Un nouveau logo multicolore pour l`hôpital Jan Yperman

Transcription

Un nouveau logo multicolore pour l`hôpital Jan Yperman
België/Belgique
P.B. – P.P.
8900 Ieper
BC 15617
bulletin d’information de l’hôpital Jan Yperman
Ieper/Poperinge - année 9 - février 2008 - nr. 14
Un nouveau logo multicolore
pour l’hôpital Jan Yperman
>La mise en service des nouvelles installations, la
création d’un nouveau logo en même temps que
l’adoption de couleurs nouvelles et… une présentation modifiée du bulletin d’information : ce sont
autant de manières pour mettre l’accent sur la
nouvelle identité de l’hôpital Jan Yperman. <
Aussi
dans ce
magazine
2 Stomatologie
3 Neurochirurgie
4 Maternité
6 Cafétéria
Vous avez immédiatement remarqué la nouvelle
présentation de ce bulletin d’information. Il fallait,
en effet, l’adapter au style de la maison. Inutile de
dire que ce nouveau style a été inspiré, en partie, par la silhouette du nouveau bâtiment dont
l’inauguration officielle remonte à quelques mois
maintenant. On retrouve ce style et l’emblème, il en
va de soi, dans tous les supports de communication
destinés aux médecins généralistes, aux patients,
aux visiteurs et aux collaborateurs de l’hôpital.
“Le nouveau ‘style maison’ se retrouve dans toutes
les formes de communication interne et externe:
sur les en-têtes de lettre, les enveloppes, les cartes
de visite, les cartes de rendez-vous, etc. Le but est
de transmettre de manière uniforme un message
essentiel: l’hôpital Jan Yperman est synonyme de
soins spécialisés et de haute technologie, dans le
respect d’une approche humaine”, explique Eric
Luyckx (directeur général).
7 Hypertension
À bras ouverts
8 Poperinge
En adoptant ce nouveau style, l’hôpital entend donc
construire une identité bien spécifique. “Ce qui
implique un look reconnaissable”, commente Eric
Luyckx. Le nouveau logo – emblème par excellence
de tout hôpital – joue un rôle essentiel à ce niveau.
“Notre nouveau logo permet de visualiser très
clairement qui nous sommes et ce que nous faisons”, déclare Eric Luyckx. “Le sigle JYZ (pour Jan
Yperman Ziekenhuis) devient donc notre signe distinctif. La typographie droite et moderne des lettres
entrelacées souligne à la fois l’élément technolo-
www.yperman.net
Toelating gesloten verpakking 8/161
Afgiftekantoor Ieper-X
Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper
Nederlandse versie op aanvraag
Eric Luyckx avec le nouveau logo
gique et l’aspect fonctionnel de l’hôpital. Ce logo
illustre également que Jan Yperman accueille tout
le monde à bras ouverts, tant le personnel que les
patients et les visiteurs. Les formes arrondies symbolisent la douceur, les soins et l’aspect humain.
Et les bras ouverts sont synonymes de positivisme,
d’espoir, de développement et d’ouverture sur
l’avenir. Ce sigle sera également repris sur les
uniformes et autres vêtements, la signalisation et
sur certains gadgets»
Les couleurs de l’arc-en-ciel
Le caractère humain et la haute technologie
des soins à l’hôpital Jan Yperman se rejoignent
également dans la magnifique palette de couleurs
reprise dans le nouveau logo. Le gris s’inscrit dans
la ligne de tons dominants à l’intérieur du nouveau
bâtiment, tandis que les couleurs de l’arc-en-ciel
incarnent la spécificité de l’individu et la diversité
au sein de l’hôpital. Enfin, la transparence du logo
s’inscrit comme un clin d’œil au couloir arc-en-ciel
en verre – le corridor artistique – du nouvel hôpital
Jan Yperman.
Contact : Eric Luyckx, 057 35 70 10
2
transfert
du service stomatologie
le docteur Evert Matthys
Aux petits soins pour vos dents
symposiums
2008
En 2008, l’hôpital Jan Yperman
organisera quatre symposiums
dans son vaste auditoire, qui s’y
prête à la perfection.
Ces symposiums auront lieu chaque fois le jeudi, à 19h45.
