ANNEXE : QUELQUES SALARIÉS D`AUTRES VERRERIES

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ANNEXE : QUELQUES SALARIÉS D’AUTRES VERRERIES
LONGCHAMP – LES AUDES – LE CREUSOT
Les verriers de Longchamp (Côte-d’Or)
Parmi les maîtres verriers de Longchamp, on relève :
François BABIN, écuyer à Longchamp1, témoin lors du mariage de Louis de MARIN de VAILLER (27 mai 1714) et
parrain en 1720 à Longchamp d’une fille de Louis de MARIN de VALLIER et d’Anne Alexis de MARIN.
Denis du ROURE, sieur de CHAMAROUX, de la verrerie de Bon Repos à Étivaux2 (Côte d’Or) en 1681, écuyer
demeurant à la verrerie de Longchamp3, alors qu’il est parrain en 1694 et 1697. Denis du ROURE,
sieur de CHAMAROUX est l’époux de Marguerite COLLIN, décédée le 14 mai 1717 à Lognchamp, âgée de 65
ans (fille de Barthélemy COLLIN, bourgeois de Dijon). Marguerite COLLIN est marraine en 1676 (fille
de Julien de BELLEPERCHE et Marguerite Marie du HOUX), et en 1679 (fille de Gaspard Gabriel de
MARIN et Charlotte de TRAVERS).
Julien César de BELLEPERCHE, écuyer, maître en partie de la verrerie de Longchamp4, époux de Marguerite Marie
du HOUX, parrain à Longchamp (1678), est père en 1675 (Anne Marie, décédée en 1675 à Longchamp) et
1676 (Marguerite).
Étienne de FINANCE, écuyer à Longchamp5, époux d’Élisabeth RAMEAU (décédée le 17 avril 1712 à Longchamp), est
témoin en 1692 et en 1714 (lors du mariage à Longchamp de Louis de MARIN de VALLIER). Étienne de
FINANCE est père en 1709 à Longchamp (Marguerite, dont le parrain est le fils de de FINANCE (sic)
et la marraine Marie Marguerite RAMEAU, fille de maître Jean RAMEAU organiste dans les églises
Saint-Bénigne, Saint-Étienne et Notre-Dame de Dijon. Élisabeth est la sœur de Jean Philippe RAMEAU6
(né à Dijon en 1683 et décédé à Paris en 1764), compositeur théoricien de la musique reconnu). (*)
On trouve trace7 du patronyme de FINANCE à la verrerie des Islettes (Meuse) de 1887 à 1943.
François de FINANCE, de la verrerie de Longchamp8, époux de Anne PIGNIASE, est père en 1720 (Anne).
Claude de GRIFEUILLE (ou d’AIGREFEUILLE9), sieur de l’Espinet, gentihomme, maître en partie de la verrerie de
Longchamp10, époux de Nicole NOBLET (fille de noble Jean NOBLET décédé avant 1676, avocat et docteur
en Droit au parlement de Dijon) laquelle est marraine en 1672 (fille de Jacques SERPOUILLI).
(*) On note une noble Anne Christine NOBLET, marraine à Longchamp en 1666.
(*) Les d’AIGREFEUILLE (ou de GRIFEUILLE) sont originaires du Languedoc.
(*) On trouve trace d’un Pierre d’AIGREFEUILLE11, nommé évêque de Clermont (vers 1350), qui prît
comme vicaire général le futur pape Urbain V (Guillaume de GRIMOARD, né en 1310 à Grizac, décédé en
1370 à Avignon). On note encore le cardinal Guillaume d’AIGREFEUILLE12, qui fut légat de l’anti pape
Clément VII (1381).
Jean de GRIFEUILLE (ou d’AIGREFEUILLE13), sieur de l’Espinet, maître en partie de la verrerie de Longchamp14,
époux d’Antoinette de BELLE, parrain à Longchamp en 1675, est père à Étevaux (Côte d’Or) en 1661
(Jacques François) et à Longchamp en 1676 (Claude). Jean de GRIFEUILLE (prénommé Claude lors de la
naissance de Jérôme), originaire du Dauphiné15, décédéle 27 novembre 1690 à Étevaux16, et Antoinette
du BELLE, sont les parents de Jérôme d’AIGREFEUILLE baptisé le 18 avril 1683 à Étevaux17 et décédé
le 15 décembre 1726 à La Vieille Loye18, et de Joseph d’AIGREFEUILLE, décédé avant le 2 décembre
170419.
1
ADCO - Archives communales de Longchamp - Registres paroissiaux - B.M.S. - cotes 5 MI 14 R 48 (1659 à 1740) et 5 MI 14 R 49 (1688 à 1792).
ADCO - Registres paroissiaux de la commune d’Étevaux - B.M.S. (numérisation) - cote 5 MI 25 R 23 (1681 à 1692).
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6
Marc VIGNAL - Dictionnaire de la Musique - éditionsss Larousse - septembre 1999 - pages 706 et 707.
7
Généanet - base de données généalogiques.
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9
ADJ - Archives communales de La Vieille Loye - Registres paroissiaux - B.M.S. - cotes 5 Mi 1131 et 5 Mi 1132.
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11
Internet - Urbain V. Les armes des Montferrand.
12
Internet - Hermann de Münster - article de l’encyclopédie libre Wikipédia.
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15
ADJ - Minutes de Me Joseph MAGDELAINE, notaire à Vaudrey (Jura) - 1689-1754 - cote 4 E 13264 - CM du 7/06/1694 entre Joseph de GRIFEUILLE et
Claude Louise du RAQUET.
16
ADCO - Registres paroissiaux de la commune d’Étevaux - B.M.S. (numérisation) - vue n° 47 - cote 5 MI 25 R 23 (1681 à 1692).
17
ADCO - Registres paroissiaux de la commune d’Étevaux - B.M.S. - vue 17 (numérisation) - cote 5 MI 25 R 23 (1681 à 1692).
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1
Jérôme d’AIGREFEUILLE, baptisé le 18 avril 1683 à Étevaux20 (Côte d’Or) et décédé le 15
décembre 1726 à La Vieille Loye21 est le fils de Jean, originaire du
Dauphiné22, décédé le 27 novembre 1690 à Étevaux23, et d’Antoinette de BELLE),
de la verrerie de Longchamp24. Jérôme d’AIGREFEUILLE se marie le 1er janvier
1704 à La Vieille Loye avec Claudine de TRAVERS, baptisée le 16 août 1682 à
Courtefontaine25, décédée le 17 mars 1770 à La Vieille Loye (fille d’Antoine
de TRAVERS, décédé le 24 septembre 1728 à Courtefontaine26, et de Jeanne
PEREY, décédée le 12 décembre 1721 à Courtefontaine27). De l’union du couple
sont nés ou décédés à La Vieille Loye28 :
Hercule d’AIGREFEUILLE, baptisé le 2 décembre 1704 à La Vieille
Loye, décédé le 17 juin 1715 à La Vieille Loye.
Claude Antoinette d’AIGREFEUILLE, baptisée le 26 juillet 1709 à
La Vieille Loye, mariée le 28 février 1737 à La
Vieille Loye29, avec Jacques Charles DORLODOT de
PRÉVILLE (fils de Gabriel et de Françoise de FINANCE
de CLAIRBOIS).
Claudine Antoine d’AIGREFEUILLE, baptisée le 26 juillet 1709 à
La Vieille Loye.
Léonard d’AIGREFEUILLE, décédé le 20 avril 1711 à La Vieille
Loye, âgé de 3 ans.
Jacques François d’AIGREFEUILLE, baptisé le 17 décembre 1712 à
La Vieille Loye, décédé le 23 avril 1714 à La
Vieille Loye.
Jeanne Françoise d’AIGREFEUILLE, baptisée le 27 août 1714 à La
Vieille Loye, décédée le 7 août 1719 à La Vieille
Loye.
Nicole d’AIGREFEUILLE, baptisée le 9 juillet 1716 à La Vieille
Loye.
Denis François d’AIGREFEUILLE, baptisé le 8 avril 1718 à La
Vieille Loye (dont le parrain est Denis François
TISSOT, maître particulier des Eaux et Forêts à la
gruerie de Dole), décédé le 22 janvier 1726 à La
Vieille Loye.
Louise Antoinette d’AIGREFEUILLE, baptisée le 23 juillet 1720 à
La Vieille Loye, décédée le 11 mai 1721 à La Vieille
Loye.
Anne Louise d’AIGREFEUILLE, baptisée le 1er juin 1722 à La
Vieille Loye (dont le parrain est Louis du MARIN).
Elle est décédée le 2 octobre 1775 à La Vieille
Loye.
Claude Joseph de GRIFEUILLE (ou d’AIGREFEUILLE30), écuyer demeurant à la verrerie de
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Longchamp , est témoin en 1692 à Longchamp. Claude Joseph de GRIFEUILLE
(fils de Jean, originaire du Dauphiné32, décédé le 27 novembre 1690 à
Étevaux33, et d’Antoinette de BELLE), épouse avec contrat de mariage (2 juin
1694) Claude Louise du RAQUET, décédée le 13 janvier 1728 à La Vieille Loye34
(fille de Pierre du RAQUET de LORME, maître verrier à La Vieille Loye, et de
Claude Antoinette RAMEY). Claude Joseph de GRIFEUILLE, parrain à La Vieille
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ADCO - Registres paroissiaux de la commune d’Étevaux - B.M.S. - vue 17 (numérisation) - cote 5 MI 25 R 23 (1681 à 1692).
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SINIBALDI Pierre - Relevés de la paroisse de Villars-Saint-Georges (Doubs) - Collection particulière.
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Loye (1695), est décédé avant le 22 mars 170135. De l’union du couple est
née :
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Louise d’AIGREFEUILLE, née le 30 juillet 1700 à La Vieille Loye , mariée le
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24 novembre 1728 à La Vieille Loye
(avec Joseph de PONARD dit
de BELLEVILLE, écuyer à Longchamp (Côte d’or) en 1709, qui décède
le 28 avril 1735 à Courtefontaine38 à l’âge de 50 ans). De cette
union sont nés à La Vieille Loye : en 1729 (2 jumelles : Jeanne
Louise et Claudine Huguette) et 1730 (2 jumelles : Barbe Thérèse
et Claudine Antoinette).
(*) Une Louise d’AIGREFEUILLE, épouse d’Antoine de BARBIER est
ctée dans un acte notarié39 (1742).
Charles d’AIGREFEUILLE, né vers 1680, époux de Marie Alberte de CHARRETON, es décédé le
19 février 1730 à La Vieille Loye40, âgé de 50 ans.. De cette union sont nés
ou décédés à La Vieille Loye41 :
Nicole Benoite d’AIGREFEUILLE, baptisée le 8 octobre 1703 à La
Vieille Loye, mariée le 10 juin 1725 à La Vieille
Loye42 avec Philibert Marie Joseph de BALAY de
JUSSAUX.
Claude Simon d’AIGREFEUILLE, baptisé le 27 octobre 1704 à La
Vieille Loye.
Hercule d’AIGREFEUILLE, baptisé le 3 octobre 1707 à La Vieille
Loye, marié en 1728 à La Vieille Loye43 avec Marie
Charlotte du RAQUET (fille de Hercule II du RAQUET
de LORME et de Jeanne Françoise de TRAVERS).
Jean MAILHARD (ou MAILLARD), marchand et maître en partie de la verrerie de Sauloy44 (Seuley ou Sauley),
paroisse de Longchamp, témoin en 1673 (décès de Pierre du MARIN), parrain en 1678, est père de
Jean, Pierre (parrain en 1680), Joseph (parrain en 1683) et Mathieu (né en 1680). Il décède avant
1692.
Jean MAILHARD (ou MAILLARD), fils de Jean marchand et maître en partie de la verrerie de Sauloy45 (Seuley ou
Sauley), paroisse de Longchamp, époux d’Anne PICHOT, est père en 1680 (Mathieu) 1685 (Jean
Baptiste), en 1687 (Léonarde) et en 1692 (Claude).
Claude de MARIN de la COLOMBIÈRE, gentilhomme maître en partie de la verrerie de Longchamp46, est parrain en
1659, 1662, 1664, 1668, 1674 et 1675. Il est mort noyé47 accidentellement le 13 octobre 1675 dans la
rivière de la Tille et inhumé à Longchamp.
Angélique de MARIN est marraine à Longchamp48 (1672).
Louis de MARIN du VALLIER (fils de messire de MARIN du GUA et de Benoîte GARNIER), originaire de Saint-Jeande-Bournay (Isère) au diocèse de Vienne en Dauphiné, verrier à Longchamp49, marié le 27 mai 1714 à
Longchamp avec Anne Alexis de MARIN (fille de Gaspard Gabriel et de Charlotte de TRAVERS), est
décédé50 le 8 février 1733 à l’âge de 50 ans est a été inhumé en l’église de Longchamp.
Anne Alexis de MARIN, novice51 aux Dames du refuge de Dijon en 1743.
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ADJ - Minutes de Me Jean Pierre GRANDJEAN, notaire à La Loye (1693/1729) - cote 4 E 13406 (rente en 1701 au profit de Claude Louise du RAQUET, veuve
de Claude Joseph d’AIGREFEUILLE).
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ADJ - Minutes de Me Claude François RENARD notaire à Germigney (1734 à 1773) - 12/01/1742 au 4/10/1742 - cote 4 E 14026 - Acte de vente d’une pièce de
terre par Louise d’AIGREFEUILLE, épouse d’Antoine de BARBIER à Jacques Charles DORLODOT de PREVEILLE, résidant à La Vieille Loye.
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Robert GENEVOY - Gentilshommes verriers italiens à la verrerie de Longchamp (21) - in Éclats de verre - Revue des Généalogies des Familles Verrières - n° 9 mai 2007 - pages 36 et 37.
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Charlotte de MARIN, née le 28 février 1716 à Longchamp52, décédée le 11 septembre 1717 à
Longchamp (dont le parrain est Jérôme d’AIGREFEUILLE, demeurant à La Vieille
Loye, et la marraine, Charlotte de TRAVERS, épouse de Gaspard de MARIN).
Nicole de MARIN, née le 17 avril 1718 à Longchamp53 (dont le parrain est Antoine
François de MARIN de la COLOMBIÈRE, fils de Gaspard de MARIN, la marraine
est Nicole du MARIN de la COLOMBIÈRE, fille de Gaspard de MARIN).
Charlotte de MARIN, née en 1719 à Longchamp54
Claudine de MARIN, née le 17 mars 1720 à Longchamp55, mariée le 13 octobre 1747 à
Dijon56, avec noble Jacques LOZE de LARDOS, du diocèse de Rieux (Languedoc),
fils de Jean et de Jeanne DARMAIN.
Jean Baptiste de MARIN, né le 18 novembre 1723 à Longchamp57 (frère jumeau de Pierrette)
Pierrette de MARIN, née le 18 novembre 1723 à Longchamp58 (sœur jumelle de Jean
Baptiste)
Louis Renobert de MARIN, né le 1 mars 1726 à Longchamp59, décédé à l’âge de 8 mois
(1726).
Jean Baptiste de MARIN, né le 5 mars 1732 à Longchamp60
Toussaine de MARIN, née le 11 juin 1733 à Longchamp (fille posthume).
Pierre de MARIN, gentilhomme maître en partie de la verrerie de Longchamp61, écuyer, époux de Reine de VERDIGNY
(Verdigny, arrondissement de Bourges, Cher), est père de 2 fils (Antoine et François) et de 3
filles (Angélique, Anne Françoise, Nicole et Claude). Il est parrain (1672) d’une fille de Jacques
SERPOUILLI. Il décède le 2 avril 1673 à Longchamp (Claude de MARIN, frère du défunt et Claude de
VERDIGNY, présentement à Montarlot, est témoin lors du décès). Sont issus du couple :
Antoine de MARIN du VERGER62 (fils de Pierre et de Reine de VERDIGNY), lieutenant colonel
d’infanterie en 1749, chevalier de l’ordre de Saint-Louis.
Anne Françoise, mariée le 5 février 1673 à Longchamp63 avec Jean d’ANNEZET (de HENNEZEL) (fils de
feu Charles, écuyer, sieur de Bois-Gizet64, et de Jeanne DUCRAIS (ou DUCRAY),
paroissiens de Savigny en Nivernois, Cher). Les témoins du mariage sont Hugues d’ANNEZET
(de HENNEZEL), François d’ANNEZET (de HENNEZEL), Claude de MARIN, Jérôme d’ANNEZET (de
HENNEZEL), Claude de GRIFEUILLE (d’AIGREFEUILLE) et Jean MAILLARD, tous marchands et
maîtres de la verrerie de Longchamp.
François de MARIN (fils de Pierre et de Reine de VERDIGNY), témoin lors du décès de son père à
Longchamp65 (1673).
Gaspard Gabriel de MARIN de VERGER (fils de Pierre et de Reine de VERDIGNY), écuyer demeurant à
Longchamp66, époux de Charlotte de TRAVERS (née à Courtefontaine67, décédée le 20 mai
1768 à Longchamp68, fille d’Antoine et de Jeanne PERREY). Gaspard Gabriel de MARIN,
décédé à l’âge de 70 ans le 28 janvier 1733 à Longchamp, est père de :
Joseph de MARIN du VERGER, décédé le 3 septembre 1696 à Longchamp.
Marguerite, née le 27 avril 1701 à Longchamp69, décédée le 23 octobre 1708 à Remillysur-Tille.
Antoine François Nicolas de MARIN de la COLOMBIÈRE, né le 9 janvier 1704 à Tellecey
(canton de Pontailler-sur-Saône, Côte-d’Or), écuyer, est parrain à Longchamp
(1718 et 1719).
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Bois-Gizet cité page 163 - in D’HENNEZEL René - Nobles et Verriers. Une famille de Gentilshommes verriers à travers les âges 1280/2005 - éditionsss Ol
Contou - 3ème trimestre 2005.
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Anne Alexis de MARIN, mariée le 27 mai 1714 à Longchamp avec Louis de MARIN du VALLIER
(fils de messire de MARIN du GUA et de Benoîte GARNIER).
Marguerite, née le 1er janvier 1709 à Longchamp70.
Jean Baptiste de MARIN, prêtre demeurant à Dijon, est parrain de son neveu né en 1732 à
Longchamp (fils de sa sœur Anne Alexis).
Nicolas Albert de MARIN, né le 20 mars 1716 à Longchamp, décédé le 9 juin 1716 à
Longchamp.
Nicole de MARIN, née le 6 avril 1697 à Longchamp71, mariée le 25 juin 1726 à Longchamp
avec Joseph Renobert Élisabeth du RAQUET, seigneur de La Vieille Loye,
travaillant à la verrerie de La Vieille Loye (fils de Louis et de Louise
Élisabeth COCAGNE). Elle est marraine à Longchamp (1718).
Pierrette de MARIN du VALLIER, née le 23 janvier 1712 à Tellecey (canton de Pontaillersur-Saône, Côte-d’Or), est marraine en 1732 à Longchamp72 (son neveu Jean
Baptiste, fils de Louis de MARIN du VALLIER et d’Anne Alexis de MARIN).
Pierrette de MARIN du VALLIER se marie le 28 juin 1749 à Hercule Claude
d’AIGREFEUILLE, écuyer, capitaine au bataillon de Lons-le-Saunier, fils de
Charles Nicolas, écuyer et de Marie Alberte de CHARRETON. Un fils est né de
cet union : Simon Charles d’AIGREFEUILLE né le 13 février 1751 à Longchamp73.
François MASSART, écuyer gentilhomme demeurant à la verrerie de Longchamp74, époux de Claudine GEORGAIN, est
parrain en 1679.
Jacques MASSART, époux de Françoise TILEMOT (ou VILEMOT), décédé le 26 janvier 1691 à Étevaux75 (il est sans
doute le fils de Jean MASSART, descendant des MASSARI, famille noble de verriers d’Altare en
Italie). Jacques MASSART est père à Longchamp le 24 janvier 1664 (Catherine) et en février 1665
(Claude). Il est père le 14 août 1668 à Longchamp76 (Antoine, dont le parrain est Antoine de TRAVERS
et la marraine Catherine BLANDIN). Un autre fils décédé en janvier 1670 à Longchamp77 (Jacques).
Jean MASSART, fondateur de la verrerie de Longchamp, époux de Marie SARODE (SAROLDI), est père à Longchamp78 le
11 mai 1664 (Claude).
Pierre MASSART, est à Longchamp79 en 1664 (baptême de la fille de Jacques MASSART), et le 26 octobre 1666
(baptême de Jeanne, fille de ??? MASSARD et de Catherine RAMEY). (*) Claude Antoinette RAMEY est
l’épouse de Pierre du RAQUET de l’ORME (contrat de mariage80 du 23 avril 1672, Me MOUR notaire à
Dole).
Cyprien du MOLARD, écuyer à Longchamp81 (1720).
Joseph de PONARD dit de BELLEVILLE, écuyer à Longchamp82, marié le 24 novembre 1728 à La Vieille Loye83 avec
Louise d’AIGREFEUILLE (née le 30 juillet 1700 à La Vieille Loye84, fille de Joseph et de Claude
Louise du RAQUET, mariés en 169485), est parrain à Longchamp (1709) de Marguerite fille de Gaspard
de MARIN et de Charlotte de TRAVERS. Joseph de PONARD dit de BELLEVILLE décède le 28 avril 1735 à
Courtefontaine86 à l’âge de 50 ans). De cette union sont nés à La Vieille Loye87 : en 1729 (2
jumelles : Jeanne Louise et Claudine Huguette) et 1730 (2 jumelles : Barbe Thérèse et Claudine
Antoinette).
Clonicien de TRAVERS, témoin à Longchamp88 en 1726 lors du mariage de Joseph Renobert Élisabeth du RAQUET.
Jean Baptiste de TRAVERS, témoin lors du mariage à Longchamp (1726) de Joseph Renobert Élisabeth du RAQUET.
Léonard de TRAVERS, fils de François, écuyer89, parrain à Longchamp en 1701 (Marguerite fille de Gaspard du
MARIN et de Charlotte de TRAVERS).
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ADCO - Extrait de la preuve de la noblesse - folio 179 - volume 2 - extrait rédigé le 15/09/1858 par le conservateur des archives délivré sur la demande de
Monsieur Marie François Jérôme du RAQUET de MONTJAY.
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ADJ - Minutes de Me Joseph MAGDELAINE notaire à Vaudrey (1689/1754) - 1/01 au 31/12/1694 - cote 4 E 13203.
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Sieur de VERGER, dont l’épouse Claude de MARIN est marraine en 1674 (fille de Jean GEORGES, servant à la
verrerie de Longchamp90.
Jean Baptiste de VIRGILE, écuyer demeurant à la verrerie de Bon Repos91, paroisse de Cirey, est parrain à
Longchamp en 1692 (fils de Jean MAILHARD).
Louis de VIRGILLE de la ???, écuyer à Sémelay (proche de Luzy, arrondissement de Château-Chinon, Nièvre),
présentement à Longchamp92, est parrain (17 mars 1719). Il est le fils de François de VIRGILE,
écuyer à Sémelay.
Pierre de VIRGILE, écuyer, sieur de Chaudenay, est parrain à Étevaux93 en 1688 (du fils d’un verrier de la
verrerie de Bon Repos) et témoin à Longchamp94 en 1692.
Au fil des registres95 paroissiaux de Longchamp, on remarque de nombreuses professions
liées à la fabrication ou au négoce du verre :
Jacques BACHELIER, de la verrerie de Longchamp, époux de Bénédicte GRILLET, est père en 1702 (Françoise).
Antoine BELIN, serveur à la verrerie de Longchamp, époux de Jeanne JACQUIN, est père en 1717 (Antoinette),
1719 (Louis), 1721 (Antoinette).
Guillaume BELIN, serveur à la verrerie de Longchamp, est parrain de la fille d’Antoine BELIN (1717).
Antoine BELOT, marchand de verre à Longchamp, époux de Denise JOACHIN, est père en 1713 (Jean), 1720 (Pierre
Ignace, décédé en 1721 à Longchamp).
Antoine BLANDIN, père d’un enfant (1662).
Claude BLANDIN, parrain (1662) d’un enfant de Claude de MARIN de la COLOMBIÈRE.
Claude BOSSU, servant à la verrerie de Longchamp, époux d’Élisabeth GAILLOT, est père en 1714 (Renobert).
Claude CALINON, serveur à la verrerie de Longchamp, époux de Claudine GUILLAPIN, est père en 1723 (Louis
Nicolas). Il est parrain d’une fille de charbonnier (1724).
(*) On retrouve le patronyme CALINON à la verrerie de La Vieille Loye.
Philippe DAUSSY, servant à la verrerie de Longchamp, époux d’Anne BOILLAUD, est père à Longchamp en 1677
(François).
Claude DUBARD, marchand de verre à Longchamp, époux de Claude MARTIN, est père à Longchamp en 1675.
Jean GEORGES, servant à la verrerie de Longchamp, époux de Catherine GRAS (ou GROS), est père en 1674
(Marguerite, dont la marraine est Claude fille de Pierre du MARIN) et parrain (1675).
Renobert GOUINIER, servant à la verrerie de Longchamp, est parrain d’un fils de Claude BOSSU (1714).
Claude JOYEUX, marchand de verre à Longchamp, époux de Jeanne BARRIERRE, est père en 1720 (Françoise).
Louis LACOSSE, serveur à la verrerie de Longchamp, marié le 9 mai 1717 à Longchamp, avec Marie Noëlle BAUDRI
ou BAUDIER (veuve de François BOURGEOIS, du village de Vilaine-en-Donois, diocèse d’Autun), est
père en 1718 (Louise) et 1719 (Anne).
Antoine LOUET, marchand de verre à Longchamp, époux de Blaise MASIN, est père en 1721 (Antoine) et 1723
(Nicole).
Hugues MARCHINI, marchand de verre à Longchamp, est parrain à Longchamp (1678).
Jean POUSSOT, de Tellecey (Côte d’Or), présentement à la verrerie de Beaulieu96, est parrain en 1726 (fille du
charbonnier Jean ROLLIN et de Jeanne BERGET).
André RICHARD, valet de verrerie, décédé le 30 novembre 1691 à Longchamp, est père en 1692 (Françoise, fille
posthume).
Claude ROYET, époux de Françoise MALNOURRY, demeurant à la vieille verrerie, parents d’une fille (1669).
François SERPOUILLI, fondeur à la verrerie de Longchamp, époux de Françoise MAGNIER laquelle est marraine à
Longchamp (1669), est père à Longchamp en 1660 (Maroux) et en 1676 (Claudine).
Jacques SERPOUILLI, fondeur à la verrerie de Longchamp, époux de Lazare ???, est père en 1672 (Nicole
Antoinette).
Claude TASSIN, demeurant à la jeune verrerie97 époux de Jeanne ???, est père en 1709 (Antoine).
Jean THEVENIN, marchand de verre à Longchamp, époux de Guillaumette PARIS, est père en 1722 (François).
Jean VALLET, lisseur à la verrerie de Longchamp, époux de Barbe GALAN, est père en 1720 (Cyprien).
Quelques verriers du village des Audes (Allier)
Balthazard CHEMUTE (CHENUTE en 1739, à rapprocher des patronymes de Mathieu CHEMIT et d’Ancelme CHEMIT en
1732), allemand, maître verrier, parain à Audes en 1739, décédé avant 1740, époux d’Anne
SIQUERATTE, allemande, décédée le 3 avril 1740 à Audes, âgée de 40 ans.
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95
96
97
ADCO - Archives communales de Etevaux - Registres paroissiaux - B.M.S. - cote 5 MI 25 R 23 (1681 à 1692).
6
Pierre FLEURY, maître verrier, originaire de Soleure (Suisse), âgé de 42 ans, veuf d’Ursule BONJOUR, décédé le
6 novembre 1737 à la verrerie de la Cueste, paroisse d’Audes.
Laurent GIRAUD, domestique à la Cueste, époux de Catherine FOURMEND, née à la verrerie de la Cueste, paroisse
d’Audes, est père d’un fils baptisé en 1739 (Balthazard).
Richard LAURENT, de Sainte-Marie-Église, escuyer, prévôt du manoir, chef de la verrerie d’Audes, 66 ans, époux
d’Hélène MOREL, qui décède le 26 mai 1737 à Audes.
Sébastien ROFASTE, verrier, fils de Jean Pierre, journalier de la paroisse de Plancher-Bas (Haute-Saône), et
de Jeanne JANNO, décédée, se marie le 9 septembre 1739, à Audes, avec Catherine CHARTIER, fille de
Michel, ouvrier de la verrerie de la Cueste, et de Louise TIESMER.
Les verriers du Creusot (saône-et-Loire)
Les registres d’état civil du Creusot98 livrent de nombreux patronymes
travaillant sur le site de la cristallerie durant la seule année 1793 :
d’ouvriers
verriers
Pierre AOSTAIND, fondeur à la verrerie, époux de Marianne PIERRE qui est témoin d’une naissance (14 mars).
Dominique AUBERT, tailleur de cristaux, époux de Suzanne BIGG, est père (23 mars). Il est aussi témoin de
naissances (29 janvier et 14 mars).
Pierre BAARTH (BARTH), tailleur de cristaux, époux d’Anne FAVART, est témoin d’une naissance (10 mars).
Claude BASTIEN, burineur, âgé de 43 ans, époux de Marie Reine SEYER, est père (10 juin).
André BLETRY (signe : BLETERY), verrier à la manufacture de critaux, époux de Catherine GRESLY, est père d’un
fils (29 janvier).
Jean Jacques CATTON, commis à la tour de la verrerie, 50 ans, est témoin d’une naissance (20 avril).
Jean CRINER, en son vivant, ouvrier en verre, demeurant à Saint-Quirin, département des Vosges, est père de
Marie CRINER, fille mère qui accouche d’une fille au Creusot (20 avril 1793).
Michel FOLLANT, verrier, époux de Marianne FAUGER, est témoin d’une naissance (24 février).
Jean FRAY (FREY), tailleur de cristaux, époux de Marie GAUTIN, est père (20 juin).
Jean Pierre FRISON, tailleur de cristaux, est témoin d’une naissance (18 juin).
Joseph GUERNE, verrier, témoin de naissances (24 février et 14 mars).
Georges KARCHE, graveur sur cristaux, époux d’Anne Marie HOLFELD, est père (12 juin).
Joseph KREIBIG, tailleur de cristaux, époux d’Ursule LEMBACH, est père (12 juin).
Charles LAMARCHE, tireur à la verrerie, époux de Claudine RAIRE, est père (14 mars).
Mathieu MATIRRE, verrier, témoin d’une naissance (28 janvier).
Pierre Louis MITTENHOFF, garde au magasin de la dite verrerie, est témoin d’une naissance (23 mars).
Antoine PONCHRE, tailleur de cristaux, est père (13 février).
René POUSSIN, tailleur de cristaux, époux d’Huguette SACTIER, est père (18 juin).
Georges RAIRE, tailleur de cristaux, est témoin d’une naissance (13 février).
Martin RAIRE, verrier, époux d’Éléonore NONBLOT qui est témoin d’une naissance (29 janvier).
Thomas REGNIER, tailleur de cristaux, est témoin d’une naissance (10 mars).
Joseph SCHMITT (SCHMID), graveur à la dite manufacture, puis tailleur de cristaux demeurant au Creusot, époux
de Marguerite GEND, est témoin de naissances (28 janvier et 10 mars 1793). Il demeure à Abrechville
(Haut-Rhin) alors qu’il est témoin d’une naissance au Creusot (10 juin 1793).
Adam STERNISANER, tailleur de cristaux, époux de Catherine HEPLICQ, est père (10 mars).
98
ADSL - Archives communales du Creusot - Registres d’état civil – Naissances 1792 / 1802 - cote 5E 153/1.
7
ANNEXE : LES VERRIERS DE LA VIEILLE LOYE (1740-1931)
Ces listes, certes partielles compte tenu des périodes lacunaires des divers fonds d’archives
utilisés, permettront cependant aux généalogistes d’y retrouver quelques traces de passages d’un
ascendant verrier. Les registres paroissiaux99 de la paroisse de La Vieille Loye (dont le premier
acte remonte au 7 juillet 1695), ainsi que les registres d’état civil100 de la commune (série du
greffe et archives101 du village) livrent les patronymes de nombreux verriers d’origines diverses.
Le village de La Vieille Loye ne représentait qu’une étape dans la carrière professionnelle des
employés qui se déplaçaient d’une verrerie à l’autre. Cependant, certains y ont résidé plus
longtemps que d’autres et ont même fini par y faire souche après y avoir trouvé l’âme sœur.
L’étude de l’état civil révèle des écarts importants entre les dates des actes de naissance (à
rapprocher des actes de décès d’enfants), aussi est-il permis d’avancer que les absences de
références à certains noms, y compris parmi les témoins, correspondent à des déplacements
professionnels vers d’autres verreries corroborés par les obtentions et pertes de droit
d’affouage102 qui illustrent ces migrations des verriers.
Les employés de la verrerie (1740-1808)
Marie Ève ALLEMAN (ALLIMAN), qualifiée de manouvrière à la verrerie de Vieille-Hutte paroisse de Plancher-lesMines103 (Haute-Saône), décédée le 6 novembre 1745 à La Vieille Loye (fille de Christian ALLEMAN
avec Marguerite SPICHER, originaire de Berne (Suisse). Avant 1699, son père travaille à la verrerie
de Schaffmatt104, paroisse de Welschenrohr, canton de Soleure (Suisse)). Marie Ève ALLEMAN remariée
le 16 janvier 1719 à Rougemont-le-Château (Territoire de Belfort) avec Urs WEIBEL, né le 28
novembre 1694105 à la verrerie de Soultz (Haut-Rhin), ouvrier à la verrerie d’Uffholz (Haut-Rhin).
Jacques AUHONSTOTTE, maître verrier, originaire de Hohenwald, en Alsace106 (sic), décédé le 22 août 1747 à La
Vieille Loye, en présence de sa femme, sa sœur et son beau-frère.
Pierre BARILLEY (fils de Claude François et de Pierrette SERMENT), verrier, époux de Claudine Françoise OUDET,
est père à La Vieille Loye (1801 : Jacques Ambroise ; 1803 : Jeanne Antoinette ; 1806 : Jean
Pierre). Pierre BARILLEY témoin, âgé de 42 ans, lors des mariages de sa sœur (Jeanne Antoine, en
1805) et de sa belle sœur (Claudine, en 1806).
Claude BEAUCAIRE (fils de Louis, laboureur, et de Pierrette SERMENT), verrier, témoin âgé de 25 ans lors du
mariage de son frère (Jean Pierre, en 1803).
Jean Pierre BEAUCAIRE (fils de Louis, laboureur, et de Pierrette SERMENT), né le 29 mars 1779 à La Vieille
Loye marié le 18 juillet 1803 à La Vieille Loye avec Huguette BARILLEY, est témoin d’un mariage à
La Vieille Loye (1804).
Jean BRETON, verrier, époux d’Huguette DEJEUX, est père à La Vieille Loye (1807 : Jeanne Caroline).
Jean Baptiste BOURDIN, époux de Marceline VALET, est père à La Vieille Loye (1783 : Denis et Pierrette,
jumeaux).
Claude CALINON (fils de Jean Claude et de ROCH Claudine), verrier, époux de Pierrette TISSOT, est père à La
Vieille Loye (1803 : Jeanne Pierrette). Claude CALINON est témoin lors des mariages de ses frères
(Pierre, charron, en 1805 ; Jean Louis, cultivateur, en 1807).
Jean Claude CALINON, époux d’Éléonore Claudine ROCH, est père à La Vieille Loye (1776 : Claude).
Jacques CALINON dit le Vieux (fils de Nicolas et d’Anne FAROUX), décédé le 31 janvier 1803 à La Vieille Loye.
Son fils Jean François, verrier, est témoin lors du décès.
Jacques CALINON dit le Jeune, manouvrier à la verrerie, est témoin lors d’une naissance en 1796. Jacques
CALINON dit le Jeune, époux de Jeanne Claude SIMONOT, est père à La Vieille Loye (1806 : Philippe ;
1807 : Claude François).
Jacques Pierre CALINON, maître verrier, marié le 24 janvier 1776 à La Vieille Loye avec Charlotte LAMY
(décédée à 36 ans le 22 février 1787), est père en 1777 (Jeanne Françoise), 1778 (Huguette), 1779
(Anne Pierre), 1783 (Jean Claude), 1785 (Hugues) et 1787 (Philibert). Jacques Pierre CALINON, veuf,
remarié le 2 octobre 1787 à La Vieille Loye avec Huguette BRETON, est à nouveau père à La Vieille
Loye (1790 : Jeanne Pierrette ; 1793 : Jeanne Françoise).
Jean Baptiste CALINON (fils de Claude François et de SIMONOT Charlotte), verrier en bouteille107, époux
d’Adélaïde Gasparine MICHAUX, est père à La Vieille Loye (1803 : Claude Joseph ; 1808 :
99
ADJ - Archives communales de La Vieille Loye - Registres d’état civil - N.M.D. - série du greffe (1792/1802 1803/1812 1813/1822 1823/1832) - cotes 5 Mi
1132 et 5 Mi 1133.
101
Mairie de La Vieille Loye - Registres d’état civil (naissances, mariages et décès : 1833/1842 1843/1852 1853/1862 1863/1872 1873/1882 1883/1892 1893/1902
1903/1912 1913/1922 1923/1932).
102
ADJ - Archives communales de La Vieille Loye - Registre des délibérations du conseil municipal - 05/1852 à 10/1870- cote 5 E 175 / 8.
103
104
MICHEL Guy Jean - Dictionnaire généalogique des verriers de Franche-Comté au XVIIIème siècle - Vesoul (70) : l’auteur - 1999 - 298 pages - pages 15 et 16.
105
MICHEL Guy Jean - Dictionnaire généalogique des verriers de Franche-Comté au XVIIIème siècle - Vesoul (70) : l’auteur - 1999 - 298 pages - page 239.
106
100
8
Antoinette). Jean Baptiste CALINON fait une donation108 (27 février 1806) à Anne (fille du
cultivateur Claude Antoine THIBERT et de Marie PONCETI). (*) On note un marchand de verre109
italien : Fiacre PONCETI.
Jean François CALINON (fils de Jacques), verrier, est témoin lors de mariages à La Vieille Loye (1805 et
1807).
Joseph CALINON, verrier, époux d’Hippolyte LEQUIN, est père à La Vieille Loye (1785 : Claudine ; 1787 :
Gabrielle, décédée en 1789 à La Vieille Loye ; 1790 : Jacques ; 1792 : Denise Bonaventure).
Charles CATRAIN, verrier, époux de Marie Intermette (sic) CHAPUIS, est père à La Vieille Loye (1805 : Charles
Renobert).
Antoine CHEMITTE (SCHMID110), décédé le 17 avril 1755 à La Vieille Loye, âgé de 55 ans (fils de Gaspard et de
Marguerite LACROIX (ou KREITZ)), est témoin lors du mariage111 du verrier Jean Baptiste GAUDARD (25
novembre 1749). Antoine CHEMITTE marié (âgé de 31 ans) le 8 janvier 1750 à La Vieille Loye avec
Anathoile PIERRET, 19 ans (fille d’Antoine et de Louise CHEVALIER). Antoine CHEMITTE est père à La
Vieille Loye (1750 : Pierre François ; 1753 : Pierre Louis).
(*) On trouve le patronyme SCHMIDT112 ou SCHMIT à la verrerie du Bief-d’Étoz113 (Doubs) et à la
verrerie de Miellin114(Haute-Saône). (*) FAVRE / FAYVRE équivalent à SCHMIDT, dans le pays
vaudois115.
Denis CHEMITTE (SCHMID116), maître verrier, né le 15 février 1745 à La Vieille Loye (fils de Joseph et de
Claude Anatoile DEJEUX). Denis CHEMITTE, parrain en 1766 à La Vieille Loye, marié le 20 février
1770 à La Vieille Loye avec Anne VALET (fille de Jean et de Jeanne Françoise LARDET). Denis
CHEMITTE est père à La Vieille Loye (1771 : Pierre ; 1772 : Madeleine ; 1775 : Marguerite ; 1777 :
Jacques ; 1778 : Anne ; 1779 : Jeanne Françoise ; 1781 : Jeanne ; 1782 : Jean Denis ; 1784 : Jean
Claude ; 1786 : Renobert ; 1787 : Jeanne Pierrette ; 1789 : François ; 1791 : Denis ; 1792 :
Magdeleine). Lors de cette naissance Denis CHEMITTE est notable laboureur et verrier117.
Gaspard CHEMITTE (SCHMID), né à la verrerie de Lobschez118, baptisé le 17 février 1687 (fils de Jean et de
Marie RASPILLER, mariés le 11 janvier 1683 à Soubey119 (Suisse)), verrier originaire de Soleure120
(Suisse). Gaspard, époux de Marguerite LACROIX (fille de Jean Jacques KREITZ121 et de Madeleine
SCHMID), réside à La Vieille Loye lors du mariage (30 janvier 1757) de l’un de ses 12 enfants
(Claude Pierre, né le 8 mars 1726 à la verrerie de La Chapelle-des-Bois (Doubs), horloger à
Fontenay-le-Comte, près de La Rochelle (Charente-Maritime)).
(*) Un enfant d’un Gaspard CHEMITTE décède à Dole (1706)122.
Jacques CHEMITTE (SCHMID), né en 1696, décédé le 22 septembre 1751 à La Vieille Loye (fils123 de Jean, né le 10
juillet 1662 à Soubey124 (Suisse), maître verrier, décédé avant 1708, et de Marie RASPILLER, mariés
le 11 janvier 1683 à Soubey (Suisse)). Jacques CHEMITTE marié le 27 juin 1718 à La Chapelle-desBois125 (Doubs) avec Claudine LAMY, décédée à Siam, paroisse de Sirod (Jura). Jacques CHEMITTE,
veuf, verrier126 à la verrerie de La Chapelle-des-Bois, remarié le 17 novembre 1722 à La Chapelledes-Bois127 avec Anne Barbe KREITZ (ou LACROIX). Jacques CHEMITTE, qualifié (1749) de faïencier de
la paroisse de Lons-le-Saunier128 (Jura), remarié le 15 juillet 1749 à La Vieille Loye, avec Louise
BONJOUR (en présence des verriers Jean Baptiste et Thomas GAUDARD). Jacques CHEMITTE est père à La
Vieille Loye (1750 : Claudine ; 1751 : Jacques Philippe). Louise BONJOUR, veuve, remariée le 14 mai
107
ADJ - Archives communales de La Vieille Loye - Registres d’état civil - N.M.D. - série du greffe - cotes 5 Mi 1132 et 5 Mi 1133.
ADJ - Minutes de Me Alexis DANTANT notaire à Mont-sous-Vaudrey (1805/1822) - 4/01 au 28/06/1806 - cote 4 E 13800.
109
110
MICHEL Guy-Jean - Verriers et verreries en Franche-Comté au XVIIIème siècle - Tomes II - éditionss Erti - collections recherches - 1989 - pages 704 et 705.
111
112
ALBERT André - Notes concernant les verriers - in Histoire des communes - CD Rom - collection particulière.
113
Dictionnaire des communes de Franche-Comté - dépouillement Luc DUBOZ - 1991.
114
FOURQUET Émile - Les Hommes célèbres et les Personnalités marquantes de Franche-Comté du IVe siècle à nos jours - rééditionss des éditionsss provinciales
- 1929 - page 434.
115
MICHEL Guy Jean - Dictionnaire généalogique des verriers de Franche-Comté au XVIIIème siècle - Vesoul (70) : l’auteur - 1999 - 298 pages - note de bas de
page en page 108.
116
117
118
119
Renseignement aimablement fourni par Mlle Odette BIGEON, membre du CEGFC de Dole (Internet - Amazonaute et Dheydecker).
120
ADJ - Minutes de Me Claude François RENARD notaire à Germigney (1734 à 1773) - 07/01 au 27/11/1757 - cote 4 E 14029.
121
122
CEGFC Dole - MOREL Monique - Relevés des actes B.M.S. de la paroisse de Dole - année 1706 - cote GG 63 - page 26 verso.
123
124
Renseignement aimablement fourni par Mlle Odette BIGEON, membre du CEGFC de Dole (Internet - Amazonaute et Dheydecker).
125
126
MICHEL Guy-Jean - Verriers et verreries en Franche-Comté au XVIIIème siècle - Tomes II - éditionss Erti - collections recherches - 1989 - page 474.
127
CEGFC - Relevés des mariages de la paroisse de La Chapelle-des-Bois (Doubs) - Collection particulière.
128
108
9
1753 à La Vieille Loye avec Jean Baptiste SERMENT129. Louise BONJOUR, veuve âgée de 67 ans, remariée
en 3ème noces le 23 février 1789 à La Vieille Loye avec Jean Baptiste LAMY, verrier âgé de 70 ans,
veuf d’Huguette RAISER.
Jacques Philippe CHEMITTE (SCHMID), maître verrier, né le 17 juillet 1751 à La Vieille Loye, décédé le 15 juin
1818 à La Vieille Loye (fils de Jacques et de Louise BONJOUR), parrain en 1765 et 1773, marié le 11
janvier 1774 à La Vieille Loye avec Jeanne Françoise THIBERT (fille de Jérôme et de Claude Louise
CHAMPONNOT). Jacques Philippe CHEMITTE, parrain en 1779, est père à La Vieille Loye (1774 :
Jérôme ; 1776 : Anne ; 1781 : Pierre Louis ; 1784 : Jean François ; 1786 : Jeanne Pierrette ;
1788 : François ; 1790 : Jeanne Baptiste). Jacques Philippe CHEMITTE est laboureur lors d’autres
naissances à La Vieille Loye (1793 : Jeanne Barbe ; 1795 : Marguerite).
Joseph CHEMITTE (SCHMID), né le 4 février 1716 à la verrerie de L’Isle-sur-le-Doubs130 (Doubs), décédé le 21
avril 1749 à La Vieille Loye (fils de Thomas et de Catherine FRISCH (ou FRICHE)), marié le 7
janvier 1744 à La Vieille Loye avec Claudine Anatoile DEJEUX (fille de Claude et d’Anne CHEVALIER).
Joseph CHEMITTE est père à La Vieille Loye (1745 : Denis ; 1748 : Jacques ; 1749 : Jean Antoine,
fils posthume).
Nicolas CHEMITTE (SCHMID), décédé le 6 août 1745 à La Vieille Loye (fils de Thomas et de Vérène GODARD
(GAUDARD)), co-fondateur de la verrerie de Miellin131 (Haute-Saône), époux de Catherine ROBICHON,
décédée le 3 juin 1777 à la verrerie de Miellin (Haute-Saône). Nicolas CHEMITTE décédé au domicile
de sa fille Jeanne Catherine (épouse du verrier Jean Baptiste HAAS). Son cousin germain, Urs
SCHMID, est également co-fondateur de la verrerie de Miellin132 (Haute-Saône).
Jacques DEJEUX, témoin lors d’un mariage (1787).
Pierre François DEJEUX (ou Pierre Louis133), verrier, époux de Jeanne Françoise BEIGUE (BÈGUE), est père à La
Vieille Loye (1793 : Jean Denis).
Jacques DEMAREST, de Picardie134, époux d’Élisabeth ZUMSTHIN, originaire de Berne135 (Suisse), et père à La
Vieille Loye (Jean Denis, baptisé le 30 octobre 1711).
