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Lullaby Résidence d’artiste à l’Institut Culturel italien de Paris vendredi 26 février à 20h › mise en espace en italien et en français lieu › Institut culturel italien › 50 rue de Varenne – 75007 Paris Lullaby de Erika Z. Galli et Martina Ruggeri traduction française Federica Martucci avec Piergiuseppe di Tanno, Francesco Bonomo, Evita Ciri, Margherita Massicci et Federica Martucci Dans la salle commune d’une clinique pour personnes âgées, deux hommes et deux femmes se préparent pour leur leçon hebdomadaire d’aérobic. On ne saurait dire depuis quand ils sont là, un mois, un an, peut-être plusieurs années : ils se sont regroupés afin de recréer une société selon leurs propres besoins, et en imposant de nouvelles règles. Martina Ruggeri et Erika Z. Galli, deux jeunes dramaturges lauréates du Premio Hystrio Scritture di Scena 2014, ont été sélectionnées pour la résidence d’artiste à l’Institut culturel italien par la dramaturge Emma Dante. Elles y ont travaillé Lullaby, en collaboration avec leur traductrice, Federica Martucci, leur nouveau texte qui puise dans différents registres, pour parler de la vieillesse. Portrait d’une femme arabe qui regarde la mer Festival Terres de paroles / Normandie jeudi 31 mars › 20h30 › lecture lieu › Dieppe , salle Jehan Ango lecture dirigée par Caroline Michel humain Trop humain / Centre dramatique national de Montpellier jeudi 19 mai › 21h › mise en espace lieu › Plage Carnot, Montpellier mise en espace par Laurent Berger Portrait d’une femme arabe qui regarde la mer de Davide Carnevali traduction Caroline Michel, avec le soutien de la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale L’histoire se déroule dans un pays arabe : un homme européen y séjourne pour son travail, une jeune femme arabe célibataire y vit avec ses deux frères. Ils se rencontrent, se revoient et entament une relation. Mais les différences entre eux sont nombreuses : l’homme est libre, la femme est liée à ses frères ; il est riche, les habitants du pays sont pauvres. Le fossé culturel finit par éloigner l’homme, qui se détache sans explication. Très éprouvée par la trahison, la femme élabore une vengeance, dans laquelle elle prend son frère ainé pour complice. Mais le piège va tourner au drame… Davide Carnevali › Né à Milan en 1981, Davide Carnevali vit et travaille entre Berlin, Barcelone et Milan. Parallèlement à une activité universitaire, il est également traducteur du catalan et du castillan, et éditeur. Variations sur le modèle de Kraepelin est son premier texte publié en France (Actes Sud), il a reçu le Prix Theatertext als Hörspiel Deutschlandradio Kultur – Theatertreffen et le prix Marisa Fabbri – Prix Riccione pour le théâtre en 2009 ainsi que le prix des Journées de Lyon des auteurs de théâtre – domaine étranger – en 2012. Sorry, boys Théâtre de la Ville – Chantiers d’Europe / Paris lundi 23 et mardi 24 mai › 19h › spectacle sur-titré lieu › Théâtre de la Ville – La Coupole (2 place du Châtelet) Sorry, Boys Dialogues sur la masculinité pour 1 actrice et 12 têtes tronquées de et avec Marta Cuscunà création et réalisation têtes tronquées Paola Villani coproduction Centrale Fies avec le soutien de Provincia Autonoma di Trento, Ministero dei Beni e delle Attività Culturali e del Turismo, Operaestate Festival, Centro Servizi Culturali Santa Chiara, Comune di San Vito al Tagliamento Assessorato ai beni e alle attività culturali, Ente Regionale Teatrale del Friuli Venezia Giulia En 2008, aux États-Unis, dix-huit filles de moins de 16 ans étudiant dans le même lycée, tombent enceinte en même temps. Acte délibérément volontaire pour pouvoir s’entraider et élever les enfants toutes ensemble, dans une même maison, dans une sorte de communauté féminine. Dans le spectacle les filles ne sont pas représentées. Il y a deux groupes de têtes tronquées. D’un côté les adultes. Les parents, le proviseur, l’infirmière du lycée. De l’autre côté les jeunes mâles, les pères adolescents. Sorry, boys cherche à comprendre qui sont les jeunes hommes aujourd’hui. Quels adultes se préparent-ils à être ? Sont-ils heureux ? Dans quel projet ce désir de maternité de ces filles a t’il pu s’enraciner ? Marta Cuscunà › Actrice et autrice, elle est, en 2009, la révélation de la nouvelle scène italienne avec C’est agréable de vivre libre, inspiré par la vie d’une jeune partisane au cours de la guerre de libération, pour lequel elle a reçu le Premio Scenario Ustica. Chantiers d’Europe avait présenté, l’an dernier, son spectacle, La simplicité