Saint-Gervais

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Saint-Gervais
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Département de l’aménagement, de l’équipement et du logement
Inventaire des monuments d'art et d'histoire
Les monuments d’art et d’histoire de Genève, tome 2: Genève, Saint-Gervais : du bourg au
quartier, Bâle, 2001 (Les monuments d’art et d’histoire de la Suisse, t. 97)
Introduction (pp. 3-6)
Sommaire (pp. V-VII)
Introduction (pp. 3-6)
Genève. Saint-Gervais vu des hauteurs de Saint-Jean. Gravure anonyme de la fin du XVIIIe siècle (MAH vol. II, fig. 2 – Centre
d’iconographie genevoise)
Depuis l’Antiquité, l’évolution urbaine de Genève a été marquée par la division de son territoire en deux entités
opposées et complémentaires, séparées par le Rhône: sur la rive gauche du fleuve, la cité, siège du pouvoir; sur la
rive droite, le bourg de Saint-Gervais. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, celui-ci constitue une agglomération
facilement identifiable, dominée par le clocher de son église et coupée de la campagne par une ceinture de
fortifications.
Barrière naturelle au sud, le Rhône n’a longtemps été franchissable que par un seul pont situé à la hauteur de l’Île.
Mentionné déjà à l’époque romaine et commandé dès le XlIIe siècle par un château, cet unique passage a joué,
avec l’église érigée sur le coteau, un rôle moteur dans le développement urbain de Saint-Gervais. Le système
radial de voies qui s’établit progressivement à partir de ces deux pôles donne en effet au bourg sa configuration,
marquée par la prédominance d’îlots triangulaires et trapézoïdaux. En dépit des grands travaux menés au cours
des deux derniers siècles, qui ont partiellement effacé le parcellaire d’origine, la topographie de l’ancien bourg
structurée par les axes médiévaux des rues du Temple, des Corps-Saints, de Coutance, des Étuves et de Chevelu
demeure encore lisible. Les boulevards de ceinture, créés dès 1850 sur l’emplacement des fortifications, ménagent
des articulations plus ou moins aisées entre les tracés obliques du noyau ancien et la trame orthogonale des
nouveaux quartiers. La formation de ce tissu et son évolution du Moyen Age à nos jours constitue le thème central
de la première partie de cet ouvrage.
Morphologie urbaine. Les récentes fouilles archéologiques ont mis au jour, sous le temple, les traces d’un habitat
du Néolithique moyen, ainsi que les vestiges d’une aire funéraire datant du Bronze final. Toutefois, ce n’est qu’à
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partir de l’époque romaine que le site va connaître une occupation permanente. Dès le Ier siècle avant J.-C., un lieu
de culte est implanté sur le point culminant de la colline, à la jonction de deux voies, l’une conduisant de Genève à
Lyon, l’autre bifurquant vers Nyon. Maintes fois agrandi et reconstruit, ce temple attire autour de lui quelques
bâtiments voués à l’artisanat et à l’habitat. Après son abandon au IVe siècle, à la suite d’un incendie, la localité est
sans doute fortement restructurée. Au siècle suivant, une vaste église couronne le sommet du coteau. Matrice du
temple actuel, le nouveau sanctuaire sera placé sous le vocable des saints Gervais et Protais. Dès l’époque
carolingienne probablement, il constitue avec les bâtiments alentour un noyau urbain pourvu d’un système défensif
sommaire. Ce premier Saint Gervais, cité en 926, reste confiné aux abords de l’église, alors que sa paroisse
s’étend bientôt sur une partie de la rive gauche.
