Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 juillet 1964

Transcription

Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 juillet 1964
Pti"l~ CLAl<.K. et H«~«ei ALIFl<.AY
ont enthousiasmé le public
du ''Théâtre de Verdure ''
Pe~ul<i
éllnccla n.Ls possêdc le don crè-\
Rien de sopl!lsLlr1ué dans ~
tnbllr Je contact. avec le public p résentation.
Hugues .Au!ray
d('S .les _orcmières paroles de ce:; donne l'impres."1on. d ·un .~a~on
rude <?r sensible. L(I pubJ!c ne
chn11sons.
Sn polt1Lc d'accent angl:us
!l'Y est pas irompé en le rappa·
aJoule un chnrn1e supph!ment.it- lunt a plllhleurs reprises et il a
dû bisser sa d ernière chanson
re à sn voix.
Elle a en scène une étoqnan- « Le SanUngo ».
D esL accompagné par un exte présen ce et ses lnterpr<!tnllons
son marquc!es de sa persOOl)lll1té. cellent ensen1ole tonné d'un
Elle 11 une façon bien li ei:o banjo, une contre basse et. 3 guiL .\ PE l'l.iL A..'11 1'1:; l'E fULt\
Lares qui chantent aussi, Uu ei;de chanter « Allons donc '> qui
Avec plus de quinze tliansons esL ccrta1ncn1ent sa chanson !ri cellont numéro que l'on rever1·n
l o pét~1lnnt<: P6Lula Clnrk ..:navec plaisir.
p lus corrnuc.
1housiasm:1 le public. Ce petit
Débordnnt e de l' le e11e donne
bout rie rem.me aux yeux bleu, l'lmoresslon de bien s'a1nuser en
EN PRE~rn>REl l ' ARTIE
En première partie de ce specèhuntani e L c'est uvec beaucoup
11e 1·er''~ q\l'elle lnrerprête tt l\iot1 tiu:le présenté par Francis Ver~~~K=-<:::;..-:::~c.7-;~e:.:""~·
dun qui n1ontra d'elCcellenls ta~onheu r danse » <t HeUo De2rllnis » 1•t e ll e pàssC> uvec le n\~n1 e lents cl' lmltn leur dans des paru lL'nL ù d es chanson:; plus tenroclles de chansons de llëcaud.
~
Ce soir, à 21h. 15
dres comm<• « Ccu'I qUI one w1 Aznavour etc .. JOI! Ball t'L su
pnrrcnnln.> exècuu~rent un bon
" t! L'enfant do ll.
fHEATRE DE VERDURE · cœur
P6t uln Clark, esL vraiment u111i nun1cro d'e1>orcinfl de l asso. l'vfals
1 des meilleures rnnt.llls111tes du le plu~ étonnnnL IuL Je numero
DES SABLETTES
de tir cie la pa.rtenolre ln cbarmontent.
manta E'·a MLll ei· d ' une adresse
uuc:uES AUFRAY
pcLI com111une au th' à ll\ cara~ •:NE F.1~'"t:1'; t,.:"'l'.\tiNOLE
« Tr!lubndour moderne » c'es~ bine comme pourra en tè111oignl!r
'.\
100 '';1 U\CC
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le n1atin qui tin~ à la main l'anl'cl lquC'UC que nous pourno'1~
11cau
au travers duquel Eva Mtl11cTro~her A. Hugues Aufray c~
lcr fit. passer la. balle pour atLE VRAI ROI GfT,\N
jeune ch1111Leur composltlcur dY·
teindre la cible.
nu1n1que.
11 a su nllie1· dnns srs chan~
RAFAEL FARINA
l /1\ UTEUR DF.S P AROLESI DE
sons la tl<)ilsie tll le rythme ruo- 11
l ,l\ l\lOl\lE AUX B Ol''l'ONS 11
l do1·1H:.
P ierre Loukl lnl<'rprétn quelQU<'>< lllles d e ses 1·hansons farfelues telles que ~ Léon l'i. Léfl. »
« Ln bouhLUgère » etc...
sans
oublier celte ayBnr trait à l'orriere train dt' nos port<o1111es
don! ln conclusion est U$SflZ 11111·
Cln rk et Hugllcs Au:fray onl c11 lhou1<Jusmé lo public
du Thê(llrc di: ~crdurc, ' 'enu
nombreux et' de1111er mnrdt soir.
L t! l\UJI. c111IL Ll('do Cl ë(' p1'ê1.ttlL
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pl<'ln a1r qul a tenu ses promesses au dclî.l de cc que \'on pouvi1it esµê1•cr.
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