PARTIE I - Exemple 1
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PARTIE I - Exemple 1
Corrigé CCP 2004 - PSI - Maths I 21 juin 2004 PARTIE I - Exemple 1 I.1 La fonction f = Arctan est de classe C1 sur R+ , elle vérie f (0) = 0, donc elle est dans E0 . Arctan2 t f 2 (t) Par ailleurs l'application u : t 7→ 2 = est intégrable sur R+∗ car t t2 • elle est continue sur R+∗ ; • elle se prolonge par continuité en 0 en posant u(0) = 1 ; π2 1 • ∀t ∈ R+∗ , 0 6 u(t) 6 2 et t 7→ 2 est intégrable sur [ 1, +∞ [. 4t t Tout ceci montre que f appartient à E1 . I.2 1 1 . La fonction t 7→ 4 étant intégrable 4 t t t→+∞ sur [ 1, +∞ [ on en déduit que Hx est intégrable sur R+ . ¡ ¢2 1 Pour voir que f appartient à E2 on forme f 0 (t) = qui est égal à H1 (t). Et (1 + t2 )2 comme on vient de voir que H1 est intégrable sur R+ , cela donne : f ∈ E2 . La fonction Hx est continue sur R+ , et Hx (t) ∼ I.3 I.3.1 On écrit ϕ(x) = Z R+ h(x, t) dt avec h : R+∗ × R+ → R, La fonction h est continue sur R+∗ × R+ . Pour tout a ∈ R+∗ ∀(x, t) ∈ [ a, +∞ [ × R+∗ , 1 . (t2 + 1)(t2 + x) on a la domination : (x, t) 7→ 0 6 h(x, t) 6 Ha (t) et comme la fonction Ha est intégrable sur R+ on obtient la continuité de ϕ sur [ a, +∞ [, ceci pour tout a > 0. Donc ϕ est continue sur R+∗ . I.3.2 (T + 1) − (T + x2 ) 1 − x2 = (T + 1)(T + x2 ) (T + 1)(T + x2 ) donc 1 h −1 1 i 1 = + . (T + 1)(T + x2 ) 1 − x2 T + 1 T + x2 1 I.3.3 D'où Z ϕ(x) = R+ 1 h −1 1 i 1 h + dt = 1 − x2 t2 + 1 t2 + x2 x2 − 1 Z R+ dt − 2 t +1 Z R+ dt i t2 + x2 (car les deux dernières intégrales existent). 1 1 t Une primitive sur R+ de t 7→ 2 est t 7→ Arctan qui admet pour limites respec2 t +x x x π tives 0 et en 0 et +∞. 2x On en déduit : Z dt π π = −0= 2 2 t + x 2x 2x R+ ³ 1 π π´ π d'où encore ϕ(x) = 2 − = . x − 1 2 2x 2x(x + 1) π ϕ(x) = . 2x(x + 1) I.3.4 ¡ ¢2 N2 (f ) = Donc Z ¡ 0 ¢2 f (t) dt = R+ Z R+ H1 (t) dt = ϕ(1) = π . 4 √ π N2 (f ) = . 2 I.4 1 u2 = > 0. 1 + u2 1 + u2 Donc α est croissante et comme α(0) = 0 on obtient : En posant α(u) = u − Arctan u on a : ∀u ∈ R+ , α0 (u) = 1 − u − Arctan u > 0. I.5 La fonction Gx est continue sur R+∗ , elle se prolonge par continuité en t = 0 par Gx (0) = x et on a la majoration : ∀t > 1, 0 6 Gx (t) 6 π 2t3 π fonction intégrable sur [ 1, +∞ [. 