CLAUDE TERRANOVA - Evanescence, le disque piano solo de
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CLAUDE TERRANOVA - Evanescence, le disque piano solo de
Black and Blue présente EVANESCENCE l’album solo de CLAUDE TERRANOVA DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE P our cet album, j’ai voulu une musique “plurielle“, inclassable, constamment en mouvement, capable d’utiliser n’importe quel support pour s’épanouir : une thématique très simple, voire dérisoire, ou des thèmes très travaillés. Rien n’est jamais fixé, mais tout est axé sur la recherche de l’inédit. J’ai voulu un piano, utilisé comme un souffle à peine perceptible, mais aussi comme un orchestre, qui ne se servirait de sa puissance que pour caresser. J’ai voulu pour ce piano une musique à la fois extrêmement mélodique et percussive. J’ai voulu surprendre. Surprendre par la diversité des couleurs, des univers constamment renouvelés, en jouant sans aucun frein stylistique sur l’éventail de multiples cultures. J’ai voulu prendre le risque de créer entièrement certains titres sur l’instant. J’ai voulu mettre la virtuosité au service de la sobriété. Le solo me permet de jouer tous les rôles à la fois, de jouer tous les instruments en même temps, de pouvoir jouer au ping pong avec le silence au gré de mes envies, en ayant pour seule justification la beauté de l’instant. Claude Terranova F “ or this album, I wanted to find a music which was multiple, inclassifiable, constant and moving, able to use any kind of themes to bloom, very simple tunes, or even some sophistication ones. Nothing is set beforehand, everything is based on looping for somesthésie unheard of. My idea was to use a piano as a hardly perceptible breath but also as an orchestra which would onely use its power to caress. For this piano, I looked for a music which would be at the same time melodious and full of percussion. My idea was to surprise thanks to the diversity of the colours, of the universes constantly renewed by playing without any stylistic restrain on the range of numerous cultures. I have decided to take the risk of creating entirely new titles on the spot. It was my idea to submit brio to sobriety. Solo enables me to play all the roles at the same time, to play all the instruments at the same time, to play back and forth with silence according to my fancies, with the only justification of instant beauty". Claude Terranova D DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE Claude Terranova commence très jeune l'apprentissage du piano. A 13 ans sont père l’initie à la composition, puis le remet entre les mains de Julien Falk. Il poursuit sa formation avec Marie-Claire Laroche (assistante d’Aldo Ciccolini au C.N.S.M.) pour le piano et avec Solange Chiapparin (professeur au C.N.S.M.) pour l’écriture et la composition. Mais bien vite le jazz s'affirme comme sa passion première. Il rencontre alors Christian Rameil (pianiste dans l'orchestre de Claude Luter) et travaille avec lui sur les rouleaux d'Art Tatum. Franchissant rapidement une nouvelle étape, il intègre le quartet de Claude Tissandier et monte le “Funk Jazz Quartet“ et le duo “Terranova – Souverbie“ (primé au concours de la Défense). Irrémédiablement séduit par le jazz moderne et passionné par toutes les formes possibles d’improvisation, il explore le trio avec Claude Mouton et Olivier Le Goas, puis compose et joue pour le “Gulf String“ de Pierre Blanchard. Il joue aussi en duo avec Christian Lété, est un invité régulier du big band “Vents contraires“ de Louis Vigneron et se produit avec le “trio TLB“ en compagnie de Tony Bonfils. Attiré par de multiples cultures, Claude Terranova crée le groupe “Toukouleur“ avec Pascal Teillet, Arnold Mouéza et Cyrill Atef. On le retrouve également aux côtés d'Etienne M'Bape dans le sextet d'Abdou M'Boop, au sein du quartet du saxophoniste anglais Pete Osborne et de celui de Philippe Maté. En tant qu'arrangeur, le nom de Claude Terrranova est lié à ceux de Martial Solal, Guy Pedersen, Daniel Humair, Eric Barret, François Laizeau, Jean-Louis Chautemps, François Jeanneau…. Son premier album en piano solo, “Evanescence“ offre aujourd'hui une synthèse éblouissante et inspirée de ses multiples expériences. Claude Terranova started to learn playing piano when he was very young. At the age of thirteen, his dad ini tiated him to the composition and then he became Julien Falk’s student. He continued his training with MarieClaire Laroche (Aldo Ciccolini’s assistant at CNSM) for the piano and with Solange Chiapparin (Teacher at CNSM) for writing and composition. But very quickly Jazz became his first passion. He met Christian