LARS AND THE REAL GIRL

Transcription

LARS AND THE REAL GIRL
Une
fiancée
pas comme les autres
(LARS AND THE REAL GIRL)
Une comédie de
Craig Gillespie
©Pierre Collier d’après dessin de Philippe Dupuy et Charles Berberian
Metro-Goldwyn-Mayer Pictures
et Sidney Kimmel Entertainment
présentent
Une production John Cameron/Sarah Aubrey
Une
fiancée
pas comme les autres
(LARS AND THE REAL GIRL)
Un film de Craig
Gillespie
Ryan Gosling • Emily Mortimer
Paul Schneider • Kelli Garner •Patricia Clarkson
Avec
Durée : 1h42
Format image 1.85 - Son Dolby SRD
Sortie le 24 décembre 2008
DISTRIBUTION
DIAPHANA
155 rue du Fbg Saint-Antoine
75011 Paris
Tél. : 01 53 46 66 66
PRESSE
Jérôme Jouneaux, Isabelle Duvoisin
& Matthieu Rey
10 rue d’Aumale-75009 Paris
Tél. : 01 53 20 01 20
Photos téléchargeables sur : www.diaphana.fr/presse
©Dupuy-Berberian
L’HISTOIRE
Timide et introverti, Lars vit seul dans le garage
aménagé de son frère Gus et de sa belle-sœur Karin,
dans un petit village du Middlewest.
Quand il leur annonce qu’il a enfin rencontré une jeune
fille sur internet et qu’elle va bientôt lui rendre visite,
Gus et Karin sont soulagés et très impatients de faire
sa connaissance.
Leur surprise est grande lorsque Lars leur présente
très officiellement l’étrange Bianca.
Sur les conseils de leur médecin, Karin et Gus décident
de ne pas heurter Lars et d’accepter son amie. Bianca
accompagne Lars à table, à l’église ou au supermarché attirant l’attention et la stupéfaction générale du village.
NOTES DE PRODUCTION
En faisant surgir un personnage qui n’a rien d’humain dans sa vie et celle de ses
proches, Lars va changer l’existence d’un village entier…
QUI N’A JAMAIS REVE D’EPOUSER UN MANNEQUIN ?
Lars Lindstrom n’a jamais quitté son petit village du Midwest. Modeste employé
de bureau, il vit dans le garage aménagé de la maison de son enfance, désormais
occupée par son frère, Gus, et sa belle-sœur, Karin. Replié sur lui-même, Lars évite
tout contact humain. Sa vie sociale se résume à la messe du dimanche et quelques
conversations avec ses collègues de travail. Il refuse toutes les invitations de Gus
et Karin et fuit Margo, une jeune collègue, qui ne manque jamais une occasion de
l’approcher…
Alors que Gus s’est résigné au comportement de son frère, Karin,
enceinte de leur premier enfant, essaye désespérément de sortir son beau-frère de
son isolement et d’entretenir des relations familiales normales.
Lorsque Lars présente Bianca à Gus et Karin, « une jeune femme mi danoise, mi
brésilienne », ils sont très surpris. Pour Lars, Bianca est une jeune fille timide et
vertueuse élevée par des nonnes et qui se déplace en fauteuil roulant. Gus et Karin
acceptent tout de même d’héberger cette nouvelle invitée.
EMILY MORTIMER (Karin) : « L’arrivée de Bianca provoque un séisme dans
la famille. Gus a peur que les gens ne prennent son frère pour un fou et ne sait
pas comment réagir. Karin va essayer d’apaiser ses craintes et maintenir les liens
fraternels. »
CRAIG GILLESPIE (réalisateur) : « Karin est une figure maternelle pour Lars.
Forte et résolue, tout en étant douce et affectueuse, elle est le ciment de cette famille. »
PAUL SCHNEIDER (Gus) : « C’est une situation vraiment très difficile pour
Gus. Il doit non seulement vivre avec ce frère dont tout le monde
se moque mais en plus jouer le jeu en faisant preuve de patience pour
épauler la femme qu’il aime. L’arrivée de Bianca est cependant un véritable choc
qui met à nu les problèmes entre les deux frères mais permet aussi de les
exorciser. »
Karin propose à Lars d’emmener sa nouvelle amie Bianca chez le
médecin de famille pour s’assurer que le changement de climat n’a pas
affecté sa santé.