Claude Arnould du RAQUET (DURAQUET), né le 8 juin 1736 à La Vieille Loye, décédé le 18 septembre 1818 à La
Vieille Loye (fils de Joseph Renobert, né vers 1696, et de Marie Thérèse d’ANDRESSOT, décédée le 27
janvier 1740 à La Vieille Loye), qualifié de maître ouvrier verrier136. Claude Arnould du RAQUET,
maré le 27 juin 1791 à La Vieille Loye avec Pierrette BEAUCAIRE (décédée le 17 décembre 1798 à La
Vieille Loye), est père (1793 : Antoine Victor, décédé en 1800 ; 1797 : Claude Hugues). Claude
Arnould DURAQUET, veuf, propriétaire, se remarie le 20 septembre 1803 à La Vieille Loye avec Jeanne
Baptiste PANTILLON, décédée le 14 juin 1836 à La Vieille Loye (fille de Jean Baptiste et de Denise
DEJEUX). Claude Arnould DURAQUET vend137 une pièce de terre labourable à Charles DORLODOT (1807).
Claude Arnould DURAQUET est père (Thibaud, né le 25 mars 1804 à La Vieille Loye, décédé le 25 avril
1875 à La Vieille Loye138, marié le 7 mai 1827 à La Vieille Loye avec Thérèse SIMONOT, décédée le 8
juin 1858 à La Vieille Loye. (De ce couple naît 2 fils : Jean Baptiste, marié avec Thérèse DECOMBE,
fondeur de verre139 à la verrerie de La Vieille Loye en 1876 ; Jacques, né le 17 février 1839 à La
Vieille Loye, décédé le 6 octobre 1912 à La Vieille Loye, époux de Joséphine SIMON.) Veuf, Thibaud
DURAQUET se remarie le 8 mars 1859 à Goux avec Jeanne Pierre GUENON (née le 7 avril 1811 à
Falletans140, décédée le 6 septembre 1867 à La Vieille Loye, fille de Claude Dominique et Suzanne
LALUNE)).
(*) Du couple Thibaud du RAQUET et Thérèse SIMONOT sont issus les DURAQUET qui exerceront le métier
de bûcheron141 en Forêt de Chaux : Claude François DURAQUET, né le 2 mai 1831 (fils de Thibaud et de
Thérèse SIMONOT), bûcheron142, épouse le 20 avril 1858 à La Vieille Loye Jeanne Françoise LACROIX
(fille de Louis et de Anne LACROIX). Il est père à La Vieille Loye143, le 25 mars 1859 (Claude
129
Renseignement aimablement fourni par Mlle Odette BIGEON, membre du CEGFC de Dole.
CEGFC - Relevés des naissances de la paroisse de L’Isle-sur-le-Doubs (Doubs) - Collection particulière.
131
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134
135
136
137
ADJ - Minutes de Me Claude François CHAVELET notaire à Germigney (An IX /1817) - 12/01 au 29/12/1807 - cote 4 E 13604.
138
Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des décès - 1873/1882.
139
140
CHARNOZ Jean Claude - Recensements des habitants des hameaux forestiers 1553 / 1904 - tables alphabétiques des naissances - ADJ cote 2 J 1125 - mariages
- cote 2 J 1126 - décès - cote 2 J 1127.
141
CHARNOZ Jean Claude - La Forêt de Chaux - Historique et Généalogie - l’auteur - 11/2000 - ADJ - cote 1 J 1062.
142
Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des naissances - 1853/1862.
143
130
10
Joseph144), le 23 octobre 1861 (Pierre François145), le 24 janvier 1864 (2 jumeaux : François et
Louis146), le 17 février 1869 (Claude François).
Joseph FAYVRE, originaire de la verrerie de L’Isle-sur-le-Doubs (Doubs), décédé le 21 avril 1749 à La Vieille
Loye, âgé de 33 ans (fils de Thomas et de Catherine FRICHE (ou FRISCH)), marié le 7 janvier 1744 à
La Vieille Loye avec Claudine Anathoile DEJEUX. Joseph FAYVRE est père (1745 : Denis ; 1749, un
fils posthume, baptisé en présence du verrier Jean Antoine CHEMITTE (SCHMID)). Il est parrain (1746
et 1748) à La Vieille Loye où il décède (en présence de sa femme, son beau-frère, sa belle-sœur et
ses nièces).
Louis FAYVRE, originaire de la verrerie de Chapelle-des-Bois dans le massif du Risoux (Doubs), maçon à la
verrerie147, décédé le 5 décembre 1745 à La Vieille Loye.
François FICHOUNE, verrier, époux d’Élisabeth VINCELLE, est père en 1805 (Antoinette Victoire).
Joseph FRETICOEUR (FRÖLIGUER, FRELICOEUR, FRELIGER ou FRÖLICHER148), verrier, né le 21 février 1776 à Épinac149
(Saône-et-Loire), décédé le 12 février 1815 (fils de Blaise, décédé le 20 août 1804 à SaintChamond150 (Loire), et de Marie Anne REPIQUET). Joseph FRETICOEUR, marié le 26 juin 1803 à La
Vieille Loye avec Claudine BOURDIN (fille de Jean, cultivateur, et d’Huguette BEAUCAIRE). Joseph
FRETICOEUR est père à La Vieille Loye (1804 : Philibert Melchior ; 1807 : Pierre). Joseph
FRETICOEUR est à l’origine d’un essai151 de remplacement du bois par du charbon pour chauffer les
fours de la verrerie de la Vieille Loye. Un inventaire après décès152 (sous le nom de FRÉTIGNEUX)
est réalisé le 23 février 1815 à son domicile. Il laisse trois enfants (Philibert Melchior, Pierre
et Jean Pierre) à la charge de son épouse Claudine BOURDIN, décédée le 29 août 1878 à La Vieille
Loye.
153
Claude Vincent GAUDARD (ou GODARD ), né le 9 mars 1697 à Tournedoz154 (Doubs), décédé le 5 décembre 1763 à La
Vieille Loye (fils de Benoît et de Jeanne Baptiste BOUCHOT), successivement verrier à la verrerie
de L’Isle-sur-le-Doubs155 (Doubs), la verrerie de La Grâce-Dieu156 (vers Chaux-lès-Passavant, Doubs),
en 1730-1731, et la verrerie de La Vieille-Hutte157 (Plancher-les-Mines, Haute-Saône) en 1744.
Claude Vincent GAUDARD, époux d’Anne Marie POMMIER, est père :
Jean Baptiste GAUDARD, décédé le 8 avril 1804 à La Vieille Loye, marié le 25 novembre 1749 à La
Vieille Loye avec Anne Barbe SCHMID.
Thomas GAUDARD, né le 5 mai 1721 à L’Isle-sur-le-Doubs (Doubs), décédé le 26 juillet 1807 à La
Vieille Loye, marié le 5 mars 1753 à La Vieille Loye avec Françoise GIRARD.
Anne Marie GAUDARD, décédée le 22 mars 1812 à Miellin (Haute-Saône), mariée le 4 février 1744 à
Servance158 (Haute-Saône) avec Claude Joseph GROSDEMOUGE.
Jeanne Marguerite GAUDARD (jumelle), née le 17 avril 1730 à Orsans159 (Doubs).
Jeanne Claude GAUDARD (jumelle), née le 17 avril 1730 à Orsans (Doubs), décédée le 14 juillet 1794
à La Vieille Loye, mariée le 26 avril 1755 à La Vieille Loye avec Pierre NICOLAS, né
vers 1735, marchand verrier de Passavant-la-Rochère160 (Haute-Saône) (fils de Denis161 et
144
Claude Joseph DURAQUET, né le 25 mars 1859 à La Vieille Loye (fils de Claude François et de Jeanne Françoise LACROIX, laquelle sera logée par son fils en
1910), époux d’Émilie DUVOIS (née le 29 novembre 1864 à Our, décédée en 1911), bûcheron, est père en 1886 (Émile), 1888 (Joseph), 1892 (Joséphine), 1902
(Henriette). Claude Joseph DURAQUET (lequel, veuf, se remarie le 19 mars 1912 à Our avec Françoise BENOIT) demeure (1892 à 1933144) dans la baraque n° 2 du
hameau forestier du 5ème triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de Our.
145
Pierre François DURAQUET, 23 octobre 1861 à La Vieille Loye (fils de Claude François et de Jeanne Françoise LACROIX), époux de Célestine DUVOIS,
bûcheron, est père en 1888 (Joseph), 1896 (Louise). Le couple demeure (1892145) dans la baraque n° 1 du hameau forestier du 5ème triage de la Forêt de Chaux
dépendant de la commune de Our, puis (1913 à 1916145) dans la baraque n° 3 du hameau du 15ème triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de
Montbarrey. Pierre DURAQUET est cousin avec Eugène OUDOT qu’il loge (1913 à 1916). Pierre François, veuf, se remarie le 27 mars 1920 à Falletans avec
Jeanne Françoise PRIQUET.
146
Louis DURAQUET, né le 24 janvier 1864 à La Vieille Loye (fils de Claude François et de Jeanne Françoise LACROIX), époux de Marie PAGE (née le 20
octobre 1870 à Colonne, bûcheron, père en 1894 (Lucie), en 1908 (Lucien). Le couple demeure (1910 à 1913146) dans la baraque n° 5 du hameau forestier du 3ème
triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de Falletans.
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148
149
150
MICHEL Guy Jean - Dictionnaire généalogique des verriers de Franche-Comté au XVIIIème siècle - Vesoul (70) : l’auteur - 1999 - 298 pages - pages 59 à 60.
151
152
ADJ - Minutes de Me Claude François CHAVELET notaire à Germigney (An II/1817) - 2/01 au 28/12/1815 - cote 4 E 13612.
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MICHEL Guy Jean - Dictionnaire généalogique des verriers de Franche-Comté au XVIIIème siècle - Vesoul (70) : l’auteur - 1999 - 298 page - pages 69.
159
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11
de Françoise BICHET, mariés162 le 23 mai 1720 à Passavant-la-Rochère), domiciliée à
Arbois lors de son décès, mère d’un enfant mort né à Orsans163.
Étienne GAUDARD, verrier, né vers 1733, décédé le 12 mars 1753 à La Vieille Loye.
Jean Baptiste GAUDARD, décédé le 8 avril 1804 à La Vieille Loye, âgé de 86 ans (fils de Claude Vincent,
verrier, et d’Anne Marie POMMIER), marié le 25 novembre 1749 à La Vieille Loye avec Anne Barbe
SCHMID (fille de Gaspard et de Marguerite LACROIX), est père à La Vieille Loye (1750 : Thomas ;
1752 : Jeanne Antoinette ; 1753 : Anne Charlotte ; 1755 : Marie Françoise ; 1758 : Anne ; 1759 :
Jeanne Antoinette ; 1761 : Claude Louise ; 1762 : Jacques). Jean Baptiste GAUDARD, veuf, remarié
avec Élisabeth SCHMID, est à nouveau père à La Vieille Loye (1764 : Jeanne Claude ; 1765 :
Renobert, verrier à La Vieille Loye en 1793, époux de Jeanne Louise BAZIN ; 1770 : mort née). Jean
Baptiste GAUDARD est cité dans un acte notarié164 (28 juillet 1772) avec son frère Thomas et sa sœur
Jeanne Claude.
Renobert GAUDARD (GODARD), verrier, né le 18 décembre 1765 à La Vieille Loye (fils de Jean Baptiste et
d’Élisabeth SCHMID), marié le 5 juillet 1793 à La Vieille Loye avec Jeanne Louise BAZIN (fille de
Dominique et de marie JANNIN). Renobert GAUDARD est père à La Vieille Loye (1800 : Jeanne Marie,
dont les témoins sont Charles DORLODOT et son fils Charles Marie). Il est à nouveau père à La
Vieille Loye (1802 : Pierre Marie), semblant mener un train de culture.
Thomas GAUDARD, né le 5 mai 1721 à L’Isle-sur-le-Doubs (Doubs), décédé le 26 juillet 1807 à La Vieille Loye
(fils de Claude Vincent, verrier, et d’Anne Marie POMMIER), parrain à La Vieille Loye en 1748,
marié le 5 mars 1753 à La Vieille Loye avec Françoise GIRARD (fille de Nicolas et de Marie
PIERRET), est père à La Vieille Loye (1754 : Claudine Antoine ; 1755 : Jean Baptiste).
Étienne GAUDARD, verrier, né vers 1733, décédé le 12 mars 1753 à La Vieille Loye (fils de Claude Vincent,
verrier, et d’Anne Marie POMMIER).
Hugues GIRARD, verrier, époux de Jeanne Françoise DEJEUX, est père à La Vieille Loye (1797 : Jeanne
Pierrette).
Jean Denis GIRARD, verrier, est témoin lors d’une naissance en 1797.
Jean Baptiste HAAS165 (AZE166), né le 9 juin 1716167 à la verrerie du Bief-d’Étoz (Doubs), décédé168 le 9 septembre
1764 à Givors169 (Rhône) (fils de Jean Baptiste et de Marie BACHMAN), marié le 30 juin 1737 à
Servance170, chapelle de Miellin (Haute-Saône) avec Jeanne Catherine SCHMID (fille de Nicolas, cofondateur de la verrerie de Miellin, et de Catherine ROBICHON). Jean Baptiste HAAS est père de 4
enfants nés à Miellin171 (entre 1738 et 1743 : Joseph, Claude Joseph, Anne Marie et Reine). Jean
Baptiste HAAS est père à La Vieille Loye (Étiennette, baptisée le 16 juin 1746, décédée le 8
octobre 1746 à La Vieille Loye). Jean Baptiste HAAS est père d’une fille (Éphrosine, dite Rose, née
en 1748 à la verrerie de Saint-Antoine vers Plancher-les-Mines (Haute-Saône), veuve de Claude
François PEQUIGNOT, remariée le 11 août 1783 à La Vieille Loye avec Bernard MULLER, et remariée en
troisièmes noces, le 13 juin 1786 à La Vieille Loye, Antoine GUDELOT, manouvrier).
Louis JARY, ouvrier chez Mr de PRÉVILLE, originaire de Normandie172, décédé à l’âge de 30 ans le 20 avril 1755
à La Vieille Loye.
François JUGE (fils de Jean Louis), verrier, époux de Claudine BEAUCAIRE, est père à La Vieille Loye (1800 :
Jeanne Françoise, décédée la même année).
Jean Claude JUGE (fils de Jean Louis), ouvrier verrier (témoin en 1798 lors du mariage de sa sœur), époux
d’Anne Françoise THIBERT, est père à La Vieille Loye (1800 : Anne).
Pierre JUGE, verrier, époux de Claudine JACQUEMET, est père à La Vieille Loye (1803 : Pierre Marc, décédé en
1804 ; 1805 : Pierre Aubin ; 1807 : Jean Claude).
Jean Baptiste LAMY, né vers 1714 (fils de Jean et de Marguerite RONCOURT), époux de Marguerite RAISER (ou
RÖHR, REIRE), originaire du site verrier de Saint-Quirin à Lettenbach173 (Moselle), est père à La
Vieille Loye (1750 : Claude Antoinette, dont le parrain est Jacques Charles DORLODOT de PRÉVILLE ;
1752 : Jeanne Françoise). Jean Baptiste LAMY, veuf d’Huguette RAISER, remarié le 23 février 1789 à
La Vieille Loye (à l’âge de 70 ans) avec Louise BONJOUR, âgée de 67 ans, veuve en première noces du
verrier Jacques CHEMITTE (SCHMID), né en 1696, décédé le 22 septembre 1751 à La Vieille Loye
162
CEGFC - Relevés des mariages de la paroisse de Passavant-la-Rochère (Haute-Saône) - Collection particulière.
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Givors compte des verreries depuis le milieu du XVIIIème siècle - in MARSEILLE Jacques - Une famille d’ouvriers de 1770 à nos jours - INF Hachette - 4ème
trimestre 1983 - page 53.
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(mariage 15 juillet 1749 à La Vieille Loye) et en deuxième noces de Jean Baptiste SERMENT174
(mariage le 14 mai 1753 à La Vieille Loye).
Jean Baptiste LEQUIN, manouvrier à la verrerie, époux de Huguette CALINON, est père à La Vieille Loye (1793 :
Étienne, décédé en 1795 ; 1796 : Pierrette).
Antoine LOMBERGET, verrier, époux d’Anne SAINTOT, est père (Pierre, marié le 18 avril 1780 à La Vieille Loye
avec Jeanne (fille de Fiacre PONCETI, italien175 d’origine, et de Jeanne COINDET)).
François Antonin MAITRE, originaire de Lieu Dieu, proche de Saint-Jean-de-Bournay, arrondissement de Vienne
(Isère), employé comme fondeur de verre blanc176 à la verrerie de La Vieille Loye, signe une
procuration177 le 19 février 1806.
Joseph MERCIER, du port de Kehl178, originaire d’une verrerie à la frontière de Lorraine179, époux d’Anne
Charlotte VINCELLE, est père à La Vieille Loye (Louise, baptisée le 24 août 1748).
Jean Baptiste MILLAIRE (MULLER180), verrier, décédé le 19 mai 1785 à La Vieille Loye à 42 ans.
Bernard MILLAIRE (MULLER), verrier, marié le 11 août 1783 à La Vieille Loye avec Rose AZE (HAAS181), veuve de
François PEQUIGNOT.
Émiland MOINE (fils de Jean et de Jeanne CHAUSSIN), originaire de la verrerie de Saint-Sernin-des-Bois182
(Saône-et-Loire), marié le 18 septembre 1798 à La Vieille Loye avec Anathoile CALINON (fille de
Claude François), qualifié de verrier en bouteille183, est père à La Vieille Loye (1797 : Jean,
décédé le 20 août 1800 ; 1803 : Jean Baptiste ; 1805 : Huguette Charlotte). Émiland MOINE est
témoin lors du décès, en 1800, du fils de Claude Arnould du RAQUET (Antoine Victor).
Pierre MOREL, garçon de service184, témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye en 1805.
Jacques Antoine MOURLIN, manouvrier à la verrerie, décède le 9 mars 1797. L’un des témoins du décès est
Jacques Charles DORLODOT, âgé de 80 ans.
Jean Bernard MULLER, décédé le 19 mai 1785 à La Vieille Loye (fils de Ours (ou Durs), décédé le 16 mars 1758 à
la verrerie de Wildenstein, vers Oderen (Haut-Rhin), et de Catherine GODARD), originaire de la
verrerie de Wildenstein, vers Oderen (Haut-Rhin), ayant travaillé à la verrerie de Blancheroche185,
vers Grand-Combe-des-Bois (Doubs).
Jean Bernard MULLER marié le 11 août 1783 à La Vieille Loye
avec Ephrosine (ou Rose) HAAS, née le 11 août 1748 à la verrerie de Saint-Antoine (Haute-Saône),
veuve de Claude François PEQUIGNOT (fille de Jean Baptiste, maître souffleur, décédé le 9 septembre
1764 à Givors (Rhône), et de Jeanne Catherine SCHMID, mariés le 30 juin 1737 à Servance, (HauteSaône)).
Claude François PEQUIGNOT, né le 27 avril 1733 à la verrerie des Roussottes186 (canton de Neuchâtel, Suisse),
décédé avant 1786 (sixième enfant187 de Jean Claude PEQUIGNOT et de Claudine SCHMID). Claude
François PEQUIGNOT, ouvrier à la verrerie de Givors (Rhône), marié le 1er février 1768 à Épinac188
(Saône-et-Loire) avec Rose HAAS (AZE). Claude François PEQUIGNOT est père à La Vieille Loye (1772 :
Jeanne Claude ; 1775 : Jean Antoine). Claude François PEQUIGNOT est encore père (Jean, décédé en
1775 à La Vieille Loye ; Toussaint, manouvrier à La Vieille Loye, époux de Geneviève BRETON). Rose
HAAS (AZE), veuve, remariée le 11 août 1783 à La Vieille Loye avec Bernard MILLAIRE (MULLER).
Toussaint (Tours, Turs) PEQUIGNOT, né le 28 février 1768 à Épinac189 (Saône-et-Loire) (fils de Claude François
et de Éphrosine HAAS), verrier, marié 6 février 1792 à La Vieille Loye avec Geneviève BRETON,
décédée en 1824 (fille de Jacques et de Thérèse GIRARD). Toussaint PEQUIGNOT est père à La Vieille
Loye (1800 : Jean Joseph).
François Joseph PELLETIER, décédé vers 1815 à Rive-de-Gier (Loire), est père à La Vieille Loye (Huguette, née
en 1795, mariée le 20 janvier 1834 à La Vieille Loye avec Louis NORMAND).
François Joseph PELLETIER, né à la verrerie de Saint-Quirin à Lettenbach (Moselle), décédé le 6 octobre 1805 à
La Vieille Loye, verrier (fils de François et d’Élisabeth RAIRE), époux de Marie Thérèse Marguerite
VOIRIN, née à Badonviller190 (Meurthe-et-Moselle), décédée le 7 janvier 1806 à La Vieille Loye.
François Joseph PELLETIER est père (Gabriel Alexandre Dominique, témoin âgé de 28 ans, du décès de
sa mère en 1806).
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ADJ - Minutes de Me Alexis DANTANT notaire à Mont-sous-Vaudrey (1805/1822) - 04/01 au 28/06/1806 - cote 4 E 13800.
13
Gabriel Alexandre Dominique PELLETIER, né le 1er mai 1777 à la verrerie de Sainte-Anne de Deneuvre191 à Baccarat
(Meurthe-et-Moselle), fils de François Joseph et de Marie Thérèse Marguerite VOIRIN (décédée le 6
janvier 1801 à La Vieille Loye), graveur de verre blanc, âgé de 28 ans, est témoin lors d’un
mariage à La Vieille Loye en 1805.
Toussaint (Tours, Turs) PEQUIGNOT, né le 28 février 1768 à Épinac192 (Saône-et-Loire), fils de Claude François
et de Éphrosine HAAS, verrier, marié en 1792 avec Geneviève BRETON (décédée en 1824, fille de
Jacques et de Thérèse GIRARD), est père en 1800 (Jean Joseph). François Joseph PELLETIER décède
vers 1815 à Rive-de-Gier (Loire) selon l’acte de mariage du 20 janvier 1834 à La Vieille Loye de sa
fille Huguette (née en 1795) avec Louis NORMAND.
Claude QUINARD, originaire de la verrerie de Longchamp193 (Côte-d’Or) époux de Claudine Françoise BRUGNOT, est
père d’une à La Vieille Loye (1741 : Anne Louise, dont le parrain est Jacques Charles DORLODOT de
PRÉVILLE).
Jean François RASPILLAIRE, né le 6 mai 1701 à la verrerie de La Caborde, à Fessevillers194 (Doubs), décédé le
12 avril 1783 à Fresse195 (Haute-Saône) (fils de Melchior et de Marie Catherine CHOFFAT). Jean
François RASPILLAIRE, un temps maître verrier à la verrerie de Ronchamp (Haute-Saône), puis à la
verrerie de Saint-Antoine196 (Haute-Saône), marié à Giromagny197 (Territoire de Belfort) avec Anne
Ursule ZELLER (fille d’un garde forestier). Jean François RASPILLAIRE, veuf, remarié198 le 26
janvier 1744 à Plancher-Bas (Haute-Saône) avec Anne Élisabeth FLEURY (fille de Georges), est père à
La Vieille Loye (1745 : Jean François dit Jean Frantz, décédé le 21 décembre 1785 à Givors199
(Rhône), marié le 12 janvier 1766 à Servance200 (Haute-Saône) avec Marguerite GRINER).
Melchior RASPILLAIRE, né le 10 février 1764 à la verrerie de Saint-Antoine à Plancher-les-Mines201 (HauteSaône), décédé le 22 octobre 1849 à La Vieille Loye202 (fils de Pierre Ignace dit l’Abbé, né le 27
septembre 1731 à la verrerie de Ronchamp203 (Haute-Saône), décédé le 18 janvier 1792 à Plancher-lesMines204, et de Françoise VEILLARD, mariés205 le 22 janvier 1760 à Plancher-Bas (Haute-Saône)).
Melchior RASPILLAIRE, veuf de Françoise VEILLARD, qualifié d’ouvrier en bouteille206, marié le 31
juillet 1798 à La Vieille Loye avec Pierrette SAINTOT (fille de Louis, sabotier207, et de Jeanne
PIERRET). Melchior RASPILLAIRE est père à La Vieille Loye (1799 : Jeanne, décédée en 1873 à La
Vieille Loye208, mariée avec Hugues DEJEUX ; 1800 : Claudine Antoinette). Melchior RASPILLAIRE est
à nouveau père à La Vieille Loye (Pierre, verrier à la verrerie de Neuvesel à Rive-de-Gier209
(Loire) (1827), né le 19 mars 1804, décédé le 10 septembre 1859 à Viviez210 (Aveyron), marié le 28
septembre 1828 à Rive-de-Gier211 avec Mariette (ou Claudine) TERROT (ou TERRAT).
Melchior
RASPILLAIRE est à nouveau père à La Vieille Loye (Jean François, verrier en verre à la vitre à la
verrerie Fleurdelix à Rive-de-Gier212, né le 18 avril 1806, marié en 1830 à Rive-de-Gier213 avec Anne
Barbe VILLET ; 1808 : Philibert, verrier, marié le 25juillet 1831 à Rive-de-Gier214 avec Madeleine
ANDRÉ).
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CEGFC - Relevés des mariages de la paroisse de Plancher-Bas (Haute-Saône) - Collection particulière.
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Mairie de La Vieille Loye - Archives Municipales - Registres des décès - 1843/1852.
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MICHEL Guy Jean - Les verriers d’origine comtoise à Rive-de-Gier (Loire) 1822/1832 - in Généalogie Franc-Comtoise - revue trimestrielle du CEGFC - n° 100
- décembre 2004 - pages 55 à 57.
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Melchior RASPILLAIRE ayant séjourné précédemment à Polignac (Haute-Loire), puis à Rive-de-Gier215
(Loire), revient le 8 juin 1824 à La Vieille Loye (1,66 m, châtain). Il retourne le 27 janvier 1826
à Rive-de-Gier (Loire) et y réside encore lors du mariage de sa fille (Jeanne, mariée le 12
décembre 1826 à La Vieille Loye avec Jean Baptiste BAUCAIRE). Melchior RASPILLAIRE se rend à Givors
(Rhône) le 19 juin 1827, pour revenir à la verrerie de La Vieille Loye le 10 mars 1828.
(*) Pierre Ignace (lui-même fils de Melchior, né le 6 septembre 1697 à la verrerie de La Caborde à
Fessevillers216 (Doubs), décédé le 26 mars 1753 à Plancher-les-Mines, marié le 17 mai 1718 à
Ronchamp217 avec Anne SCHMID218).
(*) Le patronyme RASPILLER, RASPIELLER ou RASPILLEUR219 se rencontre fréquemment à la verrerie du
Bief-d’Étoz (Doubs)220.
Jean ROUYET, époux de Claudine DUGAZ, originaire de la verrerie de Longchamp221 (Côte-d’Or), est parrain à La
Vieille Loye (1702).
Pierre SAINTOT, verrier, époux de Jeanne BOURDIN, est père à La Vieille Loye (1793 : Claudine, mariée le 25
novembre 1812 avec le verrier Georges Mathias BRONNER (fils de Georges et d’Anne Marie WEBEL222) ;
1805 : Melchior Lydie). Pierre SAINTOT est témoin lors du mariage à La Vieille Loye de sa soeur
Pierrette avec le verrier Melchior RASPILLAIRE.
Pierre SIMON, manouvrier à la verrerie, époux d’Anne JUGE, est père à La Vieille Loye (1795 : Jean Denis,
décédé en 1796 ; 1796 : Jean François).
Claude SIMONOT, verrier, époux de Pierrette TISSOT, est père à La Vieille Loye (1795 : Alexis ; 1806 : Jeanne
Françoise). Claude SIMONOT est témoin à La Vieille Loye de naissances (1803 et 1805) et de mariages
(1804 et 1808).
Hugues SIMONOT, verrier, marié le 23 novembre 1778 à La Vieille Loye avec Agnès BOILLIER, est père à La
Vieille Loye (1783 : Claudine ; 1788 : Anne Louise).
Jacques Ambroise SIMONOT, verrier, époux de Jeanne Claude BOILLIER (BOUILLEZ, BOILEY), est père à La Vieille
Loye (1785 : Jeanne Antoine, décédée en 1801 ; 1787 : Pierre ; 1788 : Claudine ; 1790 : Jeanne
Françoise).
Jacques Charles SIMONOT dit le Vieux, verrier, époux de Jeanne Baptiste CANTEAUX, est père à La Vieille Loye
(Claude, né vers 1771, marié le 27 décembre 1792 à La Vieille Loye avec Antoinette TISSOT ; Hugues,
verrier, décédé le 15 juillet 1804 à La Vieille Loye). Jacques Charles SIMONOT dit le Vieux, veuf,
remarié avec Claudine BOILLIER, père d’une fille (Jeanne Pierrette, décédée en 1785 à La Vieille
Loye) et à nouveau père à La Vieille Loye (1787 : Jeanne Françoise ; 1788 : Philibert Xavier ;
1790 : Claude François).
Hugues SIMONOT, verrier, témoin lors du décès de sa nièce à La Vieille Loye en 1800 (Jeanne Antoine).
Pierre VALET, manouvrier à la verrerie, époux d’Anne DEJEUX, est père à La Vieille Loye (1800 : Anne).
Jean Daniel VINCELLE (VINCEL), époux de, Marie Élisabeth PELLETIER (fille de François et d’Élisabeth RAIRE),
née à la verrerie de Saint-Quirin à Lettenbach223 (Moselle), décédée le 29 septembre 1805 à La
Vieille Loye.
Romain ARAUD (ou ARAND), maître verrier en bouteille, est témoin à La Vieille Loye lors d’une naissance âgé de
34 ans, est témoin de naissances à La Vieille Loye (1858, 1860) et d’un décès (1861). Romain ARAUD,
a perdu le droit à l’affouage224 (1862), signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie.
Pierre BARILLEY, verrier, époux de Claudine Françoise OUDET, est père à La Vieille Loye (Jacques, verrier, né
vers 1802, témoin lors du mariage de sa sœur (1840) à La Vieille Loye ; 1812 : Marie ; Paul Michel,
verrier, né le 7 janvier 1823 à La Vieille Loye, décédé le 13 octobre 1846 à La Vieille Loye ;
Claudine, mariée en 1840 à La Vieille Loye). Pierre BARILLEZ, maître verrier en bouteille, est
témoin lors du mariage du maître verrier Jean BRETON (1838) et lors du mariage de sa nièce Claudine
BARILLEZ (1840).
Jacques Ambroise BARILLEY, maître verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye (fils de Pierre, verrier, et
de Claudine Françoise OUDET) marié avec Jeanne Claude FAIVRE, décédée le 20 octobre 1836 à La
Vieille Loye (fille de Claude, garde forestier, et de Jeanne LHOMME, bûcheronne au 15ème triage en
Forêt de Chaux225). Jacques BARILLEY est père à La Vieille Loye (1826 : Félicité) et il est témoin
215
MICHEL Guy Jean - Les verriers d’origine comtoise à Rive-de-Gier (42) 1822-1832 - in Généalogie franc-comtoise - Revue du Centre d’Entraide de
Généalogique de Franche-Comté - numéro spécial - 4ème trimestre 2004 - n° 100 - pages 55 à 57.
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CHARNOZ Jean Claude - Recensements des habitants des hameaux forestiers 1553 / 1904 - Tables alphabétiques des mariages - ADJ cote 2 J 1126.
15
(38 ans) lors du décès de Jeanne Barbe GRAS à La Vieille Loye (1838), et lors du mariage de sa sœur
Claudine à La Vieille Loye (1840). Jacques Ambroise BARILLEY, veuf, remarié le 30 juillet 1840 avec
Adélaïde COLIN (née le 6 septembre 1813 à La Vieille Loye, fille naturelle de Marie COLIN,
marchande à La Vieille Loye).
Jean Charles BARILLEY, né le 26 avril 1826 à La Vieille Loye (fils de Jean Pierre, décédé le 12 mars 1848 à La
Vieille Loye, et de Claudine Françoise POUX, décédée le 21 mars 1858 à La Vieille Loye). Jean
Charles BARILLEY marié le 20 octobre 1856 à La Vieille Loye avec Thérèse PACTET (veuve de Ferdinand
DEJEUX décédé le 15 août 1855 à La Vieille Loye), née le 23 août 1833 à La Vieille Loye (fille de
Jean Pierre, décédé en juin 1838 à La Vieille Loye, et de Caroline ROCH, décédée en novembre 1834 à
La Vieille Loye). Jean Charles BARILLEY est témoin lors du décès de son père (1848) et lors du
mariage de Pierre Louis BOIRET (1855). Jean Charles BARILLEY est père à La Vieille Loye (1857 :
Charles Victor).
Jean Pierre BARILLEY, né le 25 octobre 1785 à La Vieille Loye, décédé le 11 mars 1848 à La Vieille Loye (fils
de Claude François et de Pierrette SERMENT), époux de Claudine Françoise POUX, décédée le 21 mars
1858 à La Vieille Loye (fille de Maurice, marchand de bois à Éclans, et de Jeanne Baptiste
ROUSSILLON).
Paul Michel BARILLEY, né le 7 janvier 1823 à La Vieille Loye, décédé le 13 octobre 1846 à La Vieille Loye
(fils de Pierre, verrier, et de Claudine Françoise OUDET), époux de Jeanne COLIN (fille de Marie
COLIN, marchande de tabac à La Vieille Loye). Paul Michel BARILLEY est père à La Vieille Loye
(1843 : Jean Baptiste Hippolyte, verrier, décédé en 1878 à La Vieille Loye ; 1845 : Clémence ;
1847 : fils posthume).
Joseph BERTRAND, qualifié de rangeur de bouteilles à la verrerie, né le 8 mars 1836 à La Vieille Loye (fils de
Jean Pierre et de Jeanne Baptiste Josette CRETIN), marié le 9 juin 1857 avec Marie Albine ROUSSET,
née le 28 octobre 1835 à Beaune (Côte-d’Or) (fille de Pierre Claude et de Françoise MEUNIER).
Joseph BERTRAND est père à La Vieille Loye (1857 : Marie Albine).
Charles Joseph BRETON, verrier, né le 23 juillet 1812 à La Vieille Loye (fils de Jean, verrier, et de
Marguerite DEJEUX), marié le 4 juillet 1843 à Auxonne226 (Côte-d’or), avec Anne DARCEAU, née le 4
novembre 1823 à Auxonne (fille de Claude et de Marie ROBARDET, décédée le 18 janvier 1839 à
Auxonne). Charles Joseph BRETON est père à La Vieille Loye (1844 : Joséphine).
Jean BRETON fils, maître verrier, né le 14 mai 1810 à La Vieille Loye (fils de Jean et d’Huguette Marguerite
DEJEUX), marié le 25 septembre 1838 à La Vieille Loye avec Marguerite GIRARDET, née le 30 novembre
1809 à La Vieille Loye (fille de Louis et de Barbe THIBERT). Jean BRETON est père à La Vieille Loye
(1839 : Adélaïde), puis témoin d’un décès à La Vieille Loye (1840).
Jean BRETON père, verrier, époux d’Huguette Marguerite DEJEUX, est père à La Vieille Loye (Jean, verrier, né
le 14 mai 1810 à La Vieille Loye, marié le 25 septembre 1838 à La Vieille Loye avec Marguerite
GIRARDET ; Charles Joseph, verrier, né le 23 juillet 1812 à La Vieille Loye, marié le 4 juillet
1843 à Auxonne227 (Côte-d’or), avec Anne DARCEAU ; Théodore, verrier, né le 9 mai 1816 à La Vieille
Loye, marié le 7 février 1849 à La Vieille Loye avec Jeanne Pierre PANTILLON).
Jean BRETON, verrier, époux de Thérèse GIRARDET, est père à La Vieille Loye (1844 : Théodore, décédée à 4
mois ; 1845 : Mélanie).
Jean Baptiste BRETON, témoin lors d’un mariage à La Vieille Loye (1843).
Théodore BRETON, verrier, né le 9 mai 1816 à La Vieille Loye (fils de Jean, verrier, et de Marguerite DEJEUX),
marié le 7 février 1849 avec Jeanne Pierre PANTILLON, née le 30 novembre 1826 à La Vieille Loye
(fille de Jérôme et de Jeanne Claude DEMORTIER, décédée le 20 février 1860 à La Vieille Loye), est
témoin lors d’un décès à La Vieille Loye (1845) et père à La Vieille Loye (1849 : Jeanne Orise ;
1855 : Apoline ; 1857 : Théodore ; 1859 : Octavie Honorine). Théodore BRETON est témoin (âgé de 46
ans) lors du mariage de son neveu Jean Louis ROCHARD (1861).
Georges Mathias BRONNER, né (1785) à la verrerie de Fours (Nièvre) (fils de Georges et de Anne Marie WEBLE
(WEIBLE WEIBEL228)), Georges Mathias BRONNER est tailleur de cristaux à Semsales, canton de Fribourg
(Suisse)229 lors de son mariage (1812) à La Vieille Loye avec Claudine SAINTOT (fille de Pierre et
de Jeanne BOURDIN).
(*) La verrerie de Fours (Nièvre), où ont travaillé jusqu’à 1 000 employés, encore appelée SainteCatherine230 ou Grande-Catherine231, créée à la demande du comte de VOGÜE le 22 juillet 1790 par
Melchior SCHMID, décédé le 19 décembre 1793.
Claude CALINON, ouvrier en bouteille232, époux d’Huguette BRETON, est père à La Vieille Loye (1812 : Jeanne
Baptiste).
Claude François CALINON, verrier, décédé avant 1801, époux de Charlotte SIMONOT (une fille : Anathoile, mariée
en 1798 avec le verrier Émiland MOINE).
Jacques CALINON, verrier (fils de Claude François et de Charlotte SIMONOT), époux de Jeanne Claude SERMENT,
est père à La Vieille Loye (1823 : Marie Judith). Jacques CALINON est témoin à La Vieille Loye lors
du mariage de son frère (1801).
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AM Auxonne (21) - Registres d’état civil - Mariages - Année 1843.
AM Auxonne (21) - Registres d’état civil - Mariages - Année 1843.
AD Nièvre - Inventaire sommaire antérieur à 1790 - page 224 - série E.
POVOAS Paul - Pérégrinations verrières - in Votre Généalogie - revue bimestrielle - n° 18 - avril/mai 2007 - pages 58 à 62.
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Jean Baptiste CALINON, verrier en bouteille233, né le 21 août 1776 à La Vieille Loye (fils de Claude François
et de Charlotte SIMONOT), témoin lors du mariage de sa sœur (Anathoile) en 1798, marié le 16
février 1801 à La Vieille Loye avec Adélaïde Marie Gasparine MICHAUX (Lors du mariage l’un des
témoins est Charles DORLODOT, propriétaire). Jean Baptiste CALINON est père à La Vieille Loye
(1810 : Claude Michel).
Nicolas CALINON, verrier âgé de 34 ans, doit se marier à La Loye avec Françoise NICOD (promesse234 de mariage
du 6 avril 1823).
Jean CERNEAU, maître ouvrier en bouteille235, époux de Catherine LAVAUVRE, est père à La Vieille Loye (1842 :
Jocelyne).
Pierre CHARENTON, verrier, époux de Marie Louise MATURIN, est père à La Vieille Loye (1812 : Jean François).
François CRAPONNE, verrier, est témoin âgé de 21 ans lors du mariage à La Vieille Loye de Joseph BERTRAND
(1857).
André DARD, verrier, est témoin âgé de 37 ans lors du décès (1858) à La Vieille Loye de sa nièce (Eugénie
TRUCHOT). André DARD, maître verrier en bouteille, est témoin lors d’une naissance à La Vieille
Loye (1860).
Charles DEJEUX, fondeur de verre, époux de Françoise DELIOT, est père en 1858 (Charles Louis), âgé de 40 ans,
et témoin (âgé de 40 ans) lors du décès de sa tante Jeanne Françoise DUGOURD à La Vieille Loye
(1857), et témoin (âgé de 43 ans) lors du mariage de Jean Louis ROCHARD Charles Marie DEJEUX
(1861).
Jean François DEJEUX, verrier, époux de Jeanne Baptiste SAINTOT (SINTOT), est père (1812 : Jeanne Françoise).
François FORET, verrier, est témoin âgé de 36 ans lors d’un décès à La Vieille Loye (1857).
Jean Claude FRELIQUEUR, verrier, né le 8 octobre 1809 à La Vieille Loye, décédé le 4 janvier 1844 à La Vieille
Loye (fils de Joseph, verrier, et de Claudine BOURDIN).
Joseph FRETICOEUR (FRÖLIGUER, FRELICOEUR, FRELIGER ou FRÖLICHER236), verrier, né le 21 février 1776 à Épinac237
(Saône-et-Loire), décédé le 12 février 1815 à La Vieille Loye (fils de Blaise, décédé le 20 août
1804 à Saint-Chamond238 (Loire), et d’Anne REPIQUET). Joseph FRETICOEUR, marié le 26 juin 1803 à La
Vieille Loye avec Claudine BOURDIN (fille de Jean, cultivateur, et d’Huguette BEAUCAIRE), est père
à La Vieille Loye (1804 : Philibert Melchior ; 1807 : Pierre). Joseph FRETICOEUR est à l’origine
d’un essai239 de remplacement du bois par du charbon pour chauffer les fours de la verrerie de la
Vieille Loye. Un inventaire après décès240 (sous le nom de FRÉTIGNEUX) est réalisé le 23 février
1815 à son domicile. Il laisse trois enfants (Philibert Melchior, Pierre et Jean Pierre) à la
charge de son épouse Claudine BOURDIN, décédée le 29 août 1878 à La Vieille Loye.
Philibert Melchior FRELICOEUR (FRELIQUEUR FRÖLICHER241), verrier, né le 23 septembre 1804 à La Vieille Loye,
décédé le 1er avril 1848 à La Vieille Loye (fils de Joseph, verrier, né le 21 février 1776 à
Épinac242 (Saône-et-Loire), décédé le 12 février 1815 à La Vieille Loye, et de Claudine BOURDIN),
marié le 8 février 1836 à La Vieille Loye avec Jeanne CALINON (fille de Claude et d’Huguette
BRETON), est père à La Vieille Loye (1836 : Anne). Philibert Melchior FRELICOEUR, qualifié de
maître verrier en bouteille243, est témoin lors du mariage du maître verrier Jean BRETON (1838) et
lors du décès de son frère Jean Claude (1844). Il est ensuite cultivateur.
Pierre FRELIQUEUR, maître ouvrier verrier, né le 15 août 1807 à La Vieille Loye, décédé le 11 octobre 1877 à
La Vieille Loye (fils de Joseph, en son vivant verrier, et de Claudine BOURDIN), époux de Marie
MICHEL, est témoin lors d’un mariage à La Vieille Loye (1852).
Félix GAGET, verrier, époux de Jeanne SERVIAT, est père à La Vieille Loye (1858 : Jean, le dit enfant est né à
la verrerie). Félix GAGET, maître ouvrier verrier en bouteille, est témoin âgé de 24 ans lors d’un
décès à La Vieille Loye (1861). Il est témoin lors du décès de sa belle mère (Françoise CHASSEROT,
née à Blanzy (Saône-et-Loire) décédée le 12 novembre 1867 à La Vieille Loye au domicile de son
gendre (fille de Benoit et de Pierrette ( ?), cultivateurs à Blanzy)), épouse de Pierre LACOMBE,
verrier à Blanzy). Félix GAGET, perd le droit à l’affouage (1862), signe de déplacement
professionnel vers une autre verrerie. Félix GAGET, est revenu ensuite à La Vieille Loye puisqu’il
perd à nouveau le droit à l’affouage (1867).
Jacques GIRARD, refendeur244, 27 ans, époux de Jeanne Claude DELIOT, est père à La Vieille Loye (1855 :
Agathe).
Jean GONNET, verrier, époux de Magdeleine BONNARD, est père (âgé de 26 ans) à La Vieille Loye (1857 : Romain).
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ADJ - Minutes de Me Claude François CHAVELET notaire à Germigney (An II/1817) - 2/01 au 28/12/1815 - cote 4 E 13612.
Mairie de La Vieille Loye - Registres des mariages - 1833/1842.
Mairie de La Vieille Loye - Registres des naissances - 1853/1862.
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Charles GRIVOT (acte signé GRIVEAUX), travaillant à la verrerie de La Vieille Loye et demeurant à SaintBerain-sur-Dheune (Saône-et-Loire), époux de Pierrette BRUGNOT, est père à La Vieille Loye (1845 :
André).
Pierre François JUGE, né le 12 octobre 1810 à La Vieille Loye (fils naturel de Jeanne Antoine JUGE), marié le
24 avril 1843 à La Vieille Loye avec Antoinette BOURDIN, née le 4 février 1830 à La Vieille Loye
(fille de Philibert et d’Anne DEJEUX). Pierre François JUGE est père à La Vieille Loye (1844 :
Antoinette).
François Xavier LAVAUVRE (LAVAIVRE), ouvrier verrier, né le 11 juillet 1823 à Souvigny245, arrondissement de
Moulins (Allier) (fils de Jean Baptiste, verrier, et de Marie Célestine LAMY), marié le 22 juillet
1845 à La Vieille Loye avec Joséphine Alexandrine RASPILLAIRE, demeurant à La Vieille Loye.
François Xavier LAVAUVRE est père à La Vieille Loye (1845 : Jean Baptiste ; 1847 : Alexandrine ;
1853 : Jeanne Célestine). Il achète246 un terrain à La Vieille Loye à sa belle-mère Antoinette
RASPILLAIRE (21 juillet 1851).
Jean Baptiste LAVAUVRE, décédé le 11 novembre 1895 à La Vieille Loye (fils de François Xavier, maître ouvrier
verrier en bouteilles, et d’Alexandrine RASPILLAIRE). Jean Baptiste LAVAUVRE, maître verrier
ambulant, résidant présentement à La Vieille Loye, au domicile de Jean Baptiste Eugène CARRÉ,
maître de verrerie, déclare le décès de sa belle fille (Catherine CHASTELOT, née à Souvigny
(Allier), décédée le 5 août 1839 à La Vieille Loye (fille de Benoît, décédé à Souvigny, et de
Célestine LAMY)). Jean Baptiste LAVAUVRE, maître ouvrier verrier en bouteilles, marié avec Jeanne
Françoise Ernestine GAIME, couturière, puis négociante en 1901. Jean Baptiste LAVAUVRE est témoin
âgé de 26 ans lors d’un mariage (1871 : Joseph SIMONOT). Jean Baptiste LAVAUVRE est père à La
Vieille Loye (1874 : Célestine ; 1875 : Charles Céleste ; 1876 : Jeanne Célestine, née à la
verrerie, mariée le 28 août 1901 à La Vieille Loye, mariée avec Charles Marie Joseph POYET ; 1879 :
Marguerite et Lucie, jumelles ; 1881 : Angèle Gabrièle). Jean Baptiste LAVAUVRE est témoin lors du
mariage (1875) de sa sœur Alexandrine Victorine à La Vieille Loye (avec Émile Adolphe RONEIRE).
Jean Baptiste LAVAUVRE est marchand épicier à La Vieille Loye lors de son décès.
André LOBRE, âgé de 25 ans, ouvrier verrier demeurant à Rive-de-Gier (Loire), travaillant à la verrerie de La
Vieille Loye, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye (1845).