- 20 mars :
Gynécologie
- 19 juin :
Anesthésie
- 18 septembre :
Imagerie médicale
- 18 décembre :
Médecine interne
Un progamme annexe est prévu
pour les partenaires.
>La chirurgie buccale et maxillo-faciale (CBMF)
n’est certes pas une spécialité majeure de la
médecine, mais elle n’en est pas la moins importante. Le service Stomatologie-CBMF a récemment été transféré du campus des Sœurs-Noires
vers de nouveaux locaux au sein de l’hôpital Jan
Yperman. Quels sont les soins sur lesquels les
patients peuvent faire appel ? <
D es nouvelles dents grâce
aux implants dentaires
Le docteur Carlos Verhelst s’occupe principalement
du volet stomatologie ou de la ‘chirurgie maxillaire’.
Le placement d’implants dentaires est une des
facettes de son travail. “Les patients qui perdent une,
plusieurs ou, dans le pire des cas, toutes leurs dents,
peuvent s’adresser à nous pour se faire poser des
implants”, explique le docteur Carlos Verhelst. “Nous
Le service
StomatologieCBMF regroupe
plusieurs sousdisciplines: la
stomatologie,
d’une part, et
la chirurgie
les docteurs Evert Matthys et Carlos Verhelst
buccale et
maxillo-faciale,
d’autre part, sans oublier la dentisterie médicale et
la narcodontie. Jutta D’Hoore est responsable de la
dentisterie médicale. Elle est également spécialisée
en narcodontie. Elle s’occupe surtout de patients à
risques comme les enfants anxieux ou les handicapés mentaux, à qui elle prodigue des soins dentaires
sous anesthésie spéciale. Le docteur Evert Matthys
pratique quant à lui la chirurgie buccale et maxillofaciale. Il effectue des interventions chirurgicales plus
complexes au niveau des dents, des os maxillaires
et de la muqueuse buccale et se consacre aussi en
grande partie aux corrections maxillaires.
forons ou préforons un petit trou dans l’os de la mâchoire, ensuite nous allons l’agrandir jusqu’à ce qu’il
atteigne la largeur et la longueur de l’implant. L’implant est ensuite posé et enfoui dans la gencive. Après
trois à cinq mois, le patient peut ensuite se rendre
chez son dentiste pour se faire placer une prothèse.”
Le recours aux implants n’est possible que si le
patient présente un support osseux suffisant. Lorsque
tel n’est pas le cas, il faut pratiquer une transplantation osseuse ou augmenter le volume osseux en ayant
recours à une procédure de distraction. Docteur Evert
Matthys: “Dans le cas d’une transplantation osseuse,
on implante de l’os prélevé sur le patient. Ce prélèvement osseux est généralement mélangé à des tissus
osseux provenant de donneurs et traités industriellement et qui sont riches en molécules stimulant la
croissance et qui sont exempts de germes. Une fois
recouvert d’une membrane protectrice, le ‘nouvel’
os peut alors se consolider pendant plusieurs mois,
après quoi le traitement en vue de la pose d’implants
peut alors commencer.” Pour d’autres patients, le salut vient de la procédure de distraction. “Il s’agit d’une
technique assez récente qui consiste à désolidariser
Haut et bas
prudemment un morceau de la mâchoire du reste de
La correction maxillaire est pratiquée sur des patients dont les dents de la mâchoire inférieure et celles de la mâchoire supérieure sont désalignées par
suite d’une anomalie de la mâchoire. Dans certains
cas, il est parfois nécessaire d’élargir la mâchoire
supérieure à l’aide d’un système de vis que le patient
doit actionner lui-même (la procédure de distraction).
Docteur Matthys : “Grâce à une ancre osseuse, nous
parvenons chez certains patients à éviter de devoir
déplacer la mâchoire même. L’ancre est ensuite utilisée par l’orthodontiste comme point d’ancrage pour
déplacer les dents.”
celle-ci, tout en le laissant attaché à la membrane
osseuse et à la gencive”, explique le docteur Matthys.