Au XIVe siècle, l’agglomération se développe le long des rues du Temple et des Corps-Saints, atteignant le
débouché du pont du Rhône et la limite de l’actuelle rue de Coutance. Entre 1424 et 1460, les lotissements
successifs du vignoble épiscopal, situé au nord-est de Coutance, triplent la surface de Saint-Gervais et fixent son
étendue pour les quatre siècles à venir. Cette importante extension s’accompagne de la reconstruction de l’église,
qui se retrouve dès lors dans une position marginale, à l’écart de la rue de Coutance devenue l’épine dorsale du
bourg agrandi. Tracée dans le prolongement du pont et en continuité de la voie marchande de la rive gauche, cette
nouvelle artère commerçante, dotée d’une porte du côté de Cornavin, absorbe l’essentiel du trafic, reléguant les
rues du Temple et des Corps- Saints au statut de voies secondaires. Son rôle d’axe de circulation principal se
renforce après la Réforme, lorsque les autorités décident de fermer les accès au bourg près de l’église et du côté
des Pâquis, à l’extrémité de la rue du Cendrier. Avec la suppression de ces deux passages, le noeud des
communications est définitivement reporté sur Cornavin. L’agglomération s’articule désormais autour de trois
pôles: la place Saint-Gervais — débouché du pont et espace de rassemblement —, le temple — coeur religieux du
quartier — et la porte de Cornavin — unique issue sur la rive droite.
L’expansion territoriale de Saint-Gervais au XVe siècle confirme l’intérêt stratégique de ce secteur et favorise son
intégration dans le périmètre fortifié de Genève. L’édification, au siècle suivant, d’une enceinte bastionnée
commune aux deux rives scelle le destin urbain du bourg sans entraîner cependant une véritable vague de
constructions. En effet, contrairement à la cité sur la rive gauche saturée dès la Réforme, Saint-Gervais conserve
longtemps les caractéristiques d’une ville aérée, jouissant de vastes espaces vacants à l’arrière de ses fronts bâtis.
La disparité morphologique entre les deux rives commence toutefois à s’atténuer à partir du XVIIIe siècle. Le
processus d’urbanisation, qui s’accélère alors, suscite un renouveau architectural du quartier, mais asphyxie
certains secteurs. Dès 1780, les autorités envisagent même de diviser quelques îlots afin d’améliorer la salubrité,
de faciliter la circulation et de mieux maîtriser l’élan constructif. Cependant, jusqu’à la fin de la Restauration, le
coeur du quartier continue de se densifier, tandis qu’on essaie de dégager, le plus possible, l’espace public et de
remodeler les fronts urbains tournés vers l’extérieur, tels les Terreaux de Chantepoulet ou les Bergues. Dans les
années 1830-1840, deux nouveaux ponts construits en amont de l’Île viennent renforcer les liens entre les deux
rives, alors qu’un pont suspendu, jeté par dessus les fossés du côté des Pâquis, marque une timide ouverture vers
l’extérieur.
Entreprise dès 1850, la démolition des fortifications signifie pour Saint-Gervais une complète intégration à la ville,
mais aussi la perte d’une partie de sa substance ancienne. L’aménagement de la ceinture fazyste, qui assure la
transition entre le périmètre médiéval et les faubourgs en pleine croissance, bouleverse la hiérarchie des voies. Si
les rues du Temple et du Cendrier se connectent à nouveau au réseau viaire de la périphérie, la rue de Coutance
perd en revanche son monopole d’axe principal. L’établissement de la gare en 1858 déplace le centre de gravité
au nord et engendre la création des deux importantes artères qui, grâce aux ponts du Mont- Blanc et de la
Coulouvrenière, multiplient les liaisons avec la rive gauche.
La restructuration des pourtours entraîne également la réorganisation spatiale du noyau historique. Ainsi, la place
Grenus, créée au coeur de l’îlot de Coutance, double celle de Saint-Gervais réduite bientôt au statut de simple
carrefour. Cette opération inaugure une série d’autres interventions qui, en l’espace d’un siècle, font éclater des
îlots entiers et modifient profondément l’aspect architectural de l’ancien bourg. Inclus aujourd’hui dans un tissu
urbain plus vaste, Saint-Gervais peut ainsi facilement se confondre avec les quartiers voisins nés au XIXe siècle.
Architecture publique et privée. L’approche morphologique de la première partie a guidé dans une large mesure le
choix des objets étudiés dans la suite du volume. Elle justifie notamment la place accordée aux ouvrages disparus
– fortifications, établissements industriels ainsi que quelques constructions significatives qui témoignent des
différentes étapes du développement de Saint-Gervais et permettent de mieux comprendre son statut particulier au
sein de la cité.
