Architectures de papier_dossier médiation OK.11.04

EXPOSITION-ATELIER
DOSSIER DE MEDIATION
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SOMMAIRE
AVANT PROPOS
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VISITE-ATELIER
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> Présentation
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> Visite
4
> Atelier
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> « Villes suspendues », l’atelier des 8-12 ans
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RENSEIGNEMENTS
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L’exposition-atelier « Architectures de papier » a été conçue et produite par
la Direction des publics de la Cité de l'architecture & du patrimoine. Elle
est présentée au premier étage du château de la Roche Jagu du 8 mai au 5
octobre 2014.
Ingrid Siliakus, Mathilde Nivet, Stephanie Beck, Béatrice Coron et Maud
Vantours sont invitées pour mettre à l’honneur l’art du papier.
Ces artistes partagent le choix du matériau, la thématique de l’architecture et la
poésie des histoires qu’elles racontent. Chacune d’elles s’illustre par une
technique particulière dans l’art de découper et de plier le papier. Leurs
constructions réelles ou fictives révèlent la puissance de l’architecture comme
source d’inspiration de la création contemporaine.
L’exposition plonge le visiteur dans ce monde de papier et l’invite au voyage à
travers les architectures origamiques d’Ingrid Siliakus, les villes de dentelles de
Béatrice Coron, les édifices délicats de Stephanie Beck, les façades urbaines de
Mathilde Nivet et les graphismes oniriques de Maud Vantours.
L’exposition-atelier intitulée « Architectures de papier » propose ainsi au jeune
public un voyage à travers des reproductions de bâtiments emblématiques et la
découverte de villes imaginaires.
Cette exposition est complétée par des créations d’œuvres inspirées par le
domaine de la Roche Jagu.
A la fin de la visite, les enfants s’installent dans la partie « atelier » de
l'exposition "Architectures de papier" autour de tables afin de créer seul ou à
plusieurs une suspension en papier.
Encadrés par des médiateurs, les enfants sont sensibilisés à l’art du pli et de la
découpe. Ils créent ainsi une architecture originale, un objet de design, porteurs
d’une petite histoire où ciseaux et papier, dextérité et doigté sont les personnages
principaux…
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LA VISITE-ATELIER
« ARCHITECTURES DE PAPIER »
PRESENTATION
Délicat, aérien et pourtant si solide, le papier est un matériau noble pour nombre d’artistes à
travers le monde. Magiciennes du papier, Ingrid Siliakus, Béatrice Coron, Stephanie Beck,
Mathilde Nivet et Maud Vantours nous entraînent dans des rêves éveillés. Leurs œuvres
découpées, pliées et sculptées sont peuplées de bâtiments insolites. Habillées de lumière, ces
petites architectures prennent vie et nous racontent des histoires extraordinaires.
Objectifs de la visite-atelier:
> Aborder l’architecture par le biais d’œuvres réalisées par des artistes contemporaines
proposant un regard personnel et sensible sur la ville et ses bâtiments.
> Observer et comprendre la multiplicité des techniques de création dans l’art du
papier.
> Appréhender l’art du papier par l’expérimentation de techniques simples reprenant
les gestes de base que sont le découpage et le pliage.
> Intégrer les notions de base telles que plan, volume, maquette, etc.
> S’approprier la thématique de l’architecture par l’imagination et la création.
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LA VISITE (30 à 45 mn)
INGRID SILIAKUS
D’origine néerlandaise, Ingrid Siliakus tombe en arrêt devant la beauté et
l’ingéniosité des maquettes d’architecture origamique du Japonais Masahiro
Chatani. Elle s’initie à sa technique qui consiste à créer un objet à partir
d’une feuille unique. Pour chacun d’entre eux, elle réunit une iconographie
pointue à base de dessins, de photographies, de documents historiques et
réalise 20 à 30 prototypes avant d’atteindre la version finale. L’architecture
origamique est sa spécialité. À partir d’une seule feuille de papier, elle
découpe au cutter, plie, sculpte des bâtiments emblématiques réels ou
imaginaires.
