CAMPAGNE DE PROMOTION DE LA SANTE MENTALE EN

Transcription

CAMPAGNE DE PROMOTION DE LA SANTE MENTALE EN
CAMPAGNE DE PROMOTION
DE LA SANTE MENTALE EN FRANCE
« Accepter les différences, ça vaut aussi
pour les troubles psychiques »
FNAP-PSY
Janvier 2005
LES PARTENAIRES

Association des Maires de France (AFM)

Centre collaborateur de l’organisation mondiale de la santé, pour la recherche et la
formation en santé mentale (CCOMS, Lille France)

Fédération Nationale des associations de (ex)patients en psychiatrie (FNAP-Psy)

Union nationale des amis et familles de malades psychiques (UNAFAM)
Cette campagne a été élaborée en collaboration avec l’Agence conseil
TBWA\CORPORATE\NON PROFIT (www.nonprofit.tbwa-corporate.com )
PROMOTEUR DU PROJET
Centre collaborateur de l’organisation mondiale de la santé, pour la recherche et la
formation en santé mentale (CCOMS, Lille France)
Directeur : Dr Jean-Luc Roelandt, chef de service, EPSM Lille-Métropole.
Secrétariat
c/o CMP – EPSM-Lille-Métropole,
286 rue Kléber, 59155 Faches-Thuménil
Tél : 03.20.62.07.28 / Fax : 03.20.96.32.10
Email : [email protected]
Site web : http://www.epsm-lille-metropole.fr
Structure relais pour réception du financement
Association septentrionale d’épidémiologie psychiatrique (ASEP)
286 rue Kléber, 59155 FACHES THUMESNIL
Tél : 03 20 62 07 28 / Fax : 03 .20 96 32 10
FINANCEMENTS (au 31 janvier 2005)
La campagne a reçu le soutien financier de :
ADESM, association des établissements gérant des services de santé
mentale
la Fondation de France, dans le cadre de son programme « Maladies
psychiques et vie quotidienne des personnes adultes ».
le Psycom75, syndicat interhospitalier des établissements de santé
mentale de Paris
PRESENTATION DU PROJET
Mise en place de la première campagne de promotion de la santé mentale en France, sur
le thème « Accepter les différences, ça vaut aussi pour les troubles psychiques »
Partenaires

Association des Maires de France (AMF)

Centre collaborateur de l’OMS pour la recherche et la formation en santé mentale
(CCOMS, Lille France)

Fédération Nationale des Associations des (ex)patients en psychiatrie (FNAP-Psy)

Union nationale des amis et familles de malades psychiques (UNAFAM)
Objectifs

Sensibiliser l’opinion publique à la question de la discrimination dont sont victimes
les personnes souffrant de troubles psychiques

Faire exister la cause « troubles psychiques » dans l’opinion publique en générale et
les décideurs en particulier
Lieu d’intervention
La campagne serait nationale, avec possibilité de renforcer la communication sur les
grandes villes. Campagne d’affichage, accompagnée d’insert presse nationale, régionale et
magazine, insert affichages municipaux et journaux municipaux.
Durée
Lancement 15 mars 2005, premier volet (avril – juin 2005), se déclinant sur différents
supports et pouvant être relayé à moyen terme par des opérations locales menées par les
partenaires.
Deuxième volet, au long cours de l’année 2005.
ETAT DES LIEUX
Etat des différents discours par rapport à la thématique « troubles psychiques».
Les acteurs de la santé
Une communication d’experts
• Sur les pathologies, la place du patient dans la société
Aujourd’hui la question des troubles psychiques n’est abordée que sous l’angle de la
virulence ou du silence. Les médias (y compris les films) et l’indifférence des élus
politiques participent au déni ou au rejet de l’opinion publique face au sujet. Et les plus
aptes à en parler ont une faible part de voix médiatique…
En conséquence, la prise de parole AMF/CCOM/FNAP-PSY/UNAFAM doit constituer
l’opportunité d’affirmer la réalité, et ainsi :

Initier un changement de perception par l’ensemble des publics

Afficher son ambition au travers de preuves concrètes (les études, le point de vue
des experts, mais aussi des usagers et des familles...)

