord with Chinese firm
By Madjiasra Nako
N'DJAMENA (Reuters) - The government of Chad said on Thursday it had signed
a $1 billion accord with China CAMC Engineering Co for the construction of an
international airport about 40 km (25 miles) from the Central African country's
capital.
The deal is the second infrastructure project in as many months signed between
the government of Chad and a Chinese firm following the $7.5 billion agreement with China's CCECC engineering company to build 1,344 km of railway in
March.
"The project which would be funded by a loan to the government of Chad from Chinese government will help Chad, because of its geographic position, to become an African hub for flights
to the Middle East and Asia," Chad's infrastructure minister Adoum Younousmi told journalists.
The construction phase will begin later this year and will include a highway from the capital of the
petroleum-producing state, to the airport, the minister said.
The project is expected to be completed by 2015.
"When completed, expected traffic will be about 1 million passengers per year," Younousmi said.
Air France adds new West Africa routes
By Cathy
Buyck
Air France last week launched twice-weekly service from Paris Charles de Gaulle to Freetown and
commenced twice-weekly CDG-Monrovia flights. Both new routes are via Conakry. AF last week
increased CDG-CKY service to daily, of which four weekly flights are nonstop and three are via
Nouakchott. Flights to CKY, NKC, FNA and MLW are being operated by an Airbus A330-200 with
208 seats in a three-class configuration, including 40 seats in business, 21 in premium economy
and 147 in economy.
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"After the launch of flights to Kigali by KLM in October 2010, these two new Air France routes and
the daily service to Guinea illustrate the confidence Air France KLM has in the development of the
West African region," AF KLM SVP-Africa and Middle East Pierre Descazeaux stated.
AF KLM ASKs to/from Africa for its summer schedule are slated to be up 4% over the 2010 summer
schedule. The airline group now operates to 38 destinations in Africa.
Separately, AF put its 60th Boeing 777 into service. 777s make up over half of its long-haul fleet,
which also comprises 13 747s, 15 A330s, 16 A340s and four A380s.
Brussels Airlines resumes flights to Abidjan
Brussels, Belgium (PANA) - The Belgian airline, Brussels Airlines, Wednesday resumed flights to Abidjan, the Ivorian economic capital, according an official press statement here.
Brussels Airlines had suspended flights to Abidjan after the post-election violence that followed the
second round of presidential elections on 28 November in Côte d'Ivoire.
According to the statement, Brussels Airlines will provide two weekly flights to Abidjan on Wednesdays and Sundays before returning to the weekly frequency of six flights per week.
Senegal Airlines to fly Dakar-Abidjan route
Dakar, Senegal (PANA) - Senegal's national carrier, Senegal Airlines, will begin flying the DakarAbidjan route from 16 May, according to a statement from the country's Foreign Ministry.
The statement said Senegal's Minister of Foreign Affairs Madické Niang, who was received last
week by Ivorian President Alassane Ouattara, discussed with the new Ivorian authorities the issue
of granting Senegal Airlines the rights to fly the route.
"Following the instructions given by the Ivorian authorities, the Ivorian National Civil Aviation
Agency has already agreed in principle and appropriate steps will be taken so that the Senegalese airline (can) start operating as from Monday, May 16 2011," the statement said.
Kenya Airways Plans to Double Fleet Size to 60 Within
Four Years, CEO Says
By Eric Ombok
Kenya Airways Ltd. (KNAL), sub-Saharan Africa’s third-largest airline, plans to double the size of its
fleet to 60 planes in the next four years while training more pilots to fly them, Chief Executive Officer Titus Naikuni said.
The airline, which currently employs 390 pilots, has bought facilities that will allow it to train another
100 pilots by the end of this year, he told reporters in Nairobi today.
“If I can get 200 pilots, I will take all of them, there is a shortage,” Naikuni said. Kenya Airways employed 180 pilots in 2007, he said.
The airline, based in Nairobi, is expanding its fleet as it starts flying to new destinations. This year,
Kenya Airways will begin flights to seven new destinations including the capitals of Nigeria, Chad,
Togo and Burkina Faso, as well as Mauritius and the Saudi Arabian city of Jeddah.
Kenya Airways on April 14 said it agreed to buy nine Boeing Corp. 787 aircraft in an accord that
includes an option for another four plans. The latest 787s will be delivered in October 2013, Kenya
Airways said at the time.
To contact the reporter on this story: Eric Ombok in Nairobi at [email protected]
To contact the editor responsible for this story: Shaji Mathew at [email protected]
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Mauritanie: lancement de Mauritania Airlines, nouvelle
compagnie nationale
RESUMENOUAKCHOTT, 27 avr 2011 (AFP) - Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a
lancé mercredi à Nouakchott une nouvelle compagnie nationale de transport aérien, Mauritania
Airlines, aux capitaux entièrement publics, a constaté un journaliste de l'AFP.