“Le petit morceau d’os ainsi détaché est ensuite fixé
au moyen d’un module de distraction composé de
deux plaques reliées entre elles par un système de
vis. Après une dizaine de jours, le patient doit déplacer
lui-même le petit morceau d’os en actionnant la vis,
de manière à stimuler la formation de nouveaux tissus
osseux et ce, pendant deux à trois semaines. Un mois
après le retrait du module de distraction, on peut
procéder à la pose des implants.”
Plus d’infos : secrétariat stomatologie, 057 35 75 20
www.yperman.net
Qui cherche, trouve (et…tout de suite)!
>Un tout nouvel hôpital se doit d’avoir un
site web nouveau. L’ancien site a donc été
entièrement remis à jour, enrichi et
“relooké”. Convivialité et rapidité sont les
deux maîtres mots des aménagements
consentis. Même les non-initiés du monde
internet trouveront les informations
qu’ils recherchent en quelques clics. <
La page d’accueil invite les visiteurs à
consulter la rubrique de leur choix. Si vous
désirez en savoir plus concernant les différents services médicaux ou si vous êtes à la
recherche d’informations pratiques à propos
de votre séjour à l’hôpital, ou de connaître
les heures de visite, ou de l’ouverture de la
cafétaria, le parking, etc, un seul clic suffit
pour voir s’afficher aussitôt sur votre écran
toutes les informations demandées.
Le site compte également une nouvelle
rubrique consacrée aux emplois vacants au
sein de l’hôpital.
Cientia Cornille (Directeur HR): “Lorsqu’au
départ de la page principale, vous cliquez
sur la rubrique ‘vacatures’ (emplois vacants),
vous voyez s’afficher la liste des offres
d’emploi du moment. Si vous voulez recevoir
régulièrement la liste des emplois vacants,
il suffit alors de compléter un formulaire ad
hoc avec vos coordonnées et en précisant les
départements qui vous intéressent. La liste
des nouveaux emplois vacants arrivera alors
directement dans votre boîte aux lettres
électronique.”
Enfin, le site contient quantité d’informations
sur l’hôpital Jan Yperman: son historique, les
bulletins d’informations et même une courte
présentation vidéo.
Service supplémentaire
>Grâce à la création d’un réseau de neurochirurgie en collaboration avec l’hôpital Heilig-Hart à Roulers, les patients
nécessitant des soins neurochirurgicaux
aigus (à la suite d’un traumatisme ou
d’une hémorragie) et qui ont été admis
via les urgences, peuvent dorénavant être
traités à l’hôpital Jan Yperman. Ceci est
un service supplémentaire proposé aux
patients de la région et à leur famille. <
Jusque fin décembre 2007, les patients
présentant une pathologie neurologique
aigue relevant de la neurochirurgie étaient
transférés à l’hôpital Heilig-Hart à Roulers
sur la base de l’échelle, dite “de Glasgow”
(Glasgow Coma Scale - GCS) et sur avis des
neurologues. “L’échelle GCS est une échelle
universelle qui permet d’évaluer la gravité du
coma dans lequel un patient est plongé”, ex-
plique le docteur Dirk Demeyer (chef du service des urgences). Cette époque appartient
désormais au passé. Le patient souffrant
d’une pathologie neurochirurgicale aigue est
d’abord stabilisé au service des urgences;
ensuite, le scanner CT passé à l’hôpital Jan
Yperman est examiné et évalué par le neurochirurgien de Roulers, grâce à une connexion
internet sécurisée. L’équipe décide alors
avec le neurologue quelle est la solution la
meilleure pour le patient et dans quel hôpital
l’intervention chirurgicale aura lieu.
La constatation du niveau de la pression
intracrânienne et les opérations en cas
d’hémorragie sont effectuées à l’hôpital Jan
Yperman. Le transfert du patient à Roulers
n’est nécessaire que pour des cas présentant
une problématique très compliquée.
Heures de consultation et
informations médicales
Les services et les médecins de l’hôpital Jan
Yperman sont présentés de manière très
claire et dans l’ordre alphabétique. Vous
y trouvez par exemple de maintes d’informations sur l’anesthésie ou la narcose,
les maladies coronariennes et le centre de
médecine sportive, etc.
Sur le site www.yperman.net plus que
jamais, l’adage “celui qui cherche trouve” est
d’actualité.
