Le Magazine IMED 2015

Rétrospective
V.I.E
Ouverture de bureaux aux Etats-Unis et en Allemagne
Mise en place du dispositif temps plein
Les V.I.E en poste
SIEGE
Renforcement de l’équipe
Interview de Mohammed Balil
QUE SONT-ILS DEVENUS?
Rencontre avec les anciens V.I.E
ENTREPRISES
Témoignages
2014
Janvier 2015 | No. 2
En route vers le Nouveau Monde
Le mot du Président
COURTIER EN ASSURANCES
Janvier 2015 | www.imedfr.org
L’année 2014 marque un tournant dans la vie de l’Imed.
Cette année, nous avons doublé l’effectif de notre équipe – ceci par la force de nos nouveaux développements, et de nos
perspectives confirmées. En appui de Solange Poncelet et Loïc Bonnardel, Mohammed Balil s’occupe désormais de l’animation
de la zone Afrique; et Carole Vinco a pris en main celle de notre modeste et tout nouveau service communication.
MARITIME & TRANSPORT
Preuve de notre ambition, tout au long de cette année, l’Imed a décliné son plan d’action selon l’objectif stratégique que nous
avions défini en séminaire de réflexion : élargir l’horizon de l’Imed. D’abord en démarrant une nouvelle histoire avec l’Europe,
où le premier bureau a été ouvert en Allemagne avec un V.I.E de la filière santé. Puis en traversant l’Atlantique : grâce à son V.I.E
à Chicago, notre Imed créé en 1988, prend une nouvelle dimension, à la juste mesure mondiale, sans pour autant oublier ses
racines méditerranéennes. De nombreux projets ouverts aujourd’hui, dont celui du Pôle Med, sont là pour en témoigner.
Enfin cette année a vu l’Imed élargir ses compétences. Précurseurs du dispositif de V.I.E à temps partagé, nous passons
aujourd’hui sur le devant de la scène avec le dispositif V.I.E à temps plein. Grâce au soutien financier du Conseil Régional de
Provence-Alpes-Côte d’Azur et en partenariat élargi avec Business France (anciennement Ubifrance), l’Imed peut désormais
ouvrir le monde aux PME qui en ont l’ambition, avec un service V.I.E adapté à leurs besoins, et à leurs ressources. Et les premiers
dossiers sont déjà concrétisés!
Telle est notre confiance dans l’avenir de nos PME. Telle est notre ambition renouvelée.
Gabriel Rebourcet
Une solide expérience alliée à des capacités de placement nous permettent de traiter toutes les problématiques liées aux assurances Maritimes et Transports
La nouvelle équipe
Le siège de l’Imed se compose aujourd’hui de quatre personnes.
MARCHANDISES TRANSPORTEES - STOCK & TRANSIT
CORPS ET MACHINES - PERTES D’EXPLOITATIONS
Solange Poncelet, Déléguée Générale, et Loïc Bonnardel,
Responsable du développement, sont fidèles au poste.
RISQUES DE GUERRE - GREVES - RESPONSABILITE CIVILE
Ils entourent désormais Carole Vinco, Reponsable de la
communication, et Mohammed Balil, Responsable de la
zone Afrique.
RESPONSABILITE CIVILE AFFRETEUR - P & I
•Article de Didier Gazanhes paru dans l’édition du 15 mai 2014 du Journal des Entreprises
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Objectif : 12 V.I.E d’ici 2015
L’Imed propose des V.I.E à temps et coût partagés pour les entreprises. L’organisme vient d’ouvrir la Turquie et va
prochainement mettre en place les États-Unis.
L
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’Imed a vu le jour voici
vingt-cinq ans et repose
sur l’idée simple de proposer
des V.I.E (Volontariat International en Entreprise) à temps
et coût partagés pour les entreprises. Jusque-là principalement concentrés sur le
pourtour méditerranéen, les
V.I.E de l’Imed s’ouvrent désormais à de nouveaux territoires. « L’association compte
actuellement sept V.I.E, en
Côte d’Ivoire, Maroc, Émirats Arabes Unis, Allemagne,
Turquie et États-Unis », confie
Carole Vinco, toute nouvelle
chargée de communication
de l’association, qui a pris ses
fonctions voici tout juste un
mois. Aixoise, journaliste de
formation, elle va permettre
d’apporter du souffle au reste
de l’équipe de l’Imed et mettre
V.I.E «Santé», en Allemagne,
à Cologne, qui travaille actuellement pour le compte de
trois entreprises, d’Avignon,
Nice et Aix-en-Provence qui
souhaitent développer leur
export vers l’Allemagne. »
Carole Vinco, nouvelle responsable
de communication à l’Imed.
en place une démarche suivie
de relation-presse. « L’association élargit ses activités. Nous
avons l’ambition d’atteindre
les 12 V.I.E d’ici à la fin 2015»,
poursuit-elle, rappelant par
ailleurs que depuis l’an dernier, l’Imed a inauguré une
nouvelle formule d’accompagnement : le V.I.E filière.