Rameil (a pianist in Claude Luter’s band) and worked with him on Art Tatum cylinders. Rapidly he joined Claude Tissandier’s Quartet and set up the “Funk Jazz Quartet”and the duo “Terranova-Souverbie” (which won a price at the Defense’s competition). Definitly seduced by modern Jazz and fascinated by all forms of improvisation, he explored the Trio form with Claude Mouton and Olivier Le Goas and then composed for and played with Pierre Blanchard Gulf String. He has also played in a Duo with Christian Lété, he’s a regular guest of Louis Vigneron Big Bang “ Vents con traires”, and he has been playing with the “TLB” Trio which includes Tony Bonfils. Attracted by different cultures, Claude Terranova created the goup called “TouKouleur” with Pascal Teillet, Arnold Mouéza and Cyrill Atef. He is also involved with Etienne M’Bape in the Sextet of Abdou M’Boop, plays in the Pete Osborne’s quartet and Philippe Maté’s one. As an arranger Claude Terranova’s worked with names like Martial Solal, Guy Pedersen, Daniel Humair, Eric Barret, François Laizeau, Jean-Louis Chautemps, François Jeanneau…. His first album in solo called « Evanescence » offers today a fantastic mixed of all his experience. D DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE A u menu de ce concert: A Foggy Day, I Love you P o rgy ou A Night in Tunisia qu'il reconsidère sous un angle nouveau, proche de celui de Martial Solal. Les standards sont une matière inépuisable pour qui tente de leur donner une form e originale. Elia Kazan disait de Brando: "Il est capable d'exprimer des sentiments minuscules". L'art du jazzman est peut-être, face à un monument comme Blue in green, d'ajouter ou de retirer des particules infimes sans blesser l'ossature du thème. Et si le traitement est plus fort d'y laisser au moins ses fondations. L'exercice de composition est autre. Il est ici le prolongement de ses rêveries. Plusieurs titres ont ici été composés sur le vif (Azur ou Agua do Brasil). Ces éphémères libèrent davantage la créativité de son auteur. L'urgence du live aidant elles viennent alimenter les perles de Gillespie ou de Gershwin. Avec beaucoup d'enthousiasme, Terranova exploite les richesses infinies de son instrument puis s'en remet au silence, favorisant ainsi une vraie intimité avec son public. On apprécie cette confidence. Celui qui un jour revit un ami cher et le lendemain ses compagnons de régiment me comprendra. Philippe Deneuve. Claude Terranova nous livre ici un moment de piano solo pris en direct à Montreuil lors d’une soirée organisée par Amnesty International. Un moment de pur état de grâce comme on en connaît peu depuis le Köln Concert. Le pianiste seul sur scène donne ici à entendre un registre impressionnant non seulement de son art de l’instrument mais aussi de son amour du piano en jazz. Tout était dit ce soir là. Tous les registres joués, tant dans ses propres compositions « évanescentes » que dans la véritable réappropriation des thèmes du répertoire. DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE Terranova en maître dans l’art des nuances varie les climats différents et enchevêtrés dans l’esprit d’un Keith Jarrett. Claude Terranova parvient à nous donner parfois l’impression qu’une véritable section rythmique l’accompagne avant que le vrombissement des graves ne s’efface à nouveau au profit de la ligne mélodique. Modèle de maîtrise en matière d’harmonie, sa lecture de Night in Tunisia est une véritable redécouverte. Monument d’inventivité. Et que dire de Carmen joué à la m a n i è re d’un Petrucciani. Terranova ne se parodie jamais lui même, c h e rche toujours à e x p l o rer à fond tout ce qu’un thème peu raconter. A l’inverse rien n ’ i n t e rdit d’explorer un thème dans le dénuement. On n’a jamais entendu une version aussi bouleversante que celle de I love you Porgy. Une version dépouillée, simplissime mais avec cet indescriptible supplément d’âme où l’expression de ce qui est dit (cette déclaration d’amour à Porgy), transcende son expression musicale. Derrière la dernière note jouée, c’est le plus beau des silences qui résonne et prolonge la musique. Le temps en suspension. Et lorsqu’un pianiste parvient à utiliser son art au service d’une telle émotion, lorsque d’évidence il transmet à son public un tel amour du piano, une telle intelligence des thèmes, lorsque le silence se confond à la note et envahit l’âme il n’est plus alors question d’autre chose que de partage et d’écoute. Jean Marc Gelin. V oici une belle surprise lyrique,Claude Terranova sait h a rmoniser avec goût et un sens assez sûr des couleurs les compositions les plus rebattues. Voyez ses variations sur