A noter également que les malvoyants n’ont
pas été oubliés. La possibilité a été prévue
pour augmenter le contraste entre le texte
et l’arrière-plan et d’adapter la taille de la
police d’écriture.
Le nouveau site web www.yperman.net
journée
de l’emploi
Le 2 février dernier, l’hôpital Jan Yperman a organisé pour la toute première fois une journée de
l’emploi orientée vers le personnel hospitalier.
“Nous voulons tout mettre en œuvre pour attirer
des infirmiers et infirmières motivés. Nous avons
pu accueillir des personnes qui sont à la recherche
d’un emploi se situant dans le monde médical ou
hospitalier. Ce fut pour eux une occasion unique
pour découvrir la nouvelle infrastructure de notre hôpital”, nous dit Cientia Cornille (Directeur
HR). Au cours de cette “journée de l’emploi”, des
infirmiers et infirmières ont eu la possibilité de
s’entretenir avec les infirmières en chef de leur
choix. Cette journée s’est terminée par un court
débriefing.
Plus d’infos : [email protected]
Plus d’infos : [email protected]
3
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La nouvelle maternité
Familiale quand c’est possible,
>La maternité de l’hôpital Jan Yperman sera transférée sous peu dans ses nouveaux locaux et compte
maintenant dix chambres de luxe, dix chambres
spacieuses à un lit et trois chambres à deux lits,
ce département. Ce département, dont l’offre a été
fortement élargie, passe donc à un niveau nettement
supérieur. <
N é o n ato lo g i e
La partie néonatologie a également été entièrement
rénovée. Elle se compose d’une vaste salle bien éclairée, dans laquelle tous les bébés sont placés près de la
baie vitrée, et d’un grand couloir destiné aux visiteurs
qui viennent admirer les nouveau-nés. Bientôt et grâce
à des webcams, les jeunes parents pourront observer
leur bébé depuis leur domicile.
N u m é r iq u e
La nouvelle maternité joue entièrement la carte du
numérique : tous les dossiers des médecins et des
infirmières sont consultables sur ordinateur. Le quartier
d’accouchement est en outre équipé de cinq moniteurs
foetaux permettant de surveiller le rythme cardiaque
ainsi que l’électrocardiogramme du foetus. Même
pendant le bain de relaxation, le monitoring du bébé
est assuré au moyen de ventouses sans fil. Le système
central de monitoring permet enfin à la sage-femme de
surveiller le rythme cardiaque de la maman et du bébé,
peu importe l’endroit où elle se trouve.
C o n fo r t S a n i ta i r e
Toutes les chambres sont équipées de douches et les
toilettes d’un système de rinçage automatique, ce
qui est très pratique pour les mamans qui viennent
d’accoucher.
Sous l’eau
Dès mars 2002, des accouchements dans l’eau étaient
possibles à l’hôpital Jan
Yperman. Depuis lors, environ 750 bébés sont nés dans
l’eau. “À l’heure actuelle, une
patiente sur cinq accouche
dans l’eau”, explique le
docteur Quintelier. Deux
pièces du nouveau quartier
d’accouchement sont équipées du matériel nécessaire à cet effet, à savoir une
baignoire d’accouchement et un jacuzzi. Deux autres chambres sont équipées
d’une baignoire de relaxation. De plus, le quartier d’accouchement est équipé
de salles intégrées de travail et d’accouchement, rendant ainsi superflus les
transferts entre ces deux salles. Ceci est plus confortable pour la patiente et
pour le personnel infirmier.
technique quand il le faut
Vaste espace bébé
L’espace dans la chambre, réservé au bébé est entièrement
vitré et bénéficie d’un système permettant un réglage de
température individuel. De plus, ce box est plus spacieux
que dans les anciennes installations et peut être isolé du
reste de la pièce ce qui permet à la maman d’allaiter son
bébé en toute intimité… Tous les espaces pour bébé sont
situés près de la fenêtre, il y a donc davantage de lumière.
D roits des patients en images
Grâce au concours de
l’hôpital St.-Jan de
Wervik, des artistes ont
eu l’occasion d’illustrer
en image les droits des
patients. Les photos en
noir et blanc de l’artiste,
qui a décroché le premier
prix, sont exposées à
deux pas de la nouvelle
maternité. Ces photos
donnent aux patients
les informations qu’ils
cherchent, mais sous
une forme artistique.
