L`agronomie: une séance d`avenir

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12 octobre 2006
DEPOT : BRUXELLES X
ÉDITO
L’agronomie: une séance d’avenir
La rentrée académique de Gembloux est un
moment privilégié pour tous ceux qui ont
fréquenté la Faculté mais plus généralement
pour tous ceux qui de près ou de loin
exercent leur activité dans le secteur
agricole.
C’est aussi l’occasion pour le Recteur André
Théwis d’émettre, outre le rapport
d’activités de son institution, quelques
réflexions sur la société. Nous avons écouté
avec le plus grand intérêt celles relatives
aux défis de l’agronomie et de l’agriculture
pour l’avenir de la planète. Le Recteur
André Théwis s’exprimait en ces termes.
Jean-Pierre Champagne
L’agronomie, et de là l’agriculture, est face à trois défis d’une importance capitale
pour l’avenir de la planète :
1. Sécurité alimentaire :
comment nourrir 9 milliards
d’hommes d’ici 2050 ?
2. Sûreté alimentaire : protection et préservation de la
santé des consommateurs
(obésité, diabète, maladies
cardiovasculaires) ;
3. Sécurité écologique :
préservation de l’environnement : qualité de l’eau, de
l’air, du sol.
Huit cent cinquante
millions de personnes sont
sous alimentées aujourd’hui
et d’ici 2005, la population
mondiale passera de 6 à 9
milliards. Selon les experts de
la FAO et de manière très imprécise, l’accroissement des
besoins alimentaires liés à
l’augmentation de la population pourrait être satisfait à
hauteur d’un tiers au grand
maximum grâce à une extension des superficies cultivées.
Les deux tiers restants devront être couverts grâce à
une amélioration des rendements agricoles dans le
respect de l’environnement et
de la santé des consommateurs. Un accroissement des
superficies sans nouvelles
technologies reviendrait à faire disparaître la forêt tropicale humide. Impensable ! A
cette difficulté, s’ajoutent les
inquiétudes concernant le réchauffement climatique, la
raréfaction de l’eau, la progression de la désertification
et l’épuisement des gisements de pétrole. Il faudra
encore prendre en compte la
concurrence de la production
d’énergie à partir de l’agriculture et de la sylviculture, grande consommatrice d’hectares. Enfin, l’augmentation
prévisible de la consommation de produits animaux par
les populations faibles
consommatrices aujourd’hui
exigera également des superficies importantes pour l’alimentation de ces animaux. Et
pour couronner le tout, n’oublions pas la compétitivité sur
les marchés.
La réponse à ces immenses
défis viendra en bonne partie
de la recherche fondamentale et appliquée : recherche de
nouveaux systèmes de production répondant au
concept du développement
durable, variétés végétales
hyper productives, agriculture
de précision, lutte biologique
pour la protection des cultures et des récoltes, OGM
ayant des fonctionnalités biologiques écologiquement uti-
les et sans danger. Plus de recherches s’impose !
En bref et pour plagier
Gilles Thévenet, directeur
scientifique d’ARVALIS, abusons sans vergogne de l’intrant « matière grise » dans
nos campagnes et notre recherche agronomique !
Pas de déni du passé, admettons nos erreurs mais reconnaissons aussi les progrès
réalisés. Aucun espace pour
les dogmes quels qu’ils
soient. Nous sommes à l’aube d’une relance de l’agriculture au profit de la Planète et
de
ses
Habitants.
L’agronomie (et l’agriculture)
travaille sur du vivant en perpétuelle évolution tout comme l’est la connaissance.
Hélas, la recherche reste
nettement sous financée en
Communauté française de
Belgique.
De son éditorial de la revue
des Chambres d’Agriculture
Françaises du mois d’août,
Luc Guyau, président, traite
«Des défis de la croissance
démographique et de l’accès
à la nourriture!».
Il y écrivait Relever ces deux
défis impose de poser clairement quelques questions
considérées parfois comme
dérangeantes: peut-on envisager un accroissement des
capacités de production au
Le recteur André Théwis lors de la cérémonie ‘Honoris Causa’ de
2006
niveau mondial? A quelles
conditions pour l’environnement et les autres ressources
vivantes? Faut-il concentrer la
production dans quelques zones de la planète ou, au
contraire, favoriser autant
que possible l’autonomie de
chacun? Comment réguler
les échanges commerciaux
pour qu’ils n’aggravent pas
les déséquilibres naturels ou
économiques? Quelles règles
de gouvernance mondiale
pour améliorer l’accès à la
nourriture? En cas de conflit
d’intérêt, la gouvernance alimentaire doit-elle avoir une
prééminence sur les échanges commerciaux? Quels ou-
tils pour une gouvernance alimentaire mondiale? Etc.
Ces réflexions de deux très
grands experts de l’agriculture
remettent clairement en priorité pour la société «le rôle alimentaire de l’agriculture».Cela
devra faire réfléchir les nantis
qui minimisent le rôle alimentaire de l’agriculture au profit
de multiples autres intérêts,
parfois très égoïstes.
2000 devraient revenir sur la
table, a déclaré Mme Fischer
Boel aux ministres, citant par
exemple la réduction progressive des aides directes.
«Certains semblent même
croire que ce rendez-vous
pourrait être le moment de démanteler la Pac, ou de la changer radicalement », mais « ne
vous attendez pas à ce que je
soie dans ce camp »,a-t-elle insisté, ajoutant que, « au
contraire, notre agriculture et
nos zones rurales continueront
à avoir besoin d’une Pac forte,
également après 2013».
Les efforts de réforme devront néanmoins être poursuivis, a estimé la la commissaire européenne. Ainsi, à
long terme, il sera de moins
en moins possible de compter
sur les restitutions à l’exportation, a-t-elle dit. La question
de l’intervention publique devra également être abordée,
a-t-elle ajouté,se demandant
si, dans ce contexte, « les systèmes de quotas de production n’apparaissent pas de
plus en plus archaïques».
La vigilance reste donc de
mise quant à l’évolution de la
Pac.
Zwischen Eupen
und Sankt Vith
Informationen in deutscher Sprache
auf den Seiten 12-13
Bilans de santé pour la Pac réformée
Lors d’une récente réunion informelle des
ministres de l’agriculture de l’UE en
Finlande, la Commissaire Mariann Fischer
Boel rappelle que des évaluations de la
nouvelle Pac doivent être effectuées.
Au titre des « bilans de
santé » prévus par la dernière
réforme de la Pac, la
Commission devra présenter,
sur la période 2007 à 2009,
des rapports sur la conditionnalité des aides directes, les
conséquence du découplage
partiel et les modes de mise
en œuvre du régime de paie-
ment unique, ainsi que sur
certains marchés,particulièrement le secteur laitier,a précisé aux ministres Mme Fischer
Boel.
Ces différents exercices ne
doivent en aucune manière
se traduire par une nouvelle
réforme fondamentale, a assuré la commissaire euro-
péenne,s’attendant toutefois
à des pressions pour trouver
des économies dans la Pac et,
en conséquence,à des débats
sur certains sujets comme la
modulation obligatoire des
aides et leur plafonnement
par exploitation.
Plusieurs ministres ont réclamé la mise en place d’un
système de gestion des
risques et des crises agricoles,
comportant des fonds de mutualisation et des mécanismes d’assurance.
Le Royaume-Uni et
l’Estonie ont plaidé, de leur
côté, pour la modulation volontaire des aides, régime instauré par le sommet européen de décembre 2005.
Plus généralement, une
écrasante majorité s’est prononcée pour une véritable
simplification de la Pac.
Réforme post 2013 ?
Lors de la révision à miparcours du cadre budgétaire
2007-2013 de l’UE, en
2008/2009, des questions
agricoles financières discutées à l’époque de l’Agenda
ACTUALITÉS
L’opposition à la signature des contrats Fièvre catarrhale: assouplissement
de petits pois doit être maintenue!
en matière de mouvements du bétail
Aucun nouveau contact n’a eu lieu avec les
acheteurs depuis la réunion du 20
septembre dernier, relatée dans une
précédente édition. L’attente peut paraître
longue, mais les producteurs et leurs
organisations restent convaincus qu’ils
peuvent obtenir d’avantage cette année, en
tous cas si tout le monde va dans le même
sens et résiste aux sirènes de l’industrie.
Alain Masure
’augmentation de 8 %
des prix, proposée par
l’industrie des légumes,
reste nettement en-dessous
de ce que nous estimons nécessaire pour «récupérer» le
retard accumulé depuis plusieurs années.
Pour l’instant,les acheteurs
se comportent comme si tout
était déjà réglé. Ainsi, certaines usines essaient de fidéliser les producteurs pour la
L
saison prochaine via une indemnisation unique pour la
perte de 2006. Il s’agit selon
nous d’une opération de pure
séduction qui reflète une image fausse de la réalité et ne
répond pas à notre volonté de
couvrir les frais de production
de manière beaucoup plus
structurelle .Ce qu’il faut penser de cette manœuvre de VEGEBE est surtout qu’elle
risque d’accroître l’injustice
entre les producteurs.
C’est pourquoi l’Agrofront
rappelle que les producteurs
de petits pois doivent rester
combatifs et être conscients
que quelque chose peut
changer cette année. Nous
pensons réellement qu’il y a
une marge suffisante pour
permettre à l’industrie d’aller
plus loin dans ses concessions. L’exigence d’une augmentation de prix de 15% est
donc maintenue!
Les organisations professionnelles agricoles appellent
donc:
- à ne pas signer de contrat
petits pois n’intégrant qu’une
augmentation de prix de seulement 8%,
- à faire passer clairement
ce message vers les usines et
leurs représentants,
- à se motiver l’un l’autre
pour y contribuer et à faire circuler le plus possible ce message vers les producteurs
concernés.
Les nouvelles mesures d’assouplissement en
matière de mouvement de bétail ont été
obtenues au niveau européen. Elles entreront
en application ce vendredi 13 octobre 06.
Le nouvel assouplissement
prévu ce 13 octobre dans le
cadre de la blue tongue vise la
sortie de ruminants en vue de
l’engraissement de la Z 20 belge vers des ZP hors frontières
(D,Nl, F, Lux).
La procédure se fera suivant
le schéma ci-dessous:
Date
Jour 0
Jour +1
Jour +2
2
ENCORE DU NOUVEAU
CHEZ NUTRILOR!
1 OPINEL
pour 25kg
du 1/10 au 30/11
• Absorbe l'humidité des litières,
logettes et niches à veaux
• Diminue les risques de
cellules, mammites, mortellaro,
diarrhées
• Purifie l'atmosphère en neutralisant les émissions d'ammoniac
• Ne contient pas de phosphate,
ni de fer
• S'utilise en bovins, porcs,
volailles, ovins...
Pierre LALOUX
0475/65.94.63
Damien GREGOIRE
0473/52.33.96
Nicolas LEROY
0478/54.65.24
Gilles DELINCE
0498/97.97.60
085/84.60.36
12 octobre 2006
99983642 4106 plc sle
Promo
Rappel
En matière de mouvements
de ruminants destinés à l’engraissement de Z20 belge vers
ZP belge,la procédure de prise
de sang à l’achat sera d’application.
Avant 24h00
Acteur
Destinataire
Vétérinaire
ARSIA/DGZ
d’exploitation
ARSIA/DGZ
CODA
CODA
UPC (AFSCA)
CDM/DMO
(AFSCA)
Départ des animaux transporteur
Prochains contrôles obligatoires des pulvérisateurs
es prochains contrôles des pulvérisateurs se dérouleront aux
dates et lieux de contrôles suivants :
Du 12 au 20 octobre 2006
ELLEZELLES,FLOBECQ Place de
l’ancienne gare au Mont à Ellezelles
MOUSCRON,ESTAIMPUIS
Parking du Futurosport,rue Barrière
Leclercq à Luigne
LESSINES Place Joseph Wauters
à Houraing
Le vendredi 20 octobre 2006
BERNISSARTTerrain communal en
bordure du Chemin du Préau (com-
plexe sportif) à Bernissart
LEUZE-EN-HAINAUT Parking
de la gare,sis rue de Tournai à Leuze
Le vendredi 27 octobre 2006
Seconds passages
Entités
visitées : MESSANCY - MUSSON MEIX-DEVANT-VIRTON - TINTIGNY
- FLORENVILLE - PALISEUL - BERTOGNE - SAINTE-ODE - SAINT-HUBERT
Toute personne qui utilise un
pulvérisateur agricole à rampe ou
arboricole dans ces entités, et qui
n’a pas reçu de convocation officielle,doit rapidement contacter l’organisme de contrôle à l’adresse sui-
vante : DEPARTEMENT DE GENIE
RURAL DE GEMBLOUX, Chaussée
de Namur,146 à B-5030 Gembloux
- Tél.081/ 627.168 - Fax.081/61 5.
8 47
Les pulvérisateurs neufs ne sont
pas exemptés du contrôle. Ils doivent être présentés quelle que soit
leur date de mise en service dès le
moment où ils sont convoqués par
le service de contrôle.
Les équipes de contrôle ne passent qu’une fois dans la même entité.Les utilisateurs qui ne présentent
pas leur machine durant cette période,risquent d’être pénalisés.
La simplification de la Pac à l’ordre du jour
NUTRISEC
L'asséchant le plus
efficace du marché
- Une certification Blue
Tongue court donc sur trois
journées (les prélèvements
sanguins auront donc lieu du
lundi au jeudi)
- Le laboratoire peut réaliser
des pools de sang en prove-
Heure
Action
Avant 12h00
Prise de sang
Avant 14h00
Envoi de la PS
Avant 21h00
Envoi au CODA
Avant 19h00
Envoi résultat
Certification
L
Les organisations professionnelles agricoles appellent donc à ne pas signer de contrat petits pois
n’intégrant qu’une augmentation de prix de seulement 8%.
Remarques importantes
nance de 10 animaux maximum (attention,en cas de positif,aucun animal ne peut être
exporté)
- Les frais inhérents à ces
échantillonnages et analyses
sont à charge du demandeur
Un important séminaire sur la simplification
de la politique agricole a eu lieu à Bruxelles
les 3 et 4 octobre derniers. La Commissaire
Mariann Fischer Boel assure que
«simplification» ne signifiera pas
«suppression».
Richard Cydzik
De l’ensemble des débats,
il ressort, selon la
Commissaire à l’agriculture,
que deux types de simplification doivent être envisagés:
d’une part des simplifications
d’ordre technique, d’autre
part des simplifications d’ordre politique. Dans les deux
cas, l’objectif est à la fois de
réduire le fardeau administratif et le poids de la bureaucratie, mais aussi de réaliser des
économies budgétaires pour
la Pac.
Car on ne fait pas mystère
du côté de la Commission
que la Politique Agricole
Commune fera l’objet d’énor-
mes pressions budgétaires,
certainement après 2013,
mais peut-être même avant.
Simplifications technique et politique
Du côté des simplifications
techniques envisagées, le
point majeur évoqué est le regroupement en une seule organisation commune de marché (OCM) des 21 OCM existant actuellement. Une opération révolutionnaire qui
impliquera une modification
des instruments actuellement
utilisés.Cette opération pour-
rait cependant être facilitée à
la faveur de diverses réformes
sectorielles récemment effectuées, celle du sucre par
exemple.
Côté simplifications qui relèvent du domaine politique,
la Commissaire Fischer Boel
cite en ordre principal l’abolition du système des quotas
laitiers ainsi que celui du découplage partiel. Le passage
au découplage total généralisé ne devrait pas poser de
problèmes excessifs dans la
mesure où 90% des paiements uniques sont déjà totalement découplés.
Quant à l’esprit des simplifications projetées, la
Commissaire à l’agriculture
assure qu’il est d’un ordre purement constructif et qu’il doit
s’inscrire dans le souci de
maintenir une Politique
Agricole Commune dont certains ne dissimulent pas qu’ils
souhaiteraient la remise en
cause.
Il n’est un secret pour personne en effet que,tant parmi
certains Etats membres qu’au
sein de la Commission ellemême, des voix s’élèvent
pour plaider en faveur d’une
renationalisation au moins
partielle de la Pac.Le doigt serait ainsi mis dans un engrenage fatal qui conduirait alors
sans aucun doute à la disparition de celle-ci.
Echéancier
13 octobre 2006
Mesures exceptionnelles de soutien du marché
dans le secteur des œufs
et de la volaille: date limite
pour le renvoi des formulaires
de demande de compensation (formulaires en ligne sur
le site de la DGA http://agriculture.wallonie.be)
ACTU-WALL
ECHO HERBAGER
A propos de l’agrément donné
à la laiterie MUH
Le Ministre Lutgen est interpellé au
Parlement Wallon sur une décision qui
serait de nature à provoquer de sérieuses
perturbations de marché.
Le député wallon PierreYves Jeholet a interpellé le
Ministre Lutgen sur le problème de la laiterie MUH («
MilchUnion Hocheifel »).
Comme on le sait, l’an passé,
des agriculteurs ont quitté la
laiterie MGBS de Bullange-StVith pour rejoindre la MUH.
C’est à propos de l’agrément d’acheteur de lait (d’abord provisoire mais qui semble aujourd’hui prolongé) accordé par le Ministre à la
MUH que M.Jeholet est intervenu.
Entre autres questions posées par le député, notamment sur les perturbations du
marché susceptibles d’être
provoquées par l’arrivée d’un
nouvel acteur, il y avait aussi
celle-ci : En « laissant partir »
plusieurs dizaines de millions
de litres vers nos voisins allemands, ne risque-t-on pas de
perdre des emplois ou un savoir-faire en Région Wallonne
? Ne risque-t-on pas, de
même, de déforcer nos producteurs par rapport à la
concurrence étrangère ?
La réponse de M.
Lutgen
Dans sa réponse, le
Ministre admet qu’à la toute
fin de l’année 2005, j’ai accepté la demande d’agrément provisoire de la M.U.H.
S.A. . Cette demande a fait
l’objet, au préalable, d’une
enquête et d’une analyse sur
la satisfaction des critères
prévus dans ce type de demande.
A partir du moment où les
critères sont satisfaits, je ne
peux que m’y conformer,
poursuit
M.
Lutgen.
L’agrément provisoire aurait
pu servir de « trait d’union »
pour retrouver une certaine
solidarité dans le secteur.
Cependant, la M.G.B.S. a signé un contrat intéressant
avec la M.U.H. De même, des
producteurs ont préféré quitter la M.G.B.S. et rentrer dans
la nouvelle structure de la laiterie M.U.H.. Ce choix relève
de la liberté de chacun, a
ajouté le Ministre. Celui-ci
ajoute que la M.U.H. Belgium
respecte les conditions du règlement communautaire. Par
conséquent, j’ai accordé en
date du 20 juin dernier l’agrément.
Cent vingt-sept producteurs sont passés de la
M.G.B.S. à la M.U.H. et 162
autres producteurs sont resté
à la M.G.B.S..
Conditions
équivalentes
Le Ministre assure avoir
travaillé, autant que faire se
peut, afin que les conditions
pour les producteurs soient
équivalentes et ce, qu’ils fassent partie de la M.U.H.ou de
la M.G.B.S..
Toutefois, il ne faut pas voir
ça comme une diminution de
dizaines de milliers de litres
de lait. Il y aurait risque si demain il était décidé de ne plus
prendre le lait de la MUH ou
de la MGBS.
Quoi qu’il en soit, le cas
mentionné nous a montré
que nous devions rester particulièrement solidaires dans ce
secteur et que, par rapport au
secteur du lait, nous devions
être mieux informés. À ce titre, au sein de la Direction générale de l’Agriculture, j’ai
engagé un expert pour ne
s’occuper que du secteur du
lait, qu’il s’agisse de la production, de la transformation,
de la collecte ou des laiteries.
Corrélativement, des recherches d’étude sont menées en ce moment.
Concernant l’aspect relevant du Plan Marshall et de
l’agro-industrie, il est évident
que le secteur de la laiterie en
fait partie. Les entreprises
agro-industrielles peuvent
faire des appels de marché.
Enfin, dans ce genre de
dossier, il faut faire preuve de
beaucoup de modestie face à
un secteur que l’on ne
connaît pas toujours particulièrement bien, ainsi que reconnaître aux protagonistes
ainsi qu’aux personnes directement touchées dans ce dossier le droit d’agir en leur âme
et conscience et d’être libre
de leur décision, quelle qu’elle soit.
M. Jeholet ne s’est guère
montré très satisfait de la réponse du Ministre, donnant à
entendre que derrière la décision du Ministre, on pouvait
déceler l’influence de certains
lobbies.
L’avenir de la culture des chicorées en Belgique
Le 14 septembre dernier, le Gouvernement
Wallon a validé les plans de restructuration
présentés par les usines « Orafti » d’Oreyet
et « Warcoing Industrie » de Warcoing.
Dans ces plans, les deux entreprises s’engagent à poursuivre la production de chicorée
et, pour Warcoing, à la doubler
dans les années à venir.
Il y a donc un avenir pour la
production d’inuline et la culture de chicorées en Wallonie,estime M. Lutgen.
Qui pensait que Personne ne
peut prétendre que je ne me
suis pas personnellement impliqué pour obtenir une réforme de l’OCM sucre très favorable à la Région et une mise en
oeuvre de ladite réforme en faveur des agriculteurs wallons.