Clarifier la co-responsabilité entre les différents acteurs

Valoriser la nouvelle alliance des partenaires sur le terrain (usagers, professionnels,
familles et élus et média)
Aujourd’hui, il existe trois regards différents de l’opinion publique pour un même
sujet :
1. Ce que la société accepte : les insomnies, la dépression, le stress,..
2. Ce qu’elle commence à entendre : l’addiction, les tentatives de suicide
3. Ce qu’elle rejette : les syndromes psychotiques, les pathologies chroniques, les
comportements hors normes voire violents
Parce finalement, depuis plus d’une décennie, une grande partie des différentes
pathologies qui sont regroupées dans les troubles de santé mentale sont petit à petit
mieux connues, mieux soignées et mieux acceptées par la société aujourd’hui. Faire
évoluer l’opinion publique sur ce sujet est donc possible : surtout quand il ne reste plus
qu’un bout du travail à faire …
Les résultats de l’enquête « La Santé mentale en population générale : images
et réalités » menée par le Centre Collaborateur de l’OMS (CCOMS) rejoint la
politique international de l’OMS en matière de santé mentale (cf. rapport 2001) :

Lutter contre la stigmatisation

Mieux faire connaître les troubles psychiques et les recours

Développer pour cela une nouvelle alliance : professionnels de la santé et du social/
usagers / familles / élus et media

Favoriser l’intégration de la psychiatrie dans la vie de la cité pour lutter contre la
discrimination et l’exclusion des personnes souffrant de troubles psychiques
Le message que la campagne s’attachera à illustrer
Un cri du cœur, des malades et des familles
• Inscrit dans un élan optimiste, rationnel et indiscutable « les
choses sont en cours… »
• Pouvant facilement être relayé en local
• Outil de communication commun, pour renforcer la nouvelle
alliance
DESCRIPTION DE LA MISE EN PLACE
Préparation :
§
o
Réunions entre les partenaires pour affiner le discours commun.
o
Demande du label « Campagne d’intérêt national ».
o
Recherche de fonds et d’espaces gracieux.
Déclinaison de la campagne
§
§
Affiches 4 x 3
§
Affiches 60x80
§
Insert presse généraliste et spécialisée
§
Brochure d’information sur les partenaires
Lancement et relais presse
§
§
Evaluation : Analyse des retombées dans la presse nationale,
régionale et magazine (nombre d’articles de citations, de reprise, de reportages)
§
Extension : accompagnement à chaque action (séminaires,
colloques, réunions, congrès …) des 4 partenaires et à chaque présentation des
résultats de l’enquête « La santé mentale en population générale : images et réalités ».
Calendrier

Annonce du lancement de la campagne le 26 octobre 2004 à Lille, lors des
deuxièmes journées internationales du CCOMS « Image et réalités de la santé
mentale en France »

Recherche fonds et d’espaces gracieux

Conférence presse lancement le 15 mars 2005, au siège de l’Association des maires
de France

Relais presse après le lancement (lors de la Semaine d’Information sur la Santé
Mentale)

Campagne d’affichage d’avril à juin 2005

Déclinaison sur l’année avec les partenaires
Moyens humains mis en œuvre

Equipe de coordination et secrétariat du CCOMS (EPSM-Lille-Métropole)