PATRICIA CLARKSON (Dr Dagmar Berman) : « Au début, mon
personnage ne sait pas comment s’y prendre. Elle sait que le jeune homme
considère Bianca comme une personne réelle et demande à ce que tout le monde
en fasse autant pour le ménager, jusqu’à ce qu’elle trouve un traitement
approprié. A chaque nouvelle visite, Lars lui parle des problèmes de Bianca, qui
reflètent ses propres difficultés. Mais il sent bien que le Dr. Berman lui cache ses
véritables motivations, l’empêchant de se confier complètement à elle. Tout au
long du film, mon personnage reste neutre, ouvert, tolérant et très patient avec Lars. »
CRAIG GILLESPIE : « Le Dr. Berman explique à Gus et Karin que le
délire de Lars pourrait être l’occasion d’évacuer ses problèmes. Ils décident de
jouer le jeu et demandent à la communauté d’en faire autant en accueillant
Bianca. Bien que réticents au départ, la plupart des gens acceptent de les aider.
Rapidement, Bianca devient pour tout le monde bien plus utile qu’on ne l’aurait
imaginé. »
NANCY OLIVER (scénariste) : « C’est une réaction qui illustre très bien
la faculté d’intégration de l’être humain. Toute la communauté accepte
Bianca et profite de ses « compétences ». Je me suis souvent demandée ce
qui se passerait si tout le monde traitait les gens qui ont subi un choc
psychologique avec humanité et tolérance plutôt que de les isoler. C’est ce
qu’essayent de faire les habitants de cette ville. Même s’ils ne comprennent
pas ce qui se passe dans la tête de Lars, ils font tout pour l’aider et ne pas
le laisser isolé. »
Tolérance et entraide sont les principaux thèmes du film.
RYAN GOSLING (Lars) : « Les personnages sont montrés avec beaucoup
de tendresse. Contrairement aux films où on se focalise sur la capacité destructrice de l’humain, celui-là croit en la bonté et l’altruisme des gens.
J’ai beaucoup d’admiration pour Lars ; bien qu’il se sente très seul, il a fait
le choix d’aimer sans rien attendre en retour. Il est fragile mais
remarquablement généreux par nature. »
EMILY MORTIMER : « Dans ce genre de film, on pourrait s’attendre à ce
que le type un peu étrange soit rejeté par la société. Mais ici, l’intégration de
Bianca par la communauté participe aussi à celle de Lars. Ce sont des gens
simples, ils font du mieux qu’ils peuvent. Ils prennent Bianca très au
sérieux et avec le temps, ils vont même développer avec elle une
relation personnelle. Pour Karin, cette poupée devient une amie, une
personne avec qui elle peut partager des secrets, parler chiffons et elle
s’amuse à l’habiller et la coiffer. C’est assez touchant parce qu’étant
enceinte, elle ne cesse de prendre du poids et se sent de moins en moins sexy,
contrairement à Bianca qui reste une créature de rêve.»
Avec Bianca, Lars fait ses premiers pas dans l’art difficile de la séduction.
Alors qu’il lui fait visiter les endroits préférés de son enfance, il trouve le
courage de lui donner la sérénade du haut d’une cabane perchée dans un
arbre.
RYAN GOSLING : « A un moment, il fallait que Lars se dévoile et montre
sa fragilité. J’ai donc réfléchi à ce qui pourrait me rendre aussi vulnérable
que lui et je me suis aperçu que le plus difficile serait de chanter... »
Les premiers effets bénéfiques de la présence de Bianca se font sentir quand
Lars accepte une invitation chez un collègue de travail.
