Roxanne Sheldon French 377 Dr. Arnold 18 Avril 2012 Milou en Mai

Transcription

Roxanne Sheldon French 377 Dr. Arnold 18 Avril 2012 Milou en Mai
Roxanne Sheldon French 377 Dr. Arnold 18 Avril 2012 Milou en Mai L’un des derniers films de célèbre metteur en scène Louis Malle, Milou en Mai est une comédie noire. Anciennement relié à la Nouvelle Vague du cinéma français, Malle est maintenant connu pour son éclectisme et son écart par rapport à la Nouvelle Vague. La plupart des gens qui écrivent au sujet de Malle, ils l’appellent « un metteur en scène conventionnel qui emprunte des techniques de la Nouvelle Vague quand il a besoin d’eux » (Neupert 86). Mais, c’est son éclecticisme qui le rend si respecté d’un metteur en scène (Wakeman 645). Cependant, avec son film Milou en Mai, selon les critiques, le divergence d’un genre spécifique de Malle ne peut pas être une bonne chose. Le New York Times a dit que le film « n’avait rien de l’humour, la douceur, et la sagesse ironique que Renoir a été capable de trouver dans des situations similaires ». Indépendamment de cette revue, Milou en Mai est encore un film important et aimable. L’histoire de Milou en Mai se concentre à une grande famille du sud-­‐ouest de la France, juste après la mort de leur matriarche. Chaque membre de la famille a une expérience différente avec l’un l’autre, et beaucoup de problèmes commencent quand tout le monde doit habiter ensemble. Malheureusement, l’action se passe pendant la révolution étudiante de 1968, donc tout le monde lui doit faire face en plus. Ce film est intense, et il explore la société et l’identité française ainsi que la sensualité. La révolte étudiante était contre l'inégalité entre les classes socio-­‐
économiques, ainsi que la théorie communiste. Pour en montrer l’impact, Malle a intégré plusieurs allusions subtiles, et parfois humoristiques, à la vie des riches au cours des années 1960. La famille de Milou est riche, donc ils ont beaucoup des patrimoines immobiliers. C’est significatif parce que la révolte, qui se passe à Paris, a un impact dans le pays et donc sur Milou de plus en plus. Au début, Malle choisit de montrer des exemples nombreux drôles et subtils de la richesse de Milou et sa famille. Premièrement, les spectateurs voient qu’il range ses chaussures dans le placard—où il y a beaucoup, beaucoup des chaussures. C’est un peu ridicule parce qu’il y a tellement beaucoup des chaussures, mais en même temps c’est une symbole de la richesse de Milou. Ce n’est pas une scène très nécessaire pour l’intrigue, mais c’est utile de montrer un peu de son mode de vie. En plus, tous les objets dans la maison sont exotiques et chers. Malle montre Adèle, la servante, avec plusieurs ensembles de porcelaine. Aussi, Milou donne à Adèle une fourrure de renard. Après que toute la famille arrive chez Milou, ils se battent pour les objets—la bague d’émeraude que Camille a volé, des manteaux de fourrure, l’argenterie. Cette famille riche est aussi un peu d’une famille gourmande. Milou est peut-­‐être le moins gourmand. Il ne veut que ses livres et la maison—ses souvenirs d’enfance. Cependant c’est clair, après toute cela, que cette famille est d’une classe sociale riche. La richesse de la famille pose un problème. Les étudiants de la révolte sont contre les riches français. La révolte signifierait un danger. Au début du film, avant la mort de Mrs. Vieuzac, les spectateurs voient qu’elle pleure—mais en même temps elle coupe les oignons. Encore une fois, c’est drôle. Cependant, après sa mort, la famille dit que le stresse de la révolte est ce qui la fait du mal. Aussi, son fils Georges est journaliste, et il est très troublé par les révoltes. Toujours, et dans une manière un peu amusant, il écoute toujours la radio. Mais les spectateurs ne savent pas si c’est parce qu’il est inquiet ou c’est parce qu’il n’est pas là pour écrire à ce sujet. Il y a un moment où tout le monde est dans la maison et l’énergie électrique se coupe. Tout le monde a peur que c’est à cause des grèves de la révolte. Et après, dans l’obscurité, quelqu’un entre dans la maison. Tout le monde est terrifié, mais tout d'un coup il y a une lumière et il est juste Pierre-­‐Alain, le fils de Georges. Il est étudiant et il d’accord avec les grèves et les émeutes. Mais plus tard, quand la maison est à risque, Milou lui dit que les étudiants en colère voient simplement Pierre-­‐Alain comme un garçon riche. Néanmoins, après, Milou affirme qu’il n’a jamais blessé personne, mais quelqu'un lui dit qu'il est un capitaliste des propriétaires terriens. C’est drôle, mais personne de la famille n’est en sécurité. Il y a une ironie dans la logique de la famille dans ce film. À la table pour le dîner, Georges dit que « Les Français ne veulent pas une révolution. » Cependant, il y a les françaises se révoltent comme il parlent. C’est les françaises riches qui ne veulent pas une révolution. Quelqu’un dit plus tard que lorsque les