Service de communication de l’AMF

Equipe de coordination et secrétariat des Associations Fnap-psy et Unafam
ANNEXES
PRESENTATION DU CCOMS
Cadre de référence DES CENTRES COLLABORATEURS DE L’OMS
1)
Promouvoir et coordonner la participation des équipes françaises de recherche et
d'enseignement aux activités de recherche et de formation du programme de santé
mentale de l'OMS
2)
Informer les autorités et spécialistes français des activités de l'OMS utiles au
développement des programmes français de santé mentale
3)
Informer la division santé mentale de l'OMS des travaux et projets pilotes français,
ayant trait à la santé publique et à la réglementation, pouvant être utiles à la conduite
des programmes
4)
Constituer un point focal pour les experts français de santé mentale qui leur
permette d'assurer un meilleur suivi de leur travail, quand ils accomplissent des
missions de consultant, et facilite leurs relations avec l'OMS
5)
Contribuer à produire en version française des documents techniques de l'OMS,
notamment ceux utilisés pour le développement de programmes nationaux de santé
mentale.
6)
Renforcer les liens existants entre les centres collaborateurs français dont les
travaux ont un rapport avec la santé mentale
PROGRAMME D'ACTIONS 2002-2005
Pôle 1 : LA SANTE MENTALE EN POPULATION GENERALE : IMAGES ET REALITES
Réalisation d’une vaste enquête nationale et internationale (SMPG) décrivant les représentations de la folie,
la maladie mentale et la dépression, et évaluant la prévalence des principaux troubles psychiques en
population générale.
Résultats français portant sur un échantillon de 36.000 personnes présentés aux deuxièmes journées
internationales du CCOMS, fin octobre 2004, à Lille.
Pôle 2 : PREVENTION DU SUICIDE
Programmes de recherche, dans le cadre du plan national de prévention du suicide :
•
Etudie de l'effet sur les patients, de formations des professionnels à la prévention du suicide.
•
Evaluation des conséquences de la tentative de suicide d'un sujet sur son entourage proche.
•
Analyse des données sur le suicide recueillies lors de la seconde phase de la recherche action du
CCOMS La Santé Mentale en Population Générale : Images et Réalités – phase d'enquête 2000-2003.
Résultats présentés au 3e Congrès International Francophone de Prévention du Suicide, mi-décembre 2004,
Poitiers
Pôle 3 : PROMOTION DES DROITS ET DE L'INFORMATION DES USAGERS
•
Participation à la Semaine d’information en santé mentale (SISM), par le relais des conséquences
de l’enquête SMPG (cf. pôle 1).
•
Validation les fiches d’information sur les psychotropes élaborées par le Réseau PIC, en
partenariat avec les associations d’usagers adhérentes à la FNAP-Psy.
Pôle 4 : RESEAU FRANÇAIS DES EXPERIENCES PILOTES EN SANTE MENTALE
COMMUNAUTAIRE
•
Création d’un réseau d’ "Expériences pilotes en santé mentale communautaire"afin de valoriser
les expériences françaises.
•
Animation d’une réflexion nationale sur l'existence d'un réseau national d'expériences pilotes en
santé mentale communautaire afin de favoriser le maximum d'adhésions à ce réseau.
Pôle 5 : EVALUATION MEDICO ECONOMIQUE DES SOINS PSYCHIATRIQUES
•
Evaluer l'efficience des secteurs de psychiatrie, selon la méthodologie développée par le IRDES.
Pôle 6 : LA CONSTRUCTION SOCIALE DES TROUBLES PSYCHIQUES
•
Contribuer à la connaissance de la construction sociale des troubles psychiques, en conduisant