« Nous avons mis en place un
Des entreprises confirmées à
l’export
« Nous visons plutôt des entreprises qui ont déjà fait leurs
premiers pas à l’international, plutôt que des primo-exportateurs. Nos V.I.E sont
opérationnels sur le terrain
immédiatement. Ils ne sont
pas là pour faire des études
de marché, mais davantage
pour assurer le suivi. C’est à
l’entreprise de savoir si dans
le pays il existe un marché
pour elle ». Une vingtaine
de sociétés fait actuellement
appel aux services de l’association, qui est en cours de
recrutement d’un étudiant sur
les États-Unis. « Il sera basé
à Chicago. Nous l’avons rencontré lors du dernier Forum
International Classe Export.
Depuis l’an dernier nous sortons clairement du bassin
méditerranéen. Nous voulons maintenant dupliquer le
concept à des pays plus lointains. Nous songeons à l’Amérique latine », conclut-elle.
Didier Gazanhes
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Janvier 2015 | www.imedfr.org
Janvier 2015 | www.imedfr.org
A la Une - Interview
Chicago, ville «globale»
Avec ses 2,7 millions d’habitants, Chicago est la
troisième plus grande ville des Etats-Unis, après
New-York (8,4 millions) et Los Angeles (3,9 millions).
Profitant d’un passage entre le Mississippi et les
Grands Lacs, «Windy City» (son surnom), qui
n’était encore qu’un village en 1850, a pleinement
exploité cette situation stratégique et n’a cessé de
grandir au rythme d’une industrie et d’un commerce florissants.
ETATS-UNIS
Chicago est également l’une des villes dites «globales» : elle est jugée comme étant une ville
Alpha dans l’inventaire des villes du monde selon le GaWC (Globalization and World Cities
Research Network), ce qui signifie qu’elle est un
relais pour sa région et sa nation dans l’économie
mondiale.
En route vers le Nouveau Monde
Martin Juven, V.I.E Imed à Chicago
devant la Sears Tower (à gauche),
renommée Willis Tower en 2009, le plus
haut gratte-ciel des États-Unis (443 m).
A
lors que l’UE et les EtatsUnis négocient un accord
commercial avec l’impressionnant projet du TTIP*, l’Imed
a ouvert un bureau à Chicago.
Martin Juven, V.I.E à temps
partagé,
prospecte
pour
trois entreprises françaises
depuis septembre dernier.
Entretien.
D’où est née l’idée d’ouvrir un
bureau aux Etats-Unis ?
«D’un timing parfait : une entreprise française a formulé à
l’Imed son intérêt pour s’exporter
aux Etats-Unis et je suis entré en
contact avec l’Organisme à ce moment-là. Comme j’ai déjà une expérience là-bas, cela nous a semblé
couler de source.»
qui commercialise des prothèses
orthopédiques. Ensuite, j’ai été
relocalisé en Californie, dans la
Silicon Valley, chez Microsoft. Je
dois avouer qu’au début de mon
cursus, je n’étais pas attiré par les
Etats-Unis mais j’ai vite compris
qu’avoir une expérience dans ce
pays apporterait une valeur ajoutée à mon CV.»
Quel est votre parcours justement ?
«J’ai effectué mon Master 2 en
MBA (master in business administration, ndlr) dans une petite
ville d’Oregon. En même temps
que la validation de mon double
diplôme, français et américain,
j’ai travaillé au sein d’une société
Aujourd’hui avec l’experience
terrain recommanderiez-vous
aux entreprises de s’exporter aux
Etats-Unis?
«Oui, absolument. Les Etats-Unis
représentent un des plus gros marchés de consommateurs avec un
fort pouvoir d’achat. L’économie
du pays est en train de repartir,
les experts tablent sur 3% de
croissance par an sur les cinq
prochaines années.»
Pourquoi Chicago ?
«C’est le compromis idéal. Chicago est la porte d’entrée sur le
marché américain. Elle est la
troisième ville économique après
New-York et Los Angeles, et le
coût de la vie y est moins élevé.
Mais surtout Chicago possède
l’économie la plus diversifiée des
Etats-Unis. Cela nous permet de
proposer une stratégie de V.I.E
multisectoriel. Chicago est aussi
le moteur économique de toute
la région des Grands Lacs.»
3
Comment sont perçues les
entreprises françaises aux
Etats-Unis ?
«Elles sont très bien vues et
très appréciées. Surtout dans
les trois secteurs d’activité
que sont l’agro-alimentaire
avec le vin et le fromage, la
cosmétique avec l’Oréal, la
référence mondiale, et les
nouvelles technologies.»
«La formule
proposée par
l’Imed est en
quelque sorte la
porte d’entrée
idéale des
entreprises pour
tester le marché.»
Quel est l’intérêt de passer
par un V.I.E pour accéder
au marché américain ?
«Pour exporter aux EtatsUnis, il faut un visa d’investisseur, qui est difficile à obtenir et surtout très coûteux.
Et sans certitude d’avoir un
retour sur investissement.