2t3 Tout ceci prouve l'intégrabilité de Gx sur R+∗ . avec t 7→ I.6 I.6.1 Z θ(x) = R+∗ Z Gx (t) dt = R+∗ g(x, t) dt avec g : R+ × R+∗ → R, (x, t) 7→ g(x, t) = 2 Arctan(xt) . t(t2 + 1) L'application g est continue sur R+ × R+∗ , et on a pour tout a > 0 la domination : xt x a = 2 6 2 t(t2 + 1) t +1 t +1 a avec une application dominante ϕa : R+∗ → R, t 7→ 2 qui est continue et intégrable t +1 sur R+∗ (ϕa admet pour primitive t 7→ a Arctan t qui admet une limite nie en 0 et en +∞). Le théorème de continuité des intégrales paramétrées s'applique et donne la continuité de θ sur tout intervalle [ 0, a ] avec a > 0 donc sur R+ . ∀(x, t) ∈ [ 0, a ] × R+∗ , 0 6 g(x, t) 6 I.6.2 ∂g t 1 ∂g (x, t) = 2 = 2 et l'application 2 2 2 2 ∂x t(t + 1)(1 + t x ) (t + 1)(1 + t x ) ∂x est continue sur R+ × R+∗ . On a la domination : De plus on calcule, ∀(x, t) ∈ R+ × R+∗ , 06 ∂g 1 . (x, t) 6 ∂x 1 + t2 1 est intégrable sur R+∗ , on conclut (avec la question 1 + t2 précédente) que θ est de classe C1 sur tout intervalle [ 0, a ] avec a > 0 donc est de classe C1 sur R+ . Comme l'application t 7→ I.6.3 De plus, toujours avec le théorème de dérivation des intégrales dépendant d'un paramètre on a : Z Z +∞ ∂g 1 + 0 ∀x ∈ R , θ (x) = (x, t) dt = dt. 2 ∂x (1 + t )(1 + x 2 t2 ) R+∗ 0 u Pour x 6= 0 le changement de variable t = donne : x Z θ0 (x) = +∞ ³ 1+ 0 u2 x2 Z du ´x +∞ =x (1 + u2 ) 0 Z du (x2 + u2 )(1 + u2 ) = xϕ(x) = π . 2(x + 1) +∞ 1 π = . 2 1+t 2 0 (Cette valeur peut encore s'obtenir grâce à la continuité de θ0 en 0.) 0 Par ailleurs on a le cas particulier θ (0) = I.6.4 Z 1 + Comme θ est de classe C sur R on a : θ(x) = θ(0) + I.6.5 θ0 (t) dt = π ln(x + 1). 2 Z +∞ Arctan t 1 Arctan t ´2 dt et θ(1) = dt. t 1 + t2 t 0 0 On intègre par parties sur un segment [ ε, M ] avec 0 < ε < M , ce qui donne : ¡ ¢2 N1 (f ) = Z 0 x +∞ ³ h1 iM 1 Z M ³ Arctan t ´2 Arctan t 1 21 dt = (Arctan t) + dt 1 + t2 t 2 t ε 2 ε t ε et le passage à la limite quand ε → 0 et M → +∞ donne : 3 Z M Z M Arctan t 1 dt → θ(1) ; 1 + t2 t Zε M ³ ¡ ¢2 Arctan t ´2 • dt → N1 (f ) ; t ε Arctan2 ε • ∼ ε → 0; ε 2 Arctan M • → 0; M d'où il résulte ¡ ¢2 N1 (f ) = 2θ(1). • I.6.6 On en déduit N1 (f ) = √ π ln 2 et √ N1 (f ) = 2 ln 2. N2 (f ) PARTIE II - Exemple 2 II.1 1 + √t2t+1 1 √ =√ . 