Atmosphère familiale
C o lo n n e s e n p i e r re
Tous les bébés né en 2007 à la
maternité – tant sur le campus
d’Ypres que sur celui de Poperinge –
auront leur nom immortalisé dans
une oeuvre d’art. L’artiste Pieter
Boudens a gravé les prénoms des
nouveau-nés sur trois colonnes en
pierre qui orneront bientôt le patio
de la maternité.
Les lits électriques permettent de trouver facilement la
position la plus confortable. Grâce au nouveau système
d’appel, la patiente peut en outre communiquer directement avec l’infirmière. L’éclairage d’ambiance et revêtement du sol donnent à l’ensemble une touche familiale.
Une connexion sans fil à internet et un poste de télévision à
écran plat sont la cerise sur le gâteau.
Coin cuisine
Toutes les chambres sont équipées d’un coin cuisine avec
un grand frigo, un micro-ondes et un évier. Une table a été
prévue pour les dragées.
Si vous désirez jeter un coup d’oeil à la nouvelle maternité ?
Adressez vous à Els Ingelaere, 057 35 70 20 ou [email protected]
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composez vous-même votre plat du jour
Appétissant et sain
Jean-Marie Lemahieu
nouveaux
médecins
Le docteur Stijn Deloose
Le docteur Stijn Deloose
renforce depuis le 1er
octobre 2007 l’équipe du
labo de pathologie. Après
avoir obtenu son diplôme
de docteur en médecine
à la KU Leuven en 2001,
le docteur Deloose s’est
spécialisé en anatomopathologie au Academisch
Medisch Centrum d’Amsterdam. Il a ensuite travaillé pendant un an comme pathologiste à Bergen
op Zoom et à Roosendaal. À l’hôpital Jan Yperman,
il s’occupe surtout des examens microscopiques
de tissus dans le but d’en déterminer le caractère
bénin ou malin de certaines malformations et tumeurs. Le docteur Deloose souligne que tout ce
qui est du domaine de l’examen molécluaire et immunohistochimique relève de l’actualité pointue
et il est primordial de se tenir informé quant aux
développements récents dans ce domaine.
Le docteur Caroline Mestdagh
Le docteur Caroline
Mestdagh rejoindra le
service
d’ophtalmologie, en association avec
le Docteur Callebert, à
partir de janvier 2008 et
participera au développement des sous-spécialités
ophtalmologie
infantile, strabisme et
neuro-ophtalmologie.
Après avoir obtenu son
diplôme de médecine à l’UGent, le docteur Mestdagh a suivi une spécialité en ophtalmologie et
une sous-spécialité particulière dans le domaine
de la rétine médicale. Elle a ensuite poursuivi sa
formation en ophtalmologie infantile (UGent) et en
strabologie (KUL et ULB). Depuis le début de l’année 2007, le docteur Mestdagh travaille un jour par
semaine comme ophtalmologue infantile et strabologue à l’hôpital universitaire de Gand. Depuis
le début de cette année, elle est aussi rattachée au
Dominiek Savio Instituut de Gits. Dr. Caroline Mestdagh werkt in associatie met dr. Callebert.
Plus d’infos : secrétariat dr. Callebert dr. Mestagh, 057 35 74 80
>L’alimentation est un aspect important des
soins que nous donnons aux patients. Nous
mettons tout en œuvre pour que ces derniers aient une alimentation saine et variée
pendant la durée de leur hospitalisation.
Cette tâche incombe en particulier à la cuisine de l’hôpital, qui vient d’être entièrement
rénovée. L’accent est mis sur la nécessité
d’avoir une alimentation à la fois saine et
appétissante, et ce tant pour les patients que
pour les collaborateurs de l’hôpital. <
vous avez envie d’autre chose, il y a aussi une
vaste gamme de snacks tels que spaghetti,
lasagnes, cassolettes de poisson, pizzas et
macaronis. Grâce au tout nouveau turbochef –
une espèce de four à turbine – vos spaghettis
sont réchauffés à la température idéale en
un rien de temps. Rapide et efficace. S’il vous
reste encore un un petit creux… vous pouvez
prendre un dessert – une pâtisserie fraîche le
mercredi et le dimanche – ou un fruit.”
