LARS AND THE REAL GIRL
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LARS AND THE REAL GIRL
Une fiancée pas comme les autres (LARS AND THE REAL GIRL) Une comédie de Craig Gillespie ©Pierre Collier d’après dessin de Philippe Dupuy et Charles Berberian Metro-Goldwyn-Mayer Pictures et Sidney Kimmel Entertainment présentent Une production John Cameron/Sarah Aubrey Une fiancée pas comme les autres (LARS AND THE REAL GIRL) Un film de Craig Gillespie Ryan Gosling • Emily Mortimer Paul Schneider • Kelli Garner •Patricia Clarkson Avec Durée : 1h42 Format image 1.85 - Son Dolby SRD Sortie le 24 décembre 2008 DISTRIBUTION DIAPHANA 155 rue du Fbg Saint-Antoine 75011 Paris Tél. : 01 53 46 66 66 PRESSE Jérôme Jouneaux, Isabelle Duvoisin & Matthieu Rey 10 rue d’Aumale-75009 Paris Tél. : 01 53 20 01 20 Photos téléchargeables sur : www.diaphana.fr/presse ©Dupuy-Berberian L’HISTOIRE Timide et introverti, Lars vit seul dans le garage aménagé de son frère Gus et de sa belle-sœur Karin, dans un petit village du Middlewest. Quand il leur annonce qu’il a enfin rencontré une jeune fille sur internet et qu’elle va bientôt lui rendre visite, Gus et Karin sont soulagés et très impatients de faire sa connaissance. Leur surprise est grande lorsque Lars leur présente très officiellement l’étrange Bianca. Sur les conseils de leur médecin, Karin et Gus décident de ne pas heurter Lars et d’accepter son amie. Bianca accompagne Lars à table, à l’église ou au supermarché attirant l’attention et la stupéfaction générale du village. NOTES DE PRODUCTION En faisant surgir un personnage qui n’a rien d’humain dans sa vie et celle de ses proches, Lars va changer l’existence d’un village entier… QUI N’A JAMAIS REVE D’EPOUSER UN MANNEQUIN ? Lars Lindstrom n’a jamais quitté son petit village du Midwest. Modeste employé de bureau, il vit dans le garage aménagé de la maison de son enfance, désormais occupée par son frère, Gus, et sa belle-sœur, Karin. Replié sur lui-même, Lars évite tout contact humain. Sa vie sociale se résume à la messe du dimanche et quelques conversations avec ses collègues de travail. Il refuse toutes les invitations de Gus et Karin et fuit Margo, une jeune collègue, qui ne manque jamais une occasion de l’approcher… Alors que Gus s’est résigné au comportement de son frère, Karin, enceinte de leur premier enfant, essaye désespérément de sortir son beau-frère de son isolement et d’entretenir des relations familiales normales. Lorsque Lars présente Bianca à Gus et Karin, « une jeune femme mi danoise, mi brésilienne », ils sont très surpris. Pour Lars, Bianca est une jeune fille timide et vertueuse élevée par des nonnes et qui se déplace en fauteuil roulant. Gus et Karin acceptent tout de même d’héberger cette nouvelle invitée. EMILY MORTIMER (Karin) : « L’arrivée de Bianca provoque un séisme dans la famille. Gus a peur que les gens ne prennent son frère pour un fou et ne sait pas comment réagir. Karin va essayer d’apaiser ses craintes et maintenir les liens fraternels. » CRAIG GILLESPIE (réalisateur) : « Karin est une figure maternelle pour Lars. Forte et résolue, tout en étant douce et affectueuse, elle est le ciment de cette famille. » PAUL SCHNEIDER (Gus) : « C’est une situation vraiment très difficile pour Gus. Il doit non seulement vivre avec ce frère dont tout le monde se moque mais en plus jouer le jeu en faisant preuve de patience pour épauler la femme qu’il aime. L’arrivée de Bianca est cependant un véritable choc qui met à nu les problèmes entre les deux frères mais permet aussi de les exorciser. » Karin propose à Lars d’emmener sa nouvelle amie Bianca chez le médecin de famille pour s’assurer que le changement de climat n’a pas affecté sa santé. PATRICIA CLARKSON (Dr Dagmar Berman) : « Au début, mon personnage ne sait pas comment s’y prendre. Elle sait que le jeune homme considère Bianca comme une personne réelle et demande à ce que tout le monde en fasse autant pour le ménager, jusqu’à ce qu’elle trouve un traitement approprié. A chaque nouvelle visite, Lars lui parle des problèmes de Bianca, qui reflètent ses propres difficultés. Mais il sent bien que le Dr. Berman lui cache ses véritables motivations, l’empêchant de se confier complètement à elle. Tout au long du film, mon personnage reste neutre, ouvert, tolérant et très patient avec Lars. » CRAIG GILLESPIE : « Le Dr. Berman explique à Gus et Karin que le délire de Lars pourrait être l’occasion d’évacuer ses problèmes. Ils décident de jouer le jeu et demandent à la communauté d’en faire autant en accueillant Bianca. Bien que réticents au départ, la plupart des gens acceptent de les aider. Rapidement, Bianca devient pour tout le monde bien plus utile qu’on ne l’aurait imaginé. » NANCY OLIVER (scénariste) : « C’est une réaction qui illustre très bien la faculté d’intégration de l’être humain. Toute la communauté accepte Bianca et profite de ses « compétences ». Je me suis souvent demandée ce qui se passerait si tout le monde traitait les gens qui ont subi un choc psychologique avec humanité et tolérance plutôt que de les isoler. C’est ce qu’essayent de faire les habitants de cette ville. Même s’ils ne comprennent pas ce qui se passe dans la tête de Lars, ils font tout pour l’aider et ne pas le laisser isolé. » Tolérance et entraide sont les principaux thèmes du film. RYAN GOSLING (Lars) : « Les personnages sont montrés avec beaucoup de tendresse. Contrairement aux films où on se focalise sur la capacité destructrice de l’humain, celui-là croit en la bonté et l’altruisme des gens. J’ai beaucoup d’admiration pour Lars ; bien qu’il se sente très seul, il a fait le choix d’aimer sans rien attendre en retour. Il est fragile mais remarquablement généreux par nature. » EMILY MORTIMER : « Dans ce genre de film, on pourrait s’attendre à ce que le type un peu étrange soit rejeté par la société. Mais ici, l’intégration de Bianca par la communauté participe aussi à celle de Lars. Ce sont des gens simples, ils font du mieux qu’ils peuvent. Ils prennent Bianca très au sérieux et avec le temps, ils vont même développer avec elle une relation personnelle. Pour Karin, cette poupée devient une amie, une personne avec qui elle peut partager des secrets, parler chiffons et elle s’amuse à l’habiller et la coiffer. C’est assez touchant parce qu’étant enceinte, elle ne cesse de prendre du poids et se sent de moins en moins sexy, contrairement à Bianca qui reste une créature de rêve.» Avec Bianca, Lars fait ses premiers pas dans l’art difficile de la séduction. Alors qu’il lui fait visiter les endroits préférés de son enfance, il trouve le courage de lui donner la sérénade du haut d’une cabane perchée dans un arbre. RYAN GOSLING : « A un moment, il fallait que Lars se dévoile et montre sa fragilité. J’ai donc réfléchi à ce qui pourrait me rendre aussi vulnérable que lui et je me suis aperçu que le plus difficile serait de chanter... » Les premiers effets bénéfiques de la présence de Bianca se font sentir quand Lars accepte une invitation chez un collègue de travail. NANCY OLIVER : « Même si sa petite amie est en silicone, il peut, grâce à elle, participer aux activités de la communauté. Elle lui donne le sentiment d’être normal. Tout le monde est un peu surpris au début, puis l’étrange couple devient le centre de toutes les attentions. Lars est très fier parce que Bianca est la plus sexy de la soirée. Avant cela, il était incapable de discuter avec autant de personnes dans une