En tant que V.I.E, j’ai déjà
un visa pour travailler 18
mois minimum. Cette formule proposée par l’Imed
est en quelque sorte la porte
d’entrée idéale pour tester le
marché. Et voir si l’on peut
s’y installer durablement
sans prendre de risques fi-
nanciers trop importants.»
Quelle est la différence entre
les Français et les Américains au niveau du travail?
«Aux Etats-Unis, les gens
travaillent très tôt et finissent
aussi très tôt. Leurs horaires
sont le plus souvent 7h3016h30. Il arrive parfois que
plus personne ne soit au bureau à 15h30. Il faut donc anticiper et s’organiser, pour la
prospection notamment. Les
Américains ont beaucoup
moins de vacances, ils n’ont
pas les 5 semaines comme en
France, mais leur rythme de
travail est plus souple.»
*TTIP : Partenariat transatlantique
de commerce et d’investissement.
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Janvier 2015 | www.imedfr.org
Janvier 2015 | www.imedfr.org
V.I.E filière santé
V.I.E
Allemagne
Présentation
L’Imed n’est pas seulement parti à la conquête du Nouveau monde. L’Organisme s’est aussi déployé sur le Vieux
Continent, plus particulièrement en Allemagne. C’est Pierre Coville qui a été choisi pour exporter les produits
de trois entreprises françaises dans le secteur de la santé. Une nouvelle filière pour l’Imed, après celle de l’environnement en Turquie. Petit aperçu de la vie outre-Rhin.
Filiz Salma, V.I.E Istanbul (Turquie) : Véritable caméléon, c’est grâce à sa double nationalité franco-turque que
Filiz s’adapte aussi bien à l’environnement hexagonal qu’à celui des Stamboulites. Elle reste convaincue du potentiel
et de la croissance des opportunités d’Affaires en Turquie.
Son parcours : Avec un Master à l’ESC de Montpellier en poche en 2005, Filiz se lance d’abord dans le secteur des
achats et de la qualité avant de rebondir dans la vente. Elle s’est déjà tracé une carrière à l’international avant d’arriver à l’Imed grâce à ses expériences en Guyane, en Angleterre et en Tuquie.
Pierre Coville, V.I.E Cologne (Allemagne) : Pierre fait de sa connaissance de la culture allemande et de son expérience terrain chez le premier partenaire commercial de la France, ses cartes maîtresses pour aider les entreprises
hexagonales à s’exporter.
Imed : Filiz a entamé en 2014 sa deuxième année en tant que V.I.E Imed. Lors de ses premières missions, elle a accompagné trois entreprises françaises du secteur de l’environnement. Aujourd’hui, elle a reconduit sa mission pour l’une d’entre
elles et en a démarré une nouvelle, toujours dans le secteur de l’environnement.
Son parcours : Diplômé de l’ESC (Ecole Supérieure du Commerce Exterieur) Pierre est titulaire d’un Master II en
Commerce International & Marketing acquis entre l’Irlande (Dublin Business School), l’Allemagne (Fachhochschule
Augsburg) et la France. Pierre a trois expériences professionnelles différentes dont une à Nuremberg.
Robin Scano, V.I.E Dubaï (Emirats-Arabes-Unis) : « Les hommes donnent l’impulsion aux affaires, et les affaires
entraînent les hommes». Robin est attiré par Dubaï, qu’il considère être le reflet de cette maxime. Selon lui, les
Emirats bénéficient d’une exposition internationale unique au monde et Dubaï reste le carrefour des opportunités
entre Orient et Occident.
Imed : Pierre travaille à Cologne dans les bureaux de la Villa France depuis juin 2014. Il travaille pour trois entreprises
de la filière santé.
La journée-type de Pierre
Son parcours : Robin a obtenu un double diplôme Master II International Management à l’INSEEC Business
school / SRH Hochschule Berlin. Il a effectué une expérience de 2 mois aux Etats-Unis et une de 6 mois pour une
compagnie qui propose des services de location adaptés aux besoins des entreprises.
«Il est 9h lorsque j’arrive dans les locaux de la Villa France, situés en bordure
du Rhin. La première chose que je fais en arrivant : vérifier mes mails. J’essaie
ensuite de prioriser les tâches de la journée et de me fixer des objectifs. Sans
planning, je perds mon efficacité et m’éparpille. Comme je travaille pour 3 entreprises il est primordial d’être organisé pour éviter de léser l’une au détriment
de l’autre. Vers 12h30 je déjeune avec mes collègues V.I.E ou des avocats qui partagent les locaux. Vers 13h30 nous sommes de retour à notre poste. Beaucoup
de prospection téléphonique, quelques déplacements et surtout de la recherche
ciblée de prospects : voilà ce qui constitue mon après-midi. Je quitte le bureau
entre 18h30 et 19h après avoir mis en place les objectifs pour le lendemain.»
Imed : Son expérience et sa culture de l’international lui permettent de développer l’activité de trois entreprises
françaises à Dubaï depuis septembre 2014 dans les secteurs de la construction et de l’énérgie.
