Les rivières pourpres

Les rivières pourpres
Auteur : Jean-Christophe Grangé qui a aussi écrit ‘’Le vol
des cigognes’’ et ‘’Le concile de pierre’’.
Date de parution : août 1998.
Genre du livre : roman policier.
l’histoire
se
déroule principalement à Guernon
et Sarzac en France.
Introduction :
Personnages principaux
Pierre Niémans : Commissaire de police qui est chargé de
l’enquête de Guernon.
Karim Abdouf : Lieutenant de police qui dirige l’enquête sur une
profanation de tombe et un vol commis à Sarzac.
Fanny Ferreira : Professeur à l’université de Guernon. Elle va
découvrir le corps de Rémy Caillois
Résumé
Le commissaire Pierre Niémans est appelé à Guernon pour
résoudre le meurtre de Rémy Caillois, dont le corps a été
retrouvé encastré dans une falaise. De son coté, Karim Abdouf
enquête sur la profanation de la sépulture d’un jeune garçon
nommé Jude Itero dont la mère prétendait être poursuivie par
des démons. Sa piste le mène jusqu’à Guernon où il rencontre
le commissaire Niémans. Rapidement, les deux hommes
découvrent que les affaires sont liées. Mais qui aurait pu en
vouloir à une mère et son enfant ? Que s’est-il passé dans les
montagnes pour qu’on retrouve le corps de M. Caillois,
bibliothécaire à l’Université, atrocement mutilé ? Qui était
effectivement le jeune Itero ? Alors que l’enquête avance, les
deux policiers seront amenés à percer le secret ‘’des rivières
pourpres’’.
Conclusion
Ce livre m’a énormément plu,
l’auteur détaille très bien les
scènes et maintient le suspens
jusqu’ à la fin.
Je conseille le livre plutôt que le
film.
Robin L.
Tous commence à guernon ou le commissaire Niémans est appelé afin
résoudre le meurtre de Rémy Caillois, un jeune bibliothécaire de
l’université retrouvé suspendu à 15 mètres de haut encastré dans une
falaise. Arrivé sur place, il se rend directement sur le lieu du crime et se
renseigne sur différent éléments :
- Le lieu exact du corps
- Qui l’a découvert
- Dans quel état était-il
Fanny Ferreira, la jeune alpiniste qui a découvert le corps, lui explique
que ce dernier a du être hissé à l’aide de poulie et de pitons utilisées
pour la pratique de l’escalade.
Pendant ce temps, à Sarzac, Karim Abdouf est appelé à enquêter sur un
cas d’intrusion dans une école et de profanation de tombe. Après un
examen, rien ne semble avoir été dérobé au niveau de l’école. Le
lieutenant se rend ensuite au cimetière. La tombe profanée est c’elle
d’un jeune garçon nommé Jude Itero, mort en 1982. M. Abdouf constate
que la photographie du défunt sur la sépulture à disparue. Le lieutenant
imagine que le jeune homme a été étudiant à l’école qui vient d’être
cambriolée. Il retourne sur les lieux et demande à pouvoir consulter les
archives de l’école. La Directrice les lui montre, mais rapidement il
constate que celles de l’année 1981 et 1982 sembles avoir disparu.
A guernan, l’inspecteur Niémans consulte le rapport d’autopsie de M.
Caillois. Le médecin lui explique que l’homme est mort par strangulation,
le corps lacéré et brûlé, les globes oculaires enlevés et remplacé par de
l’eau. En analysent cet eau l’inspecteur découvrent un produit plus utilisé
depuis 60 ans. Niémans comprend que l’eau provient des glaciers. Il
demande à Fanny de l’accompagner sur le glacier. Tout deux
descendent à 25 mètres de profondeur. Au fonds de la crevasse ils
découvrent un autre corps.
Entre temps, à Sarzac, Karim recherche des informations sur les années
1981 et 1982. Il se rend chez le photographe de l’école afin de consulter
les photos de classe, mais ce dernier lui répond qu’il n’a plus les photos
de ces deux années en sa possession. Le lieutenant remonte alors la
piste de l'ancienne professeur de l’école, il découvre qu’avent d’être
mutée à Sarzac elle enseignait à Guernon. La jeune femme était mariée
et avait une fille. Son mari a été tué et sa fille à disparu.
Le corps retrouvé dans la crevasse est celui de Philippe Sertys, ancien
aide soignant à l’hôpital de Guernan. L’homme a été tué de la même
manière que Rémy Caillois. L’inspecteur se rend dans un entrepos ayant
appartenu au défunt. Là, il découvre un cailler ou il est écrit ‘’nous
sommes les maitres, nous sommes les esclaves. Nous sommes partout,
nous sommes nulle part. Nous sommes les arpenteurs. Nous maitrisons
les rivières pourpres.’’. Etant donné les mutilations infligées aux globes
oculaires des deux victimes, il se rend ensuite dans une clinique
spécialiser pour les yeux. Le médecin du lieu lui explique que les enfants
de Guernan souffrent de maladies héréditaires qui affectent les yeux. La
cause de cette hérédité est liée à l’isolement. Les habitant de la ville ont
tendance a ce marié entre eux ce qui craie une consanguinité qui est
source de cette dégénérescence des yeux.