Lors des négociations entre
les usines et les planteurs,l’usine de Warcoing s’est engagée:
- Warcoing Industries S.A.
s’engage à maintenir pendant
cinq ans le prix minimal de la
chicorée à 46 euros par tonne à
16 % d’inuline ;
s’engage pendant cette période à ne pas modifier les conditions du contrat chicorée de
manière telle qu’il ne soit plus
possible de conserver au niveau du prix final reçu par le
planteur l’augmentation de 3
euros par tonne par rapport au
prix de 2006 ;
s’engage, s’il y a une augmentation de production à
Warcoing qui demande un
supplément de racines fraîches
par rapport à l’année 2006, à
ce que ce supplément soit
contracté auprès des planteurs
autour de Warcoing.
Engagement
Pour le Ministre, il y a donc
un engagement de l’usine à offrir un supplément de prix de 3
euros par tonne, toutes autres
conditions de fixation du prix
restant égales par ailleurs.
C’était une revendication des
planteurs. Ce faisant, un prix
minimal de la chicorée est implicitement fixé pour les cinq
ans à venir, tant pour Warcoing
que pour Oreye. J’ai veillé personnellement à l’obtention
d’un tel accord, assure M.
Lutgen. De même, celui-ci a
voulu qu’une part équitable
des fonds de restructuration
soit réservée aux planteurs. La
part finalement réservée à
ceux-ci est bien supérieure au
minimum de 10 % prévus par
la réglementation européenne.
Le Ministre souhaite l’existence d’accords interprofessionnels. Néanmoins, l’inuline
n’est pas couvert par l’OCM sucre. Donc, je ne dispose d’aucune base légale pour imposer
de tels accords.
Tout au long des négociations, j’ai encouragé les parties
à s’engager dans des contrats
pluriannuels. L’accord finalisé
pour cinq ans avec Warcoing y
répond en partie. Je continuerai à encourager fermement les
parties à aller plus loin dans ce
sens, conclut le Ministre.
Quel avenir pour le
barème forfaitaire?
Les jeux sont faits. Les urnes ont rendu leur
verdict suite aux dernières élections communales
et provinciales. J’espère que vous n’avez pas
oublié de remplir votre devoir électoral, lequel
doit être assimilé à une chance. S’il est vrai qu’il
est aisé de critiquer le monde politique, ne
perdons pas de vue que nous avons la chance de
vivre dans un pays démocratique. Si je peux me
permettre une comparaison, je dirais que la
démocratie est comme la santé, c’est lorsqu’on la
perd que l’on se rend compte de sa valeur
fondamentale.
Lucien Royen
Espérons que de nombreux
candidats ayant à cœur de défendre notre profession et nos
intérêts auront été élus. La politique locale,niveau de pouvoir le
plus proche du citoyen est très
importante. Pour s’en convaincre, il suffit de se référer à l’excellent éditorial de JP Champagne
dans le Plein Champ de la semaine dernière .
Comme annoncé dans mon
précédent écho,une importante
réunion s’est tenue au
Charlemagne à Henri-Chapelle
le 2 octobre sur le thème des
barèmes forfaitaires fiscaux.
De nombreuses personnes
étaient présentes et on a remarqué la présence de nombreux
jeunes et de secrétaires de nos
sections.
Au début de la réunion, j’ai
dû annoncer que le programme
initialement prévu devait être
modifié.
Pour rappel,à l’issue de la foire agricole de Battice,j’avais pris
contact avec Monsieur Didier
Reynders, vice-premier ministre
et ministre fédéral des Finances
au sujet du mécontentement
des producteurs laitiers concernant l’accord conclu entre l’administration et les organisations
agricoles au sujet des barèmes.
Je lui avais précisé qu’une réunion d’information interne devait
se tenir avec nos membres et les
représentants de la FWA,
Christine Le Borne et Michel
Mathieu, qui avaient participé
aux négociations. Il avait été
convenu de le rencontrer avec
une délégation si nos membres
n’estimaient pas être rassurés à
l’issue de la réunion d’information.Nous étions d’accord sur la
démarche.
La ministre fédérale de
l’Agriculture, Madame Sabine
Laruelle qui était présente fit remarquer que s’il y a un an,le ministre des finances avait pu intervenir auprès de son administration en faveur des producteurs
laitiers,la situation était différente. En effet, à l’époque, il n’y
avait pas de barèmes mais uniquement des normes qui
avaient été établies par l’administration.
Maintenant le problème est
différent et il sera difficile pour le
Ministre Reynders d’intervenir
auprès de son administration vu
qu’un accord a été conclu entre
la FWA et l’administration fiscale.
Il est également nécessaire
d’apporter au dossier l’élément
suivant survenu avant notre réunion d’information. Une délégation d’agriculteurs composée
de membres de différents CETA
de la Région se sont rendus à
l’administration des finances.
L’accueil qui leur a été réservé
n’était pas des plus chaleureux.
Ils sont revenus déçus et mécontents car aucune concession ne
leur a été apportée et ils n’ont
reçu aucun soutien politique.
Avec tous ces évènements et
suite à la morosité qui règne
dans le secteur,une motion a été
rédigée par la FWA et proposée
à tous les responsables politiques. Elle a d’ailleurs été publiée dans la dernière édition de
votre journal.
Il me semble particulièrement
utile de préciser que cette motion ne vise pas un parti politique, elle s’adresse à tous les
partis. D’ailleurs, personnellement j’estime que les Ministre
Reynders et Laruelle ont eu une
attitude correcte dans ce dossier.
Si je devais résumer la réunion tenue à Henri-Chapelle, ma
conclusion serait que les représentants professionnels, dont la
FWA, ont accepté un accord sur
le forfait qui peut être considéré
comme acceptable dans la mesure où l’administration n’avait
qu’un seul but: pouvoir recourir
à des norme qu’elle aurait fixé
bien au-delà de l’actuel forfait.
Rappelons qu’en cas de normes, l’administration est sur le
velours. Elle les fixe à un niveau
le plus élevé possible,laissant au
contribuable la possibilité d’en
contester le bien-fondé par tous
les moyens probants qu’individuellement il peut exhiber!
Cette semaine le groupe de
travail fiscalité de la FWA se réunira encore à Gembloux, car
des changements et aménagements pourraient être proposés
par l’administration fiscale pour
l’avenir,ce qui pourrait avoir des
répercussions sur le régime du
forfait. J’ose espérer que les représentants de notre région seront présents.
A bientôt.
12 octobre 2006
3
D I V E R S I F I C AT I O N
Quel avenir pour la transformation à la ferme?
Plus de contrôles, de nouvelles normes
bactériologiques et des exigences sanitaires
qui évoluent... : ceux qui transforment leurs
produits sont en droit de se demander si
l’Europe ne va pas à l’encontre de la
diversification. Ces normes européennes
font parfois peur et l’agriculteur peut se
sentir démuni face aux contrôles de l’Afsca.
Cet article décrit les évolutions récentes en
matière d’autocontrôle et les moyens mis
en place par la Région Wallonne pour
soutenir la transformation fermière.
C. Belleflamme, J.Moerman, M. Sindic (*)
’obligation de mise en place d’un système de maîtrise des dangers basé sur
les principes de l’HACCP
(Hazard Analyses Critical
Control Point) existe pour tous
les secteurs depuis 1997. Dans
la pratique, les contrôles sur le
terrain se sont renforcés à partir de 2000 avec, entre autres,
la création de l’Agence
Fédérale pour la Sécurité de la
Chaîne Alimentaire (Afsca) accompagnée de la disparition
progressive des anciennes licences au profit des agréments
laitiers.
La mise en place d’un système basé sur la méthode
HACCP a prouvé son efficacité
au niveau des entreprises mais
présente une certaine lourdeur
administrative. De plus, elle demande des connaissances spécifiques qui rendent son application, au niveau artisanal, difficile sans l’aide d’un conseiller
extérieur.
En novembre 2003,un nouvel Arrêté royal relatif à l’autocontrôle,la traçabilité et la noti-
L
4
fication obligatoire rappelle l’obligation de mettre en place un
système d’autocontrôle au sein
de toute entreprise alimentaire
et ajoute certaines exigences
relatives à la production primaire. En ce qui concerne ce dernier secteur, il précise qu’il est
obligatoire de tenir divers registres, notamment:
- la nature et l’origine des
aliments pour animaux;
- les médicaments à usage
vétérinaire administrés ou
d’autres traitements subis par
les animaux,ainsi que les dates
d’administration ou de traitement et les délais d’attente;
- la présence de maladies
pouvant compromettre la sécurité des produits d’origine animale;
- les résultats d’analyses d’échantillons revêtant une importance pour la santé publique
prélevés sur les animaux ou
d’autres échantillons prélevés à
des fins de diagnostic;
- tous les contrôles applicables aux animaux ou aux produits d’origine animale.
Avec noyau de plantes
pour renforcer encore
L’IMMUNITE
La traçabilité se définit comme étant la capacité de retracer
le cheminement d’un produit,à
travers toutes les étapes de la
production, de la transformation et de la distribution. En
d’autres termes, elle exige de
pouvoir faire le lien entre tout
ce qui entre et tout ce qui sort
de l’exploitation.Au niveau artisanal, cette traçabilité peut se
réaliser aisément, moyennant
quelques documents papier
comme par exemple l’utilisation d’un cahier de fabrication
reprenant la date de production ainsi que les différentes
matières premières utilisées.
La notification obligatoire,
quant à elle, prévoit que tout
exploitant doit informer immédiatement l’Agence lorsqu’il
considère, ou a des raisons de
penser, qu’un produit qu’il a
importé, produit, cultivé, élevé,
transformé, fabriqué ou distribué peut être préjudiciable à la
santé humaine, animale ou végétale.Au niveau de la transformation fermière, cela signifie
que si les résultats d’analyse effectués dans le cadre de son
autocontrôle dépassent les critères fixés dans le règlement
européen 2073/2005 pour
Listeria
monocytogenes,
Salmonella
spp
ou
Staphylococcus aureus, l’exploitant doit immédiatement
prévenir
l’UPC
(Unité
Provinciale de Contrôle) dont il
dépend au moyen du document repris dans l’annexe 1 de
l’arrêté ministériel du 22 janvier
2004.
La législation s’adapte
à la transformation
artisanale
Suite aux difficultés d’application de ces exigences dans
les petites structures, un arrêté
ministériel relatif aux assouplissements des modalités d’appli-
cation de l’autocontrôle et de la
traçabilité est paru le 24 octobre 2005. Cet arrêté concerne
les entreprises du secteur des
denrées alimentaires qui livrent
directement au consommateur
et qui travaillent avec un maximum de cinq équivalents
temps plein ou dont la superficie est inférieure à 400m2. Il
vise également les unités d’exploitation du secteur des denrées alimentaires qui livrent à
d’autres entreprises et qui travaillent avec un maximum de
deux équivalents temps plein,
ainsi que les banques alimentaires et les associations caritatives.
Cet arrêté donne la possibilité aux producteurs de limiter
les contrôles aux enregistrements des non-conformités. La
traçabilité peut, quant à elle, se
résumer à l’archivage chronologique des factures d’entrée et
de sortie des produits dans l’exploitation.
Ces assouplissements prévoient également la possibilité
pour le producteur de se baser
sur le contenu des guides d’autocontrôle sectoriel pour l’application dans son exploitation.
La mise en pratique sur le terrain du contenu de ces guides
sera ensuite contrôlée par un
organisme extérieur et sa bonne application sera accompagnée d’un incitant financier.
Pour le secteur laitier, un guide
officiel pour la production laitière fermière est actuellement
en cours d’approbation au niveau de l’Afsca.
En plus de ces divers changements, au premier janvier
2006, le nouveau règlement
européen 852/2004 relatif à l’hygiène générale des denrées
alimentaires est entré en application.Cependant,il y a peu de
changements en matière de
transformation laitière fermière
et ce qui était applicable par le
Des exigences sanitaires qui évoluent... : ceux qui transforment
leurs produits sont en droit de se demander si l’Europe ne va pas à
l’encontre de la diversification.
passé le reste pour l’essentiel.
Soutien de la transformation fermière
Consciente des difficultés
liées à la transformation fermière, la DGA (Direction
Générale de l’Agriculture) subsidie depuis plusieurs années
différents projets d’encadrement des agriculteurs transformateurs,tant d’un point de vue
hygiénique que technologique.
Cependant la multiplication
des services offerts ne permettait pas toujours de donner la
meilleure réponse aux demandes des agriculteurs. La DGA a
donc décidé de les regrouper.
Ces projets sont, depuis le 1er
juillet 2006,associés au sein de
la Cellule Qualité Produits
Fermiers (CQPF) et ceci afin
d’offrir un service mieux adapté
et plus complet aux agriculteurs wallons qui ont choisi la
transformation comme moyen
de diversification.
Ce projet permet tout d’abord aux agriculteurs d’avoir
accès à une aide pour la mise
en conformité de leurs installations, ainsi qu’un soutien pour
la mise en place d’un système
d’autocontrôle, basé sur les
principes de l’HACCP et adapté
à chaque exploitation.
Pour ceux qui souhaitent
commencer la transformation
du lait à la ferme ou développer
de nouveaux produits,une aide
technologique est également
mise à disposition. Ce service
permet aux agriculteurs de suivre des modules de formation
relatifs à la technologie fromagère. Il permet également d’aider un producteur dans sa démarche de création de nouveaux produits.Les transformateurs peuvent également se
tourner vers ce projet pour la
résolution de tout défaut de fabrication pouvant être rencontré.
La Cellule Qualité Produits
Fermiers (CQPF), regroupe la
Faculté
des
Sciences
Agronomiques de Gembloux
(FuSAGx), l’Ecole Technique
Provinciale d’Agriculture de
Ciney (ETPA), le Centre pour
l’Agronomie et l’Agro-industrie
de la Province de Hainaut (CARAH) et l’Université de Liège
(ULg). Vous pourrez dorénavant adresser toutes vos demandes directement au guichet central, soit au 081/62 23
17.Vous pouvez aussi trouver
des informations supplémentaires sur ce service en visitant
le site www.cqpf.be.
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Industries Agroalimentaires - Faculté
universitaire des Sciences
Agronomiques de Gembloux
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12 octobre 2006
AMICALE
DES RETRAITÉS
D E L A F WA
Tournai Mouscron
Lundi 16 octobre
A 14h, conférence, en la
salle Roc St-Pierre à Antoing,
du Dr Desplanque de l’hôpital
de Tournai sur un nouveau
service.Participation aux frais:
5 euros à remettre à l’entrée.
Pour une bonne organisation, s’inscrire chez Suzanne
au 069/225.851 ou Jules
069/647.943
Namur
Jeudi 19 octobre
A 14h, goûter et jeux de
cartes au Centre de
Zootechnie de Ciney
Autriche: le bio a le vent en poupe
La plus grande chaîne allemande de bio, Basic AG, ouvrira bientôt son premier magasin en Autriche. D’ici 2007,
elle aura 10 supermarchés en
Autriche, d’une superficie
moyenne de 800m2. En
Autriche, le bio n’est plus une
tendance, mais désormais un
mode de vie, les consommateurs étant de plus en plus attentifs à leur bien-être et à
leur santé. En 2005, le marché autrichien des denrées
alimentaires bio a représenté
500 millions d’euros de chiffre d’affaires, en hausse de
100 millions par rapport à
2004. L’Autriche manque
désormais de producteurs bio
(20.000 en 2005) et importe
donc la majorité de ses besoins.
(FIWAP)
Colruyt va ouvrir un 1er magasin bio aux Pays-Bas
Colruyt a entamé la construction de son premier magasin biologique aux PaysBas.
Le
Bio-Planet
d’Eindhoven devrait ouvrir
ses portes dans le courant
du printemps 2007, indique
le distributeur.Le groupe ouvrira à l’avenir d’autres magasins de ce type aux PaysBas.«Les ventes de produits
biologiques sont actuelle-
ment plus importantes aux
Pays-Bas qu’en Belgique»,
peut-on lire dans le communiqué.
(Le Soir)
CONCOURS
Le concours B-BB à la foire de Frasnes
La foire agricole de Frasnes, 27ème du nom,
est l’évènement numéro 1 en Hainaut
Occidental, excusez des traditions. Trois jours
de fête complète pour tous les âges, du
professionnel comme du grand public, venu
toujours aussi nombreux. Il est vrai que le
dimanche l’animation d’une cour de ferme est
des mieux représentée et ce, dans les
moindres détails.
Long Pré
Chapeau aux organisateurs,
sous la main de maître dans un
gant de velours du président
Pierre Bourd’eaud’Huy et de sa
dame Frédérique la secrétaire sans
oublier la flopée des bénévoles.
quée lors de l’exposition à
Libramont, la ponctuant
d’ailleurs d’une 1ère prime.
La griffe de l’élevage
d’Embise
Jean-Paul Roman est des
plus présents parmi les
concours festis hennuyers. Loin
de faire de la figuration,chaque
sortie est ponctuée de succès.
Frasnes n’échappe pas à la règle, voyez: parmi 8 sujets dans
les trios de tête, deux 1er prix
ponctués par une admirable
jeune génisse championne.
Christian et Laurent Leleux
sont Athois mais à deux pas de
Frasnes dont ils font leur
concours. Une fois de plus, la
génétique d’Embise s’est affichée par ses propres produits
mais aussi par l’essaimage de
ses géniteurs. Leur Frasnes
rayonne de succès, 11 sujets
parmi les trios de tête avec 4
premiers prix dont un l’échange admirablement contre le titre de championne des vaches.Il
est vrai qu’elle fut très remar-
L’empreinte de l’élevage de l’Orangerie
Le globe-trotter des
concours de l’élevage
de Wayaux
Serge Lempereur ne
manque jamais tous les
99983625 4006 plc sle
concours non officiels ou officiels.Tous les organisateurs attendent et désirent son inscription en vue d’une animation
des plus certaines,jamais parcimonieux de présences.C’est un
gagneur. Ses innombrables
premiers prix en sont des plus
garants et davantage encore
lorsqu’ils sont à chaque
concours ponctués de champions et championnes.Cette fois
plus parcimonieux, c’est l’exception à la règle,mais toujours
aussi percutant les 4 présences
parmi les trios de tête dont 3
premiers prix ponctués par le
championnat des génisses âgées.
Des mutés pour
Lecas/Germeau et
Liagre-Sory
Venu uniquement avec leur
seul joker et sa valeur fut la grande réussite. 2001 Van Het
Grondhof à Lecas/Germeau/Van
Heule, champion des jeunes
taureaux.Héritier de l’Orgelot à
Liagre/Sory et Fils, champion
des taureaux âgés.
Et les autres éleveurs
L’élevage de Boulogne à
Frison Jacques et Fils voit 4
des 5 sujets des trios de tête à
la 1ère place dont 2 extraordi-
Vaches de 5,4 ans et plus: série de la championne
Etincelle d’Embise (Ubidet) à Leleux Chr. & L., Mainvault
Nacrée du Sausselet (Radar) à Roman Jean-Paul, Grandmetz
Tavana VD Ruggemeersch (Ardent) à Van Caeneghem Luc & Fils, Avelgem
Génisses de 11 à 12 mois: série de la championne
Indiana de L’Orangerie (Lasso) à Roman Jean-Paul, Grandmetz
Immola de L’Orangerie (Artaban) à idem
Importée d’Embise (Eldorado) à Leleux Christian & Laurent, Mainvault
Primipares de 33 à 42 mois
Vogue du Paillaert (Biscuit) à Meurée David & François, Cambron St V
Gitane d’Embise (Coquin) à Leleux Christian & Laurent, Mainvault
Glaneuse ET de Monplaisir (Dracula) à Divers Jean-Luc, Mellet
Génisses de 7 à 9 mois
Javeline de Valmont (Magistrat) à Vandeputte-Dubois B., Celles
Joconde du Bas Hameau (Dracula) à Lericq Jean-François, Melles
Jolie de Valmont (Bionique) à Vandeputte-Dubois B., Celles
Taureaux de 13 à 14 mois: série du champion
2001 VH Gravehof (Fulgurant) à Lecas / Germeau / Van Heule, Wiers
Anco VD Hoelmanshoeve (Despote) à De Cock Marcel, Opbrakel
7448 de la Melle (Séduisant) à Lust Pascal, Mourcourt
Taureaux de 9 à 11 mois
Impérial de Boulogne (Gambadeur) à Frison Jacques & Fils, Bassilly
Individu du Blanc Dos (Artaban) à Decock Joël, Quartes
Impôt du Bas Hameau (Despote) à Lericq Jean-François, Melles
naires très viandeux, le taureau Impérial de Boulogne et
la génisse Impératrice de
Boulogne qui procureront en-
core beaucoup de satisfaction
à leur propriétaire. L’élevage
du Paillaert à Jean-Paul et
Vincent Brouillard qui à
chaque fois qu’il lui est permis
de compter en Wallonie y fait
beaucoup plus que de la figuration.
ECOLE TECHNIQUE PROVINCIALE AGRICOLE DE SAINT-QUENTIN A CINEY
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(verre de l’amitié)
12 octobre 2006
5
REVUE DE PRESSE
Glané pour vous
tions, la FNR cultive également des plantes intermédiaires comme la moutarde.
(Direct Affaires)
Plantes et énergie
pour l’Allemagne
Stabilité du nombre
d’exploitations aux
Etats-Unis
départ de 9 à 10%) et 31 à
36% de nouvelles fermes
sont apparues.