Avant le démantèlement des remparts, ce bourg décentré ne compte qu’un nombre limité d’édifices à caractère
public. L’église, le château de l’Île, mais aussi le jeu de paume et le grenier à blé, reconnaissables sur de
nombreuses vues anciennes, constituent alors les principaux repères dans la topographie du site. Avec l’ouverture
de la ville et l’arrivée du rail, les grands chantiers publics se multiplient. Hormis la gare, dont les équipements ne
cesseront de s’étendre jusqu’à la fin du XIXe siècle, la ceinture accueille, sur une surface relativement restreinte,
plusieurs édifices importants: deux églises, dont la basilique Notre-Dame, la poste centrale, quelques
établissements scolaires et de luxueux hôtels. Anticipant sur la croissance des quartiers alentour, ces bâtiments
instaurent une nouvelle géographie monumentale qui contribue à relever le statut urbain de la rive droite.
Dans le domaine de l’architecture privée, le secteur de Coutance, dernier vestige des lotissements médiévaux,
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offre un échantillonnage relativement complet des différents types d’habitat qui se sont succédés à Saint-Gervais
du XVIe au XVIIIe siècle. Si les bâtiments mineurs y prévalent, le quartier comporte toutefois un certain nombre de
demeures prestigieuses. Avant l’introduction à Genève du modèle de l’hôtel parisien qui va modifier les pratiques
Genève. Vue aérienne de Saint-Gervais et des quartiers environnants prise vers 1945 (MAH vol. II, fig. 3 – Centre
d’iconographie genevoise)
d’habitat de la haute bourgeoisie, les maisons de la rue de Coutance, convoitées pour leur proximité avec la zone
marchande, mêlent ainsi logements modestes et vastes appartements. Les décors anciens récemment découverts
dans quelques-uns de ces bâtiments témoignent du raffinement de certains intérieurs.
Parmi les réalisations des XIXe et XXe siècles, il convient de signaler les deux ensembles de logements
économiques du square Paul-Bouchet et de la rue Vallin. Résultant de radicales opérations d’assainissement, ils
représentent les premiers exemples à Genève d’habitat ouvrier. Destinés à une tout autre clientèle, les immeubles
bourgeois des boulevards tentent de donner au quartier un caractère métropolitain.
Une dernière remarque: le cadre chronologique de cet ouvrage, défini par celui de la collection à laquelle il
appartient, laisse de côté les importantes réalisations modernes, qui participent, au même titre que l’architecture
ancienne, à l’identité du quartier.
Sources et iconographie. L’étude de la topographie urbaine et l’inventaire des objets les plus significatifs du
quartier ont reposé sur un examen critique de la bibliographie existante et les dépouillements d’une masse
considérable de sources écrites. Les recherches ont été menées dans les fonds des Archives d’État et de la Ville
de Genève, mais aussi dans l’Archivio di Stato di Torino ainsi que dans les Archives départementales de Savoie et
de Haute-Savoie. Parallèlement, une abondante iconographie, souvent inédite, a pu être réunie. À la très riche
cartographie ancienne, qui forme une base essentielle pour la lecture de l’évolution urbaine, s’ajoutent des relevés
effectués lots des récentes fouilles archéologiques.
Des reconstitutions du parcellaire médiéval, établies à partir du plan Billon (1726), permettent de visualiser les
extensions des différents secteurs du bourg. Quelques plans schématiques montrent ponctuelle ment les
développements successifs d’îlots et de bâtiments; d’autres présentent la synthèse des grandes opérations
d’assainissement et de percements de XIXe et XXe siècles. Enfin, deux plans de situation – l’un montrant le
périmètre étudié, l’autre, l’emplacement des objets traités – facilitent le repérage.