Jean Baptiste MENU, verrier en bouteille, époux de Reine DUHOU, est père à La Vieille Loye (1856 : Fanfan ;
1857 : Louis, âgé de 33 ans ; 1858 : Louis Jules).
Émiland MOINE, verrier en bouteille, originaire de Saint-Sernin-des-Bois 247 (Saône et Loire), né vers 1760
(fils de Jean et de Jeanne CHAUSSIN), marié le 19 septembre 1798 à La Vieille Loye avec Anathoile
CALINON (fille de Claude François, verrier, et de Charlotte SIMONOT), est père à La Vieille Loye
(1812 : Jean Denis, verrier, marié le 31 novembre 1831 à La Vieille Loye avec Jeanne Baptiste
SINTOT ; 1832 : Huguette ; 1836 : Charles).
Jean Denis MOINE verrier, né le 15 octobre 1812 à La Vieille Loye, décédé le 19 mai 1865 à La Vieille Loye
(fils d’Émiland, verrier, originaire de Saint-Sernin-des-Bois 248 (Saône et Loire), né vers 1760
(fils de Jean et de Jeanne CHAUSSIN), et d’Anathoile CALINON), marié le 31 novembre 1831 à La
Vieille Loye avec Jeanne Baptiste SINTOT, est père à La Vieille Loye (1832 : Huguette ; 1837 :
Charles). Jean Denis MOINE, travaillant à la verrerie de Saint-Berain-sur-Dheune (Saône-etLoire)249, est père à La Vieille Loye (1844 : Antoine). Jean Denis MOINE demeure à Saint-Berain-surDheune250 lors du décès de son fils en 1845 (Charles). Jean Denis MOINE est père à La Vieille Loye
(1847 : Jean Baptiste ; 1856 : François).
Claude François MOURLIN (veuf d’Angélique PERSONNEAU), fondeur à la verrerie251, époux de Thérèse LOMBERGET,
est père à La Vieille Loye (1823 : Pierre François).
Jean Renobert MOURLIN, potier à la verrerie252, âgé de 23 ans, (fils de Claude François, fondeur à la
verrerie253, et d’Angélique PERSONNEAU), marié le 7 décembre 1825 Anne Françoise CALINON.
Jean Claude PEQUIGNOT, verrier (fils de Jean Joseph, verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye, décédé le
17 mars 1865 à La Vieille Loye, et d’Anne CALINON). Jean Claude PEQUIGNOT époux de Jeanne Françoise
GUIGNOT, est père à La Vieille Loye (1849 : Claude Joseph, décédé à 1 an à La Vieille Loye ; 1854 :
Hippolyte, âgé de 36 ans ; 1855 : Pierre François ; 1858 : François Joseph ; 1859 : Clotilde
Anaïs). Jean Claude PEQUIGNOT, est témoin (âgé de 32 ans) lors d’un décès à La Vieille Loye (1860).
Jean Claude PEQUIGNOT, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1862), signe de déplacement
professionnel vers une autre verrerie, puis, retrouve la qualité d’affouagiste (1863).
Jean Joseph PEQUIGNOT, verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye, décédé le 17 mars 1865 à La Vieille Loye
(fils de Toussaint, verrier, et de Geneviève BRETON), époux d’Anne CALINON. Jean Joseph PEQUIGNOT
est père à La Vieille Loye (Pierre PEQUIGNOT, né le 13 novembre 1829, décédé le 17 mars 1865 à La
Vieille Loye, marié le 9 février 1857 à La Vieille Loye avec Jeanne Françoise ROSE ; 1838 :
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Mairie de La Vieille Loye - Registres des mariages - 1843/1852.
Minutes de Me Claude François BOUCHOT notaire à Montbarrey (1834/1856) - 8/06 au 28/12/1851 - cote 4 E 13665.
Mairie de La Vieille Loye - Registres des décès - 1843/1852 - Transcription.
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Charles, décédé en 1859 ; Joseph, décédé en 1848 à La Vieille Loye ; Jeanne, mariée en 1852 à La
Vieille Loye avec Jean François ETEVENON).
Pierre PEQUIGNOT, né le 13 novembre 1829 (fils de Jean Joseph, verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye,
décédé le 17 mars 1865 à La Vieille Loye, et d’Anne CALINON), marié le 9 février 1857 à La Vieille
Loye avec Jeanne Françoise ROSE, née le 19 septembre 1825 à La Vieille Loye (fille de Jacques,
maréchal, et d’Anne Louise SIMONOT, décédée le 21 septembre 1848 à La Vieille Loye).
Étienne PERRET, préposé dans la verrerie254, époux de Suzanne PANTILLON, est père à La Vieille Loye (1809 :
Jean Nicolas).
Claude PERRINET (fils de Jean et de Jeanne Marie PUPIER), ouvrier verrier, né à Saint-Cyprien-du-Bois,
arrondissement de Roanne (Loire), décédé le 9 novembre 1834 âgé de 29 ans. Son garde malade est
Thibaud DURAQUET, âgé de 29 ans (fils de Claude Arnoux et de Jeanne Baptiste PATILLON).
Claude Joseph PERSONNEAU, maître verrier, époux de Jeanne Marie LAMBERT, est père (Jeanne Claude, mariée le 29
novembre 1820 avec Jean François BOILLEY, négociant à Dijon).
André POCALI, maître ouvrier verrier, époux de Claudine MARCEL, est père à La Vieille Loye (1853 : Pascale).
Antoine POCHETON, verrier, témoin lors d’un décès à La Vieille Loye (1845).
Jean François RASPILLAIRE, verrier à la verrerie Neuvesel255 à Rive-de-Gier (Loire), 1,65 m, né le 18 avril
1806 à La Vieille Loye (fils de Melchior, verrier, né le 10 février 1764 à la verrerie de SaintAntoine à Plancher-les-Mines256 (Haute-Saône), décédé le 22 octobre 1849 à La Vieille Loye257, et de
Pierrette SAINTOT), se rend à Rive-de-Gier258 (Loire) le 14 février 1827 pour revenir à La Vieille
Loye le 29 juillet 1829. Jean François RASPILLAIRE doit se marier avec Anne Barbe VILLET (fille de
Jean Pierre et de Jeanne Huguette SIGWARD, de Rive-de-Gier) (promesse de mariage (21 février 1830 à
La Vieille Loye).
Melchior RASPILLAIRE, né le 10 février 1764 à la verrerie de Saint-Antoine à Plancher-les-Mines259 (HauteSaône), décédé le 22 octobre 1849 à La Vieille Loye260 (fils de Pierre Ignace dit l’Abbé, né le 27
septembre 1731 à la verrerie de Ronchamp261 (Haute-Saône), décédé le 18 janvier 1792 à Plancher-lesMines262, et de Françoise VEILLARD, mariés263 le 22 janvier 1760 à Plancher-Bas (Haute-Saône)).
Melchior RASPILLAIRE, veuf de Françoise VEILLARD, qualifié d’ouvrier en bouteille264, marié le 31
juillet 1798 à La Vieille Loye avec Pierrette SAINTOT (fille de Louis, sabotier265, et de Jeanne
PIERRET). Melchior RASPILLAIRE est père à La Vieille Loye (1799 : Jeanne, décédée en 1873 à La
Vieille Loye266, mariée avec Hugues DEJEUX ; 1800 : Claudine Antoinette). Melchior RASPILLAIRE est
à nouveau père à La Vieille Loye (Pierre, verrier à la verrerie de Neuvesel à Rive-de-Gier267
(Loire) (1827), né le 19 mars 1804, décédé le 10 septembre 1859 à Viviez268 (Aveyron), marié le 28
septembre 1828 à Rive-de-Gier269 avec Mariette (ou Claudine) TERROT (ou TERRAT).
Melchior
RASPILLAIRE est à nouveau père à La Vieille Loye (François, verrier en verre à la vitre à la
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verrerie Fleurdelix à Rive-de-Gier , né le 18 avril 1806, marié en 1830 à Rive-de-Gier
avec Anne
Barbe VILLET ; 1808 : Philibert, verrier, marié le 25juillet 1831 à Rive-de-Gier272 avec Madeleine
ANDRÉ).
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Melchior RASPILLAIRE ayant séjourné précédemment à Polignac (Haute-Loire), puis à Rive-de-Gier273
(Loire), revient le 8 juin 1824 à La Vieille Loye (1,66 m, châtain). Il retourne le 27 janvier 1826
à Rive-de-Gier (Loire) et y réside encore lors du mariage de sa fille (Jeanne, mariée le 12
décembre 1826 à La Vieille Loye avec Jean Baptiste BAUCAIRE). Melchior RASPILLAIRE se rend à Givors
(Rhône) le 19 juin 1827, pour revenir à la verrerie de La Vieille Loye le 10 mars 1828.
(*) Pierre Ignace (lui-même fils de Melchior, né le 6 septembre 1697 à la verrerie de La Caborde à
Fessevillers274 (Doubs), décédé le 26 mars 1753 à Plancher-les-Mines, marié le 17 mai 1718 à
Ronchamp275 avec Anne SCHMID276).
(*) Le patronyme RASPILLER, RASPIELLER ou RASPILLEUR277 se rencontre fréquemment à la verrerie du
Bief-d’Étoz (Doubs)278.
Philibert RASPILLAIRE (fils de Melchior, verrier, né le 10 février 1764 à la verrerie de Saint-Antoine à
Plancher-les-Mines279 (Haute-Saône), décédé le 22 octobre 1849 à La Vieille Loye280 et de Pierrette
SAINTOT), verrier à Rive-de-Gier (Loire), âgé de 23 ans, doit se marier avec Madeleine ANDRÉ, âgée
de 24 ans (fille de Louis et de Marie AGREY) (Promesse de mariage du 5 juin 1831 à La Vieille
Loye).
Pierre RASPILLAIRE (1,51 m, châtain), né le 19 mars 1804 à La Vieille Loye (fils de Melchior, verrier, né le
10 février 1764 à la verrerie de Saint-Antoine à Plancher-les-Mines281 (Haute-Saône), décédé le 22
octobre 1849 à La Vieille Loye282 et de Pierrette SAINTOT), fait l’objet d’un passeport le 24
juillet 1826 à la verrerie de Rive-de-Gier283 (Loire). Vieille Loye). Pierre RASPILLAIRE est
qualifié de verrier en verre à la vitre, domicilié à Rive-de-Gier284 devant se marier Marie Claudine
TERRAT (TERROT) (fille de Jean Baptiste, décédé, et de Claudine BONNEAUD, de Rive-de-Gier (Loire))
(Promesse de mariage du 9 novembre 1828 à La Vieille Loye).
Jacques Étienne RICHE, refendeur285, 29 ans, époux de Françoise DELIOT, est père à La Vieille Loye (1855 :
Alexandrine).
Joseph ROCHARD, verrier en bouteilles, âgé de 26 ans, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye
(1858). Jean ROCHARD est témoin âgé de 31 ans lors du mariage de son frère Jean Louis à La Vieille
Loye (1861). Jean ROCHARD, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1863).
Joseph ROCHARD, verrier, âgé de 26 ans, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye (1858). Jean ROCHARD
est témoin âgé de 31 ans lors du mariage de son frère Jean Louis à La Vieille Loye (1861). Jean
ROCHARD, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1863).
Pierre SAINTOT (SINTOT), époux de Jeanne BOURDIN, préalablement commis à la verrerie de La Vieille Loye en
1823, en est ensuite le directeur lors du mariage de sa fille (1828).
Antoine SCHNEIDER (fils d’Aloys et de Catherine SIGVART ou SIGWART286), verrier sur le site de Saint-Quirin à
Lettenbach (Moselle), marié287 le 21 septembre 1818 à Le Bélieu (Doubs) avec Antoinette DORLODOT de
PRÉVILLE, née le 29 août 1797 à La Vieille Loye (fille de Charles et de Jeanne Marie Elisabeth de
BAURANS d’ORSON). Antoine SCHNEIDER288 fait l’objet d’un acte passé devant Me Claude François
CHAVELET, notaire à Germigney. De ce couple sont issus :
Alexandre SCHNEIDER, âgé de 25 ans lors du mariage (1843) de son frère Charles Marie à Roye (HauteSaône), entre Lure et Ronchamp, le long du Rahin (petite rivière utilisée pour le
flottage des bois par la verrerie de Saint-Antoine située beaucoup plus en amont).
Charles Marie SCHNEIDER, né le 30 septembre 1820 à Sempale (Suisse), verrier, marié le 31 août 1843
à Roye (Haute-Saône) avec Marie Françoise GRINER, propriétaire de la verrerie de Roye,
née le 10 avril 1818, fille de Célestin Melchior, décédé le 28 novembre 1823 à Roye, et
de Victorie Brigitte GENIN, décédée le 9 février 1825 à Roye. Charles Marie SCHNEIDER
décède le 16 septembre 1883 à Roye. Sont issus du couple :
Marie Antoinette SCHNEIDER, née le 27 mai 1844, mariée le 12 août 1867 à Roye (HauteSaône), avec Joseph FESSMAYER, verrier originaire de Grindel (Suisse), né le
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ADJ - Minutes de Me Alexis DANTANT notaire à Montbarrey (1822/1834) - 4/01 au 29/12/1824 - cote 4 E 13627.
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ADJ - Minutes de Me Alexis DANTANT notaire à Montbarrey (1822/1834) - 4/01 au 29/12/1824 - cote 4 E 13627.
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13 juin 1842, fils de Joseph (décédé le 21 juin 1849 à Grindel (Suisse) et
Catherine HEGGENDORN, âgée de 57 ans (1867). (*) Contrat de mariage 11 août
1867, Me RICHARD notaire à Melisey (Haute-Saône).
Sophie Euphrasie SCHNEIDER, née le 12 février 1847, originaire de Malbouhans (HauteSaône), mariée le 24 octobre 1871 à Roye (Haute-Saône) avec Joseph Philippe
Xavier MANDELER, originaire de Vouhenans (proche de Lure, Haute-Saône),
directeur de la verrerie (fils de Claude François, 58 ans (1871), et
Euphrasie DAVAL, 55 ans (1871)).
Antoine SCHILTE, verrier, témoin du mariage de son cousin à La Vieille Loye (1850). Antoine SCHILTE, a acquis
la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1866).
Joseph SCHILTE, ouvrier verrier, est témoin âgé de 21 ans lors du mariage du verrier Théodore BRETON à La
Vieille Loye (1849) et d’un autre mariage (1850).
Claude François SIMONOT, né le 8 juillet 1813 à La Vieille Loye, décédé le 9 juillet 1867 à La Vieille Loye
(fils de Jean François et de Françoise THIBERT), époux d’Anne JEANNET, qualifié de potier à la
verrerie, est père à La Vieille Loye (1851 : Claude François ; 1857 : Marie).
Jacques SIMONOT, verrier, époux de Jeanne THIBERT, est père à La Vieille Loye (1824 : Huguette).
Jacques SINTOT, fils de Claude dit Biroutet et de Claudine SIMONOT), décédé le 2 octobre 1834, âgé de 28 ans.
Pierre SINTOT, verrier (fils de Claude et de Claudine SIMONOT), témoin lors du décès de son frère Jacques
(1834), marié le 14 septembre 1835 à La Vieille Loye avec Anne Françoise MOURLIN.
David TAIEKE, âgé de 28 ans, ouvrier verrier demeurant à Rive-de-Gier (Loire), travaillant à la verrerie de La
Vieille Loye, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye (1845).
Jean François THIBERT, âgé de 40 ans, est témoin lors du décès du verrier Claude PERRENET (1834).
Jean TRUCHOT, ouvrier verrier (époux de Thérèse BOILLEY), âgé de 36 ans, est père à La Vieille Loye (1858 :
Eugénie, décédée en 1858 à La Vieille Loye).
Romain ARAUD (ou ARAND), maître verrier en bouteille, est témoin à La Vieille Loye lors d’une naissance âgé de
34 ans, est témoin de naissances à La Vieille Loye (1858, 1860) et d’un décès (1861). Romain ARAUD,
a perdu le droit à l’affouage289 (1862), signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie.
Émiland ARLIGNY, verrier, époux de Chercile CHARAUX, est père à La Vieille Loye (1863 : Jean Baptiste).
Émiland ARLIGNY, a acquis la qualité d’affouagiste290 (1863).
Jean Baptiste Hippolyte BARILLEY, verrier, né le 25 février 1843 à La Vieille Loye, décédé le 29 août 1878 à
La Vieille Loye (fils de Paul Michel, verrier en son vivant, et de Jeanne COLIN). Jean Baptiste
Hippolyte BARILLEY est le petit fils de Marie COLIN, marchande de tabac à La Vieille Loye (fille de
François et d’Anne Louise GAUDARD), décédée rue des Thurots au domicile de sa fille Jeanne COLIN
(veuve de Paul Michel BARILLEY).
Louis BARILLEY, maître ouvrier verrier, est témoin âgé de 24 ans lors d’un mariage à La Vieille Loye (1871 :
Joseph SIMONOT).
Théophile BARILLEY, verrier, né le 10 mars 1847 à La Vieille Loye (fils de Paul Michel, verrier, né le 7
janvier 1823 à La Vieille Loye, décédé le 13 octobre 1846 à La Vieille Loye, et de Jeanne COLIN),
époux de Joséphine DEJEUX, est père à La Vieille Loye (1873 : Alphonsine Françoise ; 1875 :
Clémentine Joséphine ; 1879 : Alphonsine Francine).
Jean Pierre BAS, commis à la verrerie, né à Falletans291, décédé le 21 avril 1867 à La Vieille Loye âgé de 51
ans (fils de François et de Pierrette CHOIX, en leur vivant bûcherons au 2ème triage de la Forêt de
Chaux), époux de Jeanne Françoise LALUNE, est père à La Vieille Loye (1857 : Louis Pierre
François ; 1859 : Françoise Eugénie Augustine).
Charles Joseph BAUCAIRE, maître ouvrier verrier en bouteilles, époux de Mélanie BOURDIN (fille de Jean, décédé
le 14 avril 1878 à La Vieille Loye, et de Jeanne Pierrette LANCE), est père à La Vieille Loye
(1870 : Marie Julie ; 1871 : Charles Joseph, marié en 1900 à Bourdeaux, Drôme).
François Xavier BAUCAIRE, verrier, né le 24 septembre 1864 à La Vieille Loye, décédé le 18 janvier 1882 à La
Vieille Loye (fils de Claude François et d’Élisabeth OGIER).
Claude François BERTRAND, ouvrier verrier, époux de Lazarette ARLIGNY, est père à La Vieille Loye (1879 :
Marie, décédée le 15 novembre 1958 à Ivry (Seine)).
BIGAUD de SIGNEMOND, commis, a acquis la qualité d’affouagiste292 (1862), puis a perdu le droit à l’affouage293
(1863).
Pierre Louis BOIRET, fondeur de verre, né le 12 avril 1824 (fils de Pierre Louis, meunier, né en 1782, décédé
le 23 septembre 1825 à La Vieille Loye, et de Jeanne Baptiste BRETON, décédée le 26 septembre 1843
à La Vieille Loye, couple marié le 5 février 1804 à La Vieille Loye). Pierre Louis BOIRET marié le
16 octobre 1855 à La Vieille Loye avec Marie Judith Apoline THIBERT, née le 21 janvier 1836 à La
Vieille Loye (fille de Joseph et de Marguerite LAVALLÉE). Pierre Louis BOIRET, quitte La Vieille
Loye en 1860, puis est père à La Vieille Loye (1861 : Pierre Émile ; 1866 : Jeanne Marie) et témoin
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CHARNOZ Jean Claude - Recensements des habitants des hameaux forestiers 1553 / 1904 - Tables alphabétiques des naissances - ADJ cote 2 J 1125.
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d’un décès à La Vieille Loye (1867). Toujours fondeur de verre, âgé de 41 ans, Pierre Louis BOIRET
est domicilié depuis quelques jours à Chagny (Saône-et-Loire), lorsqu’il est père à La Vieille Loye
(1873 : Marie Judith). Pierre Louis BOIRET, a perdu le droit à l’affouage294 (1862), signe de
déplacement professionnel vers une autre verrerie, puis a acquis de nouveau la qualité
d’affouagiste (1865).
Casimir BOMONT, potier demeurant à la verrerie de la Vieille Loye, domicilié à Folembray (Aisne), époux de
Catherine GAUZIN, est père, âgé de 26 ans, à La Vieille Loye (1862 : Auguste).
Antoine BOUDARD, verrier, âgé de 48 ans en 1880 (petit fils de Jean André Toussaint BARNEZ et de Marguerite
BRIAS, née le 11 août 1801 à Saint-Marcel (Ardèche), veuve, décédée le 30 décembre 1880 en son
domicile à la verrerie à La Vieille Loye (fille de Jean et de Marie ARNAUD)).
Julien BOURDIN, magasinier, (fils de Jean, cultivateur, né le 17 août 1813 à La Vieille Loye, décédé le 14
avril 1878 à La Vieille Loye (lui-même fils de Philibert et d’Anne DEJEUX), et de Jeanne Pierrette
LANCE, 66 ans en 1878, sans profession), est témoin (âgé de 35 ans) lors du décès de son père
(1878).
Lucien Joseph BOURDIN (fils de Jean et de Jeanne Pierrette LANCE), titulaire du livret d’apprenti n° 31 ouvert
le 28 août 1897, porteur (1900), magasinier (1911, 1912, 1913), est témoin (âgé de 35 ans) lors du
décès de son père à La Vieille Loye (1878).
Jean Baptiste BOURGEOT, fondeur de verre, est témoin âgé de 31 ans lors du mariage de François DEJEUX en 1861
à La Vieille Loye.
Théodore BRETON, verrier, né le 9 mai 1816 à La Vieille Loye (fils de Jean, verrier, et de Marguerite DEJEUX),
marié le 7 février 1849 avec Jeanne Pierre PANTILLON, née le 30 novembre 1826 à La Vieille Loye
(fille de Jérôme et de Jeanne Claude DEMORTIER, décédée le 20 février 1860 à La Vieille Loye), est
témoin lors d’un décès à La Vieille Loye (1845) et père à La Vieille Loye (1849 : Jeanne Orise ;
1855 : Apoline ; 1857 : Théodore ; 1859 : Octavie Honorine). Théodore BRETON est témoin (âgé de 46
ans) lors du mariage de son neveu Jean Louis ROCHARD (1861).
Claude François CALINON, verrier, né le 18 février 1848 à La Vieille Loye (fils de Charles et de Jeanne
Françoise DEJEUX décédée le 19 août 1865 à La Vieille Loye), est témoin lors d’un mariage à La
Ferdinand Émile CALINON, maître ouvrier verrier en bouteilles, est témoin âgé de 25 ans lors d’un décès à La
François CHEMITRE, verrier, domicilié à la verrerie, né le 8 novembre 1844 à La Vieille Loye, décédé le 2
novembre 1879 à La Vieille Loye (fils de Jacques Philippe et de Françoise BOIRET), veuf de Marie
Emilie BARILLEY, décédée le 27 avril 1876 à Courcy (Marne). François CHEMITRE, veuf, remarié le 12
juillet 1878 avec Françoise DUBUC (fille de Claude François, bûcheron, et de Françoise GUYOT,
décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille Loye). François CHEMITRE est père à La Vieille Loye (1878 :
Mélanie ; 1879 : François).
François Alfred CHEMITRE, verrier, né le 12 septembre 1846 à La Vieille Loye, décédé le 20 juin 1869 à La
Vieille Loye (fils de Jacques Philippe et de Françoise BOIRET).
(*) Provenant à l’origine de SCHMID ou SCHMIT, le patronyme CHEMITRE fait l’objet d’un jugement du
tribunal de Dole, en date du 7 juillet 1892, rectifiant le nom en CHEMITH.
Jacques CHEMITRE, ouvrier verrier (fils de Jacques Philippe et de Françoise BOIRET), marié le 16 décembre 1874
à Lisonza295, arrondissement de Varèse, province de Côme (Italie) avec Marie Antoinette FERELLI
(fille d’Ange, cultivateur à Lisonza, et de Marie CAJELLI). Jacques CHEMITRE est qualifié de
vitrier296 lors de naissances en 1875 et en 1878 à Lisonza.
François CHEVRIAUX, fondeur de verre (fils de Jean Philippe, né le 5 octobre 1803 à La Vieille Loye et décédé
le 29 avril 1870 à La Vieille Loye (lui-même fils de Claude François et d’Anne Françoise JUGE)).
François CHEVRIAUX, époux de Marguerite LALUNE, est père à La Vieille Loye (1863 : une fille ;
1864 : mort né ; 1866 : Eugène Jean Baptiste ; 1867 : Louise Marie ; 1869 : Anne Louise, décédée à
Marseille en 1953).
Jean François CHEVRIAUX, verrier, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à La Vieille
Loye (fils de Jacques Antoine et de Jeanne Françoise Adèle ROSE). Jean François CHEVRIAUX marié le
9 février 1872 à La Vieille Loye avec Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 au 15ème triage de la Forêt
de Chaux297, fille de Georges, bûcheron et de Jeanne Claude CHOIX, décédée le 2 novembre 1870 à La
Vieille Loye). Jean François CHEVRIAUX est père à La Vieille Loye (1874 : Augustine Joséphine ;
Lucie Augustine, née le 4 mai 1876, mariée le 29 janvier 1902 à La Vieille Loye avec le verrier
Albert Jean Baptiste HÉNARD ; Charles, né le 19 mars 1878 à Chagny (Saône-et-Loire), marié le 1er
décembre 1906 à La Vieille Loye avec Anna GUYOT ; 1880 : Jeanne Augustine ; François Émile, né le
15 mars 1884 ; Lucien Alfred, né le 15 octobre 1891, marié le 17 mars 1919 à La Vieille Loye avec
Marie Louise MOURLIN).
Gilbert CHICARD, maître verrier, époux d’Anne LAVANCIÈRE, est père à La Vieille Loye (1864 : Charles).
Pierre CHAGNOT, verrier, époux de Armantine PESTEL, est père à La Vieille Loye (1878 : Victorine Léontine).
Jean CHIFFLOT, verrier, époux de Jeanne DUCRET, est père à La Vieille Loye (1862 : Jeanne Stéphanie). Jean
CHIFFLOT, a acquis la qualité d’affouagiste (1862).
294
Ministère des Affaires Ètrangères - Extrait - Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des mariages - 1873/1882.
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Ministère des Affaires Ètrangères - Extrait - Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des mariages - 1873/1882.
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André DARD, verrier, est témoin âgé de 37 ans lors du décès (1858) à La Vieille Loye de sa nièce (Eugénie
TRUCHOT). André DARD, maître verrier en bouteille, est témoin lors d’une naissance à La Vieille
Loye (1860).
Laurent DAVID, né en 1837 à Rive-de-Gier (Loire) (fils de Pierre, magasinier à Chagny (Côte d’Or), et de
Clémence GUIRALET), marié le 15 juin 1864 à La Vieille Loye avec Jeanne Françoise FAROUX, née le 24
décembre 1844 à La Vieille Loye (fille de Joseph et de Thérèse GUYOT). Son frère, Ferdinand DAVID,
ouvrier verrier domicilié à Chagny, est témoin lors du mariage.
Charles Marie DEJEUX, verrier, né le 21 janvier 1845 à La Vieille Loye (fils de Claude, décédé le 2 février
1854 à La Vieille Loye, et de Jeanne SINTOT), marié le 5 octobre 1872 Jeanne Pierrette SIMONOT (née
le 11 août 1842 à La Vieille Loye, fille de Pierre et de Françoise MAILLET), est père à La Vieille
Loye (1873 : Lucie Victorine, décédée en 1874 ; 1875 : Charles Joseph). Charles Marie DEJEUX est
témoin lors du mariage de sa sœur Victorine à La Vieille Loye (1873).
Charles DEJEUX, fondeur de verre, époux de Françoise DELIOT, est père en 1858 (Charles Louis), âgé de 40 ans,
et témoin (âgé de 40 ans) lors du décès de sa tante Jeanne Françoise DUGOURD à La Vieille Loye
(1857), et témoin (âgé de 43 ans) lors du mariage de Jean Louis ROCHARD Charles Marie DEJEUX
(1861).
Claude DEJEUX dit Frisé, verrier, époux de Jeanne CHEVRIAUX, est père (François, dit Frizé, maître ouvrier
verrier, marié le 22 mars 1873 à La Vieille Loye avec Victorine DEJEUX).
Émile DEJEUX, verrier (fils de Claude, décédé le 2 février 1854 à La Vieille Loye, et de Jeanne SINTOT), est
témoin âgé de 21 ans lors du mariage de son frère Charles Marie à La Vieille Loye (1872), témoin
lors du mariage de sa sœur Victorine à La Vieille Loye (1873), témoin lors du décès d’une nièce à
La Vieille Loye (1878) et témoin lors du mariage de son frère Claude à La Vieille Loye (1882)
François DEJEUX, dit Moineau, verrier, né le 14 septembre 1838 à La Vieille Loye, décédé le 29 janvier 1869 à
La Vieille Loye (fils d’Hugues, maréchal ferrant, décédé le 31 janvier 1859 à La Vieille Loye, et
de Jeanne RASPILLAIRE), marié le 8 avril 1861 à La Vieille Loye avec Élisa GENTIL (née le 19 août
1840 à Dole, fille de Jean Baptiste, décédé le 7 avril 1847 à Dole, et d’Anne COLIN, décédée le 14
septembre 1845 à Azans). François DEJEUX, dit Moineau est père à La Vieille Loye (1861 :
Hippolyte). François DEJEUX dit Moineau a perdu le droit à l’affouage (1862), signe de déplacement
professionnel vers une autre verrerie.
François DEJEUX dit Frizé, maître ouvrier verrier, (fils de Claude dit Frisé, verrier, et de Jeanne
CHEVRIAUX), marié le 22 mars 1873 à La Vieille Loye avec Victorine DEJEUX. Il est témoin lors du
décès de son frère Jean à La Vieille Loye (1875). François DEJEUX dit Frizé est père à La Vieille
Loye (1875 : Ernest ; 1878 : François, marié le 7 septembre 1907 à La Vieille Loye avec Mathilde
FAROUX ; 1880 : Marie Jeanne).
Jean DEJEUX, verrier, né le 30 mai 1845 à La Vieille Loye, décédé le 4 octobre 1875 à La Vieille Loye (fils de
Claude dit Frisé, verrier, et de Jeanne CHEVRIAUX).
Jean Baptiste DEJEUX, verrier, âgé de 25 ans, est témoin lors du mariage à La Vieille Loye (1878) de sa
cousine germaine (Victorine DEJEUX).
Joseph DEJEUX, comptable à la verrerie, est témoin à La Vieille Loye âgé de 22 ans (1878).
Jacques DURAQUET, fondeur de verre298, né le 17 février 1839 à la Vieille Loye, décédé le 6 octobre 1912 à La
Vieille Loye (fils de Thibaud du RAQUET et de Thérèse SIMONOT). Jacques DURAQUET, époux de
Joséphine SIMON, est père (Françoise, née le 12 novembre 1862 à La Vieille Loye, mariée le 2
février 1884 à La Vieille Loye avec Étienne Frédéric BALLET, né le 21 août 1857 à Falletans (fils
de Frédéric, décédé à Falletans, et de Thérèse BAUCAIRE)).
Jean Baptiste DURAQUET, fondeur de verre299, né le 23 septembre 1836 à La Vieille Loye, décédé le 5 février
1876 à La Vieille Loye (fils de Thibaud du RAQUET et de Thérèse SIMONOT), époux de Thérèse DECOMBE.
Jean Baptiste DURAQUET, témoin lors du décès de son père (1875), est père à la Vieille Loye (1875 :
Charles Thiébaud Jean Baptiste, décédé le 10 juin 1964 à La Vieille Loye, marié le 20 octobre 1900
à La Vieille Loye avec Joséphine SIMONOT).
(*) Joseph Renobert du RAQUET (lui-même fils de Louis et de Louise Élisabeth COCAGNE), veuf
de Nicole de MARIN et de Françoise GIRAUT, remarié en troisièmes noces avec Marie Thérèse
d’ANDRESSOT de MATHAY. De ce dernier couple est issu Claude Arnould du RAQUET (veuf de
Pierrette BEAUCAIRE), remarié le 20 septembre 1803 à La Vieille Loye avec Jeanne Baptiste
PANTILLON dont il aura un fils à La Vieille Loye en 1804 : Thibaud, marié le 7 mai 1827 à La
Vieille Loye avec Thérèse SIMONOT, décédé le 25 avril 1875 à La Vieille Loye, père de Jean
Baptiste (ci-dessus).
Antoine François Eugène FAROUX, verrier, né le 12 octobre 1859 à La Vieille Loye, décédé le 30 avril 1915 à La
Vieille Loye (fils de Philibert, décédé le 11 avril 1882 à La Vieille Loye, et d’Eugénie GAFFIOT,
décédée le 20 juin 1886 à La Vieille Loye). Antoine François Eugène FAROUX marié le 14 novembre
1883 à la Vieille Loye avec Louise LAPIERRE, sans profession, née le 5 janvier 1863 à La Vieille
Loye, décédée le 5 mai 1924 à La Vieille Loye (fille de Jean Claude et de Jeanne Gabrielle FAIVRE,
cultivateurs à La Vieille Loye). Antoine François Eugène FAROUX témoin (âgé de 40 ans) lors du
décès de son beau-père (Jean Claude LAPIERRE, né le 3 février 1823 à La Vieille Loye, décédé le 16
février 1900 à La Vieille Loye (fils de Jean Baptiste, cultivateur, et de Jeanne ROCH)). Antoine
François Eugène FAROUX est contremaitre de verreries lors du mariage de sa fille (Mathilde, née le
8 juin 1884 à La Vieille Loye, mariée le 7 septembre 1907 à La Vieille Loye avec le gardien de la
Paix Francis DEJEUX).
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Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des mariages - 1883/1892.
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Philibert FAROUX, verrier, né le 20 janvier 1821 à La Vieille Loye, décédé le 11 avril 1882 à La Vieille Loye
(fils de Claude et d’Anne Charlotte VERNOIS), époux de Thérèse Eugénie GAFFIOT (fille de Claude
François et de Pierrette BARTHOULOT, cultivateurs à Chissey).
Félix GAGET, verrier, époux de Jeanne SERVIAT, est père à La Vieille Loye (1858 : Jean, le dit enfant est né à
la verrerie). Félix GAGET, maître ouvrier verrier en bouteille, est témoin âgé de 24 ans lors d’un
décès à La Vieille Loye (1861). Il est témoin lors du décès de sa belle mère (Françoise CHASSEROT,
née à Blanzy (Saône-et-Loire) décédée le 12 novembre 1867 à La Vieille Loye au domicile de son
gendre (fille de Benoit et de Pierrette ( ?), cultivateurs à Blanzy)), épouse de Pierre LACOMBE,
verrier à Blanzy). Félix GAGET, perd le droit à l’affouage (1862), signe de déplacement
professionnel vers une autre verrerie. Félix GAGET, est revenu ensuite à La Vieille Loye puisqu’il
perd à nouveau le droit à l’affouage (1867).
Édouard GAIME, chef de bureau300 (1861).
Léonard GAIME, commis domicilié à la verrerie de la Vieille Loye, est témoin âgé de 22 ans lors d’un mariage à
Jean GENTIL, maître verrier, époux de Françoise BOUVIER, est père à La Vieille Loye (1862 : Jeanne Françoise).
Jean GENTIL est témoin âgé de 24 ans lors du mariage de sa sœur Élisa à La Vieille Loye (1861).
Jean GENTIL, perd le droit à l’affouage (1862), signe de déplacement professionnel vers une autre
verrerie.
Jean Antoine GUIGNOT, verrier, né le 22 janvier 1835 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1873 à La Vieille
Loye (fils de Jean François et de Pierrette Césarine DORLODOT de PRÉVILLE), célibataire.
Louis GUIROUX, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1867), signe de déplacement professionnel vers
une autre verrerie.
Jean Baptiste HÉNARD, maître ouvrier verrier en bouteilles, époux de Félicie MAIZIER, témoin lors d’une
naissance (1860), est père à La Vieille Loye (1863 : François Joseph ; 1865 : Marie Hélène). Jean
Baptiste HÉNARD, a acquis la qualité d’affouagiste (1863).
HÉNARD, a acquis la qualité d’affouagiste (1865), puis, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1867),
signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie.
Léon François Nicolas HÉNARD, maître ouvrier verrier domicilié à Courcy (Marne), né le 27 octobre 1842 à La
Vieille Loye, décédé le 6 janvier 1894 à La Vieille Loye (fils de Pierre, décédé le 7 décembre
1873, 6 rue Saint-Vincent, à Besançon, Doubs, et de Caroline ROCH, décédée le 10 février 1856 à La
Vieille Loye). Léon François Nicolas HÉNARD marié le 9 mai 1874 à La Vieille Loye avec Maria Lucia
BERREY, lingère, née le 5 novembre 1811 à Étival, décédée le 13 mai 1887 à La Vieille Loye (fille
de Philibert Maximin BERREY, garde forestier à La Vieille Loye, retiré ensuite à Offlanges, et de
Marie Caroline BOUVIER, décédée à La Vieille Loye). Léon François Nicolas HÉNARD est père à La
Vieille Loye (1875 : Léon Émile ; 1876 : Alphonse Jean Baptiste) et est témoin lors d’un décès à La
Charles François Paul HUMBERT, employé de verrerie, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye (1871).
Pierre LACROIX, commis des bois, époux d’Anne LACROIX, est père en 1871 (Pauline). Il est qualifié d’employé
lors du décès de la petite fille du verrier Philippe POYET (1888). Pierre LACROIX, a acquis la
qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1866).
Claude LAPORTE, verrier, né le 1er février 1843 à La Vieille Loye (fils de Jacques Ambroise, cultivateur, et de
Jeanne Pierre LOMBERGET), marié le 14 septembre 1864 à La Vieille Loye Delphine Léocadie MOREL, née
le 3 février 1847 à Orchamps (fille de Pierre Isidore, décédé le 29 août 1854 à Orchamps, et de
Jeanne Marguerite THIBERT, cultivatrice à La Vieille Loye). Il est père à La Vieille Loye (1865 :
Claude Benoit). Claude LAPORTE, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1865), puis
perd le droit à l’affouage (1866), signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie.
Émile LAPLACE, verrier, né le 15 décembre 1851 à La Vieille Loye, décédé le 12 mars 1871 à La Vieille Loye
(fils de Jean et de Marguerite SAINTOT).
Marie (sic) LASSIBILLE, verrier, époux d’Antoinette RENARD, est père (une fille, née en juillet 1877 à Blanzy
(Saône-et-Loire), décédée en août 1881 à La Vieille Loye). Marie (sic) LASSIBILLE est père à La
Vieille Loye (1880 : Marie, mariée le 2 mars 1901 à Albi (Tarn) avec Cyprien DANIS).
(*) Albi (Tarn) est le site d’une verrerie ouvrière depuis 1896.
François Xavier LAVAUVRE, verrier, né le 11 juillet 1823 à Souvigny (Allier), décédé le 20 février 1902 à La
Vieille Loye (fils de Jean Baptiste et de Marie Célestine LANG), marié avec Joséphine Alexandrine
RASPILLAIRE, née le 4 mai 1824 à La Vieille Loye, décédée le 2 novembre 1900 à La Vieille Loye
(fille naturelle d’Antoinette RASPILLAIRE). François Xavier LAVAUVRE, âgé de 49 ans, lors du
mariage de sa fille Jeanne Célestine à La Vieille Loye le 20 février 1873 (avec Charles Gaspard
Isidore MOREL, verrier, originaire d’Orchamps). Il est qualifié de maître ouvrier verrier en
bouteilles lors du mariage (1875) de sa fille Alexandrine Victorine à La Vieille Loye (avec Émile
Adolphe RONEIRE). François Xavier LAVAUVRE, âgé de 76 ans lors du décès de son épouse à La Vieille
Loye (1900).
Jean Baptiste LAVAUVRE, décédé le 11 novembre 1895 à La Vieille Loye (fils de François Xavier, maître ouvrier
verrier en bouteilles, et d’Alexandrine RASPILLAIRE). Jean Baptiste LAVAUVRE, maître verrier
ambulant, résidant présentement à La Vieille Loye, au domicile de Jean Baptiste Eugène CARRÉ,
maître de verrerie, déclare le décès de sa belle fille (Catherine CHASTELOT, née à Souvigny
(Allier), décédée le 5 août 1839 à La Vieille Loye (fille de Benoît, décédé à Souvigny, et de
Célestine LAMY)). Jean Baptiste LAVAUVRE, maître ouvrier verrier en bouteilles, marié avec Jeanne
Françoise Ernestine GAIME, couturière, puis négociante en 1901. Jean Baptiste LAVAUVRE est témoin
300
ADJ - Archives communales de La Vieille Loye - Dénombrement de la population - 1861 à 1946 - cote 5 E / 175 / 15.
24
âgé de 26 ans lors d’un mariage (1871 : Joseph SIMONOT). Jean Baptiste LAVAUVRE est père à La
Vieille Loye (1874 : Célestine ; 1875 : Charles Céleste ; 1876 : Jeanne Célestine, née à la
verrerie, mariée le 28 août 1901 à La Vieille Loye, mariée avec Charles Marie Joseph POYET ; 1879 :
Marguerite et Lucie, jumelles ; 1881 : Angèle Gabrièle). Jean Baptiste LAVAUVRE est témoin lors du
mariage (1875) de sa sœur Alexandrine Victorine à La Vieille Loye (avec Émile Adolphe RONEIRE).
Jean Baptiste LAVAUVRE est marchand épicier à La Vieille Loye lors de son décès.
Lazare LÉGER, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1863).
Jean Marie MARLOT, verrier, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1862).
Léonard MÉCHIN, maître ouvrier verrier en bouteilles, époux de Jeanne DEBEAUMARCHAIS, est père à La Vieille
Loye (1872 : Pierre Émile, marié en 1903 à Marseille ; 1873 : Louis ; 1875 : François, marié le 13
janvier 1900 à Marseille avec Marie PITIOT ; 1878 : Eugène ; 1879 : Lazare ; 1882 : Michel).
Léonard MECHIN, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1867), puis, perd le droit à
l’affouage (1868), signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie. Léonard MÉCHIN est
témoin lors d’un décès à La Vieille Loye (1880).
François MOINE, ouvrier verrier, marié le 25 novembre 1879 à La Vieille Loye avec Alodie Constance BOISTON,
sans profession, née à la verrerie de Progens, canton de Fribourg, (Suisse) (fille naturelle de
Célestine Élise, âgée de 45 ans, domiciliée à la verrerie de Progens, canton de Fribourg,
(Suisse)). François MOINE est père à La Vieille Loye (Urbain Armand, né le 10 décembre 1895, marié
le 5 mai 1920 à Dijon avec Reine LEQUIN, décédé le 5 mars 1969 à Vichy (Allier) ; 1903 : Georgette
Élise). François MOINE est présent lors du mariage de sa fille (Angèle Aloldie, née le 8 avril 1884
à La Vieille Loye, mariée le 24 avril 1909 à La Vieille Loye avec Louis Auguste TOURIET sous
officier à Auxonne). François MOINE, est grand garçon (1900), gamin (1906, 1907, 1908, 1909, 1910,
1911), puis manœuvre (1913).
Jean Baptiste MOINE, verrier, est témoin âgé de 21 ans lors du décès de son père Jean Denis à La Vieille Loye
(1865).
Jean Denis MOINE verrier, né le 15 octobre 1812 à La Vieille Loye, décédé le 19 mai 1865 à La Vieille Loye
(fils d’Émiland, verrier, originaire de Saint-Sernin-des-Bois 301 (Saône et Loire), né vers 1760
(fils de Jean et de Jeanne CHAUSSIN), et d’Anathoile CALINON), marié le 31 novembre 1831 à La
Vieille Loye avec Jeanne Baptiste SINTOT, est père à La Vieille Loye (1832 : Huguette ; 1837 :
Charles). Jean Denis MOINE, travaillant à la verrerie de Saint-Berain-sur-Dheune (Saône-etLoire)302, est père à La Vieille Loye (1844 : Antoine). Jean Denis MOINE demeure à Saint-Berain-surDheune303 lors du décès de son fils en 1845 (Charles). Jean Denis MOINE est père à La Vieille Loye
(1847 : Jean Baptiste ; 1856 : François).
Célestin MONEUR, verrier, est témoin du décès du fils de François NAGER à La Vieille Loye (1854).
Charles Gaspard Isidore MOREL, verrier, époux de Jeanne Célestine LAVAUVRE (fille de François Xavier LAVAUVRE,
verrier, et d’Alexandrine RASPILLAIRE) est père à La Vieille Loye (1873 : Angèle Éléonore).
François NAGER, ouvrier verrier, est père (Célestin, décédé en 1854 à La Vieille Loye).
Philippe Auguste NEVEU, a acquis la qualité d’affouagiste304 à La Vieille Loye (1863).
Jean PARIZE, verrier, domicilié à Saint-Berain-sur-Dheune (Saône-et-Loire), né le 9 mai 1842 à Dinay, commune
d’Épinac (Saône-et-Loire) (fils naturel de Lazarette PARIZE, domiciliée à Saint-Berain-sur-Dheune),
marié le 22 juin 1867 à La Vieille Loye avec Françoise SIMONOT, née le 7 septembre 1842 à La
Vieille Loye (fille de Claude François et d’Anne JANNET).
Jean PEDMET, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1867).
Jean Claude PEQUIGNOT, verrier (fils de Jean Joseph, verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye, décédé le
17 mars 1865 à La Vieille Loye, et d’Anne CALINON). Jean Claude PEQUIGNOT époux de Jeanne Françoise
GUIGNOT, est père à La Vieille Loye (1849 : Claude Joseph, décédé à 1 an à La Vieille Loye ; 1854 :
Hippolyte, âgé de 36 ans ; 1855 : Pierre François ; 1858 : François Joseph ; 1859 : Clotilde
Anaïs). Jean Claude PEQUIGNOT, est témoin (âgé de 32 ans) lors d’un décès à La Vieille Loye (1860).
Jean Claude PEQUIGNOT, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1862), signe de déplacement
professionnel vers une autre verrerie, puis, retrouve la qualité d’affouagiste (1863).
Jean Joseph PEQUIGNOT, verrier, né le 23 juin 1800 à La Vieille Loye, décédé le 17 mars 1865 à La Vieille Loye
(fils de Toussaint, verrier, et de Geneviève BRETON), époux d’Anne CALINON. Jean Joseph PEQUIGNOT
est père à La Vieille Loye (Pierre PEQUIGNOT, né le 13 novembre 1829, décédé le 17 mars 1865 à La
Vieille Loye, marié le 9 février 1857 à La Vieille Loye avec Jeanne Françoise ROSE ; 1838 :
Charles, décédé en 1859 ; Joseph, décédé en 1848 à La Vieille Loye ; Jeanne, mariée en 1852 à La
Vieille Loye avec Jean François ETEVENON).
Antoine POTRON, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1862).
Jean Claude POULOT, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1866), signe de déplacement professionnel
vers une autre verrerie.