masses sont organisées, les riches sont toujours malheureux. En outre, plus tôt, tout le monde est dehors, et ils boivent et ils mangent sous l’ombre d’un arbre. Ils aiment, en ce moment, d’être ensemble, dehors, dans le beau sud-­‐ouest et avec la nature. Toute cela est enfin à cause de la révolution, donc ils crient « Vive la révolution ! ». L’ironie est que la révolution n’est pas vraiment une bonne chose pour la famille. Il n’y a pas assez de gaz, donc ils sont coincés un peu. Pour le transport de Mrs. Vieuzac à l’enterrement, ils doivent prendre le camion de légumes de Grimaldi. À cause de cela, il doit toute de suite se débarrasser de toutes ses tomates. Mais bien sûr, le résultat des grèves est une grève des fossoyeurs, donc Mrs. Vieuzac doit être enterré près de la maison. La perception de la révolution étudiante est très ironique, et cela change fréquemment pour la famille comme les choses deviennent de plus en plus difficiles. Aussi, Malle explore les idées changeantes en cette époque de la liberté et de la sensualité. Il y a quelques styles différents de couples dans cette famille. Camille a un mari, Georges est marié à Lily, Milou et Adèle sont amants, et Claire a une petite amie. Mais quand tout le monde est ensemble, les affections changent. Milou et Lily s’aiment, la petite amie de Claire aime Pierre-­‐Alain, et Camille est tentée par son amour d’enfance. Tout le monde veut essayer des choses différentes, et des personnes différentes. Claire, qui est un peu jalouse, propose une nuit que tout le monde essaie de faire l’amour avec quelqu’un d’autre. Certaines critiques raisonnent que c’est ces moments dans les films de Malle qui lui rend comme un metteur en scène obsédé par le sexe (Maslin). Et bien sûr, c’est bizarre et un peu mauvais—mais cela représente le changement dans les idées de la liberté sexuelle. En plus, il y a beaucoup des références à la pilule contraceptive. En général les années 1960 étaient une époque de changement sociale, et cette famille enfin peut l’explorer dans cette période de lutte. Des autres choses que Malle traite est la religion et le rituel. La famille de Milou est catholique, et avec la mort de sa mère, il y a beaucoup de rituels à faire avant l’enterrement. Tout le monde doit visiter la morte et ils doivent faire un rituel avec de l’eau et une palme. Chaque personne le fait, mais dans une manière différente. Le New York Times voit les différences entre les personnages comme un défaut, ils sont clichés et stéréotypes, et en plus, ils changent complètement entre les scènes (Canby). Mais c’est la nature des hommes—de changer, et d’être capable de tout, et Malle aime beaucoup ces idées. Les rituels différents montrent bien les personnages. Camille est triste, Georges est plus occupé avec la radio, Lily jette la palme, et Claire dit simplement qu’elle n’aimait jamais sa grand-­‐mère. Avec la morte dans la maison, Adèle parle fréquemment de ses superstitions. Petite Françoise ne comprend pas le rituel, et elle réalise un rituelle de nouveau pour elle-­‐même plus tard. Toutes ces choses sont les rituels, mais chaque rituel est différent pour chaque personnage. La religion et les rituels diffèrent avec les générations. Et quand il y a beaucoup de tourmente, et tout le monde et dans la maison, après quelques boissons, ils dansent et chantent dans toutes les chambres de la maison. Quand ils sont dans la bibliothèque, Milou donne un bisou au crucifix. C’est une nouvelle sorte de rituel pour lui. La religion et les rituels, donc, ne sont pas fixés dans cette époque, et tout peut changer. Le film Milou en Mai traite bien l’idée de changement pendant les révoltes étudiantes de 1968. Les riches ne sont pas les plus puissants, la religion n’est plus si fixée, et la liberté sexuelle peut changer aussi. Avec la caractérisation profond et diversifié, Malle est très efficace à l’exploration des gens et leurs personnalités. Il est, après tout, « un artiste civilisé » qui apporte son intelligence aux sujets de ses films (Canby). Tandis que le New York Times appelle Milou en Mai « jolie comme la peluche des pissenlits mais sans le poids », c’est encore un film utile. Le film est amusant dans sa propre manière, et donc plus aimable pour cette raison. Ce film combine l’humour subtil avec des sujets graves pour créer un beau film de cette période troublée. C’est très fort et très beau et très vrai pour les spectateurs qui le regardent. Works Cited Canby, Vincent. "A Wine Country Family Gathers and Stampedes." Rev. of Milou En Mai. The New York Times 22 June 1990. Web. James, Caryn. "Louis Malle's World of Innocence." The New York Times 26 Mar. 1989. Web. Maslin, Janet. "Sexual Obsession, Edited for an R." The New York Times 23 Dec. 1992. Web. Neupert, Richard. A History of the French New Wave Cinema. Madison: University of Wisconsin, 2002. Print. Wakeman, John. World Film Directors. Vol. 2. New York: H.W. Wilson, 1987. Print.