pièce. Cette soirée marque sa première occasion de s’épanouir. » Alors que Lars sort progressivement de sa coquille, le Dr. Berman parvient à saisir la cause de ses problèmes : « Lars est atteint d’aphenphosmophobie, la peur d’être touché. De plus, il est perturbé par la grossesse de Karin et redoute l’arrivée du bébé parce que sa mère est morte en lui donnant la vie. Pour Lars, la naissance est étroitement liée à la mort et plus Karin avance dans sa grossesse, plus ses peurs s’intensifient. Le fait que Karin soit pour Lars une sorte de substitut maternel ne fait qu’exacerber ses angoisses. » L’évolution de Lars devient plus apparente quand sa peur de Margo se transforme en jalousie lorsqu’elle se trouve un petit ami, émotion qu’il n’imaginait pas. A mesure qu'il se prend d'affection pour Margo, sa relation avec Bianca se dégrade. CRAIG GILLESPIE : « Au contact de Bianca, Lars a appris à se comporter avec les gens, et avec les femmes en particulier. Il est attiré par Margo et plus il essaye de rester fidèle à Bianca, plus sa frustration grandit. » PATRICIA CLARKSON : « Lorsque Lars se coupe de Bianca, Gus et Karin redoutent qu’il ne s’enfonce à nouveau dans son isolement. Le Dr. Berman leur explique que c’est justement l’inverse qui se produit. En se séparant progressivement de Bianca, Lars devient plus adulte, découvre de nouveaux sentiments et se prépare à vivre pleinement une relation humaine. C’est sa façon d’affronter et de surmonter ses problèmes. » LE MONDE SELON LARS NANCY OLIVER : « J’ai vu beaucoup de choses étranges en surfant sur Internet. Un jour, je suis tombée sur le site de RealDoll, une société près de San Diego qui fabrique des poupées en silicone particulièrement réalistes. Cela m’avait beaucoup marquée parce qu’au-delà de l’usage qui en est fait, ces poupées soulignaient surtout le fait que certaines personnes sont incapables d’avoir des relations humaines normales. C’est exactement le problème de Lars : il n’a jamais connu l’amour d’une femme ou d’une mère et désire plus que tout un peu de tendresse et d’affection. » Alors qu’il aurait été facile d’utiliser Bianca comme support d’une comédie triviale, Nancy Oliver a choisi d’en faire l’élément central d’une histoire tendre et décalée sur la solitude, le désir d’amour et la bonté. NANCY OLIVER : « Je pense qu’il y a déjà suffisamment de films sombres, sarcastiques et mesquins sur la détresse humaine. Je voulais écrire quelque chose sur la compassion et la gentillesse. » CRAIG GILLESPIE : « Cette histoire faisait peur à tout le monde. Il nous a fallu beaucoup d’efforts pour convaincre les studios. Il s’est écoulé trois longues années avant que le projet ne se mette en place. Ryan Gosling, premier acteur auquel j’avais pensé, nous a répondu très vite. En écoutant son point de vue sur le film, j’ai tout de suite vu que nous étions sur la même longueur d’onde. Le recrutement des autres comédiens s’est déroulé tout aussi facilement. » LA CHALEUR AU CŒUR DE L’HIVER : LE TOURNAGE CRAIG GILLESPIE : « Nous avons décidé de débuter le tournage en hiver pour coïncider avec le scénario. Les grandes étendues de ciel vide renforçaient le sentiment de solitude. La neige et le froid étaient aussi des éléments importants parce que le film parle justement de chaleur humaine. Cette histoire a quelque chose du conte de fées et la lumière douce de l’hiver était parfaite pour l’éclairer. » JOHN CAMERON (producteur) : « L’histoire se déroule dans le Midwest et s’étend de l’hiver jusqu’au printemps. Les paysages, les gens et les maisons ont tous quelque chose d’assez austère que notre directeur de la photo a su mettre en valeur. Que ce soit la photo, les décors ou les costumes, tout a été pensé dans cette