Ulysse

Transcription

Ulysse
Par le Module Relais 6ème
Ulysse est chez Alkinoos. Il raconte au roi des Phéaciens son périple de la
guerre de Troie en passant par l’île des cyclopes, l’île de Circé…
Les élèves prennent le relais d’Homère et se glissent dans la peau du
valeureux héros grec pour conter une nouvelle aventure dans laquelle le
narrateur a rencontré un monstre…
Mme Merlo
.
Le mystère de Houga Houga
Moi et mes compagnons arrivâmes sur une ile géante. Il y avait une cabane en bois. J'y entrais
avec mes compagnons. Mais la porte se referma derrière nous. Nous étions pris au piège, il
faisait tout noir. Soudain, on sentit une présence et je me fis attraper par une main géante. La
main géante me dit: «Je m'appelle Houga Houga». Je me débattis et je réussis à m'échapper.
Je pris une torche et là, je vis l'horrible monstre à trois yeux, six bras, quatre jambes. Je lui
lançais la torche dans l'un de ses yeux et je courus avec mes compagnons vers le bateau. Le
monstre nous courait après, il tomba par terre et nous mîmes les voiles. Le monstre cria:
«Vous allez payer pour ce que vous avez fait à mon frère Polyphème et moi».
MOUHAHAHA.
Marvin
Après avoir raconté l’histoire du cyclope à Alkinoos, Ulysse raconte à présent celle avec le
monstre qui avait mangé au moins six de ses hommes.
« Je quittai l’île du cyclope, je naviguai sur la mer quand une tornade nous repoussa, mes
compagnons et moi, sur une autre île. Nous échouâmes sur cette île, nous marchâmes pendant
des heures, puis nous entendîmes plusieurs bruits. Tout à coup, un de mes hommes se fit
enlever puis encore deux de mes hommes se firent enlever. Je criai «qui êtes vous, que me
voulez vous ? ». Je n’entendis rien, je m’endormis. A mon réveil, je regardai en haut, je vis
mes hommes enroulés dans des branches d’olivier. Moi et mes hommes, nous essayâmes de
partir de cette île mais les branches d’olivier nous avaient attrapés, et essayaient de nous tuer.
Avec mon épée, j’essayai de couper ces branches d’olivier. Les branches d’olivier gardaient
un majestueux trésor, le plus beau de tous les trésors: c’était la pierre de lune. Je m’échappai
et entrai dans le volcan, je pris la pierre de lune et remontai dans mon navire. Nous repartîmes
victorieux. Voilà mon histoire avec les branches d’olivier et de la pierre de lune. »
Jennifer.
Trois Têtes
« J'étais parti avec mes compagnons pour tuer Trois Têtes. Nous avons cherché des heures et
des heures la grotte de Trois Têtes. Puis j'ai trouvé la grotte. Nous sommes rentrés dans la
grotte et nous avons trouvé des objets bizarres. Un de mes compagnons avait touché une
cloche sans le vouloir. Soudain Trois Têtes se précipita dans la grotte, puis mangea tous mes
compagnons. Je regardai attentivement Trois Têtes. Il avait trois bras, trois têtes, trois yeux et
trois pieds. Trois Têtes me demanda qui j'étais. Je lui répondis que j'étais «Rien» puis je lui
donnai beaucoup de vin et de whisky puis Trois Têtes s'endormit. Je lui crevai ses trois yeux
avec un lance-pierre. Puis il dit : « Rien m'a crevé les yeux ». Puis ses amis dirent : « Trois
Têtes toujours en train de dire n'importe quoi lui! »
Ensuite, il laissa partir ses chevaux puis il toucha toutes ses bêtes. Et je partis avec l'un d'eux.
Je criai de toutes mes forces que j'étais Ulysse et que je ne m'appelais pas « Rien. »
Henna.
***
Ulysse
« Je devais partir chez les Troyens pour demander la paix mais les Troyens ne voulaient rien
entendre. Moi et mon ami Pilipi avions eu une idée: leur enlever ce qui leur était le plus cher
c'est-à-dire le grand monstre terrifiant avec une force sur humaine que personne n'arrivait à
atteindre. Alors j'allais demander de l'aide à Athéna mais ce n'était pas possible. Athéna me
dit que Poséidon ne voulait pas me pardonner d'avoir crevé l'œil de son fils.