Louis Philippe POYET, verrier domicilié à la verrerie, né le 16 mars 1831 à Rive-de-Gier (Loire), décédé le 20
juillet 1912 à la Vieille Loye (fils de Louis et de Claudine MERLE). Louis Philippe POYET, marié en
1ère noces avec Marie BUSSARD, décédée le 20 décembre 1859 à La Vieille Loye (âgée de 30 ans), est
père à La Vieille Loye (1859 : Félix Louis). Louis Philippe POYET, veuf, remariée avec Jeanne Marie
Victorine VALLON (âgée de 73 ans en 1912). Louis Philippe POYET est père (Marie Fidélie, née en
301
303
Mairie de La Vieille Loye - Registres des décès - 1843/1852 - Transcription.
304
302
25
1866 à La Tremblade (Charente Inférieure), décédée en 1874 à La Vieille Loye). Louis Philippe POYET
à père à La Vieille Loye (Charles Marie Joseph, né le 17 février 1877, marié avec Jeanne Célestine
LAVAUVRE (fille de Jean Baptiste, verrier, et de Jeanne Françoise Ernestine GAIME)). Louis Philippe
POYET témoin (âgé de 52 ans) lors du décès de sa petite fille (Marie Louise VAUTRAN, née à Paris le
17 octobre 1686, décédée le 10 mars 1888 à La Vieille Loye (fille de Charles VAUTRAN et de Marie
POYET)). Louis Philippe POYET, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1863).
Joseph ROCHARD, verrier en bouteilles, âgé de 26 ans, est témoin lors d’une naissance à La Vieille Loye
(1858). Jean ROCHARD est témoin âgé de 31 ans lors du mariage de son frère Jean Louis à La Vieille
Loye (1861). Jean ROCHARD, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1863).
Jean Louis dit Eugène ROCHARD, né le 24 novembre 1842 à Saint-Bérain (Saône-et-Loire), décédé le 6 décembre
1930 à La Vieille Loye (fils de Joseph et de Reine JARDINIER). Jean Louis dit Eugène ROCHARD marié
avec Marie Julie Adelina BAVILLEY, sans profession, née le 23 janvier 1846 à Mont-sous-Vaudrey,
décédé le 2 novembre 1912 à La Vieille Loye (fille de Jean Baptiste et de Jeanne Philipine CARON).
Jean Louis dit Eugène ROCHARD est témoin âgé de 28 ans lors d’un décès à La Vieille Loye (1871).
Jean Louis dit Eugène ROCHARD, contremaître de verreries lors du mariage de son fils à La Vieille
Loye (1902), puis chef de fabrication (1912). Jean Louis Eugène ROCHARD est père à La Vieille Loye
(Hubert Eugène, né le 24 décembre 1874, comptable, marié le 22 janvier 1902 à La Vieille Loye avec
Jeanne Alice DEJEUX, née le 28 septembre 1882 à La Vieille Loye (fille de Joseph, contremaître de
verreries, et de Marie Emma DUCHIRON, sans profession)). Jean Louis dit Eugène ROCHARD, a acquis la
Jean Louis ROCHARD, verrier, né le 17 février 1840 à La Vieille Loye (fils de Joseph, ancien verrier,
aubergiste à Saint-Berain-sur-Dheune (Saône-et-Loire), et de Reine JARDINIER), marié le 3 septembre
1861 à La Vieille Loye avec Joséphine BRETON, née le 4 avril 1844 à La Vieille Loye (fille de
Charles Joseph, décédé le 15 mai 1847 à La Vieille Loye, et de Annette DARCEAU). Jean Louis ROCHARD
est père à La Vieille Loye (1866 : Marie Eugénie Alice, mariée en 1915 à Mont-sous-Vaudrey, décédée
en 1952 à Belmont ; 1867 : Marie Louise, décédée en 1859 à Reims, Marne ; 1871 : Mathilde, mariée
en 1905 à Reims (Marne), décédée en 1956 à Reims).
Lazare ROCHARD, verrier souffleur en bouteilles, époux de Marguerite NOUVELOT, née à Chagny (Côte d’Or),
décédée le 1er février 1871 à La Vieille Loye (fille de Claude, fondeur domicilié à Chagny, et
d’Anne BOISSEAU), est père à La Vieille Loye (1868 : Louis Eugène). Lazare ROCHARD, veuf, remarié
avec Élisa FAUCILLON (couturière), il est père à La Vieille Loye (1874 : Berthe Élisa Jeanne).
Lazare ROCHARD, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1866).
Louis ROCHARD, maître ouvrier verrier, époux de Julie MILLET, est père à La Vieille Loye (1873 : Julie,
décédée peu après ; 1876 : Julie ; 1878 : Marie Julie, mariée le 13 juillet 1901 à Cormontreuil
(Marne) avec Jean VIRCLY, décédé le 30 juin 1972 à Reims (Marne)). Louis ROCHARD, a acquis la
Joseph ROSE, verrier, déclare le décès de Thérèse Eugénie GAFFIOT (fille de Claude François et de Pierrette
BARTHOULOT, cultivateurs à Chissey), veuve de Philibert FAROUX. (*) Le patronyme GAFFIOT est fort
connu des latinistes !
François ROUSSEAUX, verrier, époux de Marie BRIEY, est père à La Vieille Loye (1879 : Jean Baptiste ; 1882 :
Marie, née rue des Thurots).
Charles Alexandre ROI, verrier, âgé de 38 ans est témoin lors du mariage (1874) de sa sœur (Victorine avec
Jean Baptiste BAUCAIRE).
François ROUSSEAUX, verrier, époux de Marie BRIEY, est père à La Vieille Loye (1879 : Jean Baptiste). François
ROUSSEAU, 35 ans, verrier est témoin lors de décès à La Vieille Loye (1886, 1889).
Charles ROY, ouvrier verrier, né le 14 janvier 1852 à La Vieille Loye (fils de François ROY, décédé le 25
octobre 1862 à La Vieille Loye, et de Jeanne JACQUOT, décédée le 15 mars 1877 à La Vieille Loye),
marié le 7 février 1880 à La Vieille Loye avec Marie Célina ROSE, née le 16 février 1856 à La
Vieille Loye (fille de Pierre, sabotier, et de Marguerite CHEMITRE, ménagère). Il est père à La
Vieille Loye (1880 : Marie Francine ; 1882 : Mathilde, née rue des Cliats-Cliats ; 1888 : Pierre
Louis).
Antoine SCHILTE, verrier, témoin du mariage de son cousin à La Vieille Loye (1850). Antoine SCHILTE, a acquis
la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1866).
César Félix Antoine SCHILTE, né le 14 juin 1829 au Bélieu (Doubs), décédé le 23 janvier 1919 à La Vieille Loye
(fils de Joseph et d’Élisabeth DORLODOT de PRÉVILLE). César Félix Antoine SCHILTE, époux de Jeanne
Marie Félicie BOLARD, née le 20 novembre 1833 à Montbarrey, décédée le 12 novembre 1917 à La
Vieille Loye (fille de Léonard Urcinien et de Marie Françoise MORE). César Félix Antoine SCHILTE,
verrier à Mouthier (Suisse), est père (Charles Marie, né le 1er octobre 1860 à La Vieille Loye,
futur boulanger à Auxonne (Côte-d’Or), marié le 26 septembre 1892 à Mont-sous-Vaudrey305 avec Louise
Marie Blanche BOLARD). César Félix Antoine SCHILTE est à nouveau père (Antoine Louis César, né le
13 juin 1866 à Moutier-Grand-Val (canton de Berne, Suisse), décédé le 14 juillet 1921 à La Vieille
Loye, époux de Delphine Jeanne Françoise FOURNERET). César Félix Antoine SCHILTE est à nouveau père
(César, né vers 1867, boulanger ; Marie Félicie, née en 1868 à La Vieille Loye). César Félix
Antoine SCHILTE est propriétaire à La Vieille Loye en 1892. Jeanne Marie Félicie BOLARD et sa sœur
(héritières de leur père Léopold Urcinien BOLARD), vendent306 le moulin de Montbarrey (17 mai 1870).
Charles SCHILTE, a acquis la qualité d’affouagiste à La Vieille Loye (1868).
305
306
Relevés des mariages de l’état civil de la commune de Mont-sous-Vaudrey - Base de données Nimègue - CEGFC.
Minutes de Me Jean Baptiste Joseph H. OBERTY notaire à Montbarrey (1867/1875) - 01/04 au 27/06/1870 - cote 4 E 13735.
26
Charles Antoine Joseph SCHILTE, verrier, né le 30 octobre 1827 à La Bélieu (Doubs) (fils de Joseph, décédé le
5 avril 1853 à La Vieille Loye, et d’Élisa DORLODOT de PRÉVILLE, décédée le 25 octobre 1869 à La
Vieille Loye), marié le 1er septembre 1859 à La Vieille Loye avec Claudine SIMONOT, née le 7
décembre 1830 à La Vieille Loye (fille de Jacques et de Jeanne Baptiste THIBERT). Il est père en
1861 (Élisa Joséphine). Charles Antoine Joseph SCHILTE est qualifié de contremaître à la verrerie
de La Vieille Loye lors du mariage de son frère Louis Charles à La Vieille Loye (1872). Charles
Antoine Joseph SCHILTE, dont la veuve et son fils, ont acquis la qualité d’affouagistes à La
Charles Marie Joseph SCHILTE, né le 29 septembre 1824 au Bélieu (Doubs), décédé le 7 juillet 1912 à La Vieille
Loye (fils de Joseph, décédé le 5 avril 1853 à La Vieille Loye, et d’Élisa DORLODOT de PRÉVILLE).
Charles Marie Joseph SCHILTE, qualifié en premier lieu d’employé de verrerie, époux de Caroline
Judith SIGWART, sans profession, née le 24 mai 1841 au Bélieu, décédée le 2 juillet 1924 à La
Vieille Loye (fille de François Joseph et de Marie Célestine SCHNEIDER). Charles Marie Joseph
SCHILTE est père à La Vieille Loye (1871 : Marie Antoinette Caroline ; François Célestin, né le 8
avril 1875, marié le 17 août 1901 à La Vieille Loye avec Louise Léa Pauline GAUTHERIN). Charles
Marie Joseph SCHILTE est qualifié de propriétaire lors de la naissance d’un fils (Élie Joseph, né
en 1880 à La Vieille Loye, marié le 17 novembre à Paris (XIVe) avec Marie Berthe DECURÉ). Charles
Marie Joseph SCHILTE, témoin (âgé de 76 ans) lors du décès (1902) d’une autre fille (Élisabeth
Marie Caroline, célibataire, née le 2 août 1866 à Courrendin (Suisse), institutrice à Besançon
(Doubs), décédée le 15 mai 1902 à La Vieille Loye). Charles Marie Joseph SCHILTE est qualifié de
chef de fabrication à la verrerie (1901). Un autre fils, Charles Louis Joseph SCHILTE, retraité du
P.L.M., est témoin (âgé de 56 ans) lors du décès de sa mère à La Vieille Loye (1924).
Louis Charles SCHILTE, verrier en verre à vitre, né le 3 septembre 1832 à Santans (fils légalisé de Joseph,
décédé le 5 avril 1853 à La Vieille Loye, et d’Élisa DORLODOT de PRÉVILLE), marié307 le 23 juillet
1872 à La Vieille Loye avec Marie Antoinette Ester GUIGNOT, née le 16 décembre 1852 à La Vieille
Loye, décédée le 4 juin 1873 à Vézeroux308 (Haute-Loire) (fille de Charles Marie, verrier, et de
Jeanne Claude BOIRET). Louis Charles SCHILTE est témoin lors du mariage de son frère Charles
Antoine Joseph SCHILTE en 1859 à La Vieille Loye et lors du décès de son cousin germain en 1880 à
La Vieille Loye (François Joseph GUIGNOT, né le 23 octobre 1837 à Santans, fils de Jean François et
de Pierrette Césarine DORLODOT de PRÉVILLE). Louis Charles SCHILTE, veuf d’Antoinette GUIGNOT,
remarié le 15 mai 1880 au Bélieu309 (Doubs) avec Marie Célestine Émilie SIGWART, née le 24 octobre
1830 au Bélieu, décédée le 5 janvier 1899 à La Vieille Loye (fille de François, graveur de verre,
et de Marie Célestine SCHNEIDER). Louis Charles SCHILTE, qualifié de propriétaire demeurant à La
Vieille Loye, procède à une vente310 (1896) d’une maison située rue de la Motte et de plusieurs
pièces de terre à La Vieille Loye au profit de Marie Caroline Élisa SCHILTE, institutrice à
Besançon (fille de Charles propriétaire à La Vieille Loye). Louis Charles SCHILTE, a acquis la
Alexandre SCHNEIDER, ouvrier verrier demeurant à Santans, est témoin âgé de 41 ans lors du mariage de son
cousin Charles Antoine Joseph SCHILTE à La Vieille Loye (1859).
Joseph SIMONOT, maître ouvrier verrier domicilié à Vauxrot, commune de Cuffies (Aisne), né le 11 juillet 1844
à La Vieille Loye (fils de Claude François, décédé le 9 juillet 1867 à La Vieille Loye, et d’Anne
JANNET, domiciliée à Vauxrot), marié le 7 août 1871 à La Vieille Loye avec Marie Amélie FRELIQUEUR,
dite Delphine, née le 18 janvier 1845 à Brevans (fille de Pierre, manouvrier, et de Marie MICHET).
Pierre SIMONOT, maître ouvrier verrier en bouteilles est témoin âgé de 25 ans lors du décès de son père à La
Célestin SINTOT, verrier, est âgé de 20 ans lors d’un mariage à La Vieille Loye (1874).
Michel THIBERT, fabricant de creuset de verrerie311, décédé le 19 décembre 1883 à La Vieille Loye, époux
d’Émilie PERRET (frère de Nicolas, maçon à La Vieille Loye âgé de 54 ans en 1881), est père à La
Vieille Loye (1868 : Raymond François Michel). Michel THIBERT, témoin âgé de 52 ans lors d’un
décès312 en 1880 à La Vieille Loye, est qualifié de potier lors du décès de son fils (Raymond
François Michel, décédé en 1881 à La Vieille Loye). Michel THIBERT est père d’une fille
(Florentine, mariée le 14 juin 1884 à La Vieille Loye avec le verrier Joseph ROSE.
Raymond François Michel THIBERT, verrier âgé de 13 ans, né le 11 mai 1868 à La Vieille Loye, décédé le 7
décembre 1881 à La Vieille Loye (fils de Michel, potier à la verrerie, et d’Émilie PERRET).
Jean Baptiste TRUCHOT, maître ouvrier verrier, époux de Thérèse BOILLEY, est père à La Vieille Loye (1862 :
Émilie Alexandrine). Jean Baptiste TRUCHOT, perd le droit à l’affouage à La Vieille Loye (1862),
signe de déplacement professionnel vers une autre verrerie.
François Auguste VAUTROT, ouvrier tiseur à la verrerie (en 1878), né le 11 juin 1869 à La Vieille Loye, décédé
le 2 mai 1927 à La Vieille Loye (fils de François (lui-même fils d’Henri et d’Anne LOMBERGET),
journalier âgé de 61 ans (1894), et de Jeanne Marguerite MOINE, décédée le 18 février 1887 à La
Vieille Loye). François Auguste VAUTROT marié le 4 avril 1894 à La Vieille Loye avec Marie Louise
DUVOIS, née le 6 octobre 1872 à Montbarrey, décédée le 9 décembre 1926 à La Vieille Loye (fille de
307
308
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310
311
312
Contrat de mariage du 24 juin 1872 - Me François BAROT, notaire à Mont-sous-Vaudrey - ADJ - cote 4E 13889 - acte n° 132.
Internet - http://doubsgenealogie.fr.
Acte de vente du 24 janvier 1896 - Me François BAROT, notaire à Mont-sous-Vaudrey - ADJ - cote 4E 13932 - acte n° 10.
27
Chaude François DUVOIS, âgé de 47 ans (1894), bûcheron aux baraques de la XVème série en Forêt de
Chaux, et de Marie VACHERET, décédée le 11 octobre 1875 à la 15ème série en Forêt de Chaux,
territoire de Montbarrey). François Auguste VAUTROT est père à La Vieille Loye (1878 : Jeanne Marie
Louise, mariée le 28 mars 1905 à Paris, avec Charles LEBEL, et décédée le 10 avril 1958 à Montmagny
en Seine-et-Oise ; 1895 : fille mort née ; 1896 : Georges Auguste).
Alphonse VERCEZ, verrier (fils de Joseph et de Sophie FAIVRE, née le 12 mai 1827 à La Vieille Loye, décédée le
23 septembre 1878 à La Vieille Loye (elle-même fille de François et de Thérèse FAIVRE, tous deux
bûcherons313)). Alphonse VERCEZ est témoin lors du décès de sa mère à La Vieille Loye (1878).
Charles Florentin VERCEY, 36 ans, tamiseur à la verrerie314, époux d’Hélène BAUCAIRE, est père à La Vieille
Loye (1878 : Louis ; Alfred, décédé le 18 février 1906 à La Vieille Loye, âgé de 28 ans).
Les employés de la verrerie durant la gestion d’Émile NEVEU (1883-1919)
Claude AIGNAN, écrit de Reims (Marne) pour un emploi de remplaçant (mars 1913). Claude AGNAN, souffleur
(1913, 1914), logé au village (1914).
Edmond AIGROT, magasinier (1911).
Charles ANTHONIOZ, né vers 1867, époux d’Eugénie, logé (1917315) dans la baraque n° 2 du hameau forestier du
13ème triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de Montbarrey. Il est père à La Vieille
Loye (1893 : Gabrielle ; 1902 : Rose ; 1904 : Louis). Charles ANTHONIOZ est porteur (1919), videur
(1919).
Louis ANTHONIOZ, né vers 1904 (fils de Charles, verrier, et d’Eugénie), videur (1919), porteur d’eau (1919,
1920, 1921), manœuvre (1923), gazier (1925), logé (6 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Recensé avec ses parents (1917316) dans la baraque n° 2 du hameau forestier du 13ème triage de la
Forêt de Chaux dépendant de la commune de Montbarrey.
Louis ARDOISE, souffleur, écrit de Loivre (Marne) (31 janvier 1912), grand garçon à la verrerie de La
Vieille Loye (1913, 1914).
Alfred BAILLY, cité dans un dossier d’accident du travail (1912).
Charles BALLET, porteur d’eau (1909, 1911).
Ernest Joseph BALLET, né le 2 octobre 1898, gamin (1907), porteur (1912, 1913, 1914).
Frédéric BALLET, gamin (1900, 1905, 1907), tamiseur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), aide fondeur (1913, 1914),
tamiseur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), âgé de 60 ans (1919).
BARBOTIN, tamiseur (1919).
Jean BARD (BART), souffleur logé au village (1913), souffleur (1914).
Jean Pierre BARILLEY, verrier, époux de Françoise POUX, est père (Charles Victor, décédé le 14 janvier 1893 à
La Vieille Loye)
Lucien BARILLEY, venant de Reims (Marne) au 31 juillet 1897, gamin (1897, 1898). Lucien BARILLEY, verrier à
Courcy (Marne), propose Arthur GODARD comme grand garçon. Ce dernier a travaillé 17 ans dans la
même verrerie, puis 4 ans à Courcy. Lucien en profite pour solliciter des places de gamins et de
porteur pour ses 3 fils et son gendre (22 juin et 3 août 1906). Lucien BARILLEY, écrit de Loivre
(Marne) pour recommander Émile JUPON comme grand garçon (24 décembre 1911).
Joseph BARON, logé au village (1913).
Auguste BAUCAIRE, sablier à Belmont (1897), cité dans un dossier d’accident du travail (1905), magasinier
(1912, 1913).
Ch. BAUCAIRE, sablier à Belmont (1897).
Émile BEAUCAIRE, sablier à Belmont (1913).
François BAUCAIRE, manœuvre (1913).
François BAUCAIRE, porteur d’eau (1913).
François Xavier BAUCAIRE, verrier, né le 24 septembre 1864 à La Vieille Loye, décédé le 18 janvier 1882 à La
Vieille Loye (fils de Claude François et d’Élisabeth OGIER).
Jean Charles BAUCAIRE, verrier, époux de Françoise Augustine Noémie MICHAUD, est père (âgé de 25 ans) à La
Vieille Loye (13 novembre 1885 : Edmond Joseph)
Louis BAUCAIRE est d’accord avec les modalités de la lettre d’Émile NEVEU (25 juillet 1911).
Marguerite BEAUCAIRE
Hippolyte BELON, verrier, âgé de 40 ans, est témoin lors du décèsà La Vieille Loye d’une fille du verrier
Joseph Alfred SINZOT (sic) (septembre 1891).
Pierre Alphonse BLAISON, né le 18 février 1892 à Belmont, fils de Louis Anatoile et de Marie Joséphine
MAILLOTTE (mariés le 16 mars 1893), titulaire du livret d’apprenti n° 78 ouvert le 9 novembre 1905,
porteur.
Joseph BOIRET, verrier, est témoin âgé de 21 ans lors du mariage du verrier Jules CALINON (avril 1885).
Jules BOISSON, né le 6 décembre 1886 à Oussières, titulaire du livret d’apprenti n° 45 ouvert le 29 septembre
1899, porteur de bouteilles, puis gamin (1903, 1904).
Marcel BOISSON, né le 20 octobre 1889 à Oussières, titulaire du livret d’apprenti n° 62 ouvert le 4 décembre
1902, porteur (1904, 1907).
313
Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des naissances - 1853/1862 - 1863/1872 et 1873/1882.
315
Archives Office National des Forêts de Dole - Liste nominative de la population (1892 à 1942).
316
314
28
Alfred BONAPETIT, né à Chamblay (9 octobre 1888), titulaire d’un livret d’apprenti (7 septembre 1901), gamin
(1903, 1905, 1907).
Victor BONAPÉTIT, porteur (1903), gamin (1904, 1905, 1906, 1907).
Auguste BONJOUR, porteur (1904).
Étienne BONJOUR, videur âgé de 60 ans (1919), porteur d’eau (1920).
BONNIN, gamin (1906), âgé de 26 ans (1906), recommandé par son frère ainé, instituteur à Sellières (9
septembre 1906).
BONTEMPS, venant de Blanzy (Saône-et-Loire), reçoit un mandat télégraphique pour faire face à ses frais de
déplacement afin de venir travailler à La Vieille Loye comme grand garçon (1900).
BORGNE, venant de Loivre (Marne), dédommagé pour le port de son mobilier (novembre 1897), grand garçon, assure
le logement et la nourriture, avec dédomagement par la verrerie, de DARDARD, grand garçon, à son
arrivée, en attendant que son logement soit prêt (juin 1898).
Claude BOSSU, grand garçon logé au village (1913).
Lucien Joseph BOURDIN, titulaire du livret d’apprenti n° 31 ouvert le 28 août 1897, porteur (1900), magasinier
(1919, 1921, 1922, 1923) porteur (1925), porteur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie
(1926), porteur (1927), cueilleur (1928, 1929, 1930, 1931).
Edmond BOUTON, est cité comme travaillant à la verrerie dans une lettre en date du 22 avril 1911 émanant de la
société Gustave BELLAIGUE et Alfred LÉCULIER de Mont-sous-Vaudrey.
Victor BOUTON, porteur (1910, 1911).
Jules BRANCHEY, célibataire, 27 ans, souffleur, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (15, 17 et 29 juin, 18
juillet et 20 août 1911). Jules BRANCHEY, souffleur (1911, 1912, 1913).
Pierre BRANCHEY, gamin, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (15 juin 1911). Pierre BRANCHEY, né le 22 février
1896, gamin (1911, 1912, 1913).
Henri Léon BREDIN, né le 13 juin 1898 à Chissey (fils d’Auguste et Hortense BREDIN (sic)), titulaire du livret
d’apprenti n° 115 ouvert le 5 octobre 1912. (*) Léon BREDIN est retiré de la verrerie par sa mère
Hortense, afin qu’il apprenne le métier de menuisier avec son père (décembre 1912). Henri Léon
BREDIN est cependant porteur (1913).
Léon BRETON, né le 28 juin 1881 à Velesmes (Doubs), titulaire du livret d’apprenti n° 19 ouvert le 15
septembre 1894 comme porteur de bouteilles, quitte la verrerie le 11 mars 1899.
Alphonse BROCARD, manœuvre (1913).
Joseph Albin BRUET, verrier, né le 2 décembre 1880 à Chamblay (fils de Joseph, journalier âgé de 49 ans
(1903), et de Louise SIGONNEY, sans profession), marié le 23 mars 1904 à la Vieille Loye avec Marie
Françoise ROY, née le 2 février 1882 à La Vieille Loye (fille de Charles, journalier, et de Marie
Célina ROSE, sans profession). Joseph Albin BRUET est père à La Vieille loye (Pierre Charles, né le
8 avril 1905, décédé le 7 avril 1906 à La Vieille Loye ; 1906 : Régine Rose Marie ; 1908 : Colette
Élise). Joseph Albin BRUET est souffleur (1903, 1904, 1906, 1907), puis grand garçon (1908, 1909,
1910).
Alfred BRUET, porteur (1900, 1903, 1904, 1907), gamin (1908).
Auguste BRUET, né le 5 janvier 1895, porteur (1910, 1911), gamin (1912, 1913, 1914).
Joseph BRUET, cité dans des dossiers d’accident du travail (1906 et 1911).
Joseph Eugène BRUET, verrier, né le 18 janvier 1882 à Chamblay (fils de Joseph, voiturier (1907), et de Louise
SIGONNEY), marié le 10 août 1907 à La Vieille Loye avec Marie LAPORTE, née le 30 septembre 1880 à
La Vieille Loye (fille d’Émile, propriétaire cultivateur, et de Marie SIMONOT). Joseph Eugène BRUET
est père à La Vieille Loye (Marcel Joseph (jumeau), né le 1er juin 1908, marié le 27 novembre 1934 à
Dole avec Marie Magdeleine Arielle MAZOYER, décédé le 5 juin 1971 à Damparis ; Norbert marius
(jumeau), né le 1er juin 1906, marié le 24 septembre 1929 à Molay avec Clémence Joséphine Marcelle
DELILLE, remarié le 4 mai 1957 à Dijon (Côte-d’Or) avec Isabelle MAZUÉ). Joseph Eugène BRUET est
grand garçon (1900, 1903, 1905, 1906), souffleur relais (1908), grand garçon (1909, 1910). (*) Un
Eugène BRUET, terminant son service militaire, écrit depuis Bruyères (Vosges) (17 juillet 1906).
Joseph Émile BRUET, verrier, né le 8 octobre 1889 à Chamblay (fils de Joseph, journalier, et de Louise
SIGONNEY, sans profession), marié le 15 novembre 1919 à La Vieille Loye avec Marguerite THEUREAU,
née le 11 septembre 1887 à Blanzy (Saône-et-Loire), femme de chambre (fille de Jean Baptiste,
décédé, et de Marie CHARLOT, sans profession). Joseph Émile BRUET est père à La Vieille Loye
(1921 : Marie Louise Marguerite ; 1925 : Odette Joséphine ; 1926 : Louise Joséphine). Joseph Émile
BRUET est grand garçon (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931),
grand garçon logé (4 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Louis BRUET, gamin (1904, 1905, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1919), grand garçon (1920, 1921, 1923, 1924,
1925), grand garçon logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928,
1929, 1930).
Alfred BUCHAILLOT, verrier.
Antoine BUCHAILLOT, verrier.
Justin Edouard Maurice BULLE, né le 15 mai 1899 à Ounans, fils de Jacques Léon et Jeanne Marie Berthe MOUGET,
titulaire du livret d’apprenti n° 108 ouvert le 20 septembre 1911, porteur (1912). (*) La veuve
BULLE, de La Vieille Loye, sollicite un emploi pour elle et son fils (février 1911).
Auguste Jean CABAUD, né le 23 juin 1896, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n°
100 ouvert le 29 septembre 1910, porteur (1910, 1911, 1912).
André CALINON, verrier, né le 12 janvier 1900 à La Vieille Loye, époux de Marie Louise Andrée PERROCHE, née le
16 février 1903 à La Loye, couturière, est père à La Vieille Loye (1926 : Madeleine Andrée). André
CALINON est porteur (1913, 1914), fondeur (avril 1919), gamin (1919, 1922), grand garçon (1924,
1925). André CALINON porteur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926), porteur (1927),
monteur trains (1928) magasinier (1929, 1930).
29
Charles CALINON, gamin (1900), grand garçon (1903, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913), grand garçon (1919,
1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), grand garçon logé (6 personnes) sur le site de la verrerie
(1926), souffleur (1927), grand garçon (1928), souffleur (1929), grand garçon (1930, 1931).
François CALINON, remplaçant (1913).
Georges Émile CALINON, né le 20 juin 1895, porteur (1908, 1909), gamin (1910, 1911, 1912), cité dans un
dossier d’accident du travail (1912), grand garçon (1913, 1914).
Joseph CALINON, gamin (1900), grand garçon (1904, 1905, 1907, 1908, 1909, 1910).
Joseph Émile CALINON, verrier, né en 1886 à La Vieille Loye (fils de Jules, verrier, né le 11 juin 1860 à La
Vieille Loye, et de Célestine Alexandrine THIBERT, née le 9 septembre 1864 à La Vieille Loye),
époux de Marie Félicie Camille BULLE, est père à La Vieille Loye (1909 : Espérance Léontine).
Jules CALINON, né le 11 juin 1860 à La Vieille Loye (fils de Jean Pierre et de Jeanne Pierre SIMON), marié le
25 avril 1885 à La Vieille Loye avec Célestine Alexandrine THIBERT, née le 9 septembre 1864 à La
Vieille Loye, décédée avant 1942 (fille de Claude dit Brenot, décédé le 2 juin 1873 à La Vieille
Loye, et de Jeanne GUYOT). Jules CALINON est père à La Vieille Loye (1886 : Joseph Émile, verrier,
époux de Marie Félicie Camille BULLE ; 1888 : Pierre Louis ; 1895 : Abdon, décédé en 1896). Jules
CALINON est grand garçon (1900, 1904, 1911, 1912, 1913, 1914), gamin (1919). Jules CALINON est
témoin lors du mariage du verrier Charles Jean Baptiste CALINON (1920). Jules CALINON, manœuvre
(1921, 1922). Jules CALINON décédé le 19 mai 1942 à La Vieille Loye (son fils Pierre Louis est
témoin lors du décès).
Jules CALINON, porteur (1904), manœuvre (1913), fondeur (1919).
Jules CALINON, né le 11 juin 1860 à La Vieille Loye (file de Jean Pierre et de Jeanne Pierre SIMON,
propriétaires à La Vieille Loye) se marie le 25 avril 1885 à La Vieille Loye avec Célestine
Alexandrine THIBERT, née le 9 septembre 1864 à La Vieille Loye (fille de Claude dit Brenot, décédé
le 2 juin 1873 à La Vieille Loye, et de Jeanne GUYOT, propriétaire à La Vieille Loye). Jules
CALINON est père à La Vieille Loye (1886 : Joseph Émile ; 1888 : Pierre Louis ; 1895 : Abdon,
décédé en 1896). Jules CALINON est grand garçon (1900, 1904, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au
village (1913).
Jules Camille CALINON, verrier, né le 19 mars 1887 à La Vieille Loye (fils de Pierre François, verrier et de
Marie Joséphine BAUCAIRE, époux de Marie Laure VIENOT, née le 10 février 1892 à Amiens (Somme),
sans profession, est père à La Vieille Loye (1914 : Marcelle Camille Andrée).
Louis CALINON, porteur (1900, 1903), grand garçon (1905, 1906, 1908, 1909).
Marcel Robert CALINON, né le 28 mai 1897, porteur (1909, 1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident du
travail (1911), gamin (1913, 1914).
Pierre François CALINON, verrier, époux de Marie Joséphine BAUCAIRE, est père (âgé de 29 ans) à La Vieille
Loye (Charles Jean Baptiste, né le 28 Août 1885, marié le 29 mai 1920 à La Vieille Loye, avec Alise
DEJEUX). Il est à nouveau père (Jules Camille, verrier, né le 19 mars 1887 à La Vieille Loye, époux
de Marie Laure VIENOT, née le 10 février 1892 à Amiens (Somme)).
Valentin CALINON, porteur (1904).
Thérèse CANOZ, perçoit 47,30 francs pour ses gages (12 juin au 18 août 1902).
Auguste Jean CÉDOZ, né le 29 mars 1893, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n° 89
ouvert le 23 octobre 1908, porteur (1908).
Jules CHAROLLOIS, 32 ans, souffleur depuis 13 ans, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (27 juillet et 2 août
1911). Jules CHAROLLOIS, verrier, âgé de 33 ans en 1913, époux de Caroline ROCHETTE, est père à La
Vieille Loye (1913 : Adrienne Victorine). Jules CHAROLLOIS, souffleur (1911, 1912, 1913, 1914).
Marcel CHAVARD, porteur (1913).
Claude CHÉRION, verrier, époux d’Edmée PICARD, est père (âgé de 33 ans) à La Vieille Loye (Marguerite Edmée
Catherine, née le 21 novembre 1885, décédée le 12 janvier 1981 à Decize (Nièvre)). Claude CHÉRION
est témoin (âgé de 32 ans) lors de la naissance de la fille du verrier Pierre CHICARD à La Vieille
Loye (1884).
CHEVET, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1894).
Alfred CHEVRIAUX, gamin (1908, 1909, 1910, 1911, 1912).
Auguste CHEVRIAUX, verrier (fils de Jean François, ancien verrier, garde champêtre, né le 24 janvier 1849 à La
Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à La Vieille Loye (lui-même fils d’Antoine et de François
Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 à La Vieille Loye, décédée le 31 mars 1929 à
la Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne Claude CHOIX)). Auguste CHEVRIAUX, grand
garçon (1900, 1903, 1904, 1905, 1906), est témoin (âgé de 28 ans) avec son frère Charles (âgé de 24
ans) lors du mariage à La Vieille Loye (1902) de sa sœur (Lucie Augustine, mariée avec le verrier
Albert Jean Baptiste HÉNARD). Auguste CHEVRIAUX est témoin lors des mariages de ses frères à La
Vieille Loye : Charles (1906) et François Émile (1907).
Auguste CHEVRIAUX, gamin (1906, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912), puis porteur (1913, 1914).
Charles CHEVRIAUX, verrier, né le 19 mars 1878 à Chagny (Saône-et-Loire) (fils de Jean François, ancien
verrier, garde champêtre, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à La
Vieille Loye (lui-même fils d’Antoine et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9
mars 1852 à La Vieille Loye, décédée le 31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges
et de Jeanne Claude CHOIX)). Charles CHEVRIAUX, marié le 1er décembre 1906 à La Vieille Loye avec
Anna GUYOT, née le 6 mars 1884 à La Vieille Loye (fille de Joseph Nicolas, propriétaire à La
Vieille Loye, et de Marie LAPORTE). Charles CHEVRIAUX est père à La Vieille Loye (1907 : Suzanne).
Charles CHEVRIAUX, souffleur (1904, 1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1914), logé au
village (1913), est cité dans un dossier d’accident du travail (1906). Charles CHEVRIAUX est témoin
(âgé de 50 ans) lors du décès de sa mère (1929). Charles CHEVRIAUX est souffleur (1919, 1920, 1921,
30
1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie
(1926).
CHEVRIAUX père, grand garçon (1900, 1904).
François Émile CHEVRIAUX, né le 15 mars 1884 à La Vieille Loye (fils de Jean François, ancien verrier, garde
champêtre, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à la Vieille Loye (luimême fils d’Antoine et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 à La
Vieille Loye, décédée le 31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne
Claude CHOIX)). François Émile CHEVRIAUX, marié le 6 novembre 1907 à La Vieille Loye avec Berthe
MÉNONVAL, née le 5 novembre 1886 à Loivre (Marne), précédemment ouvrière à Jujurieux (Ain), (fille
de Hégésippe, décédé le 30 juin 1906 à La Vieille Loye, et de Lazarette LUNEAU, décédée le 17
décembre 1905 à La Vieille Loye). François Émile CHEVRIAUX, témoin lors du mariage de son frère
Charles à La Vieille Loye (1906), est père à La Vieille Loye (1908 : Isabelle Charlotte ; André
Émile, né le 14 décembre 1910, marié le 15 juillet 1933 à Rimogne (Ardennes), décédé le 3 juin 1992
à Charleville-Mezières (Ardennes)). Il est à nouveau père à La Vieille Loye (1913 : Marguerite
Berthe). François Émile CHEVRIAUX est grand garçon (1900, 1908, 1909, 1910), puis souffleur (1911,
1912). Émile CHEVRIAUX, logé au village (1913), est cité dans un dossier d’accident du travail
(1912). François Émile CHEVRIAUX est grand garçon (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924).
Georges Louis Auguste CHEVRIAUX, verrier (fils de Jean François, ancien verrier, garde champêtre, né le 24
janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à la Vieille Loye (lui-même fils d’Antoine
et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 à La Vieille Loye, décédée le
31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne Claude CHOIX)). Georges
Louis Auguste CHEVRIAUX (âgé de 28 ans en 1901), époux de Marie Charlotte Célina GEORGEON, est père
à La Vieille Loye (Georges Jean, né le 30 septembre 1901, marié le 15 mai 1925 avec Irma Eugénie
DUTRUEL). Georges Louis Auguste CHEVRIAUX est père à La Vieille Loye (1905 : Marcel Auguste ;
1908 : Angèle Yvonne).
Jean François CHEVRIAUX, verrier, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à La Vieille
Loye (fils de Jacques Antoine et de Jeanne Françoise Adèle ROSE). Jean François CHEVRIAUX marié le
9 février 1872 à La Vieille Loye avec Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 au 15ème triage de la Forêt
de Chaux317, fille de Georges, bûcheron et de Jeanne Claude CHOIX, décédée le 2 novembre 1870 à La
Vieille Loye). Jean François CHEVRIAUX est père à La Vieille Loye (1874 : Augustine Joséphine ;
Lucie Augustine, née le 4 mai 1876, mariée le 29 janvier 1902 à La Vieille Loye avec le verrier
Albert Jean Baptiste HÉNARD ; 1880 : Jeanne Augustine). Il est à nouveau père (15 mars 1884 :
François Émile), et à nouveau père (âgé de 42 ans) à La Vieille Loye (Lucien Alfred, né le 15
octobre 1891, marié le 17 mars 1919 à La Vieille Loye avec Marie Louise MOURLIN). Jean François
CHEVRIAUX est présent lors du mariage de son fils (Charles, né le 19 mars 1878 à Chagny (Saône-etLoire), marié le 1er décembre 1906 à La Vieille Loye avec Anna GUYOT).
Lucien Alfred CHEVRIAUX, verrier, né le 15 octobre 1891 à La Vieille Loye (fils de Jean François, ancien
verrier, garde champêtre, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à la
Vieille Loye (lui-même fils d’Antoine et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9
mars 1852 à La Vieille Loye, décédée le 31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges
et de Jeanne Claude CHOIX)). Lucien Alfred CHEVRIAUX, marié le 17 mars 1919 à La Vieille Loye avec
Marie Louise MOURLIN, née le 9 mai 1896 à Chamblay (fille de Joseph et d’Hortense BRUET).
Pierre CHICARD, verrier, âgé de 23 ans, époux de Marie LEBAS, est père à La Vieille Loye (Jeanne Marie Aimé,
née en 1885, et Alphonse, né le 14 février 1887, marié le 31 décembre 1945 à Saint-Léger-des-Vignes
(Nièvre), décédé le 17 mars 1946 à Saint-Léger-des-Vignes)
Auguste CHOIX (fils de Jean Etienne, décédé le 2 novembre 1900 à La Vieille Loye, et de Léonie LIADY, décédée
le 22 janvier 1905 à La Vieille loye), est témoin (âgé de 39 ans) lors du mariage de son frère
Charles à La Vieille Loye (1908). Auguste CHOIX, est porteur (1900, 1904), aide gazier (1904, 1905,
1908, 1909, 1910, 1911, 1912), puis gazier (1913, 1914).
Charles CHOIX, cité dans un dossier d’accident du travail (1906).
Charles CHOIX dit Raymond, verrier, né le 12 septembre 1881 à La Vieille Loye (fils de Jean Etienne, décédé le
2 novembre 1900 à La Vieille Loye, et de Léonie LIADY, décédée le 22 janvier 1905 à La Vieille
loye), marié le 10 septembre 1908 à La Vieille Loye avec Ernestine Eugénie (dite Marthe) DEBRANDBONAPETIT, née le 9 octobre 1885 à Chamblay (fille de Étienne, décédé le 6 février 1897 à Cgamblay,
et de Marie Antoinette GARNIER, couturière à La Vieille Loye). Charles CHOIX est père à La Vieille
Loye (1909 : Julienne). Charles CHOIX, témoin (âgé de 26 ans) lors du mariage du verrier Jean
François ROULLAT à La Vieille Loye (1907), est grand garçon (1900, 1905, 1906), souffleur (1908,
1909), grand garçon (1910, 1911, 1913).
François Émile CHOIX, verrier, né le 9 octobre 1879 à La Vieille Loye, (fils de Jean Etienne, verrier, né le 5
mars 1840 à Santans, décédé le 2 novembre 1900 à La Vieille Loye (fils de Pierre, bûcheron à La
Vieille Loye, et de Thérèse GUYOT, bûcheronne), et de Jeanne Françoise Léonie YADIT, née le 15
avril 1848 à la Loye (fille de Jean François et de Jeanne PANTILLON), décédée le 22 janvier 1905 à
La Vieille Loye). François Émile CHOIX est témoin lors du décès de son père à la Vieille Loye
(1900). François Émile CHOIX, titulaire du livret d’apprenti n° 8 ouvert le 2 novembre 1892 comme
porteur de bouteilles.
François CHOIX, grand garçon (1900, 1907, 1908, 1910, 1911, 1912), gamin (1913, 1914).
Jean Étienne CHOIX, né le 5 mars 1840 à Santans (fils de Pierre, bûcheron à La Vieille Loye, et de Thérèse
GUYOT, bûcheronne), décédé le 2 novembre 1900 à La Vieille Loye. Jean Étienne CHOIX, époux de
317
31
Léonie YADIT, sans profession, est père (Émile, verrier lors du décès de son père en 1900). Jean
Étienne CHOIX est logé au village dans la maison GUIGNOT (05/1896 à 04/1897).
Raymond CHOIX, grand garçon (1900, 1904, 1905), souffleur (1908, 1909, 1910). Raymond CHOIX, écrit de Reims
(Marne) pour un emploi pour lui et pour un nommé DUBOIS, grand garçon (14 octobre 1912).
Laurent CLODELLE (CLODEL), né le 23 décembre 1889, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret
d’apprenti n° 82 ouvert le 28 octobre 1907, porteur de bouteilles (1907, 1908).
Justin CUENNE, blessé en service perçoit des indemnités mensuelles (12/1897 à 06/1898). Justin CUENNE,
souffleur à la verrerie de Gyon, en Asturie (Espagne) (août 1902). Justin CUENNE, souffleur, écrit
de Bordeaux (Gironde) (27 mai 1905).
Eugène Edouard DARDARD, verrier, né le 21 octobre 1865 à Loivre (Marne) (fils d’Auguste, domicilié à Reims
(Marne), et de Marie Théodorine VIGOURT), époux d’Eugénie VAUTHIER, sans profession (âgé de 25 ans
en 1898), est père à La Vieille Loye (1897 : Jeanne Émilienne). Eugène Edouard DARDARD, venant de
Loivre (Marne), dédommagé pour le port de son mobilier (octobre 1897), grand garçon logé et nourri
par la famille BORGNE lors de son arrivée en attendant la préparation de son logement (juin 1898).
Eugène Edouard DARDARD décédé le 6 septembre 1898 à La Vieille Loye.
Alfred DAURAS, porteur (1913, 1914).
Joseph DEDENON, porteur (1914).
Paul DEDENON, porteur (1914).
DEJEAN, cité dans un dossier d’accident du travail (1912).
Adèle DEJEUX
Appoline DEJEUX, manœuvre (avril 1919).
Auguste DEJEUX, porteur (1904), maréchal (1908, 1910, 1911, 1912, 1913), logé au village (1913).
Charles DEJEUX dit Le Gris, verrier, né le 25 novembre 1840 à La Vieille Loye (fils de Charles, décédé le 16
février 1876 à La Vieille Loye, et de Jeanne Françoise DELIOT, décédée le 13 février 1883), se
marie le 9 juin 1883 à La Vieille Loye avec Marie Louise BARBIER, née le 11 mai 1860 à Sainte-Foyl’Argentière (Rhône) (fille d’Antoine, décédé le 8 septembre 1879 à Sainte-Foy-l’Argentière, et
d’Augustine MIGNOT, décédée le 23 avril 1871 à Souzy (Rhône)). Charles DEJEUX est père à La Vieille
Loye (1885 : Léonie Joséphine ; 1887 : Léonie Marie ; 1889 : Ferréol). Charles DEJEUX décède le 9
janvier 1891 à La Vieille Loye, son frère Charles Louis étant témoin. Marie Louise BARBIER, veuve
de Charles DEJEUX, se remarie le 2 mai 1900 à La Vieille Loye avec Hippolyte Luc DUBUC, verrier âgé
de 37 ans, veuf de Florine Françoise DURAQUET.
Charles DEJEUX, arrangeur (1911, 1912, 1913, 1914).
Charles DEJEUX, charron (1911, 1912, 1913).
Charles Louis DEJEUX, verrier, est témoin âgé de 49 ans (1907) lors du mariage du verrier Jean François
ROULLAT à La Vieille Loye. Charles Louis DEJEUX (fils de Charles, décédé le 16 février 1876 à La
Vieille Loye, et de Jeanne Françoise DELIOT, décédée le 13 février 1883), époux de Joséphine
LALUNE, est père à La Vieille Loye (1888 : Marie ; 1892 : Charles Joseph ; 1899 : Reine
Marguerite). Charles Louis DEJEUX est témoin (âgé de 32 ans) lors du décès de son frère Charles (9
janvier 1891). Il est arrangeur (1900), puis grand garçon (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913,
1914).
Claude DEJEUX, arrangeur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914).
DEJEUX dit l’Âne, souffleur (1900, 1904).
DEJEUX dit Caporal, grand garçon (1900, 1903, 1904, 1905, 1906, 1908, 1909).
DEJEUX dit Pilot, logé au village (09/1897 à 09/1898), souffleur (1900, 1904, 1905, 1906).
DEJEUX dit Marion, souffleur (1900).
Femme Paul DEJEUX, laveuse, repasseuse, raccommodeuse, rémunérée à la journée (1897).
Férréol Charles Julien DEJEUX dit Barbet, né le 29 décembre 1889 à La Vieille Loye, titulaire du livret
d’apprenti n° 63 ouvert le 2 janvier 1903, porteur (1904), gamin (1905), grand garçon (1906),
arrangeur (1908, 1911, 1912, 1913, 1914). Ferréol DEJEUX, cité dans un dossier d’accident du
travail (1905).