Le taux net de départ, égal
à la différence entre le taux
brut de départ et le taux brut
d’entrée,oscille entre 0,7% et
7,8% sur 5 ans. Telle est la
principale conclusion d’un récent rapport de l’USDA.
(Agri US Analyse)
La vache
chauffe sa douche
Il n’y a pas que le biodiesel
et le bioéthanol à base de blé,
maïs, colza, betterave...
D’autres plantes peuvent être
converties en énergie.
L’Allemagne s’est sérieusement engagée dans cette
voie depuis quelques temps.
Résultat:en 2005,1,2 million
d’hectares de plantes énergétiques ont été utilisés OutreRhin.Près de 10% de ces surfaces agricoles portent le
nouveau label allemand «de
l’agriculture à l’énergie». En
fait, l’Agence des matières
premières
renouvelables
(FNR) multiplie les projets
pour tester l’efficacité énergétique de divers types de plantes: millet, cultures en provenance d’Amérique du Nord...
Pour optimiser les produc-
6
On compte aujourd’hui 2,1
mio de fermes aux Etats-Unis
et ce nombre n’a pas beaucoup diminué depuis 30 ans.
Mais cette relative stabilité
masque un taux de disparition d’exploitations élevé, de
l’ordre de 9 à 10% par an,
compensé par un taux d’installation presque équivalent.
Entre chacun des recensements agricoles de 1982,
1987, 1992 et 1997, environ
37 à 40% des exploitations
présentes en début de période ont disparu (ce qui correspond à un taux annuel de
A Freiamt, en Forêt Noire,
un agriculteur utilise la chaleur du lait sortant du pis des
vaches pour chauffer l’eau de
sa douche.Son voisin a installé un toit photovoltaïque sur
sa grange. Avec son installation au biogaz, un autre
chauffe sa ferme mais aussi
ses voisins, dont un club de
sport. Et sur les hauteurs de
cette cité touristique tournent
quatre éoliennes. Chacune
produit près de 3 millions de
Kw/h, de quoi approvisionner
mille foyers en électricité.
45 vaches de l’éleveur produisent quant à elles 900 litres de lait par jour à 32 degrés
mais doivent être refroidis à 4
degrés pour la commercialisation. Un échangeur de chaleur lui permet de chauffer
l’eau de sa douche et de son
évier.Deux scieries et un meunier utilisent l’eau de la rivière
grâce à des turbines et des
générateurs. «Cela me fait
gagner 8000 euros par an»,
se réjouit le meunier.
Le ministre féderal de
l’Environnement croit en un
«boom» des énergies renouvelables. Leur part dans la
production totale électrique
va passer de 10% actuellement à au moins 20% d’ici à
2020, a-t-il indiqué.
(Vers l’Avenir)
Le sac ...
en pommes de terre
Le sac en plastique a désormais un rude concurrent: le
sac à base de fécule de patate. Il est fabriqué par l’usine
française PTL sur les chaînes
servant à la fabrication de
sacs en plastique. Des granu-
lés de fécule remplacent les
granulés en plastique introduits par les ouvriers dans les
extrudeuses. Le sac ‘bio’ est
économe en énergie et en
matières premières (il est 15 à
20% plus dense). Il est plus
résistant, se dégrade en 5 ou
6 mois et offre aussi un nouveau débouché aux agriculteurs!
(L’Echo)
soit multiplié par 10 d’ici
2010.
(Chambre d’Agriculture)
Boum des permis de
bâtir: + 16,44%
16.000 espèces
d’animaux et de
plantes menacées
En mai 2006, plus de
16.000 espèces d’animaux et
de plantes sont menacées
d’extinction dans le monde,
selon la liste rouge de 2006
de l’Union mondiale pour la
conservation de la nature. On
estime que le taux d’extinction des espèces dans le monde entier est de 50 à 1000
fois supérieur au taux d’extinction naturel.On s’attend à
ce que ce taux de disparition
La demande de permis de
bâtir est en forte augmentation. Pour 2005, la hausse atteignait 16,44% pour les appartements et 10,4% pour
les maisons unifiamiliales, selon «La Dernière Heure». La
hausse des permis de bâtir
touche surtout la Wallonie:
17,47% contre 12,6% en
Flandre et 9,07% à Bruxelles.
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12 octobre 2006
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M É C A N I SAT I O N
John Deere renouvelle ses séries 6000 et 7000
Si ce n’est leurs nouveaux moteurs
répondant aux normes Tier 3, les nouveaux
tracteurs John Deere des séries 6030 et 7030
présentent pas mal de similitudes avec leurs
prédécesseurs. A épingler toutefois,
l’apparition des 7430 et 7530, des tracteurs
produits à Mannheim comme les 6030 dont
ils empruntent le look alors que les autres
modèles de la série 7030 nous viennent de
Waterloo, aux Etats-Unis.
Bernard Kersten
ous l’avons déjà écrit à
plus d’une reprise: jamais sans doute le renouvellement des gammes
de tracteurs n’a été aussi rapide que ces derniers temps et
ce chez pratiquement tous les
constructeurs. John Deere
n’échappe pas à la règle
puisque 5 ans à peine après
avoir présenté les 6020 et
seulement 3 ans après le lancement des 7020, le constructeur américain procède à
son tour à un important renouvellement de son offre.
N
La raison de tous ces changements? Toujours la même,
à savoir l’obligation pour les
constructeurs de livrer des
tracteurs dont les moteurs répondent aux normes Tier III,
des normes draconiennes en
matières d’émission de particules polluantes.
L’adoption de nouveaux
moteurs aux caractéristiques
différentes contraint alors les
constructeurs à modifier la
dénomination de leurs gammes. On observe cependant -
et John Deere ne fait pas exception- que si les constructeurs en profitent pour introduire l’une ou l’autre modification,celles-ci restent le plus
souvent secondaires.
Des 7030 made
in Europe
Lancée en 2001, la série
6020 s’efface au profit de
nouvelle gamme démarrant
au 6230 (100 ch de puissance nominale selon la norme
97/68 EC) et allant jusqu’au...
7530 (180 ch).
Depuis 1992, date à laquelle ont été lancées les séries à succès 6000 et 7000,
les choses étaient claires chez
John Deere: les 6000 étaient
produits en Europe (à
Mannheim) tandis que les
Comme les 6030, les 7030 «made in Waterloo» se distinguent essentiellement de leurs prédécesseurs par un nouveau moteur répondant aux normes Tier III
Puissance des nouveaux tracteurs John Deere séries 6030 et 7030
type
puissance au
régime nominal
moteur
ECE R24
6230
6330
6430
6530
6630
6830
6930
7430
7530
4
4
4
6
6
6
6
6
6
cyl
cyl
cyl
cyl
cyl
cyl
cyl
cyl
cyl
-
4,5
4,5
4,5
6.8
6.8
6.8
6.8
6.8
6.8
L
L
L
L
L
L
L
L
L
7730
7830
7930
6 cyl - 6.8 L
6 cyl - 6.8 L
6 cyl - 6.8 L
97/68 EC
puissance
maximale
ECE R24
Tracteurs 6030/7030 "Mannheim"
95 ch
100 ch
102 ch
107
105 ch
110 ch
113 ch
117
115 ch
120 ch
123 ch
128
115 ch
120 ch
123 ch
128
125 ch
130 ch
134 ch
139
135 ch
140 ch
145 ch
150
150 ch
155 ch
161 ch
167
160 ch
165 ch
171 ch
178
175 ch
180 ch
188 ch
195
Tracteurs 7030 "Waterloo"
185 ch
190 ch
201 ch
206
200 ch
205 ch
218 ch
225
215 ch
220 ch
234 ch
243
Un demi-siècle en Europe
C’est à Varsovie que John
Deere a récemment présenté
ses nouveaux modèles à environ 3700 concessionnaires
venus d’Europe, d’Afrique et
du Moyen-Orient. Mais ce
n’est pas par hasard que le
constructeur a choisi la capitale polonaise pour abriter cet
évènement.«Ce faisant,nous
démontrons clairement notre
engagement vers les marchés
en croissance d’Europe
Centrale et d’Europe de l’Est»
a déclaré Greg Hart, directeur
marketing Europe. John
Deere a d’ores et déjà étendu
sa présence à l’Est en ouvrant
deux nouvelles filiales,une en
Pologne et l’autre en Russie.
Pour ce qui est du marché
Ouest-Européen, John Deere
entend améliorer encore sa
part de marché de façon significative. Il y tout juste 50
avec surpuissance
active
97/68 EC
ans, lorsque le constructeur
américain a racheté la société
Heinrich Lanz AG établie à
Mannheim, la marque, surtout connue pour ses tracteurs importés dans le cadre
du plan Marshall, n’occupait
alors qu’une part de marché
insignifiante. Aujourd’hui, la
part de marché de John Deere
en Europe est de 23% et l’objectif de ses dirigeants est
d’atteindre 30% d’ici 2010.
Pour atteindre cet objectif
ambitieux, la marque au cerf
table sur une approche globale des services à offrir à l’utilisateur de ses produits, qu’il
soit agriculteur ou entrepreneur. Le système AMS, un
dispositif modulable pouvant
aller bien plus loin que le guidage automatique ou l’agriculture de précision, en est la
parfaite illustration.
ECE R24
97/68 EC
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
105 ch
115 ch
125 ch
135 ch
145 ch
160 ch
175 ch
185 ch
195 ch
110
120
130
140
150
165
180
190
203
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
ch
215 ch
230 ch
245 ch
220 ch
235 ch
250 ch
7000 étaient assemblés aux
Etats-Unis (à Waterloo). La
gamme européenne culminait initialement à 130 ch
(6900) puis s’est progressivement étendue jusqu’à 155 ch
de puissance nominale
(6920). Pour répondre à la
demande croissante de tracteurs légers mais puissants, à
l’occasion de son renouvellement de gamme, John Deere
a décidé d’étendre jusqu’à
180 ch son offre en tracteurs
«européens». Cependant,
plutôt que d’attribuer le nom
de 6930 au modèle le plus
puissant comme l’aurait voulu la logique,il a été décidé de
conserver ce matricule pour le
modèle de 155 ch et d’attribuer les nouvelles dénominations de 7430 et 7530 aux
nouveaux tracteurs plus puissants issus des chaînes d’assemblage de Mannheim.
Il faut bien l’admettre, cela
fait un peu désordre car, à
part leur empattement un
peu plus long, leur pont arrière hérité des 7010 et la possibilité de monter des pneumatiques de 42», ces deux tracteurs ont des caractéristiques
tout à fait comparables à celles des 6030, à commencer
par un design qui ne laisse
planer aucun doute sur leur filiation.
Voyons justement quelles
sont les principales caractéristiques des ces 6030 (et 7030
européens). Extérieurement,
ils ressemblent à s’y méprendre aux 6020, le design des
prises d’air sur les capots latéraux constituant la principale
modification. L’intérieur de la
cabine par contre a été complètement modifié, qu’il s’agisse des leviers de commande ou des instruments de
bord.
Ce sont évidemment les
nouveaux moteurs qui constituent l’innovation majeure de
ces tracteurs. Selon les modèles,il s’agit d’un 4 cylindres de
4.5 L ou d’un 6 cylindres de
6.8 L dont la puissance au régime nominal s’échelonne de
100 à 180 chevaux (de 110 à
203 ch. si on tient compte de
la surpuissance - voir tableau).
Il est important de noter
que tous ces tracteurs disposent à présent en standard du
système de surpuissance active que l’on connaissait déjà
sur le 6920S. Ce dispositif,
qu’il ne faut pas confondre
avec le gain de puissance obtenu à un régime moteur inférieur au régime nominal, permet d’augmenter la puissance lors des travaux à la prise
de force et au transport.
Avec ce dispositif, la puissance du tracteur est automatiquement augmentée de 15
à 25 ch dès que l’on enclenche la prise de force ou que la
vitesse du tracteur dépasse
14 km/h.
Des américains
à la carte
Provenant de l’usine de
Waterloo aux Etats-unis, les
nouveaux 7730, 7830 et
7930 sont appelés à remplacer les 7020 lancés voici seulement 3 ans.
Au niveau du design, les
changements sont ici pratiquement imperceptibles.
La filiation du nouveau 7530 avec les tracteurs de la série 6030 est
évidente. La ligne de ces tracteurs est très proche de celle des
6020
Comme pour la série 6030,
c’est du côté du moteur qu’il
faut chercher la nouveauté.
Alors que le 7920 était entraîné par un 8.1 L,tous trois sont
maintenant propulsés par de
nouveaux 6,8 L.Ils répondent
bien entendu aux normes Tier
3 mais surtout développent
15 chevaux de plus que leurs
prédécesseurs pour une
consommation légèrement
inférieure à puissance égale.
Ces nouveaux moteurs bénéficient eux aussi de la surpuissance active qui dans ce cas
apporte 30 ch supplémentaires au transport et à la prise
de force.
Sur les tracteurs «américains», l’offre en matière
transmission était jusqu’ici limitée.Ce ne sera plus le cas à
présent puisque l’acheteur
d’un 7030 aura maintenant
le choix entre la transmission
semi powershift PowerQuad
Plus, sa version à changement de vitesse automatique
AutoQuadPlus, avec éventuellement la variante
Ecoshift permettant de rouler
à vitesse élevée avec un régime moteur limité, ou encore
la transmission à variation
continue AutoPowr.
D’autres améliorations ont
également été apportées que
ce soit au niveau de la cinématique de la transmission
pour en améliorer le rendement, des performances du
système hydraulique ou encore du confort du conducteur.
Les nouveaux
PowerTech Plus
Nous avons vu que c’est du
côté du moteur que résidait la
principale nouveauté dont
bénéficient les 6030 et 7030.
Les nouvelles normes en
matière d’émissions imposent aux motoristes de faire
preuve d’innovation. En effet,
les exigences devenant de
plus en plus sévères,il devient
très difficile d’y répondre sans
compromettre le rendement
du moteur. Satisfaire à ces
exigences environnementales
tout en augmentant la puissance et en diminuant la
consommation est donc un
véritable défi lancé aux constructeurs de moteurs.
Pour atteindre ces objectifs
ambitieux, John Deere n’a
pas hésité à recourir à l’armada complète des nouvelles
technologies ayant cours en
matière de motorisation. Ses
nouveaux
moteurs
PowerTech Plus de 4,5 et 6,8
litres combinent en effet l’injection sous haute pression à
rampe commune (mieux
connue sous le nom de common rail), les 4 soupapes par
cylindre, le turbo à géométrie
variable et enfin la re-circulation d’une partie des gaz d’échappement préalablement
refroidis, le tout sous le
contrôle électronique.
La culasse à quatre soupapes par cylindre permet un
meilleur flux d’air et une injection centrale qui améliorent la
combustion. L’injection common rail améliore le démarrage à froid et réduit le niveau
sonore. Le turbo à géométrie
variable procure une réaction
plus rapide du moteur lors de
la détection d’une charge
mais il intervient aussi dans
l’amélioration du niveau de
couple et la réduction de la
consommation de carburant.
Enfin, la re-circulation d’une
partie des gaz d’échappement à l’admission réduit l’émission de NOx. Sans retarder le calage,ce dispositif permet de refroidir le processus
de combustion dans la chambre en réduisant le volume
d’oxygène de l’air aspiré.
12 octobre 2006
7
C U LT U R E S
Les meilleurs froments de l’ISAW
Les Services agricoles des province
wallonnes , et plus particulièrement ceux du
Hainaut et de Liège dans le cas des céréales,
réalisent chaque année de nombreux essais
variétaux. Les résultats des essais variétaux
froments menés par l’ISAW en 2006
constituent une référence pour le choix
variétal en vue des prochains semis.
O. Mahieu, M. Van Koninckxloo (1), L. Ruelle et N Jehotte (2)
étroitement à la rédaction
d’une recommandation commune et concertée de variétés
de froment d’hiver.
Le réseau d’essais variétaux sur lequel s’appuie cette
publication,compte plus de 1
200 parcelles réparties sur 6
sites d’expérimentation.Tous
les essais de ce réseau sont
réalisés en blocs aléatoires
complets, en quatre répéti-
8
à un niveau faible.A cette période,les fortes précipitations,
le vent et les températures inférieures aux normales saisonnières ont favorisé le développement de la septoriose
et ont entravé les traitements
fongicides de dernière feuille.
Vers la mi-juin, on a constaté une progression des populations de pucerons mais
également du nombre de
leurs prédateurs. Les pucerons de l’épi (Sitobion
Avenae),les plus dommageables, étaient pratiquement inexistants. Dés lors aucun traitement aphicide n’a été préconisé en 2006.
Ces dernières années on a
assisté à une augmentation
du nombre de lémas (criocères). Et si les vols de cécidomyies oranges ont été plus
importants qu’en 2005, ces
Rendement
(1)
Non traîté (2)
Rendement
(1)
98.9
99.3
100.3
104.0
99.3
97.8
102.6
99.0
100.5
90.0
94.5
97.6
90.6
93.8
93.6
98.4
91.8
93.6
87.6
-3.1%
-5.6%
-7.2%
-11.2%
-6.5%
-8.6%
-2.7%
-6.6%
-14.6%
-0.3%
-7.4%
-3.4%
-3.1%
-12.0%
-4.0%
-6.2%
-1.6%
-6.9%
-1.6%
VARIETES "AUTRE USAGE" PRESENTES DANS TOUS LES ESSAIS DU RESEAU ISAW 2006
ROBIGUS (T)
Aut.us Aut.us 102.0
-8.3% 85.8 12.2 21.3
1.7
77.2 102.6
LION (A51-03)
N.C. Aut.us 101.3 -20.7% 89.1 12.3 23.2
1.9
79.8
99.2
CENTENAIRE (T) Panif Aut.us 100.8 -11.1% 112.8 12.4 31.6
2.6
80.1
99.7
KASPART
Aut.us Aut.us 100.3 -10.4% 88.1 13.4 24.3
1.8
79.8
99.1
KATART
Aut.us Aut.us 100.2 -17.1% 93.3 12.7 25.7
2.0
78.2
99.2
BONCAP
N.C. Aut.us 98.8 -15.2% 105.3 12.6 36.7
2.9
76.9
96.6
GLASGOW
N.C. Aut.us 98.7 -20.4% 89.8 11.9 27.2
2.3
77.7
95.8
ISTABRAQ
Aut.us Aut.us 98.3 -12.0% 115.5 11.6 18.6
1.6
79.9
98.7
PATREL (T)
Aut.us Aut.us 97.2 -3.2% 101.4 12.3 25.0
2.0
77.7
97.6
BISCAY
Aut.us Aut.us 97.2 -15.3% 92.5 12.1 29.7
2.4
79.0
97.8
WINNETOU
N.C. Aut.us 96.6 -8.6% 108.1 12.9 23.2
1.8
79.9
93.9
TULSA
Panif Aut.us 96.6 -9.7% 101.9 12.5 36.7
2.9
80.8
92.5
HYPERION
N.C. Aut.us 96.3 -10.1% 80.2 13.1 26.4
2.0
79.3 100.0
CONSTANCE
N.C. Aut.us 95.1 -8.7% 87.4 13.2 30.7
2.3
76.3
93.5
LEXUS
Aut.us Aut.us 94.8 -4.2% 89.7 13.9 37.5
2.7
76.5
96.3
SAMURAI
Aut.us Aut.us 94.5 -11.7% 87.4 13.1 33.4
2.5
78.9
89.3
ASTUCE
N.C. Aut.us 94.3 -7.4% 131.7 13.1 37.1
2.8
80.2
91.5
ELEGANT
N.C. Aut.us 91.9 -7.5% 126.6 13.0 36.3
2.8
79.8
90.1
101.9
97.7
102.7
95.7
102.3
98.8
103.2
90.8
95.4
96.5
93.3
95.9
95.8
93.2
96.1
97.2
94.8
87.6
-3.5%
-11.8%
-6.3%
-3.3%
-10.3%
-8.3%
-12.8%
-3.4%
-0.7%
-8.2%
-2.1%
-4.8%
-4.3%
-3.8%
-0.2%
-4.9%
-2.9%
-1.1%
99.7
-3.6%
37.0
40.2
39.5
58.8
30.8
27.6
3.0
3.2
3.1
4.3
2.6
2.0
80.0
83.1
80.8
78.0
77.3
78.0
-13.1%
-29.5%
-15.9%
-17.4%
-23.9%
-22.2%
-28.0%
-20.6%
-5.7%
-22.4%
-15.0%
-14.6%
-16.0%
-13.6%
-8.2%
-18.6%
-11.9%
-13.9%
100.1
101.7
102.8
102.8
103.4
99.8
102.0
102.2
97.1
99.3
97.8
97.3
99.6
96.8
90.0
93.2
92.4
93.3
103.3
101.8
98.8
98.4
100.5
96.2
99.5
99.8
97.8
93.1
95.8
102.5
94.1
96.4
93.5
96.2
91.4
92.7
101.9
106.0
100.1
105.6
95.5
102.7
93.1
100.1
98.1
99.1
102.2
94.7
91.7
95.8
98.1
96.8
101.4
95.7
104.4 -26.6%
101.3
103.9
104.6
95.5
93.5
96.1
89.5
95.2
91.7
9237
3.3%
94.9
96.0
96.6
91.5
89.9
86.9
10808
5.2%
-10.3%
-16.9%
-15.5%
-10.1%
91.3
11230
3.0%
(*) classification établie selon les normes SYNAGRA (inter = Z/P ≥ 3 et Zélény ≥ 30 et teneur en protéines ≥ 11.5 %)
(1) Rendement en % des témoins
(2) différence de rendement en absence de protection fongicide en % de la variété protégée
3) poids spécifique de la variété protégée en kg/hl (4) donnée indicative à considérer avec prudence
(T)=Témoin 2006 = CENTENAIRE, PATREL et ROBIGUS
97.0
9201
6.5%
Rendement
(1)
Rendement
(1)
Non traîté (2)
CHPTE
Waremme
(Betteraves)
103.6
104.1
98.9
94.1
102.7
97.9
94.2
102.9
94.7
97.9
99.6
92.7
102.3
92.6
93.9
91.5
92.4
95.4
88.6
VARIETES PRESENTES DANS UN NOMBRE REDUIT D'ESSAIS
MERCURY
N.C. Panif 103.5 -26.6%
12.1
N.C. Panif
99.7 -3.6% 83.3 12.8
POTENZIAL
TOISONDOR
Aut.us Panif
95.8 -10.3%
12.7
QUEBON
Panif Panif
92.6 -16.9%
13.7
ACTROS
N.C. Aut.us 92.5 -15.5%
11.7
NEMOCART
N.C. Aut.us 91.7 -10.1%
14.7
Rendement moyen en T/ha
9962 -12.3%
Coeff. De Variation (en %)
Rendement
(1)
Poids Sp. (2)
nc
nc
nc
nc
nc
CARAH
Ath1 Neuf. Stamb.