http://ingrid-siliakus.exto.org/
Pour aller plus loin :
http://www.papierarchitectuur.com/
http://www.artwallzine.com/ingrid-siliakus-paper-architecture-n42
http://luckycompiler.com/index.php/art/item/551-paper-architecture-with-ingrid-siliakus
Quelques œuvres exposées :
Chrysler Building, New York, États-Unis, 2010
21x30x21 cm
© CAPA/DR
Sagrada Familia, Barcelone, Espagne, 21x30x21 cm
© Ingrid Siliakus
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MATHILDE NIVET
Travaillant sur un projet à base d’enveloppes lors de ses études à l’École
Supérieure des Arts Appliqués Duperré (Paris), Mathilde Nivet est séduite
par le charme du papier qui cache, sous son apparence fragile, des
possibilités infinies. Elle l’adopte sans hésiter pour créer ses illustrations de
presse, ses décors de vitrines, ses packagings publicitaires et ses installations
qu’elle réalise pour des événements éphémères. Elle a notamment réalisé
pour Citroën une œuvre sur le thème de la ville ; ainsi que de nombreux
autres projets pour Hermès, Lacoste, Le Monde, etc. Passionnée par
l’urbanisme et la ville, elle utilise parmi d’autres, la technique du pop-up qui
allie le pliage, le découpage et le montage pour représenter l’architecture en trois dimensions
et à grande échelle.
Mathilde découpe, plie, colle et crée ainsi des paysages urbains de papier. Une rue, des
façades, des immeubles s’animent dans un jeu en trois dimensions où se côtoient de drôles
d’histoires de voisinage !
http://www.mathildenivet.com/
Pour aller plus loin :
http://www.illustrissimo.fr/artistes/17/mathilde-nivet.html
http://www.illustrissimo.com/blog/linterview-de-mathilde-nivet/
http://www.thetrendygirl.net/2010/09/mathilde-nivet-profession-paper-designer.html
http://www.webculte.fr/2010/10/18/mathilde-nivet-2/
http://www.hellocoton.fr/to/4sAZ#http://mademoiselleaparis.com/2010/03/31/dentelles-depapier-mathilde-nivet/
Quelques œuvres exposées :
Hyper ville I, 2012
43,5 x 51,5 cm
Hyper ville II, 2012
55 x 61 cm
© CAPA/DR
© CAPA/DR
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STEPHANIE BECK
Les villes de Stephanie Beck sont inspirées directement des paysages urbains
et des architectures parcourus lors de ses pérégrinations autour du monde.
D’origine américaine, elle peint et construit des maisons dès son enfance. Le
papier se révèle être son matériau d’adoption après s’être essayée à la
peinture à l’huile. Elle apprécie sa légèreté, son contact, son aspect aux
multiples textures qu’elle apprivoise avec ses ciseaux. Ainsi fait-elle surgir
des volumes protéiformes qu’elle assemble. Elle réinvente des plans de villes
à mi-chemin entre rêve et réalité. La fragilité et la fugacité du papier font
écho pour elle aux mutations permanentes des univers urbains. En guise de carnet de voyage,
Stephanie Beck nous rapporte ces villes de papier qui traduisent et matérialisent ses émotions
et sensations, ressenties au contact des espaces parcourus.
Ciseaux, cutter, compas, colle pour imaginer des villes rondes ou carrées, véritables puzzles
urbains. Petit théâtre d’ombres et de papiers, ses maquettes nous plongent dans un monde
parallèle.
http://www.stephaniebeck.org/
Pour aller plus loin :
http://www.handfulofsalt.com/profile-stephanie-beck/
http://skywayoflove.blogspot.fr/2010/10/hot-paper-cut-art-injection-at-phl.html
http://www.marycnasser.com/2/post/2012/01/friday-favorite-stephanie-beck.html
L’œuvre exposée :
Borough, 2012
40 x 50 x 50 cm
© Jeanette May
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BÉATRICE CORON
Béatrice Coron, née en France, a posé ses valises au Mexique, à Taïwan, en
Égypte avant de s’installer à New York où elle se consacre à son travail
d’artiste. Au début elle découpe ses histoires dans du papier, mais très vite
elle choisit le Tyvek, un textile non tissé indéchirable qui, à l’œil et au
toucher, ressemble singulièrement au papier. Elle peut ainsi découper, avec
sa lame de cutter et ses ciseaux, des images chargées de détails ciselés tout
en finesse comme de la dentelle. Béatrice Coron invente des villes et des
mondes où elle raconte des histoires libres d’interprétation. Elle réalise
également des œuvres d’art public en verre, en acier, en pierre et des livres
d’artistes. Une partie de ses œuvres appartient aux collections des plus grands musées
américains comme le Metropolitan Museum of Art à New York, la National Gallery of Art de
Washington ou le Getty Museum à Los Angeles.