François DEJEUX, verrier, né le 25 août 1874 à La Vieille Loye (fils de Charles, charron, décédé le 28 octobre
1913 à La Vieille Loye (lui-même fils de Pierre François et d’Anne Françoise CHEMITH), et d’Eugénie
DEJEUX, âgée de 51 ans, sans profession). François DEJEUX marié le 27 juillet 1901 à La Vieille
Loye avec Célina LALUNE, née le 15 octobre 1876 à La Vieille Loye (fille de Claude François,
bûcheron demeurant au 14ème triage de la Forêt de Chaux, âgé de 70 ans (1901), et de Claudine
DUVOIS, bûcheronne, décédée le 26 décembre 1920 à La Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de
Jeanne Claude CHOIX)). François DEJEUX est père à La Vieille Loye (1902 : Madeleine Céline ; Marcel
Émile, né le 2 février 1911, marié le 9 mars 1936 à Augerans avec Mireille Charlotte Alphonsine
LESCALIER ; Abel, né le 23 mars 1914 à La Vieille Loye, marié le 25 septembre 1945 à Poligny avec
Eugénie Armande FOURET). François DEJEUX, témoin (âgé de 31 ans) lors du décès de son frère Paul
Joseph (1906), est souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914). Il est souffleur (1919,
1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927), logé (4 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926),
puis porteur (1929. François DEJEUX, verrier, encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Jean Baptiste DEJEUX dit Frisé, verrier, époux de Sophie Théoduline TISSOT, est père (âgé de 32 ans) à La
Vieille Loye (Maurice, né le 6 mars 1886, décédé le 21 septembre 1886 à La Vieille Loye ; 1887 :
Alice).
Jean Baptiste DEJEUX dit Hippolyte, verrier (fils de Claude, né le 26 novembre 1811 à La Vieille Loye, et de
Jeanne CHEVRIAUX, décédée à La Vieille Loye), témoin (âgé de 37 ans) lors du décès de son père
(Claude DEJEUX, cultivateur, fils de François et de Jeanne Claude LOMBERGET). Jean Baptiste DEJEUX
dit Hippolyte, verrier, époux de Victorine SINTOT (fille de Jean Baptiste, cultivateur, décédé le
23 septembre 1896 à La Vieille Loye (lui-même, fils de Jean Baptiste et de Marguerite ROCH)), est
32
père (âgé de 29 ans) à La Vieille Loye (Maxime né le 5 avril 1885, marié en 1920 à Montbarrey). Il
est à nouveau père (1887 : Alice). Jean Baptiste DEJEUX dit Hippolyte, témoin (âgé de 46 ans) lors
du décès de son frère François DEJEUX, aubergiste à La Vieille Loye (né le 16 janvier 1847 à La
Vieille Loye, décédé le 8 février 1902 à La Vieille Loye), est charron (1911, 1912, 1913).
Joseph DEJEUX, contremaître de verreries (fils de Jacques, décédé avant 1902, et de Jeanne Claude CHOIX, née
le 14 août 1833 à La Vieille Loye, décédée le 14 février 1902 à La Vieille Loye (elle-même fille de
Pierre et de Thérèse GUYOT)). Joseph DEJEUX est témoin (âgé de 45 ans) lors du décès de sa mère à
Joseph DEJEUX, comptable, témoin (âgé de 28 ans) lors de la naissance du fils du verrier François CHEVRIAUX à
La Vieille Loye (1884). Joseph DEJEUX employé, au salaire mensuel de 150 francs (1897, 1913), est
mis à la retraite à l’âge de 60 ans (janvier 1919).
Joseph DEJEUX, manœuvre (1913).
Joseph Jules André DEJEUX, né le 27 octobre 1890 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 81
ouvert le 12 octobre 1907, apprenti forgeron maréchal (1908, 1909, 1910), maréchal (1911).
Marion DEJEUX, souffleur (1910).
Marius DEJEUX, né le 11 octobre 1887 à Choisey, titulaire du livret d’apprenti n° 61 ouvert le 1er septembre
1902, apprenti forgeron (1903), maréchal (1908, 1911, 1912, 1913). Marius DEJEUX, maréchal (1919),
forgeron (1919, 1921, 1922, 1923).
Maxime DEJEUX, porteur (1900), gamin (1904, 1905), videur (1913). Maxime DEJEUX, gamin (1919), emballeur
(1919), charron (1921, 1922, 1923, 1928, 1929, 1930).
Paul DEJEUX, maréchal (1908, 1910, 1911, 1912, 1913), cité dans des dossiers d’accident du travail (1905 et
1912). L’épouse de Paul DEJEUX est laveuse, repasseuse, raccommodeuse, rémunérée à la journée
(1897). Paul DEJEUX, maréchal (1919).
Paul Joseph DEJEUX, verrier, décédé le 30 mai 1906 à La Vieille Loye (son frère François, verrier, est témoin
lors du décès), époux de Marie Joséphine SIRE, est père (âgé de 35 ans) à La Vieille Loye (1896 :
Suzanne Gabrielle).
Veuve DEJEUX, cuisinière, aux gages de 40 francs par mois (1897).
Antoine DELAY, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (7 juillet 1912). Antoine DELAY, souffleur (1911, 1912), logé
au village (1913). Antoine DELAY, souffleur (1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930), souffleur logé (5
personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Jean Marie DELAY, grand garçon, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (6 juillet 1911), mais préfère rester au pays
vers ses parents (12 juillet 1911). Jean Marie DELAY, grand garçon (1911, 1912).
DELORME, écrit depuis Bourg-Hameau, proche de Saint-André-le-Désert (Sâone-et-Loire), manœuvre, et son fils,
porteur, 13 ans. DELORME, déjà demandeur (1907), est père de 5 garçons et 1 fille (en 1911), est
pris à La Vieille Loye (5 juillet 1911).
Antoine DELORME, berger (1916).
Joseph DELORME, berger (1913).
Jean DELORME, cité dans un dossier d’accident du travail (1915).
Jean Louis DELORME, né le 4 septembre 1898, porteur (1912, 1913, 1914), cité dans un dossier d’accident du
travail (1912). Jean Louis DELORME, porteur (1920, 1922).
Joseph DELORME, porteur (1914).
Henri DELORME, porteur (1913).
François DESANGÈRE, grand garçon, écrit de La Neuvillette (Marne) (2 et 11 février et le 6 mai 1905), et
réitère sa demande le (20 juin et les 17 et 20 juillet 1906). François DESAUGÈRE (ou DESANGÈRE),
témoin (âgé de 38 ans) lors du mariage du verrier Jean Pierre GUILLEMIN à La Vieille Loye (1911),
est grand garçon (1910, 1911). François DESAUGÈRES, écrit de Denain (Nord) et redemande un
certificat de libre engagement à Émile NEVEU (18 mai 1911).
Noëlle Louise DESCHAMPS, cuisinière (1906).
Joseph DEDENON, relais (1914).
Paul DEDENON, porteur (1914).
Baptiste DELAFOULHOUZE, cité dans un dossier d’accident du travail (1911).
Claude DROMARD, gamin (1909, 1910).
Émile DROMARD, verrier de La Vieille Loye, et ses frères, Joseph DROMARD, épicier à Rive-de-Gier (Loire), et
François DROMARD, verrier à Mégecoste (Haute-Loire), sont cités dans une lettre d’Ernest VIENET
(mars 1911), de Villers-Buzon (Doubs). Émile DROMARD est souffleur (1909, 1910).
DUBIEF, cité dans un dossier d’accident du travail (1912). Gaston DUBIEF, réfugié à Albi (Tarn), précédemment
employé à la verrerie de Vauxrot, proche de Soisson (Aisne), pour un emploi de souffleur (septembre
1915).
Jean Marie DUBRION, écrit depuis Blanzy (Saône-et-Loire) pour un emploi de souffleur (13 février 1906). Il
réitère sa demande depuis Reims (Marne) (6 décembre 1906) et à nouveau de Blanzy (12 et 20 juin
1911). Jean Marie DUBRION, répond de Blanzy (Saône-et-Loire) (12 et 17 juin, 19, 23 et 27 juillet
1911) à Émile NEVEU, que les verriers de Blanzy sont partis à Reims (Marne), à La Neuvillette
(Marne) et à Marseille (Bouche-du-Rhône) et qu’il ne reste plus que quelques hommes âgés. Il
accepte de travailler à La Vieille Loye en confirmant par un télégramme (29 juin 1911) où figure un
laconique : OUI ! Jean Marie DUBRION, souffleur (1911, 1912, 1913).
Léonard DUBRION, souffleur (1910, 1911, 1912, 1913, 1914). Léonard DUBRION, verrier, témoin (âgé de 30 ans) à
La Vieille Loye lors de la naissance (1913) d’une fille du verrier Maurice JANNIAUD.
DUBUQUE, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1894).
Auguste Hippolyte DUBUC, né le 1er février 1888 à La Vieille Loye (fils de Luc Hippolyte, verrier, et de
Florine Françoise DURAQUET, décédée), marié le 13 septembre 1913 à La Vieille Loye avec Eugénie
Émma MIGONNEY, née le 30 mai 1885 à Valempoulières (fille de Louis, décédé, et de Marie Célestine
33
MENERY, domiciliée à La Vieille Loye). Auguste Hippolyte DUBUC, gamin (1904), grand garçon (1905,
1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913).
Edmond DUBUC, gamin (1904, 1905, 1906, 1907, 1908), grand garçon (1909, 1910, 1911, 1913), cité dans un
dossier d’accident du travail (1905). Edmond DUBUC, grand garçon (1919, 1920, 1921).
Femme DUBUC, journalière (1913), laveuse lessive (1915).
François DUBUC, cité dans un dossier d’accident du travail (1905). François DUBUC, porteur (1924, 1925),
cueilleur (1926, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
François Georges DUBUC, verrier, né le 5 avril 1892 à La Vieille Loye, décédé le 10 janvier 1911 à La Vieille
Loye (fils du verrier Hippolyte Luc, souffleur, et de Florine Françoise DURAQUET), est porteur
(1907), gamin (1908, 1909), puis grand garçon (1910).
Hippolyte Luc DUBUC, verrier, né le 19 avril 1863 à La Vieille Loye, décédé le 18 mars 1932 à La Vieille Loye
(fils de Claude François, bûcheron318, et de Françoise GUYOT, décédée le 30 juillet 1875 à La
Vieille Loye, mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye). Hippolyte Luc DUBUC, marié le 20
octobre 1886 à La Vieille Loye avec Florine Françoise DURAQUET, domestique, née le 7 mai 1866 à La
Viieille Loye, décédée le 27 janvier 1899 à La Vieille Loye (fille de Claude François, décédé le 17
février 1884 à Petit-Noir, et de Jeanne Françoise LACROIX, 54 ans, bûcheronne319 à La Vieille Loye).
Les témoins du mariage sont : Jean Baptiste DUBUC, 25 ans, verrier, frère de l’époux ; Claude
Joseph DURAQUET, 27 ans, bûcheron, frère de l’épouse (né le 27 mars 1859 à La Vieille Loye) ;
Pierre François DURAQUET, bûcheron, frère de l’épouse (né le 23 octobre 1861 à La Vieille Loye).
Hippolyte Luc DUBUC est témoin lors du mariage du bûcheron Michel Auguste GARNIER à La Vieille Loye
(juin 1886). Hippolyte Luc DUBUC est père à La Vieille Loye (Auguste Hippolyte, né le 1er février
1888, marié le 13 septembre 1913 à La Vieille Loye avec Eugénie Émma MIGONNEY ; Edmond, né le 1er
septembre 1889, marié le 14 octobre 1916 au Deux-Fays avec Berthe Esther Françoise RAMAUX ;
François Georges, né le 5 avril 1892, décédé le 10 janvier 1911 à La Vieille Loye. Hippolyte Luc
DUBUC est à nouveau père (Luc Joseph, né le 4 juillet 1894, marié le 23 juillet 1918 à Lyon avec
Marie Jeanne Apollonie MARTEL ; 1896 : Valentine Germaine).
Hippolyte Luc DUBUC, veuf (1899), remarié le 2 mai 1900 à La Vieille Loye avec Marie Louise
BARBIER, née le 11 mai 1860 à Orchamps, décédée le 16 avril 1903 à La Vieille Loye (fille
d’Antoine, décédé le 8 septembre 1879 à Sainte-Foy-l’Argentière (Rhône) et de Anne Augustine
MIGNOT, décédée le 23 avril 1871 à Souzy (Rhône)), veuve de Charles DEJEUX, décédé le 9 janvier
1891 à La Vieille Loye. Hippolyte Luc DUBUC est à nouveau père à La Vieille Loye (Noël Gabriel, né
le 23 décembre 1900, marié le 1er décembre 1928 à Falletans avec Marie Louise Marguerite VACHERET,
décédé le 18 juin 1979 à Dole ; Joseph Auguste, né le 11 novembre 1902, marié le 3 juillet 1926 à
La Vieille Loye avec Fernande Émilienne WAGNER, noyé dans la Loue le 22 septembre 1940 au passage
de la ligne de démarcation).
Hippolyte Luc DUBUC, veuf (1903), remarié en troisième noces avec Marie MENERY, est souffleur
(1905, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913), puis contremaître de
verreries. Hippolyte Luc DUBUC, percevant 320 francs par mois (1919) puis 360 francs (1920), est
ensuite chef de fabrication (1926), logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Jacques DUBUC, grand garçon (1905), souffleur (1905, 1906, 1907, 1908, 1909).
Jean Baptiste DUBUC, verrier (fils de Claude François, bûcheron, et de Françoise GUYOT, décédée le 30 juillet
1875 à La Vieille Loye, mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye320), époux de Jeanne DESORMEAUX,
est âgé de 25 ans lors du mariage de son frère Hippolyte Luc à La Vieille Loye (1886). Jean
Baptiste DUBUC est père (âgé de 26 ans) à La Vieille Loye (1887 : Marie Berthe ; 1893 : Pauline).
Joseph DUBUC, porteur (1907, 1908), gamin (1909, 1910).
Louis DUBUC, verrier (fils de Claude François DUBUC, né le 1er juillet 1826 à La Vieille Loye, décédé le 11
juin 1901 à La Vieille Loye (lui-même fils de Claudine DUBUC, bûcheronne) et de Françoise GUYOT,
née le 15 novembre 1830 à La Vieille Loye, décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille Loye), témoin
(âgé de 30 ans) lors du décès de son père (1901), est souffleur (1900, 1903, 1904, 1905, 1907).
Louis DUBUC, cité dans des dossiers d’accident du travail (1905 et 1911), manœuvre (1913), porteur
d’eau (1914), aide gazier (1919), tamiseur (1919, 1920, 1921), manœuvre (1923), tamiseur (1925),
logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Louis Georges DUBUC, verrier, né le 30 janvier 1876 à La Vieille Loye (fils de Claude François, bûcheron, puis
cultivateur (1895) à La Vieille Loye, et de Françoise GUYOT, née le 15 novembre 1830 à La Vieille
Loye, décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille Loye, mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye321).
Louis Georges DUBUC marié le 27 avril 1895 à La Vieille Loye avec Léonie Eugénie (ou Ernestine)
Mathilde PAGNIEZ, née le 5/01/1875 à Montbarrey (fille de Jean Louis Albin, fromager, et de Marie
BOILLEY). Louis Georges DUBUC, verrier, est père à La Vieille Loye (1895 : Augustine Marie Louise ;
1898 : Augusta Gladie Georgette ; 1901 : Renée Mathilde ; 1905 : Louise Marie). Louis Georges
DUBUC, décédé le 22 décembre 1933 à La Vieille Loye (son fils François Joseph est témoin du décès).
318
CHARNOZ Jean Claude - Recensements des habitants des hameaux forestiers 1553 / 1904 - Tables alphabétiques des naissances - ADJ cote 2 J 1125 - Tables
alphabétiques des mariages - ADJ cote 2 J 1126 - Tables alphabétiques des décès - ADJ cote 2 J 1127.
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Marcel DUBUC, gamin (1910, 1911, 1912), grand garçon (1913, 1914).
Noël DUBUC, porteur (1914), gamin (1919, 1922, 1923, 1924), grand garçon (1925), grand garçon logé sur le site
de la verrerie (1926), grand garçon (1927, 1928), souffleur (1929, 1930).
Denis Victor DUCRET, verrier, dont le logement est remis en peinture (1894 et 1899), époux d’Anne GOUY, sans
profession, est père à La Vieille Loye (Henri Georges, né en 1893).
Eugène DUCRET, verrier, est cité par son père Victor DUCRET qui écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) pour signaler
à Émile NEVEU que son fils travaille à La Vieille Loye sans avoir obtenu son attestation de libre
d’engagement (décembre 1905). Eugène DUCRET, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (25 août 1911).
DUPUY-VAVENNE, verrier, dont le logement est remis en peinture (1894).
Joseph Auguste DUNANT, né le 14 juin 1891, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n°
83 ouvert le 28 octobre 1907, porteur (1908, 1909, 1910, 1911).
Faustin DURAND, cité dans un dossier d’accident du travail (1911), domestique (1913).
Femme DURAQUET, cuisinière.
Charles DURAQUET, verrier (fils de Jean Baptiste, décédé le 5 février 1877 à La Vieille Loye, et de Thérèse
DECOMBES, âgée de 53 ans (1900), journalière à La Vieille Loye), est témoin (âgé de 37 ans) lors du
mariage de son frère Charles Thiébaud à La Vieille Loye (1900). Charles DURAQUET, époux de
Françoise Clotilde GUIGNOT, sans profession, est père (âgé de 28 ans) à La Vieille Loye (1891 :
Marie Séraphine ; 1893 : Louise Césarine ; 1905 : Jules Charles ; 1907 : Marcelle Julienne).
Charles DURAQUET, pour lequel Émile NEVEU loue la maison GUIGNOT à La Vieille Loye (du 16 janvier
1896 au 15 janvier 1897), est cité comme fondeur de verre (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913).
Charles Thiébaud DURAQUET, verrier, né le 10 juin 1866 à La Vieille Loye (fils de Jean Baptiste, décédé le 5
février 1877 à La Vieille Loye, et de Thérèse DECOMBES, âgée de 53 ans (1900), journalière à La
Vieille Loye). Charles Thiébaud DURAQUET marié le 20 octobre 1900 à La Vieille Loye avec Joséphine
SIMONOT, journalière, née le 19 juillet 1879 à la Vieille Loye (fille de François, journalier, et
de Marie Albine BERTRAND, âgée de 53 ans (1900), sans profession).
Désiré DURAQUET, porteur (1900, 1904, 1905, 1906), porteur d’eau (1908), fondeur (1910, 1911, 1912, 1913,
1914, avril 1919), fondeur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Jacques DURAQUET, fondeur de verre322, né le 17 février 1839 à la Vieille Loye, décédé le 6 octobre 1912 à La
Vieille Loye (fils de Thibaud du RAQUET et de Thérèse SIMONOT). Jacques DURAQUET, époux de
Joséphine SIMON, est père à La Vieille Loye (Françoise, née le 12 novembre 1862, mariée le 2
février 1884 à La Vieille Loye avec Étienne Frédéric BALLET, né le 21 août 1857 à Falletans (fils
de Frédéric, décédé à Falletans, et de Thérèse BAUCAIRE)).
Louis DURAQUET, porteur (1905, 1906, 1907), aide fondeur (1908, 1913).
Louis DURIG, né le 29 mars 1894, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n° 92 ouvert
le 11 septembre 1909, porteur (1909, 1910).
DUVAQUE, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1894).
Auguste DUVOIS, maréchal (1908, 1910, 1911, 1912, 1913).
François Ernest DUVOIS, né le 25 septembre 1884, aide gazier (1910, 1911, 1912).
Georges DUVOIS, gazier (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914).
Jean Baptiste DUVOIS, porteur (1900).
Louis FAIVRE, aux gages de 30 francs par mois (1897), perçoit 639 francs323 (26 janvier 1899 au 3 novembre
1900).
Marius Louis FAIVRE, né le 14 octobre 1883 à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 30 ouvert le 5 janvier
1897, porteur de bouteilles (du 5 janvier au 27 avril 1897).
Antoine François Eugène FAROUX, verrier, né le 12 octobre 1859 à La Vieille Loye, décédé le 30 avril 1915 à La
Vieille Loye (fils de Philibert, décédé le 11 avril 1882 à La Vieille Loye, et d’Eugénie GAFFIOT,
décédée le 20 juin 1886 à La Vieille Loye). Antoine François Eugène FAROUX marié le 14 novembre
1883 à la Vieille Loye avec Louise LAPIERRE, sans profession, née le 5 janvier 1863 à La Vieille
Loye, décédée le 5 mai 1924 à La Vieille Loye (fille de Jean Claude et de Jeanne Gabrielle FAIVRE,
cultivateurs à La Vieille Loye). Antoine François Eugène FAROUX témoin (âgé de 40 ans) lors du
décès de son beau-père (Jean Claude LAPIERRE, né le 3 février 1823 à La Vieille Loye, décédé le 16
février 1900 à La Vieille Loye (fils de Jean Baptiste, cultivateur, et de Jeanne ROCH)). Antoine
François Eugène FAROUX est contremaitre de verreries lors du mariage de sa fille (Mathilde, née le
8 juin 1884 à La Vieille Loye, mariée le 7 septembre 1907 à La Vieille Loye avec le gardien de la
Paix Francis DEJEUX).
Antoine François Eugène FAROUX, est porteur (1906), gamin (1907), puis tamiseur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912,
1913, 1914). Eugène FAROUX, cité dans un dossier d’accident du travail (1911), est ensuite employé
(1913).
Robert FERRON, cité dans un dossier d’accident du travail (1912).
Marthe FEVRE (ou FAIVRE).
Félix Thomas FOUCAULT, grand garçon ayant travaillé 4 ans à La Neuvillette (Marne), écrit de Blanzy (Saône-etLoire) (3, 7 et 12 mars 1906). Félix Thomas FOUCAULT, verrier, époux de Marie Louise PETIT, est
père (Antoine, né le 21 décembre 1905 à Blanzy (Saône-et-Loire), décédé le 18 avril 1906 à La
Vieille Loye). Félix Thomas FOUCAULT est grand garçon (1906).
Georges Raymond FOURNIER, né le 15 mars 1895 à Ounans (fils de Jules Eucher et de Marie Arthémie TISSOT),
titulaire du livret d’apprenti n° 105 ouvert le 16 janvier 1911, autorisé (mars 1911) à percevoir
lui-même son salaire par sa mère, d’Ounans, veuve, est porteur (1911, 1912).
322
323
Mairie de La Vieille Loye - Archives communales - Registres des mariages - 1883/1892.
1 franc de 1900 = 3,39975 Euros (2005) - in Revue Le Particulier – 03/2006 - n° 999 - page 89 (rappel 1 Euro = 6,55957 francs).
35
GAGNEUR, aux gages de 40 francs par mois (1897).
Marius Émilien GALLIBOUR, verrier, né le 21 septembre 1897 à Santans (fils de Charles Alphonse Alexandre,
décédé avant 1920, et de Lucie Émilie JANET, cultivatrice à Santans), marié le 18 octobre 1920 à La
Vieille Loye avec Jeanne Blanche Zélie NICOT, née le 13 septembre 1901 à Chissey (fille d’Eugène,
chauffeur machine, et de Marie DHYVERS, sans profession). Marius Émilien GALLIBOUR est père à La
Vieille Loye (Charles Eugène, né le 22 avril 1921, marié le 18 décembre 1950 à Arbois avec Josette
Marcelle Suzanne DROGREY). Marius Émilien GALLIBOUR est, gamin (1914, 1919), puis cueilleur (1920,
1921). (*) La veuve GALLIBOUR, dominiciée à Santans, se voit réclamer son 2ème fils, par
l’industriel verrier, pour un emploi (1913).
Joseph GENET, cité dans un dossier d’accident du travail (1906).
Louis Edmond GENET, né le 20 mars 1900 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 121 ouvert le 20
mars 1913, porteur (1913, 1914).
Joseph GERMAIN, né le 31 octobre 1876 à Épinac (Saône-et-Loire), fils de Damien, verrier à Blanzy (Saône-etLoire), âgé de 58 ans (1899), et d’Anne AUCLAIR, décédée le 8 août 1883 à Blanzy (Saône-et-Loire).
Joseph GERMAIN marié le 11 novembre 1899 à La Vieille Loye avec Joséphine Philomène NORMAND, née le
27 février 1879 à Dole (fille de Émile, fondeur de verre âgé de 50 ans (1899) et de Marie GUENON,
âgé de 49 ans (1899), sans profession. Joseph GERMAIN est père à La Vieille Loye (François Robert,
lé le 14 octobre 1900, marié le 27 septembre 1924 à Arnay-le-Duc (Côte-d’Or) avec Joséphine
Juliette RABEUTHE, décédé le 17 décembre 1968 à Beaune (Côte-d’Or) ; 1903 : Marie Marguerite).
Joseph GERMAIN, domicilié à La Vieille Loye, âgé de 28 ans (1904) lors du mariage de son beau frère
François Émile NORMAND à Étrepigney. Joseph GERMAIN, témoin lors du mariage à La Vieille Loye du
verrier Charles LECRIVAIN (1903), est souffleur (1905, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912).
Pierre GOIN, grand garçon, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (15 et 30 juin 1911 et 1er et 29 août 1912). Pierre
GOIN, grand garçon à La Vieille Loye (1911, 1912, 1914), grand garçon logé au village (1913).
Eugène GRAND, valet de chambre, aux gages de 60 francs par mois (1897).
Jules GRAND, valet de chambre.
Reine GRAND, épouse d’Eugène GRAND, cuisinière, aux gages de 100 francs par mois (1897).
Émile GRÈS, porteur (1909).
Arthur GROS, porteur (1909), gamin (1910, 1911, 1912, 1913), cité dans un dossier d’accident du travail
(1911).
Auguste GROS, gamin (1911, 1912), manœuvre (1913).
Joseph GROS, né en 1878 à Chamblay (Jeanne, son épouse, est née en 1890 à Chissey), manœuvre (1913), porteur
(1922), journalier (1931), encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Jules GROS, manœuvre (1913).
Raymond René GROS, né le 4 avril 1900, porteur (1913, 1914).
GUENON jeune, cité dans un dossier d’accident du travail (1905).
Marie GUENON, épouse du verrier Louis Émile NORMAND, blanchisseuse, rémunérée à la journée (1897), est citée
dans un dossier d’accident du travail (1911).
Charles Marie GUIGNOT, né le 27 décembre 1826 à Santans, décédé le 15 septembre 1907 à La Vieille Loye (fils
de Jean François et de Pierrette Césarine DORLODOT de PRÉVILLE), époux de Jeanne BOIRET, employé,
au salaire mensuel de 150 francs (1897), est adjoint au maire à La Vieille Loye lors de son décès
(1907).
Jean Pierre GUILLEMIN, né le 2 mai 1885 à Porlezza, province de Côme (Italie) (fils de Joseph François, décédé
le 12 décembre 1904 à Denain (nord), et de Jeanne Pierre MASIPPO, sans profession), marié le 3
janvier 1911 à La Vieille Loye avec Berthe FRANÇOIS, née le 28 mai 1891 à Loivre (Marne) (fille de
Julien, disparu de son domicile sans savoir ce qu’il en est advenu (sic), et de Marie Joséphine
MACADRE, domiciliée à Loivre (Marne)). Jean Pierre GUILLEMIN, verrier, est père à La Vieille Loye
(Pierre, né le 27 janvier 1911, marié en 1935 à Paris avec Simone Germaine USAL, divorcé en 1942,
remarié le 31 mai 1945 à Nomexy (Vosges) avec Albertine Anne FINANCE, décédé le 9 mars 1963 à
Cambo-les-bains (Basses-Pyrénées)).
Joanny GUILLEMIN, grand garçon (1910, 1911). Joanny GUILLEMIN, écrit de Loivre (Marne) (29 mars 1911) et
demande à Émile NEVEU de lui faire parvenir un certificat indiquant qu’il est libre d’engagement.
Il propose aussi Paul GUILLEMIN et un dénommé SAUVEGRAIN comme grand garçon et gamin (3 janvier
1912).
Raoul GUYON, porteur (1904).
Auguste GUYOT, porteur (1900), grand garçon (1904, 1905, 1906, 1908, 1909, 1910), manœuvre (1913).
Francis GUYOT, né le 22 octobre 1897, porteur (1910, 1911, 1912, 1913), cité dans un dossier d’accident du
travail (1911), gamin (1914),
François GUYOT, porteur d’eau (1913).
HANN, jardinier (1913).
Gabriel HAOUR, écrit depuis la verrerie des Islettes (Meuse) (28 mars 1912) et depuis la verrerie des Sénades
(8 août 1912), proche des Islettes, pour une place de souffleur et une place de cueilleur pour son
frère. Gabriel HAOUR, souffleur, et son frère cueilleur, écrivent d’Hirson (Aisne) (18 juin et 17
juillet 1912). Il réitère sa demande (mars 1913), Émile NEVEU peux le prendre si il ne se plait pas
à Hirson (avril 1913). Gabriel HAOUR, réfugié à Montluçon (Allier), écrit (4 novembre et 19
décembre 1914) pour un emploi à la verrerie de La Vieille Loye. Gabriel HAOUR, est souffleur à La
Vieille Loye (1913, 1914). Gabriel HAOUR écrit à nouveau depuis Albi (Tarn) (2 avril 1915).
Albert Jean Baptiste HÉNARD, verrier, né le 15 novembre 1876 à La Vieille Loye (fils de Léon François Nicolas,
décédé le 6 janvier 1894 à La Vieille Loye, et de Marie Lucia BERREY, décédée le 13 mai 1887 à La
Vieille Loye. Albert Jean Baptiste HÉNARD marié le 29 janvier 1902 à La Vieille Loye avec Lucie
Augustine CHEVRIAUX, née le 4 mai 1876 à La Vieille Loye (fille de Jean François CHEVRIAUX,
36
verrier, et de Thérèse DUVOIS, sans profession). Albert Jean Baptiste HÉNARD, verrier, est témoin
(âgé de 25 ans) lors du mariage de François Célestin SCHILTE à La Vieille Loye (17 août 1901).
Albert Jean Baptiste HÉNARD est père à La Vieille Loye (1902 : Andrée Angèle ; 1905 : Marguerite).
Léon François Nicolas HÉNARD, maître ouvrier verrier domicilié à Courcy (Marne), né le 27 octobre 1842 à La
Vieille Loye, décédé le 6 janvier 1894 à La Vieille Loye (fils de Pierre (décédé le 7 décembre
1873, 6 rue Saint-Vincent, à Besançon, Doubs) et de Caroline ROCH, décédée le 10 février 1856 à La
Vieille Loye). Léon François Nicolas HÉNARD marié le 9 mai 1874 avec Maria Lucia BERREY, lingère,
née le 5 novembre 1811 à Étival, décédée le 13 mai 1887 à La Vieille Loye (fille de Philibert
Maximin BERREY, garde forestier à La Vieille Loye, retiré à Offlanges, et de Marie Caroline
BOUVIER, décédée à La Vieille Loye). Il est père à La Vieille Loye (1875 : Léon Émile ; 1876 :
Alphonse Jean Baptiste) et est témoin lors d’un décès à La Vieille Loye (1879).
Léon Émile HÉNARD, verrier, né le 24 février 1875 à la Vieille Loye (fils de Léon François Nicolas, verrier,
et de Maria Lucia BERREY, lingère) dont le logement est remis en peinture (1899).
Armand Auguste Alfred JACQUOT, verrier, né le 1er juin 1890 à Ounans, époux de Marie Louise Lucie dite Aline
AUBERT, née le 19 février 1893 à Villers-les-Bois. Armand Auguste Alfred JACQUOT, gamin (1900,
1903, 1906, 1908, 1909), grand garçon (1910, 1911, 1912, 1913, 1914), est père à La Vieille Loye
(1924 : Suzanne Berthe Louise). Armand Auguste Alfred JACQUOT, grand garçon (1920, 1921, 1922,
1923, 1924, 1925), grand garçon logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926), souffleur
(1927, 1928, 1929, 1930).
Hubert JACQUOT, cité dans un dossier d’accident du travail (1911), porteur d’eau (1913).
Maurice JACQUOT, gamin (1904), cité dans un dossier d’accident du travail (1905), grand garçon (1907, 1908,
1909, 1910, 1911, 1912).
François JAMBON, porteur (1906, 1908).
Paul Aimé JAMBON, né le 15 avril 1888, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n° 75
ouvert le 2 mai 1905, porteur de bouteilles (1906).
Pierre François JAMBON, né le 11 mai 1891, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n°
71 ouvert le 15 novembre 1904, porteur de bouteilles, perçoit 290 francs324, dont 110 francs pour
son entretien et 180 francs placés à la Caisse d’Épargne (1905, 1906). Pierre François JAMBON est
cité dans un dossier d’accident du travail (1905).
Léon JEANDEMAND, verrier, témoin (âgé de 29 ans) lors d’un décès à la Vieille Loye (1896), est grand garçon
(1900, 1904). Léon JEANDEMAND, âgé de 45 ans, marié, écrit de Miéry pour un emploi de manœuvre (24
septembre 1912).
JEANNERET, gazier (1900).
Émile JEANNERET, tamiseur (1919).
Joanny JANNIAUD, verrier, né en 1878 à Blanzy (Saône-et-Loire), époux de Claudine DUBUC, née en 1882 à
Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Joanny JANNIAUD est père d’une fille (Jeanne Pauline, née le
22 juin 1902 à Blanzy, mariée le 27 novembre 1926 à La Vieille Loye avec Pierre Auguste César
BRISSON, né le 27 avril 1899 à Villeneuve-Renneville- Chevigny (Marne) (fils d’Henri Ernest,
cultivateur, et de Jeanne Isabelle CAPITAINE)). Joanny JANNIAUD est père d’un garçon (Maurice
Louis, né le 30 juin 1904 à Blanzy (Saône-et-Loire), garde républicain en 1928, marié le 10
novembre 1928 à La Vieille Loye avec Camille Renée Yvonne DUVOIS, couturière, née en 1902 à
Montbarrey). Joanny JANNIAUD, souffleur, écrit de Courcy (Marne), pour une place à la verrerie de
La Vieille Loye en proposant aussi son cousin DEVILLARD, 34 ans, grand garçon (21 août 1911). Il
réitère sa demande (10 mai et 4 juillet 1912). Joanny JANNIAUX est souffleur à La Vieille Loye
(1913, 1914). Joanny JANNIAUD est souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928),
logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Maurice JEANNIAUX, verrier, né le 17 février 1885 à Blanzy (Saônee-et-Loire) (fils de Jacques et de Pauline
DEVILLARD), époux de Louise DUBUC, sans profession, âgée de 24 ans en 1913, est père à La Vieille
Loye (1913 : Pauline Jeanne). Maurice JANNIAUD, est grand garçon (1913, 1914), puis, mobilisé,
sergent, décédé (mort pour la France) le 20 août 1914 à Steige (Alsace).
Jean Baptiste JORLAND, verrier, est témoin (âgé de 40 ans) lors du mariage à La Vieille Loye du verrier Joseph
GERMAIN (1899). Jean Baptiste JORLAND est grand garçon logé au village (1899, 1900), grand garçon
(1903, 1904, 1905).
François LACROIX, comptable, né le 8 novembre 1867 à Falletans, décédé le 12 décembre 1941 à Dole (Parc de Sce
(fils de Pierre Louis, commis des bois de la verrerie, et d’Anne LACROIX, née le 25 juin 1839 à Éclan
décédée le 23 février 1903 à la verrerie à La Vieille Loye (elle-même fille de Pierre, bûcheron325, et d
Françoise LACROIX)). François LACROIX, époux d’Ida Julie Clotilde PETIT, sans profession, est père à L
Vieille Loye (1897 : Marie Lucie Germaine ; Pierre, né le 24 novembre 1901, décédé le 26 août 1907 à
Vieille Loye). François LACROIX perçoit un salaire mensuel de 150 francs (1897, 1913). François LACROIX
comptable au salaire mensuel de 350 francs (octobre 1919), 450 francs (janvier 1920), puis 550 francs
(septembre 1920), logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
(*) Le jeune frère de François LACROIX fera un stage d’apprenti ajusteur (1920) à la verrerie d
Islettes (Meuse).
Louis LACROIX, employé, né le 21 septembre 1865 à Falletans, décédé le 31 août 1935 à La Vieille Loye (fils de
Pierre Louis, décédé le 13 avril 1906 à La Vieille Loye, commis des bois de la verrerie, et d’Anne
324
1 franc de 1906 = 3,68307 Euros (2005) - in Revue Le Particulier - 03/2006 - n° 999 - page 89 (rappel 1 Euro = 6,55957 francs.
326
1 franc de 1920 = 0,8339 Euros (2005) - in Revue Le Particulier - 03/2006 - n° 999 - page 89 (rappel 1 Euro = 6,55957 francs).
325
37
LACROIX, décédée le 23 février 1903 à La Vieille Loye) Louis LACROIX témoin (âgé de 40 ans) lors du
décès de son père (1906), est logé au village (1913). Louis LACROIX, époux de Thérèse LACROIX, sans
profession, est père (Anne Marie Thérèse, née le 4 février 1899 à La Vieille Loye, mariée le 15
septembre 1923 à La Vieille Loye avec André Jean Baptiste PRUDENT, électricien, né le 15 avril 1899
à La Vieille Loye (fils de Charles Émile et de Julie DEJEUX) ; Louis André Roger, né le 21 décembre
1900, décédé le 19 janvier 1913 à La Vieille Loye). Louis LACROIX, employé mensualisé à 300 francs
par mois (octobre 1919), puis 350 francs (janvier 1920), commis des bois (1923), charron (1934).
Pierre Louis LACROIX, commis des bois de la verrerie, né le 1er octobre 1839 à Falletans, décédé le 13 avril
1906 à la Vieille Loye (fils de Louis et de Jeanne Claude GUICHARD), époux d’Anne LACROIX, née le
25 juin 1839 à Éclans, décédée le 23 février 1903 à La Vieille Loye (fille de Pierre, bûcheron327,
et de Françoise LACROIX, bûcheronne). Pierre LACROIX, au salaire mensuel de 165,65 francs (1897),
est témoin (âgé de 53 ans) lors de la naissance de la fille de Louis DURAQUET à La Vieille Loye
(1893). Pierre LACROIX est père (François, né le 8 novembre 1867 à Falletans, comptable de la
verrerie ; Louis, né le 21 septembre 1865 à Falletans).
LADERMANN, aux gages de 35 francs par mois (1897).
Henri LALUNE, verrier, époux de Louise Augustine Adeline CALINON, est père à La Vieille Loye (Robert Jules
Edmée, né le 30 septembre 1909, marié le 28 janvier 1931 à Dijon avec Marguerite Lucie VOISIN,
remarié le 5 décembre 1940 à Toulouse (Haute-garonne) avec Suzanne Jeanne MICONNET, décédé le 1
novembre 1985 à Talant (Côte-d’Or)).
Joseph LALUNE, gazier (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), tamiseur (1913, 1914).
Marius LALUNE, né le 8 janvier 1898, porteur (1910, 1911, 1912), gamin (1913, 1914), manœuvre (1921),
mécanicien (1922, 1923), chauffeur à la machine (1922), mécanicien (1928, 1929, 1930).
René LAPIERRE, porteur (1907).
Berthe LAPORTE, souffleur (1908), grand garçon (1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914).
Jean Baptiste LAPORTE, logé au village (1904, 1905).
Paul LAPORTE, verrier, témoin (âgé de 35 ans) lors du mariage (1907) de sa cousine Marie LAPORTE avec le
verrier Jospeh Eugène BRUET à La Vieille Loye. Paul LAPORTE, grand garçon (1900, 1901), souffleur
(1903, 1904, 1905, 1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913).
Paul LAPORTE, grand garçon (1901), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923), remplaçant (1925),
puis manœuvre (1928, 1929, 1930).
Charles LÉCRIVAIN, verrier, né le 21 décembre 1879 à Blanzy (Saône-et-Loire) (fils de Jean Baptiste, décédé le
13 juin 1892 à Blanzy, et de Joséphine PERTUIZOT, sans profession, domiciliée à Blanzy). Charles
LÉCRIVAIN marié le 7 janvier 1903 à La Vieille Loye avec Annette MÉNONVAL, née le 4 avril 1882 à la
verrerie de La Neuvillette (Marne) (fille de Hégésippe, verrier âgé de 52 ans (1903), et de
Lazarette LUNEAU, âgée de 39 ans (1903), sans profession, décédée le 17 décembre 1905 à La Vieille
Loye). Charles LÉCRIVAIN est père à La Vieille Loye (1904 : Geneviève Jeanne). Charles LÉCRIVAIN,
souffleur (1904, 1905, 1906), est témoin lors du mariage à La Vieille Loye de sa belle-sœur Berthe
MÉNONVAL avec le verrier François Émile CHEVRIAUX (1907).
Pierre LÉCRIVAIN, verrier (fils de Jean Baptiste, décédé le 13 juin 1892 à Blanzy (Saône-et-Loire), et de
Joséphine PERTUIZOT, sans profession, domiciliée à Blanzy), est témoin (âgé de 26 ans) lors du
mariage de son frère Charles à La Vieille Loye (1903). Pierre LÉCRIVAIN, époux d’Anne LAROZE, sans
profession (fille de Claude, domicilié à Blanzy, et de Françoise DARTEVAL, née le 12 juillet 1848 à
Palinges (Saône-et-Loire), décédée le 17 novembre 1904 à La Vieille Loye (elle-même fille de Claude
et de Françoise DEVILLARD)). Pierre LÉCRIVAIN est père à La Vieille Loye (1903 : Claudine Joséphine
Germaine ; 1904 : Claudine). Pierre LÉCRIVAIN, grand garçon (1900, 1903, 1906, 1907, 1908, 1909,
1910) est cité dans un dossier d’accident du travail (1905).
Jules LÉDION, souffleur (1910, 1911).
Lazare LÉDION, grand garçon (1910).
François LUNEAU, verrier, époux d-Anne Marie GIRARD, est père (âgé de 31 ans) à La Vieille Loye (Marcel Jean
Baptiste, né le 21 novembre 1891, décédé le 22 mars 1963 à Reims (Marne)). Jean Marie LUNEAU, écrit
de Reims (Marne) (19 juillet 1906), en tant que tuteur de ses nièces, afin de les autoriser à
percevoir elles-mêmes les arriérés de salaires de leur père Hégésippe MÉRONVAL qui travaillait à la
verrerie de La Vieille Loye.
Joseph Louis MAILLET, né le 16 mai 1895, porteur (1908, 1909, 1910, 1911), cité dans un dossier d’accident du
travail (1911), gamin (1912, 1913).
Louis MAILLET, porteur (1908, 1909).
François Hippolyte MAITROT, né le 25 novembre 1881 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 23
ouvert le 18 juillet 1895, porteur de bouteilles, puis gamin (1900), magasinier (1911, 1912, 1913).
MARION père, jardinier (1897, 1913).
MARION fils, jardinier (1913).
MARION, souffleur (1906, 1907, 1908, 1909).
Émile Charles MARTIN, né le 6 février 1901 à Saint-Léger-des Vignes (Nièvre) (fils de Joseph Antoine et d’Eugén
LARLUS), titulaire du livret d’apprenti ouvert le 2 mai 1914 comme porteur de bouteilles, porteu
(1919), gamin (1919).
Joseph MARTIN, écrit de Reims (Marne) pour solliciter un emploi (25 avril et 27 mai 1906). Joseph MARTIN,
327
38
cité dans un dossier d’accident du travail (1911), est souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912,
1914), logé au village (1913), souffleur (1919).
René MARTIN, porteur (1913).
Alfred Alexandre MATHIEU, né le 2 juin 1897, porteur (1909, 1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident
du travail (1912), gamin (1913, 1914).
Louis MATHIEU, porteur (1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914).
Hégésippe MÉNONVAL, verrier, élevé à l’Hospice d’Autun (Saône-et-Loire), décédé le 30 juin 1906 à La Vieille
Loye (père et mère inconnus). Hégésippe MÉNONVAL, dont le logement est remis en peinture (1899),
est grand garçon (1900, 1903, 1904, 1905). Hégésippe MÉNONVAL, époux de Lazarette LUNEAU, est
présent lors du mariage de sa fille (Annette, née le 4 avril 1882 à la verrerie de La Neuvillette
(Marne), mariée le 7 janvier 1903 à La Vieille Loye avec le verrier Charles LÉCRIVAIN). Hégésippe
MÉNONVAL, époux de Lazarette LUNEAU, née le 31 mars 1863 à Épinac (Saône-et-Loire), décédée le 17
décembre 1905 à La Vieille Loye (fille de Jean et de Claudine CHARLOT, domiciliés à Reims (Marne)).
(*) Jean Marie LUNEAU, écrit de Reims (Marne) (19 juillet 1906), en tant que tuteur de ses
nièces, afin de les autoriser à percevoir elles-mêmes les arriérés de salaires de leur père
Hégésippe MÉRONVAL qui travaillait à la verrerie de La Vieille Loye.
François MIGNOT, gamin (1906), porteur d’eau (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), aide gazier (1913, 1914).
François Aimé MIGNOT, né le 27 janvier 1888, titulaire du livret d’apprenti n° 50 ouvert le 28 janvier 1901,
porteur de bouteilles (1901, 1902, 1904, 1905), aide gazier (1908, 1913, 1914).
Albert MILARD (ou MIHARD), témoin (âgé de 37 ans) lors du mariage du verrier Jean Pierre GUILLEMIN à La
Vieille Loye (1911), souffleur (1909, 1910, 1911).
Jean MILLION, né en 1889 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), marié à Jeanne (née en 1889 à Blanzy). Prend
son service à la verrerie de La Vieille Loye (octobre 1913), grand garçon (1913, 1914). Il sera
père d’une fille (Paulette, née en 1920 à La Vieille Loye).
Anna MIGNOT, fille d’Aimé MIGNOT, domestique (1900), perçoit 199 francs pour ses gages (26 juillet 1901 au 10
mars 1902).
Veuve Eugénie MILLOT, manœuvre (avril 1919).
Claude MOINE, verrier, époux d’Anne NUGUET, est père (âgé de 40 ans) à La Vieille Loye (1890 : Georgette
Fernande).
François MOINE, verrier, marié le 25 novembre 1879 à La Vieille Loye avec Alodie Constance BOISTON, sans
profession, née à la verrerie de Progens, canton de Fribourg (Suisse), fille naturelle de Célestine
Élise, âgée de 45 ans, domiciliée à la verrerie de Progens (Suisse). François MOINE est père à La
Vieille Loye (Urbain Armand, né le 10 décembre 1895, marié le 5 mai 1920 à Dijon avec Reine LEQUIN,
décédé le 5 mars 1969 à Vichy (Allier) ; 1903 : Georgette Élise). François MOINE est présent lors
du mariage de sa fille (Angèle Aloldie, née le 8 avril 1884 à La Vieille Loye, mariée le 24 avril
1909 à La Vieille Loye avec Louis Auguste TOURIET sous officier à Auxonne). François MOINE, grand
garçon (1900), gamin (1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911), puis manœuvre (1913), est cité dans un
dossier d’accident du travail (1915). François MOINE, manœuvre (1921, 1922).
Jean Baptiste MOINE, verrier, époux de Françoise LOBRE, est père (âgé de 40 ans) à La Vieille Loye (1888 :
Louise).
Joseph MOINE, originaire de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), souffleur (1913, 1914, 1919, 1920).
Urbain Armand MOINE, verrier, né le 10 décembre 1895 à La Vieille Loye (fils de François, verrier, et d’Alodie
Constance BOISTON), marié le 5 mai 1920 à Dijon avec Reine LEQUIN, née le 27 mai 1900 à Dijon
(Côte-d’Or). Urbain Armand MOINE titulaire du livret d’apprenti n° 90 ouvert le 10 décembre 1908,
porteur (1909), gamin (1910, 1911, 1912), grand garçon logé au village (1913), grand garçon (1914).