(Better.) (PdT) (Maïs)
104.9
98.3
98.3
96.6
99.8
100.8
101.9
95.2
96.6
98.6
91.8
95.5
95.3
95.0
95.9
91.8
96.3
92.5
90.5
Zeleny/Prot
(4)
+
++
+
Ath2
(Féveroles)
VARIETES PANIFIABLES et INTERMEDIAIRES (*) PRESENTES DANS TOUS LES ESSAIS DU RESEAU ISAW 2006
TUAREG
Panif Panif 103.4 -12.2% 99.7 12.3 47.6
3.9
80.3 101.0 -21.3% 108.6
ROSARIO
Panif Panif 101.3 -11.2% 102.2 12.7 42.5
3.3
80.2 102.0 -16.8% 102.5
SOGOOD
N.C. Panif 100.4 -13.4% 100.4 12.4 47.7
3.8
80.2 103.8 -19.6% 101.0
ALSACE
Aut.us Panif 100.2 -20.9% 102.0 11.6 36.6
3.1
77.7 100.7 -30.6% 105.3
HAUSSMANN
N.C. Panif
99.8 -13.6% 90.5 12.3 36.8
3.0
80.1
97.1 -20.7% 100.1
HATTRICK
Panif Panif
98.8 -16.3% 101.0 12.4 39.7
3.2
77.6
95.3 -23.9% 102.4
SMUGGLER
N.C. Panif
98.8 -11.2% 96.8 12.1 44.8
3.7
75.6
99.0 -19.7% 96.2
INCISIF
Panif Panif
97.9 -12.6% 102.3 12.5 46.8
3.7
79.9
94.3 -18.6% 98.0
DINOSOR
N.C. Panif
96.3 -21.2% 83.6 12.4 41.7
3.4
79.2
95.4 -27.7% 94.3
CAMPARI
Panif Panif
95.9 -8.3% 114.2 12.9 48.5
3.8
79.0
97.2 -16.4% 95.8
CAPNOR
N.C. Panif
95.5 -13.7% 75.7 13.0 41.1
3.2
78.7
97.3 -20.0% 94.5
RUSTIC
N.C. Panif
94.9 -8.8% 72.1 13.0 52.0
4.0
82.0
95.1 -14.2% 93.8
TOMMI
Panif Panif
94.9 -10.1% 110.9 13.4 52.0
3.9
80.8
90.1 -17.1% 96.2
EVASION
N.C. Panif
94.7 -19.0% 82.4 12.6 41.6
3.3
79.3
95.9 -26.1% 96.2
TATAROS
N.C. Panif
94.6 -9.4% 96.1 12.8 50.0
3.9
82.0
92.4 -14.8% 97.0
INTACT
N.C. Panif
93.7 -12.0% 93.8 13.1 51.1
3.9
79.4
96.0 -17.7% 90.7
KODEX
N.C. Panif
93.7 -7.7% 87.4 13.1 53.6
4.1
76.2
92.6 -13.9% 95.2
CUBUS
Panif Panif
92.8 -14.0% 79.0 13.1 60.8
4.6
80.9
89.0 -21.1% 93.4
MELKIOR
N.C. Panif
88.4 -6.8% 91.5 13.2 56.6
4.3
80.1
87.7 -12.0% 87.6
VARIETE
Zélény (3)
=
++
++
++
++
Protéines (%)
=
++
=
+
-+
-++
=
=
+
=
=
-=
=
=
+
=
=
=
Paille % tém.
(1 essai)
Rendement paille
+
=
=
=
+
-+
=
+
=
+
=
+
=
+
+
=
-+
+
+
++
=
-+
++
+
+
+
+
Non traîté (2)
(2 essais)
Poids spécifique
-++
=
+
+
+
+
+
+
=
=
+
+
=
+
-+
++
++
=
+
+
=
+
=
-+
-=
++
++ = cote la plus favorable -- = cote la moins favorable
(nc) = non caractérisée en raison d’un manque de références
(T) = variété témoin dans le réseau ISAW en 2006
(n) = variété testée pour la première fois en 2006 dans le réseau ISAW.
(1) La qualité boulangère n’est qu’indicative basée sur le test de Zeleny et les protéines.
Les autres qualités technologiques tels le temps de chute de Hagberg ou l’alvéographe de
Chopin n’ont pas été prises en considération. Seuls les tests de panification et la cuisson
permettent de déceler avec précision le degré de la qualité.
12 octobre 2006
mier fractionnement d’azote
à bonne époque. Dans de
nombreux cas, il leur fut
conseillé de réaliser le fractionnement azoté en deux
applications et de modifier
leur stratégie de lutte contre
les adventices.
La forte baisse des températures du début avril, avec
des gelées nocturnes, a provoqué un ralentissement de
croissance. A ce moment les
plantes avaient atteint le stade fin tallage. La pression des
maladies du pied et du
feuillage était faible. Elle est
restée à ce niveau jusqu’à la
fin mai. On a constaté
quelques dégâts dus à la
mouche grise mais pas de
maladies virales dues aux pucerons.
Fin mai toujours,la population de pucerons était restée
MOYENNES DU RESAU ISAW 2006
Rendement
(1)
Verse
Rouille brunne
Oïdium
Septoriose
Qualité boulang. (1)
Pécocité à maturié
Mandataire
Qualité
Technologique
Résistance
Alsace (n)
Brichart
+
= ++
Astuce (n)
Matton
=
=
+
+
Biscay
Brichart
=
- ++
Boncap (n)
Cbs
=
=
+
Campari
Rigaux
- ++ =
+ ++
Capnor (n)
Rigaux
- ++ =
=
Centenaire (T)
Jorion
=
+
=
=
Constance (n)
Matton
=
=
+ ++ +
Cubus
Brichart
= ++ + ++ -Dinosor (n)
Jorion
++ ++ -+
Elegant (n)
Matton
=
=
= ++ +
Evasion (n)
Philip S. ++ ++ ---Glasgow (n)
Matton
=
=
+
Hattrick
Rigaux
= ++ =
=
-Haussmann (n)
Erauw
- ++ +
=
Hyperion (n)
Verla S.
-= ++ ++
Incisif
Scam
= ++ =
+
Intact (n)
Scam
= ++ =
-=
Istabraq
Brichart
=
-=
=
Kaspart
Jorion
=
-=
Katart
Scam
=
-Kodex (n)
Brichart
= ++ +
+
Lexus
Matton
++ = ++ - ++
Lion (A51-03) (n) Scam
-+
+
-Melkior (n)
Philip S.
= ++ =
+
+
Patrel (T)
Matton
-- ++ -- ++
Robigus (T)
Brichart
--- ++ ++ +
Rosario
Scam
= ++ =
+
Rustic (n)
Philip S.
+ ++ =
=
+
Samurai
Jorion
=
+
=
+
Smuggler (n)
Jorion
- ++ +
=
=
Sogood (n)
Rigaux
+ ++ = ++
Tataros (n)
Jorion
+ ++ +
+
+
Tommi
Matton
- ++ ++ +
Tuareg
Matton
- ++ + ++ Tulsa
Matton
-= ++ -- ++
Winnetou (n)
Brichart
=
-+
-+
Varietes présentes dans un nombre réduit d’essais
Actros
Rigaux
nc =
- nc ++
Mercury
Matton
nc ++ = nc =
Nemocart
Jorion
nc -= nc =
potenzial (n)
verla s.
= ++ ++ ++ ++
Quebon
Philip S. nc ++ -- nc =
Toisondor
Philip S. nc ++ + nc ++
ner les derniers pucerons encore présents. Dans certaines
situations, on a rencontré
quelques parcelles déchaussées principalement dans les
semis hâtifs et dans les terres
argileuses et riches en humus.
A la fin de l’hiver, la majorité des froments avait un bel
aspect. A cette période, on a
observé une très grande hétérogénéité dans l’état de salissement des parcelles en fonction de l’époque du semis.
Les reliquats d’azote à la
sortie de l’hiver étaient relativement importants dans de
nombreuses situations.
Les conditions climatiques
défavorables,rendant l’accessibilité des terres difficile, ont
perturbé les premiers travaux
de printemps.Bon nombre de
cultivateurs n’ont pu appliquer les herbicides ou le pre-
Tableau 2: Résultats des essais variétaux 2005-2006 Froment d'hiver de l'ISAW (CARAH de Ath et CHPTE de La Reid)
Tableau 1: principales caractéristiques des variétés
testées par l'ISAW en 2006
Variété
Les conditions climatiques
depuis le semis des froments
jusqu’à la fin de l’hiver ont été
particulièrement favorables.
La récolte des précédents a
pu être réalisée sans altérer la
structure des terres et les semis ont été mis en place dans
des conditions quasi optimales. La levée et finalement la
croissance des plantules,suite
à la douceur des températures d’arrière-saison, ont été
rapides.
L’hiver, quoique très long
mais sans avoir connu des
températures particulièrement basses a permis d’élimi-
classement
2006 (*)
L
L’année culturale
écoulée
classement
2005 (*)
es Provinces du Hainaut
et de Liège sont représentatives des principales zones de production céréalière en Wallonie (régions
limoneuse, sablo-limoneuse
et Condroz).
Depuis plus de 15 ans,
dans le cadre de l’ISAW
(Interprovinciale des Services
Agricoles de Wallonie), ces
deux provinces collaborent
tions. Plus de 38 variétés ont
été testées cette année dans
chacun des essais du réseau.
9335
3.8%
C U LT U R E S
- Pour celui qui désire allier
rendement et production
de
paille,
Campari,
Centenaire, Istabracq, Patrel
et Tuareg auront la priorité.
- Notez enfin que les variétés Cubus, Hattrick, Istabraq,
Les conditions climatiques depuis le semis des froments jusqu’à la fin de l’hiver ont été particulièrement favorables.
dernières ont régressé assez
rapidement et n’ont pas causé de gros dégâts.
Entre-temps les maladies
du feuillage ont progressé,
dans les parcelles qui n’avaient pas encore été protégées.
Un automne 2005 particulièrement chaud favorable au
développement précoce de la
septoriose, combiné à un
printemps froid, et à un mois
de juillet chaud et sec a provoqué des pertes de rendements que l’on peut estimer
entre 15 et 30% dans les situations les plus graves,et entre 5 et 10 % dans les
meilleures terres.
Fin juillet,fait exceptionnel,
on réceptionnait en même
temps de l’escourgeon, du
froment et du colza.
Le mois d’août fut le plus
sombre depuis 1887,avec un
manque très marqué de luminosité et des précipitations
quasi journalières.Des pertes,
parfois très lourdes, voire to-
tales, ont été enregistrées
dans les parcelles qui n’ont
pas pu être moissonnées
pour le 07 août.
Si les pertes sur le grain ont
été importantes (germination
et égrainage), il en a été de
même pour la paille souvent
restée sur le champ pendant
plus d’un mois dans l’humidité constante.
Force est de constater que
depuis 2004, nous avons dû
déplorer de mauvaises conditions climatiques lors de la
moisson des froments avec
souvent des réfactions chez le
négoce!
Le fait d’augmenter les
superficies d’escourgeon au
détriment du froment a permis dans certains cas d’étaler
les travaux et ainsi de limiter
les pertes.
Les recommandations de l’Isaw
- En culture classique,
avec
phytotechnie
normale,Centenaire,Hattrick,
Istabraq, Kaspart, Katart,
Patrel, Robigus, Rosario et
Tuareg se montrent des valeurs sûres. Parmi les nouveautés, Lion, Haussmann et
Sogood semblent également
prometteuses mais demandent confirmation.
- Pour celui qui désire allier
rendement et qualité,
Hattrick, Rosario et Tuareg
auront la priorité,sans oublier
les nouveautés Haussmann
et Sogood.
Campari, Cubus, Incisif,
Quebon et Tommi, et parmi
les nouveautés Rustic et
Tataros, bien que moins productives, méritent également
l’attention en raison de l’excellent niveau de qualité technologique atteint.
- Pour ce qui est des cultures à réduction de fongicide, Centenaire, Lexus, Patrel,
Robigus,Toisondor et Tulsa et
parmi les nouveautés:
Smuggler et Winnetou semblent bien adaptées.
Kaspart, Katart, Lion, Sogood
et Quebon sont particulièrement sensibles à l’une ou à
plusieurs maladies. Elles demanderont une attention
toute particulière en cours de
végétation.
Le comportement d’une
variété pouvant différer suivant les situations, il est vivement conseillé de se référer
aux valeurs régionales.
(1): CARAH, province de Hainaut (2): CHPTE, province de Liège
Tableau 3 Evolution sur 4 ans des variétés testées par le CARAH et le CHPTE
Perte de Rdt en abscence de
Rendements en % des variétés témoins (*)
protection fongicide en % de la
et nombre d'essais (entre parenthèses)
variété traitée 2x
2003
2004
2005
2006 M. 03-06 2003 2004 2005
2006 03-06
Rdt tém. en
99.6
107.3 105.1 111.4
105.9
-1.5 -12.3 -9.6
-12.3 -12.3
Qx/ha
Variétés testées depuis 4 ans ou plus
-7.3
Patrel
103 (6) 103 (3) 104 (5) 97 (5) 102 (19) -9.5 -12.0 -4.6
-3.2
Centenaire
104 (6) 98 (3) 99 (5) 101 (5) 101 (19) -10.0 -11.9 -7.7
-11.1 -10.2
Biscay
104 (6) 104 (3) 98 (5) 97 (5) 101 (19) -10.5 -19.4 -11.7
-15.3 -14.2
5.7
Lexus
99 (6)
103 (5) 95 (5) 99 (16) -8.8
0.0 -4.2
-4.2
Tommi
98 (6) 99 (3) 97 (5) 95 (5) 97 (19) -7.9 -12.1 -6.4
-10.1 -9.1
Variétés testées depuis 3 ans
Kaspart
105 (3) 104 (5) 100 (5) 103 (13)
-15.4 -16.5
-10.4 14.1
Hattrick
104 (3) 105 (5) 99 (5) 102 (13)
-17.5 -18.0
-16.3 17.3
Robigus
104 (3) 100 (5) 102 (5) 102 (13)
-15.9 -6.5
-8.3 10.2
Rosario
99 (3) 103 (5) 101 (5) 101 (13)
8.1
-16.4 -8.4
-11.2
9.9
Toisondor
103 (3) 100 (5) 96 (4) 99 (12)
-8.0
-6.0
-10.3
Tulsa
102 (3) 98 (5) 97 (5) 98 (13)
-11.1 -8.9
-9.7 13.6
Cubus
98 (3) 96 (5) 93 (5) 95 (13)
-13.4 -13.4
-14.0
Variétés testées depuis 2 ans
Tuareg
102 (5) 103 (5) 103 (10)
-11.6
-12.2 11.9
Istabraq
102 (5) 98 (5) 100 (10)
-15.1
-12.0 13.5
Katart
100 (5) 100 (5) 100 (10)
-16.6
-17.1 16.8
100 (5) 99 (11)
Alsace
98 (6)
-17.9
-20.9 19.4
8.6
102 (5) 96 (5) 99 (10)
Campari
-8.9
-8.3
Incisif
98 (5) 98 (5) 98 (10)
-9.2
-12.6 10.9
Samouraï
99 (5) 95 (5) 97 (10)
-13.7
-11.7 -12.7
Quebon
97 (5) 93 (4) 95 (9)
-17.6
-17.0 -17.3
Variétés testées depuis 1 an
Lion
101 (5) 101 (5)
-20.7 -20.7
100 (5) 100 (5)
Sogood
-13.4 -13.4
Haussmann
100 (5) 100 (5)
-13.6 -13.6
Boncap
99 (5) 99 (5)
-15.2 -15.2
Smuggler
99 (5) 99 (5)
-11.2 -11.2
99 (5) 99 (5)
Glasgow
-20.4 -20.4
-8.6
Winnetou
97 (5) 97 (5)
-8.6
Dinosor
96 (5) 96 (5)
-21.2 -21.2
Hyperion
96 (5) 96 (5)
-10.1 -10.1
Capnor
96 (5) 96 (5)
-13.7 -13.7
Constance
95 (5) 95 (5)
-8.7
-8.7
Rustic
95 (5) 95 (5)
-8.8
-8.8
Evasion
95 (5) 95 (5)
-19.0 -19.0
Tataros
95 (5) 95 (5)
-9.4
-9.4
-7.4
Astuce
94 (5) 94 (5)
-7.4
Kodex
94 (5) 94 (5)
-7.7
-7.7
Elegant
-7.7
92 (5) 92 (5)
-7.5
Melkior
88 (5) 88 (5)
-6.8
-6.8
(*) Témoins :
2002 et 2003 : Corvus, Folio, Ordeal
2004 et 2005 : Centenaire, Corvus, Patrel
2006 : Centenaire, Patrel, Robigus
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12 octobre 2006
9
CALAMITÉS
Tour des exploitations sinistrées par la tornade
La tornade du premier octobre ne fait plus
la une des médias, mais c’est maintenant
que les exploitants touchés éprouvent les
plus grandes difficultés. Désemparés,
démunis, il peuvent heureusement compter
sur le dévouement du vice-président
régional de la FWA, Michel Thienpont, pour
les aider à surmonter cette pénible épreuve.
Richard Cydzik
son du stress vécu par les
animaux. L’exploitant attend
évidemment un peu de compréhension au niveau des
normes QFL et de la qualité
du lait, comme pour les autres producteurs sinistrés
Maison inhabitable
En face de l’exploitation
Spectacle d’apocalypse
qu’il nous a été donné de
de découvrir vendredi dernier, lorsqu’en compagnie
du vice-président régional
de la FWA, Michel
Thienpont et de José
Clompen, nous avons eu
l’occasion de rendre visite
aux exploitations sinistrées
par la tornade du 1er octobre.
Désarroi général
Exploitations sinistrées,exploitants plus que jamais en
désarroi. En effet, il ont le
sentiment après que, le premier jour, les médias ont largement couvert la catastrophe, ils sont à peu près
oubliés de tout le monde.
Alors que c’est maintenant
qu’ils doivent réellement faire face désormais à des problèmes de survie parce que
nombre de fermes sont encore loin d’être en état de fonctionner. C’est le cas de
Pascal Laute, dont l’étable a
été sérieusement endommagée (ne parlons pas de la
et les bâtiments sont considérables.
L’épouse de Luc a encore
peine à retenir ses larmes,
surtout en raison du traumatisme vécu par les enfants. Luc se souvient lors
du choc de leur avoir crié «
à la cave !». Le temps d’y
arriver, plus rien. La tornade
avait passé.
L’un des grands problèmes rencontrés par les exploitants est celui des clous,
morceaux de verre et autres
débris projetés dans les
prairies et cultures, notamment de silos de maïs.Ils risquent d’être ingérés par le
bétail et provoquer les accidents que l’on devine.
Luc a, comme tous les sinistrés, traversé une phase
de déprime (on l’aurait vécu
à moins). Mais son moral a
été remonté par l’immense
élan de solidarité dont il a
pu bénéficier de la part des
agriculteurs et d’autres parties de la population. Juste
difficulté de trouver des reconstructeurs disposés à effectuer des devis et le travail, tant la tâche paraît
complexe.
Pour témoigner de la violence de la tornade, il explique avoir retrouvé chez
lui des vêtements de poupée et des livres cours en
provenance de la ferme de
Pascal Laute, dont l’épouse
est enseignante, mais dont
l’exploitation est située à
plus de 1,5km de la sienne..
Champs
endommagés
L’entrepreneur Fabrice
Stragier explique que la porte de son énorme hangar à
gros matériels a littéralement été aspirée vers l’intérieur.Le toit est en très mauvais état et des pièces
d’Eternit ont été propulsées
dans les champs environnants. Clous, béton et
Eternit se retrouvent dans
visibles de destruction, je sens
bien que mon poulailler ne
sera plus jamais comme avant.