En sortant de la clinique, l’inspecteur rencontre Karim. Après avoir fait
connaissance, ils échangé quelques informations sur leurs deux
enquêtes respectives. Karim étant persuadé qu’elles sont étroitement
liées, ils décident de faire équipe.
Dans un premier temps Karim doit retrouver l’intitutrice et Niémans va
interroger le directeur d’une école d’aveugle. Dans cet établissement le
directeur lui fait part de ses constatations :
Dans les familles de Guernan, sensé avoir du sang appauvri, naissent
des enfants brillants et aussi dotés d’une forme physique remarquable. A
l’inverse, les enfants des montagnes avoisinantes connaissent ont un
taux de mortalité enfantines très élevé. Il informe également l’inspecteur
que l’on a retrouvé, dans le caisier d’Etienne Caillois, père de la victime,
des copies de fiches de naissance.
Niémans décide de faire des comparaisons entre les fiches des archives
de l’hôpital et celle retrouvées dans le caisier de M. Caillois. Il constate
que le poids de naissances des enfants diffère entre la fiche originale et
la copie.
Karim, de son côté, recherche l’ancienne institutrice de Sarzac, Mme
Herault. Il apprend que le nom de sa fille disparue est Judith. La
similitude entre le nom de cette jeune fille et celui du jeune homme dont
la tombe a été profanée le frappe. Judith Hérault et Jude Itero. Il
comprend alors que les deux ne sont en fait qu’une seule personne. La
fille disparue de Mme Hérault est Jude dont la tombe a été profanée.
Après avoir fait cette constatation, il se rend chez Mme Hérault, qui fait
partie des montagnards. Cette dernière montre au lieutenant une
photographie de sa fille Judith ainsi qu’une de la classe lorsqu’elle
étudiait à Guernan. Karim constate immédiatement que deux enfants
sont identiques. Mme Hérault lui confie qu’elle a mis au monde deux
bébés, l’un étant mort à la naissance. Elle lui raconte ensuite ce quelle à
vécu :
Lorsqu’en tant qu’institutrice à Guernan elle a été confrontée à cette
enfant identique à Judith elle a compris qu’il s’agissait effectivement de
son propre enfant. Imaginant que deux bébés avaient été échangés à la
naissance, elle s’était rendue à la maternité où on l’a accueillie avec
froideur. L’attitude des médecins l’ayant fâchée, elle est repartie de
l’hôpital en indiquant qu’elle n’en resterait pas là et qu’elle allait revenir
afin d’obtenir des réponses. De retour chez elle, Mme Hérault explique la
situation a son mari. Ce dernier, furieux, décide de se rendre à son tour
à la maternité, mais il est assassiné en route. Mme Hérault prend peur et
s’enfuie à Sarzac ou elle enseigne pendant deux ans. C’est durant cette
période que Judith meurt dans un accident de voiture.
Niémans et Karim se retrouve afin d’échanger leur découverte.
L’inspecteur a découvert que M. Sertys, l’aide soignant retrouvé mort au
fond d’une crevasse, était à l’origine d’échange de bébés. Son but étant
d’introduire des enfants montagnards parmi ceux de la vallée. Une fois
devenu grande ces derniers étaient mis en contact par Rémy Caillois,
dans la bibliothèque, afin de favoriser leur mariage. Cette machination
ayant pour but d’introduire du sang neuf dans la vallée afin d’éviter la
consanguinité source de dégénéressance. Tout cela à l’insu de la
population.
Karim quant à lui pense que la sœur jumelle de Judith a assassiné les
deux hommes afin de venger la mort de son père et de sa sœur.
Lorsqu’il montre la photo de cette dernière à l’inspecteur, Niemans
reconnaît Fanny Ferreira la jeune femme alpiniste qui l’a aidé dans la
crevasse.
Immédiatement il se rend chez elle afin de l’arrêter, mais l’interpellation
tourne mal et l’inspecteur et la jeune fille s’entre tue. Karim arrivé sur le
lieu du drame essaie de réanimer les corps. A ce moment la une main
s’empare de son arme dans son boudrier. Karim se retourne et découvre
Judith … « Nous sommes deux, nous avons toujours été deux » explique
la jeune femme. Puis a la demande du lieutenant elle raconte comment
sa mère a mis en scène sa mort afin de la protéger et comment elle et sa
sœur on éliminer Caillois et Sertys. Après ses révélations karim dégaine
une seconde arme et tue Judith.