Urbain Armand MOINE décédé le 5 mars 1969 à Vichy (Allier). Urbain Armand MOINE est père à La
Vieille Loye (1923 : Madeleine Reine Alodie). Urbain Armand MOINE est grand garçon (1920, 1921,
1922, 1923, 1924, 1925).
Joseph MORETTE, grand garçon, écrit de Montluçon (Allier) (26 avril 1912). Joseph MORETTE, grand garçon logé
au village (1914). Joseph MORETTE, originaire de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), grand garçon
(1919, 1920).
Auguste Marie MOUREL, né le 2 août 1900 à Villeneuve d’Aval, titulaire du livret d’apprenti n° 125 ouvert le
20 octobre 1913, porteur (1914).
Eugène MOUREL, manœuvre (1913).
Joseph MOURLIN, magasinier (1911, 1912, 1913).
NEVEY-CHIGNON, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1894).
Eugène NICOT (NICOD), chauffeur machine (1914), chauffeur machine (1919, 1921), époux de Marie DHYVERS, est
père (Jeanne Blanche Zélie, née le 13 septembre 1901 à Chissey, mariée le 18 octobbre 1920 à La
Vieille Loye avec le verrier Marius Émilien GALLIBOUR (né le 21 septembre 1897 à Santans, fils de
Charles Alphonse Alexandre et de Lucie Émilie JANET).
Pierre Louis Férréol NICOT, né le 6 décembre 1897 à Chissey, titulaire du livret d’apprenti n° 117 ouvert le
26 août 1912, porteur de bouteilles (1913), chauffeur (1920).
François NORMAND, cité dans un dossier d’accident du travail (1912).
François Émile NORMAND, verrier, né le 28 août 1876 à Carmaux (Tarn) (fils d’Émile Louis, verrier à La Vieille
Loye, et de Marie GUENON ou GUENO), marié le 10 septembre 1904 à Étrepigney328 avec Claire Marie
Louise COURTOUX, bûcheronne demeurant à Cinq Cens, née le 16 janvier 1885 à Our (fille de Pierre
328
Mairie d’Étrepigney - Archives communales - Registres des mariages - 1903 à 1906 - Relevés de Mr Pierre SINIBALDI, CEGFC Besançon.
39
Joseph, bûcheron329 âgé de 51 ans, et de Barbe Françoise Célestine DUBUC, décédée le 31 mars 1887 à
Our). (Georges Paul François, né le 7 juillet 1908, décédé le 27 avril 1982 à Montbéliard, marié le
27 décembre 1930 à Montbéliard (Doubs) avec Blanche Madeleine BEURTHERET ; 1910 : Olga Marie
Louise ; Louis Robert, né le 6 septembre 1912, marié le 18 octobre 1947 à Bavans (Doubs) avec
Pierrette Edmond FAIVRE, décédé le 31 mai 1962 à Colmar). François Émile NORMAND est encore père à
La Vieille Loye (1921 : Léa Marie Pauline ; 1924 : Roger Paul, marié en 1950 à Vandoncourt (Doubs)
avec Jeanne Maria AMIA). François Émile NORMAND est grand garçon (1900, 1906, 1908, 1910, 1911,
1912, 1913, 1914), souffleur (1904, 1907, 1909), grand garçon (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924,
1925), logé (6 personnes) sur le site de la verrerie (1926). François Émile NORMAND, veuf, décédé
le 28 août 1933 à La Vieille Loye (son fils Georges Paul François est témoin du décès).
Louis Émile NORMAND, verrier, né le 9 juillet 1848 à La Vieille Loye, décédé le 19 novembre 1911 à La Vieille
Loye (fils de Louis et de Pierrette SIMONOT). Louis Émile NORMAND, époux de Marie GUENON, âgée de
55 ans (1904), blanchisseuse, rémunérée à la journée (1897), citée dans un dossier d’accident du
travail (1911). Louis Émile NORMAND est père (Clémence Florentine, née le 26 août 1874 à Châlonssur-Marne (Marne), décédée le 7 mars 1931 à La Vieille Loye, mariée avec le verrier Émile Joseph
TOIROT ; François Émile, verrier, né le 28 août 1876 à Carmaux (Tarn), marié le 10 septembre 1904 à
Étrepigney330 avec Claire Marie Louise COURTOUX). Émile Louis NORMAND est fondeur (1908), laveur
(1910), magasinier (1911), puis chauffeur rondelles331 (1911, 1912, 1913).
Henri NOTTA, déjà demandeur depuis Courcy (Marne) (24 février 1911), grand garçon (29 mars 1911), fait
parvenir un certificat depuis la verrerie de Reims (Marne) précisant qu’il est libre d’engagement
(7 avril 1911). Henri NOTTA, grand garçon à La Vieille Loye (1911).
OUTREY, sablier à Belmont (1897).
Charles OUTREY, sablier de Belmont (1913).
Faustin OUTREY, sablier à Belmont (1913, 1919).
Lucien OUTREY, sablier de Belmont (1913).
Élie PACTET, porteur (1907), monteur de sable (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident
du travail (1911), employé comme maçon durant les arrêts annuels du four (1911, 1912, 1913),
fondeur (1913, 1914, 1919), souffleur (1920), fondeur (1921), maçon (1923, 1926), logé (4
personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Maurice PAGNIEZ, , né le 4 février 1881 à Montbarrey, titulaire du livret d’apprenti n° 21 ouvert le 21
février 1895, porteur (1900).
Alfred Auguste PALYS, né le 17 juillet 1898 à Chissey (fils d’Alfred Auguste et Éléonore BROUTET), titulaire
du livret d’apprenti n° 107 ouvert le 20 septembre 1911, porteur (1912, 1913, 1914).
Charles Jules Marcelin PALYS, né le 21 janvier 1895, porteur (1908), gamin (1909, 1910, 1911, 1912, 1913,
1914).
Éléonore PALYS, journalière (1913), laveuse lessive (1915), manœuvre (avril 1919).
Léon PALYS, cité dans un dossier d’accident du travail (1912), aide gazier (1913, 1914), maçon (1915). Léon
PALYS, aide gazier (1919), gazier (1919, 1920, 1921).
Émile Léon Alfred PARROD, né le 3 juillet 1883 à La Vieille Loye, célibataire, décédé le 27 septembre 1906 à
La Vieille Loye (fils d’Émile Joseph, garde forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura),
décédé le 14 mars 1907 à La Vieille Loye (lui-même fils de Marie Alexis Auguste, garde forestier,
et de Rosalie PROPONNET), et de Marie Clarisse BELLE, âgée de 50 ans (1900), sans profession,
décédée le 5 octobre 1909 à La Vieille Loye). Émile Léon Alfred PARROD, titulaire du livret
d’apprenti n° 26 ouvert le 3 juillet 1896, est gamin (1900), puis coiffeur.
François Ernest PARROD, verrier, né le 26 mai 1880 à La Vieille Loye, décédé le 16 mars 1903 à La Vieille Loye
(fils d’Émile Joseph, garde forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura), décédé le 14 mars
1907 à La Vieille Loye (lui-même fils de Marie Alexis Auguste, garde forestier, et de Rosalie
PROPONNET), et de Marie Clarisse BELLE, âgée de 50 ans (1900), sans profession, décédée le 5
octobre 1909 à La Vieille Loye). François Ernest PARROD titulaire du livret d’apprenti n° 12 ouvert
le 27 avril 1893 comme porteur de bouteilles.
Marie Joseph Henri PARROD, verrier, né le 28 juillet 1875 à Supt (Jura), décédé le 5 septembre 1911 à La
Vieille Loye (fils d’Émile Joseph, garde forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura), décédé
le 14 mars 1907 à La Vieille Loye (lui-même fils de Marie Alexis Auguste, garde forestier, et de
Rosalie PROPONNET), et de Marie Clarisse BELLE, âgée de 50 ans (1900), sans profession, décédée le
5 octobre 1909 à La Vieille Loye). Marie Joseph Henri PARROD marié le 4 août 1900 à La Vieille Loye
avec Joséphine MONIN, née le 9 septembre 1877 à Montbarrey, domiciliée à la Vieille Verrerie,
commune de Belmont (fille de François, bûcheron, âgé de 58 ans (1900), demeurant à la Vieille
Verrerie, et de Jeanne Françoise CHOIX, âgée de 62 ans (1900)). Marie Joseph Henri PARROD est père
à La Vieille Loye (1901 : Marie Léontine Henriette ; 1903 : Jeanne Gabrielle ; Henri Camille, né le
11 janvier 1905, marié le 14 août 1928 à Paris avec Marguerite Odette BUQUET, décédé le 8 août 1981
à Dole ; 1908 : Anne Charlotte Marguerite). Marie Joseph Henri PARROD, dont le logement est remis
en peinture (1899), est grand garçon (1900), puis souffleur (1903, 1904, 1905, 1908, 1909, 1910).
Jean Achille Auguste PARROD, verrier, né le 24 août 1889 à La Vieille Loye (fils d’Émile Joseph, garde
forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura), décédé le 14 mars 1907 à La Vieille Loye (luimême fils de Marie Alexis Auguste, garde forestier, et de Rosalie PROPONNET), et de Marie Clarisse
329
330
331
Rondelles : pièces dans lesquelles on prélève le verre en fusion. Ces pièces réfractaires subissent une chauffe progressive avant toute utilisation.
40
BELLE, âgée de 50 ans (1900), sans profession, décédée le 5 octobre 1909 à La Vieille Loye). Jean
Achille Auguste PARROD, titulaire du livret d’apprenti n° 58 ouvert le 18 septembre 1902, est
porteur de bouteilles (1903, 1904, 1907, 1908).
Louis PARROD, verrier (fils d’Émile Joseph, garde forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura), décédé le
14 mars 1907 à La Vieille Loye (lui-même fils de Marie Alexis Auguste, garde forestier, et de
Rosalie PROPONNET), et de Marie Clarisse BELLE, âgée de 50 ans (1900), sans profession, décédée le
5 octobre 1909 à La Vieille Loye). Louis PARROD témoin (âgé de 21 ans) lors du décès de son frère
(François Ernest, décédé le 16 mars 1903 à La Vieille Loye), gamin (1900, 1904, 1906), grand garçon
(1907). Louis PARROD, terminant son service militaire, écrit depuis Bruyères (Vosges) (17 juillet,
29 août et 3 septembre 1906).
Delphine PATOUILLET, citée dans un dossier d’accident du travail (1911).
PELLETIER fils, est cité dans la réponse de son père qui écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) suite à une
proposition de La Vieille Loye (30 mars 1911). PELLETIER, grand garçon (1911).
Louis PEQUIGNOT, verrier, époux d’Étiennette PIOT, est père (âgé de 34 ans) à La Vieille Loye (1886 : Marie
Louise).
Henri PERCY, aide gazier (1908, 1909).
Stéphane PERCY, âgé de 41 ans, de Chissey, demande un emploi de manœuvre ou pour aller avec les bœufs
(novembre 1911) et propose son fils âgé de 13 ans. Il réitère sa demande (septembre 1912).
Arthur PETIGNY, manœuvre (1913).
Auguste PETIGNY, manœuvre (1913).
Fernand PETIGNY, né le 2 novembre 1899, porteur (1913, 1914, 1919, 1922, 1927), porteur d’eau (1928), gazier
(1928).
Gaston PETIGNY, né le 9 mai 1899, porteur (1913, 1914).
Georges PETIGNY, porteur (1908, 1909), gamin (1910, 1911, 1912, 1913).
Modeste Lucien PETIGNY, né le 1er juin 1897, porteur (1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident du
travail (1912), gamin (1913, 1914, 1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), grand
garçon logé sur le site de la verrerie (1926, 1927), videur (1928, 1929, 1930).
Octave Charles PETIGNY, né le 2 novembre 1893, porteur (1908, 1909, 1910), gamin (1911, 1912, 1913, 1914).
Louis Philippe POYET, verrier domicilié à la verrerie, né le 16 mars 1831 à Rive-de-Gier (Loire), décédé le 20
juillet 1912 à la Vieille Loye (fils de Louis et de Claudine MERLE). Louis Philippe POYET, marié en
1ère noces avec Marie BUSSARD, décédée le 20 décembre 1859 à La Vieille Loye (âgée de 30 ans), est
père en 1859 (Félix Louis). Louis Philippe POYET, veuf, remariée avec Jeanne Marie Victorine VALLON
(âgée de 73 ans en 1912). Louis Philippe POYET est père (1866 : Marie Fidélie, née à La Tremblade
(Charente Inférieure), décédée en 1874 à La Vieille Loye). Louis Philippe POYET à père à La Vieille
Loye (Charles Marie Joseph, né le 17 février 1877, marié avec Jeanne Célestine LAVAUVRE, fille de
Jean Baptiste, verrier, et de Jeanne Françoise Ernestine GAIME)). Louis Philippe POYET témoin (âgé
de 52 ans) lors du décès de sa petite fille (Marie Louise VAUTRAN, née à Paris le 17 octobre 1686,
décédée le 10 mars 1888 à La Vieille Loye (fille de Charles VAUTRAN et de Marie POYET)).
Joseph Julien PRUDENT, né le 28 juin 1897 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 98 ouvert le 29
septembre 1910, porteur (1910, 1911, 1912), gamin (1913, 1914), est cité dans un dossier d’accident
du travail (1912).
Jules PRUDENT, valet de chambre (1895), est témoin (âgé de 29 ans) lors du décès (1906) de son beau-frère Paul
Joseph DEJEUX (époux de Marie Joséphine SIRE). Jules PRUDENT est témoin (âgé de 32 ans) lors du
décès à La Vieille Loye (1908) de sa nièce (fille du verrier François DEJEUX et de Célina LALUNE).
Marcel PRUDENT, porteur d’eau (1913, 1914), frère de Jules PRUDENT valet de chambre d’Émile NEVEU.
Maxime PRUDENT, né le 10 février 1880 à La Vieille Loye, titulaire du livret n° 10 ouvert le 24 janvier 1893
comme porteur de bouteilles, grand garçon (1900).
Edouard RAQUET (ou RAGUET), porteur (1903), cité dans un dossier d’accident du travail (1905), gamin (1905).
RAVION, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1896).
Henri Albert RENAUD, né le 11 janvier 1891, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti
n° 70 ouvert le 8 novembre 1904, porteur (1904).
Antoine RICHARD, né le 16 mars 1852 à Rive-de-Gier (Loire), décédé le 29 juin 1904 à La Vieille Loye (fils de
François et d’Antoinette MARAS), verrier à Dorignies-lès-Douai (Nord), est dédommagé pour le port
de son mobilier afin de se rendre à La Vieille Loye (août 1900). Antoine RICHARD, époux de Marie
Philomène CHALGAT, sans profession, âgée de 52 ans lors du décès de son époux. Antoine RICHARD est
père (Edmond, témoin, âgé de 23 ans, lors du décès de son père (1904)).
Edmond RICHARD, verrier (fils d’Antoine, verrier, né le 16 mars 1852 à Rive-de-Gier (Loire), décédé le 29 juin
1904 à La Vieille Loye, et de Marie Philomène CHALGAT), âgé de 23 ans lors du décès de son père
(1904), souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913), est cité dans
un dossier d’accident du travail (1911). Edmond RICHARD, souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923,
1924, 1925), logé sur le site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Edmond RICHARD est témoin lors du mariage du verrier Marius DYONNET à La Vieille Loye (1924).
Flavien RICHARD, né le 18 juin 1892 à Courcy (Marne), titulaire du livret d’apprenti n° 68 ouvert le 8 octobre
1904, porteur de bouteilles, gamin (1906, 1908), grand garçon (1909, 1910, 1911, 1912), est cité
dans un dossier d’accident du travail (1905).
Gabriel RICHARD, souffleur (1900, 1903, 1905), logé provisoirement avec sa famille chez l’aubergiste Eugène
DEJEUX lors de son arrivée à La Vieille Loye (janvier 1901).
Joseph RICHARD, souffleur (1906, 1908, 1909, 1910).
Jules RICHARD, grand garçon (1904, 1905, 1908, 1910, 1911, 1912), est cité dans un dossier d’accident du
travail (1912).
41
Hubert Eugène Noël ROCHARD, comptable332, né le 24 décembre 1874 à La Vieille Loye, décédé le 19 mars 1909 à La
Vieille Loye (fils de Jean Louis dit Eugène, contremaître de verreries, né le 24 novembre 1842 à
Saint-Bérain (Saône-et-Loire), décédé le 6 décembre 1930 à La Vieille Loye (lui-même fils de Joseph
et de Reine JARDINIER)), et de Marie Julie Adelina BAVILLEY, sans profession, née le 23 janvier
1846 à Mont-sous-Vaudrey, décédé le 2 novembre 1912 à La Vieille Loye). Hubert Eugène Noël ROCHARD
marié le 22 janvier 1902 à La Vieille Loye avec Jeanne Alice DEJEUX, née le 28 septembre 1882 à La
Vieille Loye (fille de Joseph, contremaître de verrerie, et de Marie Emma DUCHIRON, sans
profession). Hubert Eugène Noël ROCHARD, au salaire mensuel de 150 francs (1897), perçoit un
intérêt annuel de 4% l’an sur un dépôt de 6 000 francs qu’il a réalisé auprès de la verrerie de La
Vieille Loye (1896, 1897). Il est dédommagé pour les frais occasionnés lors de voyages (1899) à
Decise (Nièvre) et à Blanzy (Saône-et-Loire). Hubert Eugène Noël ROCHARD est père à La Vieille Loye
(1903 : Marcelle ; 1908 : Suzanne Marguerite).
Jean Louis dit Eugène ROCHARD, né le 24 novembre 1842 à Saint-Bérain (Saône-et-Loire), décédé le 6 décembre
1930 à La Vieille Loye (fils de Joseph et de Reine JARDINIER). Jean Louis dit Eugène ROCHARD marié
avec Marie Julie Adelina BAVILLEY, sans profession, née le 23 janvier 1846 à Mont-sous-Vaudrey,
décédé le 2 novembre 1912 à La Vieille Loye (fille de Jean Baptiste et de Jeanne Philipine CARON.
Jean Louis dit Eugène ROCHARD est témoin âgé de 28 ans lors d’un décès (1871). Jean Louis dit
Eugène ROCHARD, est contremaître de verreries lors du mariage de son fils (1902), puis chef de
fabrication (1912). Jean Louis Eugène ROCHARD est père à La Vieille Loye (Hubert Eugène, né le 24
décembre 1874, comptable, marié le 22 janvier 1902 à La Vieille Loye avec Jeanne Alice DEJEUX, née
le 28 septembre 1882 à La Vieille Loye, fille de Joseph, contremaître de verreries, et de Marie
Emma DUCHIRON, sans profession). (*) Un Louis ROCHARD, qui a travaillé à La Vieille Loye durant 25
ans (dès 1880), écrit de Reims (Marne) (2 septembre 1905) pour solliciter un certificat en vue de
l’obtention de la médaille d’honneur du travail.
Paul ROCHARD, ouvrier dont le logement est remis en peinture (1899), est grand garçon (1903).
Eugène ROGER, souffleur (1908).
Edmond ROSE, porteur (1900, 1904, 1905)
Joseph ROSE, verrier, né le 21 septembre 1858 à La Vieille Loye (fils de Pierre, sabotier, et de Marguerite
CHEMITRE), se marie le 14 juin 1884 à La Vieille Loye avec Florentine THIBERT, née le 14 mai 1863 à
La Vieille Loye (fille de Michel, fabricant de creusets de verrerie333, décédé le 19 décembre 1883 à
La Vieille Loye, et d’Émilie PERRET). Joseph ROSE est souffleur (1900), gamin (1919), manœuvre
(1919, 1921, 1922), porteur (1922, 1923), chauffeur rondelles (1925), journalier (1926), manœuvre
(1928, 1929, 1930), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Joseph ROSE, porteur (1904, 1906, 1908, 1912), cité dans un dossier d’accident du travail (1905), manœuvre
(1913), veilleur (1916).
Alfred ROSAZ, porteur (1904, 1913).
Jean François ROULLAT (ou ROULA), verrier, né le 14 avril 1862 à Masnières (Nord) (fils de Laurent, décédé le
5 janvier 1899 à Armentières (Nord), et de Glandine BRUNNOT, décédée le 14 janvier 1880 à Ivry
(Seine)). Jean François ROULLAT marié le 16 avril 1887 à Fresnes (Nord) avec Louisa DORSIMONT, puis
divorcé le 25 octobre 1895. Jean François ROULLAT remarié le 27 juin 1907 à La Vieille Loye avec
Marie dite Eugénie PECHEUX, née le 24 décembre 1876 à Trélon (Nord) (fille de Léopold, âgé de 68
ans (1907), domicilié à Trélon, et de Valentine PAUL, décédée le 8 mars 1902 à Trélon). Jean
François ROULLAT, grand garçon, écrit (30 janvier et 11 février 1906) depuis la verrerie de
Gouhenans (Haute-Saône), pour solliciter un emploi à la verrerie de La Vieille Loye, et réécrit
depuis Blanzy (Saône-et-Loire) (22 juin et 11 août 1906). Jean François ROULLAT est père à La
Vieille Loye (1906 : Raymond). Jean François ROULLAT, grand garçon, se voit remettre 60 francs lors
de son départ pour la verrerie d’Hirson (Aisne), avec sa famille et tout son mobilier (juillet
1907).
François ROUSSEAUX, verrier, époux de Marie BRIEY, est père à La Vieille Loye (1879 : Jean Baptiste). Il est
témoin (âgé de 35 ans), lors de décès à La Vieille Loye (1886, 1889).
Auguste ROUSSEY, né le 31 janvier 1898 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 106 ouvert le 20
septembre 1911, porteur (1912), gamin (1913, 1914).
Joseph ROUSSEY, porteur (1913).
Joseph ROUSSEY, arrangeur (1911, 1912, 1913), arrangeur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Charles ROY, verrier, né le 14 janvier 1852 à La Vieille Loye (fils de François ROY, décédé le 25 octobre 1862
à La Vieille Loye, et de Jeanne JACQUOT, décédée le 15 mars 1877 à La Vieille Loye), marié le 7
février 1880 à La Vieille Loye avec Marie Célina ROSE, née le 16 février 1856 à La Vieille Loye
(fille de Pierre, sabotier, et de Marguerite CHEMITRE, ménagère). Charles ROY est père à La Vieille
Loye (1880 : Marie Francine ; 1882 : Mathilde, née rue des Cliats-Cliats ; 1888 : Pierre Louis).
Charles ROY, manœuvre (1919).
Charles ROY, porteur (1900), cité dans un dossier d’accident du travail (1906), manœuvre (1913).
Eugène ROYER, cité dans un dossier d’accident du travail (1906), souffleur (1909).
Alfred SAUVEGRAIN, né le 8 mai 1894 à Reims (Marne) (fils de Philogène Henri et d’Élisabeth MARTINY),
titulaire du livret d’apprenti n° 32 ouvert le 1er novembre 1898, porteur de bouteilles.
Jean Arsène SAVARD, né le 5 décembre 1899 à Ounans (fils d’Albin et Marie Thérèse Joséphine ARBEY), titulaire
du livret d’apprenti n° 119 ouvert le 23 janvier 1913, porteur (1914).
Marcel SAVARD, porteur (1913).
332
333
42
Antoine SIGWART, né le 24 décembre 1828 au Bélieu (Doubs), célibataire, décédé le 11 février 1912 à la Vieille
Loye (fils de François et de Célestine SCHNEIDER). Antoine SIGWART, frère de Caroline Judith
SIGWART mariée avec le verrier Louis SCHILTE.
Charles Marie Joseph SCHILTE, témoin lors de la naissance du fils du verrier François CHEVRIAUX à La Vieille
Loye (1884). Charles Marie Joseph SCHILTE, commis334 (1891), époux de Marie Caroline Judith SIGWART,
est père (Charles Louis Joseph, né le 11 mars 1868 à Courrendlin (Suisse), employé au chemin de
fer, marié le 6 juin 1895 à La Vieille Loye, avec Marie Joséphine BOURDIN ; François Célestin, né
le 8 avril 1875 à La Vieille Loye, marié le 17 août 1901 à La Vieille Loye avec Louise Léa Pauline
GAUTHERIN ; Joseph Charles, né vers 1881). Charles Marie Joseph SCHILTE, contremaître de verreries,
âgé de 75 ans (1901).
François Célestin SCHILTE, verrier, né le 8 avril 1875 à La Vieille Loye, capitaine à la 5ème compagnie du 4ème
régiment de tirailleur marocain, décédé (mort pour la France) le 9 juillet 1917 à Anoceur (Maroc)
(fils de Charles Marie Joseph, propriétaire à La Vieille Loye, et de Caroline Judith SIGWART).
François Célestin SCHILTE marié le 17 août 1901 à La Vieille Loye avec Louise Léa Pauline
GAUTHERIN, née le 5 juillet 1882 à Noyers (Yonne) (fille de Paul, propriétaire à Perrigny, commune
d’Annay-Saint-Serein (Yonne), et de Marie Louuise Arnold COTE).
Louis Charles SCHILTE, verrier en verre à vitre, né le 3 septembre 1832 à Santans (fils légalisé de Joseph,
décédé le 5 avril 1853 à La Vieille Loye, et d’Élisa DORLODOT de PRÉVILLE), marié335 le 23 juillet
1872 à La Vieille Loye avec Marie Antoinette Ester GUIGNOT, née le 16 décembre 1852 à La Vieille
Loye, décédée le 4 juin 1873 à Vézeroux336 (Haute-Loire) (fille de Charles Marie, verrier, et de
Jeanne Claude BOIRET). Louis Charles SCHILTE est témoin lors du mariage de son frère Charles
Antoine Joseph SCHILTE à La Vieille Loye (1859) et lors du décès à La Vieille Loye (1880) de son
cousin germain (François Joseph GUIGNOT, né le 23 octobre 1837 à Santans (fils de Jean François et
de Pierrette Césarine DORLODOT de PRÉVILLE)). Louis Charles SCHILTE, veuf, remarié le 15 mai 1880
au Bélieu337 (Doubs) avec Marie Célestine Émilie SIGWART, née le 24 octobre 1830 au Bélieu, décédée
le 5 janvier 1899 à La Vieille Loye (fille de François, graveur de verre, et de Marie Célestine
SCHNEIDER). Louis Charles SCHILTE, qualifié de propriétaire demeurant à La Vieille Loye, procède à
une vente338 (1896) d’une maison située rue de la Motte et de plusieurs pièces de terre à La Vieille
Loye au profit de Marie Caroline Élisa SCHILTE, institutrice à Besançon (fille de Charles,
propriétaire à La Vieille Loye).
Auguste SEDOZ (CEDOZ), porteur (1908).
Edmond SIMON, né le 8 mars 1885 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 36 ouvert le 1er octobre
1898, porteur de bouteilles.
Jean Baptiste SIMON, verrier, né le 20 novembre 1860 à La Vieille Loye, décédé le 25 octobre 1924 à la Vieille
Loye (fils de Jean Pierre et de Jeanne LAPIERRE), époux de Sophie MARLIN (fille de Jean François,
né à Vriange, décédé le 20 avril 1906 à La Vieille Loye (lui-même fils de Pierre et de Jeanne
VERNIER), époux de Jeanne Antoine POISOT). Jean Baptiste SIMON est père (âgé de 24 ans) à La
Vieille Loye (1885 : Edmond ; Louis Joseph, né le 11 septembre 1890, marié le 21 février 1914 à
Orléans avec Camille Charlotte GRIVOT). Jean Baptiste SIMON, témoin (âgé de 37 ans, puis 40 ans)
lors de décès à La Vieille Loye (1897 et 1901). Jean Baptiste SIMON, souffleur (1906, 1911, 1912,
1913, 1914), employé au salaire de 260 francs par mois (octobre 1919), puis 360 francs (janvier
1920), est ensuite contremaître à la verrerie, lors de son décès (1924).
Louis Joseph SIMON, né le 11 septembre 1890 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 67 ouvert le
8 octobre 1904, porteur (1906), cité dans un dossier d’accident du travail (1911).
Louis SIMON, porteur (1906).
Claude SIMONET, souffleur (1907, 1908).
Fille SIMONOT
François SIMONOT, fondeur de verre339, époux de Marie Albine BERTRAND, est père (âgé de 44 ans) à La Vieille
Loye (1890 : Marie). François SIMONOT est témoin (âgé de 47 ans) lors du décès à La Vieille Loye du
fils du verrier Jean Pierre BARRILLEY (1893).
François SIMONOT, aide fondeur (1908, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), veilleur (1915).
Jacques SIMONOT, manœuvre (1913).
Joseph SIMONOT, magasinier (1911, 1912, 1913, 1919, 1921, 1922, 1923, 1926), logé (2 personnes) sur le site de
la verrerie (1926), magasinier (1928, 1929, 1930).
Louis Félix Camille SIMONOT, souffleur, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (9 juin, 11 et 15
juillet 1906). Louis Félix Camille SIMONOT, verrier, époux de Laure Marie Léontine DELORME, est
père à La Vieille Loye (1907 : Marie Suzanne).
Arthur Joseph SINTOT, né le 16 mars 1888 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 52 ouvert le 16
mars 1901, porteur de bouteilles (1901), gamin (1903, 1904, 1905, 1906, 1907, 1908, 1909).
Edmond SINTOT, gamin (1903, 1904, 1906, 1908, 1909, 1911, 1912, 1914), grand garçon (1910), logé au village
(1913). Edmond SINTOT, gamin (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), videur (1928,
1929, 1930).
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Contrat de mariage du 24 juin 1872 - Me François BAROT, notaire à Mont-sous-Vaudrey - ADJ - cote 4E 13889 - acte n° 132.
Acte de vente du 24 janvier 1896 - Me François BAROT, notaire à Mont-sous-Vaudrey - ADJ - cote 4E 13932 - acte n° 10.
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Maxime SINTOT, né le 27 février 1890 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 64 ouvert le 27
février 1903, porteur de bouteilles, gamin (1903, 1908, 1909, 1910), grand garçon (1911, 1912,
1913). Maxime SINTOT, verrier, frère de Marie Julie SINTOT, mère d’une fille née à La Vieille Loye
(1911). Maxime SINTOT, cité dans un dossier d’accident du travail (1911).
Joseph Alfred SINZOT (sic), verrier, époux de Claude Émilie POULAT, est père (Blanche Émilie, née le 3
décembre 1890 à Folembray (Aisne), décédée le 23 septembre 1891 à La Vieille Loye).
Albert SIRE, porteur (1904), gamin (1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1913). Albert SIRE, terminant son service
militaire (60ème de Ligne à Besançon), écrit pour un emploi de gamin (23 juillet 1912).
Armand SIRE, porteur (1905, 1906, 1907), aide fondeur (1911, 1912).
Ferdinand SIRE, porteur (1905).
Julie SIRE, domestique (1905, 1906).
Marie SIRE
Jean Baptiste THEUREAU, verrier, né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), décédée le 8 octobre 1928 à
Lons-le-Saunier, avec transcription à La Vieille Loye (fils de Léonard et de Pauline MAIRE). Jean
Baptiste THEUREAU époux de Marie CHARLOT, sans profession, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saôneet-Loire), décédée le 5 janvier 1929 à Dole, avec transcription à La Vieille Loye (fille de
Dominique et de Lazarette BRUGNOT). Jean Baptiste THEUREAU est père (Lazare, verrier, né le 22 juin
1877 à Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire), décédé le 13 février 1942 à La Vieille Loye, époux de
Charlotte THILLIER ; Louis, verrier ; Marguerite, femme de chambre, née le 11 septembre 1887 à
Blanzy (Saône-et-Loire), mariée le 15 novembre 1919 à La Vieille Loye avec le verrier Joseph Émile
BRUET). Jean Baptiste THEUREAU est grand garçon (1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913,
1914), cueilleur (1919), manœuvre (1921, 1922, 1923), porteur (1922), manœuvre (1926), logé (2
Lazare THEUREAU, verrier, né le 22 juin 1877 à Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire), décédé le 13 février 1942 à
La Vieille Loye (fils de Jean Baptiste, verrier né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire),
et de Marie CHARLOT, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saône-et-Loire)). Lazare THEUREAU, époux de
Charlotte THILLIER, sans profession (âgée de 41 ans en 1919), est père (Jean Émile Lucien, né le 1er
juin 1901 à Blanzy (Saône-et-Loire), décédé le 2 janvier 1919 à La Vieille Loye. Lazare THEUREAU,
souffleur, écrit de La Neuvillette (Marne) (6 et 19 février 1911). Renouvelant son contrat sur
place, il propose (20 juin 1911), à sa place, son frère Louis THEUREAU, verrier à la verrerie de
Blanzy en instance de fermeture. Lazare THEUREAU redemandant un emploi (21 juin et 20 août 1912) et
l’obtenant, demande (31 août 1912) que son mobilier soit réceptionné à la gare d’arrivée. Lazare
THEUREAU est souffleur (1913, 1914), logé au village (1913), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922,
1923, 1924, 1925, 1927), logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Louis THEUREAU (fils de Jean Baptiste, verrier né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), et de Marie
CHARLOT, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saône-et-Loire)), Louis TERREAU, époux de Reine
CANDIARD, est père (âgé de 32 ans) à La Vieille Loye (1891 : Jeanne). Louis THEUREAU, souffleur,
son frère Lazare, grand garçon, et son père Jean Baptiste THEUREAU, 52 ans, ancien souffleur,
écrivent de Blanzy (Saône-et-Loire) (22 juin et 26 juillet 1911). Sa sœur, 22 ans, travaillait aux
magasins de la verrerie de Blanzy. Louis THEUREAU joue les chasseurs de têtes pour La Vieille Loye
(28 juillet 1912). Louis THEUREAU est souffleur (1911, 1912, 1914), logé au village (1913). Louis
THEUREAU est témoin lors du mariage de sa sœur Marguerite à La Vieille Loye avec le verrier Joseph
Émile BRUET (1919), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1926), grand garçon (1925).
Lucien THEUREAU, berger (1915).
Marguerite THEUREAU, femme de chambre, née le 11 septembre 1887 à Blanzy (Saône-et-Loire) (fille de Jean
Baptiste, verrier né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), et de Marie CHARLOT, née le 13
juillet 1859 à Igornay (Saône-et-Loire)), mariée le 15 novembre 1919 à La Vieille Loye avec le
verrier Joseph Émile BRUET, né le 8 octobre 1889 à Chamblay (fils de Joseph et de Louise SIGONNEY).
Émile THIBAUD, né le 13 octobre 1897 à Dole, demeurant au Poiset à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 458
ouvert le 14 décembre 1912, apprenti noyauteur dans les ateliers des aciéries et fonderies de Jules
MONIOTTE à Dole, apprenti à la verrerie de La Vieille Loye le 3 septembre 1913 comme porteur de
bouteilles, gamin (1914).
Arthur Alphonse THIBERT, né le 8 juin 1893 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 80 ouvert le
11 septembre 1907, porteur de bouteilles (1908), puis gamin (1909, 1910, 1911, 1912, 1913), est
cité dans un dossier d’accident du travail (1911).
Auguste THIBERT, grand garçon (1904, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913)
Auguste THIBERT, magasinier (1911, 1912, 1913).
Charles THIBERT, porteur (1905), gamin (1908, 1909, 1910, 1911, 1912).
Joseph THIBERT, verrier, né le 7 avril 1856 à La Vieille Loye (fils de Pierre, décédé le 15 mai 1877 à La
Vieille Loye, et de Mélitine SIMON, née le 9 janvier 1828 à La Vieille Loye, décédée le 17 novembre
1899 à La Vieille Loye (elle-même fille de François et de Jeanne VALON)), marié le 4 octobre 1884 à
La Vieille Loye avec Eugénie VACHERET, née le 9 décembre 1862 aux baraques du 15ème triage de la
Forêt de Chaux340 (fille de Dominique, bûcheron, et de Jeanne Étiennette LACROIX). Joseph THIBERT
est père à La Vieille Loye (1885 : Marie Alphonsine).
Joseph THIBERT, verrier, époux de Marie Joséphine GRILLOT, est père (âgé de 35 ans) à La Vieille Loye (1892 :
Charles).
Joseph THIBERT dit Rat, porteur (1900, 1905, 1906, 1908), cité dans un dossier d’accident du travail (1905).
340
44
Maurice Constant THIBERT, né le 10 septembre 1898 à Ounans, titulaire du livret d’apprenti n° 113 ouvert le 17
septembre 1912, porteur.
Félix TISSOT, manœuvre (1913).
Maurice TISSOT, né le 10 décembre 1898, porteur (1912, 1913).
Émile Joseph TOIROT, verrier, né le 28 février 1864 à La Vieille Loye (fils d’Edouard, décédé le 20 avril 1865
à Goux, et de Jeanne Françoise LAPLACE, sans profession âgé de 54 ans en 1896). Émile Joseph TOIROT
marié le 12 septembre 1896 à La Vieille Loye avec Clémence Florentine NORMAND, née le 26 août 1874
à Châlons-sur-Marne (Marne), décédée le 7 mars 1931 à La Vieille Loye (fille de Louis Émile,
fondeur de verre âgé de 48 ans (1896), et de Marie GUENON, âgé de 47 ans (1896)). Émile Joseph
TOIROT est père à La Vieille Loye (1897 : Jeanne Marie ; 1903 : Jean Paul, gendarme, témoin du
décès de sa mère à La Vieille Loye en 1931). Émile Joseph TOIROT est témoin lors du mariage du
verrier Joseph GERMAIN, son beau-frère (1899).
Femme TOIROT, journalière (1913), laveuse lessive (1915).
Joseph TOIROT, verrier, témoin (âgé de 37 ans) lors d’un décès à La Vieille Loye (1901), est monteur de train
(1913). Joseph TOIROT, gamin (1919), emballeur (1919), porteur d’eau (1919), monteur de train
(1922, 1923), manœuvre (1928, 1929, 1930).
TOIROT, gamin (1903), porteur (1904), manœuvre (octobre 1914).
Delphin Aimable TOURDOT, souffleur à la verrerie de Folembray (Aisne), après son service militaire, et à
Cormontreuil (Marne) durant 8 ans, écrit de Fourmies (Nord) pour un emploi de souffleur (6 août
1906). Delphin Aimable TOURDOT, verrier, époux de Pauline Joséphine DELMOTTE, est père à La Vieille
Loye (Frnand René, né le 8 décembre 1910, décédé le 12 décembre 1910 à La Vieille Loye). Delphin
Aimable TOURDOT, témoin (âgé de 36 ans) lors du mariage du verrier Jean Pierre GUILLEMIN à La
Vieille Loye (1911), est souffleur (1908, 1909, 1910).
Jean TOURON, cité dans un dossier d’accident du travail (1912).
VACHERET, cité dans un dossier d’accident du travail (1915).
Francis VACHERET, né le 20 mars 1883 à La Vieille Loye (fils de Jean Pierre, décédé le 11 octobre 1885 à La
Vieille Loye, et de Marguerite DUVOIS, bûcheronne à La Vieille Loye) avec Alice DEJEUX, née le 6
juillet 1887 à La Vieille Loye (fille de Jean Baptiste, dit Hippolyte, charron, et de Victorine
SINTOT). Francis VACHERET, grand garçon (1900, 1904, 1907, 1908, 1909), souffleur (1910, 1911), est
témoin (âgé de 24 ans) lors du mariage à La Vieille Loye de son cousin verrier François Émile
CHEVRIAUX (1907). Francis VACHERET est père à La Vieille Loye (André Maxime, né le 12 juillet 1911,
marié le 20 mars 1940 à La Vieille Loye avec Solange Rose GROS, remarié le 25 mai 1946 à la Vieille
Loye avec Rolande Jeanne ROLLIN, décédé le 22 mars 1984 à Dole). Francis VACHERET, terminant son
service militaire à Bruyères (Vosges), confirme son engagement comme grand garçon (9 août 1905).
Louis VACHERET, grand garçon (1908).
Simon VACHERET, logé au village (1913).
Émile Henry VARENNES, verrier, époux de Marie Zoé Camille ANDRIEU, sans profession, est père à La Vieille Loye
(1899 : Lucie Joséphine).
Auguste Joseph VAUTROT, verrier, né le 29 septembre 1883 à La Vieille Loye (fils de François, décédé avant
1923, et de Jeanne Marguerite MOINE), titulaire du livret d’apprenti n° 28 ouvert le 1er octobre
1896. Auguste Joseph VAUTROT époux en 1ère noces de Marie Eugénie DEMMEL, née en 1889 à Thiaville
(Meurthe-et-Moselle), décédée le 9 février 1923 à La Vieille Loye. Auguste Joseph VAUTROT, veuf,
remarié le 26 septembre 1923 avec Angèle Adèle ROLLIER, née le 16 mars 1905 à La Vieille Loye
(fille de Léon Jules, cultivateur à La Vieille Loye, et de Louise Angèle RÉMY, décédée avant 1923).
Auguste Joseph VAUTROT, titulaire du livret d’apprenti n° 28 ouvert le 1er octobre 1896, grand
garçon (1900, 1904, 1907), Il est grand garçon chez GIVELET et Cie de la verrerie de Courcy (Marne)
(mars 1908). Auguste Joseph VAUTROT, de nouveau employé à La Vieille Loye comme souffleur
relais (1908, 1909), grand garçon (1909), souffleur (1910), grand garçon (1911, 1912, 1913, 1914),
fondeur (avril 1919), grand garçon (1911, 1919, 1920, 1921, 1922), souffleur (1924).
Eugénie, femme VAUTROT, épouse d’Auguste Joseph VAUTROT né le 29 septembre 1883 à La Vieille Loye, est
manœuvre (avril 1919, 1921, 1922, 1923).
François Auguste VAUTROT, ouvrier tiseur à la verrerie (en 1878), né le 11 juin 1869 à La Vieille Loye, décédé
le 2 mai 1927 à La Vieille Loye (fils de François (lui-même fils d’Henri et d’Anne LOMBERGET),
journalier âgé de 61 ans (1894), et de Jeanne Marguerite MOINE, décédée le 18 février 1887 à La
Vieille Loye). François Auguste VAUTROT marié le 4 avril 1894 à La Vieille Loye avec Marie Louise
DUVOIS, née le 6 octobre 1872 à Montbarrey, décédée le 9 décembre 1926 à La Vieille Loye (fille de
Chaude François DUVOIS, âgé de 47 ans (1894), bûcheron aux baraques de la 15ème série en Forêt de
Chaux, et de Marie VACHERET, décédée le 11 octobre 1875 à la 15ème série en Forêt de Chaux,
territoire de Montbarrey). François Auguste VAUTROT est père à La Vieille Loye (1878 : Jeanne Marie
Louise, mariée le 28 mars 1905 à Paris, avec Charles LEBEL, décédée le 10 avril 1958 à Montmagny
(Seine-et-Oise) ; 1895 : fille mort née ; 1896 : Georges Auguste).
François VAUTROT, gamin (1907, 1908).
François Eugène VAUTROT, verrier, né le 7 mai 1833 à Fourg (Doubs), décédé le 27 mars 1896 à La Vieille Loye
(fils de François (lui-même fils d’Henri et d’Anne LOMBERGET) et de Jeanne Marguerite MOINE,
décédée le 18 février 1877 à La Vieille Loye). François Eugène VAUTROT, témoin lors du mariage de
son frère Modeste à La Vieille Loye (mai 1892), puis témoin (âgé de 42 ans) lors du mariage de la
fille du contremaître de verrerie Antoine François Eugène FAROUX à La Vieille Loye (1907). François
Eugène VAUTROT, époux de Jeannette MAITROT, est père à La Vieille Loye (1898 : Louise Marguerite ;
1900 : Jeanne Joséphine ; 1901 : Marie Madeleine). François Eugène VAUTROT, cafetier, est témoin
(âgé de 61 ans), lors du décès de son frère Modeste à La Vieille Loye (1926).
45
Georges Auguste VAUTROT, né le 24 janvier 1897 à La Vieille Loye, décédée le 17 avril 1911 à La Vieille Loye
(fils de François Auguste, garde champêtre âgé de 42 ans (1911), et de Marie Louise DUVOIS, âgée de
39 ans (1911), sans profession). Georges Auguste VAUTROT, titulaire du livret d’apprenti n° 103
ouvert le 1er décembre 1910, est porteur (1911).
Louise VAUTROT, manœuvre (avril 1919).
Modeste VAUTROT, né le 28 avril 1877 à La Vieille Loye, décédé le 4 juin 1926 à La Vieille Loye (fils de
François (lui-même fils d’Henri et d’Anne LOMBERGET) et de Jeanne Marie MOINE, décédée le 18
février 1877 à La Vieille Loye). Modeste VAUTROT marié le 19 mai 1892 à La Vieille Loye avec Cécile
Marie Judith DUBUC, couturière, née le 1er mai 1866 à La Vieille Loye (fille de Claude François,
bûcheron, et de Françoise GUYOT, née le 15 novembre 1830 à La Vieille Loye, décédée le 30 juillet
1875 à La Vieille Loye, mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye). Modeste VAUTROT est père à La
Vieille Loye (1892 : Adrienne, mère à La Vieille Loye (1903 : Yvonne Modeste, mariée (1931) à La
Vieille Loye avec Michel René BOUILLOT)). Modeste VAUTROT, cité dans un dossier d’accident du
travail (1905), maître souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), puis employé au
salaire de 320 francs par mois (octobre 1919), 450 francs (janvier 1920), puis 600 francs
(septembre 1920), contremaître (1921, 1926).
VAUTROT dit Godet, grand garçon (1900).
Auguste VERCEZ, gamin (1900), porteur (1903, 1904), gamin (1906), chauffeur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912,
1913), ramoneur (1913), est cité dans un dossier d’accident du travail (1905). Auguste VERCEY,
ramoneur (1919), chauffeur (1919, 1921), manœuvre (1923), remplaçant (1925), logé sur le site de la
verrerie (1926).
Femme VERCEZ, journalière (1913).
Flore VERCEZ, porteur (1907), ramoneur (1908, 1909, 1910), veilleur (1911), ramoneur (1911, 1912, 1919).
Georges VIAL, grand garçon (1909, 1910).
Isidore VILLEMINEY, né le 15 février 1826 à Aillevillers (Haute-Saône), décédé le 8 février 1902 dans l’ussine
de la verrerie à La Vieille Loye (fils de Marie Joseph).
Claude VIRLY (ou VIRELY), verrier, grand garçon à la verrerie de La Vieille Loye (1903), souffleur à la
verrerie de Cormontreuil (Marne) écrit pour solliciter un emploi (19 octobre 1905), puis souffleur
(1905, 1908). Claude VIRLY, époux de Claudine JOLARD, sans profession, est père à La Vieille Loye
(1906 : Gladie Denise). Claude VIRLY fils, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (17 octobre et 23
octobre 1911). Claude VIRLY, de Cormontreuil (Marne), grand garçon à La Vieille Loye (1903), puis
souffleur (1905, 1908), sollicite un emploi de souffleur (janvier 1920).
Jean VIRLY (ou VIRELY), verrier, époux de Jeannette PILLOT, est père (âgé de 36 ans) à La Vieille Loye (1891 :
Marie Lucie).
(*) Un Jean VIRLY marié le 13 juillet 1901 à Cormontreuil (Marne) avec Marie Julie (fille de Louis
ROCHARD, maître ouvrier verrier à La Vieille Loye, et de Julie MILLET). Marie Julie ROCHARD, épouse
VIRLY, décédée le 30 juin 1972 à Reims (Marne).