Mauritanie-transport-aviation
NOUAKCHOTT (AFP) - Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a lancé mercredi à
Nouakchott une nouvelle compagnie nationale de transport aérien, Mauritania Airlines, aux capitaux entièrement publics, a constaté un journaliste de l'AFP.Le chef de l'Etat mauritanien a effectué un vol de quelques minutes au dessus de la capitale, en compagnie d'écoliers."Financée entièrement par l'Etat, cette compagnie dispose d'une flotte de trois Boeing 737 répondant aux critères internationaux dont l'un a une capacité de 118 passagers contre 108 passagers pour les des
deux autres", a indiqué son directeur, Hassena Ould Ely."Mauritania Airlines compte renforcer sa
flotte avec l'acquisition d'un nouvel avion permettant de contribuer au désenclavement de
toutes les zones intérieures du pays", a-t-il ajouté.Mauritania Airlines a été créée en 2009 dans le
cadre d'une stratégie nationale de développement du transport aérien et d'extension des
échanges en Afrique et en Europe, notamment la France et l'Espagne, selon ses responsables."A
partir de début mai, la compagnie desservira plusieurs destinations en Afrique ainsi que Paris (aéroport Charles De Gaule) et Las Palmas (Espagne) grâce à des lignes régulières offrant sécurité et
confort aux passagers", a M. affirmé M. Ould Ely.La nouvelle compagnie lancera parallèlement
des activités de fret au départ de Nouakchott et de Nouadhibou (nord-ouest), particulièrement
au profit des entreprises de commercialisation des produits halieutiques.Elle remplace Air Mauritanie, propriété de l'Etat et de privés mauritaniens et mise en faillite début 2008, et Mauritania
Airways qui a cessé ses activités en décembre 2010.
Major development for Central Africa
The African Development Bank (AfDB) has committed itself to developing infrastructure networks
in and between Central African countries over the next five years.
The AfDB also plans to facilitate funding for rehabilitation and expansion of railways
This was revealed in the bank's recently released 2011-2015 Regional Strategy for Central Africa, a
developmental blueprint approved by its board of directors on 28 April.
Infrastructure development is the primary focus of the strategy. The Tunis-based AfDB is a leading
finance institution on the continent, providing both grants and loans.
Angola, Burundi, Cameroon, Central African Republic, Congo, Democratic Republic of Congo,
Gabon, Equatorial Guinea, Sao Tome and Principe and Chad are the countries targeted in AfDB's
new strategy. The 10 are members of the Economic Community of Central African States regional
group.
The region has been identified as having one of the poorest infrastructure networks on the continent, especially in the transport and energy sectors. "This impacts negatively on the region's productive capacity, trade and social conditions. It is the least integrated region in Africa, despite its
huge natural resource potential," said the bank.
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AfDB wants to help develop roads to speed up the movement of goods between targeted states.
Only about 20% of the entire regional road network, which covers 150 000km, is currently tarred.
"Infrastructure development is crucial to leverage its immense potential and enhance its integration," the organisation said.
Although the region has the potential to generate 166 gigawatts of electricity, AfDB concedes
that its energy sector is the least developed in Africa. There are plans to transform the region into
a bulk supplier of hydro power in forthcoming years.
Air transport in Central Africa also needs urgent attention, according to the AfDB. "It is plagued by
lack of connectivity between countries due to the collapse of several airlines in the region, the
obsolescence of aircraft, low competition and limited airport infrastructure."
The bank has to facilitate funding for rehabilitation and expansion of railways as well, which it has
described as "obsolete and underused".
Major ports in Central Africa also need focus to boost maritime transport there. AfDB said the private sector, which is already involved in port management, will continue to play a key role in improving the quality of such services through enhanced public-private partnerships.
"Inadequate infrastructure is the leading obstacle to stronger growth in Central Africa," AfBD added.
Besides using its own funds, AfDB appeals to investors like the Bank Group, World Bank, European
Union, France, Germany, UK and UN to bankroll critical projects. All these agencies are major,
well-established donors for development in Central Africa.
Sustaining the Congo Basin
AfDB also promises to support the preservation of the Congo Basin. Although it already backs sustainable environmental management via the Congo Basin Forest Fund, it is expected to initiate
further interventions to preserve the region.
Besides being home to the world's second-largest forest and water reserve, the Congo Basin also
boasts "huge, but largely untapped mining, mineral and agricultural potential".
"Infrastructure development should factor in the preservation of the Congo Basin which is vital for
humanity."
Fear of political instability
Political instability in the region is one of the factors that AfBD fears could impede development.
Kivu in the DRC, eastern Chad and north-eastern Central African Republic are currently "hotbeds
of tension and insecurity" and are a major concern in the region.
Governments in the region have set up the Central African Peace and Security Council to deal
with political conflict.
"Political stability in the region is improving, but remains fragile," states the bank.
At least six of states belonging to the Central African bloc are rich in oil, which continues to sustain
the region's economy. The GDPs of these six nations - Angola, Cameroon, Congo, Gabon, Equatorial Guinea and Chad - grew at an average of 6.2% between 1999 and 2009, while the remaining four achieved growth of 4.7%.
International economic fluctuations also pose a threat to the mineral-driven economies. "In 2009,
in the wake of the international financial crisis, the region's economic situation deteriorated sharply," said AfDB.
Source: MediaClubSouthAfrica.com
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