Cette Française globe trotteuse est une exploratrice du papier. Avec sa lame, elle cisèle des
silhouettes pour créer des mondes parallèles, imaginaires. Dans ses dentelles surgissent des
paysages et des villes fantastiques.
http://www.beatricecoron.com/
Pour aller plus loin :
http://www.youtube.com/watch?v=cAGFKYNrQgY
http://www.youtube.com/watch?v=mUqQNoUHqAg
http://www.fibermark.com/faces/beatrice-coron
Quelques œuvres exposées :
Children’s Hospital Castle, 2012
107x107 cm
© Béatrice Coron
The Long Road, 2012
113x113 cm
© Béatrice Coron
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MAUD VANTOURS
Designer et plasticienne française, elle vit et travaille à
Paris. C'est après avoir suivi un cursus artistique
spécialisé dans le design et la recherche de matériaux à
l'ESAA Duperré que Maud lance sa propre activité en
free lance. La couleur, le graphisme et la matière ont une
place prépondérante dans son travail. Maud aime partir
d'un simple motif en 2 D, qu'elle décompose afin de le
développer en volume et d'exprimer toutes ses facettes.
Une poésie se dégage de ses sculptures et recherches qui créent des graphismes originaux tels
que des paysages multicolores et oniriques. Le papier est devenu au fil du temps sa matière
fétiche. Elle le plie, l'ajoure, l'accumule, le superpose couche après couche afin de créer des
motifs inspirés tout en volume. La matière papier, sculptée par Maud, se transforme en objet
précieux.
Le travail de Maud Vantours oscillant entre art et design séduit les grandes marques de luxe
avec qui elle collabore mais également des marques de grande distribution. Ses travaux sont
exposés en France et à l'étranger, dans des galeries comme dans les salons professionnels
internationaux.
http://maudvantours.com/
Étape de travail d'une œuvre exposée :
La Roche Graphie, 2014, © Maud Vantours
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« LES BATAILLES QUOTIDIENNES » DE
BEATRICE CORON (Daily Battles) en 3D par
James Stewart
Film présenté dans les combles du château.
Spécialiste de l’immense pouvoir de narration de la dimensionnalité, le Canadien James
Stewart apporte une nouvelle dimension au 61 scènes médiévales du découpage magistral de
l’artiste Béatrice Coron. Un film d’art sur un travail d’art, Daily Battles (Les Batailles
quotidiennes) de Béatrice Coron racontent une histoire dans un montage abstrait en 3D
stéréoscopique . Avec chaque scène, on entre dans un récit de luttes, choix et routine
représentant les défis de la vie. Le format choisi par Coron et Stewart permet au spectateur de
transcender la narration traditionnelle du film pour être dans une méditation intemporelle.
Utilisant l’animation, le son, lumières et ombres, le tout saupoudré d’humour, Stewart restitue
chaque scène du découpage 2D de Coron dans la splendeur du 3D, racontant un nouvel
aspect du monde médiéval. Ensemble, ces vignettes créent les différentes couches d’une
société complexe, où le bien et le mal se côtoie, illustrant les batailles de la vie à travers les
âges. Il y a toujours un dragon à abattre, un enfant à consoler, un royaume à conquérir et un
repas à préparer.
© Béatrice Coron
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L’ATELIER (10 à 15 mn)
La partie atelier vient non seulement conclure la visite, mais surtout prolonger le discours par
l’expérimentation.
Petite histoire du papier à travers le temps, à travers le monde.
« AVANT LE PAPIER… »
À chaque écriture son support
Les tablettes d’argile (vers -3200).
Le papyrus (vers -3000).
Le parchemin (IIe siècle avant JC) .
« L’INVENTION DU PAPIER »
Mais qui donc a inventé le papier ?
En 105, en Chine, le ministre Cai Lun perfectionne et codifie la fabrication du papier connue
depuis deux siècles. Ce support d’écriture se substitue ainsi à la soie, trop chère, et au
bambou, trop lourd.
« LE SECRET DEVOILE »
Une recette qui voyage
En 751, la fabrication du papier est introduite dans le monde arabe par des Chinois faits
prisonniers à la bataille de Talas. Les musulmans améliorent ensuite la recette en y
incorporant des chiffons.
« LA TECHNIQUE AU SERVICE DU PAPIER »
De la fabrication artisanale à la production industrielle
1276 : premier moulin hydraulique à Fabriano en Italie.
1440 : invention du caractère mobile d’imprimerie par Gutenberg en Allemagne.
1673 : mise au point du cylindre hollandais aux Pays-Bas.
1798 : invention de la machine à papier par Louis-Nicolas Robert en France
1844 : fabrication de la première pâte à base de bois par Friedrich Gottlob Keller en
Allemagne.
1850 : découverte de la cellulose par Anselme Payen en France
« RECYCLER HIER POUR DEMAIN »
Recyclage et nouveaux usages
400 millions de tonnes de papier sont consommées chaque année dans le monde, dont près
de 50% sont désormais issus du recyclage. Recycler nécessite moins d’eau et d’énergie que
la fabrication classique de la pâte à papier. Papier et carton peuvent être recyclés plusieurs
fois pour produire entre autres emballage, lampe, meuble, vêtement, sandales et papier
hygiénique.