optique. » Pour capter la lumière naturelle désirée, il fallait aller le plus loin possible vers le nord tout en restant dans une zone qui permette de réunir une équipe et de trouver du matériel. Toronto était le choix le plus logique. Craig Gillespie voulait filmer un maximum de scènes dans des lieux authentiques pour ancrer dans la réalité cette histoire incroyable. Un des extérieurs du film, la maison des Lindstrom, se situe dans la petite ville de Whitevale à l’est de Toronto. Abandonnée il y a plusieurs années pour construire un aéroport qui n’a finalement jamais vu le jour, Whitevale est aujourd’hui une ville fantôme. RYAN GOSLING : « Les gens ont vendu leurs maisons. Tout est vide et perdu en plein milieu de la campagne, c’est assez angoissant ! On dirait une ville de vampires ! Pour me sentir plus proche de mon personnage, je dormais dans l’appartement qui est dans le garage de la maison où nous avons tourné. Comme il n’y avait rien ni personne autour, c’est vite devenu très effrayant et j’ai fini par dormir avec les lumières allumées ! » EMILY MORTIMER : « Nous étions tous très impressionnés par Ryan Gosling. Dormir dans un lieu aussi lugubre montrait à quel point il s’impliquait dans son personnage. » Pour tous les acteurs du film, le plus étrange n’aura pas été de voir Ryan Gosling dormir dans un garage, mais d’avoir une poupée en silicone en guise de partenaire. KELLI GARNER (Margo) : « Pour moi c’était très bizarre, parce que mon personnage est en concurrence directe avec Bianca pour obtenir l’affection de Lars. Je ne savais pas quoi faire avec elle ; la voir assise dans une chaise quand elle ne servait pas était vraiment étrange. Comme elle coûte assez cher, j’évitais de la toucher. En fait, je me sentais très mal à l’aise ! J’avais le sentiment que c’était un peu un objet sacré pour Craig Gillespie et Ryan Gosling, alors j’essayais de ne pas trop m’en occuper. » JOHN CAMERON : « D’un point de vue pratique, nous avons travaillé avec Bianca comme nous l’aurions fait avec n’importe quelle actrice, c’est-à-dire avec beaucoup de respect. Personne ne faisait de blagues sur elle, nous voulions avant tout maintenir l’idée qu’elle était une vraie personne pour Lars. Nous avons donc demandé à toute l’équipe de la considérer comme telle. » RYAN GOSLING : « Bianca est une actrice très expressive. Même quand elle ne dit rien, elle communique énormément de choses. C’était assez incroyable à voir. Son jeu est d’une qualité rare. Pour être honnête, c’est très intimidant parce que contrairement à beaucoup d’acteurs qui arrivent devant les caméras en sachant ce qu’ils vont faire, Bianca improvise toutes ses scènes. C’est très difficile de s’habituer à une telle liberté quand vous lui donnez la réplique, il faut s’avoir s’adapter et ne pas essayer de la contrôler. J’ai beaucoup appris avec elle. Vraiment beaucoup ! » EMILY MORTIMER : « Plus sérieusement, le ton du film était très délicat à maintenir parce qu’il était à la fois sérieux et comique. Le texte est bien écrit et nos répliques souvent désopilantes, mais il fallait toujours éviter de tomber dans la farce pour ne pas gâcher la profondeur de l’histoire. Lars essaye de surmonter sa peine, sa solitude, son inaptitude sociale, son sentiment de rejet et son incapacité à exprimer ses émotions. Nous connaissons tous plus ou moins cette histoire, ayant un jour ou l’autre rencontré un de ces problèmes. La présence de Bianca la rend rafraîchissante, étrange, différente et nouvelle. » DEVANT LA CAMERA RYAN GOSLING (Lars) Ryan Gosling débute à la télévision dans la série « Hercule contre Arès » où il interprète le rôle du jeune Hercule. Il décroche ensuite son premier rôle au cinéma dans LE PLUS BEAU DES COMBATS de