NANCY OLIVER : « Même si sa petite amie est en silicone, il peut, grâce
à elle, participer aux activités de la communauté. Elle lui donne le
sentiment d’être normal. Tout le monde est un peu surpris au début, puis
l’étrange couple devient le centre de toutes les attentions. Lars est très fier
parce que Bianca est la plus sexy de la soirée. Avant cela, il était
incapable de discuter avec autant de personnes dans une pièce. Cette
soirée marque sa première occasion de s’épanouir. »
Alors que Lars sort progressivement de sa coquille, le Dr. Berman
parvient à saisir la cause de ses problèmes : « Lars est atteint d’aphenphosmophobie, la peur d’être touché. De plus, il est perturbé par la
grossesse de Karin et redoute l’arrivée du bébé parce que sa mère est morte
en lui donnant la vie. Pour Lars, la naissance est étroitement liée à la mort
et plus Karin avance dans sa grossesse, plus ses peurs s’intensifient. Le fait
que Karin soit pour Lars une sorte de substitut maternel ne fait qu’exacerber ses angoisses. »
L’évolution de Lars devient plus apparente quand sa peur de Margo
se transforme en jalousie lorsqu’elle se trouve un petit ami, émotion qu’il
n’imaginait pas. A mesure qu'il se prend d'affection pour Margo, sa relation
avec Bianca se dégrade.
CRAIG GILLESPIE : « Au contact de Bianca, Lars a appris à se comporter avec les gens, et avec les femmes en particulier. Il est attiré par Margo et
plus il essaye de rester fidèle à Bianca, plus sa frustration grandit. »
PATRICIA CLARKSON : « Lorsque Lars se coupe de Bianca, Gus et Karin
redoutent qu’il ne s’enfonce à nouveau dans son isolement.
Le Dr. Berman leur explique que c’est justement l’inverse qui se produit.
En se séparant progressivement de Bianca, Lars devient plus adulte, découvre de nouveaux sentiments et se prépare à vivre pleinement une relation
humaine. C’est sa façon d’affronter et de surmonter ses problèmes. »
LE MONDE SELON LARS
NANCY OLIVER : « J’ai vu beaucoup de choses étranges en surfant sur
Internet. Un jour, je suis tombée sur le site de RealDoll, une société près de San
Diego qui fabrique des poupées en silicone particulièrement réalistes. Cela m’avait
beaucoup marquée parce qu’au-delà de l’usage qui en est fait, ces poupées
soulignaient surtout le fait que certaines personnes sont incapables d’avoir des
relations humaines normales. C’est exactement le problème de Lars : il n’a jamais
connu l’amour d’une femme ou d’une mère et désire plus que tout un peu de
tendresse et d’affection. »
Alors qu’il aurait été facile d’utiliser Bianca comme support d’une
comédie triviale, Nancy Oliver a choisi d’en faire l’élément central d’une histoire
tendre et décalée sur la solitude, le désir d’amour et la bonté.
NANCY OLIVER : « Je pense qu’il y a déjà suffisamment de films sombres,
sarcastiques et mesquins sur la détresse humaine. Je voulais écrire quelque chose
sur la compassion et la gentillesse. »
CRAIG GILLESPIE : « Cette histoire faisait peur à tout le monde. Il nous a fallu
beaucoup d’efforts pour convaincre les studios. Il s’est écoulé trois longues années
avant que le projet ne se mette en place. Ryan Gosling, premier acteur auquel
j’avais pensé, nous a répondu très vite. En écoutant son point de vue sur le film,
j’ai tout de suite vu que nous étions sur la même longueur d’onde. Le recrutement
des autres comédiens s’est déroulé tout aussi facilement. »
LA CHALEUR AU CŒUR DE L’HIVER :
LE TOURNAGE
CRAIG GILLESPIE : « Nous avons décidé de débuter le tournage en hiver pour
coïncider avec le scénario. Les grandes étendues de ciel vide renforçaient le
sentiment de solitude. La neige et le froid étaient aussi des éléments importants
parce que le film parle justement de chaleur humaine. Cette histoire a quelque
chose du conte de fées et la lumière douce de l’hiver était parfaite pour l’éclairer. »
JOHN CAMERON (producteur) : « L’histoire se déroule dans le Midwest et
s’étend de l’hiver jusqu’au printemps. Les paysages, les gens et les maisons ont tous
quelque chose d’assez austère que notre directeur de la photo a su mettre en
valeur. Que ce soit la photo, les décors ou les costumes, tout a été pensé dans cette
optique. »
Pour capter la lumière naturelle désirée, il fallait aller le plus loin possible vers le
nord tout en restant dans une zone qui permette de réunir une équipe et de
trouver du matériel. Toronto était le choix le plus logique. Craig Gillespie voulait
filmer un maximum de scènes dans des lieux authentiques pour ancrer dans la
réalité cette histoire incroyable.