Louis VUILLIN, manœuvre (1913), aide fondeur (1919), monteur train âgé de 60 ans (1919).
Eugène VUILLERMET, né le 3 novembre 1891, pupille de l’Assistance Publique, titulaire du livret d’apprenti n°
72 ouvert le 15 novembre 1904, porteur de bouteilles.
XERAZANG, porteur (1904).
YADIT, porteur (1900).
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Candidatures à un emploi à la verrerie de La Vieille Loye (1883/1919)
Jean Marie AGNAN, 26 ans, souffleur, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (6 mars 1911).
Jules ARDOISE, grand garçon écrit de Reims (Marne) (20 août 1912).
Antoine BALAY, écrit depuis Vaillys-sur-Aisne (Aisne) grand garçon et son frère, gamin, Jules BALAY (8 juin
1911).
Jean Claude BALAY, grand garçon en chopines, écrit de Fourmies (Nord) (22 janvier 1912).
Émile BAREAU, réfugié à Chomerac (Ardèche), pour deux emplois de souffleurs, deux emplois de gamins et une
place de porteur (septembre 1915).
Alphonse BARILLEY, écrit de Masnières (Nord) pour proposer ses fils comme grands garçons et gamins (14
juin 1912).
Fernand BEAUX, journalier à Ounans, 28 ans, marié, demande un emploi en indiquant qu’il sait parfaitement
conduire les chevaux et les bœufs (31 janvier 1911).
Pierre BENEY, à Blanzy depuis 8 ans, souffleur, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (25 mars 1906, 30 juin
1911).
Baptiste BERTRAND, souffleur, écrit de la verrerie de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse) (8 décembre
1911). Baptiste BERTRAND, souffleur, avec son grand garçon et son gamin, écrit de Châlon-surSaône (Saône-et-Loire) (2 juin 1912).
Agnan BLAUDE, souffleur, écrit de Baccarat (Meurthe-et-Moselle) (18 septembre 1912).
Charles BOILLEY, d’Arbois, recommande son ancien régisseur (10 septembre 1906).
Antoine BOQUE, né à Decize (Nièvre), âgé de 27 ans, marié avec deux garçons (3 ans et 2 ans), écrit (4 août
1906) depuis Saint-Léger-des-Vignes, proche de la verrerie de Decize où il travaille comme
souffleur depuis 1890. Il cite Armand BOUILLOT, natif de Decize, qui a travaillé à La Vieille
Loye.
Jean BOSSUZ, 3 rue de l’Industrie, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) pour un emploi de relais
(1902).
Georges BOUILLÈRE, grand garçon, écrit de Reims (Marne) (12 juin 1911).
Philippe BREUX écrit de La Neuvillette (Marne) (1902).
Augustin BRIDOUX, écrit de Fougères (Ille-et-Vilaine), pour 3 emplois de cueilleurs (5 juillet 1915).
Albert BUCHAILLOT, ayant travaillé à Carmontreuil (Marne), puis à Loivre (Marne), écrit de Courcy (Marne)
(4 février et 3 octobre 1911). Veuf avec 4 enfants, il loge chez Louis BUCHAILLOT à Reims
(Marne).
Henri CAMBRIN, grand garçon, écrit de Masnières (Nord) (6 juillet 1910). Henri CAMBRIN, grand garçon,
écrit de Reims (Marne) (26 avril 1911).
Jean Marie CASSIER, grand garçon, écrit depuis Le Creusot (Saône-et-Loire), précisant qu’il travaille à
Reims (29 juillet 1905).
Alfred CHAMPENOIS, grand garçon, écrit de Reims (Marne) (14 octobre 1910).
Pierre CHAROLLOIS, charron, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (19 juin 1911).
Gaspard CHASSEROT, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (5 mai 1902).
CHOCLIN, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (1902).
Louis CHOPIN, souffleur, écrit de La Neuvillette (Marne) (10 juin et 16 août 1912).
Henri DÉBUT, âgé de 31 ans, écrit depuis Flers-en-Escrenbieux (8 et 21 février, 3 et 9 juin, et les 1er, 14
et 24 juillet 1912), et réécrit depuis Dorignies-lès-Douai (Nord) (25 décembre 1912), pour
une place de grand garçon en chopines.
Louis DECOMBE, de Santans (1913).
Louis DELORIEUX, réfugié à Vercheny (Drôme), pour une place de grand garçon pour lui-même et pour son frère
(février 1915).
Jean DENIZOT, écrit de Baccarat (Meurthe-et-Moselle) (17 février 1913).
François DESCLODURE, écrit de Denain (Nord) (16 décembre 1920).
Philibert DEVILLARD, grand garçon (21 août 1911), écrit de Loivre (Marne) et indique qu’il aimerait bien
emmener avec lui son cousin, le souffleur Joanny JANNIAUD, beau-frère de DUBRION.
François DROMARD, souffleur jusqu’à l’âge de 28 ans, chef de fabrication depuis 1885, travaillant à Fresnes
(Nord) depuis 1896, sollicite un poste de chef de fabrication (9 mars 1905).
Adolphe DUBOIS, écrit de Dorignies-lès-Douai (Nord) pour une place de souffleur (28 août 1911).
Hector DUBOIS, grand garçon, écrit depuis Bouvines (Allier) (5 juin 1912).
Paul FALEUR, réfugié à Annoire (Jura), précédemment employé à Fourmies (Nord), pour une place de souffleur
(janvier 1915).
Marius FAROT, écrit de Loivre (Marne) (juin 1905).
Joseph FECHET, écrit de Loivre (Marne) (26 juin 1911).
L. GARNIER, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) pour une place d’arrangeur (10 août 1905).
Robert GARNIER, 14 ans, qui a lu sur La République, un article par lequel on réclamait un jeune homme de 13
à 17 ans, propose ses services (15 septembre 1906).
Jean GIDEL, souffleur, écrit de la verrerie de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse), pour un emploi pour lui
et ses fils grands garçons (22 octobre 1912).
Émile GIPPON, à Courcy (Marne) depuis 12 ans (7 juillet et 21 décembre 1911).
Louis GUILLEMIN, réfugié à Pierrefonds-les-Bains (Oise), pour une place de souffleur (octobre et novembre
1915).
Jean HEITZ, 16 ans, réfugié à Lavans-lès-Dole (mars 1916).
Michel HEITZ, 47 ans, réfugié à Lavans-lès-Dole (mars 1916).
Eugène JANIN, écrit de Reims (Marne) (15 et 23 octobre 1910).
Henri JANNIAUD, 26 ans, marié, souffleur, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) pour proposer son frère et ses
deux beaux-frères (Jean Marie BOUILLOT et Marius BOUILLOT) comme verriers (12, 13 et 18 juin
47
1911). Il sollicite un emploi pour son beau-frère, Adrien SIROP, 32 ans, comme forgeron en
cannes.
Louis JEANNIN, 52 ans, réfugié à Dole (mars 1916).
Gustave JEANNOT, souffleur à Carmontreuil (Marne), propose son beau-frère comme grand garçon (22 août
1912).
Louis Pierre JOMOT, arrangeur, écrit de Lourches (Nord) au nom d’Aristide DUCHANGE, souffleur, d’Étienne
JOMOT, grand garçon, de Pierre JOMOT, gamin, et de Gabrielle JOMOT, porteur (20 août 1905).
Charles JULLIOT, 23 ans, réfugié à Mont-sous-Vaudrey (mars 1916).
LABBAT, souffleur, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (1902).
Marcel LAMBERT, écrit de Falletans et propose de remplacer le charron de la verrerie de La Vieille Loye (29
avril 1906).
Auguste LAPORTE, souffleur, écrit de Courcy (Marne) (18 avril 1911).
Virgile LAPORTE, 16 ans, réfugié précédement à La Barre, puis à Dole (mars 1916).
François LASQUERADE, souffleur, écrit de la verrerie de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse) (17 juillet
1912).
Louis LASQUERADE, souffleur, et son gendre, grand garçon, Jules BALAY, écrivent de la verrerie de SaintPrex, canton de Vaud (Suisse) (17 juillet 1912).
LATHUIÈRE, grand garçon, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (4 mai 1902).
Jules LAVAILLETTE, 19 ans, gamin, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (19 mars 1906).
Léon LECAREUX souffleur, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (mars 1902).
Joseph LECU, souffleur, écrit de Baccarat (Meurthe-et-Moselle) (20 octobre 1911).
André LÉGER, souffleur, écrit de La Neuvillette (Marne) (8 septembre 1905).
Adelson LEROY, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) pour un emploi de verrier, précisant que de
nombreux anciens de Courcy (Marne) sont prêts à aller travailler à La Vieille Loye (3 septembre
1915).
Pierre Eugène LESAGE, grand garçon, écrit d’Anor (Nord) pour se proposer avec ses enfants comme gamin et
porteur (9 mai 1905). Pierre Eugène LESAGE, réfugié à Pierry (Marne) pour un emploi de grand
garçon (janvier 1915). Il demeure ensuite à Monnet-la-Ville, âgé de 49 ans (mars 1916).
J. LUCHON, terminant son service militaire à Gérardmer (Vosges), souhaite reprendre son travail à La
Vieille Loye (12 mars 1905).
Vivant LUNEAU, souffleur, écrit depuis la verrerie des Islettes (Meuse) (20 août 1906), accepterait une
place de grand garçon (1er octobre 1906).
Adolphe MENUT, 15 ans, réfugié à Pagney (mars 1916).
Georges MENUT, réfugié à Chomerac (Ardèche), pour un emploi de souffleur (janvier 1915).
Louis MENUT, souffleur, et son fils gamin ou porteur, écrivent de Reims (Marne) (2 novembre 1906).
Joanny MERLET, chef de fabrication à la verrerie de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse), précise (13
septembre 1912) qu’il a travaillé dans la même fonction pour le compte du défunt AUPÈCLE,
directeur du site verrier de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) d’où il avait déjà sollicité
Émile NEVEU (16 juillet 1906). L’établissement suisse fabrique également des bouteilles qui sont
recuites au bois.
Adrien MEUNIER, écrit de Paris pour une place de souffleur ou de grand garçon (20 avril 1915).
Auguste MEUNIER, souffleur, et ses fils gamin et porteur, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (4
octobre 1906). Auguste MEUNIER, écrit de Masnières (Nord) pour proposer une équipe complète
(1er juillet 1912).
Claude MEUNIER, célibataire, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (30 juin 1911). Claude MEUNIER, grand garçon,
écrit de Reims (Marne) (22 janvier 1912).
Roger Eugène MILLERANT, souffleur, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Émile NEVEU se préoccupe
de savoir si l’intéressé connaît les moules à bouteilles utilisés à La Vieille Loye (7, 9 et 11
juillet et 3 août 1906).
Antoine NICOLLET, souffleur, écrit de Pont-de-Flandre à Arques (Pas-de-Calais) (1902).
Férié RIXIN, souffleur (5 décembre 1905).
Philippe PALLADOR, ayant quitté la verrerie de Loivre (Marne), réfugié à Gouhenans (1er septembre 1914),
sollicite une place de souffleur (7 mai 1915).
Charles PANNETIER, âgé de 27 ans, marié avec un enfant, venant de Decize (Nièvre), n’étant pas satisfait
des conditions de travail à la verrerie de Blanzy (Saône-et-Loire), sollicite un emploi de
souffleur (9 mai 1905).
Eugène PELLETIER, de Nice (Alpes-Maritimes), sollicite un poste de chef de fabrication (1902).
Jacques PESSON, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (avant 1905).
Marcel PIERRE, réfugié à Aumont (mars 1916).
Auguste POURVEUX, réfugié à Rive-de-Gier (Loire), pour un emploi de souffleur (mars 1915).
François RAMAGE, 39 ans, souffleur, et son beau-fils, gamin, Raymond MERLE, écrivent de Montluçon
(Allier) (26 avril 1912).
Gaston ROYANT, écrivant de la verrerie des Islettes (Meuse), reçoit une réponse négative de La Vieille
Loye (1902).
Edouard SATIN, réfugié à Saint-André-de-la-Manche (Maine-et-Loire), pour une place de souffleur pour lui et
de cueilleur pour son frère de 17 ans (janvier 1915).
A.. SURIEUX, signale depuis Reims (Marne) qu’il a déjà donné ses deux mois et qu’il est libre de tout
engagement (26 mai 1906).
André TALLET, 30 ans, grand garçon, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (6 mars 1911).
Justin THOMAS, 27 ans, grand garçon, écrit de Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (6 mars 1911). Justin
THOMAS, logeant chez Henri VERRAC, 81 rue Bourbon, écrit de Bordeaux (Gironde) (3 février 1913).
Louise TOUCLET, demande depuis Blanzy (Saône-et-Loire), pour sa sœur, si la verrerie de La Vieille Loye
embauche des filles aux magasins (13 mars 1906).
Joseph TREUVEZ, écrit de Lons-le-Saunier (25 février 1911).
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Pascal VAUCHEZ, agent d’assurances à Voiteur, attire l’attention d’Émile NEVEU sur la détresse d’une
famille dont l’aîné des enfants, âgé de 16 ans, pourrait travailler à la verrerie (24 août
1911).
Jules VIGOURT, 46 ans, réfugié à Mont-sous-Vaudrey (mars 1916).
Claude VELARD, réfugié à Chomerac (Ardèche), pour un emploi de porteur pour ses deux fils (13 janvier 1915)
qui travaillaient précédemment à la verrerie de Reims (Marne).
Pillet VILLEDIEU, souffleur, marié, père de deux enfants, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (21 août et 1er
et 8 septembre 1911).
Gaspard WAGNER, réfugié, précédemment employé à Vauxrot (Aisne), pour un emploi à la verrerie de La Vieille
Loye (janvier 1915).
Symphorien WARNANT, écrit de La Neuvillette (Marne) pour solliciter deux emplois de grands garçons (2
janvier 1911).
Les derniers verriers à La Vieille Loye (1919/1931)
Claude AIGNAN, écrit de Reims (Marne) pour un emploi de remplaçant (mars 1913). Claude AGNAN, souffleur (1913,
1914), logé au village (1914). Claude AGNAN, souffleur (1919, 1920).
Charles ANTHONIOZ, né vers 1867, époux d’Eugénie, logé (1917341) dans la baraque n° 2 du hameau forestier du 13ème
triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de Montbarrey. Il est père à La Vieille Loye
(1893 : Gabrielle ; 1902 : Rose ; 1904 : Louis). Charles ANTHONIOZ est porteur (1919), videur (1919).
Louis ANTHONIOZ, né vers 1904 (fils de Charles, verrier, et d’Eugénie), videur (1919), porteur d’eau (1919,
1920, 1921), manœuvre (1923), gazier (1925), logé (6 personnes) sur le site de la verrerie
(1926). Recensé avec ses parents (1917342) dans la baraque n° 2 du hameau forestier du 13ème
triage de la Forêt de Chaux dépendant de la commune de Montbarrey.
Marcel ANTHONIOZ, porteur (1926, 1927, 1928, 1929), cueilleur (1930, 1931).
Luc ARDOISE, grand garçon (1919, 1920).
Lucien ARDOISE, grand garçon (1919), souffleur (1920).
Frédéric BALLET, gamin (1900, 1905, 1907), tamiseur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), aide fondeur (1913, 1914),
tamiseur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), âgé de 60 ans (1919).
Henri Victor BARBIER, né le 17 février 1906 à Dole, domicilié avenue de landon (1921), titulaire du livret
d’apprenti n° 1115 ouvert le 11 février 1921 alors qu’il était apprenti serrurier-taillandier chez
l’entrepreneur PIELLARD, apprenti à la verrerie de La Vieille Loye le 22 janvier 1923, porteur
(1924), porteur d’eau (1925).
Simon BARBIER, né le 5 mai 1908 à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 157 ouvert le 22 janvier 1923, porteur
(1924), gamin (1925), journalier (1926), logé sur le site de la verrerie (1926), porteur (1926),
gamin (1927), grand garçon (1928).
BARBOTIN, tamiseur (1919).
Aimé BARBOTIN, porteur (1919).
Germain BARBOTIN, né le 12 décembre 1906 à Hordain (Nord), titulaire du livret d’apprenti n° 142 ouvert le 28
août 1919, porteur (1919, 1920, 1921).
Henri BARBOTIN père, fondeur (1919, 1920, 1921).
Joseph Henri BARBOTIN, né le 7 mars 1905 à Hordain (Nord), titulaire du livret d’apprenti n° 137 ouvert le 12
août 1919, porteur (1919, 1920, 1921).
Philippe BARBOTIN, né le 5 novembre 1903 à Hordain (Nord), titulaire du livret d’apprenti n° 138 ouvert le 12
août 1919, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921).
Marcel BARILLEY (1931).
Jean Marie BARILLOT.
Louis BAUDIN, magasinier (1926), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Auguste BEAUCAIRE, magasinier (1919, 1921, 1922, 1923), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926),
magasinier (1928, 1929, 1930).
Georges BEAUCAIRE, sablier à Belmont (1920).
Paul BEAUCAIRE, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Albert BÉRAUD, porteur (1928, 1929), cueilleur (1930, 1931).
André BÉRAUD, porteur (1928, 1929), cueilleur (1930, 1931).
Jean BÉRAUD, manœuvre (1928, 1929, 1930, 1931).
Louis BERGIER, charron (1929, 1930)
Alfred BÉSIA (BÉZIAT), porteur (1926).
Ernest BÉSIA (BÉZIAT), porteur (1926, 1927, 1928, 1929), cueilleur (1930, 1931).
Joseph BÉSIA (BÉZIAT), porteur (1926, 1929).
Marcel BÉSIA (BÉZIAT), porteur (1926, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Martin BÉSIA, maçon (1928, 1929, 1930).
Gabriel BIGUEUR, porteur (1929, 1930, 1931).
Roger BIGUEUR, porteur (1929, 1930).
Albert BILLET (BILLEY), porteur (1924, 1925), cueilleur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926),
cueilleur (1927, 1928).
Gaston BILLET, porteur (1924).
Louis BLAÜENSTEIN, manœuvre (1919), monteur train (1919).
Jean BOISSEAU, grand garçon, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (8 septembre et 2 octobre 1911). Jean BOISSEAU,
écrit de Reims (Marne) (5 décembre 1911). Jean BOISSEAUX, grand garçon (1923), souffleur (1923).
Augustin BONJOUR, porteur d’eau (1921).
341
342
49
Charles BONJOUR, né le 20 août 1904 à Belmont, titulaire du livret d’apprenti n° 143 ouvert le 4 octobre 1919,
porteur (1920, 1921).
Étienne BONJOUR, videur âgé de 60 ans (1919), porteur d’eau (1920).
Hippolyte BOUILLOT, né en 1878 à Mont-Saint-Vincent (Saône-et-Loire), marié à Francine, née en 1885 à Blanzy
(Saône-et-Loire) Hippolyte BOUILLOT est père (René, né en 1907 à Blanzy ; Micheline, née en 1911 à La
Vieille Loye). Il est souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930),
souffleur logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
(*) On note le mariage de Michel René BOUILLOT, né le 17 mars 1907 à Blanzy (Saône-et-Loire) (fils
d’Hippolyte, verrier, et de Pierrette CHAILLET, sans profession), marié le 30 mai 1931 à La Vieille
Loye avec Yvonne Modeste VAUTROT, née le 16 mars 1903 à La Vieille Loye (fille naturelle d’Adrienne
VAUTROT, caissière, domiciliée à Paris (IIe)).
Jean BOUILLOT, verrier, né le 5 février 1893 à Blanzy (Saône-et-Loire), époux d’Augustine BURTIN, née le 30 mars
1895 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Jean BOUILLOT est père à La Vieille Loye (Marcel Michel,
né le 23 juin 1924, marié le 18 septembre 1943 à Salins-les-Bains avec Odette Marguerite Camille
FOURNIER ; 1927 : Christiane Andréa). Jean BOUILLOT, grand garçon (1925), grand garçon logé (4
personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926), grand garçon (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Jean Marie BOUILLOT, né en 1880 à Saint-Micaud (Saône-et-Loire), souffleur, est proposé par son beau frère (Henri
JANNIAUD), écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (12 juin 1911). Jean Marie BOUILLOT, souffleur (1920,
1921, 1922, 1923, 1924, 1925), logé (3 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926), souffleur
(1927, 1928, 1929, 1930). Jean Marie BOUILLOT est témoin lors du mariage à La Vieille Loye (1931) de
Michel René BOUILLOT, charcutier, né le 17 mars 1907 à Blanzy (Saône-et-Loire) (fils du verrier
Hippolyte BOUILLOT et de Pierrette CHAILLET). Jean Marie BOUILLOT qui a une sœur (Anna DEJY, née en
1886 à Écuisses (Saône-et-Loire)) est encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Marius BOUILLOT, âgé de 18 ans, grand garçon, proposé par son beau frère (Henri JANNIAUD), écrit de Blanzy
(Saône-et-Loire) (12 juin 1911). Marius BOUILLOT, grand garçon (1924, 1925, 1926, 1928, 1931).
René BOUILLOT, porteur (1920, 1921, 1923).
Lucien Joseph BOURDIN, titulaire du livret d’apprenti n° 31 ouvert le 28 août 1897, porteur (1900), magasinier
(1919, 1921, 1922, 1923) porteur (1925), porteur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie
(1926), porteur (1927), cueilleur (1928, 1929, 1930, 1931).
BOUVIER, de Montbarrey, livre le sable de Belmont (1919).
Albert BREDIN, porteur (1927, 1928).
René BREDIN, porteur (1927, 1928, 1929).
Louis BREDIN, manœuvre (1928).
Alphonse BROCARD, voiturier (1919, 1921, 1922, 1923), manœuvre (1928).
Émile BRUET, né le 20 août 1891 à Chamblay (fils de Joseph, journalier, et de Louise SIGONNEY, sans profession),
marié le 10 avril 1920 à La Vieille Loye avec Eugénie Emma MIGONNEY, née le 30 mai 1884 à
Valempoulières (Jura) (fille de Louis, décédé, et de Marie Célestine MENERY, sans profession à La
Vieille Loye). Émile BRUET est père à La Vieille Loye (André Auguste, né le 8 juin 1921, marié le 5
décembre 1946 avec Jeanne Carmen GARGANI). Émile BRUET, gamin (1905), grand garçon (1909, 1910, 1911,
1912, 1913, 1914).
Joseph Émile BRUET, verrier, né le 8 octobre 1889 à Chamblay (fils de Joseph, journalier, et de Louise SIGONNEY,
sans profession), marié le 15 novembre 1919 à La Vieille Loye avec Marguerite THEUREAU, née le 11
septembre 1887 à Blanzy (Saône-et-Loire), femme de chambre (fille de Jean Baptiste, décédé, et de
Marie CHARLOT, sans profession). Joseph Émile BRUET est père à La Vieille Loye (1921 : Marie Louise
Marguerite ; 1925 : Odette Joséphine ; 1926 : Louise Joséphine). Joseph Émile BRUET est grand garçon
(1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931), grand garçon logé (4
Louis BRUET, gamin (1904, 1905, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1919), grand garçon (1920, 1921, 1923, 1924, 1925),
grand garçon logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928, 1929,
1930).
Camille BUGNOT, porteur (1929, 1930, 1931).
Constant BUGNOT pére, porteur (1924, 1925).
Constant BUGNOT fils, porteur (1924, 1925, 1926, 1927).
Ernest BUGNOT, porteur (1926).
Félix BUGNOT, porteur (1925), cueilleur (1926, 1927, 1928, 1929, 1930).
Jules BUGNOT, porteur (1928, 1929, 1930), cueilleur (1931).
René BUGNOT, porteur (1924, 1925, 1926, 1927), cueilleur (1928, 1929, 1930, 1931). René BUGNOT, vannier (1926),
logé (6 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
André CALINON, verrier, né le 12 janvier 1900 à La Vieille Loye, époux de Marie Louise Andrée PERROCHE, née le 16
février 1903 à La Loye, couturière, est père à La Vieille Loye (1926 : Madeleine Andrée). André
CALINON est porteur (1913, 1914), fondeur (avril 1919), gamin (1919, 1922), grand garçon (1924,
1925). André CALINON porteur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926), porteur (1927),
monteur trains (1928) magasinier (1929, 1930).
Charles CALINON, gamin (1900), grand garçon (1903, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913), grand garçon (1919, 1920,
1921, 1922, 1923, 1924, 1925), grand garçon logé (6 personnes) sur le site de la verrerie (1926),
souffleur (1927), grand garçon (1928), souffleur (1929), grand garçon (1930, 1931).
Charles Jean Baptiste CALINON, verrier, né le 28 août 1885 à La Vieille Loye (fils de Pierre François, retraité,
et de Marie Joséphine BAUCAIRE), marié le 29 mai 1920 à La Vieille Loye avec Alice DEJEUX, née le 6
juillet 1887 à La Vieille Loye (fille de Jean Baptiste, charron, et de Victorine SINTOT, sans
profession). Charles Jean Baptiste CALINON est père à La Vieille Loye (Jean, né le 8 mai 1921, marié
le 4 octobre 1945 à Ambroise (Indre-et-Loire) avec Jeanne BURON ; 1924 : Suzanne Jeanne).
Cyprien CALINON, porteur (1922).
Émile Marcel Robert CALINON, verrier, né le 28 mai 1897 à Chissey (fils de François, retraité en 1921, et de
Joséphine BAUCAIRE, sans profession), marié le 23 août 1921 à La Vieille Loye avec Suzanne Annette
CHOIX, née le 7 janvier 1904 à La Vieille Loye (fille d’Auguste, décédé avant 1921, et de Jeanne
Marie Françoise ROSE, sans profession). Émile Marcel Robert CALINON est père à La Vieille Loye
(1921 : Robert Paul ; 1925 : Ginette Marcelle ; 1929 : Camille Marcel, marié en 1952 à Pontarlier
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(Doubs) avec Anne Marie Émilie RYSER). Émile Marcel Robert CALINON, gamin (1919), grand garçon (1920,
1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930), logé (4 personnes) sur le site de la verrerie
(1926). Émile Marcel CALINON est témoin lors du mariage du verrier Charles Jean Baptiste CALINON
(1920).
Georges Émile CALINON, verrier, né le 20 juin 1895 à Chissey (fils de François, retraité en 1921, et de Joséphine
BAUCAIRE, sans profession). Georges Émile CALINON époux de Marie Esther CALINON, née le 14 mars 1900
à Chatelay. Georges Émile CALINON est père à La Vieille Loye (Bernard René, né le 23 octobre 1923,
marié le 24 juillet 1946 à La Guerche (Cher) avec Suzanne BASTAT, divorcé le 27 septembre 1972 à
Nevers (Nièvre)). Georges Émile CALINON est à nouveau père à La Vieille Loye (Roger André, né le 27
novembre 1926, marié le 27 mai 1947 à Sapois avec Solange Ernestine Marguerite BOURGEOIS ; 1928 :
Odette ; 1929 : Pierre, marié en 1957 à Champvans avec Huguette ZASEMPA). Georges Émile CALINON,
gamin (1919), grand garçon (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), grand garçon logé (3 personnes) sur
le site de la verrerie (1926), souffleur (1927), grand garçon (1928, 1929, 1930, 1931).
Jules Camille CALINON, verrier, né le 19 mars 1887 à La Vieille Loye (Pierre François, verrier, et de Marie
Joséphine BAUCAIRE), époux de Marie Laure VIENOT, née le 10 février 1892 à Amiens (Somme), sans
profession, est père à La Vieille Loye (1929 : Gisèle Germaine).
Jules Vincent CALINON, grand garçon (1919), souffleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929,
1930, 1931), logé (3 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Jules CALINON, né le 11 juin 1860 à La Vieille Loye (fils de Jean Pierre et de Jeanne Pierre SIMON), marié le 25
avril 1885 à La Vieille Loye avec Célestine Alexandrine THIBERT, née le 9 septembre 1864 à La Vieille
Loye, décédée avant 1942 (fille de Claude dit Brenot, décédé le 2 juin 1873 à La Vieille Loye, et de
Jeanne GUYOT). Jules CALINON est père à La Vieille Loye (1886 : Joseph Émile, verrier, époux de Marie
Félicie Camille BULLE ; 1888 : Pierre Louis ; 1895 : Abdon, décédé en 1896). Jules CALINON est grand
garçon (1900, 1904, 1911, 1912, 1913, 1914), gamin (1919). Jules CALINON est témoin lors du mariage
du verrier Charles Jean Baptiste CALINON (1920). Jules CALINON, manœuvre (1921, 1922). Jules CALINON
décédé le 19 mai 1942 à La Vieille Loye (son fils Pierre Louis est témoin lors du décès).
Jules CALINON, porteur (1904), manœuvre (1913), fondeur (1919).
Laure CALINON, femme de lessive (1928).
CARBONNEAUX, porteur (1922).
André CHÉTELAT, porteur (1929, 1930, 1931).
Arnold CHÉTELAT, porteur (1926, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Désiré Séraphin CHÉTELAT, verrier, né le 11 février 1874 à Montsevelier (Suisse) (fils de Séraphin et d’Anne
Marie CHÉTELAT), Désiré CHÉTELAT époux de Marie CHÉTELAT, est père (Marie Rosa, née le 18 mai 1907 à
Montsevelier (Suisse), mariée le 28 février 1927 à La Vieille Loye avec Marcel Henri Joseph LANNAUD
(fils de Joseph, bûcheron, et de Berthe Louise Félicie BARRAUX)). Désiré Séraphin CHÉTELAT est à
nouveau père (Joseph François, né le 27 février 1909 à Montsevelier (Suisse), marié le 27 décembre
1941 à La Vieille Loye avec Fernande Émilienne WAGNER, née le 6 juin 1906 à La Neuvillette (Marne)
(fille de Jules Isaïe, verrier, et de Berthe Louise ROBERT), veuve en 1ère noces de Joseph Auguste
DUBUC). Désiré Séraphin CHÉTELAT, logé (10 personnes) sur le site de la verrerie (1926), voiturier
(1928). Désiré Séraphin CHÉTELAT décédé le 21 juin 1941 à La Vieille Loye (son fils François, âgé de
32 ans, chauffeur à Lyon (Rhône), est témoin lors du décès).
Joseph François CHÉTELAT, né le 27 février 1909 à Montsevelier (Suisse) (fils de Désiré Séraphin, verrier, né le
11 février 1874 à Montsevelier (Suisse), et de Marie CHÉTELAT). Joseph François CHÉTELAT marié le 27
décembre 1941 à La Vieille Loye avec Fernande Émilienne WAGNER, née le 6 juin 1906 à La Neuvillette
(Marne) (fille de Jules Isaïe, verrier, et de Berthe Louise ROBERT), veuve en 1ère noces de Joseph
Auguste DUBUC. Joseph François CHÉTELAT est porteur (1923, 1924, 1925, 1926, 1928), conducteur camion
(1930), puis chauffeur à Lyon (Rhône) lors du décès de son père à La Vieille Loye (1941).
Joseph CHÉTELAT, porteur (1923, 1924, 1925), grand garçon (1926), cueilleur (1927, 1928, 1929), grand garçon
(1930).
Louis CHÉTELAT, porteur (1929, 1930, 1931).
André CHEVRIAUX, porteur (1924).
Anna CHEVRIAUX, manœuvre (1929).
Charles CHEVRIAUX, verrier, né le 19 mars 1878 à Chagny (Saône-et-Loire) (fils de Jean François, ancien verrier,
garde champêtre, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à La Vieille Loye
(lui-même fils d’Antoine et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 à La
Vieille Loye, décédée le 31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne
Claude CHOIX)). Charles CHEVRIAUX, marié le 1er décembre 1906 à La Vieille Loye avec Anna GUYOT, née
le 6 mars 1884 à La Vieille Loye (fille de Joseph Nicolas, propriétaire à La Vieille Loye, et de
Marie LAPORTE). Charles CHEVRIAUX est père à La Vieille Loye (1907 : Suzanne). Charles CHEVRIAUX,
souffleur (1904, 1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1914), logé au village (1913), est cité
dans un dossier d’accident du travail (1906). Charles CHEVRIAUX est témoin (âgé de 50 ans) lors du
décès de sa mère (1929). Charles CHEVRIAUX est souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925,
1927, 1928, 1929, 1930), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
François Émile CHEVRIAUX, né le 15 mars 1884 à La Vieille Loye (fils de Jean François, ancien verrier, garde
champêtre, né le 24 janvier 1849 à La Vieille Loye, décédé le 29 mars 1914 à la Vieille Loye (luimême fils d’Antoine et de François Adèle ROSE), et de Thérèse DUVOIS, née le 9 mars 1852 à La Vieille
Loye, décédée le 31 mars 1929 à la Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne Claude
CHOIX)). François Émile CHEVRIAUX, marié le 6 novembre 1907 à La Vieille Loye avec Berthe MÉNONVAL,
née le 5 novembre 1886 à Loivre (Marne), précédemment ouvrière à Jujurieux (Ain), (fille de
Hégésippe, décédé le 30 juin 1906 à La Vieille Loye, et de Lazarette LUNEAU, décédée le 17 décembre
1905 à La Vieille Loye). François Émile CHEVRIAUX, témoin lors du mariage de son frère Charles à La
Vieille Loye (1906), est père à La Vieille Loye (1908 : Isabelle Charlotte ; André Émile, né le 14
décembre 1910, marié le 15 juillet 1933 à Rimogne (Ardennes), décédé le 3 juin 1992 à CharlevilleMezières (Ardennes)). Il est à nouveau père à La Vieille Loye (1913 : Marguerite Berthe). François
Émile CHEVRIAUX est grand garçon (1900, 1908, 1909, 1910), puis souffleur (1911, 1912). Émile
CHEVRIAUX, logé au village (1913), est cité dans un dossier d’accident du travail (1912). François
Émile CHEVRIAUX est grand garçon (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924).
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Marcel CHEVRIAUX, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Raymond CHEVRIAUX, manœuvre (1920), porteur (1920, 1921, 1922), gamin (1922), porteur (1923).
Veuve COSTECHAREYRE, manœuvre (1920).
Berthe COURTOUX, cuisinière, née en 1892 à La Vieille Loye. Berthe COURTOUX, encore citée sur le site de la
verrerie (1936).
Eugène CHOIX, porteur (1923, 1924, 1925, 1926).
Léon CHOIX, âgé de 16 ans (1926), logé sur le site de la verrerie (1926).
Henri DALVARD, porteur (1925, 1926), manœuvre (1926), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Léon DANTU, maréchal (1920, 1921, 1922, 1923), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926), maréchal
(1928).
Maurice DANTU, porteur (1922).
François DAVADANT, ouvrier d’usine âgé de 36 ans en 1920, époux de Marie SINTOT, sans profession, âgée de 25 ans
en 1920, est père à La Vieille Loye (1920 : André Lucien). François DAVADANT, porteur d’eau (1919),
arrangeur (1919, 1920, 1921), manœuvre (1923), arrangeur (1925), porteur (1927, 1928).
Abel DEJEUX, né en 1914, fils de François et de Célina ???, porteur (1926, 1927, 1928, 1929), cueilleur (1930,
1931).
André DEJEUX, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922), cueilleur logé (3 personnes) sur le site de la
verrerie (1926).
Auguste DEJEUX, manœuvre (1919, 1921), fondeur (1925), logé sur le site de la verrerie (1926).
Charles Joseph DEJEUX, arrangeur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Claude DEJEUX, âgé de 60 ans en 1919, manœuvre (1919, 1920, 1921, 1922, 1923).
Femme Claude DEJEUX, manœuvre (1923).
Francis DEJEUX, gazier (1925), époux de Mathilde FAROUX, est père (Paulette Andrée DEJEUX, née le 13 mars 1908 à
La Vieille Loye, mariée le 2 février 1929 à La Vieille Loye avec le verrier Léon HUNKELER, né le 6
décembre 1906 à Montsevelier (Suisse)).
François DEJEUX, verrier, né le 25 août 1874 à La Vieille Loye (fils de Charles, charron, décédé le 28 octobre
1913 à La Vieille Loye (lui-même fils de Pierre François et d’Anne Françoise CHEMITH), et d’Eugénie
DEJEUX, âgée de 51 ans, sans profession). François DEJEUX marié le 27 juillet 1901 à La Vieille Loye
avec Célina LALUNE, née le 15 octobre 1876 à La Vieille Loye (fille de Claude François, bûcheron
demeurant au 14ème triage de la Forêt de Chaux, âgé de 70 ans (1901), et de Claudine DUVOIS,
bûcheronne, décédée le 26 décembre 1920 à La Vieille Loye (elle-même fille de Georges et de Jeanne
Claude CHOIX)). François DEJEUX est père à La Vieille Loye (1902 : Madeleine Céline ; Marcel Émile,
né le 2 février 1911, marié le 9 mars 1936 à Augerans avec Mireille Charlotte Alphonsine LESCALIER ;
Abel, né le 23 mars 1914 à La Vieille Loye, marié le 25 septembre 1945 à Poligny avec Eugénie Armande
FOURET). François DEJEUX, témoin (âgé de 31 ans) lors du décès de son frère Paul Joseph (1906), est
souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914). Il est souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923,
1924, 1925, 1927), logé (4 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926), puis porteur (1929.
François DEJEUX, verrier, encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Henri DEJEUX, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922), grand garçon (1923, 1924, 1926), souffleur (1927),
grand garçon (1928, 1929, 1930).
Hippolyte DEJEUX, âgé de 60 ans en 1919, charron (1919, 1921, 1922, 1923).
Jean Baptiste DEJEUX, charron (1926), logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Joseph DEJEUX, voiturier (1921), manœuvre (1922, 1923, 1928, 1929, 1930).
Marcel DEJEUX, berger (1919).
Marcel Émile DEJEUX, verrier, né le 2 février 1911 à La Vieille Loye (fils de François, verrier, né le 25 août
1874 à La Vieille Loye, et de Célina LALUNE, née le 15 octobre 1876 à La Vieille Loye). Marcel Émile
DEJEUX marié le 9 mars 1936 à Augerans avec Mireille Charlotte Alphonsine LESCALIER. Marcel DEJEUX
est porteur (1923, 1924, 1925, 1926), cueilleur (1927), grand garçon (1928, 1929, 1930).
Maria DEJEUX, manœuvre (1928, 1929, 1930).
Marion DEJEUX, porteur (1928, 1929).
Marius DEJEUX, né le 11 octobre 1887 à Choisey, titulaire du livret d’apprenti n° 61 ouvert le 1er septembre
1902, apprenti forgeron (1903), maréchal (1908, 1911, 1912, 1913). Marius DEJEUX, maréchal (1919),
forgeron (1919, 1921, 1922, 1923).
Maxime DEJEUX, porteur (1900), gamin (1904, 1905), videur (1913). Maxime DEJEUX, gamin (1919), emballeur (1919),
charron (1921, 1922, 1923, 1928, 1929, 1930).
Paul DEJEUX, maréchal (1908, 1910, 1911, 1912, 1913), cité dans des dossiers d’accident du travail (1905 et
1912). L’épouse de Paul DEJEUX est laveuse, repasseuse, raccommodeuse, rémunérée à la journée (1897).
Paul DEJEUX, maréchal (1919).
Robert DEJEUX, porteur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), cueilleur (1926), grand garçon (1927, 1929,
1930, 1931).
Antoine DELAY, écrit de Blanzy (Saône-et-Loire) (7 juillet 1912). Antoine DELAY, souffleur (1911, 1912), logé au
village (1913). Antoine DELAY, souffleur (1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930), souffleur logé (5
personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Anthonin DELORME, manœuvre (1920, 1921), porteur (1922).
Jean Louis DELORME, né le 4 septembre 1898, porteur (1912, 1913, 1914), cité dans un dossier d’accident du
travail (1912). Jean Louis DELORME, porteur (1920, 1922).
Joseph DESBORDES, manœuvre (1926), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926), manœuvre (1928, 1929,
1930).
André DUBRION (DUBRIHON), né le 29 juillet 1910 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 160 ouvert
le 1er août 1923, porteur (1922, 1923, 1924, 1925, 1926), gamin (1927), grand garçon (1927), cueilleur
(1928, 1929).
(*) Le patronyme DUBRION est cité comme logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Léonard DUBRION, souffleur (1910, 1911, 1912, 1913, 1914). Léonard DUBRION, verrier, témoin (âgé de 30 ans) à La
Vieille Loye lors de la naissance (1913) d’une fille du verrier Maurice JANNIAUD.
Edmond DUBUC, gamin (1904, 1905, 1906, 1907, 1908), grand garçon (1909, 1910, 1911, 1913), cité dans un dossier
d’accident du travail (1905). Edmond DUBUC, grand garçon (1919, 1920, 1921).
52
François DUBUC, cité dans un dossier d’accident du travail (1905). François DUBUC, porteur (1924, 1925),
cueilleur (1926, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Henri DUBUC
Hippolyte Luc DUBUC, verrier, né le 19 avril 1863 à La Vieille Loye, décédé le 18 mars 1932 à La Vieille Loye
(fils de Claude François, bûcheron343, et de Françoise GUYOT, décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille
Loye, mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye). Hippolyte Luc DUBUC, marié le 20 octobre 1886 à
La Vieille Loye avec Florine Françoise DURAQUET, domestique, née le 7 mai 1866 à La Viieille Loye
(fille de Claude François, décédé le 17 février 1884 à Petit-Noir, et de Jeanne Françoise LACROIX, 54
ans, bûcheronne344 à La Vieille Loye). Les témoins du mariage sont : Jean Baptiste DUBUC, 25 ans,
verrier, frère de l’époux ; Claude Joseph DURAQUET, 27 ans, bûcheron, frère de l’épouse (né le 27
mars 1859 à La Vieille Loye) ; Pierre François DURAQUET, bûcheron, frère de l’épouse (né le 23
octobre 1861 à La Vieille Loye).
Hippolyte Luc DUBUC est témoin lors du mariage du bûcheron Michel Auguste GARNIER (juin 1886).
Hippolyte Luc DUBUC est père à La Vieille Loye (Auguste Hippolyte, né le 1er février 1888, marié le 13
septembre 1913 à La Vieille Loye avec Eugénie Émma MIGONNEY ; Edmond, né le 1er septembre 1889, marié
le 14 octobre 1916 au Deux-Fays avec Berthe Esther Françoise RAMAUX ; François Georges, né le 5 avril
1892, décédé le 10 janvier 1911 à La Vieille Loye. Hippolyte Luc DUBUC est à nouveau père (Luc
Joseph, né le 4 juillet 1894, marié le 23 juillet 1918 à Lyon avec Marie Jeanne Apollonie MARTEL ;
1896 : Valentine Germaine).
Hippolyte Luc DUBUC, veuf de Florine Françoise DURAQUET, décédée le 27 janvier 1899 à La Vieille
Loye, se remarie le 2 mai 1900 à La Vieille Loye avec Marie Louise BARBIER, née le 11 mai 1860 à
Orchamps (fille d’Antoine, décédé le 8 septembre 1879 à Sainte-Foy-l’Argentière (Rhône) et de Anne
Augustine MIGNOT, décédée le 23 avril 1871 à Souzy (Rhône). Marie Louise BARBIER (décédée le 16 avril
1903 à La Vieille Loye) est veuve de Charles DEJEUX, décédé le 9 janvier 1891 à La Vieille Loye.
Hippolyte Luc DUBUC est à nouveau père à La Vieille Loye (Noël Gabriel, né le 23 décembre 1900, marié
le 1er décembre 1928 à Falletans avec Marie Louise Marguerite VACHERET, décédé le 18 juin 1979 à
Dole ; Joseph Auguste, né le 11 novembre 1902, marié le 3 juillet 1926 à La Vieille Loye avec
Fernande Émilienne WAGNER, noyé dans la Loue le 22 septembre 1940 au passage de la ligne de
démarcation).
Hippolyte Luc DUBUC, veuf (1903), remarié en troisième noces avec Marie MENERY, est souffleur (1905,
1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913), puis contremaître de verreries.
Hippolyte Luc DUBUC, percevant 320 francs par mois (1919) puis 360 francs (1920), est ensuite chef de
fabrication (1926), logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Joseph Auguste DUBUC, verrier, né le 11 novembre 1902 à La Vieille Loye (fils d’Hippolyte Luc, contremaître de
verreries, et de Marie Louise BARBIER). Joseph Auguste DUBUC, marié le 3 juillet 1926 à La Vieille
Loye avec Fernande Émilienne WAGNER, née le 6 juin 1906 à La Neuvillette-lès-Reims (Marne) (fille de
Jules Isaïe, verrier, né le 10 mai 1882 à Cuffies (Aisne), et de Berthe Louise ROBERT (née le 28
juillet 1885 à Saint-Gobain, Aisne)). Joseph Auguste DUBUC est père à La Vieille Loye (William
Camille, né le 28 janvier 1929, marié le 4 février 1950 à La Vieille Loye avec Marcelle Alice Marie
Madeleine FAGAUT). Joseph Auguste DUBUC, gamin (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924,
1925), grand garçon (1927, 1928), cueilleur (1929), grand garçon (1930, 1931). Joseph Auguste DUBUC
noyé dans la Loue le 22 septembre 1940 au passage de la ligne de démarcation. Fernande Émilienne
WAGNER, veuve, se remarie le 27 décembre 1941 à La Vieille Loye avec Joseph François CHETELAT, né le
27 février 1909 à Montsevelier (Suisse) (fils de Désiré, verrier, et de Marie CHETELAT, sans
profession)).
Louis DUBUC, verrier (fils de Claude François DUBUC, né le 1er juillet 1826 à La Vieille Loye, décédé le 11 juin
1901 à La Vieille Loye (lui-même fils de Claudine DUBUC, bûcheronne) et de Françoise GUYOT, née le 15
novembre 1830 à La Vieille Loye, décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille Loye), témoin (âgé de 30
ans) lors du décès de son père (1901), est souffleur (1900, 1903, 1904, 1905, 1907). Louis DUBUC,
cité dans des dossiers d’accident du travail (1905 et 1911), manœuvre (1913), porteur d’eau (1914),
aide gazier (1919), tamiseur (1919, 1920, 1921), manœuvre (1923), tamiseur (1925), logé (3 personnes)
sur le site de la verrerie (1926).
Noël DUBUC, porteur (1914), gamin (1919, 1922, 1923, 1924), grand garçon (1925), grand garçon logé sur le site de
la verrerie (1926), grand garçon (1927, 1928), souffleur (1929, 1930).
Renée DUBUC, manœuvre (1920).
André DURAQUET, aide fondeur (1919).
Désiré DURAQUET, porteur (1900, 1904, 1905, 1906), porteur d’eau (1908), fondeur (1910, 1911, 1912, 1913, 1914,
avril 1919), fondeur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Alfred DURAS (ou DORAS), forgeron, né en 1900 à Éclans (Jeanne, son épouse, est née en 1899 à Chissey), maréchal
(1929, 1930), encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Auguste DUVOIS, maréchal (1919), forgeron (1919, 1921, 1922, 1923), maréchal (1928, 1929, 1930).
Élise DUVOIS, manœuvre (1920).
Georges DUVOIS, gazier (1919, 1920, 1921).
Jeanne DUVOIS, manœuvre (1920).
Émile DYONNET, porteur (1931).