trahie, travail sur la résistance des femmes en Italie. Sorry, boys est la 3e étape de cette recherche sur la résistance des femmes. Viva l’Italia lieu › Théâtre de la Ville Viva l’Italia. La mort de Fausto et Iaio de Roberto Scarpetti traduction Olivier Favier avec les comédiens de la troupe du Théâtre de la Ville C’est une fiction qui se construit sur un fait historique. Le 18 mai 1978 à Milan, Via Mancinelli, Fausto Tinelli et Lorenzo Iannucci (dit Iaio), deux adolescents de 18 ans sont tués par des coups de feu tirés par un commando de trois garçons venus de Rome deux jours après l’enlèvement d’Aldo Moro par les Brigades Rouges. Cinq personnages (Fausto Tinelli, Angela la mère de Iaio, Mauro un journaliste de L’Unità, Salvo un commissaire de la DIGOS de Milan et Giorgio un néofasciste romain) racontent l’histoire chacun de son point de vue avec un entrelacement de monologues. Roberto Scarpetti › scénariste pour le cinéma et la télévision, Viva l’Italia est sa première incursion, couronnée de succès, au théâtre. Le titre est une référence ironique à une chanson de Francesco De Gregori de 1979. « J’ai essayé d’écrire un texte qui ne soit pas militant, mais qui soit fondé sur les émotions. (….) Pour moi Fausto et Iaio représentent la maturité niée, la mort d’une génération destinée à ne pas grandir, et de manière métaphorique la mort des idéaux, de l’engagement politique, de la conscience sociale. Il me semble que par leur mort inutile et impunie, ils représentent des sortes de soldats inconnus des années de plomb. » Les écritures enragées samedi 28 mai à › 20h30 › lecture lieu › Théâtre de la Ville Les écritures enragées de Ricardo Cabaça (Portugal), Geogia Mavraganis (Grèce), Roberto Scarpetti (Italie), Malgorska-Miszczuck (Pologne) et America Vera-Zevala (Suède) avec les comédiens de la troupe du Théâtre de la Ville Chantiers d’Europe a invité cinq auteurs européens, dont l’italien Roberto Scarpetti, en résidence à Paris, pour l’écriture d’un texte à « 5 mains » sur un thème d’actualité qu’ils choisiront ensemble. Leurs écrits sont traduits simultanément par des traducteurs de La Maison Antoine Vitez, afin de pouvoir donner « à chaud », une lecture de cette œuvre collective. Les retombées de Face à Face Bruits d’eaux de Marco Martinelli (traduit par Jean-Paul Manganaro), donné en lecture Face à Face pendant actOral 2013 à Marseille, a trouvé sa production. Le spectacle est présenté du 8 au 13 mars à l’Espace 44 de Lyon, dans une mise en scène de Ferdinand Barbet, et une interprétation de Bertrand Cauchois. Reality et Cene andiamo per non darvi altre preoccupazioni de Daria Deflorian et Antonio Tagliarini, spectacles présentés au Théâtre National de La Colline pendant Face à Face 2014, continuent leur tournée en France et seront visibles dans plusieurs villes en Normandie (en mars et en avril) pendant le festival Terres de paroles. Jecroisenunseuldieu de Stefano Massini (traduit par Olivier Favier et Federica Martucci, avec l’aide de la Maison Antoine Vitez) qui avait été mis en espace Face à Face pendant La Mousson d’été 2014, est mis en scène par Kheireddine Lardjam à la Scène nationale l’Arc au Creusot, en mars 2016, et sera également créé par Arnaud Meunier (avec Rachida Brakni), en janvier 2017. Par moi seule de Francesca Garolla a été présenté en lecture lors de Face à Face 2015 à La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon qui a invité Francesca Garolla a revenir en résidence d’écriture en mars 2016. L’origine du monde de Lucia Calamaro dont le spectacle avait été présenté en version italienne sur-titrée à La Colline, Théâtre-National-Paris lors de Face à Face 2014, a bénéficié d’une bourse de traduction de La Maison Antoine Vitez. Le manuscrit est disponible sur www.maisonantoinevitez.com, dans la traduction de Federica Martucci. Face à Face Paroles d’Italie pour les scènes de France printemps 2016 un projet de l’Institut culturel italien de Paris 50, rue de Varenne – 75007 Paris [www.iicparigi.esteri.it] soutenu par La direction générale du spectacle vivant du Ministère des biens et des activités culturels et du tourisme d’Italie Creative Europe Programme of the European Union partenaires Théâtre de la Ville / Paris Festival Terres de paroles / Dieppe humain Trop humain / Montpellier La Maison Antoine Vitez, centre international de la traduction théâtrale Fabulamundi. Playwriting Europe développement et partenariats en France Christine Schmitt [[email protected]] administration générale et accompagnement des artistes italiens PAV, Rome [www.pav-it.eu]