Un des extérieurs du film, la maison des Lindstrom, se situe dans la petite ville de
Whitevale à l’est de Toronto. Abandonnée il y a plusieurs années pour construire
un aéroport qui n’a finalement jamais vu le jour, Whitevale est aujourd’hui une ville
fantôme.
RYAN GOSLING : « Les gens ont vendu leurs maisons. Tout est vide et perdu en
plein milieu de la campagne, c’est assez angoissant ! On dirait une ville de vampires !
Pour me sentir plus proche de mon personnage, je dormais dans l’appartement
qui est dans le garage de la maison où nous avons tourné. Comme il n’y avait rien
ni personne autour, c’est vite devenu très effrayant et j’ai fini par dormir avec les
lumières allumées ! »
EMILY MORTIMER : « Nous étions tous très impressionnés par Ryan Gosling.
Dormir dans un lieu aussi lugubre montrait à quel point il s’impliquait dans son
personnage. »
Pour tous les acteurs du film, le plus étrange n’aura pas été de voir Ryan Gosling
dormir dans un garage, mais d’avoir une poupée en silicone en guise de partenaire.
KELLI GARNER (Margo) : « Pour moi c’était très bizarre, parce que mon
personnage est en concurrence directe avec Bianca pour obtenir l’affection de Lars.
Je ne savais pas quoi faire avec elle ; la voir assise dans une chaise quand elle ne
servait pas était vraiment étrange. Comme elle coûte assez cher, j’évitais de la
toucher. En fait, je me sentais très mal à l’aise ! J’avais le sentiment que c’était un
peu un objet sacré pour Craig Gillespie et Ryan Gosling, alors j’essayais de ne pas trop
m’en occuper. »
JOHN CAMERON : « D’un point de vue pratique, nous avons travaillé
avec Bianca comme nous l’aurions fait avec n’importe quelle actrice,
c’est-à-dire avec beaucoup de respect. Personne ne faisait de blagues sur elle, nous
voulions avant tout maintenir l’idée qu’elle était une vraie personne pour Lars.
Nous avons donc demandé à toute l’équipe de la considérer comme telle. »
RYAN GOSLING : « Bianca est une actrice très expressive. Même quand elle ne
dit rien, elle communique énormément de choses. C’était assez incroyable à voir.
Son jeu est d’une qualité rare. Pour être honnête, c’est très intimidant parce que
contrairement à beaucoup d’acteurs qui arrivent devant les caméras en sachant ce
qu’ils vont faire, Bianca improvise toutes ses scènes. C’est très difficile de s’habituer à une telle liberté quand vous lui donnez la réplique, il faut s’avoir s’adapter
et ne pas essayer de la contrôler. J’ai beaucoup appris avec elle. Vraiment
beaucoup ! »
EMILY MORTIMER : « Plus sérieusement, le ton du film était très délicat à
maintenir parce qu’il était à la fois sérieux et comique. Le texte est bien écrit et nos
répliques souvent désopilantes, mais il fallait toujours éviter de tomber dans la
farce pour ne pas gâcher la profondeur de l’histoire. Lars essaye de surmonter sa
peine, sa solitude, son inaptitude sociale, son sentiment de rejet et son incapacité
à exprimer ses émotions. Nous connaissons tous plus ou moins cette histoire, ayant
un jour ou l’autre rencontré un de ces problèmes. La présence de Bianca la rend
rafraîchissante, étrange, différente et nouvelle. »
DEVANT LA CAMERA
RYAN GOSLING (Lars)
Ryan Gosling débute à la télévision dans la série « Hercule contre Arès » où il
interprète le rôle du jeune Hercule.
Il décroche ensuite son premier rôle au cinéma dans LE PLUS BEAU DES
COMBATS de Boaz Yakin aux côtés de Denzel Washigton.