Boaz Yakin aux côtés de Denzel Washigton. Il enchaîne ensuite avec DANNY BALINT de Henry Bean, THE SLAUGHTER RULE de Alex et Andrew Smith, CALCULS MEURTRIERS de Barbet Schroeder aux côtés de Sandra Bullock et Michael Pitt, THE UNITED STATES OF LELAND de Matthew Ryan Hoge, N’OUBLIE JAMAIS de Nick Cassavetes d’après le best-seller de Nicholas Sparks, STAY de Marc Forster, HALF NELSON de Ryan Fleck pour lequel il est cité à l’Oscar du meilleur acteur. On l’a vu récemment dans LA FAILLE de Gregory Hoblit aux côtés d’Anthony Hopkins. Il sera prochainement à l’affiche de THE OTHER SIDE de David Michaelson et ALL GOOD THINGS de Andrew Jarecki. PATRICIA CLARKSON (Dr Dagmar Berman) Patricia Clarkson débute dans LES INCORRUPTIBLES de Brian De Palma. Elle tourne ensuite dans de nombreux films notamment JUMANJI de Joe Johnston, HIGH ART de Lisa Cholodenko, LA LIGNE VERTE de Frank Darabont, THE PLEDGE de Sean Penn, BIENVENUE A COLLINWOOD de Anthony et Joe Russo, LOIN DU PARADIS de Todd Haynes, DOGVILLE de Lars Von Trier, THE STATION AGENT de Thomas McCarthy, GOOD NIGHT, AND GOOD LUCK de George Clooney, LES FOUS DU ROI de Steven Zaillian. On l'a vu récemment dans MARRIED LIFE de Ira Sachs et VICKY CRISTINA BARCELONA de Woody Allen. On la retrouvera prochainement dans THE DYING GAUL de Craig Lucas, BLIND DATE de Stanley Tucci, HURRICANE MARY de Arvin Brown et ELEGY d’Isabel Coixet. PAUL SCHNEIDER (Gus) Paul Schneider a tenu son premier rôle au cinéma en incarnant Rico Rice dans le film de David Gordon Green, GEORGE WASHINGTON. Les deux hommes se sont connus à la North Carolina School of Arts. Paul avait tourné dans le court métrage de David, PLEASANT GROVE, qui donnera par la suite GEORGE WASHINGTON. Il joue ensuite dans SECURITY COLORADO de Andrew Gillis, puis retrouve David Gordon Green pour ALL THE REAL GIRLS. Il tourne ensuite RENCONTRES A ELIZABETHTOWN de Cameron Crowe, ESPRIT DE FAMILLE de Thomas Bezucha. Il était récemment à l’affiche de L’ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE LACHE ROBERT FORD d’Andrew Dominik, avec Brad Pitt. On le verra prochainement dans LIVE FREE OR DIE de Gregg Kavet et Andy Robin et BRIGHT STAR de Jane Campion. EMILY MORTIMER (Karin) Emily Mortimer est née à Londres. Elle est la fille de l’écrivain John Mortimer. Après des études à la St. Paul’s Girls’ School de Barnes, au Lincoln College de l’université d’Oxford où elle obtient un diplôme en russe et en anglais, et à l’école de théâtre de Moscou, elle débute au cinéma dans L’OMBRE ET LA PROIE de Stephen Hopkins. Elle tourne ensuite dans LE SAINT de Philip Noyce, ELIZABETH de Shekhar Kapur, COUP DE FOUDRE A NOTTING HILL de Roger Michell, LOVELY AND AMAZING de Nicole Holofcener, PEINES D’AMOUR PERDUES de Kenneth Branagh, LE 51E ETAT de Ronny Yu, YOUNG ADAM de David MacKenzie aux côtés de Ewan McGregor et Tilda Swinton, DEAR FRANKIE de Shona Auerbach, MATCH POINT de Woody Allen aux côtés de Scarlett Johansson, Jonathan Rhys-Meyers et Matthew Goode, LA PANTHERE ROSE de Shawn Levy et le segment de PARIS JE T’AIME réalisé par Olivier Assayas. Elle sera prochainement à l’affiche de WHO KILLED NORMA BARNES de Malcolm McKay, CHAOS THEORY de Marcos Siega, REDBELT de David Mamet, NUMBER 13 de Chase Palmer, SHUTTER ISLAND de Martin Scorsese. KELLI GARNER (Margo) Remarquée dans le court-métrage de Mike Mills, THE ARCHITECTURE OF REASSURANCE, Larry Clark lui confie le rôle de Heather Swallers, l’adolescente droguée de son film BULLY. Elle joue par la suite dans LOVE LIZA de Todd Louiso, OUTSIDE de Jeff Mahler, HOMETOWN LEGEND de James Anderson et CONFESSIONS D’UN HOMME DANGEREUX de et avec George Clooney. Elle a été Faith Domergue, jeune épouse de Leonardo DiCaprio dans THE AVIATOR de