Martin Saunier-Plumaz, V.I.E Dubaï (Emirats-Arabes-Unis) : Pratiquant une activité commerciale régulière dans
les pays du Golfe depuis quatre ans, Martin a acquis une certaine maîtrise des coutumes spécifiques à cette région
multiculturelle.
Son parcours : Martin est diplômé d’un master Marketing & Vente à l’I.A.E. Grenoble et bénéficie d’une expérience
professionnelle de cinq ans, acquise au sein de Visio-Technic , PME œuvrant dans le secteur des revêtements architecturaux. Il a occupé différentes fonctions commerciales jusqu’au poste de Directeur Commercial & Marketing.
Imed : Parce qu’il est persuadé que l’exportation est une composante essentielle du succès des PME françaises, Martin
met aujourd’hui ses compétences et son réseau au service de leur développement. Il est parti à Dubaï en février 2015
pour représenter des entreprises dans les secteurs de l’environnement, de la santé et de la construction.
Le monument de Cologne
Le secteur de la santé en Allemagne
«L’industrie pharmaceutique est un moteur essentiel de la croissance économique en Allemagne. La population est
vieillissante et de plus en plus attentive à
sa santé, ce qui augmente la demande en
médicaments nouveaux et de haute qualité. Avec un chiffre d’affaires de près de
42 milliards d’euros en 2012 et de grandes
performances à l’export, l’Allemagne a
une position de leader européen. Au niveau mondial, elle est quatrième après les
Etats-Unis, le Japon et la Chine. L’Allemagne est également le deuxième importateur mondial de produits de santé.»
Les Allemands et le travail
«Les Allemands sont comme on l’imagine, très carrés, rigoureux et attachent
beaucoup d’importance au produit en
lui-même ainsi qu’au délai. La ponctualité est primordiale et la courtoisie de mise.
Ils sont conscients de la difficulté de leur
langue et apprécient que les Français
fassent l’effort de parler en allemand.»
Alexandre Aloesode, V.I.E Abidjan (Côte d’Ivoire) : Ayant vécu plus de 10 ans en Côte d’Ivoire, Alexandre souhaite faire sa carrière professionnelle en Afrique. Il veut mettre au service du développement des entreprises son
réseau et son savoir-faire propres à cette région, dont le potentiel économique est croissant.
Son parcours : Alexandre a effectué un Master II en Commerce International en alternance, en tant qu’Assistant
commercial et marketing chez Ventana, un des leaders français de la sous-traitance aéronautique, spatiale et nucléaire.
Imed : Son profil et sa connaissance de la Côte d’Ivoire, et de l’Afrique de l’Ouest en général, sont de véritables
atouts pour développer les exportations de deux PME qu’il accompagne depuis novembre 2014. La première est
dans le secteur de l’agro-alimentaire alors que l’autre est dans le secteur médico-social.
Benoît Poudat, V.I.E Casablanca (Maroc) : Présent depuis près de 3 ans à Casablanca, Benoît a une fine connaissance du potentiel du marché marocain, de ses opportunités et de ses acteurs. Marché faussement facile, il demande un relationnel et une présence sur le long terme, ainsi qu’une connaissance des us et coutumes locales.
«Kölner Dom», soit la Cathédrale de Cologne, appartient au patrimoine mondial de
l’UNESCO depuis 1996. Elle est, avec ses 157
mètres de haut et ses 533 marches, la deuxième plus haute église d’Allemagne et surtout la plus visitée du pays.
Son histoire est très singulière, puisqu’il
aura fallu plus de 600 ans pour achever sa
construction. En effet, commencée en 1248,
la construction de ce chef-d’œuvre de l’art gothique se fit par étapes et s’acheva en 1880. Au
cours de ces sept siècles, ses bâtisseurs successifs furent animés de la même foi et d’un
esprit de fidélité absolue aux plans d’origine.
Outre son exceptionnelle valeur intrinsèque
et les chefs-d’œuvre qu’elle recèle, la cathédrale de Cologne témoigne de la force et de
la persistance de la foi chrétienne en Europe.
Son parcours : Après une préparation militaire dans la Marine Nationale, Benoît se réoriente et entreprend des
études en relations internationales. Passionné de géopolitique, Benoît décroche un Master II en géoéconomie et
intelligence stratégique avant d’être embauché à la Chambre française de Commerce et d’Industrie du Maroc.
Imed : Son expérience du Maroc est un véritable atout pour les entreprises désireuses de s’y exporter. Benoît est
installé dans les bureaux de l’Imed à Casablanca depuis décembre 2014 et travaille pour deux PME dans le secteur
de l’industrie générale.
Jean-Luc Blakimé, V.I.E Dubaï (Emirats-Arabes-Unis) : Ayant travaillé en Europe, en Asie et en Amérique du
Nord, Jean-Luc utilise souvent la maxime de Socrate «ce qui fait l’homme, c’est sa grande faculté d’adaptation».
Pour lui, l’aspect multiculturel de Dubaï en fait une zone particulièrement enrichissante autant commercialement
qu’humainement.