Il enchaîne ensuite avec DANNY BALINT de Henry Bean, THE SLAUGHTER
RULE de Alex et Andrew Smith, CALCULS MEURTRIERS de Barbet
Schroeder aux côtés de Sandra Bullock et Michael Pitt, THE UNITED STATES
OF LELAND de Matthew Ryan Hoge, N’OUBLIE JAMAIS de Nick Cassavetes
d’après le best-seller de Nicholas Sparks, STAY de Marc Forster, HALF NELSON
de Ryan Fleck pour lequel il est cité à l’Oscar du meilleur acteur.
On l’a vu récemment dans LA FAILLE de Gregory Hoblit aux côtés d’Anthony
Hopkins. Il sera prochainement à l’affiche de THE OTHER SIDE de David
Michaelson et ALL GOOD THINGS de Andrew Jarecki.
PATRICIA CLARKSON (Dr Dagmar Berman)
Patricia Clarkson débute dans LES INCORRUPTIBLES de Brian De Palma.
Elle tourne ensuite dans de nombreux films notamment JUMANJI de Joe
Johnston, HIGH ART de Lisa Cholodenko, LA LIGNE VERTE de Frank
Darabont, THE PLEDGE de Sean Penn, BIENVENUE A COLLINWOOD de
Anthony et Joe Russo, LOIN DU PARADIS de Todd Haynes, DOGVILLE de
Lars Von Trier, THE STATION AGENT de Thomas McCarthy, GOOD NIGHT,
AND GOOD LUCK de George Clooney, LES FOUS DU ROI de Steven Zaillian.
On l'a vu récemment dans MARRIED LIFE de Ira Sachs et VICKY CRISTINA
BARCELONA de Woody Allen. On la retrouvera prochainement dans THE
DYING GAUL de Craig Lucas, BLIND DATE de Stanley Tucci, HURRICANE
MARY de Arvin Brown et ELEGY d’Isabel Coixet.
PAUL SCHNEIDER (Gus)
Paul Schneider a tenu son premier rôle au cinéma en incarnant Rico Rice dans le
film de David Gordon Green, GEORGE WASHINGTON. Les deux hommes se
sont connus à la North Carolina School of Arts. Paul avait tourné dans le court
métrage de David, PLEASANT GROVE, qui donnera par la suite GEORGE
WASHINGTON. Il joue ensuite dans SECURITY COLORADO de Andrew
Gillis, puis retrouve David Gordon Green pour ALL THE REAL GIRLS.
Il tourne ensuite RENCONTRES A ELIZABETHTOWN de Cameron Crowe,
ESPRIT DE FAMILLE de Thomas Bezucha.
Il était récemment à l’affiche de L’ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE
LACHE ROBERT FORD d’Andrew Dominik, avec Brad Pitt.
On le verra prochainement dans LIVE FREE OR DIE de Gregg Kavet et Andy
Robin et BRIGHT STAR de Jane Campion.
EMILY MORTIMER (Karin)
Emily Mortimer est née à Londres. Elle est la fille de l’écrivain John Mortimer.
Après des études à la St. Paul’s Girls’ School de Barnes, au Lincoln College de
l’université d’Oxford où elle obtient un diplôme en russe et en anglais, et à l’école
de théâtre de Moscou, elle débute au cinéma dans L’OMBRE ET LA PROIE de
Stephen Hopkins.
Elle tourne ensuite dans LE SAINT de Philip Noyce, ELIZABETH de Shekhar
Kapur, COUP DE FOUDRE A NOTTING HILL de Roger Michell, LOVELY
AND AMAZING de Nicole Holofcener, PEINES D’AMOUR PERDUES de
Kenneth Branagh, LE 51E ETAT de Ronny Yu, YOUNG ADAM de David
MacKenzie aux côtés de Ewan McGregor et Tilda Swinton, DEAR FRANKIE de
Shona Auerbach, MATCH POINT de Woody Allen aux côtés de Scarlett
Johansson, Jonathan Rhys-Meyers et Matthew Goode, LA PANTHERE ROSE
de Shawn Levy et le segment de PARIS JE T’AIME réalisé par Olivier Assayas.
Elle sera prochainement à l’affiche de WHO KILLED NORMA BARNES
de Malcolm McKay, CHAOS THEORY de Marcos Siega, REDBELT de
David Mamet, NUMBER 13 de Chase Palmer, SHUTTER ISLAND de Martin
Scorsese.