Martin Scorsese. Elle a joué depuis dans GARDE RAPPROCHEE de Stephen Herek, AGE DIFFICILE OBSCUR, écrit et réalisé par Mike Mills. LONDON de Hunter Richards, PIGGY BANKS de Morgan J. Freeman. Plus récemment, elle a joué dans RETURN TO RAJAPUR de Nanda Anand et DREAMLAND de Jason Matzner. Elle sera prochainement à l’affiche de SPECTACULAR REGRET de Joshua Leonard et G-FORCE de Hoyt Yeatman. DERRIERE LA CAMERA CRAIG GILLESPIE Réalisateur Né en Australie, Craig Gillespie s’installe aux Etats-Unis à l’âge de 19 ans pour étudier l’illustration, le graphisme et la publicité à la School of Visual Arts de Manhattan. Il débute sa carrière en réalisant des films publicitaires. Après un Lion d’or au Festival du film publicitaire de Cannes et un Emmy Award, il obtient le Directors Guild Award en 2006. Deux de ses films publicitaires font d’ailleurs partie de la collection permanente du Musée d’Art Moderne de New York. Il signe sa première réalisation pour le cinéma avec MR.WOODCOCK, comédie avec Billy Bob Thornton, Seann William Scott et Susan Sarandon. UNE FIANCEE PAS COMME LES AUTRES est son deuxième film. JOHN CAMERON Producteur John Cameron commence par faire des films 8 mm avec Sam Raimi et l’acteur et producteur Bruce Campbell, alors tous trois lycéens. Après avoir étudié à la New York University Film School, il rejoint Sam et Bruce, ainsi que le producteur Rob Tapert, sur le film de Raimi, EVIL DEAD. Il sera le premier assistant réalisateur de Sam Raimi par la suite sur MORT SUR LE GRILL, DARKMAN, EVIL DEAD III : L’ARMÉE DES TÉNÈBRES et MORT OU VIF. A la même époque, il fait la connaissance des frères Coen et commence à travailler avec eux comme premier assistant réalisateur sur LE GRAND SAUT, que Sam Raimi a coécrit avec les frères Coen, avant de coproduire FARGO, THE BIG LEBOWSKI, O’BROTHER, THE BARBER : L’HOMME QUI N’ETAIT PAS LA, INTOLERABLE CRUAUTE et LADYKILLERS. Il a depuis produit BAD SANTA de Terry Zwigoff, FRIDAY NIGHT LIGHTS et LE ROYAUME de Peter Berg ainsi que LAKEVIEW TERRACE de Neil Labute. Il a cofondé la société de production cinéma et télévision Film 44 avec Peter Berg et la productrice Sarah Aubrey. SARAH AUBREY Productrice Sarah Aubrey est née à Austin. Après son diplôme de droit à l’Université du Texas et de Princeton, elle exerce en tant qu’avocate spécialisée dans le spectacle. Associée à Peter Berg, elle produit la série « Friday Night Lights » et LE ROYAUME avec Jamie Foxx et Jennifer Garner. Avec John Cameron, ils produisent BAD SANTA de Terry Zwigoff et FRIDAY NIGHT LIGHTS de Peter Berg. SIDNEY KIMMEL Producteur Sidney Kimmel a produit des films tels LA FAUTE A RIO de Stanley Donen, 9 SEMAINES 1/2 d’Adrian Lyne ou LE CLUB DES EMPEREURS de Michael Hoffman. Avec sa société Sidney Kimmel Entertainment, il a, entre autres, produit VOL 93 de Paul Greengrass, AGENT DOUBLE de Billy Ray, ALPHA DOG de Nick Cassavetes, TRUST THE MAN de Bart Freundlich et COPYING BEETHOVEN d’Agnieszka Holland, NOS JOYEUSES FUNERAILLES de Frank Oz et LES CERFS-VOLANTS DE KABOUL de Marc Forster, ainsi que sur le premier film de Charlie Kaufman, SYNEDOCHE, avec Philip Seymour Hoffman, MARRIED LIFE de Ira Sachs, CHARLIE BARTLETT de Jon Poll et TALK TO ME de Kasi Lemmons. NANCY OLIVER Scénariste Nancy Oliver a étudié la littérature à l’Université du Massachusetts d’Amherst et a un diplôme d’art dramatique et de mise en scène de la Florida State University. Elle a passé une grande partie de sa carrière à écrire et mettre en scène des spectacles de théâtre avant de rejoindre l’équipe des scénaristes de « Six Feet Under » en 2003. Elle a contribué à l’écriture de cinq épisodes dont le dernier de la quatrième saison, « Untitled », et le dernier de la cinquième, « Ecotone ». UNE FIANCEE PAS COMME LES AUTRES est son premier scénario pour le cinéma. ARV GREYWAL Chef décorateur Arv Greywal est né en Inde, à Bombay. A 13 ans, il s’installe avec sa famille au Canada. Diplômé en études environnementales et en architecture de l’University of Waterloo, il dirige son propre cabinet d’architecture avant de travailler en tant qu’assistant décorateur sur son premier film, LULU. Il travaille ensuite sur AMERICAN PSYCHO de Mary Harron, EXISTENZ de David Cronenberg, DIRTY WORK de Bob Saget et MIMIC de Guillermo Del Toro. Il occupe ensuite le poste de directeur artistique sur RESERVE AUX CHIENS de Bruce McCulloch, BABY-SITTOR d’Adam Shankman, L’ARMEE DES MORTS de Zack Snyder, GODSEND, EXPERIENCE INTERDITE de Nick Hamm, LE GARDIEN DU MANUSCRIT SACRE de Paul Hunter, SPIDER de David Cronenberg, K-19, LE PIEGE DES PROFONDEURS de Kathryn Bigelow, HORS LIMITES d’Andrzej Bartkowiak, A LA RENCONTRE DE FORRESTER de Gus Van Sant. Il a dernièrement signé les décors de 16 BLOCS de Richard Donner, et de LAND OF THE DEAD, LE TERRITOIRE DES MORTS de George A. Romero. KIRSTON MANN Chef costumière Avant de créer les costumes de UNE FIANCEE PAS COMME LES AUTRES, Kirston Mann a travaillé sur des productions télévisées, des films publicitaires, et sur le film BABY-SITTOR d’Adam Shankman. TATIANA S. RIEGEL Chef monteuse Tatiana S. Riegel débute comme apprentie monteuse sur LE FLEUVE DE LA MORT de Tim Hunter. Elle est ensuite assistante sur JFK d’Oliver Stone et LAST ACTION HERO de John McTiernan avant de devenir assistante monteuse sur les films de Quentin Tarantino PULP FICTION et FOUR ROOMS et monteuse associée sur JACKIE BROWN. Elle a travaillé depuis sur THE MILLION DOLLAR HOTEL de Wim Wenders, SPLENDOR de Gregg Araki et THERE WILL BE BLOOD de Paul Thomas Anderson. Elle a par ailleurs été monteuse additionnelle sur PROFESSEUR HOLLAND de Stephen Herek. FICHE ARTISTIQUE Lars Lindstrom ........................................RYAN GOSLING Karin.........................................................EMILY MORTIMER Gus............................................................PAUL SCHNEIDER Le révérend Bock .....................................R.D. REID Margo........................................................KELLI GARNER Mme Gruner .............................................NANCY BEATTY Mr Hofstedtler..........................................DOUG LENNOX Mr Shaw ...................................................JOE BOSTICK Mme Schindler..........................................LIZ GORDON Mme Petersen...........................................NICKY GUADAGNI Dr Dagmar Berman.................................PATRICIA CLARKSON Cindy.........................................................KAREN ROBINSON Kurt ..........................................................MAXWELL MCCABE-LOKOS Erik...........................................................BILLY PARROTT Deb............................................................SALLY CAHILL Sandy........................................................ANGELA VINT Laurel .......................................................LIISA REPO-MARTELL Russell.......................................................BOYD BANKS Moose........................................................DARREN HYNES Hector.......................................................VICTOR GOMEZ Nelson .......................................................TOMMY CHANG Baxter .......................................................ARNOLD PINNOCK Jerry .........................................................JOSHUA PEACE Lisa ...........................................................AURORA BROWNE Steve .........................................................ALEC