la "Carmen" de Bizet ou "A Foggy Day"... S es thèmes personnels portent la mar q u e D DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE d'une sensibilité ouverte (El Djazaïr, Agua do Brasil) et marquée par la délicatesse (Evanescence, Miniature aquatique, Dans un rêve). Seul l'emploi parfois forcé de la pédale sustain gâche un peu la fête. Jean-Pierre Jackson. DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE Claude Terranova est pianiste et compositeur, il enregistre au cours d’un concert à M o n t reuil une douzaine de plages en solo. Une façon d’après lui de nous r a c o n t e r s e s expériences contrastées où sa rêverie atteint une b e l l e présence. C elle-ci s’apparente plus à Depuis le temps qu'il pratique le solo, le pianiste Claude Terranova sort enfin un disque où il se retrouve seul pour partager avec le public son amour pour cet instrument et la beauté de la musique. Il donne libre court à ses rêveries dans d es compositions originales et impro v i s e également sur des standarts avec une liberté telle que le mélange se créé de façon transparente dans une agréable h a rmonie. une création d’univers où il délimite son concept de la beauté, traduit sur la majeure partie des compositions excutées. Cet expert en romantisme peut aussi nous séduire en reprise : « A Night In Tunisia » ou « I Love You Porgy ». B elle découverte. Gérald Mathieu. Qu'il s'inspire de sa ville natale, du Brésil, de la Tunisie ou de pays moins ensoleillés, la même poésie émane des notes qu'il fait briller d'étincelles colorées. Claude Terranova signe ici un premier album ont été réalisés lors d'un concert organisé à Montreuil par Amnesty International, sans doute est-ce aussi pour cela que les "histoires" que Claude Terranova raconte à travers sa musique sont particulièrement chargées d'émotions. solo, synthèse de ses multiples expériences. Certes, il a étudié les grands pianistes du jazz, Art Tatum entre autres, mais surtout Martial Solal, dont on retrouve les influences sur " Night in Tunisia " de Gillespie ! Claude Terranova prend un certain plaisir à faire ressortir ses idées mélodiques. N ul Du La plupart des enregistrements de ce disque doute que ce disque n'est pas la démonstration d'un savoir, mais bien le désir d'explorer d'autres mondes et donner le reflet, l'empreinte de moments de fragilité et de tendresse. Moments magiques et poétiques. Agnès Jourdain. jazz généreux, astucieux, avec un côté très harmonique, ce qui ne gâche rien, et qui s'étire langoureusement sur les tempos lents ou rapides. Un disque tout à fait engageant dans l'actualité des pianistes "solo" C'est le gage d'un artiste sans limites qui n'a pas fini de nous étonner. Un grand disque de solo, c'est très rare. Précipitez-vous ! Christian Delvoye. D DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE V oyage intérieur en terrain connu : Blue in Green, Surbrillance, Azur... pour la couleur ; A Night in Tu n i s i a , Agua do Brasil, El Djazaïr... pour les territoires. D ans ce premier album solo, (enregistré essentiellement lors d’un concert organisé par Amnesty International) le pianiste Claude Terranova (solide formation classique et toucher rigoureux) s’abandonne à ses r ê v e r i e s , i m p rovisant sans afféterie sur quelques standards et une poignée d’originaux. En émane la fugace fragilité de l’émotion pure. B. de Witte DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE à retenir et à suivre. Evanescence est un pari réussi. A savourer ! Etienne Payen. Détenteur d’une très complète f o rm a t i o n classique (piano, composition, écriture ), Claude Terranova découvre les joies du jazz avec la rencontre de Christian Rameil, pianiste de l’orchestre de Claude Luter, avec qui il travaille la musique d’Art Tatum. Le JAZZ IN BELGIUM BRUXELLES Musicien jazz contemporain occupe aujourd’hui toute son attention et sa création. Il fonde le g roupe To u k o u l e u r, collabore avec le s a x o p h o n i s t e anglais Pete Osborne et contribue à l’exceptionnelle réussite du g ro u p e " Gulf String " du violoniste Pierre Blanchard. au parcours atypique, le pianiste français Claude Terranova n’en reste pas moins une référence. Un symbole de qualité qui aura attendu 20 ans avant de graver "Evanescence", son premier album en solo, trop occupé à participer aux projets d'autres musiciens (Daniel Humair, Martial Solal). 