KELLI GARNER (Margo)
Remarquée dans le court-métrage de Mike Mills, THE ARCHITECTURE OF
REASSURANCE, Larry Clark lui confie le rôle de Heather Swallers,
l’adolescente droguée de son film BULLY.
Elle joue par la suite dans LOVE LIZA de Todd Louiso, OUTSIDE de Jeff
Mahler, HOMETOWN LEGEND de James Anderson et CONFESSIONS
D’UN HOMME DANGEREUX de et avec George Clooney. Elle a été Faith
Domergue, jeune épouse de Leonardo DiCaprio dans THE AVIATOR de Martin
Scorsese. Elle a joué depuis dans GARDE RAPPROCHEE de Stephen Herek,
AGE DIFFICILE OBSCUR, écrit et réalisé par Mike Mills. LONDON de
Hunter Richards, PIGGY BANKS de Morgan J. Freeman.
Plus récemment, elle a joué dans RETURN TO RAJAPUR de Nanda Anand et
DREAMLAND de Jason Matzner.
Elle sera prochainement à l’affiche de SPECTACULAR REGRET de Joshua
Leonard et G-FORCE de Hoyt Yeatman.
DERRIERE LA CAMERA
CRAIG GILLESPIE Réalisateur
Né en Australie, Craig Gillespie s’installe aux Etats-Unis à l’âge de 19 ans pour
étudier l’illustration, le graphisme et la publicité à la School of Visual Arts de
Manhattan.
Il débute sa carrière en réalisant des films publicitaires. Après un Lion d’or au
Festival du film publicitaire de Cannes et un Emmy Award, il obtient le Directors
Guild Award en 2006. Deux de ses films publicitaires font d’ailleurs partie de la
collection permanente du Musée d’Art Moderne de New York.
Il signe sa première réalisation pour le cinéma avec MR.WOODCOCK, comédie
avec Billy Bob Thornton, Seann William Scott et Susan Sarandon. UNE
FIANCEE PAS COMME LES AUTRES est son deuxième film.
JOHN CAMERON Producteur
John Cameron commence par faire des films 8 mm avec Sam Raimi et l’acteur et
producteur Bruce Campbell, alors tous trois lycéens. Après avoir étudié à la New
York University Film School, il rejoint Sam et Bruce, ainsi que le producteur Rob
Tapert, sur le film de Raimi, EVIL DEAD. Il sera le premier assistant réalisateur
de Sam Raimi par la suite sur MORT SUR LE GRILL, DARKMAN, EVIL
DEAD III : L’ARMÉE DES TÉNÈBRES et MORT OU VIF.
A la même époque, il fait la connaissance des frères Coen et commence à travailler avec eux comme premier assistant réalisateur sur LE GRAND SAUT, que
Sam Raimi a coécrit avec les frères Coen, avant de coproduire FARGO, THE BIG
LEBOWSKI, O’BROTHER, THE BARBER : L’HOMME QUI N’ETAIT PAS
LA, INTOLERABLE CRUAUTE et LADYKILLERS.
Il a depuis produit BAD SANTA de Terry Zwigoff, FRIDAY NIGHT LIGHTS
et LE ROYAUME de Peter Berg ainsi que LAKEVIEW TERRACE de Neil
Labute. Il a cofondé la société de production cinéma et télévision Film 44 avec
Peter Berg et la productrice Sarah Aubrey.
SARAH AUBREY Productrice
Sarah Aubrey est née à Austin. Après son diplôme de droit à l’Université du Texas
et de Princeton, elle exerce en tant qu’avocate spécialisée dans le spectacle.
Associée à Peter Berg, elle produit la série « Friday Night Lights » et
LE ROYAUME avec Jamie Foxx et Jennifer Garner.
Avec John Cameron, ils produisent BAD SANTA de Terry Zwigoff et FRIDAY
NIGHT LIGHTS de Peter Berg.
SIDNEY KIMMEL Producteur
Sidney Kimmel a produit des films tels LA FAUTE A RIO de Stanley Donen,
9 SEMAINES 1/2 d’Adrian Lyne ou LE CLUB DES EMPEREURS de Michael
Hoffman.