Son parcours : Jean-Luc a obtenu un double diplôme d’ingénieur Aéronautique et Spatial à l’IPSA et en Ingénierie
des Affaires Internationales à l’ISG. Totalisant trois années d’expérience, il a notamment travaillé dans le groupe
Vinci en tant que Business Manager où il a mis en place et géré un centre de profits.
Imed : Curieux et ayant une réelle envie d’entreprendre, Jean-Luc se met aujourd’hui au service de trois entreprises françaises dans les secteurs de l’équipement industriel, des meubles et du multimédia.
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Janvier 2015 | www.imedfr.org
Janvier 2015 | www.imedfr.org
Entreprises
Que sont-ils devenus?
Récit
D
L
’Imed a accompagné plus de 600 entreprises et réalisé près de 1200 missions export à travers le monde
depuis sa création en 1988. Avec un taux de satisfaction client avoisinant les 90%, l’Imed a jusqu’à présent
parfaitement rempli son rôle en apportant des solutions flexibles et économiques pour l’export des entreprises
françaises. Voici deux témoignages de chefs d’entreprises qui ont bénéficié du dispostif V.I.E mutualisé Imed.
epuis 1988, l’Imed a vu passer plus de 90 V.I.E. De l’Egypte à la Grèce en passant par les Emirats-ArabesUnis ou la Turquie, les «anciens jeunes» diplômés ont atteint, pour 98% d’entre eux, des postes à responsabilité au sein de PME françaises. Trois d’entre eux racontent leur «expérience Imed».
Claudine Arat, ancienne V.I.E Imed
Turquie, embauchée
par Ferrari Textiles
en juin 2012 en tant
que Manager ventes
et administration
Turquie.
«L’Imed m’a permis de développer mes
compétences à l’international, notamment dans un pays en plein boom. En
Turquie, tout n’est pas toujours facile.
Surtout à Istanbul, une des villes les
plus embouteillées d’Europe : la gestion du temps est donc primordiale.
Le poste de V.I.E m’a offert la possibilité
d’être plus autonome et plus responsable. Et surtout, grâce à l’Imed j’ai pu
réaliser mon rêve de vivre en Turquie.
Le dispositif V.I.E est un réel tremplin
et l’Imed permet de se diversifier dans
la mesure où l’on travaille pour plusieurs
sociétés en même temps. Mon réseau a
pris ainsi une ampleur considérable et
j’ai pu choisir moi-même le secteur dans
lequel je souhaitais évoluer.
La vraie force de l’Imed réside ici -en
comparaison avec les autres structures
proposant des V.I.E : à la sortie nous
avons la possibilité de choisir la société
pour laquelle nous voulons travailler. Et
ça, c’est un vrai luxe.»
Ludovic Kotewicz,
ancien V.I.E Dubaï,
embauché par OSD
en septembre 2014
en tant que Manager
Export.
«Ma mission Imed fut un double succès
car elle a atteint les deux objectifs d’un
projet. D’une part permettre à 5 entreprises d’initier ou de conforter un flux
d’affaires sur les Emirats à minima, et
mêmes dans d’autres pays du golfe, et
d’autre part, me faire acquérir les compétences commerciales, d’autonomie et
de gestion pour justifier mon embauche
par une des entreprises que j’ai accompagné pendant ces deux ans.
Pour les entreprises, la mission Imed fut
une réelle réponse à leurs besoins et à
leur souhait d’apporter plus de contrôle
sur leur développement dans le monde,
avec un suivi régulier, et des actions
concrètes locales dans la recherche ou
l’accompagnement de partenaires. Le
dispositif Imed apporte des solutions à
plusieurs freins à l’export bien connus
des chefs d’entreprises : le manque de
temps, de connaissance du marché, de
suivi et un budget souvent très serré.
D’un point de vue personnel, le dispositif Imed m’as permis de me confronter
à la réalité de l’export dans toutes ces
phases, depuis la prospection, jusqu’au
suivi de l’installation des produits.
L’Imed m’a permis de prendre entièrement part au processus d’internationalisation en étant en contact direct avec
les décideurs et de développer la stratégie en concertation avec eux.
Pour résumer, le dispositif Imed m’a
permis, ainsi qu’aux entreprises, de gagner une ressource précieuse : le temps.»
Bastien François, ancien V.I.E Turquie.
«L’expérience Imed
m’a beaucoup appris
en étant seul sur le
terrain. C’est extrêmement responsabilisant et cela permet aussi de désacraliser les institutions
(ambassade, consulat, ministère...) et
les hiérarchies d’entreprise. On apprend à décrocher le téléphone pour
appeler un ministère ou une ambassade
car personne ne vient spontanément.
Le V.I.E m’a fait découvrir les métiers du développement et m’a donné
envie de continuer dans cette direction avec de plus petites structures.
A la fin de celui-ci, j’ai ainsi passé les
concours d’entrée en Mastère spécialisé
Entrepreneurs et intégré en septembre
le mastère Centrale-ESSEC Entrepreneurs à Paris. Il se réalise en alternance,
50 % des étudiants de la promo créent
leur entreprise et la deuxième moitié,
comme c’est mon cas, réalise une alternance dans une start-up.»