2 2 t+ t +1 t +1 • f est de classe C1 sur R+ et f (0) = 0. ¡ ¢2 1 De plus f 0 (t) = 2 ce qui montre que f 02 est continue et intégrable sur R+ . Donc t +1 f ∈ E2 . r Z +∞ ¡ ¢2 dt π π +∞ • N2 (f ) = . = [Arctan t]0 = . D'où N2 (f ) = 2 1+t 2 2 0 • Pour tout t ∈ R+ : f 0 (t) = II.2 • Quand t tend vers 0 : p ¡ ¢ f (t) = ln t + 1 + t2 = ln(1 + t + o(t)) ∼ t. • Quand t tend vers +∞ : ³ p ¡ ¢ f (t) = ln t + 1 + t2 = ln t + ln 1 + r 1+ 1´ ∼ ln t t2 r ³ 1´ car ln t tend vers +∞ tandis que ln 1 + 1 + 2 tend vers ln 2. t II.3 • f est continue sur R+ et f (0) = 0. ³ f (t) ´2 • La fonction t 7→ t 4 - est continue sur R+∗ ; - est prolongeable par continuité en 0 par la valeur 1 d'après la question précédente ; ln2 t 1 donc négligeable devant 3/2 ; t2 t donc elle est intégrable sur R+∗ . - est équivalente en +∞ à Tout ceci montre que f ∈ E1 . II.4 II.4.1 − ln t est continue sur ] 0, 1 [. 1 − t2 − ln t − ln t 1 1 • Quand t → 1, = ∼ → donc la fonction est prolongeable 1 − t2 (1 − t)(1 + t) 1+t 2 par continuité (par 1/2). ³ 1 ´ − ln t √ . • Quand t → 0, ∼ − ln t = o 1 − t2 t − ln t Ces trois points montrent que S : t 7→ est intégrable sur ] 0, 1 [. 1 − t2 • La fonction S : t 7→ II.4.2 • Pour tout k∈ N l'application t 7→ −t2k ln t est continue sur ] 0, 1 ]. • En 0 : pour k > 1 la fonction est prolongeable par continuité en 0 (par la valeur 0). ³ 1 ´ 1 Et pour k = 0 : − ln t = o √ avec t 7→ √ intégrable sur ] 0, 1 ]. t t Donc pour tout k ∈ N l'application t 7→ −t2k ln t est intégrable sur ] 0, 1 [. On intègre par parties : Z 1 t2k ln t dt = ε Z 1 i1 h t2k+1 h i 1 1 −ε2k 2k+1 ln t − ε ln ε − t2k dt = 1 − ε 2k + 1 2k + 1 ε 2k + 1 (2k + 1)2 ε et on peut faire tendre ε vers 0 du fait de l'intégrabilité vue ci-dessus : Jk = 1 . (2k + 1)2 II.4.3 Il s'agit de justier l'intégration terme à terme. Pour cela on étudie la convergence de la série XZ ¯ ¯ ¯ − t2k ln t¯ dt, ] 0 ,1 [ X 1 . (2k + 1)2 Le théorème d'intégration terme à terme pour les séries de fonctions à valeurs réelles ou complexes donne que S est intégrable sur ] 0, 1 [ et que : c'est-à-dire la série Jk . Or cette série converge puisque Jk ∼ Z S= ] 0 ,1 [ +∞ Z X k=0 5 ] 0 ,1 [ uk soit : J= +∞ X Jk = k=0 Comme π2 = 6 +∞ X n=1 1 = n2 +∞ X k=0 on obtient : k=0 1 + (2k + 1)2 π2 . J= 8 +∞ X ∞ X k=1 1 . (2k + 1)2 1 1 π2 = J + (2k)2 4 6 II.5 II.5.1 ¡ ¢2 I = N1 (f ) = Z 1 dt. t2 R+∗ Intégrons par parties sur un segment [ ε, M ] avec 0 < ε < M. f 2 (t) Z M ε h 1 −1 iM +2 f (t) 2 dt = f 2 (t) t t ε Z M 2 ε f (t)f 0 (t) dt. t 1 Sachant que f 0 (t) = √ on fait tendre ε vers 0 et M vers +∞ en observant que 1 + t2 ³ ´ √ ln