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Anastazja Winiger-Labuda
Sommaire (pp. V-VII)
Préface de la Société d’Histoire de l’Art en Suisse
Préface des auteurs
INTRODUCTION, par Anastazja Winiger-Labuda
MORPHOLOGIE URBAINE
Les premières occupations préhistoriques sous le temple de Saint-Gervais, par Matthieu Honegger
L’agglomération romaine du Ier siècle avant J.-C. au IVe siècle après J.-C., par Charles Bonnet et Béatrice Privati
L’établissement du haut Moyen Age : les structures archéologiques, par Charles Bonnet et Béatrice Privati
Le développement du bourg aux XIIIe-XIVe siècles, par Philippe Broillet
Le développement et la fortification de Saint-Gervais au XVe siècle, par Matthieu de la Corbière
L'état du bourg au XVIe siècle : un quasi statu quo, par Isabelle Brunier
Le développement urbain au XVIIe siècle, par Alain Mélo
Saint-Gervais au XVIIIe siècle, par Anastazja Winiger-Labuda
Une ville au repos (1798.1813), par Alain Mélo
Saint-Gervais sous la Restauration, par David Ripoll
Le développement urbain après la démolition des fortifications, par Bénédict Frommel
Vers la ville moderne, par Bénédict Frommel
Documentation générale
ARCHITECTURE PUBLIQUE ET PRIVÉE
ÉDIFICES RELIGIEUX
Le temple de Saint-Gervais
L’église cruciforme et son évolution, par Charles Bonnet et Béatrice Privati
Les remaniements de l’église paroissiale au début du XIVe siècle, La reconstruction de l’église
paroissiale, par Philippe Broillet et Nicolas Schätti
Le temple réformé (XVIe-XVIIIe siècle), Le temple actuel (XIXe-XXe siècle)», par Nicolas Schätti
La basilique Notre-Dame de Genève, par David Ripoll avec la collaboration d’Anastazja Winiger-Labuda
L'église anglaise, soit chapelle anglicane : the Holy Trinity Church, par Isabelle Brunier
FORTIFICATIONS ET DISPOSITIFS MILITAIRES
Le château de l’ile
Le château de l’Ile du XIIIe au XVIe siècle, par Matthieu de la Corbière
La tour de l'Ile du XVIe au XXe siècle, par Isabelle Brunier
Le Château-Royal, l’ancienne maison Dubied, puis des « Terreaux » ou de Sainte-Catherine
La maison Dubied, la « maison haute » des Terreaux ou de Sainte-Catherine, par Matthieu de la
Corbière
Le Château-Royal », par Isabelle Brunier et Anastazja Winiger-Labuda
Les fortifications et les dispositifs militaires de la rive droite au XVIe siècle (1511-1622), par Isabelle Brunier
La défense du bourg de Saint-Gervais au XVIIe siècle, par Alain Mélo
La fortification de Saint-Gervais au XVIIIe siècle: un projet inachevé, par Anastazja Winiger-Labuda
Documentation relative aux fortifications de Saint-Gervais
OUVRAGES D’ART
L’ancien pont suspendu des Pâquis, par Bénédict Frommel
Le pont de la Coulouvrenière, par Bénédict Frommel
Le quai Théodore Turretini, par Bénédict Frommel
BÂTIMENTS INDUSTRIELS
Bâtiments industriels, par Alain Mélo
« Boutiques » et « hauts-bancs », par Alain Mélo
Forges, par Alain Mélo
Fonderies, par Alain Mélo
L’atelier monétaire, par Alain Mélo
« Cabinets », « affaitements », « couverts » et hangars ou la rémanence d’une architecture précaire, par Alain
Mélo
Bâtiments des ponts et « rouages », par Alain Mélo avec la collaboration de Philippe Broillet
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La diffusion du modèle de la manufacture concentrée : l'ancienne usine Tiffany, par Bénédict Frommel
ÉTABLISSEMENTS ET ÉDIFICES PUBLICS