Témoignages
Eric Maubant, PDG de Ellers : « Dans le cadre de son développement international, la société Ellers
a souhaité engager un V.I.E pour les Emirats-Arabes-Unis. N’ayant jamais embauché de V.I.E
et ne connaissant ni les démarches nécessaires, ni comment qualifier un V.I.E performant,
Ellers s’est rapproché de l’Imed pour son savoir-faire dans ce domaine. Les équipes de l’Imed
ont présenté à Ellers un V.I.E motivé, autonome et performant grâce à qui les volumes d’affaires
sur les Emirats-Arabes-Unis ont été sensiblement augmentés. Ellers a retenu la solution proposée par l’Imed pour sa très grande souplesse (temps partagé et facturation forfaitaire incluant toutes les démarches administratives). Cette prestation s’avère parfaitement adaptée à une PME résolue à exporter ses produits. Ellers a ainsi signé avec
l’Imed une prestation supplémentaire sur les pays du Maghreb, avec les mêmes résultats qu’aux Emirats. »
Cécile Paya, Directrice commerciale de Soluscope : « L’Imed a permis d’ancrer les opérations de
Soluscope au Moyen-Orient en proposant un support opérationnel basé à Dubaï à moindre coût,
sans aucun frais de structure. Sans cette aide précieuse et appréciée par nos contacts locaux nous
n’aurions certainement pas eu autant de succès dans la région. De plus, l’Imed nous a proposé un
profil de qualité en la personne de Ludovic Kotewicz, ce qui nous a incité à reconduire son contrat par deux fois. »
•Article de Didier Gazanhes paru dans l’édition du 15 mai 2014 du Journal des Entreprises
Développement en Turquie grâce au V.I.E
La société Ténergie, basée au Canet de Meyreuil, développe sa présence en Turquie par l’intermédiaire d’une
V.I.E Imed. Rencontre avec Marc Watrin.
N
otre métier est de produire de l’électricité
renouvelable,
notamment
d’origine solaire. Nous développons et exploitons
des centrales électriques.
Nous investissons dans la
construction et nous nous
rémunérons sur la vente de
l’électricité. En France, nous
exploitons ainsi près de 60
Mégawatts. Nous avons identifié des pays vers lesquels
nous pouvons exporter notre
savoir-faire. En Turquie,
l’électricité est coûteuse et dépendante du gaz, que le pays
achète à la Russie. La Turquie
dispose d’un fort ensoleillement. Nous avons alors travaillé avec Ubifrance à notre
implantation. L’idée était de
recruter des salariés avec la
double culture, (turque et
française). En janvier 2014,
nous avons fait partie des
PME qui accompagnaient le
voyage présidentiel de Fran-
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*conditions spécifiques disponible auprès d’Ambriva. Ce prix comprend la commission de change et frais de virement.
7
çois Hollande en Turquie. Un
voyage placé sous le signe de
l’«énergie». Durant ce déplacement, j’ai découvert la possibilité de recruter des V.I.E
et j’ai rencontré Filiz Salma,
dotée d’un profil commercial et disposant de la double
culture franco-turque. Filiz était déjà V.I.E pour une
entreprise marseillaise et
cherchait une seconde société à accompagner. Une
opportunité que nous avons
saisie. C’est ainsi que nous
avons découvert les services
de l’Imed, basé à Marseille,
qui propose aux entreprises
les services de V.I.E à temps
partagé. Pour nous, c’est une
solution à moindre frais, à
moindre coût et à moindre
soucis administratif. L’Imed
se charge de l’ensemble des
démarches et nous avons
juste une facturation mensuelle A l’année, le V.I.E nous
coûte 20.000 euros ».
Filiz Salma et Marc Watrin.
Un V.I.E partagé avec Ecomed
« Filiz a commencé en
avril 2014. Elle travaille
également pour l’entreprise
Ecomed, qui réalise notamment des études d’impact.
Nous avons des métiers assez complémentaires et nous
entretenons de bonnes relations. Nous avons formé
Filiz à nos métiers et elle
est hébergée dans les locaux d’Ubifrance et dans
les bureaux de notre filiale,
à Istanbul. Elle a pour mission de prospecter les développeurs locaux et de trouver
des projets prêts à construire
ou des partenariats dans le
cadre de développement
de centrales solaires. Nous
avons un fort savoir-faire
dans la conduite de tels projets. L’idée est de fournir de
l’électricité à l’État turc. Dans
ce pays, le «solaire» est une
démarche récente. Nous
avons du mal à évaluer les
délais de faisabilité, mais ce
sont de toute façon des projets de un à trois ans. Le V.I.E
est sur deux ans. Il reste encore un an à Filiz pour notre
compte. Si l’activité de Ténergie se déroule principalement en France, nous disposons déjà d’une centrale
en Roumanie et nous avons
signé un important contrat
de 20 Mégawatts, au Sénégal,
en partenariat avec la société
Sénelec ».