des recherches interdisciplinaires entre sociologues et professionnels du champ de la santé mentale.
Pôle 7 : ECHANGES INTERNATIONAUX
•
Mise en place et alimenter des réseaux d’échanges sur les zones caraïbe, océan indien, euroméditerranée et palestinienne.
MEMBRES DU CONSEIL SCIENTIFIQUE DU CCOMS
§
Mr Michel AUTES, CNRS, Lille
§
Mr. Gérard BADEYAN, Haut Comité de Santé Publique, Paris
§
Dr. Pierre BAILLY-SALIN, Tableau d’expert OMS, Paris
§
Dr Noëlle BARBIERA, EPSMR de Saint-Paul, La Réunion
§
Pr. Jean BENOIST, Université d’Aix-Marseille
§
Mme Aude CARIA, Centre Hospitalier Sainte Anne, Paris
§
Dr François CAROLI, Centre Hospitalier Sainte Anne, Paris
§
Mme Françoise CASADEBAIG, INSERM, Créteil
§
Dr Bernard CAZENAVE, Fédération hospitalière de France, Paris
§
Mr. Francis CHABAUD, Fédération Nationale des ORS, Poitiers
§
Dr François CHAPIREAU, DREES, Paris
§
Mr Bertrand ESCAIG, UNAFAM, Mons-en-Baroeul
§
Dr Jean-Daniel EVEN, EPS de Colson, Martinique
§
Dr Michel EYNAUD, CH de Montéran, Guadeloupe
Mme Claude FINKELSTEIN, FNAP-Psy, Paris
§
§
Paris
Dr Jacques FORTINEAU, Fédération Française de Psychiatrie,
Mr Tim GREACEN, Laboratoire de recherche, EPS Maison Blanche, Paris
§
§
Dr Christine LAJUGIE, EPSM Lille Métropole, Armentières
§
Pr Antoine LAZARUS, Université de Paris XIII, Bobigny
§
Dr Denis LEGUAY, CESAME, Angers
§
Dr Joseph Gérard MOUTOU, EPSMR de Saint Paul, La Réunion
Mr Alain PHILIPPE, INSERM, Créteil
§
§
Dr Dominique POLTON, CREDES, Paris
§
Dr Jean-Luc ROELANDT, EPSM Lille Métropole, Armentières
§
Pr Frédéric ROUILLON, Faculté de Médecine de Créteil, Paris
§
Dr Roger SALBREUX, Association Française de Psychiatrie, Paris
§
Dr Catherine THEVENON GIGNAC, EPSM Lille Métropole, Armentières
§
Dr Dolorès TORRES, CHS Edouard Toulouse, Marseille
§
Pr Pierre THOMAS, Université de Lille II, Lille
§
Dr Guillaume VAIVA, CHRU, INSERM
PRESENTATION DE LA FNAP-PSY
Fédération Nationale des association de (ex)patients en psychiatrie
3 rue Evariste galois
75020 PARIS
Tél : 01.43.64.85.42 Fax : 01.42.82.14.17
Email : [email protected]
Site web : http//fnappsy.free.fr
La FNAP-Psy existe depuis 12 ans, elle regroupe une trentaine d’associations d’usagers de la psychiatrie, soit
au total 4500 usagers des services de santé mentale.
LES BUTS DE LA FNAP-PSY
•
Recenser et regrouper les associations françaises de patients ou ex-patients en psychiatrie,
oeuvrer dans les domaines de l'entraide, de la protection et de la défense des intérêts de leurs
adhérents
•
Accueillir les personnes ayant été soignées en psychiatrie et les orienter vers les associations
de patients ou ex patients, capables de les aider
•
Faciliter l'action de ces associations
•
Aider à la création de nouvelles associations ayant des motivations similaires
•
Démystifier la maladie mentale auprès de l'opinion publique et de l'entourage des malades
•
Diffuser l'information auprès du public par tous les moyens appropriés
•
Former les professionnels aux droits des usagers
•
Former les usagers à leur fonction de représentation.
PRESENTATION DE L’UNAFAM
UNION NATIONALE DES AMIS ET FAMILLES DE MALADES PSYCHIQUES
Reconnue d'Utilite Publique - Membre de l'EUFAMI et de l'AMRP
12, Villa Compoint
75017 PARIS
Tel : 33.(0)1.53.06.30.43 - Fax : 33.(0)1.42.63.44.00
Email : [email protected]
Site web : http//www.unafam.org
L'UNAFAM regroupe plus de 12 000 familles, toutes concernées par la maladie psychique, avec pour
objet de :
§