P rêt à consommer
Dans la nouvelle cafétéria, les visiteurs et le
personnel de l’hôpital ont la possibilité de
boire un verre ou manger un en-cas ou un repas complet à un prix abordable. La nouvelle
cafétéria a d’ailleurs tiré profit du déménagement pour élargir les menus. Le plus
important est d’offrir une alimentation saine
et variée. Jean-Marie Lemahieu (responsable
Nutrition) souligne : “Dans la ‘zone froide’, on
trouve un large assortiment de petits pains,
sandwiches, garnitures et soupe fraîche.
La ‘zone chaude’ offre également plusieurs
possibilités, bref de quoi contenter chacun.
Dorénavant, vous êtes en mesure de composer vous-mêmes votre plat du jour, ceci vous
permet de manger ce qui vous plaît : viande,
poisson ou un plat végétarien, accompagné de
frites, pommes de terre nature ou de la purée.
Cela ne pose aucun problème. Vous pouvez
également faire votre choix dans l’assortiment
de légumes chauds, de fruits et de salades. Si
La nouvelle cafétéria est nettement plus
vaste que la précédente. La cuisine, qui a été
complètement rénovée, dispose maintenant
d’un appareillage des plus sophistiqués. Il
est évident qu’aussi bien le personnel que les
visiteurs y gagnent.
Grâce à la nouvelle machine à emballer sous
vide, par exemple, il est désormais possible
de préparer des repas prêts à consommer,
même en surproduction. De cette manière,
on ne tombe jamais à court de repas, même
en cas d’un pic inattendu du nombre de
patients hospitalisés. “En temps normal, les
repas prêts à consommer excédentaires sont
revendus à prix réduits aux collaborateurs
de l’hôpital”, explique Jean-Marie Lemahieu.
“Histoire de ne pas gaspiller de nourriture.
Ceci est très commode, par exemple pour les
collaborateurs qui sont de service nt la nuit :
ils n’ont plus à cuisiner tard le soir et ont
malgré tout un repas sain.”
cardiologie
Un ‘cœur nouveau’
le docteur Frank Bauwens
D é pa r t d ’ u n p i o n n i e r
Nouveau cardiologue
Le docteur Marc Bayart a pris, fin
novembre 2007 une retraite bien
méritée. Il a débuté sa carrière à
l’hôpital Jan Yperman en 1969. Après
avoir assuré des remplacements en
l’absence du docteur Deprez, il obtint
rapidement sa nomination définitive
le 1er août 1972. Comme le docteur
Bayart était le premier cardiologue
de l’hôpital Jan Yperman à avoir suivi
une formation spécifique, Il était évident qu’il fut chargé des maladies inle docteur Marc Bayart
ternes générales et de la cardiologie.
Le docteur Bayart a plusieurs réalisations à son actif. Ainsi, il fut le premier médecin à
l’échelon régional, à poser un pacemaker temporaire
(1972) et un pacemaker définitif (1977). Auparavant, les patients, pour qui ce type d’intervention fut
nécessaire, étaient transférés à l’UZ Gasthuisberg à
Louvain. Grâce au docteur Bayart, ces personnes et
leur famille n’ont donc plus eu à faire le long déplacement jusqu’à Louvain. Enfin, c’est aussi le docteur
Bayart qui développa l’unité de monitoring cardiaque
créée par son prédécesseur, le docteur André Deprez.
Lors de son départ, l’hôpital Jan Yperman a tenu à
rendre hommage à ce pionnier de la cardiologie en lui
exprimant une nouvelle fois toute sa gratitude.