Didier Gazanhes
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Janvier 2015 | www.imedfr.org
Janvier 2015 | www.imedfr.org
Afrique
• La Côte d’Ivoire
«Après la crise politique
post-électorale de 2011, la
Côte d’Ivoire s’est rapidement redressée et la relance
économique a été plus rapide
que prévu. En effet, le taux de
croissance du PIB se trouvait
entre 8 et 9 % en 2013, et la
tendance s’est poursuivie en
2014. L’État encourage grandement les investissements
venant de l’intérieur ou de
l’extérieur et affiche clairement sa volonté d’améliorer
le climat des affaires. Les entreprises françaises occupent
une place centrale dans l’économie ivoirienne. Le secteur
agro-alimentaire et celui de
la santé sont très attractifs et
le tertiaire prend de plus en
plus de place.»
Expérience
Ancien V.I.E en Algérie, Mohammed Balil est aujourd’hui responsable de la zone Afrique pour l’Imed. En poste
depuis avril 2014, il dresse un état des lieux sur les opportunités d’affaires du continent africain.
Son parcours :
« Au départ je me destinais
à être expert-comptable. Et
je me suis vite rendu-compte
que rester derrière un bureau, ce n’était pas fait pour
moi. J’ai changé de cap en
m’inscrivant dans une école
de commerce. Je suis parti
en Chine une année dans le
cadre de ces études. A la sortie je cherchais un V.I.E. J’ai
candidaté à l’Imed pour un
poste au Maghreb, j’ai été retenu pour l’Algérie. Au final
j’ai effectué des missions sur
l’ensemble de la zone.»
Pourquoi s’exporter dans
ces pays?
«La France est le premier
investisseur dans ces quatre
pays et de nombreux grands
projets sont en cours de réalisation. Les autorités veulent
moderniser leur pays et marcher vers la voie de l’émergence. Les entreprises françaises sont favorisées sous
forme de partenariats. Mais
ce sont des marchés de patience, de persévérance et
également de prix. Même si
ces pays sont proches de la
France au niveau culturel, il
est important de se renseigner sur les us et coutumes
de chaque pays très différents les uns des autres et de
les respecter.»
Les pays où l’Imed est présent
• L’ Algérie
« Les autorités investissent
en masse dans la construction d’infrastructures et
la consommation est très
importante. Marché non
membre de l’OMC, mais très
attractif par son potentiel
de développement – c’est un
marché de terrain – l’Algérie
offre d’énormes opportunités
d’investissement, à condition
de faire preuve de beaucoup
de patience et de persévérance. Malgré la chute du
prix du pétrole, l’Algérie
possède assez de réserves
de changes pour absorber 3
années d’importation, sans
dette extérieure. Ainsi, elle
devrait passer la crise du pétrole sans trop de difficultés
économiques.»
• Le Maroc
«C’est un pays stable et son
marché est en pleine modernisation. La mise en place
de réformes de fond a amélioré le climat des affaires et
contribue à l’attractivité économique du pays. Les entreprises françaises sont très en
Après une année univeristaire en Chine, Mohammed Balil est parti en 2011 pour l’Algérie sous
contrat V.I.E. Quatre ans plus tard, il est désormais responsable de la zone Afrique à l’Imed.
vogue grâce à la proximité
qui existe entre les deux pays
(culture et langue). Le marché marocain est très intégré dans la mondialisation
et donc les entreprises françaises font face à de nombreux concurrents. C’est un
marché faussement facile !
Aujourd’hui, les yeux sont
rivés vers l’agglomération de
Tanger qui est en train de
connaître un fort développement d’infrastructures, mais
également économique dû à
l’installation de nombreuses
usines de tout secteur d’activité.»
• La Tunisie
«La révolution tunisienne a
été exemplaire. Elle a abouti à
une élection présidentielle fin
2014 : la démocratie est respectée et le gouvernement est
en construction. Le marché
est resté stable depuis 2011,
mais aujourd’hui, tout est fait
pour relancer l’économie. Les
entreprises étrangères ont été
encouragées à rester lors de la
révolution et elles continuent
à travailler normalement. La
Tunisie bataille pour regagner la faveur des investisseurs ainsi que des touristes
et fournir aux entreprises locales les capitaux nécessaires
pour se développer et créer
des emplois. La France, par
ses entreprises, a un réel intérêt à renforcer ses flux d’affaires avec la Tunisie car elles
ont historiquement un lien
particulier.»
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Pourquoi privilégier le
continent africain par rapport à un autre continent?
«L’Afrique est le futur continent de la croissance. Tout
est à faire en Afrique, c’est un
grand chantier à construire
et à moderniser, au niveau
des infrastructures, des services, de la santé, de l’agriculture, etc. Il y a des besoins dans tous les secteurs
d’activité. Les Etats africains
sont décidés à agir pour favoriser le développement de
leur pays et ont des besoins
colossaux où seules les entreprises de pays développés
peuvent répondre via leurs
industries.»
L’objectif de l’Imed à court
terme.
«Ouvrir une délégation en
Afrique du Sud. Les raisons?