Or,il doit être rendu à nouveau
fonctionnel au plus vite, car
c’est une perte économique
sèche que nous endurons.
Le cas de M. Pareit est
l’un des plus dramatiques,
car tout jeune exploitant, il
ploie sous la charge de nombreux emprunts. Christophe
est désemparé face au défilé
d’experts et contre-experts
des assurances, de son banquier aussi, et il est psychologiquement ébranlé.
Le poulailler n’est pas le
seul bâtiment touché, l’étable et l’exploitation le sont
aussi. M. Pareit, qui venait
d’avoir un enfant, âgé de 10
jours le jour de la catastrophe,
a préféré le remettre à ses
beaux-parents à Lens.
Impossible de rester dans la
maison abîmée.
Pascal Laute, encore sous le choc, devant son exploitation, en
compagnie de Michel Thienpont et de José Clompen
déjà dû faire face à un avortement. En outre, l’électricité
ayant été coupée, deux traites n’ont pu avoir lieu, ce qui
risque à plus ou moins court
terme de donner lieu à divers
problèmes, comme des
mammites. Les bâtiments
sont complètement détruits,
la récolte de foin et les tourteaux risque d’être complè-
Laute, Geert Dereycke a vu
sa maison d’habitation déclarée inhabitable. Les scellés y ont été placés. Une petite maison d’habitation du
CPAS a été mise à sa disposition à Braine-le-Comte,
mais elle est très éloignée
de sa ferme. Il angoisse parce que son bétail viandeux
exige une présence bien sûr
Hangar à pommes de terre détruit à la ferme St-Martin
retour des choses, car Luc
s’est toujours investi dans le
syndicalisme agricole, notamment au niveau des JAP
et aujourd’hui de la FWA.
A la ferme
St-Martin
D’énormes matériels endommagés
maison d’habitation, ravagée) alors qu’elle avait été
récemment restaurée. C’est
d’ailleurs Isabelle Jaumotte
du Service d’Etudes de la
FWA, qui s’était occupée de
lui obtenir un permis d’environnement. Ici, comme dans
la plupart des fermes, les animaux ont été et sont encore
désorientés. Pascal Laute a
10
tement mise hors d’usage.
Un grand nettoyage n’est
pas possible tant que les
formalités d’assurance ne
sont pas réglées.
Pascal Laute reconnaît
que sa laiterie a heureusement été préservée, mais
qu’il enregistre une baisse
considérable de la production laitière toujours en rai-
12 octobre 2006
quasi permanente.
A la cave !
L’exploitation de Luc
Blondeau était quasiment à
l’état neuf. Le toit de l’habitation comme celui de la
grange avaient été récemment restauré. Les dégâts
occasionnés sur le matériel
Chez
Jean-Pierre
Dereycke, l’habitation a été
épargnée, mais la grange,
dont la toiture a été rénovée
il y a peu, est inutilisable.
Son problème est qu’elle lui
servait au stockage des
pommes de terre. Cultivant
15 ha de tubercules, il est
désemparé parce qu’il n’a
nulle idée de l’endroit de
substitution pour les stocker
en pleine saison de récolte.
Un autre problème est la
les tas de betteraves, ce qui
va engendrer des problèmes de tare. Le corps de logis et la grange dépendante
ont souffert énormément.
Poulailler hors
d’usage
Chez Christophe Pareit, la
seule exploitation à être située sur la commune de
Rebecq en Brabant, c’est un
poulailler, l’une des principales sources de revenu de l’exploitation qui a été mis hors
d’usage.Il s’y trouvait près de
20000 poulets dont la plupart sont mortes, les autres
ont été euthanasiées.Tout le
rythme de fonctionnement de
son poulailler est perturbé. Si
seul le toit présente des signes
La FWA s’active
La
situation
de
Christophe Pareit nous rappelle que, si tous les agriculteurs sont atteints à des degrés divers, les jeunes le sont
le plus douloureusement. La
FWA s’activera à tous les niveaux pour que les justes indemnisations (assurances et
Fonds des calamités) soient
accordées aux sinistrés et
que les exploitations puissent
au plus tôt être remises en
état de marche. Rendons
hommage en tout cas en
particulier une fois encore,
au dévouement du viceprésident Michel Thienpont.
CALAMITÉS
Le poignant témoignage d’une victime
Voici le témoignage
plein d’émotion que
nous a adressé l’une
des victimes de la tornade, qui souhaite
conserver l’anonymat.
Il reflète cependant le
sentiment de l’ensemble des sinistrés.
Le moment venu
Tas de betteraves truffé de divers objets intrus, projetés par la tourmente, clous, morceaux de verre et
de béton et isolants
Benoît Lutgen
et les victimes de la tornade
Interrogé par le député
Jean-Paul Procureur, le
Ministre de l’Agriculture
Benoît Lutgen s’est expliqué
sur les aides que pouvait fournir la Région Wallonne.
J’ai eu l’occasion de me
rendre sur les lieux du sinistre
et j’ai pu constater l’ampleur
des dégâts. C’est très impressionnant. Il s’agit d’une minitornade, mais les agriculteurs
sont, effectivement, durement touchés sur les plans
humain et financier.
J’ai demandé à la DGA d’étudier les possibilités d’aides
financières de la Région wallonne. Sur base de l’article 36
de l’arrêté du Gouvernement
wallon du 17 juillet 1997, la
Région wallonne peut accorder des crédits ponts. La DGA
rédige une note à ce sujet,
que je présenterai au
Gouvernement.
À côté de cela, il existe,
vous l’avez dit, le Fonds des
calamités, mais il met beaucoup de temps pour octroyer
des aides. Nous allons donc,
via les crédits ponts, prêter
aux agriculteurs de l’argent
que nous récupérerons,
lorsque le Fonds des calamités interviendra.
Par ailleurs, concernant le
Fonds
d’Investissement
Agricole, j’ai demandé qu’on
étudie les dossiers afin de
pouvoir reporter l’ensemble
des remboursements de crédits.
Voilà comment la Région
wallonne compte aider les
agriculteurs durement touchés par cette catastrophe.
Il y a des moments dans
la vie où il n’existe pas de
mots pour faire partager sa
douleur avec les autres. Ce
fut le cas ce dimanche vers
18 heures quand la tornade
nous écrasa.
Par chance, nous étions
au cœur de la maison et
nous avons été épargnés.
Pendant quelques secondes, un vide, un fracas, un
tremblement, les cris et la
panique...
Ma femme et mes enfants sont vivants, ils crient
mais ils sont vivants. Puis je
sors et c’est une vue incompréhensible qui me pénètre
le cerveau. Tout est parti,
envolé, disloqué.
Je marche dans et sous
les décombres de cette ferme que j’ai bâtie et qui se
trouve maintenant sous
mes pieds.
Ce n’est pas possible, je
suis dans un cauchemar.
Partout c’est la même chose.
Ma grange, le bâtiment
que j’avais tant choyé, qui
me paraissait si forte... et
puis tout le reste.
Je pleure
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Ce poulailler, endommagé, comptait encore il y a peu près de
20000 volailles, explique Christophe Pareit, au centre, dont la détresse économique est plus grave en raison de son jeune âge et
des emprunts contractés, tandis que son activité avicole est paralysée
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12 octobre 2006
11
ZWISCHEN EUPEN UND SANKT VITH
Erntedankfest im Eifelort Mützenich
Mützenich zählt 2221 Einwohner und
gehört als nordwestlicher Teil zu Monschau.
Die Mützenicher organisieren unter der
Leitung der Ortsbauernschaft Mützenich
alljährlich ihr Erntedankfest. Diese
Veranstaltung zieht regelmäßig bis zu 10
000 Besucher an.
Es werden verschiedene
Themenwagen
zum
Erntedank gestaltet.Der ganze Ort ist dabei auf den
Beinen.
Viele
Vereine,
Privatpersonen und Gruppen
stellen dazu in wochenlanger
Vorbereitung
ihre
Motivwagen her. Der Umzug
dauert zirka 2,5 Stunden.
Während
des
Erntedankumzuges werden
Getreidesträußchen oder
Blumen verkauft. Dadurch
wird ein Teil der Kosten zur
Gestaltung der Wagen an die
Teilnehmer des Festzuges als
Obolus erstattet. Dieses Fest
findet bereits seit 53 Jahren
ohne Unterbrechung statt.
Jedes Jahr wird das Fest mit
einem Beatball, für das meist
jugendliche Publikum eröffnet.Samstags findet dann der
große Erntedankball statt und
schließlich am Sonntag der
Erntedankumzug. Entlang
der Straßen des kleinen
Dörfchens säumen sich
Menschenmengen, um das
alljährliche Spektakel zu bewundern.
Geschichte
Der
Ursprung
des
Erntedankfests reicht bis in
die vorchristliche Zeit zurück.
In Mittel- und Nordeuropa
wurde Erntedank zur Herbstund Tagundnachtgleiche am
23. September mit einem
Dankopfer gefeiert. In der katholischen Kirche ist ein
Erntedankfest seit dem 3.
Jahrhundert n. Chr. belegt.
Seit dem Mittelalter kennt
man verschiedene Daten für
eine Erntedankfeier. Nach der
Reformation bürgerte sich in
evangelischen Gemeinden
der Michaelistag oder ein
dem Michaelistag benachbarter Sonntag ein. In den
evangelischen Kirchen, wird
seit dem königlichen Erlass
von 1773, die Feier am 29.
September, am Sonntag nach
Michaelis begangen. Die
evangelischen Freikirchen
feiern wie die römisch- katholische Kirche das Fest in der
Regel am ersten Sonntag im
Oktober.
Mit
dem
Erntedankfest soll an die
Arbeit in Landwirtschaft und
Gärten erinnert werden und
daran, dass es nicht allein in
der Hand des Menschen liegt,
über ausreichend Nahrung zu
verfügen.
Entwicklung des ländlichen Raums 377 Mio. EUR für die Überschreitung
der EU Milchquoten
Schwerpunkt
2:
Am 12. September hat die Europäische Kommission
die jährliche Aufteilung der Mittel für die
Entwicklung des ländlichen Raums beschlossen. Dies
betrifft den Zeitraum 2007 bis 2013.
Für Belgien wird ein
Gesamtbetrage von 420 Millionen
Euro vorgesehen, für den ganzen
Zeitraum 2007-2013. Jährlich, ungefähr 60 Millionen Euro.
Ein Kommentar von
Mariann Fischer Boel
„Nachdem wir nun die
Mittelzuweisungen beschlossen haben,
sehe
ich
den
Entwicklungsprogrammen der
Mitgliedstaaten für den ländlichen
Raum mit Spannung entgegen”,
kommentierte Mariann FischerBoel, für Landwirtschaft und ländliche Entwicklung zuständiges
Mitglied der Europäischen
Kommission. „Die Mittel für die
ländliche Entwicklung können zur
Verbesserung
der
Wettbewerbsfähigkeit der Land-,
Ernährungs- und Forstwirtschaft
eingesetzt werden und spielen eine
wesentliche Rolle bei der Förderung
von Umweltvorhaben auf dem
Lande.Aber die Gelder können auch
außerhalb der traditionellen
Landwirtschaft eingesetzt werden,
um in den ländlichen Gebieten neue
Arbeitsplätze zu schaffen und neue
Unternehmen zu gründen. Es wird
viel über Wachstum und die
Schaffung von Arbeitsplätzen geredet - dies ist ein konkretes Beispiel
für EU-Gelder,die gerade hierzu beitragen.”
Wichtigsten Merkmale
- Ein einziges Finanzierungs- und
Programmplanungsinstrument: der
Europäische Landwirtschaftsfonds
für die Entwicklung des ländlichen
Raums (ELER),
- eine neue Strategie für die ländliche Entwicklung, die klar auf die
12
Prioritäten der EU ausgerichtet ist,
verstärkte
Kontrolle,
Evaluierung und Berichterstattung
sowie eine klarere Aufteilung der
Zuständigkeiten zwischen den
Mitgliedstaaten
und
der
Kommission,
- ein verstärktes Bottom-upKonzept. Die Mitgliedstaaten,
Regionen
und
lokalen
Aktionsgruppen erhalten mehr
Mitsprachemöglichkeiten, um die
Programme auf die lokalen
Bedürfnisse abzustimmen.
So stellen sich die vier Hauptziele
vor.
Schwerpunkt
1:
Verbesserung
der
Wettbewerbsfähigkeit der
Land- und Forstwirtschaft
Beispiele:
- Förderung des Humankapitals
durch Schulungsmaßnahmen und
Beratungsdienste für Land- und
Forstwirte,
- Ausbau und Verbesserung der
für die Entwicklung und Anpassung
der Land- und Forstwirtschaft erforderlichen Infrastruktur,
- Unterstützung von Landwirten,
die
an
Lebensmittelqualitätsregelungen
teilnehmen,
Niederlassung
von
Junglandwirten,
- Unterstützung von landwirtschaftlichen
SemiSubsistenzbetrieben in den neuen
Mitgliedstaaten, damit diese wettbewerbsfähig werden können,
- Innovationsförderung.
Mindestens
10%
des
Gemeinschaftsbeitrags müssen für
Schwerpunkt1 verwendet werden.
Die Kofinanzierung durch die EU beträgt höchstens 50% (75% in den
Konvergenzregionen).
12 octobre 2006
Umweltschutz
und
Landbewirtschaftung
Beispiele:
- Ausgleichszahlungen für naturbedingte Nachteile zugunsten von
Landwirten in Berggebieten,
- Zahlungen im Rahmen von NATURA 2000,
- Agrarumweltmaßnahmen,
- Zahlungen zur Verbesserung
des Tierschutzes,
- Maßnahmen zur Förderung einer nachhaltigen Forstwirtschaft.
Mindestens
25%
des
Schwerpunkt
3:
Verbesserung
der
Lebensqualität im ländlichen
Raum und Diversifizierung der
ländlichen Wirtschaft
Beispiele:
- Diversifizierung hin zu nichtlandwirtschaftlichen Tätigkeiten,
- Unterstützung der Gründung
von Kleinstunternehmen,
Förderung
des
Fremdenverkehrs,
- Dorferneuerung,
- Grundversorgungsdienste wie
die
Bereitstellung
von
Kinderbetreuungseinrichtungen,
um den Frauen den Wiedereintritt
ins Erwerbsleben zu erleichtern.
Mindestens
10%
des
Schwerpunkt 4: das LEADER-Konzept
Jedes Programm muss ein LEADER-Element umfassen, in dessen
Rahmen
lokale
Entwicklungsstrategien von lokalen
Aktionsgruppen durchgeführt werden. Mindestens 5% des
Gemeinschaftsbeitrags sind für LEADER reserviert (2,5% für die neuen
Mitgliedstaaten).
Laut einer vorläufigen Berechnung der
Europäischen Kommission auf der
Grundlage der jährlichen Erklärungen der
Mitgliedstaaten müssen diese mit
Abgabenzahlungen von insgesamt 377 Mio.
EUR für die Überschreitung ihrer
Milcherzeugungsquoten für das Quotenjahr
2005/06 (April - März) rechnen.
Verbraucher betrifft, für den eine
Gesamtquote von 2 Mio.Tonnen
gewährt wurde, so haben nur
Spanien und die Niederlande
Überschreitungen von insgesamt
2 600 Tonnen gemeldet, was einer Abgabe von 0,8 Mio. EUR
entspricht.
Gesamtquote: 135 Mio
Tonnen
Im vergangenen Jahr beliefen
sich die Abgaben auf insgesamt
355 Mio. EUR. Neun
Mitgliedstaaten (Tschechische
Republik, Deutschland, Spanien,
Italien, Zypern, Luxemburg, Österreich, Polen und Portugal) haben ihre Lieferquoten überschritten. Insgesamt stehen diese
Länder für eine Überschreitung
um 1 217 000 Tonnen, was
Abgaben in Höhe von 376 Mio.
EUR bedeutet.
Mehr als 90% dieser
Abgaben entfallen auf drei
Mitgliedstaaten - Italien, Polen
und Deutschland.Die Abgabe für
Polen, die vorläufig auf 91 Mio.
EUR berechnet wurde, wird jedoch wahrscheinlich durch die
Übertragung von im Rahmen der
Direktabgabequote nicht genutzten Mengen auf die
Lieferquote beträchtlich reduziert. Was den Direktverkauf an
Für das Wirtschaftjahr
2005/2006 wurde die EUGesamtquote für die Lieferungen
auf 135,5 Mio. Tonnen festgesetzt. Diese wird aufgeteilt auf
880 387 Einzelquoten für die
EU-25.Für Direktverkäufe an die
Verbraucher gibt es eine separate Quote von 2 Mio.Tonnen, die
in 107 000 Einzelquoten aufgeteilt ist.
In 16 Mitgliedstaaten werden
die Erzeuger keine Abgaben für
die Lieferungen zahlen müssen,
da
die
nationalen
Referenzmengen nicht überschritten wurden. Von diesen
Mitgliedstaaten hatten vier
Mitgliedstaaten
im
Wirtschaftsjahr
2004/05
Abgaben gezahlt (Belgien,
Dänemark, Irland und die
Niederlande) und bei 7 handelt
es sich im Mitgliedstaaten, die
der EU im Jahr 2004 beigetreten
sind und seitdem keine Abgaben
zahlen mussten (Estland,
Lettland,Litauen,Ungarn,Malta,
Slowenien und die Slowakei).
Dieses Jahr hat Belgien seine
Quote nicht überschritten.
So funktioniert
System
das
Um ein Gleichgewicht zwischen
Angebot und Nachfrage zu erzielen und die Überschüsse zu reduzieren, ist die Milchvermarktung in
der Europäischen Union durch ein
Quotensystem geregelt. Jeder
Mitgliedstaat erhält zwei
“Referenzmengen”(Quoten),eine
für die Lieferungen an die
Molkereien, die andere für die
Direktverkäufe an die Verbraucher.
Diese Mengen sind in jedem
Mitgliedstaat unter den Erzeugern
(Einzelquoten) aufgeteilt.Wird die
nationale Quote überschritten, so
muss in dem betreffenden
Mitgliedstaat von den an der
Überschreitung
beteiligten
Erzeugern eine Zusatzabgabe gezahlt werden. Diese Zusatzabgabe
muss von den Erzeugern von
Kuhmilch auf alle Milchmengen
oder Milchäquivalent gezahlt werden, die innerhalb eines Zeitraums
von zwölf Monaten (1.April bis 31.
März) über die Quote hinaus vermarktet wurden. Die nicht genutzten Mengen können auf andere
Erzeuger
des
gleichen
Mitgliedstaats aufgeteilt werden.
Die Mitgliedstaaten müssen der
Kommission jedes Jahr vor dem 1.
September die Ergebnisse der
Anwendung der Milchquote im vorausgegangenen
Referenzzeitraum mitteilen. Dies
geschieht mit Hilfe eines
Fragebogens,der alle Daten für die
Berechnung der Zusatzabgabe enthält.Diese beläuft sich auf 0,3091
EUR/kg Überschreitung.
ZWISCHEN EUPEN UND SANKT VITH
Die Wildschweine sind wieder da
Der wallonische Abgeordnete Edmund
Stoffels zeigt sich besorgt darüber, wenn
Landwirte in der Region Eupen regelmäßig
erleben, dass ihre Maiskulturen von
übermäßig vielen Wildschweinen besucht
werden.
Die Probleme mit den
Wildschweinen rühren insbesondere daher, dass die
Techniken zur Zählung dieser
Tierart
bedeutende
Humanressourcen erfordern.
Dies hat Minister Lutgen vor
kurzem als Reaktion auf eine
Frage des Abgeordneten
Stoffels wiederholt.
Mehrere Quellen
Um die Entwicklung der
Wildschweinpopulationen zu
bewerten, stehen der
Verwaltung
mehrere
Informationsquellen
zur
Verfügung: Schiesspläne, die
während eines Jahres von
den Forstbeamten gemachten Beobachtungen, die
Angaben von Jagdinhabern
bzw. Beobachtungen, die in
Zusammenhang mit der
Zählung
von
Hirschpopulationen gemacht
worden sind. Für das
Zusammentragen
dieser
Angaben bedarf es Zeit, so
dass die Verwaltung bisher
noch nicht in der Lage ist, die
statistischen Angaben für die
Jagdsaison 2005-2006 mitzuteilen.
Selbst wenn diese statistischen Zahlenangaben die
2005 beobachtete allgemeine Abwärts-Tendenz bestätigen sollten, scheinen zwei
Jahre unzureichend zu sein,
um das Ausmaß von verlängerten Jagdzeiten für
Wildschweinpopulationen zu
bewerten, so Lutgen.
Abschreckende
Fütterung
In Bezug auf das Verbot der
abschreckenden Fütterung
v
o
n
Wildschweinpopulationen
erinnert Herr Lutgen daran,
dass dieser Beschluss erst
Anfang dieses Jahres gefasst
worden ist und sich auf die
Staatsforste begrenzt, für die
dacht sind, einen Landwirt
wegen der vom Wild verursachten Schäden zu entschädigen, so dass sie nicht über
den
Ausgang
dieser
Abmachungen in Kenntnis
gesetzt wird. Wie dem auch
sei,was die Streitfälle angeht,
die vor Gericht verhandelt
werden,so ist es weder Sache
der Verwaltung, noch des
Ministers über die in der
Sache erteilten Gutachten zu
urteilen. Was die gütlichen
Einigungen betrifft, so stellt
sich die Frage einer „korrekten” Entschädigung nicht.
es eine neue Ausschreibung
geben wird. Bisher sind von
den 553.000 Hektar, die die
Forstzonen (für die das Verbot
ggf. gilt) in der Wallonischen
Region ausmachen, 22.000
ha Staatsforste von diesem
Verbot betroffen. Es ist
schwierig, unter diesen
Umständen die Tragweite einer solchen Massnahme einzuschätzen.