Marius DYONNET, verrier, né le 4 septembre 1888 à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) (fils de Jean Baptiste,
manœuvre domicilié à Chalon-sur-Saône en 1924, et de Jeanne Eugénie MORAIN, sans profession), marié
le 29 octobre 1924 à La Vieille Loye avec Angèle Henriette FERRAUX, née le 21 novembre 1892 à Hirson
(Aisne), divorcée de Anatoile Gustave VERREY le 26 mai 1922 (fille de Jean Baptiste Henry Théodule,
verrier, domicilié à Reims (Marne), et de Joséphine Berthe MAZUET, décédée avant 1924). Marius
343
CHARNOZ Jean Claude - Recensements des habitants des hameaux forestiers 1553 / 1904 - Tables alphabétiques des naissances - ADJ cote 2 J 1125 Tables alphabétiques des mariages - ADJ cote 2 J 1126 - Tables alphabétiques des décès - ADJ cote 2 J 1127.
344
53
DYONNET, souffleur (1923, 1924, 1925), souffleur logé (4 personnes) à l’extérieur de la
verrerie (1926), souffleur (1927, 1928, 1929, 1930).
Virgile ÉTALON (ÉTALANT), porteur (1923, 1924).
Marcel FAGAUX, né le 10 avril 1907 à Montbarrey, titulaire du livret d’apprenti n° 154 ouvert le 4 décembre 1922,
porteur (1923).
Julien FOUCAUT, grand garçon (1922).
Maurice GABRIEL, manœuvre (1919), porteur (1925, 1926, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Philippe GABRIEL, videur (1921, 1922, 1923).
Charles GAILLARD, voiturier (1921), porteur (1922), voiturier (1922, 1923), conducteur (mai 1923, 1926), logé (3
Jean GAILLARD, conducteur camion (1928, 1929).
Ernest GALIBOUR, porteur (1919).
Marius Émilien GALLIBOUR, verrier, né le 21 septembre 1897 à Santans (fils de Charles Alphonse Alexandre, décédé
avant 1920, et de Lucie Émilie JANET, cultivatrice à Santans), marié le 18 octobre 1920 à La Vieille
Loye avec Jeanne Blanche Zélie NICOT, née le 13 septembre 1901 à Chissey (fille d’Eugène, chauffeur
machine, et de Marie DHYVERS, sans profession). Marius Émilien GALLIBOUR est père à La Vieille Loye
(Charles Eugène, né le 22 avril 1921, marié le 18 décembre 1950 à Arbois avec Josette Marcelle
Suzanne DROGREY). Marius Émilien GALLIBOUR est, gamin (1914, 1919), puis cueilleur (1920, 1921). (*)
La veuve GALLIBOUR, dominiciée à Santans, se voit réclamer son 2ème fils, par l’industriel verrier,
pour un emploi (1913).
Paul GARDON, né en 1885 à Bordeaux (Gironde), marié à Georgette, cuisinière (née en 1891 à Paris), 1 fille
(Paulette Suzanne, née en 1910 à Paris), chauffeur (1921).
Jean GAZÉ, grand garçon à La Vieille Loye (1919), écrit de Trélon (Nord) pour un emploi de grand garçon (février
1920).
Honoré GENCE, sablier à Belmont (1920).
Ernest GONCE (GONSSE), engreneur (1919), porteur (1923, 1924, 1925).
Anne GOUHOT, femme SIMON (1931).
Henri GRIS, manœuvre (1928, 1929, 1930).
Jeanne GROS, manœuvre (1928, 1929, 1930).
Joseph GROS, né en 1878 à Chamblay (Jeanne, son épouse, est née en 1890 à Chissey), manœuvre (1913), porteur
(1922), journalier (1931), encore cité sur le site de la verrerie (1936).
Berthe GUICHARD, née en 1893 (fille de Jean Étienne et de Lucia VACHERET), épouse de Léon COURTOUX, est manœuvre
(1923), puis cuisinière345 (1928, 1929, 1930).
Charles GUILBERT, souffleur (1919).
Albert GUYON, manœuvre (1920).
André GUYOT, berger (1930).
Auguste GUYOT, âgé de 60 ans en 1919, manœuvre (1919, 1921, 1922, 1923), charron (1928, 1929, 1930).
Jean GUYOT, porteur (1928, 1929, 1930, 1931).
Joseph GUYOT, voiturier (1919, 1921, 1922, 1923), journalier (1926), logé (8 personnes) sur le site de la
verrerie (1926), manœuvre (1929, 1931).
Anthonin HENRY, porteur (1922).
André HEYRAUD, porteur (1926, 1927).
Émile HEYRAUD, porteur (1924).
Paul Émile HEYRAUD, né le 20 septembre 1907 à La Chaux de Fonds, titulaire du livret d’apprenti n° 163 ouvert le
8 décembre 1923, porteur (1924), porteur d’eau (1925), cueilleur logé sur le site de la verrerie
(1926), grand garçon (1927).
Raymond HEYRAUD, né le 1er juillet 1905 à La Chaux de Fonds, titulaire du livret d’apprenti n° 162 ouvert le 8
décembre 1923, porteur (1924, 1925).
Joseph HUNKELER, né le 13 novembre 1876 à Roselier (Suisse), décédé le 17 mars 1932 à La Vieille Loye (fils de
Jérôme et de Rosalie STUFER), époux de Mélina FRELECHOZ, décédée avant 1932. Joseph HUNKELER est
porteur (1924, 1925), porteur logé (5 personnes) sur le site de la verrerie (1926), gamin (1927),
puis voiturier (1928, 1929, 1930). Joseph HUNKELER est père (Léon, verrier, témoin (âgé de 25 ans)
lors du décès de son père). Joseph HUNKELER est témoin lors du mariage à La Vieille Loye de la fille
du verrier Désiré CHETELAT (1927).
Léon HUNKELER, verrier, né le 16 décembre 1906 à Montsevelier (Suisse) (fils de Joseph, né le 13 novembre 1876 à
Roselier (Suisse), décédé le 17 mars 1932 à La Vieille Loye (lui-même fils de Jérôme et de Rosalie
STUFER), et de Mélina FRELECHOZ, décédée avant 1929). Léon HUNKELER, marié le 2 février 1929 à La
Vieille Loye avec Paulette Andrée DEJEUX, née le 13 mars 1908 à La Vieille Loye (fille de Francis et
de Mathilde FAROUX), sans profession. Léon HUNKELER est père à La Vieille Loye (1930 : René André,
marié en 1959 à Dole avec Colette Bernadette MARMET, remarié en 2000 à Écleux avec Martine Mauricette
Fernande MARÉCHAL ; 1932 : Roger Joseph, marié en 1958 à Liesles (Doubs) avec Marie Lucienne Marthe
RICHARDOT ; 1941 : Jean Marcel, décédé en 1942 à La Vieille Loye). Léon HUNKELER est porteur (1924,
1925), cueilleur (1926), grand garçon (1927), cueilleur (1928, 1929, 1930), grand garçon (1931). Léon
HUNKELER est ensuite scieur de long (1941).
Rufin HUNKELER, porteur (1929, 1930, 1931).
André JACQUOT, porteur (1922, 1923, 1924), gamin (1925), cueilleur logé (2 personnes) sur le site de la verrerie
(1926), cueilleur (1927, 1928), grand garçon (1929, 1930).
Armand Auguste Alfred JACQUOT, verrier, né le 1er juin 1890 à Ounans, époux de Marie Louise Lucie dite Aline
AUBERT, née le 19 février 1893 à Villers-les-Bois. Armand Auguste Alfred JACQUOT, gamin (1900, 1903,
1906, 1908, 1909), grand garçon (1910, 1911, 1912, 1913, 1914), est père à La Vieille Loye (1924 :
Suzanne Berthe Louise). Armand Auguste Alfred JACQUOT, grand garçon (1920, 1921, 1922, 1923, 1924,
1925), grand garçon logé (3 personnes) sur le site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928,
1929, 1930).
345
Selon Madame Jacqueline MONNIER, fille du comptable Francis Joseph LALUNE - Propos recueillis en août 2007.
54
Joanny JANNIAUD, verrier, né en 1878 à Blanzy (Saône-et-Loire), époux de Claudine DUBUC, née en 1882 à Montceaules-Mines (Saône-et-Loire). Joanny JANNIAUD est père d’une fille (Jeanne Pauline, née le 22 juin 1902
à Blanzy, mariée le 27 novembre 1926 à La Vieille Loye avec Pierre Auguste César BRISSON, né le 27
avril 1899 à Villeneuve-Renneville- Chevigny (Marne) (fils d’Henri Ernest, cultivateur, et de Jeanne
Isabelle CAPITAINE)). Joanny JANNIAUD est père d’un garçon (Maurice Louis, né le 30 juin 1904 à
Blanzy (Saône-et-Loire), garde républicain en 1928, marié le 10 novembre 1928 à La Vieille Loye avec
Camille Renée Yvonne DUVOIS, couturière, née en 1902 à Montbarrey). Joanny JANNIAUD, souffleur, écrit
de Courcy (Marne), pour une place à la verrerie de La Vieille Loye en proposant aussi son cousin
DEVILLARD, 34 ans, grand garçon (21 août 1911). Il réitère sa demande (10 mai et 4 juillet 1912).
Joanny JANNIAUX est souffleur à La Vieille Loye (1913, 1914). Joanny JANNIAUD est souffleur (1919,
1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928), logé (2 personnes) à l’extérieur de la
verrerie (1926).
Maurice Louis JANNIAUD, né le 30 juin 1904 à Blanzy (Saône-et-Loire) (fils de Joanny JANNIAUD et de Claudine
DUBUC, née en 1882 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire)). Maurice Louis JANNIAUD, garde républicain
en 1928, marié le 10 novembre 1928 à La Vieille Loye avec Camille Renée Yvonne DUVOIS, couturière,
née en 1902 à Montbarrey. Maurice Louis JANNIAUD est porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922),
grand garçon (1924), puis souffleur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Émile JEANNERET, tamiseur (1919).
Henri LABONNE, porteur (1928, 1929, 1930, 1931).
Léonard LABONNE, souffleur (1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930), souffleur logé (4 personnes) sur le
site de la verrerie (1926).
Léon LABONNE, fils de Léonard, porteur (1926, 1927).
François LACROIX, comptable, né le 8 novembre 1867 à Falletans, décédé le 12 décembre 1941 à Dole (Parc de Scey)
(fils de Pierre Louis, commis des bois de la verrerie, et d’Anne LACROIX, née le 25 juin 1839 à
Éclans, décédée le 23 février 1903 à la verrerie à La Vieille Loye (elle-même fille de Pierre,
bûcheron346, et de Françoise LACROIX)). François LACROIX, époux d’Ida Julie Clotilde PETIT, sans
profession, est père à La Vieille Loye (1897 : Marie Lucie Germaine ; Pierre, né le 24 novembre 1901,
décédé le 26 août 1907 à La Vieille Loye). François LACROIX perçoit un salaire mensuel de 150 francs
(1897, 1913). François LACROIX, comptable au salaire mensuel de 350 francs (octobre 1919), 450 francs
(janvier 1920), puis 550 francs347 (septembre 1920), logé (2 personnes) à l’extérieur de la
verrerie (1926).
(*) Le jeune frère de François LACROIX fera un stage d’apprenti ajusteur (1920) à la verrerie des
Islettes (Meuse).
Louis LACROIX, employé, né le 21 septembre 1865 à Falletans, décédé le 31 août 1935 à La Vieille Loye (fils de
Pierre Louis, décédé le 13 avril 1906 à La Vieille Loye, commis des bois de la verrerie, et d’Anne
LACROIX, décédée le 23 février 1903 à La Vieille Loye) Louis LACROIX témoin (âgé de 40 ans) lors du
décès de son père (1906), est logé au village (1913). Louis LACROIX, époux de Thérèse LACROIX, sans
profession, est père (Anne Marie Thérèse, née le 4 février 1899 à La Vieille Loye, mariée le 15
septembre 1923 à La Vieille Loye avec André Jean Baptiste PRUDENT, électricien, né le 15 avril 1899 à
La Vieille Loye (fils de Charles Émile et de Julie DEJEUX) ; Louis André Roger, né le 21 décembre
1900, décédé le 19 janvier 1913 à La Vieille Loye). Louis LACROIX, employé mensualisé à 300 francs
par mois (octobre 1919), puis 350 francs (janvier 1920), commis des bois (1923), charron (1934).
Francis Joseph LALUNE, comptable, né le 24 septembre 1891 à La Vieille Loye (petit-fils de Claude François
DUVOIS, époux de Jeanne Françoise ROY, née le 1er septembre 1841 à La Vieille Loye, décédée le 28
avril 1921 à La Vieille Loye (elle-même fille de Jean et de Marguerite CHEVRIAUX)). Francis Joseph
LALUNE marié à Isabelle Valentine DUTREUX née le 16 octobre 1899 à Troye (Aube)). Francis Joseph
LALUNE perçoit 260 francs par mois (octobre 1919), puis 350 francs (janvier 1920), logé (2 personnes)
à l’extérieur de la verrerie (1926). Francis Joseph LALUNE est père à La Vieille Loye (Jacqueline
marie Thérèse, née le 30 juillet 1924, mariée le 4 octobre 1947 avec Robert Léopold GAINIER, dont
elle divorce le 1er juin 1949, remariée le 3 septembre 1953 avec Jacques Albert MONNIER). Après la
cessation d’activité du site verrier de la Vieille Loye, Francis Joseph LALUNE travaille ensuite à la
verrerie des Islettes348.
Joseph LALUNE, gazier (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), manœuvre (1928, 1929, 1930).
Marius LALUNE, né le 8 janvier 1898, porteur (1910, 1911, 1912), gamin (1913, 1914), manœuvre (1921), mécanicien
(1922, 1923), chauffeur à la machine (1922), mécanicien (1928, 1929, 1930).
LANGATTE, gamin (1919).
André LAPORTE, porteur (1923).
Berthe Abel LAPORTE, né le 6 mai 1879 à La Vieille Loye, époux d’Antoinette RICHARD, née le 4 février 1883 à
Carmaux (Tarn), cuisinière. Berthe Abel LAPORTE est père à La Vieille Loye (1926 : Flavie Marie
Berthe). Berthe Abel LAPORTE, grand garçon (1908, 1919, 1920, 1921), percevant 320,10 francs (2ème
quinzaine, septembre 1919), souffleur (1922, 1923, 1924, 1925), souffleur logé (3 personnes) sur le
site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Maurice LAPORTE, né le 3 novembre 1876 à la Vieille Loye (fils de Jean Baptiste le Jeune, décédé avant 1927, et
d’Eugénie SAURIAT, décédée avant 1927), marié le 23 février 1927 à La Vieille Loye avec Joséphine
GUYOT, sans profession, née le 26 juillet 1886 à La Vieille Loye (fille de Nicolas Joseph,
cultivateur, et de Marie LAPORTE). Maurice LAPORTE, voiturier (1919), chef de culture (1926), logé
sur le site de la verrerie (1926).
Paul LAPORTE, verrier, témoin (âgé de 35 ans) lors du mariage (1907) de sa cousine Marie LAPORTE avec le verrier
Jospeh Eugène BRUET à La Vieille Loye. Paul LAPORTE, grand garçon (1900, 1901), souffleur (1903,
1904, 1905, 1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913). Paul
346
347
1 franc de 1920 = 0,8339 Euros (2005) - in Revue Le Particulier - 03/2006 - n° 999 - page 89 (rappel 1 Euro = 6,55957 francs).
348
Selon Madame Jacqueline MONNIER, fille du comptable Francis Joseph LALUNE - Propos recueillis en août 2007.
55
LAPORTE, grand garçon (1901), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923), remplaçant (1925), puis
manœuvre (1928, 1929, 1930).
Robert LAPORTE, porteur (1922, 1924, 1925), cueilleur logé sur le site de la verrerie (1926), grand garçon
(1927), cueilleur (1928, 1929, 1930, 1931).
Pierre LATRACE, porteur (1922, 1923).
Pierre LEMAIRE, fait transporter son mobilier, soit 5 voitures (mai 1919).
Charles LEQUIN, né le 2 septembre 1907 à Épinac-les-Mines (Saône-et-Loire), titulaire du livret d’apprenti n° 152
ouvert le 22 février 1922, porteur.
Pierre LIÉVAL, né le 20 novembre 1909 à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 153 ouvert le 27 novembre 1922,
porteur (1923).
Georges LOYE, manœuvre (1920).
Fernand LUNEAU, grand garçon (1923).
Kléber LUNEAU, grand garçon (1923).
Élie MAGNAN, grand garçon (1919), écrit de Trélon (Nord) pour un emploi de grand garçon (février 1920).
Joseph Louis MAILLET, né le 16 mai 1895, cueilleur (1919).
Charles MAIZIER, maneuvre (1920, 1921, 1922, 1923).
Veuve Alice MAIZIER, journalière, née en 1885 à La Vieille Loye, 2 filles (Camille, née en 1920 à La Vieille
Loye ; Anne Marie, née en 1922 à Montbarrey), chargeuse de bois (1928, 1929, 1930), encore citée sur
le site de la verrerie (1936).
Émile Charles MARTIN, né le 6 février 1901 à Saint-Léger-des Vignes (Nièvre) (fils de Joseph Antoine et d’Eugénie
LARLUS), titulaire du livret d’apprenti ouvert le 2 mai 1914 comme porteur de bouteilles, porteur
(1919), gamin (1919).
Joseph MARTIN, écrit de Reims (Marne) pour solliciter un emploi (25 avril et 27 mai 1906). Joseph MARTIN,
cité dans un dossier d’accident du travail (1911), est souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912,
1914), logé au village (1913), souffleur (1919).
René MARTIN, porteur (1919).
Émile MERCET, fils de Jules, videur (1919, 1921, 1922, 1923), porteur (1927, 1928), manœuvre (1929, 1930).
Jean MERCET, fils de Jules, porteur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Jules MERCET, porteur logé (4 personnes) sur le site de la verrerie (1926), porteur (1927).
Henri MICHEL, sablier à Belmont (1919).
Veuve MIGNOT, manœuvre (1919).
Fédor MITCHENKO, ouvrier (1926), logé sur le site de la verrerie (1926).
Jean MILLION, né le 24 mai 1889 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), marié à Jeanne BARD (née le 29 mars 1889 à
Blanzy (Saône-et-Loire)). Jean MILLION est grand garçon à la verrerie de La Vieille Loye (1913,
1914), puis souffleur dans la 2ème équipe à la place dite n° 4, percevant 190,80 francs pour la
première quinzaine du mois de septembre 1919. Jean MILLION est père à La Vieille Loye (1920 :
Paulette Marie ; 1921 : Marcel Michel, décédé en 1945 à Buchenwald (Allemagne) ; 1924 : Marie ;
1927 : Jean Auguste Marie, marié en 1852 à Lyon (Rhône) avec Suzanne lucienne MARTIN-DUFAYET). Jean
MILLION, souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930, 1931),
souffleur logé (5 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
François MOINE, verrier, marié le 25 novembre 1879 à La Vieille Loye avec Alodie Constance BOISTON, sans
profession, née à la verrerie de Progens, canton de Fribourg (Suisse), fille naturelle de Célestine
Élise, âgée de 45 ans, domiciliée à la verrerie de Progens (Suisse). François MOINE est père à La
Vieille Loye (Urbain Armand, né le 10 décembre 1895, marié le 5 mai 1920 à Dijon avec Reine LEQUIN,
décédé le 5 mars 1969 à Vichy (Allier) ; 1903 : Georgette Élise). François MOINE est présent lors du
mariage de sa fille (Angèle Aloldie, née le 8 avril 1884 à La Vieille Loye, mariée le 24 avril 1909 à
La Vieille Loye avec Louis Auguste TOURIET sous officier à Auxonne). François MOINE, grand garçon
(1900), gamin (1906, 1907, 1908, 1909, 1910, 1911), puis manœuvre (1913), est cité dans un dossier
d’accident du travail (1915). François MOINE, manœuvre (1921, 1922).
Georgette MOINE, manœuvre (1920).
Joseph MOINE, originaire de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), souffleur (1913, 1914, 1919, 1920).
Urbain Armand MOINE, verrier, né le 10 décembre 1895 à La Vieille Loye (fils de François, verrier, et d’Alodie
Constance BOISTON), marié le 5 mai 1920 à Dijon avec Reine LEQUIN, née le 27 mai 1900 à Dijon (Côted’Or). Urbain Armand MOINE titulaire du livret d’apprenti n° 90 ouvert le 10 décembre 1908, porteur
(1909), gamin (1910, 1911, 1912), grand garçon logé au village (1913), grand garçon (1914). Urbain
Armand MOINE décédé le 5 mars 1969 à Vichy (Allier). Urbain Armand MOINE est père à La Vieille Loye
(1923 : Madeleine Reine Alodie). Urbain Armand MOINE est grand garçon (1920, 1921, 1922, 1923, 1924,
1925).
André MONOT , né le 18 mai 1910 à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 172 ouvert le 19 décembre 1924, porteur
(1925), porteur logé sur le site de la verrerie (1926), porteur (1927).
Joseph MORETTE, grand garçon, écrit de Montluçon (Allier) (26 avril 1912). Joseph MORETTE, grand garçon logé
au village (1914). Joseph MORETTE, originaire de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), grand garçon (1919,
1920).
Louis MOURLEVAT, porteur (1923, 1927).
Georges Constant Joseph NICOT, né le 29 août 1906 à Chissey, titulaire du livret d’apprenti n° 146 ouvert le 20
janvier 1920, porteur (1921).
Eugène NICOT (NICOD), chauffeur machine (1914), chauffeur machine (1919, 1921), époux de Marie DHYVERS, est père
(Jeanne Blanche Zélie, née le 13 septembre 1901 à Chissey, mariée le 18 octobbre 1920 à La Vieille
Loye avec le verrier Marius Émilien GALLIBOUR (né le 21 septembre 1897 à Santans, fils de Charles
Alphonse Alexandre et de Lucie Émilie JANET).
Pierre Louis Férréol NICOT, né le 6 décembre 1897 à Chissey, titulaire du livret d’apprenti n° 117 ouvert le 26
août 1912, porteur de bouteilles (1913), chauffeur (1920).
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François Émile NORMAND, verrier, né le 28 août 1876 à Carmaux (Tarn) (fils d’Émile Louis, verrier à La Vieille
Loye, et de Marie GUENON ou GUENO), marié le 10 septembre 1904 à Étrepigney349 avec Claire Marie Louise
COURTOUX, bûcheronne demeurant à Cinq Cens, née le 16 janvier 1885 à Our (fille de Pierre Joseph,
bûcheron350 âgé de 51 ans, et de Barbe Françoise Célestine DUBUC, décédée le 31 mars 1887 à Our).
(Georges Paul François, né le 7 juillet 1908, décédé le 27 avril 1982 à Montbéliard, marié le 27
décembre 1930 à Montbéliard (Doubs) avec Blanche Madeleine BEURTHERET ; 1910 : Olga Marie Louise ;
Louis Robert, né le 6 septembre 1912, marié le 18 octobre 1947 à Bavans (Doubs) avec Pierrette Edmond
FAIVRE, décédé le 31 mai 1962 à Colmar). François Émile NORMAND est encore père à La Vieille Loye
(1921 : Léa Marie Pauline ; 1924 : Roger Paul, marié en 1950 à Vandoncourt (Doubs) avec Jeanne Maria
AMIA). François Émile NORMAND est grand garçon (1900, 1906, 1908, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914),
souffleur (1904, 1907, 1909), grand garçon (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), logé (6
personnes) sur le site de la verrerie (1926). François Émile NORMAND, veuf, décédé le 28 août 1933 à
La Vieille Loye (son fils Georges Paul François est témoin du décès).
Louis NORMAND, porteur (1926, 1927), cueilleur (1928, 1929, 1930, 1931).
Paul NORMAND, né le 7 juillet 1908 à La Vieille Loye, ayant obtenu le certificat d’études primaires, titulaire du
livret d’apprenti n° 149 ouvert le 21 juin 1921, porteur (1923).
Joseph NOVIÉ, né en 1853 à Auxelle-Bas (Territoire-de-Belfort), garçon d’écurie âgé de 60 ans (1919).
Faustin OUTREY, sablier à Belmont (1913, 1919).
Élie PACTET, porteur (1907), monteur de sable (1908, 1909, 1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident du
travail (1911), employé comme maçon durant les arrêts annuels du four (1911, 1912, 1913), fondeur
(1913, 1914, 1919), souffleur (1920), fondeur (1921), maçon (1923, 1926), logé (4 personnes) sur le
Auguste PAGE, porteur (1923).
Pierre PAGE, manœuvre (1923).
Alfred Auguste PALYS, verrier, né le 17 juillet 1898 à Chissey (fils d’Alfred Auguste et Éléonore BROUTET), époux
de Gabrielle LETROUBLON, née le 30 juillet 1904 à Saint-Aubin, sans profession, décédée le 17 janvier
1925 à La Vieille Loye (fille d’Auguste et de Louise MILLOUX). Alfred Auguste PALYS est titulaire du
livret d’apprenti n° 107 ouvert le 20 septembre 1911, cueilleur (1920, 1921, 1923, 1924, 1925).
Alfred PALYS, manœuvre (1919).
André PALYS, manœuvre (1921), porteur (1919, 1923, 1931).
Charles Jules Marcelin PALYS, verrier, né le 21 janvier 1895 à Chissey (fils de Léon, ouvrier d’usine, et
d’Éléonore Joséphine BROUTET), marié le 28 janvier 1921 à la Vieille Loye avec Félicie Augustine
CHOIX, née le 21 février 1899 à La Vieille Loye (fille d’Auguste, décédé avant 1921, et de Jeanne
Marie Françoise ROSE). Charles Jules Marcelin PALYS, gamin (1919), grand garçon (1919, 1920, 1921,
1922, 1923, 1924, 1925), grand garçon logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926), grand
garçon (1927, 1928, 1929, 1930).
Léon PALYS, cité dans un dossier d’accident du travail (1912), aide gazier (1913, 1914), maçon (1915). Léon
PALYS, aide gazier (1919), gazier (1919, 1920, 1921).
Maurice PALYS, porteur (1919, 1920, 1921, 1922).
Veuve PALYS, manœuvre (1919, 1921, 1922).
Camille PARROT, domestique (1919, 1921).
Veuve PARROD, manœuvre (1919). (*) Il s’agit vraisemblablement de l’une des belles filles de Joseph PARROD, garde
forestier, né le 13 juillet 1849 à Le Muy (Jura), décédé le 14 mars 1907 à La Vieille Loye (fils de
Marie Alexis Auguste, garde forestier, et de Rosalie PROPONNET) et de Marie Clarisse BELLE, sans
profession, décédée le 5 octobre 1909 à La Vieille Loye).
Émile PERROT, né le 6 juin 1905 à Dole, titulaire du livret d’apprenti n° 155 ouvert le 22 janvier 1923, manœuvre
(1923), porteur, chauffeur rondelles (1925).
Joseph PERROD, journalier (1926), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Arthur PETIGNY, vacher (1920, 1921, 1922, 1923).
Fernand PETIGNY, manœuvre (1921).
Joseph Aristide PETIGNY, verrier, né le 27 avril 1903 à La Vieille Loye (fils de Lucien Arthur, journalier, et de
Monique Marie VAUTROT), marié le 8 novembre 1930 à La Vieille Loye avec Jeanne Andrée ANTHONIOZ,
couturière, née le 8 août 1911 à La Vieille Loye (fille de Louis Arsène, ouvrier d’usine, et de
Léonne LAMY). Joseph Aristide PETIGNY, porteur (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923), grand
garçon (1924), gamin (1925), grand garçon (1927, 1928, 1929, 1930).
Fernand PETIGNY, né le 2 novembre 1899, porteur (1913, 1914, 1919, 1922, 1927), porteur d’eau (1928), gazier
(1928).
Georges PETIGNY, cueilleur (1923, 1924).
Modeste Lucien PETIGNY, né le 1er juin 1897, porteur (1910, 1911, 1912), cité dans un dossier d’accident du
travail (1912), gamin (1913, 1914, 1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), grand
garçon logé sur le site de la verrerie (1926, 1927), videur (1928, 1929, 1930).
Marius PETIGNY, porteur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1925), cueilleur logé sur le site de la verrerie (1926),
grand garçon (1927), cueilleur (1928, 1929).
Marcel PETIT, porteur (1927).
Marcel PIERRON, porteur (1931).
Louis PILLET, verrier, né le 5 octobre 1884 à Saint-Didier-sur-Arnoux (Saône-et-Loire). Louis PILLET, époux
de Jeanne BERNARD, née le 9 septembre 1891 à Blanzy (Saône-et-Loire (fille de Gabriel, décédé avant
1931, et de Marie Louise JOURDIEU, née le 26 février 1866 à Blanzy, décédée le 9 février 1931 à La
Vieille Loye (elle-même fille de Jean Marie et de Jeanne CHARMEAUX)). Louis PILLET, sollicite un
emploi depuis Blanzy-les-Mines (décembre 1919). Louis PILLET est père à La Vieille Loye (1922 :
Suzanne). Louis PILLET est souffleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1927, 1928, 1929, 1930,
1931), souffleur logé (5 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
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Auguste
POURCHERESSE, né en 1873 à Germigney, marié à Mélanie (née en 1874 à Montpont, Saône-et-Loire),
domestique jardinier (1921).
Joseph Julien PRUDENT, né le 28 juin 1897 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 98 ouvert le 29
septembre 1910, cueilleur (1921), grand garçon (1922).
Marcel PRUDENT, voiturier (1921, 1922, 1923), remplaçant (1925), chargeur de bois (1928, 1929, 1930).
Gustave PULJET, manœuvre (1920, 1921, 1923), fondeur (1925).
Edmond RICHARD, verrier (fils d’Antoine, verrier, né le 16 mars 1852 à Rive-de-Gier (Loire), décédé le 29 juin
1904 à La Vieille Loye, et de Marie Philomène CHALGAT), âgé de 23 ans lors du décès de son père
(1904), souffleur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913), est cité dans
un dossier d’accident du travail (1911). Edmond RICHARD, souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923,
1924, 1925), logé sur le site de la verrerie (1926), souffleur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931). Edmond
RICHARD est témoin lors du mariage du verrier Marius DYONNET à La Vieille Loye (1924).
Henri ROBERT, manœuvre (1921), porteur (1923), magasinier (1928).
Marceau Jules ROBERT, verrier, né le 10 mars 1904 à La Neuvillette (Marne), époux d’Yvonne Isabelle Marie BREDIN,
née le 17 mars 1910 à Santans, sans profession. Marceau Jules ROBERT est père à La Vieille Loye
(1931 : Raymond Claude, marié en 1955 à Auxanges avec Élisabeth Germaine Marie DUPREZ).
Marceau
Jules ROBERT est porteur (1920, 1921, 1923), gamin (1922, 1923, 1925), grand garçon logé à
l’extérieur de la verrerie (1926), cueilleur (1923, 1924), grand garçon (1925), puis souffleur (1927,
1928, 1929, 1930, 1931).
Émile ROLLIN, manœuvre (1928, 1929, 1930).
Joseph ROSE, verrier, né le 21 septembre 1858 à La Vieille Loye (fils de Pierre, sabotier, et de Marguerite
CHEMITRE), se marie le 14 juin 1884 à La Vieille Loye avec Florentine THIBERT, née le 14 mai 1863 à
La Vieille Loye (fille de Michel, fabricant de creusets de verrerie351, décédé le 19 décembre 1883 à La
Vieille Loye, et d’Émilie PERRET). Joseph ROSE est souffleur (1900), gamin (1919), manœuvre (1919,
1921, 1922), porteur (1922, 1923), chauffeur rondelles (1925), journalier (1926), manœuvre (1928,
1929, 1930), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
Adrien ROUSSEY, manœuvre (1921, 1923).
Georges ROUSSEY, né le 20 août 1907 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 151 ouvert le 6
septembre 1920, porteur (1921, 1922, 1923, 1924), gamin (1925), cueilleur logé sur le site de la
verrerie (1926), grand garçon (1927).
Joseph ROUSSEY, arrangeur (1911, 1912, 1913), arrangeur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Charles ROY, verrier, né le 14 janvier 1852 à La Vieille Loye (fils de François ROY, décédé le 25 octobre 1862 à
La Vieille Loye, et de Jeanne JACQUOT, décédée le 15 mars 1877 à La Vieille Loye), marié le 7 février
1880 à La Vieille Loye avec Marie Célina ROSE, née le 16 février 1856 à La Vieille Loye (fille de
Pierre, sabotier, et de Marguerite CHEMITRE, ménagère). Charles ROY est père à La Vieille Loye
(1880 : Marie Francine ; 1882 : Mathilde, née rue des Cliats-Cliats ; 1888 : Pierre Louis). Charles
ROY, manœuvre (1919).
René SAILLART, forgeron (1919).
Victorin SCHILTE, logé sur le site de la verrerie (1926).
Hermand SERGENT, porteur (1928, 1929, 1930, 1931).
Louis SERGENT, manœuvre (1929), porteur (1929, 1930, 1931).
Marcel SERGENT, porteur (1928).
Émile SERNIN, souffleur (1923).
Georges SERNIN, porteur (1923).
Marcel SERNIN, cueilleur (1923).
Anna SIMON, manœuvre (1928, 1929, 1930), née en 1896 à Belmont, épouse de Marcel SIMON, né en 1900 à Belmont.
Jean Baptiste SIMON, verrier, né le 20 novembre 1860 à La Vieille Loye, décédé le 25 octobre 1924 à la Vieille
Loye (fils de Jean Pierre et de Jeanne LAPIERRE), époux de Sophie MARLIN (fille de Jean François, né
à Vriange, décédé le 20 avril 1906 à La Vieille Loye (lui-même fils de Pierre et de Jeanne VERNIER),
époux de Jeanne Antoine POISOT). Jean Baptiste SIMON est père (âgé de 24 ans) à La Vieille Loye
(1885 : Edmond ; Louis Joseph, né le 11 septembre 1890, marié le 21 février 1914 à Orléans avec
Camille Charlotte GRIVOT). Jean Baptiste SIMON, témoin (âgé de 37 ans, puis 40 ans) lors de décès à
La Vieille Loye (1897 et 1901). Jean Baptiste SIMON, souffleur (1906, 1911, 1912, 1913, 1914),
employé au salaire de 260 francs par mois (octobre 1919), puis 360 francs (janvier 1920), est ensuite
contremaître à la verrerie, lors de son décès (1924).
Marcel SIMON, journalier, né en 1900 à Belmont, époux d’Anna, née en 1896 à Belmont, cultivateur (1926), logé (2
personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926), vacher (1928, 1929, 1930, 1931), encore cité sur le
Joseph SIMONOT, magasinier (1911, 1912, 1913, 1919, 1921, 1922, 1923, 1926), logé (2 personnes) sur le site de la
verrerie (1926), magasinier (1928, 1929, 1930).
Olivier SIMONOT, né le 9 mai 1907 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 148 ouvert le 16 mars
1920, porteur (1921, 1922).
Edmond SINTOT, gamin (1903, 1904, 1906, 1908, 1909, 1911, 1912, 1914), grand garçon (1910), logé au village
(1913). Edmond SINTOT, gamin (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), videur (1928,
1929, 1930).
TENFIN, manœuvre (1919).
Arnault THEUREAU, verrier, époux de Claudine PIGNAUD, sans profession, est père (Gabrielle, née le 27 mars 1903 à
Blanzy (Saône-et-Loire), mariée le 29 juillet 1922 à La Vieille Loye avec Marius LALUNE, ajusteur, né
le 8 janvier 1898 à La Vieille Loye (fils de Joseph, journalier, et de Victorine DUVOIS)).
Jean Baptiste THEUREAU, verrier, né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), décédée le 8 octobre 1928 à
Lons-le-Saunier, avec transcription à La Vieille Loye (fils de Léonard et de Pauline MAIRE). Jean
Baptiste THEUREAU époux de Marie CHARLOT, sans profession, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saôneet-Loire), décédée le 5 janvier 1929 à Dole, avec transcription à La Vieille Loye (fille de Dominique
et de Lazarette BRUGNOT). Jean Baptiste THEUREAU est père (Lazare, verrier, né le 22 juin 1877 à
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Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire), décédé le 13 février 1942 à La Vieille Loye, époux de Charlotte
THILLIER ; Louis, verrier ; Marguerite, femme de chambre, née le 11 septembre 1887 à Blanzy (Saôneet-Loire), mariée le 15 novembre 1919 à La Vieille Loye avec le verrier Joseph Émile BRUET). Jean
Baptiste THEUREAU est grand garçon (1911, 1912, 1913, 1914), logé au village (1913, 1914), cueilleur
(1919), manœuvre (1921, 1922, 1923), porteur (1922), manœuvre (1926), logé (2 personnes) sur le site
de la verrerie (1926).
Jeanne Gabrielle THEUREAU, née en 1903 à Blanzy (Saône-et-Loire), femme de chambre (1921).
Lazare THEUREAU, verrier, né le 22 juin 1877 à Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire), décédé le 13 février 1942 à La
Vieille Loye (fils de Jean Baptiste, verrier né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), et de
Marie CHARLOT, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saône-et-Loire)). Lazare THEUREAU, époux de
Charlotte THILLIER, sans profession (âgée de 41 ans en 1919), est père (Jean Émile Lucien, né le 1er
juin 1901 à Blanzy (Saône-et-Loire), décédé le 2 janvier 1919 à La Vieille Loye. Lazare THEUREAU,
souffleur, écrit de La Neuvillette (Marne) (6 et 19 février 1911). Renouvelant son contrat sur
place, il propose (20 juin 1911), à sa place, son frère Louis THEUREAU, verrier à la verrerie de
Blanzy en instance de fermeture. Lazare THEUREAU redemandant un emploi (21 juin et 20 août 1912) et
l’obtenant, demande (31 août 1912) que son mobilier soit réceptionné à la gare d’arrivée. Lazare
THEUREAU est souffleur (1913, 1914), logé au village (1913), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923,
1924, 1925, 1927), logé (2 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Louis THEUREAU (fils de Jean Baptiste, verrier né le 30 décembre 1858 à Chagny (Saône-et-Loire), et de Marie
CHARLOT, née le 13 juillet 1859 à Igornay (Saône-et-Loire)), Louis TERREAU, époux de Reine CANDIARD,
est père (âgé de 32 ans) à La Vieille Loye (1891 : Jeanne). Louis THEUREAU, souffleur, son frère
Lazare, grand garçon, et son père Jean Baptiste THEUREAU, 52 ans, ancien souffleur, écrivent de
Blanzy (Saône-et-Loire) (22 juin et 26 juillet 1911). Sa sœur, 22 ans, travaillait aux magasins de la
verrerie de Blanzy. Louis THEUREAU joue les chasseurs de têtes pour La Vieille Loye (28 juillet
1912). Louis THEUREAU est souffleur (1911, 1912, 1914), logé au village (1913). Louis THEUREAU est
témoin lors du mariage de sa sœur Marguerite à La Vieille Loye avec le verrier Joseph Émile BRUET
(1919), souffleur (1919, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1926), grand garçon (1925).
Marcel THEUREAU, né le 31 janvier 1906, titulaire du livret d’apprenti n° 133 ouvert le 12 août 1919, porteur,
cueilleur (1920, 1921, 1922).
Auguste THIBERT, grand garçon (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925), souffleur logé (2 personnes) sur le site de
la verrerie (1926), souffleur (1927), grand garçon (1928, 1929, 1930).
Félix TISSOT, manœuvre (1921, 1922, 1923).
TIVOILLON, grand garçon (1922).
Jean TOIROT, gamin (1919), cueilleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925).
Jean Paul TOIROT, né le 25 mars 1903 à La Vieille Loye, titulaire du livret d’apprenti n° 139 ouvert le 12 août
1919, porteur.
Joseph TOIROT, verrier, témoin (âgé de 37 ans) lors d’un décès à La Vieille Loye (1901), est monteur de train
(1913). Joseph TOIROT, gamin (1919), emballeur (1919), porteur d’eau (1919), monteur de train (1922,
1923), manœuvre (1928, 1929, 1930).
Joseph TOUROT, manœuvre (1921), journalier (1926), logé (2 personnes) sur le site de la verrerie (1926).
André TROSSAT, manœuvre (1919), mécanicien (1919, 1921).
Antoine VACHEY (VACHER), souffleur (1923, 1924, 1925), logé à l’extérieur de la verrerie (1926).
André VACHERET, porteur (1924, 1925, 1926), cueilleur (1927, 1928, 1929, 1930, 1931).
Auguste VAUTROT, manœuvre (1921, 1922, 1923).
Auguste Joseph VAUTROT, verrier, né le 29 septembre 1883 à La Vieille Loye (fils de François, décédé avant 1923,
et de Jeanne Marguerite MOINE), titulaire du livret d’apprenti n° 28 ouvert le 1er octobre 1896.
Auguste Joseph VAUTROT époux en 1ère noces de Marie Eugénie DEMMEL, née en 1889 à Thiaville (Meurtheet-Moselle), décédée le 9 février 1923 à La Vieille Loye. Auguste Joseph VAUTROT, veuf, remarié le 26
septembre 1923 avec Angèle Adèle ROLLIER, née le 16 mars 1905 à La Vieille Loye (fille de Léon Jules,
cultivateur à La Vieille Loye, et de Louise Angèle RÉMY, décédée avant 1923). Auguste Joseph VAUTROT,
titulaire du livret d’apprenti n° 28 ouvert le 1er octobre 1896, grand garçon (1900, 1904, 1907), Il
est grand garçon chez GIVELET et Cie de la verrerie de Courcy (Marne) (mars 1908). Auguste Joseph
VAUTROT, de nouveau employé à La Vieille Loye comme souffleur relais (1908, 1909), grand garçon
(1909), souffleur (1910), grand garçon (1911, 1912, 1913, 1914), fondeur (avril 1919), grand garçon
(1911, 1919, 1920, 1921, 1922), souffleur (1924).
Eugénie, femme VAUTROT, épouse d’Auguste Joseph VAUTROT né le 29 septembre 1883 à La Vieille Loye, est manœuvre
(avril 1919, 1921, 1922, 1923).
Modeste VAUTROT, né le 28 avril 1877 à La Vieille Loye, décédé le 4 juin 1926 à La Vieille Loye (fils de François
(lui-même fils d’Henri et d’Anne LOMBERGET) et de Jeanne Marie MOINE, décédée le 18 février 1877 à La
Vieille Loye). Modeste VAUTROT marié le 19 mai 1892 à La Vieille Loye avec Cécile Marie Judith DUBUC,
couturière, née le 1er mai 1866 à La Vieille Loye (fille de Claude François, bûcheron, et de Françoise
GUYOT, née le 15 novembre 1830 à La Vieille Loye, décédée le 30 juillet 1875 à La Vieille Loye,
mariés le 26 octobre 1852 à La Vieille Loye). Modeste VAUTROT est père à La Vieille Loye (1892 :
Adrienne, mère à La Vieille Loye (1903 : Yvonne Modeste, mariée (1931) à La Vieille Loye avec Michel
René BOUILLOT)). Modeste VAUTROT, cité dans un dossier d’accident du travail (1905), maître souffleur
(1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913, 1914), puis employé au salaire de 320 francs par mois (octobre
1919), 450 francs (janvier 1920), puis 600 francs (septembre 1920), contremaître (1921, 1926).
Alfred VENNE, porteur (1931).
Gustave VENNE, manœuvre (1929, 1930).
Henri VENNE, manœuvre (1929, 1930).
Jules VENNE, monteur de train (1929), manœuvre (1930).
Jules André Maurice VENNE, chauffeur, né le 28 mars 1908 à Rahon, marié le 12 septembre 1931 à La Vieille Loye
avec Fernande Fiora Berthe VERLY, née le 30 septembre 1914 à Reims (Marne) (fille d’Anathoile
Gustave, contremaître verrier à Reims (Marne) en 1931, et d’Angèle Henriette FERREAUX, sans
profession)). Jules André Maurice VENNE est père de 2 filles (Léonie, née en 1932 à La Vieille Loye ;
Josette, née en 1935 à Pontarlier (Doubs)). André VENNE, manœuvre (1930, 1931), est encore cité sur
le site de la verrerie (1936).
59
Lucie VENNE, manœuvre (1929, 1930).
Marcel VENNE, porteur (1929), manœuvre (1930).
Auguste VERCEZ, gamin (1900), porteur (1903, 1904), gamin (1906), chauffeur (1908, 1909, 1910, 1911, 1912, 1913),
ramoneur (1913), est cité dans un dossier d’accident du travail (1905). Auguste VERCEY, ramoneur
(1919), chauffeur (1919, 1921), manœuvre (1923), remplaçant (1925), logé sur le site de la verrerie
(1926).
Anatoile Gustave VERLY, contremaître verrier à Reims (Marne) lors du mariage de sa fille (1931) à La Vieille Loye
(Fernande Fiora Berthe, née le 30 septembre 1914 à Reims (Marne), mariée le 12 septembre 1931 à La
Vieille Loye avec Jules André Maurice VENNE, chauffeur de la verrerie, né le 28 mars 1908 à Rahon).
Alexandre VUILLAMY, porteur d’eau (1919, 1920, 1921), manœuvre (1923), porteur d’eau (1925), manœuvre (1926),
logé sur le site de la verrerie (1926), gazier (1927), gazier remplacé par Fernand PETIGNY (janvier
1928), porteur d’eau (1928), puis manœuvre (1928, 1929, 1930).
Louis VUILLIN, manœuvre (1913), aide fondeur (1919), monteur train âgé de 60 ans (1919).
Henri WAGNER, souffleur (1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1926, 1927, 1928, 1929, 1930).
Jules Isaïe WAGNER, verrier, né le 10/05/1882 à Cuffies (Aisne), époux de Berthe Louise ROBERT (née le 28 juillet
1885 à Saint-Gobain, Aisne). Jules Isaïe WAGNER est père d’une fille (Fernande Emilienne, née le 6
juin 1906 à La Neuvillette (Marne), mariée le 3 juillet 1926 à La Vieille Loye avec Joseph Auguste
DUBUC, bûcheron puis verrier, né le 11 novembre 1902 à La Vieille Loye (fils d’Hippolyte Luc,
contremaître de verreries, et de Marie Louise BARBIER)). Jules Isaïe WAGNER est père d’un fils
(André, né en 1915 à Romans (Isère)). Jules Isaïe WAGNER est souffleur (avril 1920, 1927, 1928), logé
(4 personnes) à l’extérieur de la verrerie (1926).
Candidatures durant la gestion de la famille du GRANRUT
Étienne BERTHET, de Trélon (Nord) (8 janvier 1921).
Lucien BERTRAND, d’Ounans, comme forgeron (décembre 1919).
Antoine BONNEAU, de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), souffleur, et son fils porteur (janvier 1920).
Philosa CHAMBARD, de Saint-Hilaire-Saint-Florent (Maine-et-Loire) (8 janvier 1921).
Augustin DEBERT, de Rive-de-Gier (Allier) (janvier 1920).
François DESCLODURE, de la verrerie de Decize (Nièvre), grand garçon (novembre 1919).
Joseph HEITZ, de la verrerie Aupècle à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), grand garçon (décembre 1919).
Michel HEITZ, de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), souffleur (décembre 1919).
Charles RENARD, de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), souffleur (décembre 1919).
60

ANNEXE : QUELQUES SALARIÉS D`AUTRES VERRERIES

Transcription

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