J'allai voir le père de Polyphème qui me dit: « N'as-tu pas honte de venir me parler après tous
le mal que tu as fait à mon fils, petit misérable? »
Alors je partis demander conseil à mon ami Pilipi. En chemin je rencontrai le monstre, il avait
au moins cinq milles dents et deux grosses défenses terrifiantes. J'étais vraiment effrayé de
voir ce monstre. Tout à coup une jeune fille mystérieuse apparut, elle était vêtue d'une robe
grise avec un arc. Au début, je crus que c'était Artémis mais elle ressemblait à votre fils, cher
Alkinoos. Je lui demandais son nom. «Je m'appelle Liliane et je suis l'envoyée de Zeus » Le
monstre avait les yeux fixés sur la jeune fille, il la mangea la fille et bizarrement le monstre
commença à fondre et mourut tout de suite. »
Tamara.
Ulysse et Mokia
J'étais en train de me balader quand tout à coup, je vis un monstre volant. Ce monstre, un
géant, avait des oreilles pointues et il était tout noir. Ce monstre paraissait terrifiant. Il
remarqua que j'étais là et il voulut m'affronter. Je vis que ce monstre était plus puissant que
moi, je décidais donc de lui parler."Pourquoi voulez-vous m'affronter?" Il ne savait pas parler
et il gesticulait pour s'exprimer. Puis je lançai une pierre sur ce monstre mais il était
gigantesque. Ce monstre courut après moi. Après on décida de lui tendre un piège. On rentra
dans une grotte, il nous rejoignit. Nous sortîmes de la grotte en cachette mais le monstre
n'arriva pas à sortir: il resta dans la grotte. Je l'enfermai avec plein de rochers puis je rejoignis
le bateau.
Sagitha
***
La rencontre de César !
« Soudain, un monstre me prit par derrière, il sortit son lance-pierre puis à mon tour, je sortis
mon pieu. Au moment où j'allais me battre avec ce monstre je lui dis : « Eh, monstre à quatre
pattes! Comment t'appelles-tu?
- Je suis César ! », me répondit-il d'un air féroce.
Et nous nous sommes battus. Avec son lance-pierre, il me toucha la tête, le ventre et le genou.
Je m'énervai, je pris mon pieu et je le lui enfonçai juste en bas du cœur et là son sang coula.
Son sang était jaune, un jaune si brillant qu'on pouvait croire que s'était de l'or. Lui, était vert
monstrueux avec quatre pattes, les cheveux bouclés couleur bleu mais très très gras. Son sang
continuait de couler et moi je restai émerveillé. C'était tellement magnifique que je pris une
bouteille de vin, je la vidai et je mis son sang dans la bouteille. A deux pas d'ici, il y avait des
habitants alors je fis en sorte qu'ils ne me virent pas. Alors avant de quitter la mer, j'allai voir
une dernière fois le monstre pour savourer ma victoire. Et là, magie! Il n'y avait ni monstre ni
sang ni mer. Tout avait disparu! Je pris peur alors je courus puis César me dit : « Tu ne t'en
tireras pas comme ça, cheveux d'or! »
Puis là, je vis Nôam, un de mes amis, il me prit par la main et me dit: « Ulysse, tu dois tuer
César !» Puis Nôam partit alors je pris mon pieu, je poussai un énorme cri de guerre et je
transperçai le cœur du monstre. Ensuite, une porte s'ouvrit: c'était merveilleux. Je fis un pas
en avant et là … Une lumière si belle si blanche brillait: c'était tellement magnifique que je
fus curieux. J'entrai dans cette pièce et à l'intérieur, il y avait des femmes, des hommes et des
enfants. Les femmes servaient le vin, les hommes riaient entre eux et les enfants jouaient.
Certaines femmes dansaient avec leurs compagnons. Je ne pus hésiter, je rentrai et là je vis ma
femme qui me semblait tellement heureuse (c'était la plus belle entre toutes) et mon fils,
Télémaque, qui jouait avec les autres enfants.
« Pénélope. » A mon appel, elle se retourna surprise et courut vers moi. »
Honika.