C’est un pays avec une économie de libre échange qui
encourage les investissements étrangers à la fois dans
les secteurs privé et public.
Le pays possède un système
réglementaire transparent,
une démographie importante, un accès aux matières
premières et une stabilité
politique. L’ Afrique du Sud
dispose donc d’un marché au
potentiel élevé, d’infrastructures développées et d’une
économie domestique compétitive. Enfin, le tourisme
et le secteur du commerce de
détails affichent un potentiel
intéressant pour les entreprises françaises.»
Zoom sur le Pôle Med
Le Pôle Med a vu le jour en novembre 2013
dans le cadre du Plan régional d’internationalisation des entreprises (PRIE) initié par la
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il est
destiné à intensifier la coopération économique entre la région PACA et le bassin méditerranéen.
Les entreprises sont au cœur du dispositif, qui lui, est coordonné par quatre
membres. Aux côtés de l’Imed, Anima,
FCM et l’Acim constituent le consortium.
L’Imed y joue le rôle de relais entreprise en
mobilisant les PME de la région PACA mais
aussi et surtout celles du bassin méditerranéen autour des événements et des projets de coopération économique entre PME.
La dernière action en date est le forum Paca-Algérie, qui a eu lieu les 1er et 2 décembre
2014 à Alger. Elle a permis d’initier une rencontre entre une centaine d’entreprises algériennes et une quarantaine de la région PACA.
En plus de ces rencontres d’affaires qui ont
permis de renforcer les échanges économiques entre les deux pays, le Président de
région, M. Michel Vauzelle a pu rencontrer
ses homologues algériens et matérialiser les
liens étroits entre l’Algérie et la Région PACA.
Dans le même état d’esprit de diplomatie économique, la prochaine manifestation organisée par le Pôle Med aura lieu
à Tanger au Maroc au printemps 2015.
Mohammed Balil en entrevue lors des
rencontres d affaires du forum à Alger.
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Janvier 2015 | www.imedfr.org
Imed en 2015
Dispositif V.I.E temps plein
L’Imed et Business France (anciennement Ubifrance) s’unissent en lançant l’opération V.I.E temps plein, avec le
soutien financier de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’appui de CCI International PACA et des CCEF.
&
Votre clé de développement à l’international
Accélerez votre développement
sur l’un de vos marchés cibles.
Entreprises, optez pour le VIE !
Subventions sur l’indemnité annuelle du V.I.E :
Entre
10.000 et 14.000€ selon la zone ciblée
Financement sur 12 mois
Avec le soutien de :
et l’appui de :
L’alliance entre l’Imed et Business France donne la possibilité aux entreprises de la
région PACA de booster leur
développement à l’international à un coût avantageux.
En effet, grâce à la subvention du Conseil Régional
Provence-Alpes-Côte d’Azur,
qui varie entre 10.000 et
14.000 euros selon la zone ciblée, les PME de la région bénéficient d’un réel appui pour
partir à l’export. Outre le
partenariat historique entre
les deux organismes, c’est
aussi la première fois que la
Région présidée par Michel
Vauzelle finance le disposi-
tif V.I.E temps plein. Afin de
bénéficier de l’aide régionale,
l’entreprise doit déposer un
dossier et respecter plusieurs
conditions. La plaquette et le
dossier de candidature sont
téléchargeables sur le site internet www.imedfr.org.
Le rôle de l’Imed
En prenant en charge toute
la partie logistique, technique et solution RH, l’Imed
entend élargir son domaine
de compétence en développant le dispositif V.I.E temps
plein. Précurseur du dispositif V.I.E à temps et coût
partagés, l’organisme trace
désormais une voie royale
aux entreprises qui veulent
pénétrer les marchés internationaux à moindre coût.
Trois dossiers sont déjà déposés et validés. L’Imed accompagnera en effet trois
entreprises au Canada, aux
Etats-Unis et au Cameroun.
Ce dispositif a reçu le soutien
de la Région Provence-AlpesCôte d’Azur, dans le cadre du
Plan Régional d’Internationalisation des Entreprises (P.R.I.E).
Projet Asie 2015 : L’Imed sera bientôt présent en Asie avec l’ouverture d’un bureau à Singapour grâce à un V.I.E à temps et
coût partagés et au Japon avec un VI.E à temps plein.
Remerciements
Toute l’équipe Imed remercie ses partenaires financiers, avec en premier lieu le Conseil Régional Provence-Alpes-Côtes d’Azur.
Nous remercions également le Conseil Général des Bouches-du-Rhône, Marseille Provence Métropole et la Ville de Marseille.
Nous profitons également de cette tribune pour remercier les entreprises qui nous font confiance depuis plus de 26 ans pour
mener à bien leurs actions à l’international.
Sans oublier enfin, l’investissement constant de notre conseil d’administration : Gabriel Rebourcet, Christian des Pommare,
Pierre Gilot, Denis Danset, Yves Delafon, Jérome Fabre, Yves Martin Laval, Gérard Mongereau, Claude Signoret, Daniel Ogna.
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