t + t2 + 1 √ • t 7→ est intégrable sur ] 0, +∞ [ puisqu'elle est continue sur ] 0, +∞ [, t t2 + 1 1 prolongeable par continuité en t = 0 par la valeur 0, négligeable devant 3/2 en +∞ t grâce à II2. ¡ 2 ¢ f (M ) (ln M )2 • →0 ∼ M M +∞ ¡ ¢2 f (ε) • ∼ε→0 ε ce qui donne le résultat demandé : Z I=2 R+∗ f (t) √ dt. t t2 + 1 II.5.2 1 > 0 et f admet 0 pour limite en 0 et +∞ pour limite en +∞ ce qui montre +1 que f réalise un C1 -diéomorphisme de ] 0, +∞ [ sur ] 0, +∞ [. De plus pour t ∈ ] 0, +∞ [ et u ∈ ] 0, +∞ [ on a u = f (t) si et seulement si t = sh u. On obtient : Z +∞ Z +∞ f (t) dt u √ I=2 =2 du. 2 t sh u t +1 0 0 f 0 (t) = t2 D'autre part, l'application g : u 7→ e−u réalise un C1 -diéomorphisme de ] 0, +∞ [ sur ] 0, +∞ [, ce qui justie le changement de variable : Z I=2 0 +∞ u du = 4 sh u Z 0 +∞ u du = 4 u e − e−u 6 Z 0 1 − ln v dv π2 = 4J = . 1 v 2 v −v II.5.3 Il vient π N1 (f ) = √ 2 √ N1 (f ) = 2 π. N2 (f ) et PARTIE III III.1 III.1.1 f (t) = f (0)+tf 0 (0)+ o0 (t) donne f (t) = αt+ o0 (t) d'où lim f = α et 0+ lim g = 0. 0+ III.1.2 f 0 t) 1 f (t) g 0 (t) = √ − 3/2 2t t qui donne f 0 (t) − √ 0 1 f (t) 1 tg (t) = = h(t). 2 t 2 III.1.3 √ 0 √ 1 tg (t) = f 0 (t) − h(t) d'où, puisque f est de classe C1 , lim tg 0 (t) = α, et donc 2 t→0+ lim gg 0 = 0. 0+ III.1.4 • f étant C1 sur [ 0, x ], l'application f 02 est continue sur [ 0, x ] donc intégrable. ¡√ 0 ¢2 • de même (après prolongement justié ci-dessus) pour les applications t 7→ tg (t) et ¡ ¢2 t 7→ h(t) . √ 1 • f 0 (t) = tg 0 (t) + h(t) donne 2 ¡ 0 ¢2 ¡√ 0 ¢2 1 ¡ ¢2 √ ¢2 ¡√ 0 ¢2 1 ¡ f (t) = tg (t) + h(t) + tg 0 (t)h(t) = tg (t) + h(t) + g 0 (t)g(t) 4 4 Z x Z x √ Z x ¡ ¢2 ¡ ¢2 ¢2 ¤x 1 1 £¡ d'où (f 0 )2 = tg 0 (t) dt + h(t) dt + g(t) 0 4 0 2 0 0 c'est la relation (R). III.2 III.2.1 +∗ Soit f ∈ E1 . Montrer que f ∈ E1 revient à montrer que h2 est Z xintégrable sur R . Comme h2 > 0 cela revient encore à montrer que l'application x 7→ h2 est majorée. Or, d'après 0 (R) on a : Z x Z 2 h 64 0 Z x f 02 0 ce qui conclut. Donc f ∈ E1 . Et donc E2 ⊂ E1 . 7 64 0 +∞ f 02 III.2.2 ³ sin t ´2 D'une part t 7→ est continue sur ] 0, +∞ [, prolongeable par continuité en 0 par t 1 la valeur 1, et majorée par 2 , elle est donc intégrable sur ] 0, +∞ [. Comme sin ∈ E0 on t obtient que sin E1 . Z ∈ nπ nπ −−−−−→ +∞ donc sin ∈ / E2 . D'autre part cos2 t dt = 2 n→+∞ 0 Par conséquent E2 n'est pas inclus dans E1 . III.3 III.3.1 Il s'agit de montrer que si (f10 )2 et (f20 )2 sont intégrables sur R+ alors pour tous réels λ1 et λ2 la fonction (λ1 f10 + λ2 f20 )2 est intégrable sur R+ . 