Avec sa société Sidney Kimmel Entertainment, il a, entre autres, produit VOL 93
de Paul Greengrass, AGENT DOUBLE de Billy Ray, ALPHA DOG de
Nick Cassavetes, TRUST THE MAN de Bart Freundlich et COPYING
BEETHOVEN d’Agnieszka Holland, NOS JOYEUSES FUNERAILLES de
Frank Oz et LES CERFS-VOLANTS DE KABOUL de Marc Forster, ainsi que
sur le premier film de Charlie Kaufman, SYNEDOCHE, avec Philip Seymour
Hoffman, MARRIED LIFE de Ira Sachs, CHARLIE BARTLETT de Jon Poll
et TALK TO ME de Kasi Lemmons.
NANCY OLIVER Scénariste
Nancy Oliver a étudié la littérature à l’Université du Massachusetts d’Amherst et
a un diplôme d’art dramatique et de mise en scène de la Florida State University.
Elle a passé une grande partie de sa carrière à écrire et mettre en scène des
spectacles de théâtre avant de rejoindre l’équipe des scénaristes de « Six Feet Under »
en 2003. Elle a contribué à l’écriture de cinq épisodes dont le dernier de la
quatrième saison, « Untitled », et le dernier de la cinquième, « Ecotone ».
UNE FIANCEE PAS COMME LES AUTRES est son premier scénario pour le
cinéma.
ARV GREYWAL Chef décorateur
Arv Greywal est né en Inde, à Bombay. A 13 ans, il s’installe avec sa famille au
Canada. Diplômé en études environnementales et en architecture de l’University
of Waterloo, il dirige son propre cabinet d’architecture avant de travailler en tant
qu’assistant décorateur sur son premier film, LULU.
Il travaille ensuite sur AMERICAN PSYCHO de Mary Harron, EXISTENZ
de David Cronenberg, DIRTY WORK de Bob Saget et MIMIC de Guillermo
Del Toro.
Il occupe ensuite le poste de directeur artistique sur RESERVE AUX CHIENS
de Bruce McCulloch, BABY-SITTOR d’Adam Shankman, L’ARMEE DES
MORTS de Zack Snyder, GODSEND, EXPERIENCE INTERDITE de Nick
Hamm, LE GARDIEN DU MANUSCRIT SACRE de Paul Hunter, SPIDER de
David Cronenberg, K-19, LE PIEGE DES PROFONDEURS de Kathryn
Bigelow, HORS LIMITES d’Andrzej Bartkowiak, A LA RENCONTRE DE
FORRESTER de Gus Van Sant.
Il a dernièrement signé les décors de 16 BLOCS de Richard Donner, et de LAND
OF THE DEAD, LE TERRITOIRE DES MORTS de George A. Romero.
KIRSTON MANN Chef costumière
Avant de créer les costumes de UNE FIANCEE PAS COMME LES AUTRES,
Kirston Mann a travaillé sur des productions télévisées, des films publicitaires, et
sur le film BABY-SITTOR d’Adam Shankman.
TATIANA S. RIEGEL Chef monteuse
Tatiana S. Riegel débute comme apprentie monteuse sur LE FLEUVE DE LA
MORT de Tim Hunter. Elle est ensuite assistante sur JFK d’Oliver Stone et
LAST ACTION HERO de John McTiernan avant de devenir assistante
monteuse sur les films de Quentin Tarantino PULP FICTION et FOUR ROOMS
et monteuse associée sur JACKIE BROWN.
Elle a travaillé depuis sur THE MILLION DOLLAR HOTEL de Wim Wenders,
SPLENDOR de Gregg Araki et THERE WILL BE BLOOD de Paul Thomas
Anderson.
Elle a par ailleurs été monteuse additionnelle sur PROFESSEUR HOLLAND
de Stephen Herek.