Die
Fütterung
von
Großwild ist gemäß Artikel
12ter des Gesetzes vom 28.
Februar 1882 über die Jagd
und den Erlass der
Wallonischen Regierung vom
28. Mai 2003 in Ausführung
von § 2 dieses Artikels in
Gemeinde- und Privatwald
gestattet. Dennoch haben
mehrere Gemeinden jetzt
schon beschlossen, an der
Bestimmung festzuhalten,die
die abschreckende Fütterung
von Wildschweinen in dem
Lastenheft, das ihnen von der
Forststelle vorgeschlagen
worden ist, vorsieht.
Entschädigung
Mit Ausnahme der Fälle,
wo die Verwaltung in Frage
gestellt wird, obliegt es ihr
nicht in die Abmachungen
einzugreifen, die dazu ge-
Das Lastenheft für die
Pacht des Jagdrechts in
Staatsforsten sieht keine
Regelung
zwecks
Entschädigung von Schäden
vor, die Wild in landwirtschaftlichen Parzellen verursacht hat.
Es kann auch gar nicht anders sein, weil dieses Thema
von zahlreichen Faktoren abhängt, die meist die
Bezeichnung
eines
Sachverständigen erfordern:
die
landwirtschaftliche
Region (Erträge), die Kultur,
Entwicklungsstand und das
g l e i c h z e i t i g e
Zusammenwirken
der
Schäden, die mehreren
Tierarten (Wildschweine und
Dachse) zuzuschreiben sind.
Übrigens handelt es sich
beim Lastenheft für die Pacht
des Jagdrechts grundlegend
um einen Vertrag,der für zwei
Personen, nämlich für den
Eigentümer
und
den
Pächter/Jäger bindend ist,
und keineswegs Dritte wie z.
Bsp. Landwirte betrifft oder
bindend für sie sein könnte,
so Herr Lutgen abschließend.
STUDIENRING
AGROKLUB
Dienstag, 17. Oktober
um 20 Uhr,
Studienversammlun
g bei Kris D’Haene,
Wirtzfelder Strasse
55 - 4750 ELSENBORN
Themen (A. Ledur) :
–
die
Zukunftperspektiven im
Milchsektor
– Verschiedenes
Es ergehen persönliche
Einladungen
AGRA - OST - Tag der offenen Tür in Eynatten
AGRA - OST organisierte für die
interessierten Landwirte bei den Gebrüdern
Hellebrandt in Eynatten die Besichtigung
eines Güllelagerbehälters.
Constanze Göbel-Zehrt - Hans Müllens
Die Gebrüder bewirtschaften eine Fläche von 33,5
Hektar Dauergrünland. Ein
Teil der Flächen ist äußerst
nass. Der Hof liegt in einer
Höhenlage von etwas über
320 über dem Meeresspiegel
und ist bedingt durch die
Lage im Frühjahr meist sehr
kalt.
Auf dem Gelände werden
zirka 150 Einheiten Stickstoff
neben der organischen
Düngung gestreut. In Folge
der stetig steigenden
Stickstoffpreise muss eine optimale Nutzung des betriebseigenen Düngers erfolgen.
Auf Grund der steigenden
Preise und um der
Gesetzgebung gerecht zu
werden, ist es vorausschauender Weise notwendig,
größere Güllereservoire aufzustellen. Diese sollten über
eine Lagerkapazität von mindestens
6
Monaten
Gülleproduktion verfügen.
In Flandern beispielsweise
wo man eine intensive und
bodenlose Tierhaltung betreibt, ist es für die Landwirt
sehr vorteilhaft, große
Güllelager anzulegen.
Die
so
gelagerten
Gülleüberschüsse können
dann bei Bedarf an andere
landwirtschaftliche Betriebe,
die auf Grund ihres Tier- und
Flächenbestandes zu wenig
Gülle produzieren können,
abtreten werde. Die Firma
AGROPAK (ehemals EROPAK) bietet den Käufern verschieden große Behälter an.
Die unten genannten
Preisvorschläge beziehen sich
auf sämtliche Gülle-BehälterTypen
mit
einem
Mindestfassungsvermögen
von 1000 Kubikmeter.
Typ- und
Preisvorschläge:*
Die klassische Grube unter
dem Stall. Kosten: 90 bis100
Euro/Kubikmeter
Güllesäcke:
Kosten: 45 bis 50 Euro/
Kubikmeter
Betonbehälter (unabhängig vom Stall, gegossener
Stahlbeton, Stahlsteine oder
Fertigelemente).
Kubikmeter
Emaillierte Stahlbehälter
(ähnlich wie Betonbehälter)
Kosten: plus/ minus 45
Euro/ Kubikmeter
Abbaubare Systeme:
Kubikmeter
Lagune:
Kubikmeter
Besichtigung
Wir
hatten
die
Gelegenheit, uns ein abbaubares System anzuschauen.
Es handelte sich um einen
Behälter von 2,58 Meter
Höhe wovon sich 60 - 70
Zentimeter im Boden befanden. Der Durchmesser beträgt 17,14 Meter und hat ein
Fassungsvermögen von 595
Kubikmeter. Das Stahlgerüst
ist feuerverzinkt. Auf dem
Gerüst sind innenseitig 2
Millimeter
dicke
Polyethylenplatten befestigt.
Der so aufgebaute Behälter
wird mit einer einen
Millimeter starken PVC - Folie
ausgelegt. Um das Aufstellen
zu ermöglichen, muss keine
Betonbodenplatte gegossen
werden.Es bedarf lediglich eines 15 Zenitmeter starken
Untergrunds aus Rheinsand.
Um
den
technischen
Anforderungen gerecht zu
werden, braucht es eine
Ringdränage und alle drei
Meter
eines
Querdränagerohrs.Alle Rohre
enden
in
einem
Kontrollschacht in dem die
Dichtigkeit geprüft wird. Die
Einfüll- und Entnahmestation
hat
einen
Kupplungsanschluss von 15
Zentimeter,
drei
Sicherheitsschieber und einen
Auffangbehälter für die
Leerlaufgülle aus den
Schläuchen. An der gegenüberliegenden Seite befindet
sich das Rührwerk (Mixer),
der mit einem 90 - 100 PS
starken Schlepper über dem
Zapfwellenantrieb betätigt
wird.
In alle Güllebecken fließen
die weißen-, die grünen- und
die braunen Abwässer hinein.
Bei eventueller Mistlagerung
müssen die Sickersäfte mit in
das Becken fließen können.
Zusätzliches
Die Gebrüder Hellebrandt
haben überdies zur äußeren
Sicherheit im Boden eine
DELTA-MS Schutzplane von
einen Meter Höhe eingebaut.
Das Auffüllen der Erde rund
um das Becken sollte nach
und nach erfolgen, damit die
Erde Zeit hat sich setzen zu
können und gleichzeitig kein
übermäßiger Druck auf den
Behälter entsteht. Aus
Sicherheitsgründen soll nach
Fertigstellung der Arbeiten ein
zwei Meter hoher Zaun um
die gesamte Anlage errichtet
werden.
Systeme: Dieses abbaubare System, sowie die Lagune
eignen sich besonders für
Betriebe,die voraussichtlich in
absehbarer Zeit,ihre Tätigkeit
einstellen werden.
Infos: Bei Nitrawal **,
Agrar-Ost
und
der
Außenstelle
des
Landwirtschaftsministeriums
in Malmedy gibt es
Informationsfaltblätter mit
dem Titel: «Die Normung von
Betriebsgebäuden bei der
Rinderzucht».
Anträge: Vor Beginn jeglicher Arbeiten müssen
Anträge bei dem oben genannten Ministerium in
Malmedy gestellt werden.
Zeitgleich sind die notwendigen
städtebaulichen
Bescheinigungen
bzw.
Genehmigungen bei der zuständigen Gemeinde zu beantragen.Nach Beendigung der
Arbeiten
muss
das
Ministerium per Einschreiben
über die Fertigstellung informiert werden,um die technische Abnahme vorzunehmen.
Beihilfe: Nach erfolgter
technischer Abnahme, darf
erst der Antrag auf Beihilfe
nach den AIF-üblichen
Modalitäten,gestellt werden.
Um die Beihilfe von 40%
Kapitalprämie beantragen zu
können, muss der Betrieb
eine Buchhaltung nachweisen können.
* Quelle Pressemappe. Für
eventuelle Druckfehler übernehmen wir keine Haftung.
Adressen
** Nitra Wal Ost:Tel.: 085
84 58 57; Handy: 0498 91
25 08 (Sébastien Plumer
für
die
Deutschsprachigen). Für
die Gesetzgebung auf
D e u t s c h :
www.nitrawal.be «La législation
Nitrate»
Sprache: Deutsch anklicken.
Anfrage
von
Informationen über EMail: [email protected]
Agra-Ost: Tel.: 080 22 78
96 Handy: 0496 28 23 88
(Thérèse
Vliegen
Organische
Stoffe).
Ministerium der WR
Generaldirektion
Landwirtschaft
Malmedy: Tel.: 080 79 92
55 (Pierre Meiers - Rue
Martin Legros 32) und
080 44 06 27 (Ralf Pip Avenue des Alliés 13).
12 octobre 2006
13
MARCHÉS
La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique,
entre parenthèses, les cotations du marché précédent.A défaut d’indication contraire,les prix s’entendent hors TVA
DE
BOVI
S
10/10/2006
Apports: 359 euros/kg sur pied
Taureaux:cdp <24m & 650kg : 2,93-3,12
(2,93-3,12)
cdp >24m & 650kg:
2,58-2,88
(2,58-2,93)
assimilés:
2,48-2,68
(2,48-2,68)
bonne conformation:
2,03-2,28
(2,03-2,28)
60 %:
1,69-1,88
(1,69-1,88)
55 %:
1,44-1,54
(1,44-1,54)
holsteiner
1,19-1,39
(1,19-1,39)
Vaches: culs-de-poulain
2,58-2,73
(2,58-2,73)
assimilées:
2,33-2,53
(2,38-2,48)
bonne conformation:
1,83-2,28
(1,83-2,23)
55 %:
1,19-1,64
(1,24-1,64)
50 %:
0,99-1,14
(0,99-1,14)
fabrication:
0,74 -0,89
(0,74-0,89)
Génisses: culs-de-poulain 2,58-2,88
(2,58-2,88)
assimilées
2,38-2,48
(2,38-2,48)
bonne conformation:
1,64-2,23
(1,64-2,23)
ordinaires:
1,29-1,49
(1,29-1,49)
Par rapport au marché précédent, on a enregistré 15 têtes de bétail en plus.
La vente démarre lentement. Ce qui influence négativement les prix surtout pour les vaches toutes catégories. Il
y a trop peu de taureaux culs-de-poulain conformes pour
générer une nouvelle évolution des prix.
BATTICE
14
12 octobre 2006
4/10/2006
Nombre: 449
Prix au kg:
Vaches cul-de-poulain:
1,80-2,50 (1,80-2,50)
Vaches bon. conf.:
1,00-1,50 (1,00-1,50)
Vaches de fabric.:
0,50-0,70 (0,50-0,70)
Boeufs et gén. bon. qual.: 1,20-1,70 (1,20-1,70)
Boeufs et gén. qual. moy.: 0,70-1,00 (0,70-1,00)
Taureaux culs de poulain: 2,10-2,60 (2,10-2,60)
Taureaux ordinaires:
1,00-1,40 (1,00-1,40)
Prix pièce
Vaches ordinaires:
400-525
(400-525)
Boeufs et gén. de 15 à 18 mois: 350-700 (350-700)
Taureaux cdp 6 à 10 mois: 950-1200 (1000-1200)
Taureaux ord. 6 à 10 mois: 400-700
(400-700)
Jeunes veaux:
60-400
(60-400)
En baisse. Prochain marché le 11/10/06.
VEGET
MATIERES PREMIERES
ALIMENTATION BETAIL
ANDERLECHT
9/10/2006
(euros/kg)
Porcs extra de viande:
1,27-1,30 (1,29-1,32)
Porcs de viande:
1,18-1,24 (1,20-1,26)
Porcs 1/2 gras:
1,09-1,12 (1,11-1,14)
Porcs gras et hors poids:
0,97-1,01 (0,99-1,03)
Truies
0,81-1,12 (0,81-1,12)
Porcs: légère baisse
Truies: stationnaire
Les tendances provisoires des produits de la découpe indiquent une légère baisse dans les jambons et une situation stationnaire dans les autres catégories.
Les expéditions sont en baisse vers l’Allemagne et les
Pays-Bas et fermes vers la France.
ST-TROND
5/10/2006
Porcelets
(euro/pce-5eur supp inclus)
20kg:
31,00
(32,00)
23kg:
34,00
(35,00)
Tendance: baisse
CARCASSES DE GROS BOVINS
Sem. du 25 septembre au 1 octobre 06
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Taureaux de moins de deux ans
A - S2
473,88
(476,12)
A - S3
442,21
(444,52)
A - E2
407,59
(408,73)
A - E3
389,36
(389,82)
A - U2
325,64
(325,85)
A - U3
303,22
(303,45)
A - R2
290,07
(290,34)
A - R3
268,25
(268,45)
A - O2
247,55
(247,84)
A - O3
233,45
(233,87)
Vaches
D - R2
261,21
(260,23)
D - R3
251,79
(252,17)
D - O2
232,97
(234,24)
D - O3
226,66
(227,28)
D - O4
217,96
(217,96)
D - P2
193,10
(194,21)
D - P3
181,86
(182,19)
Génisses
E - U2
337,00
(337,50)
E - U3
318,00
(318,50)
E - R2
273,50
(274,00)
E - R3
258,00
(258,50)
MOUT
AV I CULT
UR E
6/10/2006
Nombre d’animaux exposés: 2.542. Prix du bétail bovin
hors T.V.A. et frais de marché inclus.
a) Bétail maigre: euro/pièce:
I.Veaux:
PN:
0-100
(0-150)
PR:
50-150
(50-200)
BBB ordinaire:
150-300
(150-300)
C.d.p. mâle:
450-775
(450-775)
C.d.p. femelle:
475-600
(475-600)
II. Génisses:
180-250kg: PN/PR:
250-350
(250-350)
BBB culard:
550-750
(550-750)
250-400kg: PN/PR:
320-450
(320-450)
BBB culard:
900-1150
(900-1150)
400-500kg: PN/PR:
400-600
(400-600)
1.100-1.400 (1.100-1.400)
BBB culard:
pleines: PN/PR:
850-1050
(850-1050)
III.Vaches:
Moyennes, PN/PR:
350-750
(350-750)
mixtes cat.I:
700-900
(700-900)
mixtes cat. II:
800-1050
(800-1050)
C.d.p. 2 à 4 ans:
1250-2050 (1250-2050)
âgées:
1000-1800 (1000-1800)
BASTOGNE
Prix négoce
XL + 73 g
6,34 (6,34) 6,34 (6,34)
L + 63-73 g
4,98 (4,98) 4,98 (4,98)
M + 53-63 g
4,29 (4,29) 4,31 (4,31)
S - 53 g
3,10 (3,10) 2,95 (2,95)
Les prix producteurs s’appliquent à la vente aux stations
d’emballage. Les prix négoce s’appliquent à la vente au
commerce de gros, de détail et à l’industrie.
PORCS
S
CINEY
4/10/2006
Nombre: 410
Prix à la pièce
Vaches ordinaires:
350-650
(350-650)
Vaches p.n. et p.r.:
150-480
(150-480)
Vaches bonne conform:
350-800
(350-800)
Génisses 10-18 mois:
350-610
(350-610)
Génisses cdp:
500-750
(500-750)
Taureaux 6-10 mois:
800-1050 (800-1050)
Taureaux cdp:
600-900
(600-900)
Têteurs cdp:
600-900
(600-900)
Veaux rouges:
50-85
(50-85)
Veaux noirs-blancs:
50-75
(50-75)
Veaux blancs-bleus:
150-280
(200-280)
Veaux culs de poulain:
500-750
(500-750)
Prix au kg
Vaches cdp:
1,70-1,90 (1,70-1,90)
Vaches cdp âgées:
1,40-1,60 (1,40-1,60)
Vaches de qualité moyenne: 0,90-1,00 (0,90-1,00)
Vaches bonne qualité:
1,00-1,15 (1,00-1,15)
Taureaux 3 à 10 ans:
1,15-1,20 (1,15-1,20)
Forte baisse dans les taureaux cdp.Calme vu la zone rouge qui grandit. Pas d’exportation vers l’Italie. Baisse générale dans les veaux. Prochain marché: 11/10/06.
Cotations de la Confédération Belge de
l’Industrie Laitière
27/09/2006
Prix euro/kg
Beurre
2,55
(2,54)
Poudre de lait écrémé
2,25
(2,24)
Poudre l.écrémé alim anim
2,11
(2,10)
Poudre de lait entier
2,38
(2,37)
Gouda
3,25
(3,25)
Cheddar
2,83
(2,83)
ON
7/10/2006
Nombre de bovidés: 507
CATEGORIE BOUCHERIE:
• euro/kg :
Taureaux:
C.d.p.:
2,80-3,10
(2,80-3,10)
assimilés:
2,50-2,75
(2,50-2,75)
bonne conformation
1,65-2,15
(1,65-2,15)
60%:
1,40-1,65
(1,40-1,65)
poids lourds:
1,00-1,25
(1,00-1,25)
• euro/tête:
Vaches:
Bonne conformation
750-900
(750-900)
1ère catégorie 45%:
500-650
(500-650)
2ème catégorie 40%:
400-500
(400-500)
de fabrication:
200-300
(200-300)
Génisses (euro/kg):
c.d.p.:
2,40-2,75
(2,40-2,75)
Assimilées.:
2,10-2,45
(2,10-2,45)
Bonne conformation:
575-700
(575-700)
Ordinaires:
300-500
(300-500)
Calme
CATEGORIE COMMERCE:
• euro/Tête:
Vaches c.d.p. 2-3 ans:
1350-1725 (1350-1725)
Vaches c.d.p. +3 ans:
1100-1400 (1100-1400)
Bonnes vaches ordinaires: 550-800
(550-800)
Vaches ordinaires:
300-450
(300-450)
Génisses 2 ans:
nc
(-)
Génisses 1 an:
nc
(-)
Veaux cdp:
600-800
(600-800)
Veaux blancs bleus:
325-425
(325-425)
Veaux Bleus Holstein:
100-150
(100-150)
Veaux rouges:
100-150
(100-150)
Veaux noirs bonne qualité: 40-80
(50-100)
Veaux noirs moyenne qual.: 0-40
(0-50)
Baisse.
NEUFCHATEAU
PRODUITS LAITIERS
AUX
ANDERLECHT - GROS
IV.Taureaux:
Ordin.: 180-250kg:
325-525
(325-525)
250-320kg:
550-600
(550-600)
320-370kg:
600-700
(600-700)
370kg et +:
700-800
(700-800)
Assimil.: 180-250kg:
650-750
(650-750)
250-320kg:
800-900
(800-900)
320-370kg:
950-1000 (950-1000)
1000-1150 (1000-1150)
370kg et +:
C.d.p.: 180-250kg:
925-1025 (950-1050)
250-320kg:
1025-1225 (1050-1250)
320-370kg:
1250-1350 (1250-1350)
370kg et +:
1350-1475 (1350-1475)
b) Bétail de boucherie (prix/kg)
I.Vaches:
Fabrication:
0,90-1,00 (0,90-1,00)
50%:
1,20-1,40 (1,20-1,40)
55%:
1,40-1,70 (1,40-1,70)
II.Taureaux:
55%:
1,55-1,85 (1,55-1,85)
60%:
1,85-2,15 (1,85-2,15)
assimilés
2,45-2,80 (2,45-2,80)
C.d.p.
2,85-3,25 (2,85-3,25)
Forte baisse:veaux laitiers,bétail d’export et 2ème choix.
Prochain marché le 13/10/06.
ST-TROND
ANDERLECHT
5/10/2006
Bovins: 110; veaux: 29.
Euro/kg:
Génisses 56%:
1,20-1,41 (1,20-1,41)
58-60%:
1,46-2,11 (1,46-2,11)
63-65%:
2,14-2,59 (2,14-2,59)
cdp 70%:
2,96
(2,96)
Taureaux 55%:
0,96-1,21 (0,96-1,21)
60%:
1,21-1,56 (1,21-1,56)
62%:
1,75-2,01 (1,75-2,01)
assim. :
2,21-2,41 (2,21-2,41)
cdp 67%:
2,31-2,81 (2,31-2,81)
cdp extra hors marché :
3,00
(3,00)
Vaches: 50%
0,81-0,96 (0,81-0,96)
55%
1,31-1,41 (1,31-1,41)
60%:
1,61-1,86 (1,61-1,86)
Bonne conformation:
2,08-2,68 (2,08-2,68)
fabrication:
0,45-0,60 (0,45-0,60)
Euro/pièce:
Veaux cdp extra:
670-705
(680-715)
Veaux cdp 2e cat.:
545-620
(555-630)
BBB extra:
365-420
(375-430)
BBB 2e cat.:
195-265
(205-275)
Rouges extra:
140-155
(150-165)
rouges 2e cat.:
70-120
(80-130)
noirs extra:
45-120
(55-130)
noir 2e cat.:
25-65
(35-75)
BBB génisses:
70-180
(80-190)
veaux génisses:
45
(10-50)
Bovins: marché calme. Veaux: marché très calme.