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Le papier dans tous ses états : l’art du pli et l’art de la découpe
CANIVET:
Dans le domaine de l'art religieux, Canivet est le nom donné à une "image pieuse" en vogue
du XVIIème à la fin du XIXème siècle, illustrant un thème religieux. Les bords et parfois
l'ensemble de l'image étaient souvent traités (ajourés) pour imiter la dentelle.
SCHERENSCHNITTE :
En français "découpage aux ciseaux". C'est l'art du dessin du papier découpé.
JIANZHI :
L'art du papier découpé ou Jianzhi est un art qui existe depuis des milliers d'années en Chine.
KIRIE :
Le Kirie traditionnel japonais consiste en le découpage et la superposition de couches de
papier.
SILHOUETTE :
Par antonomase, du patronyme d’Étienne de Silhouette (1709 – 1767), contrôleur général des
finances en 1759 sous Louis XV.
ARCHITECTURE ORIGAMIQUE :
L'architecture origamique est un art du pliage-découpage initié au début des années 80 par
Masahiro Chatani, un architecte japonais.
POP UP, LIVRE ANIME, LIVRE A SYSTEMES :
C'est un livre généralement destiné aux enfants, dont les pages contiennent des mécanismes
développant en volume ou mettant en mouvement certains de leurs éléments.
MAQUETTE-DECOUPAGE :
Figurines à dresser, poupées à habiller, théâtres de papier sont autant d'étapes vers la création
au XIXème siècle de maquettes d'architecture en papier.
ORIGAMI :
Cet art est originaire de l'un des plus anciens arts populaires, au VIème siècle, en Chine, et
aurait été apporté au Japon par des moines bouddhistes. Il fait partie des arts du papier.
Le mot origami vient du verbe japonais oru (plier) et du mot kami (papier).
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« VILLES SUSPENDUES », L’ATELIER DES 8-12 ANS (45 mn)
Plié et découpé, le papier se déploie et s’anime comme par magie. Muni de tes ciseaux, à toi
de l’apprivoiser ! Inspire-toi des techniques employées par les artistes dans l’exposition et
crée ta petite ville à suspendre.
Objectifs:
> Réaliser une ville imaginaire en combinant des techniques simples de pliage et
découpage.
> Expérimenter l’art du papier en s’inspirant des œuvres observées et commentées.
> Appréhender artistiquement un matériau utilisé quotidiennement.
Déroulé :
Suite à la visite de l’exposition « Architectures de papier », les enfants s’installent dans la
partie « atelier » autour de tables afin de créer seul ou à plusieurs une suspension en papier.
Dessin, découpage, pliage, superposition et assemblage sont autant de manœuvres pour
imaginer une petite ville suspendue, des histoires à suspendre…
Les étapes de création proposées aux enfants sont multiples. Formes simples, découpages
sobres et imagination tiennent la vedette !
Premier exemple: dessiner et découper le contour d’une ville afin de créer son ombre projetée
par superposition de papiers colorés.
Deuxième exemple : inventer un immeuble ou un élément d’architecture telle la ville
maquette de Stephanie Beck.
Troisième exemple : s’inspirer de l’architecture origamique pour confectionner un bâtiment
en volume et ainsi s’amuser avec les pleins, les vides et les transparences de sa petite
architecture.
Quatrième exemple : à partir des gabarits mis à disposition, découper les détails de la ville à la
manière des dentelles et silhouettes de Béatrice Coron.
Cinquième exemple : imaginer les bâtiments d’une rue qui se superposent pour en faire une
ville nuage comme Mathilde Nivet.
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Photographies de l'atelier : © CAPA/DR
FICHE TECHNIQUE
Niveau scolaire : du CM1 à la 5ème (8-12 ans)
Durée de la visite-atelier: 1h30 à 2h00.
Matériel fourni par le domaine de la Roche Jagu.
Jauge maximale de la partie « atelier » : 16 enfants
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RENSEIGNEMENTS.
Informations pratiques
Visite du château et des expositions
Du 8 mai au 5 octobre : 10 h – 12 h | 14 h – 18 h
Juillet et août : 10 h – 13 h | 14 h – 19 h
Visites scolaires et animations pédagogiques :
Tarif groupes enfants ……………… 2 € / pers.
Accueil, boutique, billetterie : 02 96 95 62 35
CONTACTS
Exposition-atelier conçue et produite par la Direction des publics de la Cité de
l'architecture et du patrimoine.
Nolwenn Herry, chargée des expositions
Domaine départemental de la Roche Jagu
02 96 95 39 82 / [email protected]
Laurence Rigaut, médiatrice culturelle
Domaine départemental de la Roche Jagu
02 96 95 39 85/ [email protected]
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