1 On l'obtient avec l'inégalité |ab| 6 (a2 + b2 ) qui donne : 2 ¡ ¢ ¡ ¢ 0 6 (λ1 f10 +λ2 f20 )2 = λ21 (f10 )2 +λ22 (f20 )2 +2λ1 λ2 f10 f20 6 λ21 +|λ1 λ2 | (f10 )2 + λ22 +|λ1 λ2 | (f20 )2 ce qui fournit la conclusion. III.3.2 Z x³ f (t) ´2 Au 2.1 on a vu ∀x > 0, dt 6 4 t 0 et en faisant tendre x vers +∞ cela donne : Z +∞ ¡ ¢2 f 0 (t) dt 0 ¡ ¢2 ¡ ¢2 N1 (f ) 6 4 N2 (f ) d'où encore : N1 (f ) 6 2N2 (f ). III.3.3 On a bien fn (0) = 0 et fn de classe C1 sur R+ . De plus fn0 (t) = e−t (− sin nt + n cos nt) donc ³1 ´ ¡ 0 ¢2 ¡ ¢ n2 fn (t) = e−2t sin2 nt+n2 cos2 nt−n sin 2nt = e−2t (1−cos 2nt)+ (1+cos nt)−n sin 2nt . 2 2 On en tire : Z " +∞ e −2t 2i nt e 0 ce qui donne Z +∞ e−2t cos 2nt dt = 0 d'où Z +∞ 0 (fn0 )2 = et enn : e−2t+2i nt dt = −2 + 2i n 1 2(1 + n2 ) #+∞ = 0 Z et 0 1 + in 1 = 2 − 2i n 2(1 + n2 ) +∞ e−2t sin 2nt dt = n 2(1 + n2 ) 1 + n2 1 −1 + n2 1 n2 1 n2 + − = [(n2 +1)2 −n2 −1] = 2 2 2 2 2 2 2(1 + n ) 2(1 + n ) 4(1 + n ) 4 N2 (fn ) = n . 2 8 III.3.4 Z [N1 (fn )]2 = Z On partage cette intégrale en deux (Chasles) : fn est dans E2 , donc dans E1 . On a Z 0 α Z e−2t dt + +∞ α e−2t sin2 (nt) dt. 2 t Z Z 0 +∞ α = 0 sur ] 0, α ] on utilise sin2 t 6 t2 sur [ α, +∞ [ on utilise sin2 t 6 1. ¡ ¢2 N1 (fn ) 6 n2 +∞ +∞ + 0 α ¢ e−2t n2 ¡ 1 dt 6 1 − e−2α + 2 2 t 2 α Z et +∞ α ¢ e−2α n2 ¡ 1 − e−2α + 2 2α2 ¢ n2 ¡ 1 6 1 − e−2α + 2 . 2 2α e−2t dt = 1 ³ 1 ´ 1 Le choix, pour n > 2 de α = − ln 1 − √ ∈ R+∗ donne 1 − e−2α = √ et donc 2 n n ¡ ¢2 n3/2 2 N1 (fn ) 6 +µ ³ ´¶2 2 1 √ ln 1 − n ³ ¡ ¢2 1 ´ −1 Or ln 1 − √ ∼ √ ce qui montre que la suite de terme général N1 (fn ) est dominée n n 3/2 par n , donc négligeable devant n2 . N1 (fn ) −−−−−→ 0, et donc N1 et N2 ne sont pas équivalentes. Ainsi N2 (fn ) n→+∞ III.4 Z x ¡√ ¢2 tg (t) dt au lieu de Z x¡ 0 • En reprenant III.2.1 avec 0 Z x √ ¢2 ¡ 0 tg (t) dt admet une limite en +∞. 0 Z ¡ ¢2 • Ensuite dans (R) on obtient g(x) = 2 0 ¢2 h(t) dt on voit que Z ¢2 1 x 2 tg (t) dt − h d'où il f −2 2 0 0 0 résulte que g 2 admet une limite en +∞. Notons ` cette limite. g 2 (x) ` • Supposons que ` 6= 0. Alors h2 (x) = ce qui contredit l'intégrabilité de ∼ x x→+∞ x h2 . Donc ` = 0. Et donc g(x) −−−−→ 0. x x→+∞ FIN 9 Z 02 x ¡√ 0