Prochain marché: 12/10/06
10/10/2006
Prix de gros des carcasses de moutons
Anglais
4,50
(4,50)
Ecossais
5,30
(5,30)
Prix moutons vifs (euros/kilo) Apport: Agnelles
(-)
Agneaux mâles
(-)
Brebis réforme (pce)
(-)
Béliers adultes (pce)
(-)
Le marché sera réouvert dès la fin des problèmes liés à la
fièvre catarrhale du mouton.
DEINZE - VOLAILLES
4/10/2006
• Poules à bouillir:
extra lourdes (+ 3,5 kg):
0,29-0,31
brunes (1,8 à 2,0 kg):
0,10-0,12
blanches (1,6 à 1,8 kg):
0,06-0,08
• Poulets à rôtir (1,8 kg): 0,78-0,80
• Lapins:
1,95
CHICAGO
9/10/2006
1ère col.:en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau
= 27,2 kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg
pour le tourteau de soja;2ème col.:en euro/Tonne;3ème
col.: prix de la semaine précédente en euros.
Froment
(-)
Maïs
(-)
Tourteau Soja
168,60 147,50
(142,36)
LIEGE
9/10/2006
(Tous les prix s’entendent euro/Tonne de marchandise,
T.V.A. non comprise).
Prix Culture:
Froment panif. 76K/11 MPT/220: - nc
(-)
Bonification comprise
From. fourrag. P.S. 73/74:
130
(125)
Escourgeon: 62/63
115
(112)
Avoine P.S. 50 kg:
nc
(-)
INTERNATIONAL - OLÉAGINEUX
28/09/2006
Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés mondiaux, en $/tonne.
Soja
Graines U.S. Cif. Rotterdam:
252
(251)
Graines Arg. Cif. Rotterdam:
260
(247)
Pellets 44,46% Arg. Cif. Rotterd.: 215
(217)
Pellets 48% Brésil Cif.Rotterdam: 231
(236)
Colza
Graines Europe “00” Cif. Hamb:. 325
(330)
Tourteaux 34% Fob Hambourg: 143
(142)
Lin
Graines Canada Cif. Europe:
(319)
Tourteaux 36% Allemagne:
(210)
ORGE DE BRASSERIE - PRINTEMPS
Récolte 2006 Rendu malterie
Récolte 2007 Rendu malterie
180eur/T
166eur/T
(163)
(140)
POMMES DE TERRE
(0,28-0,30)
(0,09-0,11)
(0,05-0,07)
(0,78-0,80)
(1,85)
KRUISHOUTEM -OEUFS
10/10/2006
Prix euro/100 pces
Prix producteurs
blancs
Cat.0:+ 75 g
5,94 (5,94)
Cat.1:70 à 75
4,70 (4,70)
Cat.2:65 à 70
4,58 (4,58)
Cat.3:60 à 65
4,29 (4,29)
Cat.4:55 à 60
3,89 (3,89)
Cat.5:50 à 55
3,38 (3,38)
Cat.6:45 à 50
2,90 (2,90)
Cat.7:- 45
1,78 (1,78)
4/10/06
Prix par 1000kg en vrac hors TVA, départ négoce
Pulpes betteraves sèches 8mm Fr
138
(136)
Luzerne 18% pellets 6mm Fr 132
(132)
Tourteau Tournesol 28% Arg 141
(142)
Tourteau colza 34% Belg
146
(146)
Tourteau soja 43% Arg
206
(205)
Tourteau soja 44% Holl
203
(202)
Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés
231
(231)
Tourteau soja 49% Belg
220
(219)
Tourteau lin 40% Belg
253
(253)
Glutenfeed maïs 22% EU 142
(143)
Manioc Thaïlande
(-)
Mélasse cannes
165
(165)
bruns
5,94 (5,94)
4,70 (4,70)
4,58 (4,58)
4,32 (4,32)
3,91 (3,91)
3,35 (3,35)
2,75 (2,75)
1,63 (1,63)
9/10/2006
euro/100kg HTVA
Bintjes PSE (gr/5 kg) Prix eur/100 kg
< 300
5,00 – 8,00
330 à 350
9,35 – 12,00
> 360
12,50 – 16,00
Bintje: Bintje: les transactions sur le marché libre sont
très peu nombreuses. Malgré l’activité industrielle très
élevée, la demande reste essentiellement couverte par
les volumes contractés dont la qualité est non fiable.
L’offre de qualité défaillante tend à augmenter,tout comme les problèmes dans les hangars, avec des prix en légère baisse.
La qualité supérieure est rare et n’est pas offerte.Les prix
restent essentiellement définis par le PSE mesuré après
avoir enlevé les flottantes.
AGENDA
JEUDI 12 OCTOBRE
SL LIBRAMONT PALISEUL: à 19h30, séance d’étude au
pavillon de la province du Luxembourg à Libramont:“Fiscalité
barèmes agricoles revenus 2005” par Christine Le Borne.
LUNDI 16 OCTOBRE
SL ARLON VIRTON ETALLE: à 13h30 au Cercle SaintBlaise d’Etalle, conférence sur les nouveaux barèmes
fiscaux agricoles par Christine Le Borne.
LUNDI 23 OCTOBRE
SR BEAUMONT THUIN:à 20h,réunion d’information sur la
fiscalité par Christine Le Borne à la salle des fêtes de
Froidchapelle
MERCREDI 25 OCTOBRE
SL CINEY: à 20h, conférence sur les nouveaux barèmes forfaitaires agricoles par Christine Le Borne à la salle des
Clématites de Maillen.
JEUDI 26 OCTOBRE
SL LIBRAMONT PALISEUL: à 19h30, séance d’étude au
pavillon de la province du Luxembourg à Libramont:“PAC-discussion, budget et négociations OMC par Yves Somville,
Directeur du Service d’Etudes.
FEDERATION DES JEUNES
AGRICULTEURS (FJA)
SAMEDI 14 OCTOBRE
FJA ANDENNE: Soirée à la grange d’Ossogne à Ossogne
(Havelange) (voir encart).
FJA HAINAUT: soirée provinciale organisée par la FJA
Tournai 2 en la salle du Vieux Comté à Mourcourt (voir encart).
SAMEDI 21 OCTOBRE
FJA SOIGNIES-LE-ROEULX: Soif Party, rue de Scouffleny,
33 à Ecaussinnes (voir encart).
FJA FOSSES-LA-VILLE: Bal des Moines en la salle de
l’Abbaye de Brogne à Saint-Gérard dès 21h30 (voir encart).
FJA LEUZE: Soirée dansante à l’aquarium de Leuze en
Hainaut.
UNION DES AGRICULTRICES
WALLONNES (UAW)
JOURNEE PROVINCIALE LIEGE: Dès 9h45 salle Belva à
Bellevaux à Malmedy. Suite à la Journée Nationale UAW sur la
Mondialisation,l’UAW de la Province de Liège reçoit Mr Pie Tshibanda
pour son spectacle «Un fou noir au pays des Agricultrices» suivi d’un
débat et du repas (18 euros /repas uniquement). Contactez votre
Permanente à l’UAW Anne Pétré.Tél: 081/600.060 fax: 081/600.446
mail:[email protected]
UAW BOUSSU DOUR: à 19h30 ELECTION EN SECTION LOCALE
à la salle Roi Baudouin place de THULIN avec B Huet.+ Conférence sur
le diabète par le Docteur Selvais de Maulde.INVITATIONS AUX JEUNES
AGRICULTRICES DESIREUSES DE DEFENDRE NOTRE AGRICULTURE
FEMININE
UAW FOSSES GEMBLOUX NAMUR NORD: à 19h salle paroissiale de Sart St Laurent.COURS DE BRICOLAGE sorcière en plomb pour
20 euros, apportez 1 paire de ciseaux, 2 petits pinceaux, 1 pince coupante,1 pistolet à colle.Inscription chez A M Van Eyck 081/633.282
UAW SILLY LENS ENGHIEN: à 19h chez Greta Blancke aide à la
réalisation des différents décors pour la place de Silly «l’arbre enchanté’».
VENDREDI 13 OCTOBRE
UAW LIBRAMONT:date limite d’inscription pour la visite du Salon
Countryside à Gand:grand salon de décoration intérieure et extérieure
prévu le lundi 30 octobre. Réservation obligatoire chez Odette Annet:
061/278.131.Départ de la gare de Libramont à 7h15.
UAW EGHEZEE: DECOUVERTE DE BRUXELLES visite de mini
Europe - dîner à l’Atomium-visite !! déplacement en train de GEMBLOUX 20 euros/visites + paf train + repas - rens. et inscriptions chez
Marthe Debehogne 081/566.019
UAW FRAMERIES:à 13h30 ELECTIONS EN SECTION LOCALE au
«Café Vert» à GIVRY avec Monique Fortamps
UAW FERRIERES-SPRIMONT-LOUVEIGNEE : à 13h30 ELECTION EN SECTION LOCALE + programme de l’année avec A Pétré au
café «Le Parc» à SPRIMONT.
UAW MARCHE:à 20h ELECTION EN SECTION LOCALE à la «cbc»
avenue de la Toison d’or - MARCHE EN FAMENNE
UAW LA ROCHE : à 20h au centre sportif de La Roche:‘Sommesnous trop, pas assez ou mal assurés: comment gérer nos assurances?’
par Maurice Mathieu,secrétaire FWA.
JEUDI 19 OCTOBRE
JOURNEE PROVINCIALE DU NAMUROIS: «AGRICULTURE ET
RURALITE COHABITATION POSSIBLE?» 9h30 à l’Hostellerie de la
Poste, avenue de Criel à HAVELANGE. PAF 20 euros contacter M
Lambillon secrétariat UAW 081/600.060 avant le 13/10 (voir encadré)
UAW EGHEZEE: pour la journée provinciale du Namurois à
Havelange, nous organisons le déplacement en co-voiturage. Rens
Béatrice Van Vynckt 081/511.274
UAW WAVRE PERWEZ MONT ST-GUIBERT: à 13h30 salle
«maison des loisirs» à MONT SAINT GUIBERT,ELECTIONS LOCALES +
COURS DE CUISINE par Bernadette JASPART.
La FJA Hainaut
A le plaisir de vous inviter à sa
SOIF PARTY
SOIRÉE PROVINCIALE
organisée par
La FJA de Tournai 2
Garçons non- membres: 18 euros - Garçons membres: 15 euros
Filles non-membres: 13 euros - Filles membres: 10 euros
Ferme Van Liefferinge - rue de Scouffleny, 33 à ECAUSSINNES
Suivez le Sky Tracer
Samedi 14 octobre 2006
La FJA d’Andenne
COURS D’AGRÉATION
EN PHYTOPHARMACIE
A le plaisir de vous inviter
à la
SOIRÉE
Qu’elle organise à la Grange d’Ossogne
Chez Messieurs Vrancken à Osoogne (Havelange)
PAF: 10 euros filles membres - 13 euros ga
rçons membres
18 euros non membres
Le comité décline toute responsabilité en cas de vol, perte ou accident
SAMEDI 21 OCTOBRE :
UAW HERVE AUBEL: DATE LIMITE D’INSCRIPTION POUR
LE SOUPER DU 28 OCTOBRE chez Marie-Claire SOMJA
087/446.612 ou Marianne Schilling 04/381.11.66. PAF 28 euros à verser sur le compte 103-0120445-39 UAW Herve Aubel.
MARDI 24 OCTOBRE :
CONSEIL GENERAL UAW: 10h Chaussée de Namur à
Gembloux dans les locaux de la FWA
UAW HERVE AUBEL: à 13h30 ELECTIONS EN SECTION
LOCALE à l’espace des trois fontaines, place Albert Ier, 39 à
Herve
UAW FLEURUS : à 19H30 Election de la section locale avec
Anne Petre, suivie d’une conférence :‘L’aromathérapie: l’utilisation des huiles essentielles dans le quotidien’ dans la salle du
musée de Liberchies.
JEUDI 26 OCTOBRE
UAW NIVELLES GENAPPE: à 13h30 salle de et à VIEUX
GENAPPE. COURS D’ART FLORAL: «montage d’hiver» fabrication d’un sapin de Noël alternatif décor moderne ! Inscription
OBLIGATOIRE chez Françoise Meurée 067/212.218 préparer le
matériel nécessaire.
VENDREDI 27 OCTOBRE
MARDI 17 OCTOBRE
Vous invite le
à sa
UAW NAMUR SUD: 19h30 ELECTIONS EN SECTION LOCALE salle «les Clématites» à MAILLEN
JEUDI 12 OCTOBRE
La FJA Soignies-le-Roeulx
VENDREDI 20 OCTOBRE
En la salle du Vieux Comté à Mourcourt
UAW LENS SILLY ENGHIEN: à 19h école maternelle rue
des écoles à MONTIGNIES LEZ LENS,démonstration FLEXIPLAN
et DEGUSTATION des préparations :apportez assiette,couverts,
serviette et verre - inscription souhaitée auprès de Greta
0474/488.338 et Martine 065/229.886
UAW ARLON FLORENVILLE ETALLE: à 20h ELECTIONS
EN SECTION LOCALE salle derrière l’église à VILLERS SUR SEMOIS
SAMEDI 28 OCTOBRE
UAW HERVE AUBEL:Souper de l’amitié dès 19H30 à la salle de la jeunesse à Elsaute. Réservation pour le 21 octobre chez
Marie-Claire SOMJA 087/446.612 ou Marianne Schilling:
04/381.11.66.PAF 28 euros à verser sur le compte 1030120445-39 UAW Herve Aubel.
DIMANCHE 29 OCTOBRE
UAW SOIGNIES BRAINE ECAUSSINES: à 14h45 départ
de Soignies (piscine) ESCAPADE AU PALAIS DES BEAUX ARTS
pour applaudir Franck MICHAEL réservation le + vite possible
chez Gaby Meurée 0477/660.295, 067/335.129 paf 45 euros
Mb 50 euros non M !! paiement sur le cpte 103-0120593-90.
C.S.W.A.A.A.
99983645 4106 mo sle
FEDERATION WALLONNE
DE L’AGRICULTURE (FWA)
NATURA 2000 - ETAT D’AVANCEMENT
Exposé de M Christian MULDERS
(DGA - Direction de l’Espace rural)
dans le cadre de l’assemblée
plénière du CSWAAA
Vendredi 27 octobre à 10h15
dans les locaux de la FWA, chée de Namur, 47
à 5030 GEMBLOUX
La FJA de Fosses-la-Ville
A le plaisir de vous inviter à son
TRADITIONNEL BAL DES MOINES
120 heures
(soirée bières spéciales)
qui se déroulera le
cours de jour à Gembloux
Samedi 21 octobre 2006 dès 21h30
dès le 6 novembre 2006
Renseignements et inscritpion:
Monsieur Grégory Etienne FJA: 081/627.443
en la salle de l’Abbaye de Brogne à Saint-Gérard
Tarif: Membres: filles: 15 euros garçons: 18 euros - Non membres: 20 euros.
Nombreuses bières disponibles:
Kriek, Blanche, Rodenbach, Brognoise, Ciney, Li Crochon...
Ambiance assurée par Master Sound
Le comité décline toute responsabilité en cas de perte, vol ou accident
12 octobre 2006
15
✝
AGENDA
DIVERS
JEUDI 12 OCTOBRE
KAIN:à 19h30 à la Ferme du Reposoir,chemin des Pilotes,4,réunion d’information sur les contrats chicorées 2007 organisée par
l’Organisation professionnelle des producteurs de chicorées de
Warcoing.
LEGLISE: chez Philippe Hansenne, rue de la Strélette, 7 à
Gennevaux,matinée de démonstration sur une technique de sevrage
en deux étapes des veaux d’un troupeau de vaches allaitantes,organsisée par la DGA et CRA.Info:E.Winance (D33,IG3) 061/221.060
- J.Wavreille (CRA-W) 081/626.772 - 0474/631.148.
DIMANCHE 15 OCTOBRE
LIEGE:à partir de 10h aux Halles des Foires de Coronmeuse,9ème
concours du boeuf gras de qualité certifiée avec concours spécial «Bleue des prés» (inscriptions jusqu’au 13/10).A 13h:restauration.
MERCREDI 25 OCTOBRE
COUILLET: à 12h15, rue de Villers, 227 (campus de l’ULB), le point
sur la grippe aviaire par le Dr Gilbert (ULB). Inscription 15 euros, repas compris,au 071/600.300.
SAMEDI 28 OCTOBRE
MONS: dès 10h sur la place du Marché au Poisson, concours provincial officiel du cheval de trait belge.
16
Actualité – céréales du
10 octobre 2006
Jaunisse nanisante : attendre, mais se tenir prêt
Les observations des 9 et 10 octobre montrent un début de colonisation de l’escourgeon assez
rapide, surtout dans l’ouest. En effet, le pourcentage de plantes occupées par au moins un
puceron varie entre 0 et 17 selon un gradient est-ouest. Dans les champs issus de semences
traitées au Gaucho Orge, des pucerons ailés peuvent occuper jusqu’à 5 % des plantes, mais ils
sont intoxiqués au bout de quelques heures.
Des analyses effectuées sur des pucerons prélevés dans les champs le 5 octobre dernier
donneront leurs résultats en fin de semaine.
Dans l’ouest, si la proportion de pucerons virulifères devait s’avérer élevée sur les premiers
pucerons récoltés, il faudra envisager un traitement insecticide prochainement.
Dans le centre et l’est, la colonisation est moins élevée, mais pourrait évoluer rapidement à
la faveur du beau temps annoncé jusqu’à la fin de la semaine au moins.
En cas d’alerte, un avis dès ce vendredi. Dans ces conditions, nous recommandons aux
agriculteurs de se tenir prêts à un éventuel traitement insecticide, mais d’attendre le prochain
avis que nous émettrons en cas d’alerte ce vendredi 13 octobre, quand la proportion de
pucerons virulifères sera connue.
Il est rappelé qu’un traitement insecticide effectué à ce stade ne pourra probablement pas
protéger la céréale jusqu’à la fin des vols de pucerons. Il vaut donc la peine d’attendre ce
vendredi pour savoir s’il est nécessaire d’intervenir aussi tôt.
Le prochain avertissement sera si nécessaire celui du vendredi 13/10, sinon celui du mardi 17/10
Pour recevoir ces avis par Fax ou E-mail (ir. X. Bertel ( 081/62.56.85)
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wallons, du CORDER ASBL, de la Fédération Wallonne de l’Agriculture, de la FUL, de la FUSAGx, de l’OPA qualité Ciney
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EMPLOI
WestfaliaSurge est spécialisée dans l’équipement laitier de ferme, machines à traire,
refroidisseurs à lait, produits d’hygiène et ordinateurs de gestion des troupeaux laitiers.
Pour la région wallonne, nous recrutons un
Technicien/frigoriste
pour le montage et l’entretien des salles de traite et refroidisseurs à lait à la ferme
Votre profil:
Niveau A2, spécialité électronique et/ou frigorifique, niveau agricole, âge: entre 25 et 35 ans,
Langues: français et allemand
Nous offrons:
Après une formation adéquate, nous offrons un job plein de responsabilités et d’ambiance, une rémunération
compétitive et un véhicule de fonction
Votre réaction:
Vous pouvez envoyer votre lettre de candidature avec cv à WestfaliaSurge, à l’attention de Mr. Van den
Berckt, Vleminkstraat 110B, 3201 Aarschot ou par e-mail à [email protected]
WestfaliaSurge Belgium NV, Vleminkstraat 110 B 3201 Aarschot, tél. 016/56.94.15, [email protected]
NÉCROLOGIE
Madame
Anne-MARIE SEVERIN
épouse de Victor BRASSEUR
née à Glimes le 4 novembre 1926
et décédée à Jodoigne le 24 septembre 2006
square Molembisoul 13 à Jodoigne
La défunte était membre des Cercles
des Fermières et de l’UAW
L’UAW adresse ses sincères condoléances à la famille.
✶✶✶
Madame
Gilles JANSSEN
épouse d’Augustine FRYNS
née à Baelen le 20 janvier 1921
et décédée à Eupen le 26 septembre 2006
rue du Cheval Blanc 21 à 4852 Hombourg
✶✶✶
Monsieur
Raoul BARBIER
époux de Marie-Thérèse BROCKART
né à Rebecq-Rognon le 15 juillet 1931
et décédé à Nivelles le 26 septembre 2006
chaussée de Wavre 9 à 1402 Thines
✶✶✶
Monsieur
Albert OTTEN
époux de Léa ROMPEN
né à Aubel le 10 septembre 1920
et décédé à Verviers le 27 septembre 2006
✶✶✶
Monsieur
Lucien BLOCKX
époux de Mariette BLOCKEEL
né à Baisy-Thy le 4 avril 1929
et décédé à Vieux Genappe le 27 septembre 2006
Avenue Affamois 30 à Vieux Genappe
L’UAW présente ses sincères condoléances
à son épouse, ses enfants et sa famille.