Depuis janvier 2008, le docteur Frank
Bauwens est le nouveau cardiologue attitré
de l’hôpital Jan Yperman. Après avoir
terminé ses études de médecine à l’université de Gand, le docteur Bauwens a suivi
une formation en cardiologie, au cours de
laquelle il s’est intéressé en particulier
au problème de l’hypertension, comme en
atteste la publication en 2000 d’un livre sur
le sujet intitulé ‘Leidraad voor de evaluatie
en de behandeling van hoge bloeddruk. Een
gids voor huisarts en internist’ (Academia
Press). Le docteur Bauwens a été pendant
tout un temps consultant en matière d’hypertension à l’UZ Gent. Outre la cardiologie générale,
l’hypertension sera un volet important du travail du
docteur Bauwens. Un autre de ses principaux centres
d’intérêt est la cardiologie interventionnelle. De 1990
à 2007, il a été actif, à Alost, dans le domaine de la
cardiologie invasive et interventionnelle. Le docteur
Bauwens a acquis une solide expérience dans ces
techniques, ce qui pourra se révéler très utile dans
l’hypothèse du développement futur d’un service de
cardiologie interventionnelle à l’hôpital Jan Yperman.
Mais ceci n’est à ce jour qu’un projet.
Pour plus d’infos : secrétariat Groep Inwendige
Geneeskunde, 057 35 72 70
Symposium hypertension
Pour marquer le départ du
docteur Bayart, l’hôpital Jan
Yperman a organisé un symposium, le 29 novembre dernier; Ceci fut en quelque sorte
l’inauguration du nouvel auditoire de l’hôpital. Le docteur
Frank Bauwens, qui a repris le
flambeau du docteur Bayart,
a présenté à cette occasion un
exposé sur l’hypertension et
en particulier sur l’importance du monitoring de la
tension artérielle et ambulatoire. “On parle d’hypertension si la tension prise par le médecin dépasse
à plusieurs reprises la barre des 140/90 mmHg”,
explique le docteur Frank Bauwens. “L’hypertension
est une affection très répandue. En cas d’absence de
traitement ou de traitement
insuffisant, elle augmente
le risque d’AVC et d’infarctus. Un diagnostic correct
et un traitement adéquat
sont donc nécessaires pour
neutraliser ce risque accru.
Pour éviter notamment le
“syndrome de la blouse
blanche” (càd une tension
artérielle élevée chez le
médecin mais qui est normale à la maison) il faut
que le patient prenne sa tension lui-même à la maison, à l’aide d’un appareil entièrement automatisé. A
noter qu’il est primordial que le patient dispose d’un
appareil bien calibré et qu’il sache l’utiliser correctement.”
nouvel
assistant
le docteur
Bart Werbrouck
Diplômé de l’université de Gand
en juillet 2007, le docteur Bart
Werbrouck a été engagé à l’hôpital
Jan Yperman comme assistant en
médecine interne et ceci depuis
le mois d’octobre 2007. Il achève
actuellement sa formation en maladies internes, mais il souhaite
obtenir son brevet en médecine
aigue. Au service “médecine interne”, le docteur Werbrouck suit les
patients hospitalisés dans des disciplines spécifiques comme la cardiologie, la pneumologie, la gastro-entérologie, etc. Il s’occupe en
outre de la communication avec le
médecin généraliste et la famille
des patients. Enfin, la réalisation
d’échographies et les admissions
en urgence relèvent également
des tâches lui sont assignées.
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des meubles
pour la
bonne cause
Le nouvel hôpital Jan Yperman
est opérationnel depuis le 1er
novembre 2007. Presque tout le
mobilier et le matériel hospitalier des différents départements
ont été rénovés. Tous les services
du site existant (càd de l’’ancien
hôpital) sont, ou seront transformés. Les chambres sont déjà
équipées de nouveaux lits, de
tables de nuit, fauteuils, tables
et chaises.
Beaucoup de personnes se posent la question : “mais que va-ton faire de l’ ‘ancien’ mobilier ?”
En principe, il sera donné à des
Œuvres, en Belgique et à l’étranger. La procédure est simple : une
fois que la direction a approuvé la
demande, l’organisation concernée vient prendre livraison du
matériel alloué et le dirige vers
sa nouvelle destination. Le site
www.yperman.net donnera sous
peu un aperçu de l’affectation
donnée au matériel et mobilier
ainsi cédé.
Y-mail est le magazine de
l’Hôpital Régional Jan Yperman.