Le grenier à blé de Chantepoulet, par Alain Mélo
Le jeu de paume de la rue Chevelu, par Alain Mélo
L'ancien entrepôt de la rue du Mont-Blanc, par Bénédict Frommel
La gare de Cornavin, par Bénédict Frommel
Le premier bâtiment des voyageurs, La gare marchande, Les entrepôts des Magasins généraux, puis
du Port-Franc, la deuxième gare des voyageurs
L’ancienne école primaire de la rue Bautte 10, par David Ripoll
L’École des Arts décoratifs, boulevard James-Fazy 15, par David Ripoll
L’ancienne École horlogère, rue Necker 2, par Bénédict Frommel
L'ancienne École professionnelle et ménagère de jeunes filles, rue Jean-Jacques-Rousseau 8, par Bénédict Frommel
L’Hôtel des postes, rue du Mont-Blanc 18/rue Pécolat 1, par David Ripoll
La Maison du Faubourg, rue des Terreaux-du-Temple 8, par Bénédict Frommel
L’hôtel Cornavin et le cinéma Rialto, place de Cornavin 1-3/boulevard James-Fazy 33
Les fontaines (XVIe-XXe siècle) », par Isabelle Brunier
La fontaine de Coutance ou de Saint-Gervais, La fontaine du Temple, La fontaine de la place Chevelu,
Les fontaines de la place de Cornavin, La fontaine de la rue Kléberg, La fontaine du quai du Seujet, La
fontaine de Chantepoulet, La fontaine des Quatre-Saisons, à la place Dorcière, La fontaine de la place
Grenus
BÂTIMENTS D’HABITATION
L’îlot de la Croix-Fédérale, place de Saint-Gervais, par Matthieu de la Corbière et Anastazja Winiger-Labuda
Rue de Coutance 27-29 / rue des Corps-Saints 22, par Isabelle Brunier
La rue de Coutance, côté pair, Rue de Coutance 6, L'ancienne auberge des Trois-Couronnes. Rue de Coutance 88bis, L'ancienne auberge du Sauvage. Rue de Coutance 10/place Grenus 5, L'ancienne auberge de la
Croix-Blanche. Rue de Coutance 12/Place Grenus 7, Rue de Coutance 14, Place Grenus 9, Rue de
Coutance 16/place Grenus 11, Rue de Coutance 18, par Anastazja Winiger-Labuda
La rue des Etuves, côté impair, Rue des Etuves 15, Rue des Etuves 17, Rue des Etuves 19, Rue des Etuves
21/rue Jean-Jacques Rousseau 3, par Anastazja Winiger-Labuda
La rue Jean-Jacques Rousseau, côté impair, L'ancienne auberge de la Truite. Rue Jean-Jacques Rousseau 5,
L'ancienne auberge des Trois-Couronnes. Rue Jean-Jacques Rousseau 7, Rue Jean-Jacques
Rousseau 9/place Grenus 6, par Anastazja Winiger-Labuda
La rue des Etuves, côté pair. L'ancienne maison Favre et son domaine, Rue des Etuves 8, Rue des Etuves 14,
L'ancienne maison Girod. Rue des Etuves 20/rue Jean-Jacques Rousseau 1, par Anastazja WinigerLabuda
Rue Chantepoulet 7, par David Ripoll
L'ancienne maison Soiron. Rue de Chantepoulet 23, L'ancienne maison Roux. Rue de Chantepoulet 25 par
Anastazja Winiger-Labuda
Rue Ami-Lévrier 1-15, par Bénédict Frommel
L’immeuble des Tourelles, boulevard James-Fazy 2, par David Ripoll
Boulevard James-Fazy 8-10, Boulevard James-Fazy, 12-14, par Bénédict Frommel
L'ensemble de logements économiques et ouvriers dit square Paul-Bouchet, rue Théodore-Lissignol 1-9 et 8-12,
rue Jean-Jacques-Rousseau 12-16 », L'ensemble de logements économiques et ouvriers de la rue
Vallin, rue Adrien-Vallin 7-11 et 10-12, rue des Corps-Saints 4 et 8, rue Grenus 1-5, rue du Temple 8,
par Isabelle Brunier
Plan de situation des objets étudiés dans l’ouvrage
ANNEXES
Notes
Abréviations
Glossaire
Index
Crédit des illustrations
↑
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