MCCLURE L’infirmière Amy ......................................TANNIS BURNETT Holly ........................................................LAUREN ASH Victoria .....................................................LINDSEY CONNELL FICHE TECHNIQUE Réalisateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CRAIG GILLESPIE Scénariste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . NANCY OLIVER Producteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JOHN CAMERON et SARAH AUBREY Producteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .SIDNEY KIMMEL Producteurs exécutifs . . . . WILLIAM HORBERG, BRUCE TOLL et PETER BERG Directeur de la photographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ADAM KIMMEL Chef décorateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . AR GREWAL Chef monteuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TATIANA S. RIEGEL, A.C.E. Chef costumière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . KIRSTON MANN Casting . . . . . . . . . . . . . . . . . . . DAVID RUBIN, C.S.A. et RICHARD HICKS, C.S.A. Directrice de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WHITNEY BROWN Directeur artistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JOSHU DE CARTIER Ingénieur du son . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HENRY EMBRY Chef maquilleuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ANN BRODIE Chef coiffeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PAUL ELLIOT Compositeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .DAVID TORN Superviseur de la musique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . SPRING ASPERS Studios réenregistrement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WILDFIRE STUDIOS Producteurs musique . . . . . . . . . . . . . BRYAN ELLIOTT LAWSON et DAVID TORN Musique enregistrée et mixée par . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WARNER BROS Musique enregistrée et mixée chez . . . . . . . . . . . . . . .EASTWOOD SCORING STAGE Orchestrations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JENNIFER HAMMOND Chef d’orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MIKE NOWAK Sorry Paroles et musique de Matt McMullen et Clay Davis Interprétée par Nick Black Avec l’accord de Black Eye Records Easystreet Paroles et musique de Randall Andrews et Greg Upton Interprétée par Buckeleven Avec l’accord de MS-Pro Holy, Holy, Holy Paroles et musique de Reginald Heber et John Bacchus Dykes LOVE Paroles et musique de Bert Kaempfert et Milt Gabler Interprétée par Ryan Gosling Genius Of Love Paroles et musique d’Adrian Belew, Christopher Frantz, Steven JC Stanley et Tina Weymouth Interprétée par Tom Tom Club Avec l’accord de Sire Records Et de Warner Music Group Film & TV Licensing Avec l’accord de The Island Def Jam Music Group Sous licence Universal Music Enterprises Avec l’accord de Metered Music Inc. Dancing For No One Paroles et musique de Jared Smith, Juliette Commagere, et Joachim Cooder Interprétée par Hello Stranger Sous licence Aeronaut Records Avec l’accord de Coda Music Licensing All Around Me Paroles et musique de Jack Maher Interprétée par Feed the Kitty Avec l’accord de War of Art Records This Must Be The Place (Naïve Melody) Live Version Paroles et musique de David Byrne, Chris Frantz, Jerry Harrison, et Tina Weymouth Interprétée par Talking Heads Avec l’accord de Warner Bros. Records Inc. Et de Warner Music Group Film & TV Licensing et avec l’accord de EMI Records, LTD. Crashing My System Interprétée par Niki Saletta Paroles et musique de Niki Saletta et Jimmy Harry Avec l’accord de Moss Entertainment/MS-Pro © 2007 Kimmel Distribution, LLC Tous droits réservés Textes : Pascale & Gilles