✶✶✶
Madame
Germaine NAESSENS
épouse de Valère DELMOTTE
née à Dentergem le 21 mars 1925
et décédée le 3 octobre 2006
rue Arbrisseau 9 à 7870 Bauffe
L’Amicale des Aînés d’Ath Soignies Mons
présente ses sincères condoléances à la famille.
✶✶✶
Monsieur
Jules POTTIEZ
Epoux de Lucie DRAMAISE
Né à Sirault le 5 juillet 1920
et décédé à Hornu le 4 octobre 2006
Le défunt est le beau-père de Christiane Pottiez,
membre du comité directeur UAW.
✶✶✶
Monsieur
Louis DODION
Né à Freloux le 23 juillet 1926
et y décédé le 3 octobre 2006
✶✶✶
La Fédération Wallonne de l’Agriculture
ainsi que Plein Champ adressent
aux familles leurs sincères condoléances
• CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX
• TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46
• E-MAIL: [email protected]
Organe de presse
hebdomadaire de la
Fédération Wallonne
de l’Agriculture
12 octobre 2006
Rédaction:Richard Cydzik,Esteban Jaime,Bernard Kersten,
Abonnement:Martine Dewez
Editeur responsable:Jean-Pierre Champagne,
secrétaire général
Tirage:30.000 exemplaires distribués dans
toutes les fermes deWallonie
Imprimerie:Centre d’impression de Rhisnes
Prépress:Passe-Partout
PETITES ANNONCES
A v. Deutz DX 110 4RM +
chargeur Manip;Deutz 145
4RM nouveau moteur;
Fendt 110 S 2RM bon état;
pneus + jantes 9,5/48 70%
usure; contrepoids +/350kg.Tél.071/655.157 ou
0476/445.248
(1403)
A v. autochargeuse Pottinger
équipée; silo; salle de traite
Westfalia 2x4; doseur farine
inox.Tél. 0476/245.655 (1428)
A v. charrue Steeno 2-3 socs;
écrémeuse Lister triphasée.Tél.
010/655.261
(1470)
A v. ancienne bascule pour camion 60T avec dalle de 3x10m.
Tél. 0496/613.314
(1482)
A v. bec maïs Claas 4 rgs
pour pièces; canon à chaleur. Tél. 0476/445.248
(1477)
A v. rayonnages à palettes
échelles hauteur 4m lisses jusqu’à 3,6m capacité 3,4T par niveau.Tél. 0496/613.314(1481)
A v. 1 ancien combiné à bois +
accessoires.Tél. 0496/613.314
(1484)
A v. rég Enghien herse altern
Amazone 3m; désil Vicon; bic
Steeno 13 dents; épandeur
Magrimat
7T.
Tél.
0475/274.572
(1486)
A v. charrue IH 2 socs hydrau
bon état; 2 silos 2x500m3.Tél.
0478/767.315
(1503)
N OTA I R E
HERNE - PEPINGEN
NINOVE
Etude du notaire Bernard CLAEYS
rue d’Hérinnes, 31 à Enghien
tél. : 02/395.30.44 - fax. : 02/397.02.58
Cse acc 1 élév Spiessens 7m
200 eur; 1 ventilateur + buses
75 eur. Le tout 250 eur.
Tournaisis. Tél. 069/547.090
(1505)
A v.épandeur Joskin 8T5 4 rouleaux verticaux caisse ensilage
avancement hydraulique état
neuf. Tél. 061/688.537 ou
0496/871.226
(1553)
A louer rouleaux 4T largeur
3m; semoir engrais vert;
faucheuse à refus; tonneaux à lisier 8500L; benne
TP 18T région Ciney. Tél.
0497/943.483 kenis.be
(1524)
A v. épandeur Agrimat 7T
monocoque état impeccable, rég La Roche. Tél.
0472/509.158
(1554)
A v. cse cess Case 1494 turbo
85cv avec chrg 3 bacs 6500
eur; salle traite Bottin 4 pl+
pipe-l+citerne 500L 1750 eur;
refroidisseur Alfa Laval 1000L
700 eur;fauch Nieum pour pièces.Tél. 0476/840.992 (1538)
A v. épandeur à fumier GF bon
état.Tél. 083/211.328 (1542)
A v. Same Rubin 180DT; Laser
150DT; rotative Machio DM
3m avec semoir Nodet 25rgs.
Tél. 081/567.585
(1543)
A v. tract New Holland 110-90
TBE;refroidisseur Packo 2200L.
Tél. 085/411.964
(1547)
A v. charrue 4 socs Demblon
1500 eur (064). Tél.
0479/649.345
(1565)
A v. cse cess pul Tecnoma
1000L traîné 18m trijet;dis eng
Lely 1250L; tapis Spissens 7m
+ 2 bacs; pneus 1100-20. Tél.
069/223.057
(1556)
A v. épand Krone 5T; scie circulaire Visa;grand monte-ballots;
pompe de prairie; arr pommes
de terre; moulin; râtelier. Tél.
061/588.566
(1558)
A v. tract Deutz D8006; presse
balles rondes; Fiat 5650; souffleur grains;moulin Law;baratte Tomega; écrémeuse AlfaLaval. Tél. 0472/316.528
(1560)
A v. Unimog 406 tri benne an
90 74000km 5875 eur; jeep
Austin an 53 caross à rép +
pièces + papiers 3750 eur à
discuter. Tél. 087/461.272
(1562)
Le vendredi 27 octobre 2006 à 14h00
à «l’Auberge du Vieux Cèdre», avenue Elisabeth, 1 à Enghien
Vente publique de
OTTIGNIES LOUVAIN-LA-NEUVE
(Céroux-Mousty)
Lot 1. HERNE (ex St-Pieters-Kapelle) - 3ème division
PRE sis au lieu-dit «Heysel», cad. sect. C, n° 483 et 484/A pour une
contenance d’après mesurage de 58a 80ca. Bien situé en zone
agricole d'intérêt paysager.
TERRE sise au lieu-dit «Roosbroeck», cad. sect. C, n° 413 pour une
contenance d’après mesurage de 1ha 90ca. Bien situé en zone
PRE sis au lieu-dit «Het Cauter», cad. sect. C, n° 65 pour une
agricole.
TERRE sis au lieu-dit «Heysel», cad. sect. C, n° 595 pour une
contenance d’après mesurage de 1ha 17a 90ca. Bien situé en zone
Lot 5. PEPINGEN (ex Heikruis) - 6ème division
TERRE sise au lieu-dit «Neckeveld», cad. sect. A, n° 151 pour une
agricole.
Lot 6. NINOVE (ex Denderwindeke) - 7ème division
PRE sis au lieu-dit «Schoonveld», cad. sect. B, n° 766 & 767 pour
une contenance d’après mesurage de 29a 53ca. Bien situé en zone
nature.
Lot 7. NINOVE (ex Denderwindeke) - 7ème division,
PRE sis au lieu-dit «Schoonveld», cad. sect. B, n° 582 pour une
nature.
PRE sis au lieu-dit «Gramblokmeersch», cad. sect. A, n° 234/02 pour
une contenance d’après mesurage de 1ha 18a 14ca. Bien situé en
zone agricole.
PRE sis au lieu-dit «Gramblokmeersch», cad. sect. A, n° 238/A et
239/A pour une contenance d’après mesurage de 86a 14ca. Bien
situé en zone agricole.
Lot 10. HERNE (ex Herfelingen) - 2ème division
PRE sis au lieu-dit «Rondemeersch», cad. sect. C, n° 552/A pour
une contenance d’après mesurage de 19a 43ca. Bien situé en zone
agricole.
TERRE sise au lieu-dit «Steenbergveld», cad. sect. C, n° 635/A et
635/B pour une contenance d’après mesurage de 14a 60ca. Bien
situé en zone agricole.
PRE sis au lieu-dit «Toonde Meersch», cad. sect. C, n° 553 pour une
agricole.
Etude de Maître Réginald HEUNINCKX
Notaire à 1470 Genappe, rue J. Berger, 110
tél. : 067/78.01.99
TERRES & PRES
Tous les lots sont occupés en vertu de baux à ferme. Aucun permis d'urbanisme
ni permis de lotir n'a été délivré pour les biens prédécrits. Les biens ne sont pas
soumis au droit de préemption conformément à l'article 63 du décret flamand
relatif à l'organisation de l'aménagement du territoire. Aucune assignation n'a été
notifiée conformément aux articles 146 et 149 jusque et avec l'article 151 du
décret flamand relatif à l'Organisation et l'Aménagement du Territoire.
Le mercredi 8 novembre 2006 à 15h
à la Maison des Notaires, place Bosch, 17 à 1300 Wavre
Vente publique volontaire pour sortir d’indivision de
FERMETTE, TERRES & PÂTURES
Lot 1. MAISON d’HABITATION 4 faç., genre fermette, avec cour,
dépend., remise, 2 garages, atelier, jardin et pâture, rue Nicaise n°14,
section D n°s 96/K, 95/H et 95 L pour 51 ares 25 ca.
Le bâtiment principal comprend :
S/sol : cave ancienne
Rez : hall d’entrée, petite s-à-mang., cuis., sale de séjour, sdb,
wc avec vestiaire
Etage : 3 chambres (4m x 5m, 4m x 5m, 2m x 3m)
2 grands greniers aménageables (sur maison et étables)
Chauf. centr. maz. (cit. 2.500 L), eau chaude et froide, élect. 220 V
et 380 V triph., égouts, TV dist., tél.
Revenu cadastral : 513 €
Libre d’occupation
Réduction des droits d’enregistrement possible.
Visite : sur place, samedi de 10h à midi, mercredi de 15 à 18h.
A v. bineuse bett 6rgs
Delmotte; monte-ballots Noel
8m; pompe à vide Melotte.Tél.
0486/784.459
(1549)
A v. bac pâture 6m galva
s/roués; trémie pr veaux; pulvé
Hardy 300L avec lance; siege
Grammer s/coussin air; portes
coulissantes H4,90m largeur
2,45m
250m.
tél.
0475/813.971
(1569)
A v. 4x4 Kia Sportage Diesel 96
150000km att rem pare-buffle,
ve;David Brown 1390 2RM cabine orig. Tél. 019/698.716
(1570)
A v. tract MF 6180 4x4 1996
4100h. Tél. 0495/846.484
(1581)
A v. benne 4T; épandeur
7T;bascules 4500kg-200kg200kg; moulin concasseur;
tondeuse à bétail; bac d’alimentation;
silo
.Tél.
056/488.234
(1577)
A v. refroidisseur Packo 2800L;
autochargeuse type sup Vit II
DO.Tél. 0495/215.989 (1579)
MATERIEL
(CHERCHE)
Je cherche tracteurs Ford 56000 6110; MF 135 165 185;
PZ Strella; PZ fauch; tract 1 cyl;
Kuhn fauch.Tél. 0476/550.042
(1434)
Cherche Frisomat type bulle.
Tél. 0048 501456753 (1578)
Pour compte clients & propre
TRACTEURS
JOHN DEERE 2450 + chargeur
- 3040 - 4040S - 4650 - 6300
- 6400 - 6920TLS - 7710 TLS
- 7710 TLS + chargeur - 7810
- 7810 TLS (2) - 7820 - 8400 8220 TLS - LAMBORGHINI 1706
- MASSEY-FERGUSSON 3680
- BIENTÔT: JOHN DEERE 2850
- 5400 - RENTRÉ: JOHN DEERE
6420 TLS + chargeur - 2250
MOISSONNEUSES
JOHN DEERE 1072 - 1177H4 S2
- 2066 - 2266E HM - 9560i WTS 9660i WTS - CLAAS Lexion 405 NEW HOLLAND 8070 - BIENTÔT:
2064 (2) - 2066 (2) - 2256 - 2264
- 2266E - 9680 WTS
DIVERS
Combi KUHN HR 3003 + ACCORD
AS 3M - Charrue STEENO 4S
- Charrue KVERNELAND 7S Benne JOSKIN 16T
MACHINES À BETTERAVES
Semoir TANK 12 rangs Effeuilleuse
GILLES
TR24
- Débardeuse GILLES RB-200 Débardeuse DEWULF 7000
Concess. officiel JOHN DEERE
Rue RoiAlbert, 6 - 4280 CRAS-AVERNAS
Tél. 019/51 37 38 - Fax 019/51 08 58
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99983644/4106PLC crt
Ateliers
JOSEPH & Fils
rue de Bricgniot 95
5002 Saint-Servais
Tél. 081/73 18 38
GSM : 0475/76 18 81
MATERIEL NEUF
• Fraise enfouisseuse 1,65m
• Fraise 1,35m
• Broyeur 1,30m
• Auge 5m x 0,80 galva
ou polyéthylène
• Bac de pâture
500L - 800L - 1000L - 1250L
galva ou polyéthylène
• Bac avec flotteur 72L
• 1 citerne sur socle 2000L
• Chariot à aliments 250L
• Pédiluve à bovins
• Cloche d’équarissage convient
pour élevage porcs en prairie
• Niche à veau avec parc
• Filet pare vent 50% et 75%
• Tout le matériel Denis: vis, ...
• Faucheuse de refus en stock
1m - 1,20m - 1,50m
• Trémie porcelets
• Bennette portée
• Aplatisseur silencieux
• Bascules à bétail
différents modèles
• Bac de pâture galavanisé
• Cage de contention
spécial pour césariennes
• Fours à pains
99983618/3906 plc jht
MATERIEL
Jean-Louis TANS AGRI-EXPORTS vous propose:
Tracteurs
CASE 856 XL Plus
CASE 7250 Pro
CASE CVX 1190 50km
JD 2250 + chargeur
JD 6200
JD6410 TLS
JD 6910 TLS
JD 7700/7710
JD 8100
FENDT 308LSA (2)
Mc CORMICK MTX140
1994
1999
2003
1988
1994
1998
1999
94/01
1997
85/97
2003
SAME Rubin 180
2002
VALTRA T 130
2003
Moissonneuses
JD 2256
1998
JD 2264 HMa
2002
CLAAS Medion 310 2004
CLAAS Lexion 405
1998
NEW HOLLAND TX62 1998
Divers
MANITOU MLT 730 2002
JD 3200 Télescopic 2000
tél. : 071/85.47.85
fax. : 071/85.41.90
e-mail : [email protected]
Lot 2. PATURE, partie en zone d’hab. à caract. rural, solde en zone
agricole, rue Nicaise, 1 à côté du lot 1, section D n° 95/G pour 24
ares 50 ca. Façade : 15m
Libre d’occupation
Lot 3. TERRES, en zone agricole, au lieu-dit «Petit Champ», à front
du chemin n° 9, section D n° 270 et 271 pour 74 ares 60 ca.
Occupées suivant bail ferme.
Lot 4. TERRE, en zone agricole, joignant le lot 3, section D n° 286/A
pour 18 ares 80 ca. Occupée suivant bail ferme
Lot 5. TERRES, en zone agricole, lieu-dit «Champ du Brouard», à
front du chemin Damoiseau, section C n° 419/B, 424/A et 425/B pour
1 ha 36 ares 50 ca. Occupées suivant bail ferme
Lot 6. PATURES, en zone agricole, lieu-dit «Champ des 4 Bonniers»,
section D n° 367/A et 367/B pour 63 ares 80 ca. Occupées suivant
bail à ferme.
Quittes et libres de toutes charges et hypothèques.
Renseignements complémentaires : s’adresser en l’étude.
Les amateurs sont priés de se munir d’une attestation bancaire de
solvabilité.
NOUS EVALUONS VOS TERRAINS
EN VUE DE LOTISSEMENTS
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CONFIDENCE ASSUREE
Danneels Projects SA
Rue Minerve, 2 - 1930 Zaventem
Tél.: 02/711.55.55 – GSM: 0495/50.67.68
12 octobre 2006
17
PETITES ANNONCES
Cherche vieux tracteurs à retaper.Tél. 0485/104.904 (035)
OCCASIONS
1 x Grue Fermec (Kobelco)
5 T année 2000
1 x Grue Bobcat 321
1 x Schaffer 440
1 x Schaffer 330
1 x Landini Legend 130DT
1 x Landini 8550 4RM
1 x Ford 2600 2RM (14000h)
1 x JD 3040 4RM
1 x MF 699 4x4
1 x Pulve Holder IN 2500L 24M
1 x Semoir Amazone D8 25RGS 3M
1 x Semoir Konskilde 25RGS 3M
1 x Ebouseuse RGL DBS 152 5.20M
1 x Benne Vigneron 10T
1 x Bétaillère Record 5M + porte hydr.
1 x Désileuse RGL 1.8M3
1 x Désileuse Joskin 1.8M3
1 x Désileuse Samas 1.6m
1 x Pailleuse portée Huppe
1 x Pailleuse Samas portée
1 x Herse rotative Rabewerk 3M
+ rel. méc. + Packer
1 x Herse rotative Kuhn HR 3M
+ rel. hydr. n + Packer
1 x Herse rotative Falc 3.2M
+ rel. hydr. + spire
18
BOVINS
A v. Limousin taur saillie 1230m inscrit ou non calm liés TB
conf TB origine pos rendu dom.
Tél. 061/511.300 soir (1510)
A v.BBB lot de génisses inséminées. Tél. 0474/663.612 ou
063/422.467
(1467)
A v. taur PN 1 an September x
Rudolph (ML>16000L) (087).
Tél. 0498/816.569
(1566)
A v. 2 belles génisses PR de 15
mois. OK pour embryon. Tél.
087/224.244
(1567)
1 x Herse rotative Belrecolt 3M
+ rel. hydr. + Packer
1 x Herse rotative Pegoraro 3M
+ rel. hydr. + Packer
NEUFS ET DEMO.
1x Herse rotative Kuhn HR 303D
+ semoir Intégra à disques (démo)
1x Herse rotative Amazone KE303
170cv (neuve)
1x Charrue Grégoire Besson RWY7
N-S Varilarge 5 corps (démo)
1x Outil avant Frontsterlimer KV 3M
A v. tx BBB de 12 à 20 mois, gd
format, orig IA 1 saison prairie.
Tél. 0475/816.450, soir
069/772.482
(1515)
A v. tank à lait 800L Alf. Tél.
04/368.35.00
ou
0497/141.860
(1517)
A v. 2 taureaux Limousins
conformation extra insc ou non
15 et 11 mois.Tél.063/411.889
(1539)
A v. taur BBB 4 ans inscrit bon
repro extra viandeux Pbleu;
scie circulaire s/tracteur. Tél.
084/389.997
(1563)
A v. taur BBB 34m fils
d’Artabant admis veaux visibles.Tél. 0497/793.315 (1571)
A v. taureau Limousin de 6m à
12 mois.Tél. 061/288.607 soir
(1580)
A v.poulets de ferme élevés sur
parcours herbeux 10+1 gratuit
ou 15+2 ou 20+3. Tél.
061/279.564 ou 0485/365.328
(1532)
A v. poulain trait belge alezan
15 mois pleins papiers travaille
au cordeau.Tél. 0477/635.409
(1536)
A v. ânesse pleine et suitée grise Croix St-André; jeunes de
l’année avec papiers. Tél.
0477/635.409
(1537)
A v. Viroinval 2 chevrettes 5
mois brunes;2 agnelles 6 mois;
1 mère et son agnelle. Tél.
0497/031.560
(1552)
A v. béliers ardennais arr arr;
presse Welger AP400 à réparer;
abreuvoirs Bol La Buvette.Tél.
085/612.115
(1557)
AUTRES ANIMAUX
A v. Shetland juments étalons poulains pouliches dif
robes et tailles; ânesse du
Berry. Tél. 0475/974.717
(1568)
A v. jeunes truies K+.
Montzen.Tél. 087/786.170
(1512)
A v. agneaux de Boucberie.Tél.
081/511.961
(1516)
A v. pouliches trait ardennaises
16 mois, 4 mois baie. Tél.
0494/991.918
(1540)
A v. 25 Antenaises et 40 agnelles croisés Charolais Texel.Tél.
083/634.780 ou 0478/651.796
le soir
(1572)
FOURRAGES
A v. drêches de brasserie.
Préat Montignies-le-Til.
agréation GMP 04-047.Tél.
071/56.18.82.
0475/43.96.71.
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VENDREDI
SAMEDI
DIMANCHE
LUNDI
MARDI
MERCREDI
17 °C
11 °C
19 °C
10 °C
20 °C
10 °C
18 °C
10 °C
18 °C
10 °C
16 °C
10 °C
17 °C
10 °C
Une goutte
sur l’Est,
puis des
éclaircies.
Des nuages,
mais
un temps
plutôt sec.
Grisaille le
matin, puis
quelques
éclaircies.
B ru m e s
matinales,
puis soleil
radieux.
Une belle
et douce
j o u rn é e
d’automne.
Temps sec
sous
un ciel
d’alternance.
Passages
nuageux et
éclairc i e s
altern e ront.
15 km/h
5 km/h
10 km/h
15 km/h
15 km/h
15 km/h
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135 ch 85
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1 IH 955 2 rm
90 ch 78
Charrues: 4 Socs: Naud (2x), Kverneland (LD 85 et LH 100), Steeno H125,
Huard - 5 socs: Kverneland LD 100, Steeno H125 (4+1)
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par chèque joint à l’annonce (les chèques sont
toujours acceptés). Pas de pièces de monnaie dans les envois.
par virement libellé au compte 103-0118800-43
(joindre la preuve de paiement)
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Transcription

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