20 ans pour ce p remier "bébé", fruit de la rencontre de l’expérience et de la maturité. Il signe aujourd’hui un disque essentiel dans son parcours, un e n re g i s t rement " live " en solo intitulé " Evanescence " (chez Night&Day). Evanescence est une suite de c o m p o s i t i o n s Au fil des plages de ce piano solo enregistré du "maître" et d'improvisations de grands standards (I love you Porgy, a night in Tunisia) enregistrés en live et au piano-solo. en public, Claude Terranova nous invite à un voyage brillant et envoûtant, fruit d'un itinéraire riche et complexe où se retrouvent toutes les influences de son p a rcours jazz jalonné de multiples r e n c o n t re s . D'emblée, l'attention est titillée p a r l a dextérité quasi a c a d é m i q u e de Claude Terranova, son sens de l’improvisation qui ne tire pas vers des longueurs soporifiques, par sa sensualité et cette délicate émotion distillée par des silences au détour de nombreuses notes. S ans conteste, Claude Terranova est un nom Jean-Luc Caradec. Un melting-pot musical aux couleurs étincelantes où les émotions naissent et s'évanouissent au gré de la sensibilité du pianiste, pour re n a î t re ailleurs, plus loin, dans un jeu incessant de métamorphoses où le piano s'efface pour laisser la place à une poétique à la fois puissante et évanescente. D DOSSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE Pour Claude Terranova, cet album en piano solo répond à un désir sans limite de raconter des histoires, ses histoires... Son histoire. Une histoire où la liberté du jeu (je) s'ouvre à toutes les audaces". J-F Pelatan. DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE ...dans la relecture de standards inoxydables… Certains des effets qu’il emploie alors rappellent ceux de son homologue italien Stefano Bollani – et le compliment n’est pas mince –. Dans «Agua do Brasil», la pédale sustain permet aux dissonances de se superposer au thème central. Si la réharmonisation de «Carmen» est plus prévisible, l’ébouriffant «Night in Tunisia» prouve que Claude Terranova est un patron sur son clavier. Dans une démarche proche de Martial Solal, TEMPO>> D ès l’écoute d’Evanescence, premier titre du disque éponyme, Claude Terranova nous plonge au coeur de son monde sensible. Interprétation de standards jazz ou re g i s t re personel, ce disque solol laisse une part importante à l’instant, à ses propres respirations. avec des accélérations tatumesques et des conclusions enjôleuses à la Ahmad Jamal, Claude Terranova a suffisamment de bouteille pour mettre l’auditoire ébahi dans sa poche. Thomas Marcuola. A c c o rds au bout du souf f l e, dissonances et attaques construisent l’arche de ses retenues, les suspensions maîtrisées de ses silences. Didier Vayne. ... L ’orsqu’une rythmique s’impose à lui, Claude Terranova déploie avec beaucoup de conviction son sens du contraste et sa palette de moyens, qui est extrêmement vaste. Night in tunisia en est un e x e m p l e p a rmi une douzaine d’interprétations dont l’approche stylistique a incontestablement (les applaudissements nourris du public le démontrent) de légitimes défenseurs. Stéphane Carini. Claude Terranova présente son dernier-né Evanescence. Prise de risques maximale: enregistrement en solo et en public, avec une large part de compositions dans l’instant. Franse Jazzpianist Claude Terranova is een operating ! Alsof het er nooit van zou komen. Kenners wisten allant dat de Franse Jazzpianist Claude Terranova een Geweldige solist is. Tochkon niellage hem verlainien sonder collega’s de studio in te gaan. In Montreux liet hij zijn spel tiens een benefietconcert voor Amnesty International eindelijk vastleggen voor een solo-cd. Dat album deaagt de titel Evanescence en is meerd e re opzichten een operating. Terranova staat muziek voor ogen die constant in beweging is. Hij wil meedere stijlen doorkruisen, van klassiek tot blues, van bebop tot free jazz, en uit zijn piano het b re e d e r mogelijke palet aan klankleuren halen. Daar slang hij met gemak in. Daarnaast is hij ook in staat om allerlei conventies te doorbreken en je als luisette voortdurend te verrassen. Neem bijvoorbeeld zijn variaties op een thema uit Carmen of A Foggy Day en I Love you Poergy van Gershwin. Onder deze standards w e e t h i j z u l k e v e r r u c a i re harmonieën te plaatsen, alsof nog niellage op deze thema’s heeft geïmproviseerd. Wat deze cd bovarysme fascine rend maakt, is Terranova’s gave om in zijn pinissimo’s als een impressionist te toveren met de subtielste halftinten. Weinig pianisten fluisteren met zoïle overtuigingskracht als Terranova, die met dit recital zijn naam alle eer aandoet. Een uitzonderlijk geslaagde live-cd. Dimitri van der Werf. D SITE WEB http://terranovasolo.free.fr/ CONTACT SCENE MUSICONTACT +33/ (0)1 48 77 42 84 COMMUNICATION Christine Midéna Tel./Fax : +33/ (0)1.48.77.42.84 [email protected] SEND A MAIL [email protected] DISTRIBUTION