FICHE ARTISTIQUE
Lars Lindstrom ........................................RYAN GOSLING
Karin.........................................................EMILY MORTIMER
Gus............................................................PAUL SCHNEIDER
Le révérend Bock .....................................R.D. REID
Margo........................................................KELLI GARNER
Mme Gruner .............................................NANCY BEATTY
Mr Hofstedtler..........................................DOUG LENNOX
Mr Shaw ...................................................JOE BOSTICK
Mme Schindler..........................................LIZ GORDON
Mme Petersen...........................................NICKY GUADAGNI
Dr Dagmar Berman.................................PATRICIA CLARKSON
Cindy.........................................................KAREN ROBINSON
Kurt ..........................................................MAXWELL MCCABE-LOKOS
Erik...........................................................BILLY PARROTT
Deb............................................................SALLY CAHILL
Sandy........................................................ANGELA VINT
Laurel .......................................................LIISA REPO-MARTELL
Russell.......................................................BOYD BANKS
Moose........................................................DARREN HYNES
Hector.......................................................VICTOR GOMEZ
Nelson .......................................................TOMMY CHANG
Baxter .......................................................ARNOLD PINNOCK
Jerry .........................................................JOSHUA PEACE
Lisa ...........................................................AURORA BROWNE
Steve .........................................................ALEC MCCLURE
L’infirmière Amy ......................................TANNIS BURNETT
Holly ........................................................LAUREN ASH
Victoria .....................................................LINDSEY CONNELL
FICHE TECHNIQUE
Réalisateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CRAIG GILLESPIE
Scénariste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . NANCY OLIVER
Producteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JOHN CAMERON et SARAH AUBREY
Producteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .SIDNEY KIMMEL
Producteurs exécutifs . . . . WILLIAM HORBERG, BRUCE TOLL et PETER BERG
Directeur de la photographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ADAM KIMMEL
Chef décorateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . AR GREWAL
Chef monteuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TATIANA S. RIEGEL, A.C.E.
Chef costumière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . KIRSTON MANN
Casting . . . . . . . . . . . . . . . . . . . DAVID RUBIN, C.S.A. et RICHARD HICKS, C.S.A.
Directrice de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WHITNEY BROWN
Directeur artistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JOSHU DE CARTIER
Ingénieur du son . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HENRY EMBRY
Chef maquilleuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ANN BRODIE
Chef coiffeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PAUL ELLIOT
Compositeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .DAVID TORN
Superviseur de la musique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . SPRING ASPERS
Studios réenregistrement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WILDFIRE STUDIOS
Producteurs musique . . . . . . . . . . . . . BRYAN ELLIOTT LAWSON et DAVID TORN
Musique enregistrée et mixée par . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WARNER BROS
Musique enregistrée et mixée chez . . . . . . . . . . . . . . .EASTWOOD SCORING STAGE
Orchestrations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . JENNIFER HAMMOND
Chef d’orchestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MIKE NOWAK
Sorry
Paroles et musique de Matt McMullen et Clay Davis
Interprétée par Nick Black Avec l’accord de Black Eye Records
Easystreet
Paroles et musique de Randall Andrews et Greg Upton
Interprétée par Buckeleven Avec l’accord de MS-Pro
Holy, Holy, Holy
Paroles et musique de Reginald Heber et John Bacchus Dykes
LOVE
Paroles et musique de Bert Kaempfert et Milt Gabler
Interprétée par Ryan Gosling
Genius Of Love
Paroles et musique d’Adrian Belew, Christopher Frantz, Steven JC Stanley et Tina Weymouth
Interprétée par Tom Tom Club
Avec l’accord de Sire Records Et de Warner Music Group Film & TV Licensing
Avec l’accord de The Island Def Jam Music Group Sous licence Universal Music Enterprises
Avec l’accord de Metered Music Inc.
Dancing For No One
Paroles et musique de Jared Smith, Juliette Commagere, et Joachim Cooder
Interprétée par Hello Stranger
Sous licence Aeronaut Records Avec l’accord de Coda Music Licensing
All Around Me
Paroles et musique de Jack Maher
Interprétée par Feed the Kitty Avec l’accord de War of Art Records
This Must Be The Place (Naïve Melody) Live Version
Paroles et musique de David Byrne, Chris Frantz, Jerry Harrison, et Tina Weymouth
Interprétée par Talking Heads
Avec l’accord de Warner Bros. Records Inc. Et de Warner Music Group Film & TV Licensing
et avec l’accord de EMI Records, LTD.
Crashing My System
Interprétée par Niki Saletta
Paroles et musique de Niki Saletta et Jimmy Harry Avec l’accord de Moss Entertainment/MS-Pro
© 2007 Kimmel Distribution, LLC
Tous droits réservés
Textes : Pascale & Gilles