s'entraider et se former
agir ensemble dans l'intérêt général
Les adhérents sont répartis dans 97 sections départementales.
900 bénévoles y travaillent et y assurent ainsi :
§
L'entraide et la formation par
 l'accueil dans les permanences locales
 l'information des familles

L'action dans l'intérêt général par
 l'orientation vers les lieux de soins ou d'insertion
 la représentation des usagers
 la participation auprès des instances consultatives chargées de définir la politique de
santé mentale
 la promotion et le soutien à la création de structures d'accompagnement
 la promotion de la recherche
Les actions de l'Unafam s'attachent au présent mais également à l'avenir des familles et des personnes
atteintes de troubles psychiques. La concertation avec ses partenaires va dans ce sens, ainsi que les contacts
avec les institutions et les élus.
L'Unafam sensibilise également les organismes de recherche à la nécessité de faire un effort particulier dans
le domaine de la santé mentale et de la psychiatrie.
L'association offre son aide et ses compétences au travers des permanences, du service téléphonique
écoute-famille ou de l'assistance sociale et juridique.
L'association forme les adhérents pour leur permettre de mieux aider eux-mêmes leurs proches.
Elle forme aussi les bénévoles à leur tâche d'accueillants.
L'Unafam assure la défense des droits des personnes malades auprès des institutions
PRESENTATION DE L’AMF
ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE
41, quai d'Orsay
75343 Paris Cedex 07
Tél : 01 44 18 14 14 - Fax: 01 44 18 14 15
Email : [email protected]
Site web : http//www.amf.asso.fr
L’Association des maires de France, reconnue d’utilité publique depuis 1933, constitue une
force de propositions vis-à-vis des pouvoirs publics, en particulier vis-à-vis de
préoccupations sociales.
35.000 adhérents
L’association des maires de France regroupe 35 500 maires et présidents de
communautés, en exercice, dans les communes des départements et territoires français,
de métropole et d’outre-mer, sans aucune discrimination liée à la taille de la
commune/communauté ou au parti politique auquel appartient le maire ou le président.
Un réseau de 100 associations départementales de maires
Une association départementale de maires existe dans la quasi-totalité des départements.
Ces associations ont leur propre existence statutaire, l’Association des maires de France
n’étant pas une fédération. Cependant, des liens institutionnels et organisationnels
nombreux existent et font de cet ensemble d’associations un véritable réseau sur lequel
l’Association des maires de France s’appuie pour faire émerger les problèmes et les
revendications, mais aussi pour diffuser ses informations.
L’Association des maires de France reconnaît une association départementale de maires si
celle-ci regroupe plus de la moitié des communes comportant plus de la moitié de la
population du département et qu’elle ne pratique aucune exclusive dans l’adhésion et la
représentation des maires.
PRESENTATION DE L’AGENCE TBWA\CORPORATE\NON PROFIT
Questions de société.
Y aura-t-il encore des chercheurs en France dans quelques années ?
La communauté nationale va-t-elle enfin se mobiliser pour les personnes âgées isolées ?
Comment ré-enclencher sa vigilance face au sida ? Quelles réponses innovantes pour
aider cette génération des adolescents et pré-adolescents tellement énigmatique ? Quels
nouveaux choix de couverture santé et de prévoyance à la fois performants et solidaires
demain ? …
A chacune de ces questions correspond un client de \NON PROFIT, depuis sa
création en janvier 2002.
La communication joue souvent un rôle de catalyseur de tendances émergentes qui n’ont
pas encore trouvé d’expression grand public.
En septembre 2002, le concept des premières Journées Fondation Recherche Médicale,
fondé sur l’idée que des chercheurs aillent sur le terrain répondre directement aux
questions du grand public, nécessitait encore explications et engagement. La deuxième
édition, en septembre 2003, est lauréate du Grand Prix Stratégies Corporate 2003. Dans
le même temps, la question du financement de la recherche de demain dans notre pays
est au cœur de l’actualité.
En mai 2003, la première vague du système de campagne conçu autour du concept «
Vivre vieux
mais vivre mieux » pour les Petits frères des Pauvres, rencontrait un accueil poli et tiède
sur le thème C’est une cause qui n’intéresse personne. Fin août, les affiches et les
annonces Lucien et Louise faisaient la Une des journaux télévisés, parce que cette
campagne de sensibilisation était juste, par rapport à la cause et par rapport à l’opinion.
Il y a des associations encore embryonnaires qui seront dans 10 ans des ONG
européennes.
Il y en a aussi de traditionnelles qui vont savoir se transformer en plates-formes de
services ou en alliances de commandos légers pour répondre aux nouveaux besoins de
leurs bénéficiaires.
Il y a en germe dans certaines petites mutuelles, trop vite cataloguées comme ringardes,
la capacité de concevoir des offres de protection sociale bien plus contemporaines que
n’importe quel assureur, uniquement guidé par une logique financière, ne pourrait en
concevoir.
Certains mécénats d’entreprise apporteront peut-être des réponses inattendues à des
problèmes de société, à partir du moment où ils ne seront plus conçus comme des
partenariats-chéquiers.
Avoir une stratégie de communication est l’un des moyens pour ne pas passer à
côté de ces évolutions. Un peu d’expérience et de bonnes méthodologies ; des idées
créatives et stratégiques
et une implication constante auprès du client ; les ressources d’une grande agence et une
bonne culture du non-marchand.
C’est ce que, chez TBWA\CORPORATE\NON PROFIT, nous mettons à la disposition
de nos clients pour faire en sorte que leur cause rencontre l’opinion.