LES MARDIS DU FESTIVAL : LE MARDI 23 AOUT
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LES MARDIS DU FESTIVAL : LE MARDI 23 AOUT
LES MARDIS DU FESTIVAL : LE MARDI 23 AOUT 2016 au CINE PATRIA VIRTON à 20H30 + LE JEUDI 25 AOUT 2016 à18H30 au CINE NOS LOISIRS de SAINT-MARD UN FILM ESPAGNOL A L’AFFICHE DES « MARDIS DU FESTIVAL » Réalisateur: Julio Medem Acteurs: Penélope Cruz Silvia Abascal Luis Tosar Jon Kortajarena Asier Etxeandia Ciro Miró Samuel Viyuela Magda est institutrice et mère d’un petit garçon de 10 ans. Elle a du mal à faire face à la perte de son emploi et le départ de son mari. Mais lorsqu’on lui diagnostique un cancer du sein, plutôt que de se laisser abattre, elle décide de vivre pleinement chaque instant. Elle profite de son fils, de son médecin bienveillant et d’un homme qu’elle vient à peine de rencontrer. De son combat contre la maladie va naître une grande histoire d’amour entre tous ces personnages. Dans le rôle d'une femme atteinte d'un cancer du sein, Penélope Cruz en fait beaucoup pour livrer son message d'espoir et de solidarité : elle est belle, rayonnante, formidable ! De son côté, le réalisateur creuse l'idée d'un ordre secret des choses, d'une énergie mystérieuse qui nous rattache à la vie. Bref, ni l'un ni l'autre ne sont vraiment dans le réalisme. Sur un sujet aussi chargé de douloureuse réalité, c'est problématique. Mais avec quelques idées parfois saugrenues (un cancérologue chanteur de charme...), le film évite le mélo banal et réussit à être attachant. — Frédéric Strauss Pénelope Cruz par sa silhouette charnelle et maternelle à la fois, par sa vulnérabilité mêlée de puissance, était évidemment le choix idéal et on s’étonne que la collaboration avec Medem arrive si tard tant elle est la plus pure incarnation de son idéal féminin. (Justin Kwedi) On a donc beaucoup pleuré devant Ma Ma. Penélope Cruz, mifemme midivinité, porte le film sur ses épaules. L’actrice oscarisée retrouve de son panache chez l’Espagnol Julio Medem (Lucia et le sexe). De quoi remettre en lumière son énergie et sa beauté bouleversantes. Entourée de magnifiques seconds rôles, elle brille de mille feux, servie par la mise en scène noble, imaginative et infiniment sensible du metteur en scène.(Les grignoux) LES MARDIS DU FESTIVAL : LE MARDI 23 AOUT 2016 à 18H30 au CINE PATRIA de VIRTON + le JEUDI 25 AOUT 2016 au CINE NOS LOISIRS de SAINT-MARD à 21H00 PRIX DES PLACES : 6,00€ Carte de réduction : 4,00€ UNE COPRODUCTION IRLANDE – PAYS-BAS – FRANCE – ETATS UNIS Réalisateur: Whit Stillman Acteurs: Kate Beckinsale Chloë Sevigny Samuel Emma Greenwell Stephen Fry Xavier Synopsis : Angleterre, fin du XVIIIe siècle: Lady Susan Vernon est une jeune veuve dont la beauté et le pouvoir de séduction font frémir la haute société. Sa réputation et sa situation financière se dégradant, elle se met en quête de riches époux, pour elle et sa fille adolescente. Épaulée dans ses intrigues par sa meilleure amie Alicia, une Américaine en exil, Lady Susan Vernon devra déployer des trésors d'ingéniosité et de duplicité pour parvenir à ses fins, en ménageant deux prétendants: le charmant Reginald et Sir James Martin, un aristocrate fortuné mais prodigieusement stupide… Des personnages aux saveurs contemporaines Ce qui marque immédiatement dans cette comédie étincelante, c’est à quel point ses personnages semblent actuels. « Quand je me promène à Palm Springs, je vois des Lady Susan à la pelle qui manipulent leurs époux comme des marrionnettes et traitent leurs propres filles comme des marâtres parce qu’elles sont jalouses de leur beauté ! », raconte Whit Stillman. Bien qu’elle ait tout d’une vraie garce, l’héroïne incarnée par Kate Beckinsale demeure attachante. « On peut comprendre ses motivations car elle tente de survivre dans un milieu hostile. » La romancière Jane Austen (1775-1817) n’a jamais semblé aussi moderne que dans Love & Friendship de Whit Stillman. Le réalisateur y partage les aventures cocasses d’une belle veuve en quête d’un nouveau mari fortuné dans l’Angleterre du 18e siècle.Lady Susan (1794), ouvrage peu connu de l’auteur l’a inspiré. « Il y avait suffisamment de place dans ce livre de jeunesse pour que je puisse y apposer ma patte sans violer un chef-d’œuvre », explique le cinéaste (Caroline Vié – 20 minutes)