Briekestraat 12 – 8900 Ypres
T 057 35 35 35 – F 057 35 36 37
E.R. : Eric Luyckx
Coordination : Jan Blontrock
[email protected]
Y-mail est réalisé par
F-Twee communication
T 09 265 97 20
www.f-twee.be
le campus de Poperinge
dans un cadre rafra chi
>Depuis le mois de novembre 2007, tous les services de l’hôpital Jan Yperman sont réunis sous
un même toit. Mais il subsiste néanmoins des
activités médicales à Poperinge. Le médecin généraliste prend le rendez-vous pour ses patients
ce qui réduit le temps d’attente. <
Dans bon nombre de cas, pour les patients de la
région de Poperinge, il n’est pas nécessaire de se
déplacer à Ypres pour obtenir une aide médicale.
Une quarantaine de médecins tiennent encore des
consultations à Poperinge. De plus, ils sont en mesure
d’effectuer un grand nombre d’examens sur place.
“Les patients peuvent en effet se rendre sur le site de
Poperinge pour la plupart des examens d’imagerie
médicale, qui vont de la radiographie classique au CT
scan, en passant par les mammographies et les échographies”, explique Eric Luyckx (directeur général).
“Le médecin généraliste fixe le rendez-vous pour son
patient, réduisant ainsi le temps d’attente” Le campus
de Poperinge est ouvert du lundi au vendredi.
Une prise de sang ne nécessite pas, non plus, un déplacement. “Des examens comme les endoscopies et
les tests d’effort sont également réalisés à Poperinge.
Dans le bloc opératoire qui était rattaché à l’ancien
service des urgences, les chirurgiens pratiquent des
interventions mineures sous anesthésie locale.”
En ce qui concerne les urgences, on se rend directement au campus principal à Ypres. Sont également
attendus à Ypres : les patients pour qui un examen
RMN est prévu, un examen à base d’isotopes ou une
intervention plus lourde nécessitant une hospitalisation. Les personnes de la région de Poperinge se trou-
le campus de Poperinge
vant dans ce cas, ont la possibilité de prendre le bus
qui assure gratuitement la navette, toutes les heures,
entre Poperinge et Ypres et retour. Eric Luyckx : “Le
premier bus pour Ypres part à 6 heures et le dernier
repart vers Poperinge à 21h30. Les personnes qui attendent le bus à Poperinge peuvent s’installer dans la
salle d’attente de la réception pour y prendre un café
ou une boisson rafraîchissante qui leur est offerte.”
De nombreux patients ont recours à l’antenne de
Poperinge. Les médecins qui y tiennent des consultations sont satisfaits eux aussi. “Nous pensions que
l’offre médicale à Poperinge pourrait apporter une
réponse à un besoin et cela se vérifie”, ajoute Eric
Luyckx. La polyclinique a subi elle aussi une cure de
jouvence puisqu’elle a été dotée de couleurs originales pour bien commencer la nouvelle année.
Bibliothèque roulante
>Chaque semaine à l’hôpital Jan Yperman, des
volontaires de la Croix-Rouge passent de chambre en chambre avec la bibliothèque roulante. Et
il n’est pas rare qu’ils fassent même un brin de
causette avec les patients. <
La bibliothèque roulante est une initiative que la
Croix-Rouge a lancée en 1975 sur le campus OLV. Le
volontariat au sein de l’hôpital est donc une tradition,
et les volontaires suivent régulièrement des formations, notamment pour tout ce qui touche au secret
professionnel. “Notre bibliothèque est riche d’un millier d’ouvrages qui appartiennent à la bibliothèque nationale de la Croix-Rouge. Cette association remplace
régulièrement les livres anciens par des titres plus
récents”, explique Cientia Cornille (Directeur HR).
Chaque jeudi après-midi, quatre des seize volontaires font le tour des chambres avec une sélection
de livres. Rolande Petit (responsable du point de
prêt la Croix-Rouge et volontaire) : “Nous proposons
un choix très diversifié qui va des romans, polars,
thrillers, récits de voyages et ouvrages informatifs
aux livres sur le sport, le bricolage et les loisirs, en
passant par la bande dessinée. En outre, comme les
responsables ont toujours avec eux la liste complète
des ouvrages empruntables, les patients peuvent y
piocher d’autres titres qui les intéressent.”
Cientia Cornille : “Et si le patient a envie de parler
d’un ouvrage ou d’autre chose, les volontaires se font
un plaisir de leur prêter une oreille attentive.”
Plus d’infos : [email protected]